Speaker #0Bienvenue chez Reset Your Mind, ça y est c'est l'été et je crois que cette année n'a jamais été aussi éprouvante. Ralentir devient la prio pour beaucoup d'entre nous. Sur un transat ou derrière son écran, je crois que c'est le mot que j'ai le plus entendu ces dernières semaines. Envie de ralentir, de reprendre son souffle, de sentir ce moment où le matin le soleil chauffe un peu plus tôt sur la peau et où l'on se dit, allez, cette année je me pose... Cependant, force est de constater que même lorsque l'on ralentit, certaines pensées, elles, ne prennent pas de vacances. Les « je devrais en faire plus » , les « est-ce que je suis vraiment à ma place ? » ou encore les « pourquoi je suis encore fatiguée même lorsque je suis censée me reposer ? » Et tu sais quoi ? Si tu ressens ça, ce n'est pas parce que tu es faible, non. Ce n'est pas parce que tu n'es pas faite non plus pour ce rôle, non plus. C'est parce que tu es déjà un ou une warrior. Oui, tu l'es déjà. Tu l'as juste oublié, étouffé sous le quotidien, les responsabilités et les injonctions contradictoires de notre société. Parce que oui, tu sais porter des équipes. Oui, tu sais avancer, même lorsque c'est flou. Et oui, tu sais tenir quand tout le monde se repose sur toi. Mais être une warrior, cela ne veut pas dire tout porter, tout le temps, sans jamais craquer. Cela veut dire savoir s'arrêter aussi. Savoir s'écouter, se recharger. Et choisir consciemment. de reprendre le pouvoir. Cet été, je te propose d'écouter ou de réécouter les épisodes qui ont été le plus challengeant cette année, ceux pour lesquels j'ai eu le plus de retours, de messages, comme « Merci, j'avais vraiment besoin d'entendre cela » ou encore « C'est fou, je n'avais jamais vu les choses sous cet angle, je me sens libérée » . Je te propose des rappels de qui tu es, de ce que tu mérites, du leader ou de la leader que tu es déjà, même lorsque tu doutes. Des épisodes à écouter ou réécouter allongé sur un transat, en marchant au bord d'un lac ou simplement le matin, lorsque tu savoures ton café. Parce que ralentir, ce n'est pas renoncer. C'est choisir de se reconnecter à ce qui compte vraiment pour toi. Alors let's go, c'est parti ! Et surtout, reste bien jusqu'à la fin puisque j'ai une annonce à te partager en toute fin d'épisode. Ça y est, l'été touche déjà sa fin. Oui, je sais, déjà, c'est un peu dur. Soit tu fais partie de la team « j'en ai profité » , « je suis zen » , soit de la team « oh, j'ai rien pu passer, on pourrait pas recommencer » , ou peut-être même de celle qui n'est pas encore partie, et qui se réjouit secrètement de fuir ce mois de septembre et le retour de tout le monde. En tout cas, si tu es comme moi, la rentrée signifie depuis bien trop longtemps ce moment d'équilibre, ce moment suspendu au-dessus du vide, au-dessus du temps, que parfois on observe comme si le temps justement s'était arrêté et que tu étais spectateur ou spectatrice de ta propre vie. Tu sais, juste avant de sauter dans la piscine, de nouveau dans ce rush, de nouveau dans l'urgence, dans la course, de tout checker, de tout aligner, pour une course poursuite jusqu'à la fin de l'année et aux vacances de Noël. Je sais ! Je ne suis pas la seule, et pour beaucoup d'entre nous, la rentrée c'est ce moment où tout se rejoue, un scénario bien huilé qu'on essaye d'optimiser tous les ans pour en mettre encore plus. Le retour des agendas saturés, les réunions qui s'enchaînent avant même d'avoir pris le premier café du matin, les notifications qui recommencent à bombarder ton téléphone dès 6h du mat', les emails « t'as pas 5 minutes » qui n'en font jamais moins de 25, et les TO DO qui s'allongent bien plus vite que l'on coche les cases. Et dans ta tête, souvent, ces petites phrases en boucle. Comment je vais faire pour tenir jusqu'à la fin de l'année ? Je n'ai même pas eu le temps de décompresser. Je n'ai pas vu l'été passer. Je vais tenir combien de temps avant d'être à nouveau épuisée, lessivée. Je n'ai pas envie de repartir dans ce rythme. Mais je n'ai pas le choix. Il faut que je tienne. Je suis sûre que ces phrases résonnent en toi. Avec cette désagréable impression d'avoir grillé ton capital vacances en trois jours de retour au bureau. Ce sentiment de culpabilité qui murmure aussi "T'as eu des vacances, alors maintenant tu dois carburer. Allez, hop hop hop". Il y a cette peur sourde aussi souvent qui s'invite. Parce que si tu lèves le pied, potentiellement tout pourrait s'effondrer. Et pourtant, est-ce vraiment cela réussir sa rentrée ? Est-ce vraiment cela performer ? Est-ce vraiment pour ça que tu t lèves chaque matin ? Alors je te jette pas la pierre. Moi aussi, je suis passée par là et j'y travaille encore à chaque occasion de rentrée. Je suis passée par là à croire que le stress de la rentrée est normal. La normalité de tout un chacun. Je suis passée par là aussi à reprendre ce rythme en apnée en attendant le prochain week-end pour respirer, les prochaines vacances pour vivre vraiment. Et j'ai fini par décider de m'alléger cette période, de la repenser entièrement. Et cette année encore, je vais tester une nouvelle chose. Car non, ce mode de fonctionnement n'est pas une fatalité. Ce n'est pas la seule manière de faire. On n'a pas besoin d'attendre un burn-out, une crise ou un changement difficile pour reprendre le contrôle. Cette rentrée, elle peut aussi être la parfaite occasion de choisir d'expérimenter une autre manière de travailler, une autre manière d'avancer, de respirer. Elle peut être ton laboratoire de réinvention et pas une énième ligne droite jusqu'à l'épuisement. Elle peut devenir le moment où tu réalignes ton temps, ton énergie, tes priorités. Sans sacrifier ni ta performance, ni ta joie de vivre, ton plaisir de vivre. Alors dans cet épisode, changeons notre manière d'aborder la rentrée. Sortons du mode survie, reprenons le lead. Chacun, chacune à notre façon, sur ce tyran d'agenda, sur ce tyran intérieur, pour construire un rythme qui nous permet d'avancer sans nous oublier. Parce que la performance, elle ne vaut rien si on est épuisé à la fin de la semaine. Parce que l'on n'a pas besoin de prouver toujours et encore que l'on est une warrior. Spoiler, nous le sommes déjà. Alors installe-toi confortablement et c'est parti. Et si cet épisode te plaît ou t'apporte une réflexion, un questionnement, n'hésite pas à me le partager sur ta plateforme d'écoute. J'adore lire vos réactions à chaud. Alors entrons dans le vif du sujet sans plus attendre. Après une période estivale où le rythme s'est ralenti, ce fameux break de l'été, communément partagé à travers tout l'Occident, pour la plupart d'entre vous, en tout cas, il y a quand même eu, même si vous n'êtes pas partis en congé, il y a eu moins de monde au bureau, moins de deadline, moins de monde sur la route ou en ville. Et le mois d'août, il est vrai qu'il a toujours ce petit rythme bien à lui, de booster, de ralenti, de temps disponible. Pour celles et ceux qui sont partis en vacances, si les soucis, tracas, factures et autres joyeusetés sont restés derrière la porte, ils ne nous en attendent pas moins avec impatience, celle-ci à peine poussée à notre retour. Alors oui, les vacances sont finies. Le rythme se réaccélère sans toujours nous laisser un temps d'adaptation. Sans oublier qu'il arrive souvent qu'un petit sentiment de culpabilité s'invite à la table. Car pendant que l'on a profité de ce temps, off, de ce repos, les choses n'ont pas avancé et qu'il va falloir réaccélérer et compenser. Alors on repart, tête baissée, dans l'urgence. L'urgence du moment, l'urgence des deadlines à respecter, des rentrées scolaires à préparer pour ceux qui ont des enfants. Et on retombe très vite dans nos vieilles habitudes qui ont si bien servi jusqu'à présent. Après tout, elles nous ont fait tenir, elles nous ont amenés là où nous en sommes. Alors pourquoi ne pas y retourner. Et c'est ainsi que l'on repart en apnée jusqu'au prochain week-end ou jusqu'aux prochaines vacances. Seulement, ça signifie aussi de repartir vers une charge mentale toujours plus grande, subie, et un profond sentiment d'épuisement quelques jours à peine après être rentré. Vous savez, j'ai moi-même failli retomber dans ce mécanisme, tout simplement par habitude réflexe ancrée depuis des années. Et encore une fois, la quasi-totalité des coachings que j'ai pu réaliser la semaine dernière portaient sur cette thématique, sur ces fameuses phrases de « je suis épuisée, alors que je rentre de vacances, j'attends les prochaines vacances avec impatience » , voire « je ne sais pas, je viens de rentrer mais je ne sais pas comment je vais faire pour tenir jusqu'aux prochaines vacances » , et voire même "Je ne veux plus travailler comme ça, je n'en peux plus, je viens de rentrer, mais je ne veux plus". Est-ce que cette phrase vous parle ? Et pourtant, vous aussi certainement, vous aviez dit, tout comme mes clients et mes clientes, plus jamais. Tout simplement parce que vous avez, vous aussi, fini les derniers jours de fin juin ou fin juillet sur les rotules. Vous aussi, cet été vous a apporté son lot de prise de conscience, de bonne résolution, qui se sont malheureusement évaporés aussi vite que le sable entre vos orteils. Pendant longtemps, j'ai cru que c'était une fatalité. Année après année, je tenais quelques jours, quelques semaines, puis je retombais dans mes habitudes de courir perpétuellement après le temps, attendre le prochain week-end pour me reposer, les prochaines vacances, tout comme vous. Chacune de ces petites échéances m'apportant a dose minimum d'oxygène nécessaire pour tenir jusqu'à la prochaine, jusqu'à la suivante. Et ainsi Noël arrivait, puis j'enchaînais avec Pâques. On se retrouvait à l'été, de nouveau, une année de plus que je ne voyais pas passer, avec cette sensation désagréable, un peu amère, d'une année supplémentaire au compteur, sans en avoir réellement profité. C'est alors qu'on commence à se poser quelques questions, sur le bon sens de tout cela. Est-ce que le jeu en vaut vraiment la chandelle ? Pourquoi est-ce que l'on s'impose ce rythme ? Pourquoi est-ce que l'on impose ce rythme à nos proches, à nos enfants ? Parfois on est si débordé, en mode pilote automatique depuis si longtemps, que l'on ne sait même plus comment fonctionner autrement. On ne s'en rend même plus compte de la non-normalité de cette situation. Que cette situation nous use, nous épuise. nous fait perdre en lucidité, en efficacité, et dégrade l'impact que nous souhaitons avoir. Et parfois, c'est l'année de trop, ou juste la semaine de trop, celle qui fait déborder le vase, celle qui fait basculer dans le burn-out. Et là, on sait que l'on ne touche plus du tout les mêmes choses, que la pause, enfin l'arrêt souvent, de ce rythme va s'imposer. Alors, avant d'en arriver là, avant de rentrer dans le dur, si je puis dire, j'avais très envie de vous partager mes tips, les conseils que je conseille à mes clients, mes clientes, et que je m'applique à moi-même. Et encore une fois, que je travaille au quotidien tout comme vous, parce que ces mauvais réflexes, ces mauvaises habitudes ont la vie dure. Et très vite, je peux me faire happer de nouveau par ces fonctionnements réflexes que mon cerveau adore parce que tout simplement ça lui consomme moins d'énergie et qu'il a toujours fonctionné comme ça. Donc ces autoroutes neuronales lui conviennent très bien, quand bien même elles nous sont néfastes. Je vais m'attarder un petit peu sur cette partie-là. Qu'est-ce qu'il y a derrière ce mécanisme ? Si je vous dis, comment fais-tu pour gérer tout cela de front ? Si je vous dis « je te confie ce dossier car avec toi, je sais qu'il sera bien géré » ou encore « nous allons mettre en place une nouvelle organisation au sein de la société et j'aimerais que tu m'aides à la définir et surtout, quelle évolution tu envisages ? » Heureusement que tu es là, ma fille ou mon fils, je sais que je peux compter sur toi. J'ai de la chance d'avoir un enfant comme toi. Flatteur, n'est-ce pas ? Et c'est à ce moment que l'on vient jouer sur les cordes sensibles, renforcer en vous le sentiment d'être à part, d'être au dessus des autres, de faire ce truc en plus, ce fameux extra-mile qui vous rend spécial, qui vous rend indispensable, et qui nous donne de la valeur. Cette fameuse valeur que l'on s'accorde à nous-mêmes au travers le regard des autres. Et si vous avez écouté l'épisode numéro 2, bon élève, merci mais non merci, vous savez à quel point nous sommes formatés depuis notre plus jeune âge, et à quel point nous apprécions cette approche. Alors oui. Ces petites phrases viennent renforcer le fonctionnement nominal de notre cerveau qui justement préfère déjà fonctionner sur des chemins connus. Ces petites phrases nous encouragent à tenir, à continuer, même si c'est au détriment de notre santé, de notre équilibre ou de nos envies profondes. Alors j'ai envie de vous demander si cette année, cette rentrée, ne serait-elle pas l'occasion de faire un reset et de sortir de cette vie en apnée Merci. pour être aussi performante dans sa vie perso qu'au travail, sans pour autant perdre son capital vacances en quelques jours et arrêter de vivre de week-end en week-end, de vacances en vacances. Rentrons dans les conseils. Le premier que je vais vous partager est plutôt une question. Comment avez-vous envie de vivre cette rentrée ? Vous êtes-vous seulement posé la question ? Comment avez-vous envie de vivre cette ronde ? Prenez quelques minutes, faites pause s'il le faut sur le podcast, et posez vos intentions, vos priorités pour le mois à venir. Écrivez-les quelque part, vous pourrez les voir régulièrement. Sur un post-it que vous collerez au-dessus de votre bureau, votre carnet si vous êtes comme moi fan de flots de pensée, ou alors tout simplement sur le fond de votre écran. Quelles sont vos priorités ? Comment avez-vous envie de vivre cette rentrée et de finir le mois de septembre ? Deuxième point serait de vous accorder une reprise progressive. On a tous tendance à vouloir avoir un mode robot, un mode un peu automatique, de on-off. Tellement nous ne sommes pas un électroménager lambda ou un ordinateur qu'on éteint et qu'on rallume et qui a les mêmes performances continuellement. Nous sommes des... humains. Et je vais faire un parallèle avec le sport. Si vous vous arrêtez deux semaines ou trois semaines en été, quand vous reprenez le sport, vous allez reprendre progressivement. Vous n'allez pas tout de suite courir un marathon le jour J. Voilà, vous vous appelez Kylian Jarnet. Mais vous allez reprendre progressivement pour vous réhabituer, pour vous remettre dans le bain. Et bien là, c'est pareil. C'est tout à fait la même chose. Ne repartez pas sur le même rythme que celui que vous aviez avant les vacances qui vous a épuisé. Mon troisième tip, ça serait aussi de lâcher prise, d'accepter l'incertitude des prochaines semaines et du prochain mois. Car on sait que ce mois de septembre est extrêmement intense et bouge dans tous les sens. Et qu'il va falloir s'adapter dans tous les sens. Pour ceux qui ont des enfants, il va falloir gérer les inscriptions aux différentes activités sportives, l'organisation logistique, trouver une babysitter ou pas, une nouvelle nounou ou pas. Pour ceux qui n'ont pas d'enfants, il va falloir quand même réorganiser tout ça, les équipes potentiellement que vous êtes en train de gérer. Le mois de septembre est dense, sans compter que vous avez toutes les joyeusetés du genre impôts qui vous tombent dessus, à gérer, accordez-vous de ne pas être dans l'over-control. Accordez-vous de laisser un peu de place au flot et à l'ajustement. Mon quatrième point serait, je reviens sur ce mode de vie en apnée. Ne vivez pas de week-end en week-end ou de vacances en prochaine échéance de vacances tout au long de la semaine. Autorisez-vous à vous accorder du temps pour vous. Autorisez-vous à,tous les jours, vous accorder quelques minutes. On a trois typologies de temps que l'on oublie un petit peu. Il y a le temps, ok, travail, qui est souvent incompressible à travers des horaires que vous pouvez peut-être alléger pour cette reprise ou pas. Il y a ce temps au travail, il y a ensuite ce temps familial, le fameux temps que vous êtes en train de négocier à longueur de temps, soit avec chéri, soit avec les enfants, soit avec les proches, les ascendants aussi, si vous vous occupez de vos parents ou de membres de votre famille. Et puis il y a le temps perso, le temps à vous. Je suis sûre que celui-là... Vous ne l'avez pas dans votre scope. Je suis sûre que celui-là, il passe toujours aux oubliettes. Et moi, en fait, pour avoir un équilibre, et pour avoir cette énergie, cette lucidité qui va me permettre d'être aussi performant au travail, d'avoir une vie alignée et non pas juste épuisante, ne pas juste être une machine de guerre, vous avez besoin de ces trois composantes. Prenez le temps de vous couper. de ces sur-sollicitations du travail et de ces négociations perpétuelles, permanentes avec votre environnement personnel, sur votre temps personnel. Accordez-vous ces moments de break régulièrement et pas juste le prochain week-end entre amis dans un mois et demi. Ça, ce n'est pas suffisant. Parce qu'au quotidien, tous les jours, vous êtes sur-sollicités au travail. Vous êtes dans la négociation à la maison, dans du temps négocié à longueur de temps. Même chose si vous êtes dans ce schéma-là tous les jours. Tous les jours, il est nécessaire, voire indispensable, de vous accorder ce temps pour vous. Mon dernier point, ça sera de repenser votre relation au temps et de reprendre les rênes de votre temps. Arrêtez de subir des agendas sur lesquels vous n'avez pas de prise. On vient vous insérer des réunions Merci. même de 10 ou 15 minutes entre deux moments où vous aviez prévu de faire une pause. Arrêtez de laisser votre temps à disposition des autres. Reprendre la main et repenser sa relation au temps, c'est ça aussi. Et c'est pour ça que je vous disais, je vous demandais de poser vos intentions en tout premier point. Poser vos intentions vous permettra de prioriser. Et en priorisant, cela vous permettra de décider où est-ce que vous avez envie d'investir. votre temps. Et à partir de là, ça sera beaucoup plus simple. pour vous, de l'aménager. Je sais que beaucoup d'entre nous sont dans le people pleasing très fréquemment, donc de dire oui aux autres alors qu'on aimerait juste dire non et s'accorder une soirée de repos par exemple, ou de dire non à un dossier parce qu'on est déjà surchargé. Eh bien ça passe par là. Tout ce travail de reprendre les règles sur votre temps vous permettra de reprendre la main et d'investir ce temps à votre service Merci. et non plus de le subir. Je pose chaque mois mes intentions, comment j'ai envie de vivre ce mois. Et j'y inclue des priorités personnelles. Ne mettez pas une liste à l'après-vers. 3. C'est bien. Ça vous aidera justement à prioriser. 2. Accordez-vous une reprise progressive. Accordez-vous éventuellement d'alléger votre emploi du temps, si vous sentez que vous fatiguez déjà, si vous sentez que ça tire déjà. Trois, travailler sur l'incertitude. Accepter l'incertitude de ces semaines justement très mouvementées et de ne pas tout faire parfaitement. De ne pas être à tous les événements qui peuvent se présenter. Et surtout, ne tombez pas dans l'over-control à peine rentré de vacances. Le quatrième, c'est accordez-vous des breaks et des moments off de temps perso tous les jours. Ne y êtes pas en apnée. vraiment, n'attendez pas le prochain week-end entre amis pour vous recharger vos batteries, ça ne marche pas et le cinquième, reprendre les rênes de votre temps pour arrêter de subir l'agenda donc d'arrêter d'avoir quelqu'un qui vient gérer votre temps à votre place, non, ce temps vous appartient, ce temps est à vous, à vous de décider où est-ce que vous avez envie de l'investir ou pas Si je devais conclure, je sais que ce mode de vie en apnée est un peu devenu la norme. Mais ce n'en est pas une. Ce n'est pas une normalité. Non seulement c'est contre-productif, vous perdez en lucidité, vous perdez en performance, c'est-à-dire exactement l'inverse de ce que vous allez chercher à obtenir. Mais en plus, vous vous perdez en route. Vous perdez ce qui vous fait vibrer, votre pourquoi, et ce qui vous motive au quotidien, ce qui vous rend vraiment heureuse, heureux, ce qui vous redonne de l'énergie, et ça c'est extrêmement important. de garder cette énergie et de vous lever le matin en sachant pourquoi. C'est ça aussi qui vous donne de l'énergie au quotidien. Alors voilà, c'est tout pour cette semaine. J'espère que ces quelques tips vous aideront à traverser cette période de rentrée beaucoup plus sereinement et à alléger votre charge mentale. Avant de refermer cet épisode, j'ai une annonce pour toi. Si tu écoutes Research Your Mind, ce n'est pas juste pour ajouter du bruit dans ta tête. C'est parce que tu sais qu'il existe un autre chemin. Un chemin où tu ne portes pas tout, tout le temps, toute seule. Un chemin où tu n'as plus besoin de prouver continuellement, ni de te suradapter pour être reconnu. Un chemin où tu arrêtes de vivre en apnée dans ta propre vie. Peut-être que tu en as assez de courir après le temps, de n'avoir jamais assez de temps, de donner le change en permanence. d'être stressé à ne plus endormir la nuit, d'avoir cette petite voix qui te dit que tu n'en fais jamais assez et que tu n'es jamais assez à l'outil. Et au fond, tu rêves de quoi ? De lucidité dans tes décisions ? De poser des limites sans culpabiliser ? De retrouver ton énergie, ton alignement, ton impact ? De te sentir à nouveau vivant, vivante, dans ta vie et dans ton business ? Eh bien, c'est exactement ce que l'on fait dans le programme Signature by Research Army. Ce n'est pas une formation de plus, c'est un espace pour... te retrouver, te réaligner et transformer ta posture de leader sans sacrifier ta santé, ni ton équilibre, ni tes valeurs. Du coaching de groupe et du coaching en individuel tout tenu par un groupe et du contenu vidéo exclusif et important pour vivre une véritable transformation. Le prochain groupe démarra le 4 octobre et les candidatures sont ouvertes. Si tu sens que c'est le bon moment pour toi, que c'est maintenant que tu veux changer, pour préparer cette fin d'année et démarrer l'année 2026 autrement, plus alignée, plus en puissance. Le lien est dans les commentaires. Je t'invite à jeter un oeil, sans pression. Et si cela t'appelle, discutons-en. Tu peux prendre rendez-vous pour que je puisse répondre à toutes tes questions. Parce que oui, tu n'as pas été faite pour survivre au quotidien. Tu n'as pas été faite non plus pour la vivre en surface. Tu as été faite ou faite pour la vivre pleinement. à ta manière. Les places sont limitées, tu t'en doutes, car choisis volontairement de travailler en petit comité. Mon objectif est que tu avances vraiment. Alors n'hésite pas, contacte-moi et discutons-en pour s'assurer que ça correspond à tes besoins. Merci mille fois d'avoir écouté cet épisode, j'espère qu'il vous a plu. Si vous avez 5 minutes, prenez-les pour noter ou commenter cet épisode. Grâce à vos avis, Rousset Your Mind commence à être connu. Et j'avoue que j'ai très envie de voir jusqu'où nous pouvons aller ensemble. A très vite !
