- Speaker #0
Il est très joyeux, très coloré. Moi, il m'a réjoui ce bouquin. Et puis, c'est très amusant. Elle a pris un ton assez badrin, loin du cliché de l'enfant malheureux et balotté entre ses deux parents, effectivement. Donc, ce n'est pas du tout donneur de leçons non plus. C'est montrer la vie du quotidien qui se poursuit en dépit du fait qu'on est séparés. Ça, c'est assez plaisant.
- Speaker #1
Vous écoutez Quelque chose à vous dire, le podcast qui rebooste les parents séparés. Gare partagée, logement, école, finances, communication, la séparation bouscule nos vies et celles de nos enfants et l'on se sent souvent démuni quand tout s'écroule, que notre avenir devient flou et que l'on doit apprendre à reconstruire, pas à pas, une nouvelle vie. Je suis Pamela Mourinière et vous écoutez la saison 4 de Quelque chose à vous dire, le podcast qui rebooste les parents séparés. Chaque semaine, je donne la parole à des parents séparés qui viennent partager leur expérience et les ressources qui les ont aidés à se préserver et à mieux accompagner leurs enfants. J'interview aussi des experts pour vous apporter des clés afin de mieux anticiper et naviguer dans votre propre séparation. Cette saison, j'accueille également des chroniqueuses et chroniqueurs qui à travers leur regard sensible et concret vous aideront à naviguer dans votre chemin post séparation et à trouver de l'inspiration dans votre quotidien parce que la séparation ce n'est pas une fatalité et vous le constaterez au fil des épisodes, on s'en sort si vous aimez le podcast et souhaitez le soutenir, abonnez-vous et parlez-en autour de vous pour qu'il puisse aider d'autres parents. Bonne écoute ! Salut les parents, j'espère que vous allez bien. Bienvenue dans Quelque chose à lire, la chronique littéraire du podcast dans laquelle je reçois des libraires qui viennent vous proposer des livres qui tournent autour de la famille, de la séparation et des enjeux du couple et tout ce qui peut vous apporter du soutien dans votre processus de séparation. Aujourd'hui on retrouve Maud Cello, libraire à la librairie du Centre à Ferney-Voltaire en France. Avec Maud, on va explorer deux ouvrages pour lesquels Maud a eu un véritable coup de cœur. Le premier est le livre « Quelle joie » de la journaliste et autrice Iris Bray, magnifiquement illustré par Anna Wanda Gaugussel. C'est un livre à destination des parents et des enfants qui explore les moments de joie que l'on peut continuer de vivre même en cas de garde alternée. Il est accessible à partir de 3 ans et peut vous être très utile pour accompagner vos enfants dans votre chemin de séparation. Maud nous parlera aussi du prix FEMINA 2025. La nuit au cœur de Natacha Apana, un roman dur mais nécessaire qui revêt une importance particulière à quelques jours du 25 novembre, la journée mondiale pour l'élimination de la violence envers les femmes et les filles. J'en profite pour vous rappeler que si vous êtes victime de violence conjugale, n'hésitez vraiment pas à contacter le 0800 30 030 pour la Belgique, 0800 30 030 pour la Belgique. Et le 39 19 pour la France, ou tout autre numéro de secours disponible dans votre pays, des gens qualifiés vous répondent et vous soutiennent. Faites leur confiance. Bonne écoute et bonne lecture. Quelque chose à lire, on retrouve aujourd'hui Maud Sello, directrice de la librairie du Centre à Ferney-Voltaire. Bonjour Maud.
- Speaker #0
Bonjour Pamela.
- Speaker #1
Alors aujourd'hui, on a décidé de vous parler, enfin sous... ton impulsion, Maud, évidemment, on a décidé de vous parler de deux ouvrages qui tranchent complètement avec ceux dont on vous a parlé la dernière fois. Et le premier d'entre eux, c'est une BD qui s'appelle Quelle joie, qui a été écrite par Iris Bray et Anna Wanda Gaugusset. Elle est publiée aux éditions La Ville Brûle. Est-ce qu'on peut parler d'une BD déjà ? Parce que peut-être que je... J'extrapole un peu.
- Speaker #0
Oui, on peut parler d'une BD, d'un petit roman graphique, comme on veut en fait. C'est vrai que c'est très, très, très imagé. Il y a peu de texte, mais c'est une petite pépite. Moi, elle m'a fait de l'œil aussi tout de suite, à la fois parce qu'elle est super bien pour les grands et pour les petits. Et puis, elle raconte une histoire très amusante et en même temps super poignante d'un petit renard et qui vit une semaine sur deux. chez l'un de ses parents parce qu'ils sont séparés. Donc, c'est une histoire d'animaux, en fait. Chaque personnage est représenté par un animal. Il y a Otto, le petit renard. Et puis, il y a sa maman qui ressemble à une louve. Et il y a plein d'autres personnages qui gravitent autour. Et on y trouve évidemment beaucoup, beaucoup de joie, comme son titre l'indique.
- Speaker #1
Alors, qu'est-ce que c'est, cette histoire, en fait ? Donc, en fait, c'est l'histoire. C'est une histoire qui va vous parler beaucoup, à vous, aux auditoristes, parce que c'est quand même un peu ce que... tout le monde qui nous écoute ou presque ici vit, c'est-à-dire La Garde Alternée, sauf que c'est raconté sous forme d'une histoire un peu peut-être un petit peu plus légère, une histoire aussi accessible aux enfants. Donc c'est un livre ou un roman graphique, comme tu dis, qui peut être aussi, j'imagine, certainement lu avec ses enfants. Et c'est quoi l'histoire ? Alors ça raconte le quotidien du petit renard ?
- Speaker #0
Oui, ça raconte le petit Le quotidien de ce petit renard qui va passer une semaine avec sa maman et une semaine sans sa maman.
- Speaker #1
Est-ce qu'on sait avec qui il passe ?
- Speaker #0
Oui, avec son papa. Sa maman s'est remise en couple et du coup, c'est l'occasion de faire un petit point. Parce que tous les deux, ils se posent évidemment pas mal de questions. Et ça commence comme ça. Le roman graphique commence par une espèce de double page où c'est là où il y a le plus de textes. où chacun se demande si c'est triste ou pas triste d'être séparés l'un de l'autre.
- Speaker #1
Et qu'est-ce que tu en retires de cette discussion ? Parce que ce n'est pas un livre qui est très très long à lire non plus, donc j'imagine qu'on en arrive vite à l'essentiel.
- Speaker #0
Mais oui, c'est ce qu'on dit, c'est de la lecture accompagnée. Donc, évidemment, l'enfant va le lire avec ses parents, mais ce qu'on en retient, c'est que l'enfant, finalement, il est très heureux et ce qu'il dit dès le début, c'est qu'il a... deux fois plus de tout. Il a deux vies, deux maisons, deux doudous, deux brosses à dents et deux parents très différents et que c'est ça la joie. Et moi, c'est ça qui m'a vachement touchée. Dès le début, ça part super fort. Et après, c'est rigolo parce qu'il est structuré en double page avec une semaine sans toi, où chacun dit pourquoi c'est chouette d'être sans l'autre. Et la deuxième, une semaine avec toi. Alors, qu'est-ce qu'il dit par exemple ? Le petit renard, au début, il dit « une semaine avec toi » , la première double page, c'est « m'occuper de mon cactus et le voir grandir » . Et puis la semaine sans toi, ça va être, le petit renard va dire « retrouver papa et nos habitudes » , et là on le voit sauter sur le lit avec son papa, etc. En fait, chaque double page nous apporte… Une petite scénette de la vie quotidienne dans laquelle chacun peut se retrouver, parce que c'est des choses de la vie quotidienne. C'est aller au cinéma, ça va être faire un pulse, ça va être faire la cuisine, manger des raviolis, faire une balade en forêt. Voilà, donc c'est super drôle. Moi, il y a des scènes qui m'ont vraiment fait énormément rire. J'en ai même ri, en fait, à la lecture.
- Speaker #1
Desquelles, par exemple ?
- Speaker #0
La scène du yoga est absolument géniale parce que c'est la semaine sans l'autre. Et donc, c'est la maman qui dit que quand son petit Renardo n'est pas là, en fait, elle a pu reprendre le yoga, même si elle sait qu'elle ne progressera jamais. Et là, on la voit les quatre fers en l'air dans la salle de yoga, à essayer tant bien que mal de faire un espèce de poirier ou je ne sais quoi, ou un chien tête en bas, ou un chien tête en l'air, je ne sais pas. C'est très, très drôle. Je me suis évidemment retrouvée au yoga. Et voilà, il y a plein de petites scénettes comme ça où la scène dans la voiture, quand ils reprennent un refrain à tue-tête, tous les trois. Et quand la maman dit reprendre un refrain à tue-tête et savoir que tu ne te rends pas encore compte que je chante très faux. Donc voilà, c'était des éclats de rire en même temps que je lisais.
- Speaker #1
Et en fait, elle a vraiment pris le parti pris de voir le côté positif des choses, en fait. Parce que, bon, la joie, on sait bien que... On n'éprouve pas forcément toujours de la joie quand on est séparé de ses enfants une semaine sur deux ou la moitié de la semaine. Elle a pris le parti quand même de se dire qu'il y avait des bonnes choses dans cette séparation, c'est ça ?
- Speaker #0
C'est exactement ça. En plus, elle en a fait un album ultra coloré. Il est très joyeux, très coloré. Il m'a réjoui ce bouquin. Et puis, c'est très amusant. Elle a pris un ton assez badin, loin du cliché de l'enfant malheureux et balotté entre ses deux parents. Effectivement, ce n'est pas du tout donneur de leçons non plus. C'est montrer la vie du quotidien qui se poursuit en dépit du fait qu'on est séparés. C'est assez plaisant. Et la mère, autant que l'enfant, sont joyeux.
- Speaker #1
Et alors, juste peut-être pour clôturer, une dernière petite chose que je me suis un petit peu renseignée et j'ai vraiment très, très hâte de parcourir ce roman-là, ce livre. Enfin, je ne sais plus comment l'appeler maintenant. Mais elle disait justement, Idriss Bray, que la joie, en fait, elle n'était pas réservée à celles et ceux qui suivent la norme. Est-ce que tu vois pourquoi elle dit ça ?
- Speaker #0
Absolument, c'est très intéressant parce que c'est très contemporain aussi comme histoire. Ça nous parlera à toutes et tous. En fait, la maman, quand elle se sépare du papa loup, on comprend après qu'elle a une amoureuse. Et donc, la maman se retrouve en couple avec une autre femme. Et elle est très heureuse de voir que finalement, ça marche tout aussi bien et que son amoureuse s'occupe aussi de son renardeau. Et donc, il y a toute une question sur la différence et sur l'acceptation de soi, de l'autre, y compris quand on est un parent séparé, qu'on doit se reconstruire. Donc, non, j'ai l'impression que tout le monde peut s'y retrouver dans ce livre. C'est ça qui fait qu'il est très plaisant.
- Speaker #1
Très chouette. Merci beaucoup, Maud, pour cette première proposition. Donc, il s'agit, je vous rappelle, quelle joie. Iris Bray et Anna Wanda Goguzet. C'est publié aux éditions La Ville Brûle. ça vient de sortir, donc n'hésitez pas, si vous avez justement aussi envie de parler de votre séparation avec vos enfants, et vous savez pas trop comment aborder ça, avec des tout-petits notamment, un livre, c'est souvent une opportunité d'ouvrir la brèche et de raconter avec des mots simples et des images, donc n'hésitez pas, et c'est un peu pour ça aussi qu'on a choisi ce livre. Et le deuxième livre dont tu vas nous parler, qui n'a absolument rien à voir, qui vient de remporter le prix Femina, et ça c'est quand même Chouette parce qu'on ne le savait même pas au moment où on en a parlé ensemble. Il s'agit de La nuit au cœur de Natacha Appana. Elle a été publiée aux éditions Gallimard. Et donc, c'est le prix féminin de cette année. Alors, pourquoi avoir choisi ce livre ?
- Speaker #0
Alors, j'ai choisi ce livre, La nuit au cœur, parce que je trouve que c'est une histoire qu'il ne faut absolument pas taire, qui est racontée dans ce livre. C'est l'histoire, en fait, c'est trois histoires, trois femmes. dans trois lieux et à trois moments différents, de trois cultures différentes, qui sont mariées à des hommes et qui ont connu des violences conjugales. Donc évidemment que ce livre était nécessaire, évidemment que c'est un indispensable, et donc c'est sur une thématique dont on entend beaucoup parler en ce moment, le féminicide, l'emprise, et ce qu'on appelle, en tout cas ce que Natacha Apana appelle très justement dans son livre, l'entreprise de sa... graduelle que ces femmes ont vécu avec leurs conjoints respectifs qui peut aller jusqu'à la mort.
- Speaker #1
J'ai beaucoup aimé que tu m'aies proposé ce livre parce que c'est aussi un sujet qu'on a déjà abordé dans le podcast. Vous pouvez réécouter les épisodes avec Sarah Baruc qui est autrice et puis aussi avec Marie Denis qui est psychologue où on parle de l'emprise et on parle des violences conjugales. Et c'est pas pour rien, cet épisode va sortir à quelques jours du 25 novembre, donc la journée mondiale pour l'élimination des violences envers les femmes. Je trouvais ça quand même, quand tu m'as proposé ce livre, je me disais que c'était quand même évident d'en parler à un moment pareil de l'année. Et effectivement, parfois on ne les voit pas tout de suite venir ces signes d'emprise.
- Speaker #0
Oui, c'est exactement ce que Natacha Apana raconte dans son livre. Elle suit l'itinéraire de trois femmes. Donc, il y a Chahinez, mariée à un maçon qui finira brûlée vive en pleine rue. On le sait dès le début, donc je ne dévoile rien en disant ça. Emma, qui est mariée à un chauffeur de voiture qui sera écrasée dans une affaire camouflée en accident. Et puis surtout, Natacha elle-même. Natacha Pana, l'autrice qui est en couple avec Skapé, la seule survivante de ces trois histoires et qui en a miraculeusement réchappé. Et c'est ce qu'elle explique en fait. Ce qu'elle dit, c'est que ça s'installe insidieusement. ce phénomène d'emprise dans un couple, avec des petites remarques qui vont commencer par un legging qui est trop moulant, une robe qui nous paraît trop aguicheuse, des coups de téléphone et un contrôle permanent qui font que ces femmes-là, en tout cas les trois dont elles décrivent les expériences respectives ici, vivent constamment aux aguets. Et donc elles n'ont plus de libre-arbitre. elles doivent se conformer aux souhaits de leur époux et c'est ça qu'elle va raconter dans trois histoires qui s'entrelacent et qui sont cet édifice un peu à trois têtes qu'elle nous raconte dans
- Speaker #1
son livre avec beaucoup d'humilité beaucoup de discrétion c'est très très fort donc c'est trois histoires vraies qui s'entremêlent un livre fort un livre bon J'imagine qu'il faut avoir le cœur bien accroché aussi pour le lire, mais je pense que c'est aussi un livre nécessaire. Souvent, ce qu'on dit dans les affaires de violences conjugales, c'est que ça dégénère, notamment au moment où les femmes décident de partir. Est-ce que c'est ce qui se passe aussi sans tout dévoiler du livre ? Mais est-ce que c'est quelque chose que tu as observé dans ce livre aussi ?
- Speaker #0
Alors, pas forcément, parce qu'étonnamment, elles sont... Et c'est ce qu'elle explique au début. Il y a un phénomène de séduction permanente, il y a des allers-retours entre la violence et soudainement le pardon qui revient. En l'occurrence, l'homme essaye de se racheter à plusieurs reprises, etc., en étant gentil. Et c'est ces va-et-vient incessants qui font qu'elle les décrit comme des soleils noirs, ces hommes-là, les trois hommes dont elle parle. et qu'elle va mettre dans une pièce imaginaire au tout début du roman d'ailleurs. Mais il n'y a pas spécialement le souhait de partir immédiatement. Évidemment, là où ça devient tragique, c'est au moment où la femme s'enfuit, au moment où les trois s'enfuient. Il y a cette course folle chez ces trois femmes qui finit tragiquement pour deux d'entre elles, qui est vraiment hyper poignante. Mais au début, on voit qu'elles les aiment. Elles les aiment, elles en sont tombées amoureuses. Et c'est au fur et à mesure de vivre ensemble qu'elles se rendent compte que c'est intenable de vivre avec des hommes pareils. C'est une descente inexorable vers l'abject. En fait, c'est une situation qui devient sournoisement invivable.
- Speaker #1
Mais ce que tu veux dire quand même, c'est que deux d'entre elles vont mourir justement quand elle... alors qu'elles essayent de s'enfuir, de quitter cette relation. C'est bien ça ?
- Speaker #0
Oui, c'est ça. Il faut avoir le cœur accroché, comme tu le disais, pour le lire parce qu'il y a des scènes qui sont décrites avec beaucoup de réalisme et en même temps une distance extraordinaire.
- Speaker #1
Alors, on rappelle le nom du livre, La nuit au cœur de Natacha Appana, publié aux éditions Gallimard. Et il me semble que dans ce livre, il est aussi question d'un violentomètre. Qu'est-ce que c'est exactement, ça, le violentomètre ?
- Speaker #0
C'est assez intéressant parce que ce livre, outre le fait qu'il décrit bien ce phénomène d'emprise, il donne pas mal de clés pour comprendre qu'est-ce que c'est que les violences conjugales, et entre autres par l'entremise de ce violentomètre. Et en fait, c'est un outil qui est utilisé, si je ne me trompe pas, par plusieurs thérapeutes pour essayer de mesurer la violence conjugale. Et donc, c'est une règle graduée qui propose 24 situations de couple, de la plus saine à la plus dangereuse. Et en fait, elle l'a reproduit dans son ouvrage à la page 145. Et c'est très intéressant parce qu'évidemment, la couleur se fonce au fur et à mesure que la personne vient dans la partie « tu es en danger » .
- Speaker #1
Et donc, ça permet aux lectrices de s'identifier. essayer aussi de voir comment se positionne son couple sur une échelle de 1 à 24, en fait. 1, j'imagine la situation où tout va bien, il n'y a pas de violence. À 24, il est temps de partir. C'est ça,
- Speaker #0
c'est exactement ça. Voilà, c'est une clé de lecture qui est assez inhabituelle dans un texte littéraire, mais qui, là, permet d'avoir une idée de la gradation de... et de la situation du couple à un moment donné.
- Speaker #1
Merci beaucoup Maud, merci beaucoup pour ces deux ouvrages qui n'ont rien à voir, mais justement je trouve que c'est ça qui fait aussi tout le charme de ta sélection. On se retrouve très bientôt pour une nouvelle chronique. Et je rappelle que vous pouvez retrouver Maud dans la librairie du Centre à Ferney-Voltaire. En France, près de Genève, mais tout près de la Suisse en fait. Vous êtes du côté français, mais c'est tout près de la Suisse. Et donc, vous pouvez aller dans cette librairie. Vous rencontrerez Maud et toute son équipe. Et c'est vraiment un très, très, très chouette endroit. Bonne fin de journée tout le monde. Bonne fin de journée Maud. A très bientôt.
- Speaker #0
A bientôt. Merci.
- Speaker #1
Voilà, c'est tout pour aujourd'hui. Je suis Pamela Mourinière et vous venez d'écouter un épisode de Quelque chose à vous dire, le podcast qui rebooste les parents séparés. Si le podcast vous plaît, parlez-en autour de vous, recommandez-le à celles et ceux qui pourraient t'aider. Mettez-lui 5 étoiles sur vos plateformes d'écoute préférées ainsi que des commentaires positifs. pour l'aider à se faire connaître davantage. Pour toute proposition de thème, d'invité ou pour me contacter tout simplement, laissez-moi un message sur les réseaux sociaux Instagram et LinkedIn ou envoyez-moi un email quelquechoseavoudirepodcast.com quelquechoseavoudirepodcast.com A la semaine prochaine pour un nouvel épisode et d'ici là, portez-vous bien. Ciao !