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Space Opera Episode 11 : L'univers cover
Space Opera Episode 11 : L'univers cover
Space Opera - Star Trek Historia

Space Opera Episode 11 : L'univers

Space Opera Episode 11 : L'univers

08min |15/03/2024|

120

Play
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Space Opera Episode 11 : L'univers

08min |15/03/2024|

120

Play

Description

Dans ce numéro de space opera, on explore l'interaction entre l'univers, l'espace et l'humanité.

Trinh Xuan Thuan souligne que l'existence humaine est intrinsèquement liée aux propriétés de l'univers. L'écriture d'un space opera nécessite donc une fascination pour l'univers et une connexion avec les faits scientifiques. L'espace, bien que inhospitalier, favorise la technologie, mais il entrave également la vie organique. L'univers est alors perçu comme organique, conscient et planifié, avec un programme cosmique favorisant l'expansion de la vie.
L'univers agit comme un acteur, redistribuant plutôt que détruisant, et favorisant la vie intelligente.

Enfin, nous évoquerons l' univers cohérent dans le space opera doit répondre à des questions géopolitiques, tout en explorant des aspects non couverts dans l'univers original.

Bienvenue sur Space Opera

Crédit musique ;

Tatoo ( Cover)
Le premier contact version Piano (Cyril Callejon)


Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

Transcription

  • Speaker #0

    Bonjour et bienvenue dans ce nouveau numéro de Space Opera. Aujourd'hui nous allons à la rencontre de l'univers. Si l'univers est aussi vaste, c'est pour permettre notre présence. Si l'univers est tel qu'il est, c'est parce que l'homme est là pour observer et se poser des questions. La cosmologie moderne a découvert que l'existence de l'être humain est inscrite dans les propriétés de chaque atome, de chaque étoile, de chaque galaxie de l'univers, et dans chacune des lois physiques qui régissent le cosmos. Voici ce que Trinh Huang Tan dit dans Le cosmos et le lotus chez Albin Michel. L'écriture d'un space opéra suppose deux choses. Premièrement, son créateur est une réelle fascination pour l'univers, l'univers désignant l'ensemble des éléments où se déroule son histoire. Il ne faut pas confondre avec l'espace où évoluent les vaisseaux. Secondement, qu'il existe un lien entre le récit et les faits scientifiques connus ou supposés à l'époque de l'écriture. De plus, quand on parle d'univers, de galaxies et d'espace dans le space opéra, tout ceci peut très vite devenir compliqué à comprendre. Par exemple, l'espace est à la fois l'espace dans notre système solaire, aussi bien que dans notre galaxie. C'est une absence de matière pour faire simple. L'univers est plus grand que la galaxie. Un univers peut contenir un nombre incalculable de galaxies. Même si parfois les protagonistes parlent de l'univers ou de l'espace, ils sont pour la plupart à une échelle plus modeste, celle de la galaxie. Une galaxie peut quant à elle contenir un nombre certain de systèmes solaires. L'univers de Stargate repose sur cette convention. Un système de portes dédié à une galaxie, la nôtre étant la galaxie de la Voie Lactée où évolue le SG-1, et la seconde étant la galaxie de Pégase où évoluent d'autres équipes SG. Une fois les problèmes sémantiques éliminés, il nous reste celui de la thématique de l'espace. L'espace est une sorte de temple théâtre. C'est là que tout va se jouer. L'espace est l'endroit où se meut l'action, ou dans lequel le vaisseau circule, et non les humains. Par contre, l'espace n'est pas l'univers avec un grand U. L'espace est froid, inhospitalier, et fait tout pour dissuader la vie de se développer. L'espace favorise donc la technologie, froide elle aussi, pour rendre la vie organique esclave de son entretien. L'espace protège l'univers en rendant inaccessibles ses secrets. Mais il le protège seulement tel un gardien avide de sa captive. Pourquoi une telle haine ? Pourquoi de tels obstacles ? L'espace sait que si on rentre en contact avec l'univers, l'être qui lui permet l'expansion de la vie, la nature même de la vie, et notre vision s'en retrouveront changées. L'espace conditionne et limite la vie, quand elle ne peut l'empêcher de se développer. Dans tout le space opéra, lorsqu'un être vivant parvient à se débarrasser de ce corps physique que conditionne l'espace, il perçoit la vie d'une façon tellement plus puissante qu'il s'en trouve changé à jamais. Que cela soit Spock, lors de sa fusion avec la sonde V'ger, ou... ou bien même la sonde V'ger qui a su dépasser ses limites imposées par l'espace. Ils ont tous quasiment achevé leur voyage vers une illumination métaphysique. Quand un être vivant arrive à s'affranchir pendant quelques instants des contraintes du froid de l'espace, il peut admirer l'étendue de l'univers créateur, celui qu'il cherche toujours à favoriser la vie. L'univers, notre mère. Plusieurs fois dans nos discussions, j'ai fait mention d'un univers organique, d'un univers qui semble conscient, vivant, doué d'une certaine intelligence et qui suivrait un plan. Surtout ces dernières années avec les avancées de l'astrophysique, les auteurs ont développé une perception plus naturelle de l'univers. Je pense aussi que l'éveil de la conscience écologiste joue également un rôle important. L'univers nous tend alors les bras comme l'océan, il y a plus de 400 ans, et il ne demande plus qu'à être découvert, exploré et habité. L'univers dans le space opéra a donc toujours un plan, un plan qui n'a ni début ni fin. Dans ce plan, à l'échelle d'un temps universel, nous ne faisons que passer, le voyage n'est pas figé, et il propose une multitude de voies possibles qui favorisent qu'une seule chose, l'expansion de la vie. Sans vie, pas de voyage, pas d'évolution, rien que l'absence et le vide rempli par l'espace. Le fameux programme cosmique que la vie doit suivre est donc un problème récurrent qui est cristallisé dans la fameuse prime directive de Starfleet. Mais il s'agit ici de ne pas influencer le développement culturel et technologique d'une civilisation qui n'a pas encore atteint le niveau suffisant pour explorer l'univers. Ce thème de l'évolution est bien celui de l'évolution de la vie. Rien de droit, dans le parcours des civilisations, contraint le développement d'inaturés. Il faut bien prendre en note la notion de naturel. Toute espèce qui tente d'aller contre sa nature devient un danger pour elle-même et pour l'univers. Le problème ici, pour l'humanité qui voyage, est donc de savoir quand l'univers nous demande d'intervenir, quand nous ne sommes pas partie intégrante du problème. Paradoxalement, dans notre soif d'émancipation, Les humains se retrouvent coincés dans une sorte de prédéterminisme où leur libre arbitre ne peut sembler que fantaisiste. Freeman Dyson disait, lui, que l'univers savait quelque part que l'homme allait venir. L'univers nous attend donc, et son plan surgit dans les moments de grandes menaces, de crises qui sentent bon l'annulation de toute forme de vie. Elle offre à un être humain insignifiant la possibilité, un choix, une voie, qu'il doit poursuivre pour que la vie continue d'exister sous n'importe quelle forme. Il ne faut pas confondre. La voie que chacun des personnages doit suivre dans le cheminement de l'univers, avec cette multitude de chemins de vie qui conduisent au grand dessin de l'univers, et par conséquent à celui du scénariste. Si on continue notre exploration au télescope, nous continuerons à percevoir une œuvre, qui devient un message, un message avec plusieurs degrés de perception, et sans qu'il ait pour autant des récepteurs définis. Un scénariste et une idée originale deviennent à eux seuls un univers, qui sait où il doit conduire son équipage pour la paix d'un système galactique dont il est responsable de par sa création. Le scénariste et son équipe finissent donc par créer l'univers, étant eux-mêmes dans un univers qui n'attendait plus qu'eux. Le célèbre astrophysicien Trinh Xuan Tuan l'écrit lui-même. L'univers semble être parfaitement réglé pour l'apparition d'un observateur intelligent, capable d'apprécier son organisation et son harmonie. Ici, par extension, ce sont les personnages du space opéra guidés par le scénariste qui sont donc les spectateurs intelligents du programme que leur réserve l'univers scénariste. L'univers acteur. L'univers est le personnage le plus abouti du space opéra. Il est celui qui n'a plus aucune considération morale. L'univers ne fait pas le mal. Lorsqu'il détruit les galaxies, c'est l'ordre naturel du cosmos. Il ne distribue pas, il redistribue. On ne s'en porte pas contre la nature. L'univers, de par sa nature, est donc aussi en mouvement. Il peut voir son propre destin changer quand une menace à son échelle intervient. L'univers est donc aussi... Là où peut se faire le voyage, car il est lui-même un voyageur dans son expansion et sa création. Il favorise la vie, la vie intelligente. Il semble vouloir qu'on le découvre, car il repousse toujours plus loin ses limites. Pour finir, l'univers cohérent. Tous ces univers doivent répondre à un univers cohérent pour le spectateur et la myriade d'auteurs qui vont travailler sur le projet. L'univers cohérent va devoir répondre à des problématiques aussi bien primaires que de background, qui permettront à tous de se situer en très peu de temps. L'univers cohérent comprendra par exemple le background de la situation géopolitique des différentes races, pourquoi cette espèce a une haine contre une autre espèce, telle espèce a disparu, etc. L'univers cohérent comprendra donc ensuite l'univers étendu, c'est-à-dire l'exploration scénaristique de pans entiers simplement évoqués dans l'univers original. On pourra suivre le retour d'entre les morts, on pourra suivre le retour d'entre les morts d'un personnage laissé pour décéder sur une planète en guerre. ou les aventures des enfants des personnages principaux. Voilà, c'est tout pour aujourd'hui, patrouilleurs du cosmos. A bientôt pour de prochains épisodes.

Description

Dans ce numéro de space opera, on explore l'interaction entre l'univers, l'espace et l'humanité.

Trinh Xuan Thuan souligne que l'existence humaine est intrinsèquement liée aux propriétés de l'univers. L'écriture d'un space opera nécessite donc une fascination pour l'univers et une connexion avec les faits scientifiques. L'espace, bien que inhospitalier, favorise la technologie, mais il entrave également la vie organique. L'univers est alors perçu comme organique, conscient et planifié, avec un programme cosmique favorisant l'expansion de la vie.
L'univers agit comme un acteur, redistribuant plutôt que détruisant, et favorisant la vie intelligente.

Enfin, nous évoquerons l' univers cohérent dans le space opera doit répondre à des questions géopolitiques, tout en explorant des aspects non couverts dans l'univers original.

Bienvenue sur Space Opera

Crédit musique ;

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Le premier contact version Piano (Cyril Callejon)


Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

Transcription

  • Speaker #0

    Bonjour et bienvenue dans ce nouveau numéro de Space Opera. Aujourd'hui nous allons à la rencontre de l'univers. Si l'univers est aussi vaste, c'est pour permettre notre présence. Si l'univers est tel qu'il est, c'est parce que l'homme est là pour observer et se poser des questions. La cosmologie moderne a découvert que l'existence de l'être humain est inscrite dans les propriétés de chaque atome, de chaque étoile, de chaque galaxie de l'univers, et dans chacune des lois physiques qui régissent le cosmos. Voici ce que Trinh Huang Tan dit dans Le cosmos et le lotus chez Albin Michel. L'écriture d'un space opéra suppose deux choses. Premièrement, son créateur est une réelle fascination pour l'univers, l'univers désignant l'ensemble des éléments où se déroule son histoire. Il ne faut pas confondre avec l'espace où évoluent les vaisseaux. Secondement, qu'il existe un lien entre le récit et les faits scientifiques connus ou supposés à l'époque de l'écriture. De plus, quand on parle d'univers, de galaxies et d'espace dans le space opéra, tout ceci peut très vite devenir compliqué à comprendre. Par exemple, l'espace est à la fois l'espace dans notre système solaire, aussi bien que dans notre galaxie. C'est une absence de matière pour faire simple. L'univers est plus grand que la galaxie. Un univers peut contenir un nombre incalculable de galaxies. Même si parfois les protagonistes parlent de l'univers ou de l'espace, ils sont pour la plupart à une échelle plus modeste, celle de la galaxie. Une galaxie peut quant à elle contenir un nombre certain de systèmes solaires. L'univers de Stargate repose sur cette convention. Un système de portes dédié à une galaxie, la nôtre étant la galaxie de la Voie Lactée où évolue le SG-1, et la seconde étant la galaxie de Pégase où évoluent d'autres équipes SG. Une fois les problèmes sémantiques éliminés, il nous reste celui de la thématique de l'espace. L'espace est une sorte de temple théâtre. C'est là que tout va se jouer. L'espace est l'endroit où se meut l'action, ou dans lequel le vaisseau circule, et non les humains. Par contre, l'espace n'est pas l'univers avec un grand U. L'espace est froid, inhospitalier, et fait tout pour dissuader la vie de se développer. L'espace favorise donc la technologie, froide elle aussi, pour rendre la vie organique esclave de son entretien. L'espace protège l'univers en rendant inaccessibles ses secrets. Mais il le protège seulement tel un gardien avide de sa captive. Pourquoi une telle haine ? Pourquoi de tels obstacles ? L'espace sait que si on rentre en contact avec l'univers, l'être qui lui permet l'expansion de la vie, la nature même de la vie, et notre vision s'en retrouveront changées. L'espace conditionne et limite la vie, quand elle ne peut l'empêcher de se développer. Dans tout le space opéra, lorsqu'un être vivant parvient à se débarrasser de ce corps physique que conditionne l'espace, il perçoit la vie d'une façon tellement plus puissante qu'il s'en trouve changé à jamais. Que cela soit Spock, lors de sa fusion avec la sonde V'ger, ou... ou bien même la sonde V'ger qui a su dépasser ses limites imposées par l'espace. Ils ont tous quasiment achevé leur voyage vers une illumination métaphysique. Quand un être vivant arrive à s'affranchir pendant quelques instants des contraintes du froid de l'espace, il peut admirer l'étendue de l'univers créateur, celui qu'il cherche toujours à favoriser la vie. L'univers, notre mère. Plusieurs fois dans nos discussions, j'ai fait mention d'un univers organique, d'un univers qui semble conscient, vivant, doué d'une certaine intelligence et qui suivrait un plan. Surtout ces dernières années avec les avancées de l'astrophysique, les auteurs ont développé une perception plus naturelle de l'univers. Je pense aussi que l'éveil de la conscience écologiste joue également un rôle important. L'univers nous tend alors les bras comme l'océan, il y a plus de 400 ans, et il ne demande plus qu'à être découvert, exploré et habité. L'univers dans le space opéra a donc toujours un plan, un plan qui n'a ni début ni fin. Dans ce plan, à l'échelle d'un temps universel, nous ne faisons que passer, le voyage n'est pas figé, et il propose une multitude de voies possibles qui favorisent qu'une seule chose, l'expansion de la vie. Sans vie, pas de voyage, pas d'évolution, rien que l'absence et le vide rempli par l'espace. Le fameux programme cosmique que la vie doit suivre est donc un problème récurrent qui est cristallisé dans la fameuse prime directive de Starfleet. Mais il s'agit ici de ne pas influencer le développement culturel et technologique d'une civilisation qui n'a pas encore atteint le niveau suffisant pour explorer l'univers. Ce thème de l'évolution est bien celui de l'évolution de la vie. Rien de droit, dans le parcours des civilisations, contraint le développement d'inaturés. Il faut bien prendre en note la notion de naturel. Toute espèce qui tente d'aller contre sa nature devient un danger pour elle-même et pour l'univers. Le problème ici, pour l'humanité qui voyage, est donc de savoir quand l'univers nous demande d'intervenir, quand nous ne sommes pas partie intégrante du problème. Paradoxalement, dans notre soif d'émancipation, Les humains se retrouvent coincés dans une sorte de prédéterminisme où leur libre arbitre ne peut sembler que fantaisiste. Freeman Dyson disait, lui, que l'univers savait quelque part que l'homme allait venir. L'univers nous attend donc, et son plan surgit dans les moments de grandes menaces, de crises qui sentent bon l'annulation de toute forme de vie. Elle offre à un être humain insignifiant la possibilité, un choix, une voie, qu'il doit poursuivre pour que la vie continue d'exister sous n'importe quelle forme. Il ne faut pas confondre. La voie que chacun des personnages doit suivre dans le cheminement de l'univers, avec cette multitude de chemins de vie qui conduisent au grand dessin de l'univers, et par conséquent à celui du scénariste. Si on continue notre exploration au télescope, nous continuerons à percevoir une œuvre, qui devient un message, un message avec plusieurs degrés de perception, et sans qu'il ait pour autant des récepteurs définis. Un scénariste et une idée originale deviennent à eux seuls un univers, qui sait où il doit conduire son équipage pour la paix d'un système galactique dont il est responsable de par sa création. Le scénariste et son équipe finissent donc par créer l'univers, étant eux-mêmes dans un univers qui n'attendait plus qu'eux. Le célèbre astrophysicien Trinh Xuan Tuan l'écrit lui-même. L'univers semble être parfaitement réglé pour l'apparition d'un observateur intelligent, capable d'apprécier son organisation et son harmonie. Ici, par extension, ce sont les personnages du space opéra guidés par le scénariste qui sont donc les spectateurs intelligents du programme que leur réserve l'univers scénariste. L'univers acteur. L'univers est le personnage le plus abouti du space opéra. Il est celui qui n'a plus aucune considération morale. L'univers ne fait pas le mal. Lorsqu'il détruit les galaxies, c'est l'ordre naturel du cosmos. Il ne distribue pas, il redistribue. On ne s'en porte pas contre la nature. L'univers, de par sa nature, est donc aussi en mouvement. Il peut voir son propre destin changer quand une menace à son échelle intervient. L'univers est donc aussi... Là où peut se faire le voyage, car il est lui-même un voyageur dans son expansion et sa création. Il favorise la vie, la vie intelligente. Il semble vouloir qu'on le découvre, car il repousse toujours plus loin ses limites. Pour finir, l'univers cohérent. Tous ces univers doivent répondre à un univers cohérent pour le spectateur et la myriade d'auteurs qui vont travailler sur le projet. L'univers cohérent va devoir répondre à des problématiques aussi bien primaires que de background, qui permettront à tous de se situer en très peu de temps. L'univers cohérent comprendra par exemple le background de la situation géopolitique des différentes races, pourquoi cette espèce a une haine contre une autre espèce, telle espèce a disparu, etc. L'univers cohérent comprendra donc ensuite l'univers étendu, c'est-à-dire l'exploration scénaristique de pans entiers simplement évoqués dans l'univers original. On pourra suivre le retour d'entre les morts, on pourra suivre le retour d'entre les morts d'un personnage laissé pour décéder sur une planète en guerre. ou les aventures des enfants des personnages principaux. Voilà, c'est tout pour aujourd'hui, patrouilleurs du cosmos. A bientôt pour de prochains épisodes.

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Dans ce numéro de space opera, on explore l'interaction entre l'univers, l'espace et l'humanité.

Trinh Xuan Thuan souligne que l'existence humaine est intrinsèquement liée aux propriétés de l'univers. L'écriture d'un space opera nécessite donc une fascination pour l'univers et une connexion avec les faits scientifiques. L'espace, bien que inhospitalier, favorise la technologie, mais il entrave également la vie organique. L'univers est alors perçu comme organique, conscient et planifié, avec un programme cosmique favorisant l'expansion de la vie.
L'univers agit comme un acteur, redistribuant plutôt que détruisant, et favorisant la vie intelligente.

Enfin, nous évoquerons l' univers cohérent dans le space opera doit répondre à des questions géopolitiques, tout en explorant des aspects non couverts dans l'univers original.

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Le premier contact version Piano (Cyril Callejon)


Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

Transcription

  • Speaker #0

    Bonjour et bienvenue dans ce nouveau numéro de Space Opera. Aujourd'hui nous allons à la rencontre de l'univers. Si l'univers est aussi vaste, c'est pour permettre notre présence. Si l'univers est tel qu'il est, c'est parce que l'homme est là pour observer et se poser des questions. La cosmologie moderne a découvert que l'existence de l'être humain est inscrite dans les propriétés de chaque atome, de chaque étoile, de chaque galaxie de l'univers, et dans chacune des lois physiques qui régissent le cosmos. Voici ce que Trinh Huang Tan dit dans Le cosmos et le lotus chez Albin Michel. L'écriture d'un space opéra suppose deux choses. Premièrement, son créateur est une réelle fascination pour l'univers, l'univers désignant l'ensemble des éléments où se déroule son histoire. Il ne faut pas confondre avec l'espace où évoluent les vaisseaux. Secondement, qu'il existe un lien entre le récit et les faits scientifiques connus ou supposés à l'époque de l'écriture. De plus, quand on parle d'univers, de galaxies et d'espace dans le space opéra, tout ceci peut très vite devenir compliqué à comprendre. Par exemple, l'espace est à la fois l'espace dans notre système solaire, aussi bien que dans notre galaxie. C'est une absence de matière pour faire simple. L'univers est plus grand que la galaxie. Un univers peut contenir un nombre incalculable de galaxies. Même si parfois les protagonistes parlent de l'univers ou de l'espace, ils sont pour la plupart à une échelle plus modeste, celle de la galaxie. Une galaxie peut quant à elle contenir un nombre certain de systèmes solaires. L'univers de Stargate repose sur cette convention. Un système de portes dédié à une galaxie, la nôtre étant la galaxie de la Voie Lactée où évolue le SG-1, et la seconde étant la galaxie de Pégase où évoluent d'autres équipes SG. Une fois les problèmes sémantiques éliminés, il nous reste celui de la thématique de l'espace. L'espace est une sorte de temple théâtre. C'est là que tout va se jouer. L'espace est l'endroit où se meut l'action, ou dans lequel le vaisseau circule, et non les humains. Par contre, l'espace n'est pas l'univers avec un grand U. L'espace est froid, inhospitalier, et fait tout pour dissuader la vie de se développer. L'espace favorise donc la technologie, froide elle aussi, pour rendre la vie organique esclave de son entretien. L'espace protège l'univers en rendant inaccessibles ses secrets. Mais il le protège seulement tel un gardien avide de sa captive. Pourquoi une telle haine ? Pourquoi de tels obstacles ? L'espace sait que si on rentre en contact avec l'univers, l'être qui lui permet l'expansion de la vie, la nature même de la vie, et notre vision s'en retrouveront changées. L'espace conditionne et limite la vie, quand elle ne peut l'empêcher de se développer. Dans tout le space opéra, lorsqu'un être vivant parvient à se débarrasser de ce corps physique que conditionne l'espace, il perçoit la vie d'une façon tellement plus puissante qu'il s'en trouve changé à jamais. Que cela soit Spock, lors de sa fusion avec la sonde V'ger, ou... ou bien même la sonde V'ger qui a su dépasser ses limites imposées par l'espace. Ils ont tous quasiment achevé leur voyage vers une illumination métaphysique. Quand un être vivant arrive à s'affranchir pendant quelques instants des contraintes du froid de l'espace, il peut admirer l'étendue de l'univers créateur, celui qu'il cherche toujours à favoriser la vie. L'univers, notre mère. Plusieurs fois dans nos discussions, j'ai fait mention d'un univers organique, d'un univers qui semble conscient, vivant, doué d'une certaine intelligence et qui suivrait un plan. Surtout ces dernières années avec les avancées de l'astrophysique, les auteurs ont développé une perception plus naturelle de l'univers. Je pense aussi que l'éveil de la conscience écologiste joue également un rôle important. L'univers nous tend alors les bras comme l'océan, il y a plus de 400 ans, et il ne demande plus qu'à être découvert, exploré et habité. L'univers dans le space opéra a donc toujours un plan, un plan qui n'a ni début ni fin. Dans ce plan, à l'échelle d'un temps universel, nous ne faisons que passer, le voyage n'est pas figé, et il propose une multitude de voies possibles qui favorisent qu'une seule chose, l'expansion de la vie. Sans vie, pas de voyage, pas d'évolution, rien que l'absence et le vide rempli par l'espace. Le fameux programme cosmique que la vie doit suivre est donc un problème récurrent qui est cristallisé dans la fameuse prime directive de Starfleet. Mais il s'agit ici de ne pas influencer le développement culturel et technologique d'une civilisation qui n'a pas encore atteint le niveau suffisant pour explorer l'univers. Ce thème de l'évolution est bien celui de l'évolution de la vie. Rien de droit, dans le parcours des civilisations, contraint le développement d'inaturés. Il faut bien prendre en note la notion de naturel. Toute espèce qui tente d'aller contre sa nature devient un danger pour elle-même et pour l'univers. Le problème ici, pour l'humanité qui voyage, est donc de savoir quand l'univers nous demande d'intervenir, quand nous ne sommes pas partie intégrante du problème. Paradoxalement, dans notre soif d'émancipation, Les humains se retrouvent coincés dans une sorte de prédéterminisme où leur libre arbitre ne peut sembler que fantaisiste. Freeman Dyson disait, lui, que l'univers savait quelque part que l'homme allait venir. L'univers nous attend donc, et son plan surgit dans les moments de grandes menaces, de crises qui sentent bon l'annulation de toute forme de vie. Elle offre à un être humain insignifiant la possibilité, un choix, une voie, qu'il doit poursuivre pour que la vie continue d'exister sous n'importe quelle forme. Il ne faut pas confondre. La voie que chacun des personnages doit suivre dans le cheminement de l'univers, avec cette multitude de chemins de vie qui conduisent au grand dessin de l'univers, et par conséquent à celui du scénariste. Si on continue notre exploration au télescope, nous continuerons à percevoir une œuvre, qui devient un message, un message avec plusieurs degrés de perception, et sans qu'il ait pour autant des récepteurs définis. Un scénariste et une idée originale deviennent à eux seuls un univers, qui sait où il doit conduire son équipage pour la paix d'un système galactique dont il est responsable de par sa création. Le scénariste et son équipe finissent donc par créer l'univers, étant eux-mêmes dans un univers qui n'attendait plus qu'eux. Le célèbre astrophysicien Trinh Xuan Tuan l'écrit lui-même. L'univers semble être parfaitement réglé pour l'apparition d'un observateur intelligent, capable d'apprécier son organisation et son harmonie. Ici, par extension, ce sont les personnages du space opéra guidés par le scénariste qui sont donc les spectateurs intelligents du programme que leur réserve l'univers scénariste. L'univers acteur. L'univers est le personnage le plus abouti du space opéra. Il est celui qui n'a plus aucune considération morale. L'univers ne fait pas le mal. Lorsqu'il détruit les galaxies, c'est l'ordre naturel du cosmos. Il ne distribue pas, il redistribue. On ne s'en porte pas contre la nature. L'univers, de par sa nature, est donc aussi en mouvement. Il peut voir son propre destin changer quand une menace à son échelle intervient. L'univers est donc aussi... Là où peut se faire le voyage, car il est lui-même un voyageur dans son expansion et sa création. Il favorise la vie, la vie intelligente. Il semble vouloir qu'on le découvre, car il repousse toujours plus loin ses limites. Pour finir, l'univers cohérent. Tous ces univers doivent répondre à un univers cohérent pour le spectateur et la myriade d'auteurs qui vont travailler sur le projet. L'univers cohérent va devoir répondre à des problématiques aussi bien primaires que de background, qui permettront à tous de se situer en très peu de temps. L'univers cohérent comprendra par exemple le background de la situation géopolitique des différentes races, pourquoi cette espèce a une haine contre une autre espèce, telle espèce a disparu, etc. L'univers cohérent comprendra donc ensuite l'univers étendu, c'est-à-dire l'exploration scénaristique de pans entiers simplement évoqués dans l'univers original. On pourra suivre le retour d'entre les morts, on pourra suivre le retour d'entre les morts d'un personnage laissé pour décéder sur une planète en guerre. ou les aventures des enfants des personnages principaux. Voilà, c'est tout pour aujourd'hui, patrouilleurs du cosmos. A bientôt pour de prochains épisodes.

Description

Dans ce numéro de space opera, on explore l'interaction entre l'univers, l'espace et l'humanité.

Trinh Xuan Thuan souligne que l'existence humaine est intrinsèquement liée aux propriétés de l'univers. L'écriture d'un space opera nécessite donc une fascination pour l'univers et une connexion avec les faits scientifiques. L'espace, bien que inhospitalier, favorise la technologie, mais il entrave également la vie organique. L'univers est alors perçu comme organique, conscient et planifié, avec un programme cosmique favorisant l'expansion de la vie.
L'univers agit comme un acteur, redistribuant plutôt que détruisant, et favorisant la vie intelligente.

Enfin, nous évoquerons l' univers cohérent dans le space opera doit répondre à des questions géopolitiques, tout en explorant des aspects non couverts dans l'univers original.

Bienvenue sur Space Opera

Crédit musique ;

Tatoo ( Cover)
Le premier contact version Piano (Cyril Callejon)


Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

Transcription

  • Speaker #0

    Bonjour et bienvenue dans ce nouveau numéro de Space Opera. Aujourd'hui nous allons à la rencontre de l'univers. Si l'univers est aussi vaste, c'est pour permettre notre présence. Si l'univers est tel qu'il est, c'est parce que l'homme est là pour observer et se poser des questions. La cosmologie moderne a découvert que l'existence de l'être humain est inscrite dans les propriétés de chaque atome, de chaque étoile, de chaque galaxie de l'univers, et dans chacune des lois physiques qui régissent le cosmos. Voici ce que Trinh Huang Tan dit dans Le cosmos et le lotus chez Albin Michel. L'écriture d'un space opéra suppose deux choses. Premièrement, son créateur est une réelle fascination pour l'univers, l'univers désignant l'ensemble des éléments où se déroule son histoire. Il ne faut pas confondre avec l'espace où évoluent les vaisseaux. Secondement, qu'il existe un lien entre le récit et les faits scientifiques connus ou supposés à l'époque de l'écriture. De plus, quand on parle d'univers, de galaxies et d'espace dans le space opéra, tout ceci peut très vite devenir compliqué à comprendre. Par exemple, l'espace est à la fois l'espace dans notre système solaire, aussi bien que dans notre galaxie. C'est une absence de matière pour faire simple. L'univers est plus grand que la galaxie. Un univers peut contenir un nombre incalculable de galaxies. Même si parfois les protagonistes parlent de l'univers ou de l'espace, ils sont pour la plupart à une échelle plus modeste, celle de la galaxie. Une galaxie peut quant à elle contenir un nombre certain de systèmes solaires. L'univers de Stargate repose sur cette convention. Un système de portes dédié à une galaxie, la nôtre étant la galaxie de la Voie Lactée où évolue le SG-1, et la seconde étant la galaxie de Pégase où évoluent d'autres équipes SG. Une fois les problèmes sémantiques éliminés, il nous reste celui de la thématique de l'espace. L'espace est une sorte de temple théâtre. C'est là que tout va se jouer. L'espace est l'endroit où se meut l'action, ou dans lequel le vaisseau circule, et non les humains. Par contre, l'espace n'est pas l'univers avec un grand U. L'espace est froid, inhospitalier, et fait tout pour dissuader la vie de se développer. L'espace favorise donc la technologie, froide elle aussi, pour rendre la vie organique esclave de son entretien. L'espace protège l'univers en rendant inaccessibles ses secrets. Mais il le protège seulement tel un gardien avide de sa captive. Pourquoi une telle haine ? Pourquoi de tels obstacles ? L'espace sait que si on rentre en contact avec l'univers, l'être qui lui permet l'expansion de la vie, la nature même de la vie, et notre vision s'en retrouveront changées. L'espace conditionne et limite la vie, quand elle ne peut l'empêcher de se développer. Dans tout le space opéra, lorsqu'un être vivant parvient à se débarrasser de ce corps physique que conditionne l'espace, il perçoit la vie d'une façon tellement plus puissante qu'il s'en trouve changé à jamais. Que cela soit Spock, lors de sa fusion avec la sonde V'ger, ou... ou bien même la sonde V'ger qui a su dépasser ses limites imposées par l'espace. Ils ont tous quasiment achevé leur voyage vers une illumination métaphysique. Quand un être vivant arrive à s'affranchir pendant quelques instants des contraintes du froid de l'espace, il peut admirer l'étendue de l'univers créateur, celui qu'il cherche toujours à favoriser la vie. L'univers, notre mère. Plusieurs fois dans nos discussions, j'ai fait mention d'un univers organique, d'un univers qui semble conscient, vivant, doué d'une certaine intelligence et qui suivrait un plan. Surtout ces dernières années avec les avancées de l'astrophysique, les auteurs ont développé une perception plus naturelle de l'univers. Je pense aussi que l'éveil de la conscience écologiste joue également un rôle important. L'univers nous tend alors les bras comme l'océan, il y a plus de 400 ans, et il ne demande plus qu'à être découvert, exploré et habité. L'univers dans le space opéra a donc toujours un plan, un plan qui n'a ni début ni fin. Dans ce plan, à l'échelle d'un temps universel, nous ne faisons que passer, le voyage n'est pas figé, et il propose une multitude de voies possibles qui favorisent qu'une seule chose, l'expansion de la vie. Sans vie, pas de voyage, pas d'évolution, rien que l'absence et le vide rempli par l'espace. Le fameux programme cosmique que la vie doit suivre est donc un problème récurrent qui est cristallisé dans la fameuse prime directive de Starfleet. Mais il s'agit ici de ne pas influencer le développement culturel et technologique d'une civilisation qui n'a pas encore atteint le niveau suffisant pour explorer l'univers. Ce thème de l'évolution est bien celui de l'évolution de la vie. Rien de droit, dans le parcours des civilisations, contraint le développement d'inaturés. Il faut bien prendre en note la notion de naturel. Toute espèce qui tente d'aller contre sa nature devient un danger pour elle-même et pour l'univers. Le problème ici, pour l'humanité qui voyage, est donc de savoir quand l'univers nous demande d'intervenir, quand nous ne sommes pas partie intégrante du problème. Paradoxalement, dans notre soif d'émancipation, Les humains se retrouvent coincés dans une sorte de prédéterminisme où leur libre arbitre ne peut sembler que fantaisiste. Freeman Dyson disait, lui, que l'univers savait quelque part que l'homme allait venir. L'univers nous attend donc, et son plan surgit dans les moments de grandes menaces, de crises qui sentent bon l'annulation de toute forme de vie. Elle offre à un être humain insignifiant la possibilité, un choix, une voie, qu'il doit poursuivre pour que la vie continue d'exister sous n'importe quelle forme. Il ne faut pas confondre. La voie que chacun des personnages doit suivre dans le cheminement de l'univers, avec cette multitude de chemins de vie qui conduisent au grand dessin de l'univers, et par conséquent à celui du scénariste. Si on continue notre exploration au télescope, nous continuerons à percevoir une œuvre, qui devient un message, un message avec plusieurs degrés de perception, et sans qu'il ait pour autant des récepteurs définis. Un scénariste et une idée originale deviennent à eux seuls un univers, qui sait où il doit conduire son équipage pour la paix d'un système galactique dont il est responsable de par sa création. Le scénariste et son équipe finissent donc par créer l'univers, étant eux-mêmes dans un univers qui n'attendait plus qu'eux. Le célèbre astrophysicien Trinh Xuan Tuan l'écrit lui-même. L'univers semble être parfaitement réglé pour l'apparition d'un observateur intelligent, capable d'apprécier son organisation et son harmonie. Ici, par extension, ce sont les personnages du space opéra guidés par le scénariste qui sont donc les spectateurs intelligents du programme que leur réserve l'univers scénariste. L'univers acteur. L'univers est le personnage le plus abouti du space opéra. Il est celui qui n'a plus aucune considération morale. L'univers ne fait pas le mal. Lorsqu'il détruit les galaxies, c'est l'ordre naturel du cosmos. Il ne distribue pas, il redistribue. On ne s'en porte pas contre la nature. L'univers, de par sa nature, est donc aussi en mouvement. Il peut voir son propre destin changer quand une menace à son échelle intervient. L'univers est donc aussi... Là où peut se faire le voyage, car il est lui-même un voyageur dans son expansion et sa création. Il favorise la vie, la vie intelligente. Il semble vouloir qu'on le découvre, car il repousse toujours plus loin ses limites. Pour finir, l'univers cohérent. Tous ces univers doivent répondre à un univers cohérent pour le spectateur et la myriade d'auteurs qui vont travailler sur le projet. L'univers cohérent va devoir répondre à des problématiques aussi bien primaires que de background, qui permettront à tous de se situer en très peu de temps. L'univers cohérent comprendra par exemple le background de la situation géopolitique des différentes races, pourquoi cette espèce a une haine contre une autre espèce, telle espèce a disparu, etc. L'univers cohérent comprendra donc ensuite l'univers étendu, c'est-à-dire l'exploration scénaristique de pans entiers simplement évoqués dans l'univers original. On pourra suivre le retour d'entre les morts, on pourra suivre le retour d'entre les morts d'un personnage laissé pour décéder sur une planète en guerre. ou les aventures des enfants des personnages principaux. Voilà, c'est tout pour aujourd'hui, patrouilleurs du cosmos. A bientôt pour de prochains épisodes.

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