Comprendre et maîtriser LES intelligences artificielles. Depuis environ deux ans, nous avons littéralement assisté à une explosion des outils d’IA en ligne. Une évolution fulgurante, à l’instar de ce que l’on a connu il y a quelques années avec le numérique. Aucun secteur n’y échappe. Cette technologie est devenue omniprésente dans notre quotidien. Dernier exemple : un rapport de l’institut Reuters pour l’étude du journalisme publié avant-hier. Et qui explique (ce rapport) que les robots conversationnels reposant sur l’intelligence artificielle (comme ChatGPT) sont désormais utilisés comme des outils pour s’informer. Résumer des articles pour les rendre plus rapides à lire, les traduire, faire des recommandations voire même répondre à des questions sur l'actualité. Ainsi pour 15% des moins de 25 ans, ChatGPT est aujourd’hui une meilleure source d'information que la presse. Or, utiliser l’IA, et bien cela s’apprend. On ne peut pas se contenter de prendre pour une vérité absolue ce que va nous dire une intelligence artificielle. Il faut d’abord et avant tout comprendre comment elle marche, la considérer comme un outil. Et c’est justement pour “comprendre et maîtriser l’Intelligence Artificielle” qu’une plateforme est en train d’être créée, ici en Guyane. Ça s’appelle comprendre.ai (http://comprendre.ai). Son fondateur est avec nous ce matin. Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

Il dit vouloir “reprendre et renouer le dialogue”. Manuel Valls est en Guyane depuis samedi, près de six mois après sa nomination au ministère des outremers. Sans tabou, dit-il, et ouvert sur tous les sujets (de l’exploration pétrolière au monopole de la SARA, en passant par la lutte contre la vie chère, le désenclavement ou l’évolution statutaire : des sujets au coeur du débat public ici en Guyane car à l’origine de nombreuses difficultés que toutes et tous subissent au quotidien : le ticket de caisse à 100 euros à l’épicerie du coin pour pas grand chose dans son panier, les temps de transport inouïs pour les habitants de l’intérieur (comme du littoral) ou même les billets d’avion Cayenne-Paris qui coûtent parfois un SMIC. Ne l’oublions pas : derrière les grands mots de désenclavement, réforme constitutionnelle ou même contrôle des prix, c’est bel et bien la vie quotidienne de chaque habitant qui est impactée. Alors “nouvelle relation avec les outremers” c’est très bien. “Sortir d’une vision paternaliste de Paris pour les territoires non-hexagonaux” personne ne s’y opposera. Mais concrètement, quelle action politique ? Quels changements ? Et quels projets ? Pour en parler, Manuel Valls est avec nous ce matin.  Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

Une visite ministérielle, mais pourquoi faire ? Manuel Valls est en Guyane depuis samedi. Avec un programme habituel tant les séquences choisies et le petit tour de Guyane opéré par le ministre ressemble à ce que l’on a déjà vu beaucoup de fois. Signature de convention, passage obligé dans l’ouest et prises de parole habituelles, sur des sujets habituels. Alors certes, en sa qualité de ministre d’Etat, Manuel Valls arrive avec un poids politique supérieur à celui de ses prédécesseurs éphémères : les Marie Guévenoux, Philippe Vigier et Jean-François Carenco. Mais malgré tout, la question de la pertinence de cette visite vous aura sans doute effleurée l’esprit. Pourquoi vient-il ? Et pour dire quoi ? Dans la mesure où l’attente numéro 1 des élus concerne la relance du projet d’évolution statutaire. Une réunion sur le sujet se tiendra justement cette après-midi à la CTG. Pour en parler, le député Davy Rimane est avec nous ce matin. Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

Vous en avez très certainement tous entendu parler malheureusement : ces dernières semaines, plusieurs noyades ont endeuillé la Guyane. La dernière a eu lieu avant-hier : une adolescente de 16 ans s'est noyée à Rémire-Montjoly, au large de la plage de Gosselin. Un drame qui est loin d’être un cas isolé. Il suffit de taper “noyade guyane” dans n’importe quel moteur de recherche, pour voir à quel point ces accidents se répètent année après année. Dans les criques, les fleuves, l’océan ou les piscines privées.  Des drames qui touchent souvent des jeunes voire des enfants. Une thèse médicale de 2018 montrait par exemple que la noyade représentait en Guyane 26% des décès pour les enfants de 5 à 15 ans. Soit la première cause de décès pour cette tranche d’âge. Alors au-delà de l’émotion, comment appréhender le sujet pour non seulement limiter les risques, mais aussi éviter les accidents qui auraient pu être évités ? Pour en parler, Claude Brignon est notre invité ce matin. Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

Musique, danse et théâtre ce matin : les inscriptions sont ouvertes jusqu’à la fin du mois de juin pour la prochaine rentrée du conservatoire. L’établissement, créé il y a bientôt 40 ans, en 1988 sous la forme d’une École de Musique Régionale s’est développé au fil des années. Il accueille aujourd’hui environ 1300 élèves et propose près d’une trentaine de disciplines artistiques : piano, chant lyrique, percussions créole, danse ou encore art dramatique : on ne va pas tout citer tant la liste est longue. Et donc pour la prochaine rentrée qui arrive, le conservatoire va notamment se doter de nouveaux parcours, en partenariat avec l’éducation nationale. Car de nombreuses études rappellent à quel point l’éducation artistique joue un rôle fondamental dans le développement cognitif, émotionnel et social des élèves. Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

Le climat guyanais change. Et il change vite. Températures en hausse, précipitations de plus en plus irrégulières, saisons qui se décalent : le climat local est en pleine mutation. Entre 1970 et aujourd’hui, le thermomètre a grimpé en moyenne de plus d’1,5°C sur le territoire, et la tendance devrait s’accélérer. C’est ce qu’avait déjà mis en avant un programme d’étude de Météo-France et du BRGM rendu public il y a deux ans et demi : le rapport Guya Climat. D’ici 2100, les après-midis pourraient devenir plus chaudes, une saison sèche plus longue, et des pluies plus violentes mais moins régulières. Le sujet a été abordé cette semaine à la CTG lors des Journées de l’adaptation au changement climatique en Guyane. Pour comprendre les trajectoires possibles, anticiper les risques, et préparer l’avenir dans un climat qui ne sera plus jamais tout à fait le même. Pour en parler, Marine Bresteaux est notre invitée ce matin. Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

Les Outre-mer sont-ils les grands absents du monde académique français ? Entre le manque d’enquêtes, de données fiables et de programmes de recherche, les territoires ultramarins peinent à trouver leur place dans les grandes institutions de recherche. Bien sûr, des travaux sérieux existent. Mais ils sont souvent dispersés, peu coordonnés, et portés par des chercheurs isolés. Car dans les cursus des grandes écoles et des universités, l’Outre-mer est trop souvent une parenthèse, rarement un point de départ. Un rapport de la Cour des comptes l’an dernier l’écrivait noir sur blanc : la recherche dans les Outre-mer souffre d’un manque de structuration et de stratégie globale. Or sans données fiables, sans études rigoureuses, les politiques publiques sont souvent mal adaptées, incomplètes ou déconnectées du terrain. Une meilleure recherche, c’est donc des décisions plus efficaces. Et puis c’est aussi une manière de sortir du regard hexagonal : valoriser les savoirs locaux, les langues, les pratiques sociales. C’est tout l’enjeu de la Chaire “Outre-mer et changements globaux” de Sciences Po à Paris. Après avoir été mise entre parenthèses, la chaire a été relancée la semaine dernière. Alors pour quoi faire ? Avec quels projets et quels objectifs ? Pour en parler, nous sommes ce matin avec sa nouvelle directrice, Camille Mazé-Lambrechts.  Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

C’est un nom dont on parle et qu’on aperçoit en ligne depuis bientôt 15 ans maintenant : la plateforme Bon Ti Koté, créée en 2011. Au fil des ans, le projet s’est développé mais l’ambition est restée la même à savoir : rendre accessible le tourisme local. Où sortir, où manger, où se loger, faire découvrir les richesses de la Guyane, en zoomant sur certains sites, naturels ou culturels. Aujourd’hui, après 14 ans d’existence, Bon Ti Koté compte 15.000 followers sur instagram et continue d’évoluer en devenant un véritable marketplace. Alors dans quel but et pour quoi faire ? Pour en parler, son fondateur est avec nous ce matin. Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

On regarde vers l’avenir ce matin en nous demandant : comment la Guyane produira l’énergie nécessaire à son développement dans les années qui viennent ? C’est finalement la question principale que pose la PPE : la programmation pluriannuelle de l’énergie. Sujet lourd et complexe mais que nous pourrions résumer en disant que la PPE, c’est finalement la feuille de route énergétique de la Guyane : comment est-ce qu’on produit, via quelles sources d’énergies et comment est-ce qu’on consomme ? Objectif : atteindre dans les années qui viennent 100 % d’électricité issue des ENR, énergies renouvelables. Pour en parler, Arnaud Flament est notre invité ce matin.  Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

Smartphone, sites web, objets connectés : à chaque fois que nous nous connectons en ligne, envoyons des mails, achetons un billet d’avion, ou même téléchargeons une application sur notre téléphone, nous laissons des informations sur nous. C’est ce qu’on appelle les données personnelles. Qui sont collectées en permanence : nom, adresse, numéro de téléphone, photo, parcours scolaire, habitudes d’achat ou encore données de santé. Nous laissons chaque jour des morceaux de nous un peu partout, souvent sans s’en rendre compte. Et ces données sont devenues des ressources précieuses. Pour les entreprises, elles permettent de mieux cibler leurs clients. Et pour les institutions, elles facilitent la gestion des services. Mais pour nous, citoyens, elle soulève une question essentielle : qui protège vraiment ces informations ? C’est là qu’interviennent les Délégués à la Protection des Données, les DPO. Leur mission ? S’assurer que nos données sont traitées dans le respect de la loi, en toute sécurité, et avec transparence. Pour en parler, Meg-Ann Ransay est notre invitée ce matin. Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.