Speaker #0Bienvenue dans le podcast Soignant Entrepreneur. Je suis Solène, orthophoniste entrepreneur, et tous les vendredis à 8h, je te partage, seule ou en compagnie de mes invités, les clés essentielles de la réussite entrepreneuriale et de l'épanouissement en tant que soignant libéral. Si le podcast te plaît, n'oublie pas de le noter avec 5 étoiles et de le partager à un ami soignant entrepreneur qui en a besoin. Salut et bienvenue dans un nouvel épisode de Soignant Entrepreneur. L'entrepreneuriat, c'est un domaine qui... disons-le, est relativement méconnu. Tous les métiers autour du business en ligne, notamment, c'est quelque chose d'assez récent. Tout ce qui est start-up, c'est un peu moins récent, mais ça l'est tout autant. Bref, l'entrepreneuriat, même s'il y a des formes d'entrepreneuriat qui sont, si je peux dire, ancestrales. Un commerçant Un commerçant classique, tel qu'on l'entend, c'est un entrepreneur. Un soignant libéral, c'est un entrepreneur. Enfin voilà, il y a plusieurs formes d'entrepreneuriat. Il y en a qui sont plus ou moins classiques. Si t'es boucher, si t'es kiné, si t'es coiffeur, ce sont des choses un peu plus classiques et du coup un peu plus anciennes, on va dire, et du coup qui sont devenues plus maîtrisées, plus normalisées et que la plupart des gens comprennent comme... accessible, mais les nouveaux métiers, que ce soit du côté start-up ou que ce soit du côté entrepreneuriat en ligne, c'est des choses relativement récentes, et ce sont des domaines encore complètement différents, un petit peu peut-être obscurs, si je peux dire, et le fait est qu'ils ne sont effectivement pas faciles à maîtriser, ça demande de la motivation, ça demande plusieurs barres. compétences à apprendre, à maîtriser et surtout un état d'esprit à adopter. Je vous renvoie à l'épisode de la semaine dernière, notamment si vous voulez aller plus loin sur ce sujet-là. Et donc, comme toute chose méconnue, il y a des croyances, il y a des mythes autour de l'entrepreneuriat. Et cette semaine, j'avais envie de voir avec vous quatre mythes en particulier, des choses qu'on entend tout le temps sur l'entrepreneuriat et des croyances qui sont relativement ancré, que j'avais envie un petit peu de débunker, si je peux dire, avec vous cette semaine, pour vous permettre d'ouvrir peut-être une autre perspective sur l'entrepreneuriat et sur le monde qui potentiellement vous attend si aujourd'hui vous avez envie de vous lancer pour créer une vie qui vous ressemble davantage. En fait, l'entrepreneuriat, c'est créer son travail et la vie qui va avec vraiment sur mesure. C'est créer un travail 100% au service de sa vie et pas l'inverse. C'est imposer quelque part sa vision à une partie du marché, à une partie du monde et vivre selon ses propres règles. C'est un peu les aventuriers des temps modernes, les entrepreneurs. Donc voilà, j'avais envie de vous partager les croyances qu'il peut y avoir à ce sujet-là. pour les personnes qui auraient envie un petit peu de savoir à quoi s'attendre, qui ont envie de suivre cette voie-là, de créer une vie qui leur correspond vraiment. Le premier mythe, la première croyance, c'est que pour être entrepreneur, il faut avoir des bonnes idées. C'est faux. C'est faux, ce qui fait la réussite ou non d'une entreprise, c'est pas la qualité des idées, c'est la qualité de... l'entrepreneur. Quelqu'un qui a une idée exceptionnelle mais qui n'est pas capable de la mener à bout d'un point de vue entrepreneurial, ce ne sera pas un bon entrepreneur parce qu'il n'aura pas réussi à aller au bout de son projet. Alors que quelqu'un qui a des idées banales, qui n'a pas plus d'idées que ça d'ailleurs, mais qui a des capacités humaines, un mindset qui a une volonté forte de liberté, de concrétisation du projet, il peut s'en sortir. Trouver une idée, c'est une recette de cuisine. Alors, évidemment, il y a des choses à respecter, mais même si tu n'as aucune idée, si tu suis les étapes que tu arrives à déterminer dans quoi tu es doué, ce que tu aimes, la problématique grâce à tes compétences que tu peux résoudre, ce qu'elle fait. format tu vas pouvoir la résoudre et que derrière tu apprends à construire une offre irrésistible, tu peux être entrepreneur. Moi, quand je me suis lancée, quand j'ai investi d'ailleurs dans l'accompagnement, le premier que j'ai fait... pour entreprendre, je n'avais aucune idée de ce que je voulais faire. Vraiment, je n'avais aucune idée, je n'avais aucune... Enfin, je pensais n'avoir aucune compétence particulière. Le fait est qu'en fait, je me suis rendue compte que si. C'est tout un travail de réflexion et d'introspection pour savoir ce que tu es capable de maîtriser, ce que tu es capable de mettre en place. Mais en fait, trouver une idée, c'est un process. Et d'ailleurs, il y a des gens qui peuvent avoir une très bonne idée sur le fond, sur le papier, sur la problématique que ça va résoudre. mais qui sont incapables d'en faire une idée commercialisable, qui sont incapables d'en faire une offre irrésistible, et ça, peu importe la qualité des idées. Donc, il n'y a pas besoin d'être un génie, d'avoir 50 idées qui te tombent du chapeau à la minute, et il n'y a pas besoin d'avoir une idée qui te semble révolutionner la face du monde. Et d'ailleurs, il y a plein de gens qui ont eu des idées potentiellement révolutionnaires qui ont été juste incapables, en fait. de les concrétiser parce que d'entrée, ils se sont dit, ah ouais, ça, ça serait une bonne idée, mais nanana, mais c'est pas possible parce que x ou y chose. Ah oui, mais si c'était vraiment bien, quelqu'un l'aurait peut-être fait avant moi. Sauf que si tout le monde pense comme ça, au final, personne ne fait rien. Donc, si t'as des idées de génie et qu'en plus, t'acquiers les compétences pour les concrétiser, merveilleux, mais mieux vaut ne pas avoir une révélation chaque matin quand tu te réveilles. Par contre, être capable de maîtriser un process de création d'offres. et surtout avoir l'envie, la volonté de matérialiser cette offre en un projet concret. Donc non, il ne faut pas spécialement avoir de bonnes idées, par contre il faut apprendre à construire une idée et à construire une offre. Et ça, ça s'apprend, c'est ça la bonne nouvelle. Donc même si tu penses ne pas avoir de compétences particulières aujourd'hui, que tu ne vois pas ce que tu pourrais apporter au monde, il existe une recette de cuisine presque pour réussir à créer une offre viable à partir de... tes compétences, parce qu'on a tous un minimum de compétences. Et la bonne nouvelle, c'est qu'en plus, même si tu n'as pas de compétences extrêmement développées aujourd'hui, même si la plupart du temps, on a quand même une expertise particulière, si t'as envie de te lancer sur autre chose que tu ne maîtrises pas encore, la bonne nouvelle, c'est que tout s'apprend. La deuxième chose, c'est il faut avoir un talent pour l'entrepreneuriat. Alors oui, il y a des gens qui ont plus facilement la fibre entrepreneuriale, il y a des gens qui ont plus facilement la fibre qui arrivent plus facilement à débrancher le cerveau et à passer à l'action. Oui, il y a des gens qui sont des leaders un peu plus naturels, mais tout le monde, pourvu qu'il ait l'envie d'entreprendre, qu'il ait l'envie d'agir, qu'il ait l'envie de se construire la vie de ses rêves, la vie qu'il a envie de créer, peut être entrepreneur. Je ne dis pas que l'entrepreneuriat, c'est fait pour tout le monde. Il y a des gens qui ne sont pas faits pour l'entrepreneuriat ou l'entrepreneuriat n'est pas fait pour eux, on peut le prendre dans le sens qu'on veut. Il y a des gens qui sont très heureux. En fait, ça dépend de tes valeurs. Si ta valeur, c'est plus la tranquillité, pas de prendre la tête, n'entreprends pas. Si tu as plus envie d'aller créer, si tu as plus soif de liberté, de croissance, de création, de contribution, de juste kiffer ta vie à 2000%, entreprends. Mais si toi, tu es très heureux avec une vie entre guillemets plus classique qui t'apporte une forme de sécurité, de sérénité, de routine et que tu es méga épanoui comme ça, mais super ! Par contre, justement, ce manque d'appétence pour la découverte, pour la liberté et pour le passage à l'action fera que potentiellement, dans l'entrepreneuriat, ça va être compliqué. Mais si toi, ça ne te fait pas peur de faire des choses, d'apprendre, de... d'agir, et même si ça te fait peur d'ailleurs, mais que tu as envie de le faire, juste parce que tu as envie de le faire et que tu te dis je veux le faire et je ne vais pas lâcher parce que je sais ce que je veux, et bien écoute, merveilleux. Et il n'y a pas besoin d'avoir un talent particulier, il faut avoir par contre l'envie de cultiver ces compétences-là et ce talent-là et de le créer, ce talent. En fait, ce talent n'a pas besoin d'être inné. Forcément, il y a des gens qui vont avoir des dispositions plus ou moins naturelles pour certaines choses, mais c'est comme pour... tout. Mais si t'as vraiment l'envie d'avancer malgré tout, t'as pas besoin d'avoir un talent particulier pour ça. Ensuite, un autre mythe, c'est qu'il faut avoir de la chance. Faut connaître du monde. Faut avoir un coup de chance, un petit coup de piston. Faut que les étoiles, les planètes s'alignent au bon moment. Je vais pas te mentir, ça aide. Ça aide si tu as les capacités financières d'aller investir sur toi, te payer des formations, te payer des coachs. Ça aide sans que ce soit trop un effort financier. Alors en général, on trouve toujours des solutions pour les personnes qui veulent vraiment investir sur elles. Même quand c'est un peu compliqué, on trouve toujours des solutions. Mais le fait est qu'il y a des personnes qui vraiment n'ont rien et n'ont même pas la capacité d'emprunt, d'aller faire un crédit pour ça. Il y en a qui le font, il y en a qui ne peuvent pas. Voilà, forcément, je ne vais pas te mentir, si tu n'as pas la capacité d'investir sur toi, de te payer un coach, de te payer des formations, ouais, c'est un peu plus difficile que si tu es bien accompagné, parce que pour moi, c'est quelque chose de fondamental. Ça ne veut pas dire que c'est impossible. Attention, encore une fois, c'est une question de volonté, mais oui, ça facilite les choses. Si tu as la chance d'avoir ton meilleur pote qui a 10 millions d'abonnés, qui correspond pile à ton audience, et qui partage ton compte pour... t'aider, à te propulser, oui, ça aide, ça fait pas tout, parce que si ta communication derrière, elle est nulle, et que ton offre, elle est pas bonne, ça fonctionnera pas pour autant, mais si ton problème, c'est juste d'avoir plus de visibilité, bah oui, ça va t'en donner plus rapidement, plus facilement. Bref, oui, il y a une part de chance dans l'entrepreneuriat, oui, mais ça ne fait pas tout, déjà, premièrement. Si tu te payes tous les cotes du monde, mais que t'appliques pas ce qu'ils te disent, bah ça servira à rien. si tu te retrouves miraculeusement avec un million d'abonnés mais que tu ne sais pas les convertir en clients parce que ton offre n'est pas bonne, que ta communication n'est pas bonne, ça ne servira à rien, c'est des coups de pouce. La chance, c'est un coup de pouce. Et oui, il y a une inégalité des chances peut-être sur certains points. Mais moi, je pense, si on parle de chance de manière générale, que la chance, ça se provoque. Tout simplement en étant... Moi, je ne crois pas forcément à la loi de l'attraction dans le sens vraiment magie de l'univers, etc. On y croit, on n'y croit pas. Moi, je ne sais pas trop si j'y crois, je vous avoue. Par contre, je crois très fortement que quand tu es ouvert aux opportunités, que tu sais ton objectif, que tu le conscientises, que tu en parles, que tu l'incarnes pleinement, tu vas être plus attentif forcément aux opportunités autour de toi. Tu vas les saisir, tu vas aller provoquer ta chance. Je crois fortement que oui, quand t'es entrepreneur, il faut savoir provoquer ta chance. Faut aller savoir parler aux bonnes personnes, faut savoir parfois avoir un petit peu du culot, faut oser faire des choses. Et oui, peut-être que la chance va te sourire. Peut-être que, voilà. En fait, plus tu vas multiplier le nombre d'actions qui peuvent te déclencher un résultat positif, plus tu vas multiplier tes chances. Plus tu vas multiplier ta chance d'avoir... Voilà, un coup de main de la vie, un coup de main de l'univers pour ceux qui y croient, ou un coup de main des autres. Mais moi, ça m'a toujours fait sourire les gens qui disent « Oh bah elle, elle a de la chance, elle a réussi, elle a de la chance, elle va fermer son cabinet, elle a de la chance, elle gagne sa vie grâce à son business. » Mais en fait, la chance, ça ne veut rien dire. Je prends mon cas de figure à moi, ça fait deux ans et demi, pour pas dire trois ans, ça fait deux ans et demi que je travaille. quasiment toutes les semaines, 6 à 7 jours sur 7, que j'ai fait des sacrifices sur ma vie pendant un temps, que j'ai fait des sacrifices financiers pendant un an parce que je ne gagnais pas encore ma vie à ce moment-là avec mon entreprise, mais j'avais réduit mon temps au cabinet. Donc pendant un an, se payer un McDo, c'était potentiellement compliqué. Je ne dis pas ça du tout pour m'apitoyer, rien du tout, absolument pas. C'était mon choix. Mais ce n'est pas de la chance en fait, c'est des sacrifices que j'ai faits, c'est des heures et des heures et des heures de travail, de remise en question. C'est énormément d'argent aussi que j'ai investi sur moi, puisqu'à l'heure où je te parle aujourd'hui, j'avais déjà annoncé une certaine somme dans le précédent épisode, j'ai réinvesti sur moi depuis, sur les trois dernières années, j'ai investi approximativement 50 000 euros sur moi. Donc ouais, aujourd'hui j'ai de la chance parce que je vais fermer mon cabinet. Parce que si je veux prendre mon ordi et aller travailler au soleil, au Canary, je peux le faire. Je peux voir ma famille quand je veux, je peux voyager quand je veux. Je peux vivre d'un travail qui me fait kiffer et qui me rend libre et qui, en plus, contribue à changer la vie d'autres personnes. Ouais, j'ai de la chance, mais cette chance, ça fait trois ans que je la travaille, cette chance. Ça fait trois ans que je dédie ma vie à ça. et que je continue encore à le faire aujourd'hui parce que rien n'est acquis, parce que si je veux pouvoir garder cette Ausha, c'est un travail quotidien. Alors oui... Le plus dur, c'est de commencer, mais ça ne veut pas dire qu'aujourd'hui, le travail n'est pas présent et que je ne continue pas à travailler 6 jours sur 7, de 9-10 heures du matin, parfois jusqu'à 20h-20h30. C'est un travail quotidien. Je ne dis pas que tu es obligé de travailler autant que moi pour réussir, mais je sais ce que je veux aller chercher, je sais ce que je veux faire, je mets toutes les chances de mon côté, j'aime ce que je fais. Ça ne me dérange pas de mettre autant d'implications là-dedans. Donc oui, la chance, elle existe, mais je pense avant tout que la chance, ça se provoque. Et que ça se provoque comment ? Par le passage à l'action. Et encore une fois, je t'invite à aller écouter l'épisode de la semaine dernière sur l'ingrédient magique pour réussir en tant que soignant entrepreneur, où j'aborde ça vraiment profondément dans les détails. Le quatrième mythe et dernier mythe de cet épisode dont je voulais te parler, c'était l'idée que pour être entrepreneur, il faut avoir un plan précis, il faut avoir un business plan sur X années. Quand tu es dans une startup avec de l'industrialisation, oui, d'accord, pourquoi pas ? Encore que, au début, en fait, quand tu es dans une phase de lancement, c'est que des hypothèses, en fait. Tu n'as aucun fait tangible sur lesquels tu peux t'appuyer. Tu n'as aucun moyen de dire, je l'ai déjà fait, je suis capable de vendre tant par mois, par exemple. Tant que tu ne l'as pas fait, il n'y a rien de concret, il n'y a rien de tangible, ce ne sont que des projections, ce ne sont que des hypothèses. Et encore plus dans le milieu du business en ligne où de toute façon, tu n'as pas de produits physiques à créer et donc pas de marge à calculer, pas de coût de production, enfin bref. Ce sont que, c'est que de l'hypothétique. Ça ne veut pas dire qu'il faut naviguer complètement à l'aveugle, c'est bien d'avoir un petit business plan et moi je le propose d'ailleurs aux membres des vols, je leur ai même proposé des templates avec des projections. En fait, c'est surtout pour moi, projeter les frais que tu sais que tu vas avoir, rentrer le prix de ton offre, rentrer combien tu veux te payer et que ça te permette de te dire, ok, je dois générer tant de chiffres d'affaires, basta. Ça, c'est important. Ça, c'est important parce que ça te permet de te mettre des objectifs financiers et du coup, de te dire, ok, qu'est-ce qu'il faut que je mette en œuvre pour pouvoir les atteindre ? Mais avoir un plan précis sur cinq ans, en fait, en plus, au début, tu sais... pas ce qui va se passer, tu ne sais pas ce qui va marcher, tu ne sais pas ce qui ne va pas marcher, fonctionner, pas fonctionner. Il va falloir juste tester des choses. Et bien souvent, le plan d'action que tu te fais, des fois même sur trois mois... Moi, je suis une adepte des 90 day plans, donc un planning une espèce de rétro-planning sur trois mois. En général, je le suis pendant deux, trois semaines, un mois, et après je ne le suis plus du tout parce qu'au final, je suis presque obligée de le refaire au bout d'un mois, alors que c'est censé être un truc qui dure trois mois. Parce que je réajuste en permanence. Donc c'est plutôt, ok, définis-toi un objectif. A priori, c'est quoi les grandes actions qu'il faut que tu réalises pour y arriver ? Découpe ces grandes actions en petites tâches quotidiennes, avance et réajuste tout le temps, tout le temps. C'est un bateau que tu dois naviguer et ajuster le cap, ajuster la trajectoire quotidiennement. Donc ça sert à rien d'avoir un plan précis, d'attendre que tout soit parfait. Et encore une fois, ça c'est quelque chose dont on a parlé dans l'épisode de la semaine dernière. Donc voilà, ça sert à rien parce que de toute façon, ce plan, il va être ajusté en cours de route. Donc voilà pour les 4 minutes sur l'entrepreneuriat. Non, il n'y a pas besoin d'avoir des idées de génie. Non, il n'y a pas besoin d'être né avec un talent. Non, il n'y a pas besoin d'avoir une bonne étoile, même s'il faut croire en sa bonne étoile, parce qu'en fait, c'est ça qui va te permettre de provoquer la chance. Et non, ça ne sert à rien d'avoir un plan précis et détaillé, parce que de toute façon, ce plan va évoluer en permanence. Si cet épisode t'a conforté dans ton idée que oui, l'entrepreneuriat est fait pour toi et que t'as envie de te lancer, d'être dans l'action parce que c'est ça qui est le plus important et de provoquer ta chance justement, mais que tu ne sais pas trop par où commencer, comment faire, je propose des appels qui sont 100% gratuits, sans aucun engagement. Le but étant de, dans un premier temps, définir ensemble ton objectif, voir les étapes nécessaires qui vont... que tu vas devoir mettre en place tout simplement pour atteindre cet objectif-là. Et à l'issue de ce travail-là, soit tu veux mettre ton plan d'action en place par toi-même et puis je serai très contente de t'avoir aidé, soit tu penses qu'il te faut de l'aide pour mettre en place le plan d'action et que je suis la bonne personne pour t'aider. Et à ce moment-là, on discutera ensemble si oui ou non l'accompagnement Evolve peut être fait pour toi pour te permettre d'atteindre tes objectifs. Si tu veux réserver cet appel-là qui est totalement offert, Je te laisse le lien dans la description du podcast. Je te remercie de m'avoir écouté jusque-là. J'espère que l'épisode t'a plu, t'aura ouvert de nouvelles perspectives. Je te souhaite une excellente semaine et je te dis à vendredi prochain pour un nouvel épisode de Soignants Entrepreneurs.