- Speaker #0
Super Docteur, c'est le podcast des médecins généralistes. Le podcast qui vous transmet les recommandations de bonne pratique et les résultats des grandes études qui vont changer vos habitudes. Super Docteur, c'est la découverte de méthodes de soins innovantes et des interviews de soignants inspirants qui boosteront votre motivation. Un contenu court et pratique, chaque semaine, pour tous les médecins. Bienvenue dans Superdocteur, le podcast des médecins qui vous permet de sortir de la routine de votre cabinet et d'explorer de nouvelles perspectives. Aujourd'hui, je vous propose un épisode un peu à part. Parce qu'une pratique médicale d'excellence passe aussi, selon moi, par une véritable indépendance. Indépendance de pensée, indépendance thérapeutique, mais aussi indépendance financière. C'est un sujet qu'on aborde peu en médecine et pourtant il conditionne énormément notre liberté au quotidien. Parce que construire aujourd'hui une sécurité financière... c'est pouvoir assumer demain des choix sur sa carrière, sans dépendre de quiconque ni même de son tarif horaire. C'est pourquoi j'ai choisi d'inviter un médecin qui a osé sortir des sentiers battus, le docteur Aymeric Roche. Radiologue, entrepreneur et investisseur immobilier à succès, Aymeric a bâti un patrimoine solide en parallèle de son activité médicale. Dans cet épisode, il va nous raconter son parcours, déconstruire les idées reçues sur l'investissement, et surtout, nous donner des clés concrètes pour poser les bases d'une sécurité financière même quand on part de zéro. Un épisode pour tous les confrères et les consoeurs qui veulent bâtir une carrière libre, exigeante et alignée avec leurs valeurs. Salut Aymeric, je suis très heureux de te retrouver. Tu nous as déjà parlé de radiologie et on se retrouve aujourd'hui pour parler de ta deuxième passion, l'immobilier.
- Speaker #1
Salut Mathieu, merci beaucoup pour ton invitation. Et oui, effectivement, après avoir évoqué ma première passion qui est l'imagerie médicale et la radiologie, on va pouvoir effectivement aborder cette deuxième passion qui est l'immobilier, effectivement.
- Speaker #0
Je suis très heureux. Donc, je le rappelle, tu es radiologue et en parallèle de ton activité, tu as bâti un patrimoine immobilier de plusieurs millions d'euros. Est-ce que tu peux m'expliquer quel a été ton déclic, celui qui t'a poussé à t'intéresser à l'immobilier en parallèle de ton activité médicale ? Et comment ça a commencé pour toi, s'il te plaît ?
- Speaker #1
Oui, bien sûr. En fait, si tu veux, le déclic pour moi, il a essentiellement été existentiel. C'est-à-dire que ce n'était pas un sujet financier à la base. En fait, j'ai eu plusieurs événements de vie assez difficiles. d'abord par Alors, personne ne le sait parce que je ne communique pas là-dessus, mais j'ai eu un accident à l'âge de 13 ans qui m'a amené en réanimation. J'étais renversé par une voiture, donc j'ai eu un ébopsie de motoraxe compressif avec un gros volet costal. Et donc, j'ai passé de longues journées en réanimation et j'ai vraiment failli perdre la vie à ce moment-là. Donc déjà, assez tôt, tu vois, j'ai un événement de vie qui m'a fait un peu prendre conscience de la valeur du temps. Peu de temps après, j'ai mon père qui est décédé très jeune, à l'âge de 47 ans, d'un cancer. d'ailleurs c'est peut-être un petit peu pour ça que j'ai fait médecine derrière pour prendre une... peut-être une certaine forme de revanche sur la vie. Et puis ensuite, là récemment, j'ai accompagné ma mère aussi sur une fin de vie difficile. Donc tu vois, ça c'est des événements qui m'ont un petit peu bouleversé tous les uns à la suite des autres. Autre chose aussi, j'ai par exemple le père de ma femme qui était médecin généraliste, qui est décédé l'année dernière avant l'âge de la retraite d'un infarctus brutalement dans son cabinet. Donc tout ça, si tu veux, c'est des événements assez marquants qui m'ont fait prendre conscience de la valeur du temps en fait. Et qu'avec la santé, j'ai pris conscience que le temps était notre ressource la plus précieuse et la plus fragile. Et je trouve qu'en tant que médecin, tu vois, on a tous des longues journées au cabinet à prendre soin des autres. Mais j'ai envie de dire à quel prix. Et on sait très bien qu'il y a de plus en plus de burn-out. L'exercice médical quotidien est de plus en plus exigeant, de plus en plus difficile. Et de mon côté, moi, j'estime qu'on a le droit en tant que médecin de prendre soin des autres, mais avec aussi du temps pour prendre soin de soi, parce qu'on s'oublie quand même relativement souvent. Et donc, pour moi, ça passe par avoir un équilibre de vie pro et perso qui nous permet d'être épanouis. d'avoir le temps de faire du sport, d'avoir le temps de faire ses enfants, etc. Et donc indirectement, j'en suis convaincu de mieux prendre en charge nos patients parce que tout simplement, on est mieux dans le basket, on est plus épanoui. Donc l'immobilier pour moi, c'est d'abord un outil de sécurité et de liberté, protéger mon temps et avoir un meilleur équilibre de vie pro-perso. Évidemment, on n'en a pas encore parlé, mais sécuriser l'avenir face aux incertitudes, notamment de la retraite, mais pas que. On parle beaucoup de l'IA sur ce podcast depuis quelques temps, ça fait partie des incertitudes de notre avenir. Et puis aussi, protéger mes enfants et leur transmettre un patrimoine. Ça, c'est quelque chose aussi qui compte beaucoup pour moi.
- Speaker #0
Très bien, effectivement, je comprends d'où tu pars. Moi-même, qui te connais, je ne savais pas tout ça. Je te remercie de nous avoir partagé toute ton histoire. Est-ce que tu peux m'expliquer ? Du coup, j'ai bien compris ton désir d'indépendance, au minimum de sécurité financière. Et je milite aussi beaucoup dans ce podcast pour ça, parce qu'on n'est pas censé dépendre d'aide de quiconque. Et si possible, pourquoi pas de notre temps journalier afin d'être plus libre ? Parce que si demain, on a des décisions importantes à prendre qui peuvent nous amener à gagner moins d'argent, le fait d'avoir investi en amont, ça nous permet d'avoir le courage de prendre ces décisions. Est-ce que tu peux m'expliquer concrètement à quoi ressemblait ta première opération immobilière ? Est-ce que c'était un succès immédiat ? Est-ce que c'était une petite galère, voire même un échec ?
- Speaker #1
Alors c'était une belle galère. Moi je me suis lancé, j'ai fait l'erreur de me lancer seul, donc pas d'entourage, pas de famille dans l'immobilier, pas de réseau, rien du tout. Ma première opération de manière très concrète, c'était la mise en place d'une colocation dans un appartement dans une ville étudiante. Donc un appartement que j'ai acheté, rénové seul, même si j'ai quand même délégué les travaux. Donc sur le papier, c'était une grosse galère. Après en pratique, c'était une expérience déjà évidemment extrêmement formatrice qui m'a appris un peu l'immobilier de terrain. mais surtout c'est celle qui a été la plus importante encore aujourd'hui parce que c'est celle qui est tout simplement à l'origine de l'ensemble du processus et qui a permis d'amorcer le processus et de comprendre l'intérêt de le faire et pourquoi le faire malgré les difficultés. Donc ce qui compte vraiment, ce n'est pas tellement la qualité de cette première opération qui n'a pas été un échec global, mais où il y avait beaucoup de choses potentiellement sur lesquelles on aurait pu faire mieux. Donc ne pas attendre l'opportunité parfaite, mais de se lancer, de se mettre en mouvement, en action et d'initier vraiment cette démarche.
- Speaker #0
Excellent, c'est hyper important de passer de 0 à 1, de faire le premier pas, même si c'est un échec. Il y a beaucoup de gens qui disent mieux vaut fait que parfait en fait. Exactement. Du coup, tu m'as dit que tu avais commencé seul, tu ne t'étais pas formé, est-ce que quelqu'un t'a accompagné dans le début ou tu étais vraiment solo ?
- Speaker #1
Non, j'étais vraiment solo, après je me suis beaucoup formé seul, donc lecture, podcast, etc. J'ai bien sûr aussi investi quand même dans quelques formations, mais dans l'exécution j'étais seul. après suite à cette première opération qui était quand même pour moi, un vrai challenge. À l'époque, je faisais d'autres projets à côté, universitaires notamment, puisque j'étais en fin d'internat. Je commençais à mettre en place tuto radio. Donc, je faisais beaucoup de choses à côté. J'ai tout de suite compris que ça allait être compliqué de tout faire en même temps et que je n'allais pas pouvoir enchaîner comme ça des opérations seul. Et donc, du coup, j'ai pris conscience assez vite. Heureusement, j'ai eu cette chance de l'importance de se faire accompagner. Donc, j'ai, dès la deuxième opération, investi dans un accompagnement. qui m'a permis du coup de mettre en place des processus et une stratégie qui m'ont du coup évité plein de galères et plein d'erreurs secondairement et qui m'ont fait gagner bien sûr plein d'années. Donc beaucoup de formation en solo à la base et puis rapidement quand même enchaîner sur un accompagnement qui évidemment a changé tout pour la suite.
- Speaker #0
Super, tu vas me donner en off toutes les ressources, les livres, les podcasts que tu mentionnes, comme ça je les mettrai dans les notes de l'épisode, ça pourra aider nos auditeurs. Et l'accompagnement dont tu nous parles, qu'est-ce que c'était à l'époque ?
- Speaker #1
C'était un mentorat, c'était un mentorat, donc c'était un une personne expérimentée qui avait investi des centaines de biens dans sa carrière, d'une soixantaine d'années à l'époque, qui m'accompagne toujours d'ailleurs, qui tout simplement accompagnait des investisseurs comme moi, qui voulaient se lancer et sécuriser leur avenir.
- Speaker #0
Ok, donc tu as investi en toi et tu ne le regrettes pas a priori ?
- Speaker #1
Non, c'est le moins qu'on puisse dire.
- Speaker #0
Du coup, aujourd'hui, quel est ton niveau d'exposition dans l'immobilier ? Est-ce que tu peux me partager le nombre de tes biens ? Quels sont-ils ? Dans quelles régions ?
- Speaker #1
Bien sûr, on pourrait aller dans les détails. Alors, j'aimerais quand même préciser, parce que c'est toujours intéressant quand on échange comme ça en format un peu informel, de rentrer dans le détail des chiffres. Donc, je peux donner le montant. J'ai un patrimoine qui dépasse 5 millions d'euros dans l'immobilier aujourd'hui, brut évidemment. Brut, ça veut dire que ce n'est pas net de dette, bien entendu. Mais en fait, si tu veux, plus que la valeur du patrimoine, pour moi, elle n'a pas beaucoup d'importance. Ce qui compte pour moi, c'est surtout d'avoir des actifs productifs. Et quand je dis actifs productifs, je veux dire par là, de mettre en place des systèmes qui produisent des flux de revenus financiers et qui ne dépendent pas de mon temps quotidien. C'est-à-dire que je vais au cabinet le matin, je finis ma journée, ces actifs productifs ont produit des flux financiers qui me permettent du coup de préparer ma retraite, d'avoir cet équilibre dont on parlait, de protéger mes enfants, etc. Et pour moi, ce qui compte, c'est vraiment plutôt ce flux que la valeur du patrimoine elle-même. Voilà, et pour la partie localisation... C'est dans plusieurs régions. Je vais peut-être me préserver de dire lesquelles, parce que je ne voudrais pas que ce soit interprété comme un conseil d'investissement. Je ne préciserai pas, mais en tout cas, en termes de biens, c'est essentiellement des immeubles de rapport et des locaux commerciaux. J'ai aussi investi dans ma résidence principale. On peut investir dans sa résidence principale si on le fait bien et intelligemment. Donc voilà un peu pour les principales catégories de biens.
- Speaker #0
Très bien. Et une question que je me pose, comment tu fais pour gérer, par exemple, dans les immeubles de rapport, tous tes locataires ? Comment tu fais pour gérer leurs demandes multiples et variées ? Moi, j'ai un seul appart en location que je possède. Je trouve que ça me prend déjà beaucoup de temps. Comment tu fais pour absorber, si tu as plusieurs dizaines, voire quelques centaines de biens, de locataires, comment tu fais pour absorber toutes leurs demandes quotidiennes ?
- Speaker #1
En fait, si tu prends par exemple, je ne sais pas, Neymar ou je ne sais quel footballeur qui a un patrimoine immobilier de plusieurs dizaines ou centaines de millions d'euros, tu t'imagines bien que ce n'est pas lui qui répond à son locataire quand il y a une fuite quelque part. La clé, c'est de déléguer à des personnes compétentes et de créer des process, en fait, pour mettre les bonnes personnes dans la gestion. Donc, c'est une chaîne de délégation, un process. Ça se met en place. Bien sûr, ça prend un peu de temps. Il faut les bons intermédiaires, il faut les bonnes personnes. Mais voilà, l'objectif de faire ça, pour moi, il n'est certainement pas d'avoir une deuxième activité. Il est, au contraire, de gagner du temps libre, de gagner du temps avec mes enfants. Et donc, c'est vraiment l'inverse. C'est mettre en place des processus qui font que je gagne du temps. et pas qui consomment le temps libre que j'ai en sortant du cabinet.
- Speaker #0
Très bien. Du coup, avec le recul, qu'est-ce que tu dirais à un médecin qui pense que l'investissement immobilier, c'est trop compliqué ou ce n'est pas fait pour lui, et à ceux qui ont peur de contracter des crédits auprès de la banque et de s'endetter plusieurs centaines de milliers, voire plusieurs millions d'euros ?
- Speaker #1
Je comprends tout à fait ça, parce que moi, j'étais bien entendu dans cette situation il y a quelques années. Mais la première chose, en fait, c'est de se dire qu'il faut arrêter de croire que l'immobilier est fait pour quelqu'un. Le billet, ce n'est pas fait pour... pour moi, ce n'est pas fait pour Mathieu, c'est fait pour tout le monde et c'est fait pour personne. Moi, je ne suis pas fait pour l'immobilier plus qu'un autre éditeur de super docteur, mais c'est un outil extraordinaire de protection, c'est le seul outil de protection qui permet de mettre en place des revenus productifs en investissant de l'argent qui ne nous appartient pas. C'est ce qu'on appelle l'effet de levier du financement bancaire. L'immobilier, il n'est fait pour personne, c'est simplement le seul outil qui permet cet effet de levier. pour créer de l'actif productif. Donc moi, j'aurais envie de répondre, qu'est-ce qui est le plus compliqué entre travailler 40 ou 50 heures par semaine toute sa vie sans voir ses enfants ou mettre en place avec un petit peu d'effort à la base quelque chose qui va sécuriser toute sa semaine, tout son avenir et préserver son temps en fait. Donc ce n'est pas compliqué. C'est beaucoup moins compliqué que de devenir médecin. D'ailleurs, c'est intéressant quand même d'entendre des médecins qui ont peut-être fait les études les plus exigeantes qui existent aujourd'hui, dire que c'est compliqué. En fait, il faut simplement appliquer les bonnes stratégies et être bien accompagné. Et voilà. Et pour la partie dette, tu sais, ceux qui sont éduqués financièrement savent que l'endettement, c'est ce qui enrichit par les faits de levier, par le processus de capitalisation et qui permet ce processus avec une certaine neutralité fiscale. C'est très bien que c'est l'un des problèmes. C'est un bon problème, bien entendu, mais l'un des problèmes des médecins, c'est d'être fortement fiscalisé. Et j'aime bien donner une anecdote pour ça, c'est que... Si demain tu vas voir ta banque Mathieu en voulant emprunter 200 000 euros, tu dis voilà monsieur le banquier je voudrais emprunter 200 000 euros pour acheter les actions de votre propre banque parce que je crois beaucoup en votre banque. Le banquier va te dire bien entendu non, or si tu lui demandes 200 000 euros pour investir dans un bien immobilier, il va accepter si ta demande est à peu près cohérente. Donc ça veut dire qu'en fait la banque qui est l'institution qui est le plus allergique au risque et dont c'est le métier de gérer le risque croit bien plus en l'immobilier qu'en ses propres actions. Une fois qu'on a dit ça, je pense qu'on a tout dit et qu'un investisseur particulier peut avoir un parcours, somme toute, assez modeste qui permet de sécuriser son avenir sans prendre de risques inconsidérés.
- Speaker #0
C'est très clair. Tu me parles de banques. Du coup, je vais te poser une question que m'a demandé de te poser une de mes auditrices. Est-ce que tu sais s'il y a des banques plutôt internes-friendly ou particulièrement conciliant avec les médecins plus qu'une autre ?
- Speaker #1
Alors, le médecin est un profil extrêmement apprécié des banques. Pourquoi ? pour plusieurs raisons. D'abord, il a des revenus assez élevés, voire très élevés, bien entendu, par rapport à la moyenne nationale. Il a une forte capacité d'emprunt du fait, du coup, de ses revenus élevés. Et puis, un revenu globalement stable et une stabilité socio-économique qui est très, très appréciée des banques. Donc, de manière générale, la grande majorité des banques ont une affinité pour le profit du médecin. Après, il y a des banques qui sont plus spécialisées sur certains profils, bien entendu. Mais de manière générale, le statut de médecin est très peu apprécié. Et malheureusement, la plupart de nos confrères ne profitent pas de cet énorme avantage que nous envient tous les Français, et d'ailleurs pas que les Français, tout le monde dans le reste du monde. Et le médecin reste sur ses inconvénients, on va dire. Donc on a dit la fiscalité qui peut être écrasante à un certain niveau de revenu. Et donc le médecin imagine que c'est la même chose pour l'immobilier, alors que c'est totalement faux. Le médecin ne comprend pas la puissance de l'effet de l'ambulance et du financement dont on a parlé. il n'a pas le temps le temps parce que la plupart du temps son emploi il est surchargé, il n'a pas les compétences il n'a pas le réseau etc. Et c'est ce qui fait d'ailleurs que beaucoup de médecins n'investissent pas pour protéger leur avenir. Donc quand moi je parle de stratégie si tu veux adapter à notre situation de médecin c'est utiliser ses points forts donc haut revenu, forte capacité d'emprunt, stabilité etc. Profil apprécié des banques. En mettant en place finalement des solutions qui répondent à tous ces points faibles. Donc déléguer aux bonnes personnes, on en parlait tout à l'heure, pour gagner et protéger son temps libre, optimiser son effet de levier et sa fiscalité, et puis acheter des biens qui ont pour objectif d'être sereins sur le long terme et de dormir tranquille et d'avoir un patrimoine qui se construit en toute sérénité finalement.
- Speaker #0
Magnifique, j'apprends encore plein de trucs, c'est passionnant. Je te remercie beaucoup Aymeric, on arrive à la fin de ce premier épisode, le deuxième va suivre. Tu as édité un petit document. hyper utile. C'est les 10 règles d'or du médecin investisseur immobilier. Je vais mettre le lien dans les notes de cet épisode. Bravo, vous êtes bien arrivé à la fin de cette partie. La suite vous attend dans le prochain épisode. Pour ne rien manquer de Superdocteur, pensez à vous abonner dès maintenant à ce podcast. Et si vous aimez mon travail, le meilleur moyen de me soutenir c'est d'en parler autour de vous, à vos consoeurs ou vos confrères. Enfin, un petit geste qui fait une grande différence. Laissez-moi une belle note de 5 étoiles sur votre application de podcast préférée. Ça m'encourage énormément. Et ça aide d'autres médecins à découvrir SuperDocteur et partager ensemble des idées pour améliorer nos soins et enrichir nos pratiques. A très vite sur le podcast !