#Enora TeyssendierBienvenue sur Psycho-Sexo, le podcast de L'Eipsho. Je suis Enora Teyssendier, psychopraticienne spécialisée en sexologie et psychotrauma et fondatrice de L'Eipsho, l'école internationale de psychosexologie holistique. Dans ce podcast, je vous partage des ressources, des témoignages et des approches concrètes en psychosexologie pour approfondir vos compétences et enrichir votre pratique. Bonjour et bienvenue dans ce nouvel épisode de podcast. Comme vous pouvez l'entendre, je suis enrhumée et c'est pour ça que l'épisode n'est pas sorti mercredi. J'espère que je vais pouvoir réussir à l'enregistrer aujourd'hui parce que c'est pas le tout d'une voix enrouée mais c'est aussi que par moments je n'arrive pas à respirer lorsque je parle. Et que je peux avoir des grosses quintes de tout. Donc c'est parti pour cet épisode. Aujourd'hui, on va parler en fait de questions que se posent des gens qui veulent s'installer en sexo. L'idée de faire cet épisode, c'est parce que ces dernières semaines, j'ai été contactée, dernière semaine, moi, enfin dans l'été aussi, par plusieurs personnes qui étaient accompagnées par France Travail et qui avaient plein de questions. Enfin, ils faisaient une enquête auprès de sexologues et donc ils sont venus vers moi avec plein de questions. Et donc je me suis dit tiens je pourrais demander aux gens s'ils ont des questions concernant la formation, concernant l'installation en sexo. Et j'ai repris des questions des personnes plus des questions reçues lors de ces enquêtes. Donc, la première question, la sexo vous permet-elle d'en vivre à 100% ? Les questions, elles sont forcément, là c'est galvaudé par ma propre pratique, expérience et ce que j'ai vécu. C'est-à-dire que moi je me suis installée volontairement une journée par semaine en sexo au tout début. Et j'étais 4 jours par semaine en pédopsychiatrie, et c'était un contrat que j'avais déjà, et j'ai négocié pour avoir une journée de libre pour la sexo. Et à ce moment-là, dès le premier mois, j'ai fait 400 euros en travaillant qu'une journée par semaine. Bon, mon loyer était de 400 euros, donc en gros je me suis remboursée le loyer. Après, je me suis arrangée autrement pour avoir moins de loyer, et qui fait que très rapidement j'ai eu... quand même une belle somme d'argent pour dire que j'y étais qu'une journée par semaine. Et au bout d'un an, je crois, je pouvais gagner plus un jour par semaine en sexo que quatre jours à l'hôpital. C'est-à-dire qu'il m'est arrivé à l'hôpital que je gagnais moins de 1500 avant le Covid. Et il m'est arrivé de faire 2000 euros. en libéral, pour une journée, quoi. Contre quatre à l'hôpital. Une journée par semaine et quatre par semaine à l'hôpital. Voilà. Après, bien sûr, ça va dépendre des personnes, ça va dépendre de là où on s'installe, voilà. Mais j'ai plein de collègues qui sont à 100% en sexo. Lorsque j'ai arrêté l'hôpital, je suis devenue nomade. Donc là, forcément, c'est... plus la même chose. Quand j'étais à mon compte, quand j'étais en cabinet, j'étais sur Google My Business et tout ça et j'utilisais pas du tout les réseaux sociaux et en fait, quand je suis devenue nomade, la visibilité, elle était plus la même et il a fallu que je travaille différemment, il a fallu que je me fasse connaître et puis au début, je travaillais qu'une journée par semaine, toujours. Donc, en une journée par semaine, je n'avais pas le temps de faire la com et les consultes que j'avais. Donc, j'en ai quand même vécu à 100% pendant plusieurs années. Quoique non, je dis des bêtises en disant ça, je louais aussi ma maison. J'en ai fait plusieurs appartements et en gros, il y a 400 euros qui me reviennent par mois. Donc j'avais la sexo plus ça. Et maintenant, je me réinstalle progressivement en Corrèze et je me fais connaître à nouveau sur le territoire. Avant j'étais en charbon maritime et maintenant je me fais aussi connaître et je fais connaître la formation, l'école, l'école internationale en psychosexologie holistique. Donc du coup forcément le travail est différent et c'est pas que les consultes. Tiens je tiens à préciser que dans les personnes qui m'ont contacté pour leur enquête par rapport à France Travail, anciennement Pôle Emploi, eh bien, la plupart ne savaient pas que j'avais une école en sexo. Donc, ensuite, autre question. Comment trouver mes clients ? Alors moi, je me suis mise sur tous les annuaires gratuits. Google My Business m'aide beaucoup. Et puis les réseaux un petit peu maintenant, mais avant pas du tout. Et pour aller plus loin dans comment trouver les clients, je vais vous inviter à... Allez sur l'épisode de podcast qui est que sur ce sujet qu'on a enregistré avec Cécile Manchon, qui est sexothérapeute, qui vit à temps plein, et qui est complet du coup, et avec nos deux regards, nos deux expériences. Quel type de patient, client se présente à moi ? Donc des personnes qui viennent pour des dysfonctions sexuelles, on appelle ça comme ça. Donc c'est... Tout ce qui est problèmes d'érection, d'éjaculation trop rapide, douleur à la pénétration, la pénétration pas possible, problèmes de désir. Il va y avoir tout ce qui est addiction et des comportements sexuels. Et en soi, personnellement, je suis formée et dans la formation psychosexo, on forme aussi à la thérapie de couple. Et puis, personnellement, c'est pas trop ce que je fais. si vous avez j'en parle, justement dans le dernier épisode j'en parle, moi je fais pas de thérapie de couple je fais des réaccordages du coaching de couple, on peut dire ça comme ça mais pas de thérapie, mais je suis formée et ça fait partie de ce qui sera transmis ce qui est transmis à l'EPSO donc on peut accompagner les personnes qui se questionnent sur leur genre et après il y a tout ce qui est spécificité onco-sexologie maladie psychiatrique ou endic... et avec la sexualité, la sexualité pour tous les âges de la vie et puis les traumas oui mais voilà trauma d'ordre sexuel mais quand les personnes viennent pour des ce qu'on appelle entre guillemets dysfonction sexuelle derrière peut se cacher aussi des traumas. Ensuite si je suis en cabinet partagé en structure ou l'éducation nationale pour le programme. Alors, personnellement, j'ai commencé sur un pôle de santé. On était 62 professionnels, ce qui a différencié des maisons médicales. Et il me semble, des fois en tout cas, dans les maisons médicales, il y a une règle comme quoi ils ne peuvent pas accueillir des gens qui n'ont pas un diplôme reconnu. Mais dans le pôle de santé, c'est un privé qui le louait, donc il n'y avait pas ces histoires-là. Aujourd'hui... Je suis dans un institut de beauté, figurez-vous. C'est peut-être particulier. On ne s'y attend pas forcément. Mais en soi, c'est pas mal. Là où je suis, on peut mieux faire en termes de, par exemple, la confidentialité, des trucs comme ça. Mais s'il était agencé différemment, l'institut, franchement, ça le ferait. Dedans, il y a des massages, il y a des gens qui viennent prendre soin d'eux. Il y a des gens qui... parlent de leurs problèmes à des esthéticiennes. Bon, c'est un tout petit institut, on a la campagne, et puis en fait, c'est celui d'une amie. Mais du coup, les gens, ils parlent de leurs problèmes, et déjà, ils voient dans la salle d'attente qu'il y a aussi une thérapeute. Et puis, mon amie esthéticienne, elle les oriente régulièrement sur moi. Franchement, elle m'a orientée plus de personnes. que quand j'étais en pôle de santé avec des sages-femmes. Les sages-femmes m'ont dit, moi, je vais t'en orienter, mais en fait, j'ai reçu personne venant d'elles, par exemple. Les médecins, j'avais été me présenter, mais pareil. Déjà, tous n'ont pas pu me recevoir, mais le peu que j'ai pu rencontrer, j'ai jamais reçu personne qui venait de bref. Tout ça pour dire qu'on n'est pas obligé de se cantonner aux habitudes aussi, enfin, aux ce qui nous semble logique, pôle de santé et tout. Mais ainsi de suite, ça peut être aussi intéressant. Pensez-vous que la sexo peut se retrouver en cabinet partagé ? Ah mince. Bah oui, du coup, totalement. Quel conseil donneriez-vous pour une future installation ? Administrative, démarche et tout. Moi, j'avais pu être accompagnée pour m'installer. Le statut de micro-entreprise pour commencer peut être pas mal. Si on a le chômage et qu'on peut avoir l'acre. Ça permet de commencer avec un pourcentage de charges moins élevés, donc c'est top. Et puis après, dans la formation Psychosexo, on accompagne aussi un peu là-dessus, sur les réseaux aussi, parce que l'objectif, ce n'est pas de laisser les personnes avec une formation, et après, dans la nature, il n'y a pas à savoir comment faire. Ça, c'était pour les questions qui m'avaient été envoyées par écrit. Il y en avait eu d'autres, pas par écrit, et je ne m'en rappelle pas de toutes. Là, j'ai fait une petite pause pour pouvoir respirer un petit peu et réfléchir à d'autres questions qui m'avaient été posées. Et une des personnes m'avait dit, est-ce que pour vous, c'est important de se former à d'autres choses ? Et en fait, elle m'avait expliqué que... Une personne était... Une sexologue qu'elle avait rencontrée était... Enfin, un sexothérapeute était formé à la sexo. Et il lui avait dit qu'elle n'avait pas réussi... Enfin, que ça ne prenait pas, quoi. Qu'elle n'en vivait pas. Et qu'elle avait dû se former à l'hypnose et le MDR pour que ça marche. Mais là... Je ne sais plus comment je lui avais répondu, mais je lui avais répondu de façon un peu rentre-dedans. J'avais dit pour moi de toute façon la sexo ça va pas sans l'hypnose et le MDR. Donc bref c'est un peu du rentre dedans parce que c'est pas forcément l'hypnose et le MDR en soi. Mais pour moi il faut pouvoir accompagner au niveau des émotions et des traumas. Ça fait partie du cursus de base quoi, point à la ligne. Pour moi c'est non discutable. Donc c'est pour ça que ça fait partie intégrante de la formation à l'Eipsho. Parce que c'est... Et c'est de toute évidence, oui, il faut être formé à des outils thérapeutiques qui permettent de vraiment traiter les problématiques et pas juste de penser une blessure, en fait. Enfin, pas juste de mettre un pansement sur la blessure, mais vraiment de la faire cicatriser, cette blessure. Donc, voilà. Du coup, si on va à l'Eipsho, il n'y a pas besoin de faire 30 000 formations à côté. Mais j'exagère parce que, oui, moi aussi, je... prendre le fait de continuer à se former en permanence, d'apprendre des choses, de se mettre à jour sur les connaissances et tout. Dans Alepso, il y a des intervenants extérieurs aussi qui partagent d'autres approches, et donc j'invite vraiment les personnes à voir ce qui mes élèves, qui voient ce qui leur parle, et pour se former éventuellement à d'autres approches, en fait. en fonction de leurs attirances et tout ça. Ensuite, il y a d'autres questions, du coup, qui m'ont été posées sur Instagram ou en privé. Là, je ne sais pas si vous écoutez cet épisode. Probablement que vous n'avez pas forcément... Vous ne me suivez pas forcément sur Insta. ni, vous avez pas forcément vu l'école, le site de l'école, mais on m'a demandé pourquoi Sandrine. Sandrine, c'est la personne qui fait les appels de formation, donc Sandrine elle est là pour répondre à toutes les questions, et pour accompagner dans les démarches pour d'inscription en fait, voir aussi si la formation, je dis, si la formation est faite pour vous, mais en vrai, ce qui est aussi important pour moi, dans cette... dans cette phrase-là, c'est que vos valeurs et les valeurs de l'epso puissent correspondre. Parce que pour moi, c'est hors de question de former des personnes. Par exemple, en fait, ce qui s'est passé, c'est que j'ai pu observer, quand j'étais en formation en psychosexuaux, il y avait une femme, elle était dissociée en permanence. Et j'étais là, c'est pas possible, comment elle peut être en formation en sexuaux, comment elle va pouvoir accompagner des gens ? J'en avais parlé avec la formatrice, qui du coup avait eu une conversation avec cette personne, et en fait elle vivait de la violence conjugale. Donc oui, c'est pour ça qu'elle était dissociée en permanence. Donc dans ces traumas en permanence, comment tu veux accompagner des gens si toi-même tu vis, t'es dans cette situation-là quoi en fait ? Et puis, par la suite, il y a une personne qui a pris... Là, maintenant, l'année dernière, quelqu'un qui a pris un rendez-vous avec moi, qui m'a dit qu'elle est dans cette formation-là, celle que j'avais faite. Et en fait, elle est dans un état de sidération. Et pareil, elle doit être dissociée en quasi-permanence. Elle me dit que le mot viol, il faut qu'elle soit préparée, sinon... Enfin... En gros, elles se dissocient, c'est trop compliqué de voir rien que ce mot-là. Comment, en sexo, tu peux accompagner quelqu'un si toi-même t'es aussi mal, en fait ? Et donc, pour moi, c'est important que les personnes qui sont dans la formation, qu'elles fassent un travail sur elles, qu'elles en aient fait un, qu'elles aient toujours des démarches à ce niveau-là. Et surtout, surtout, surtout, qu'elles ne soient pas dissociées en permanence, en fait. et dans les valeurs importantes aussi, c'est l'acceptation de tout le monde. Dans le sens, je ne veux pas de personnes qui ont des discours les femmes sont toutes des connasses ou les hommes sont tous des connards ou les femmes sont toutes des salopes, bref, et qui sont contre les personnes trans ou je ne sais quoi. Même si c'est quelqu'un qui veut accompagner que les femmes, il n'y a pas de souci tant qu'elle respecte les hommes aussi. Donc voilà, il y a différents points qui sont importants pour moi avant de rentrer dans la formation. Et en fait, je faisais les appels de formation avant. Et finalement, c'est du temps. Et donc, du coup, j'ai préféré travailler avec Sandrine. Et comme ça, moi, je me consacre au contenu de la formation et tout ça. Et à tout le boulot qu'il y a à faire de com et tout. Ensuite... D'ailleurs justement, dans le même genre, Qualiopi, on me demande si la formation est reconnue, s'il y a des aides et tout. Si elle est agréée Calliope ou des choses comme ça, non elle ne l'est pas. Et pour l'instant elle ne le sera pas du tout. Parce que clairement je préfère passer mon temps, mon énergie sur le contenu de la formation, un contenu de qualité. Plutôt que... Oh putain, pardon. C'est bon là, là tout remonte. Elle n'arrive plus à respirer. Je crois qu'on va aller sur la fin de cet épisode. Donc ouais, je préfère passer mon temps et mon énergie sur la qualité du contenu, de la formation, de la formation en soi, que de passer des heures et des heures pour remplir les dossiers, pour qu'il y ait des aides. Peut-être un jour, j'en sais rien. mais pour l'instant en plus ça enferme de ce que j'ai pu voir de personnes qui l'ont fait et qui sont revenus en arrière il y a plein de choses qu'il faut répondre à plein de critères et tout ça et c'est pas forcément finalement ce qui est le plus comment dire ce qui pousse la formation vers le haut et moi je préfère une formation vraiment de qualité Et justement, tout à l'heure, j'ai fait une... J'ai dit le mot reconnaissance au lieu de désagrémentation, l'agrément, ou je sais pas comment on appelle ça, calliopie et tout. La reconnaissance, de toute façon, en sexo, il n'y a rien qui est reconnu en France. Donc voilà, malheureusement, aujourd'hui, on est à un stade où la sexologie n'est pas reconnue en France. Un médecin peut faire une journée de formation et se dire sexologue. Il y a des formations de 3 semaines. Il y a des formations très très douteuses sur internet. Bref, même quelqu'un qui n'a pas fait de formation pourrait se dire sexothérapeute en soi. Donc c'est aussi pour ça que pour moi c'est important qui fait la formation, qui rentre dans la formation. Parce que j'ai à cœur qu'un jour la sexo soit reconnue. Et du coup c'est important pour moi que les professionnels soient bien formés. C'est aussi pour ça d'ailleurs que j'ai lancé ma propre formation. Tiens, je reviens sur Sandrine. Du coup, Sandrine, elle connaît toute la formation, elle bosse avec moi et elle répond à toutes les questions. Puis elle aide à voir avec les personnes si la formation est vraiment faite pour eux ou pas, si c'est le bon moment, si c'est mieux d'attendre l'année suivante ou quoi que ce soit. Et puis, je vais faire le dernier point. C'est si on peut travailler en même temps que la formation. Oui, oui, oui, c'est de la formation continue. Il y a des vidéos qui sont en ligne sur une plateforme qui peuvent être faites quand c'est bon pour vous. Il y a des lives tous les 15 jours, les mardis soirs à 20h et une semaine en présentiel en fin d'année. Donc tout ça peut être combiné avec un boulot et un boulot à temps plein. Je vais m'arrêter là pour l'épisode du jour parce que là j'ai besoin de repos, enfin ma voix a besoin de repos. En tout cas, sachez que les portes... de la formation reste encore ouverte jusqu'au 7 novembre. D'ailleurs, on m'a demandé pourquoi est-ce qu'elle ne reste pas ouverte toute l'année. Parce que, déjà, il y a les lives, et l'obligation d'assister à au minimum 75% des lives, même s'ils sont rediffusés après. Et puis, parce qu'il y a aussi cette ambiance de promo et tout ça, et c'est important que... du coup, qu'il y ait cette ambiance-là, qu'il puisse y avoir la confiance aussi de tout le monde vis-à-vis des autres pour poser des questions ou pour cheminer aussi. Donc, si vous voulez encore vous inscrire, c'est pas trop tard. Il reste jusqu'au 7 novembre. Et après, la prochaine promo sera l'année prochaine, en octobre 2026. Et... en 2026 il y aura d'autres tarifs parce que là c'est des tarifs préférentiels pour l'année de lancement pour la promo du mois de lancement la formation elle dure 3 ans et il y a ce tarif préférentiel pour les 3 années pour ceux qui sont dans cette première promo vu que vous participez avec moi à cette construction et quand je dis vous participez avec moi à cette construction c'est l'autre jour j'ai reçu un petit message comme quoi un lien n'était pas de bon. Donc voilà, la première promo peut des fois participer à me dire « Ouh là là, il y a un petit bug ici » . Et du coup, en contrepartie, il y a aussi ce tarif qui est préférentiel. Donc, pour plus d'infos, vous pouvez retrouver toutes les infos sur le site internet, vous pouvez me contacter. Et puis pour avoir d'autant plus d'informations et et bien il y a un un appel, bien sûr c'est gratuit avec Sandrine et je vous dis à tout bientôt pour un prochain épisode je vais essayer de relancer les épisodes toutes les semaines et puis moi je vais aller prendre soin de ma voix et de mes poumons et je vous dis à bientôt, bonne fin de journée, bonne soirée ou bonne nuit en fonction de quand vous m'écoutez ou du lieu où vous m'écoutez à bientôt