- Speaker #0
Bienvenue chez Reset Your Mind, ça y est c'est l'été et je crois que cette année n'a jamais été aussi éprouvant. Ralentir devient l'aprio pour beaucoup d'entre nous. Sur un transat ou derrière son écran, je crois que c'est le mot que j'ai le plus entendu ces dernières semaines. Envie de ralentir, de reprendre son souffle, de sentir ce moment où le matin le soleil chauffe un peu plus beau sur la peau et où l'on se dit,
- Speaker #1
allez,
- Speaker #0
cette année je me... Cependant, force est de constater que même lorsque l'on ralentit, certaines pensées, elles, ne prennent pas de vacances. Les « je devrais en faire plus » , les « est-ce que je suis vraiment à ma place ? » ou encore les « pourquoi je suis encore fatiguée même lorsque je suis censée me reposer ? » Et tu sais quoi ? Tu ressens ça. Ce n'est pas parce que tu es faible,
- Speaker #1
non.
- Speaker #0
Ce n'est pas parce que tu n'es pas faite non plus pour ce rôle,
- Speaker #1
non plus.
- Speaker #0
C'est parce que tu es déjà un ou une warrior. Oui, tu l'es déjà. Tu l'as juste oublié, étouffé sous le quotidien, les responsabilités et les injonctions contradictoires de notre société. Parce que oui, tu sais porter des équipes. Oui, tu sais avancer, même lorsque c'est flot. Et oui, tu sais tenir quand tout le monde se repose sur toi. Mais être une warrior, cela ne veut pas dire tout porter,
- Speaker #1
tout le temps,
- Speaker #0
sans jamais craquer. Cela veut dire savoir s'arrêter aussi. Savoir s'écouter, se recharger. Et choisir consciemment. de reprendre le pouvoir. Cet été, je te propose d'écouter ou de réécouter les épisodes qui ont été le plus challengeant cette année, ceux pour lesquels j'ai eu le plus de retours,
- Speaker #1
de messages,
- Speaker #0
comme « Merci, j'avais vraiment besoin d'entendre cela » ou encore
- Speaker #1
« C'est fou,
- Speaker #0
je n'avais jamais vu les choses sous cet angle, je me sens libérée » . Je te propose des rappels de qui tu es, de ce que tu mérites, du leader ou de la leader que tu es déjà, même lorsque tu doutes. Des épisodes à écouter ou réécouter allongés sur un transat, en marchant au bord d'un lac ou simplement le matin, lorsque tu savoures ton café. Parce que ralentir, ce n'est pas renoncer. C'est choisir de se reconnecter à ce qui compte vraiment pour toi. Alors let's go, c'est parti ! Et surtout, reste bien jusqu'à la fin puisque j'ai une annonce à te partager en toute fin d'épisode. Connais-tu ce scénario ? Tu restes tard le soir au bureau, tu reprends ton ordi, après le dîner, tu acceptes ce dossier de plus, de cool de plus, juste pour finir, juste pour montrer que tu es fiable, dans l'espoir d'un merci peut-être, d'une validation, d'un signe, que tu es sur la bonne voie, un bonus, une promo, un regard approbateur peut-être. Parfois même juste pour te rassurer,
- Speaker #1
toi,
- Speaker #0
de sentir à la hauteur, à ta place, incontournable et l'éluctime. Alors parfois tu l'obtiens, mais souvent tu sacrifices tes soirées, tes week-ends,
- Speaker #1
tes moments de vie.
- Speaker #0
Tu repousses des dîners entre amis, des soirées en famille, tu troques ta liberté contre un like professionnel. Et tu ne t'arrêtes pas là, parce que la prochaine étape te promet toujours plus. Alors tu continues. Quand j'aurai fini ce dossier, gagné ce client, monté cette équipe, alors je soufflerai. Alors je pourrai être fière de moi. Le problème dans tout ça, de cette course sans fin, c'est que cette hypothétique reconnaissance, qui peut arriver un jour ou non, te menotte à ton quotidien, à ton encore une tâche à finir. T'empêche de prendre de la hauteur, de voir ce qu'il se passe ailleurs, autrement. De mourir aussi différemment. Cette reconnaissance professionnelle, si attendue, si recherchée, elle te menotte, tu l'auras compris, et surtout elle te met des œillères aussi. Alors dans cet épisode, je t'invite à questionner cette quête, car derrière ce besoin de reconnaissance professionnelle qui est on ne peut plus légitime, se cachent des peurs, des conditionnements et des croyances héritées, qui ne sont pas forcément les tiens. Et pendant que tu cherches cette validation, Bien évidemment que tu t'épuises. Bien évidemment que tu oublies pourquoi tu travailles autant. Que tu oublies que ton temps est limité. Tu oublies ce qui compte vraiment. Et parfois tu te poses vraiment la question du sens de tout ça. Alors est-ce que tu travailles pour être vu ou pour te réaliser ? Est-ce que tu poursuis un titre ou ta propre définition du succès ? Est-ce que tu as pris le temps de réfléchir à ce que réussir signifie pour toi ? Installe-toi ! Respire, cet épisode pourrait bien t'aider à sortir de ce cercle vicieux, ou tout au moins à faire ce pas de côté et à apporter un éclairage différent. Pour revenir à toi, à tes priorités et tes objectifs. ton alignement. Et si cet épisode résonne en toi, te permet d'avoir un déclic partagement en commentaire ce retour. J'adore lire vos réactions à chaud, quelle que soit la plateforme, je vais régulièrement regarder. Bonne écoute !
- Speaker #1
Récemment, je dînais avec des amis dont l'un des membres n'avait finalement pas pu se joindre à nous à la dernière minute, car il avait encore un dossier à terminer. Nous étions vendredi soir, Et il était 21h. Sur le coup, je n'ai rien dit, je n'ai même pas forcément percuté. Mais cela m'a très vite ramenée à celle que j'étais avant. Celle que j'étais il n'y a pas forcément si longtemps. Moi aussi, j'ai décliné plus d'un dîner pour finir un budget, une offre à rendre, ou tout simplement parce que je n'avais pas fini ce que je voulais finir avant le week-end. J'ai décliné plus d'une séance de sport avec l'un de mes enfants ou pour moi-même. En y réfléchissant à posteriori, cela a généré en moi un sacré sentiment de malaise. Car avec le recul, je me suis demandé si toutes ces annulations de la minute que je m'étais imposée et imposée à mon entourage, valait vraiment la privation de ces soirées entre amis, de ces moments de vie partagés. Alors pourquoi sommes-nous si attachés à cette reconnaissance hypothétique extérieure qui nous menotte à notre bureau le soir et le week-end ? Si la reconnaissance est souvent présentée comme l'aboutissement d'une carrière réussie, beaucoup ne la reçoivent jamais, ou pire, la reçoivent au prix de sacrifices personnels démesurés. Cette quête de la reconnaissance des autres, de l'externe, ne serait-elle pas un mythe ? Un leurre qui nous pousse à en faire toujours plus, sans jamais en récolter vraiment les fruits. C'est pour ça que j'ai intitulé cet épisode le bullshit de la reconnaissance. Cette carotte qui nous menotte. Commençons par reprendre les bases. Qu'est-ce que la reconnaissance professionnelle pour vous ? Une récompense ? Un merci de votre boss ? Une validation ? Une promotion peut-être ? Ou un bonus ? Une prime ? Vous êtes-vous jamais arrêté sur cette question ? Qu'est-ce que la reconnaissance professionnelle pour vous ? Qu'est-ce que réussir sa carrière ? Qu'est-ce que réussir sa vie pour vous ? Aujourd'hui, la plupart des entreprises fonctionnent sur cette base, tout comme notre société. Si tu travailles dur et fort, alors tu seras récompensé. Seulement, nous le savons bien, ce ne sont pas forcément les plus méritants ou méritantes qui obtiennent ces récompenses, quelles qu'elles soient. Et pourquoi d'ailleurs avoir besoin d'une récompense extérieure ? Ne sommes-nous pas, tout simplement, parfaitement parfaits ? parfaitement valable, tel que nous sommes. Si les managers savent très bien utiliser ce levier, parce que ce mode de fonctionnement peut pousser à se dépasser, à relever des challenges inédits, à fédérer aussi les équipes, et ce qui a dans de nombreuses situations un intérêt réel, créer quelque chose qui n'a pas encore été réalisé, par exemple réussir là où tout semblait impossible. Est-ce que pour autant, ce driver est celui qui motive le mieux ? Cette récompense est-elle celle qui motive le mieux ? À quel moment ce driver devient-il néfaste, voire contre-productif ? Dans cette approche exacerbée, poussée à l'extrême, comme nous pouvons parfois la connaître et nous laisser prendre au piège, la reconnaissance professionnelle devient alors un bullshit. Cela devient une quête sans fin. Et pour beaucoup, chaque étape franchie conduit à de nouvelles attentes, sans récompense tangible, générant ainsi une course perpétuelle à ce fameux « toujours plus » . Une fois que j'aurai traité ce dossier, remporté cet appel d'offres, monté cette équipe, remis d'aplomb mon organisation, atteint tel résultat quel qu'il soit, alors ? je pourrais être fière de moi, alors j'aurai ce retour, alors j'aurai cette reconnaissance, cette récompense. Cette course au toujours plus est souvent alimentée aussi par une recherche de validation personnelle. C'est là que l'on peut très vite tomber dans le piège de l'ego. Pourquoi cherche-t-on cette reconnaissance extérieure, si ce n'est pour satisfaire un peu notre ego ? Si nous sommes en phase passionnés par ce que nous faisons, alors l'aboutissement, nos réalisations ou le chemin parcouru suffisent à nous combler. Nous sommes fiers de ce que nous avons réalisé pour nous et par nous, ou même à travers nos équipes. Malheureusement, la plupart d'entre nous cherchons cette reconnaissance extérieure pour nous situer, pour nous évaluer dans notre hiérarchie sociétale. Si j'ai ce titre, alors c'est que je suis à cette place, au-dessus de ou en dessous d'un tel. Tout simplement, je sais où je me situe. dans l'échelle sociétale dans laquelle j'ai évolué. Et là, les mots importants, c'est dans laquelle j'ai évolué. Parce qu'elle est très différente de l'échelle sociétale d'une autre personne qui évolue dans un autre contexte. Et nous allons avoir ce travers de toujours, volontairement ou non, et même la plupart du temps, assez inconsciemment, chercher à nous évaluer, nous comparer les uns aux autres. pour savoir où est-ce que nous nous situons. Et en fonction de où est-ce que nous nous situons, alors nous allons nous accorder de la valeur. Je sais que cela dérange quand je le dis comme ça, mais réfléchissez-y 100 minutes. Si je vous propose un nouveau poste, avec un joli titre, un salaire multiplié par deux, versus votre poste actuel, dans lequel pourtant vous vous épanouissez et vous êtes à l'aise, quel va être votre choix ? Si vous me répondez « je le prends pour continuer d'apprendre, de m'enrichir, de voir jusqu'où je peux aller » , alors bon coup, foncez, vraiment. Mais n'êtes-vous pas tenté d'accepter ce poste pour tout un tas d'autres raisons externes, pour tous les avantages qu'il vous propose, pour pouvoir annoncer cette évolution, pour pouvoir voir dans le regard des autres la valeur que vous-même avez parfois du mal à vous accorder. Et là, la question qui est intéressante à se poser, c'est quels sont ses avantages pour vous, à vos yeux, à vous ? Enfin... La reconnaissance, on le sait, elle est subjective. Elle varie d'une personne à une autre en fonction de son histoire personnelle, de son éducation, de son milieu professionnel et son propre parcours. Et souvent, cette échelle, elle est loin d'être claire. Avez-vous déjà pris le temps, pareil, de définir ce qu'être successful signifie pour vous ? Vraiment, qu'est-ce qui rentre en ligne de compte ? S Être l'employé du mois, le plus gros contrat de l'année, la plus grosse équipe, et savoir un équilibre de vie qui vous permet de vous épanouir au travail, tout en ayant une vie en dehors ? Je sais, nous avons été formatés depuis notre plus jeune âge. Mais vraiment, qu'est-ce que signifierait pour vous de réussir votre vie ? Si je recite sur cette partie, c'est pour la bonne raison que cette reconnaissance, que vous essayez d'atteindre et qui n'est peut-être pas celle que vous désirez réellement, a un prix. Il y a un prix à payer. Nombreux sont ceux, ou celles, qui sacrifient leur temps, leur santé mentale et leur relation personnelle dans l'espoir d'être enfin reconnus. Malheureusement, la quête perpétuelle de cette reconnaissance que nous n'avons pas pris le temps de définir nous-mêmes mènent souvent au burn-out et à la désillusion. Cette quête sans fin qui vous en demande toujours plus, ce cercle vicieux qui ne vous permet pas de savourer ce que vous avez déjà parcouru, car vous êtes tourné vers ce qui vous manque et non pas à ce que vous avez déjà réalisé, eh bien vous amène à travailler plus, toujours et encore. Les heures s'allongent, la charge s'allonge, sans jamais prendre le temps de respirer ou de savourer. Au mieux, vous célébrerez la fin d'un sujet à travers un petit dîner, une petite soirée entre amis, ou un good job. J'ai bien bossé. Et ça s'arrêtera là. Le burn-out est souvent la conséquence de cette surcharge de travail que l'on s'impose,
- Speaker #0
et surtout...
- Speaker #1
sans retour équitable, je dirais, sans retour équilibré par rapport aux efforts qu'il vous a fallu fournir pour l'atteindre. Car même lorsqu'elle intervient à cette reconnaissance, elle vous a demandé tellement de sacrifices pour y accéder que bien souvent un goût amer vous reste en bouche. Alors bien évidemment, tout le monde ne part pas en burnout, tout le monde ne finit pas par s'épuiser à ce point. Mais il est intéressant d'observer à quel point parfois on est écartelé, mais vraiment très fortement, très violemment, entre ce que l'on s'impose dans cette quête perpétuelle de la reconnaissance professionnelle versus ce que l'on aimerait réellement être soi-même. Et tout ça vient souvent de ces questions que l'on ne se pose pas, de qu'est-ce que c'est qu'être successful, d'avoir une vie réussie. Et c'est pour ça que je vous invite vraiment à vous poser la question et à Et laguez dans toutes les réponses qui vont venir, celles qui viennent vraiment de vous, et celles qui viennent de votre éducation, du contexte dans lequel vous évoluez, du milieu dans lequel vous évoluez. Alors maintenant vous me connaissez, vous savez aussi que je suis ambitieuse, que je travaille beaucoup, et que j'ai à cœur de m'épanouir aussi au travers de ma carrière professionnelle. Mais je sais aujourd'hui pourquoi je le fais. Et surtout, je sais jusqu'où je suis prête à aller. J'ai défini ma propre échelle de valeur. Et surtout, j'ai revu entièrement ma définition de la réussite. Ce qui a forcément eu un impact sur mon besoin de reconnaissance. Car ne nous nous l'aurons pas, nous sommes des êtres humains et nous avons tous besoin de cette reconnaissance. C'est normal, nous avons besoin... de la reconnaissance du groupe, des autres. C'est tout à fait humain. L'objectif de mon message aujourd'hui n'est pas de vous dire « Non mais tout ça c'est du bullshit total, mettez-toi à la poubelle. » Restons réalistes. C'est l'extrême qui est du bullshit. C'est de perdre de vue qui vous êtes vraiment et vos aspirations propres pour uniquement... Allez chercher cette reconnaissance qui est du bootchip. Et mon but dans cet épisode est de vous encourager à revoir, à redéfinir votre propre définition, parce que je vois bien trop souvent au travers de mes coachings, des personnes, hommes ou femmes, qui ont perdu de vue cette définition-là, et qui au bout d'un moment ne savent même plus ce qui les fait vibrer, et pourquoi est-ce qu'ils en sont arrivés là. Alors, comment on s'y prend ? Tout d'abord, je dirais, et si on inversait la perspective ? Et si déjà nous étions fiers du travail accompli pour ce qu'il est pour nous-mêmes, indépendamment de toute approbation extérieure ou hiérarchique ? En effet, après tout, qui sait mieux que vous les efforts nécessaires pour atteindre ce résultat ? Et si cette reconnaissance venait déjà de vous en tout cas ? tout premier lieu. Il y a ensuite à s'entraîner un peu, à savourer le chemin parcouru. Vous vous autorisez à travailler votre connaissance personnelle de vous-même, par vous-même. Car oui, on n'a pas été éduqué comme ça, on n'a pas été conditionné comme ça, la société dans laquelle nous évoluons ne nous a pas appris. Ceci. Et pourtant c'est primordial. Entraînez-vous à savourer le chemin et pas uniquement l'attente du résultat. Vous autorisez à travailler votre connaissance personnelle de vous-même, par vous-même. Vous savez, ce fameux adage « on n'est jamais mieux servi que par soi-même » . Eh bien je crois que si, il s'applique parfaitement. Trouvez des ressources de satisfaction dans votre propre parcours, au-delà du regard des autres. Il n'y a que vous qui savez d'où vous venez et par quoi vous avez dû passer. Votre histoire personnelle, les difficultés que vous avez dû traverser, surmonter, personnelles, professionnelles, à l'école. Puis, il y a une approche, souvent sous-estimée, de la reconnaissance. que je qualifierais horizontale. La reconnaissance est-elle seule l'apanage d'un boss, d'une boss, de vos parents, de personnes que vous estimez supérieures à vous, d'une quelconque manière un entraîneur de sport, ou même un coach ? Cette reconnaissance ne pourrait-elle pas aussi venir de vos pères, de vos égaux, de vos collègues, plutôt que des supérieurs hiérarchiques, quelle que soit la hiérarchie que l'on pose derrière ? Une forme de solidarité,
- Speaker #0
de soutien mutuel en fait.
- Speaker #1
Si vous avez des équipes jeunes, à savoir on va dire moins de 30 ans, vous savez que tout ceci est en train de changer drastiquement. Et si... Ces nouvelles générations avaient raison, mais vraiment, fondamentalement raison. Alors voilà, j'espère que cet épisode va vous ouvrir quelques portes, quelques fenêtres dans votre esprit pour arrêter ce cercle vicieux de la quête de la reconnaissance pour la reconnaissance. Elle est illusoire. Et surtout, pourquoi j'ai décidé d'y consacrer un épisode, c'est qu'elle vous enferme. Elle vous bloque dans un écosystème connu de vous qui pourtant ne vous satisfait pas. Elle vous empêche d'oser faire des choses différemment, d'oser explorer de nouvelles pistes, de nouvelles voies. et surtout de vous réaliser par vous-même. Prenez le temps de définir sur une feuille de papier réellement ce que réussir veut dire pour vous, en prenant en considération d'où vous venez et tout ce qu'il a fallu traverser jusqu'ici. Je vous invite à tracer un grand cercle au milieu d'une feuille qui sera vous et d'y inscrire tout ce qui est important pour vous. Prendre le temps de noter ce qui est important pour vous à titre personnel juste pour vous, professionnel ou aussi dans votre entourage familial, si vous êtes parent, si vous êtes la fille ou le fils de, et tout autour de tracer des cercles complémentaires. qui vont avoir pour thématique le job, la famille, la santé, le sport, ce que vous aimez réellement faire, même si c'est rêvassé, a tout à fait sa place ici, et toutes les activités que vous aimez faire. Et précisez dans chacun de ces cercles à quoi cela correspondrait pour vous, et pourquoi pas, quelques exemples concrets. Je vais finir sur une citation aujourd'hui qui a fait écho en moi. La véritable reconnaissance ne vient pas de ceux qui vous regardent, mais de la manière dont vous vous voyez vous après avoir accompli quelque chose.
- Speaker #0
Avant de refermer cet épisode, j'ai une annonce pour toi. Si tu écoutes Research Your Mind, ce n'est pas juste pour ajouter du bruit dans ta tête. C'est parce que tu sais qu'il existe un autre chemin. Un chemin où tu ne portes pas tout, tout le temps, toute seule. Un chemin où tu n'as plus besoin de prouver. continuellement, ni de te suradapter pour être reconnu. Un chemin où tu arrêtes de vivre en apnée dans ta propre vie. Peut-être que tu en as assez de courir après le temps, de n'avoir jamais assez de temps, de donner le change en permanence, d'être stressé à ne plus endormir la nuit, d'avoir cette petite voix qui te dit que tu n'en fais jamais assez et que tu n'es jamais assez à l'outil. Et au fond, tu rêves de quoi ? De lucidité dans tes décisions ? De poser des limites sans culpabiliser ? de retrouver ton énergie, ton alignement,
- Speaker #1
ton impact,
- Speaker #0
de te sentir à nouveau vivant, vivante, dans ta vie et dans ton business. Et bien c'est exactement ce que l'on fait dans le programme Signature by Research Army. Ce n'est pas une formation de plus, c'est un espace pour te retrouver, te réaligner et transformer ta posture de leader sans sacrifier ta santé, ni ton équilibre, ni tes valeurs. Du coaching de groupe et du coaching en individuel,
- Speaker #1
tout tenu par un groupe.
- Speaker #0
et du contenu vidéo exclusif et intense pour vivre une véritable transformation. Le prochain groupe démarra le 4 octobre et les candidatures sont ouvertes. Si tu sens que c'est le bon moment pour toi, que c'est maintenant que tu veux changer pour préparer cette fin d'année et démarrer l'année 2026 autrement, plus alignée, plus en puissance, le lien est dans les commentaires. Je t'invite à jeter un oeil, sans pression. Et si cela t'appelle, discutons-en. Tu peux prendre rendez-vous pour que je puisse répondre à toi. toutes tes questions. Parce que oui, tu n'as pas été faite pour survivre au quotidien. Tu n'as pas été faite non plus pour la vivre en surface. Tu as été faite ou faite pour la vivre pleinement à ta manière. Les places sont limitées, tu t'en doutes, car choisis volontairement de travailler en petit comité. Mon objectif est que tu avances vraiment. Alors n'hésite pas, contacte-moi et discutons-en pour s'assurer que ça correspond à tes besoins. Merci de mille fois d'avoir écouté cet épisode, j'espère qu'il vous a plu. Si vous avez cinq minutes, prenez-les pour noter ou commenter cet épisode. Grâce à vos avis, le Saturn Man commence à être connu. Et j'avoue que j'ai très envie de voir jusqu'où nous pouvons aller ensemble. À très vite !
