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Sortir le droit de sa caverne technologique

10 - L'intelligence de l'artifice en acte : quelles FORMES de vie souhaitons nous ?

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08min |28/12/2024
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Description

Via les notions les plus simples de la tradition aristotélicienne, je pose la question de la forme, la question de nos actes, de nos vies.


Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

Transcription

  • Speaker #0

    Merci à toi, Arnaud. Merci à toi, Antoine. Bien que je me retrouve dans cette position, c'est difficile de devoir conclure et d'ouvrir, surtout. Savoir comment faire conjoindre d'une part nos deux questionnements et d'autre part notre perspective. Eh bien, je note Nous avons noté que bien souvent nous avons invoqué la forme. Ce qui est bien normal puisque l'obstiste a une forme en tête et il va chercher, dans le rangement, avec la matière et le support, à donner forme à cette forme. La forme, sans forme, parce que... finalement n'ayant comme référent qu'une représentation de quelque chose de matériel. Et c'est donc dans ce jeu qu'il va informer ce qu'il avait d'aforme dans son esprit. Au niveau technologique, on l'a compris aussi puisqu'il y a des formes qui restent à l'écran. Alors ce sont des apparitions. un peu fantomatique, dirait Autouane, ou divergente, dirait Arnaud, parce qu'elle repose sur une imbrication entre la forme logicielle et la matière, des composantes d'un ordinateur, imbrication que nous ne comprenons toujours, soit en raison des limites. de notre cognition, Arnaud l'a dit, soit ce qu'il dénonce, d'ailleurs, envers certains discours. Puis bien sûr, le droit, le droit puisqu'il protège, il protège d'une forme, une forme immatérielle. Alors, la forme, qu'est-ce que cela peut être ? Eh bien, c'est déjà la forme que l'on teste, avec laquelle on joue, il y a ça. matérialité, c'est-à-dire ce qui actualise la matière, ce qui donne vie à la matière. Et puis la forme, c'est aussi ce qui permet de comprendre, savoir l'essence, la définition de la chose créée, c'est-à-dire les principes. dogmatique qui permet non seulement de comprendre, de formaliser, mais aussi de contrôler. Et tout cela nous amène à une question, la question que je souhaiterais vous poser, chers auditeurs, quelle forme de vie souhaitons-nous ? C'est une question qui est éminemment politique, avec un sous-placement juridique évident. qui est technique et qui est artistique. Savoir quoi contrôler. Est-ce que c'est nos vies qu'il faut contrôler ? Nos vies comme si elles étaient déjà un petit solide, comme si on les était déjà morts et qu'il n'y avait plus rien à tester. Ou simplement, est-ce que ce qu'il faut contrôler, ce sont nos langages, par bienséance, par souci logique ? réalisme. En fait, en écrivant sa biographie, en allant à la salle gymnastique, en se rendant chez le chirurgien esthétique, déjà, tout le monde pouvait débattre du caractère impropre, pour reprendre les termes d'Antoine. Or, l'intelligence artificielle, dans son aspect le plus mercantile, nous offre des capacités de contrôle encore plus imaginaires et illusoires, illusoires du moins sur nous-mêmes, sur notre monde, sur cette équivalence entre tout, puisqu'il n'y a même plus besoin d'aller chez le chirurgien esthétique. ou d'aller à la salle de gym, ni d'ailleurs de comprendre ce qu'il y a de proprement vivant. et de proprement matériel pour qu'un tel logiciel d'intelligence artificielle puisse fonctionner. A savoir que l'intelligence artificielle, finalement, elle ne tue pas seulement la compréhension de la différence entre le réel et l'idée, ou entre la matière et la forme, mais elle est en mesure de tuer... le travail de l'imagination, c'est-à-dire aussi bien ce qu'il y a de matériel et de formel à l'origine et aux aboutissants de nos représentations et tout du long de ce processus. Alors, il va falloir former, il va falloir donner forme, c'est-à-dire d'une part... formaliser logiquement, faire œuvre réaliste ou matérialiste. Et puis, il va falloir aussi donner vie, former les humains par l'art, puisque l'art, c'est bien cette formation continue qui concerne chacun et toute une vie. Pour conclure, nos vies... Ce podcast, par exemple, nous ne souhaitons pas qu'il s'agisse simplement de paroles en l'air, de paroles incontrôlées, de formes non informées. Et nous ne souhaitons pas non plus qu'il s'agisse de vies à forme, c'est-à-dire amorphes, c'est-à-dire relevant d'un délire compulsif de nous contrôler, que ce soit nos vies ou... le monde. Je vous remercie. de nous avoir écoutés, et je remercie infiniment, d'une part Arnaud, grâce à qui rien n'aurait été possible, et à Antoine qui nous a apporté ce supplément d'âme trop important pour être ignoré. Merci à tous, et à bientôt pour un nouvel épisode.

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  • Speaker #0

    Merci à toi, Arnaud. Merci à toi, Antoine. Bien que je me retrouve dans cette position, c'est difficile de devoir conclure et d'ouvrir, surtout. Savoir comment faire conjoindre d'une part nos deux questionnements et d'autre part notre perspective. Eh bien, je note Nous avons noté que bien souvent nous avons invoqué la forme. Ce qui est bien normal puisque l'obstiste a une forme en tête et il va chercher, dans le rangement, avec la matière et le support, à donner forme à cette forme. La forme, sans forme, parce que... finalement n'ayant comme référent qu'une représentation de quelque chose de matériel. Et c'est donc dans ce jeu qu'il va informer ce qu'il avait d'aforme dans son esprit. Au niveau technologique, on l'a compris aussi puisqu'il y a des formes qui restent à l'écran. Alors ce sont des apparitions. un peu fantomatique, dirait Autouane, ou divergente, dirait Arnaud, parce qu'elle repose sur une imbrication entre la forme logicielle et la matière, des composantes d'un ordinateur, imbrication que nous ne comprenons toujours, soit en raison des limites. de notre cognition, Arnaud l'a dit, soit ce qu'il dénonce, d'ailleurs, envers certains discours. Puis bien sûr, le droit, le droit puisqu'il protège, il protège d'une forme, une forme immatérielle. Alors, la forme, qu'est-ce que cela peut être ? Eh bien, c'est déjà la forme que l'on teste, avec laquelle on joue, il y a ça. matérialité, c'est-à-dire ce qui actualise la matière, ce qui donne vie à la matière. Et puis la forme, c'est aussi ce qui permet de comprendre, savoir l'essence, la définition de la chose créée, c'est-à-dire les principes. dogmatique qui permet non seulement de comprendre, de formaliser, mais aussi de contrôler. Et tout cela nous amène à une question, la question que je souhaiterais vous poser, chers auditeurs, quelle forme de vie souhaitons-nous ? C'est une question qui est éminemment politique, avec un sous-placement juridique évident. qui est technique et qui est artistique. Savoir quoi contrôler. Est-ce que c'est nos vies qu'il faut contrôler ? Nos vies comme si elles étaient déjà un petit solide, comme si on les était déjà morts et qu'il n'y avait plus rien à tester. Ou simplement, est-ce que ce qu'il faut contrôler, ce sont nos langages, par bienséance, par souci logique ? réalisme. En fait, en écrivant sa biographie, en allant à la salle gymnastique, en se rendant chez le chirurgien esthétique, déjà, tout le monde pouvait débattre du caractère impropre, pour reprendre les termes d'Antoine. Or, l'intelligence artificielle, dans son aspect le plus mercantile, nous offre des capacités de contrôle encore plus imaginaires et illusoires, illusoires du moins sur nous-mêmes, sur notre monde, sur cette équivalence entre tout, puisqu'il n'y a même plus besoin d'aller chez le chirurgien esthétique. ou d'aller à la salle de gym, ni d'ailleurs de comprendre ce qu'il y a de proprement vivant. et de proprement matériel pour qu'un tel logiciel d'intelligence artificielle puisse fonctionner. A savoir que l'intelligence artificielle, finalement, elle ne tue pas seulement la compréhension de la différence entre le réel et l'idée, ou entre la matière et la forme, mais elle est en mesure de tuer... le travail de l'imagination, c'est-à-dire aussi bien ce qu'il y a de matériel et de formel à l'origine et aux aboutissants de nos représentations et tout du long de ce processus. Alors, il va falloir former, il va falloir donner forme, c'est-à-dire d'une part... formaliser logiquement, faire œuvre réaliste ou matérialiste. Et puis, il va falloir aussi donner vie, former les humains par l'art, puisque l'art, c'est bien cette formation continue qui concerne chacun et toute une vie. Pour conclure, nos vies... Ce podcast, par exemple, nous ne souhaitons pas qu'il s'agisse simplement de paroles en l'air, de paroles incontrôlées, de formes non informées. Et nous ne souhaitons pas non plus qu'il s'agisse de vies à forme, c'est-à-dire amorphes, c'est-à-dire relevant d'un délire compulsif de nous contrôler, que ce soit nos vies ou... le monde. Je vous remercie. de nous avoir écoutés, et je remercie infiniment, d'une part Arnaud, grâce à qui rien n'aurait été possible, et à Antoine qui nous a apporté ce supplément d'âme trop important pour être ignoré. Merci à tous, et à bientôt pour un nouvel épisode.

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    Merci à toi, Arnaud. Merci à toi, Antoine. Bien que je me retrouve dans cette position, c'est difficile de devoir conclure et d'ouvrir, surtout. Savoir comment faire conjoindre d'une part nos deux questionnements et d'autre part notre perspective. Eh bien, je note Nous avons noté que bien souvent nous avons invoqué la forme. Ce qui est bien normal puisque l'obstiste a une forme en tête et il va chercher, dans le rangement, avec la matière et le support, à donner forme à cette forme. La forme, sans forme, parce que... finalement n'ayant comme référent qu'une représentation de quelque chose de matériel. Et c'est donc dans ce jeu qu'il va informer ce qu'il avait d'aforme dans son esprit. Au niveau technologique, on l'a compris aussi puisqu'il y a des formes qui restent à l'écran. Alors ce sont des apparitions. un peu fantomatique, dirait Autouane, ou divergente, dirait Arnaud, parce qu'elle repose sur une imbrication entre la forme logicielle et la matière, des composantes d'un ordinateur, imbrication que nous ne comprenons toujours, soit en raison des limites. de notre cognition, Arnaud l'a dit, soit ce qu'il dénonce, d'ailleurs, envers certains discours. Puis bien sûr, le droit, le droit puisqu'il protège, il protège d'une forme, une forme immatérielle. Alors, la forme, qu'est-ce que cela peut être ? Eh bien, c'est déjà la forme que l'on teste, avec laquelle on joue, il y a ça. matérialité, c'est-à-dire ce qui actualise la matière, ce qui donne vie à la matière. Et puis la forme, c'est aussi ce qui permet de comprendre, savoir l'essence, la définition de la chose créée, c'est-à-dire les principes. dogmatique qui permet non seulement de comprendre, de formaliser, mais aussi de contrôler. Et tout cela nous amène à une question, la question que je souhaiterais vous poser, chers auditeurs, quelle forme de vie souhaitons-nous ? C'est une question qui est éminemment politique, avec un sous-placement juridique évident. qui est technique et qui est artistique. Savoir quoi contrôler. Est-ce que c'est nos vies qu'il faut contrôler ? Nos vies comme si elles étaient déjà un petit solide, comme si on les était déjà morts et qu'il n'y avait plus rien à tester. Ou simplement, est-ce que ce qu'il faut contrôler, ce sont nos langages, par bienséance, par souci logique ? réalisme. En fait, en écrivant sa biographie, en allant à la salle gymnastique, en se rendant chez le chirurgien esthétique, déjà, tout le monde pouvait débattre du caractère impropre, pour reprendre les termes d'Antoine. Or, l'intelligence artificielle, dans son aspect le plus mercantile, nous offre des capacités de contrôle encore plus imaginaires et illusoires, illusoires du moins sur nous-mêmes, sur notre monde, sur cette équivalence entre tout, puisqu'il n'y a même plus besoin d'aller chez le chirurgien esthétique. ou d'aller à la salle de gym, ni d'ailleurs de comprendre ce qu'il y a de proprement vivant. et de proprement matériel pour qu'un tel logiciel d'intelligence artificielle puisse fonctionner. A savoir que l'intelligence artificielle, finalement, elle ne tue pas seulement la compréhension de la différence entre le réel et l'idée, ou entre la matière et la forme, mais elle est en mesure de tuer... le travail de l'imagination, c'est-à-dire aussi bien ce qu'il y a de matériel et de formel à l'origine et aux aboutissants de nos représentations et tout du long de ce processus. Alors, il va falloir former, il va falloir donner forme, c'est-à-dire d'une part... formaliser logiquement, faire œuvre réaliste ou matérialiste. Et puis, il va falloir aussi donner vie, former les humains par l'art, puisque l'art, c'est bien cette formation continue qui concerne chacun et toute une vie. Pour conclure, nos vies... Ce podcast, par exemple, nous ne souhaitons pas qu'il s'agisse simplement de paroles en l'air, de paroles incontrôlées, de formes non informées. Et nous ne souhaitons pas non plus qu'il s'agisse de vies à forme, c'est-à-dire amorphes, c'est-à-dire relevant d'un délire compulsif de nous contrôler, que ce soit nos vies ou... le monde. Je vous remercie. de nous avoir écoutés, et je remercie infiniment, d'une part Arnaud, grâce à qui rien n'aurait été possible, et à Antoine qui nous a apporté ce supplément d'âme trop important pour être ignoré. Merci à tous, et à bientôt pour un nouvel épisode.

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    Merci à toi, Arnaud. Merci à toi, Antoine. Bien que je me retrouve dans cette position, c'est difficile de devoir conclure et d'ouvrir, surtout. Savoir comment faire conjoindre d'une part nos deux questionnements et d'autre part notre perspective. Eh bien, je note Nous avons noté que bien souvent nous avons invoqué la forme. Ce qui est bien normal puisque l'obstiste a une forme en tête et il va chercher, dans le rangement, avec la matière et le support, à donner forme à cette forme. La forme, sans forme, parce que... finalement n'ayant comme référent qu'une représentation de quelque chose de matériel. Et c'est donc dans ce jeu qu'il va informer ce qu'il avait d'aforme dans son esprit. Au niveau technologique, on l'a compris aussi puisqu'il y a des formes qui restent à l'écran. Alors ce sont des apparitions. un peu fantomatique, dirait Autouane, ou divergente, dirait Arnaud, parce qu'elle repose sur une imbrication entre la forme logicielle et la matière, des composantes d'un ordinateur, imbrication que nous ne comprenons toujours, soit en raison des limites. de notre cognition, Arnaud l'a dit, soit ce qu'il dénonce, d'ailleurs, envers certains discours. Puis bien sûr, le droit, le droit puisqu'il protège, il protège d'une forme, une forme immatérielle. Alors, la forme, qu'est-ce que cela peut être ? Eh bien, c'est déjà la forme que l'on teste, avec laquelle on joue, il y a ça. matérialité, c'est-à-dire ce qui actualise la matière, ce qui donne vie à la matière. Et puis la forme, c'est aussi ce qui permet de comprendre, savoir l'essence, la définition de la chose créée, c'est-à-dire les principes. dogmatique qui permet non seulement de comprendre, de formaliser, mais aussi de contrôler. Et tout cela nous amène à une question, la question que je souhaiterais vous poser, chers auditeurs, quelle forme de vie souhaitons-nous ? C'est une question qui est éminemment politique, avec un sous-placement juridique évident. qui est technique et qui est artistique. Savoir quoi contrôler. Est-ce que c'est nos vies qu'il faut contrôler ? Nos vies comme si elles étaient déjà un petit solide, comme si on les était déjà morts et qu'il n'y avait plus rien à tester. Ou simplement, est-ce que ce qu'il faut contrôler, ce sont nos langages, par bienséance, par souci logique ? réalisme. En fait, en écrivant sa biographie, en allant à la salle gymnastique, en se rendant chez le chirurgien esthétique, déjà, tout le monde pouvait débattre du caractère impropre, pour reprendre les termes d'Antoine. Or, l'intelligence artificielle, dans son aspect le plus mercantile, nous offre des capacités de contrôle encore plus imaginaires et illusoires, illusoires du moins sur nous-mêmes, sur notre monde, sur cette équivalence entre tout, puisqu'il n'y a même plus besoin d'aller chez le chirurgien esthétique. ou d'aller à la salle de gym, ni d'ailleurs de comprendre ce qu'il y a de proprement vivant. et de proprement matériel pour qu'un tel logiciel d'intelligence artificielle puisse fonctionner. A savoir que l'intelligence artificielle, finalement, elle ne tue pas seulement la compréhension de la différence entre le réel et l'idée, ou entre la matière et la forme, mais elle est en mesure de tuer... le travail de l'imagination, c'est-à-dire aussi bien ce qu'il y a de matériel et de formel à l'origine et aux aboutissants de nos représentations et tout du long de ce processus. Alors, il va falloir former, il va falloir donner forme, c'est-à-dire d'une part... formaliser logiquement, faire œuvre réaliste ou matérialiste. Et puis, il va falloir aussi donner vie, former les humains par l'art, puisque l'art, c'est bien cette formation continue qui concerne chacun et toute une vie. Pour conclure, nos vies... Ce podcast, par exemple, nous ne souhaitons pas qu'il s'agisse simplement de paroles en l'air, de paroles incontrôlées, de formes non informées. Et nous ne souhaitons pas non plus qu'il s'agisse de vies à forme, c'est-à-dire amorphes, c'est-à-dire relevant d'un délire compulsif de nous contrôler, que ce soit nos vies ou... le monde. Je vous remercie. de nous avoir écoutés, et je remercie infiniment, d'une part Arnaud, grâce à qui rien n'aurait été possible, et à Antoine qui nous a apporté ce supplément d'âme trop important pour être ignoré. Merci à tous, et à bientôt pour un nouvel épisode.

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