- Speaker #0
Super Docteur, c'est le podcast des médecins généralistes. Un contenu court et pratique, chaque semaine, pour tous les médecins. Vous connaissez ce moment en consultation où un patient arrive avec des ordonnances bien chargées, souvent rédigées par plusieurs spécialistes, et vous devez vous assurer qu'il n'y a pas d'interaction problématique ? Cette situation m'arrive quasiment tous les jours. Le dernier en date était un patient polymédiqué, sous anticoagulant pour une fibrillation atriale, sous anti-inflammatoire pour une arthrose, et avec un traitement pour son diabète. Bref, un cocktail à risque. Je voulais être certain de faire les bons choix pour lui. Avant, il fallait tout vérifier manuellement, analyser chaque molécule, croiser les fiches produits, évaluer les interactions. Un vrai défi, surtout en pleine consultation. Mais aujourd'hui, avec Vidal Mobile et sa fonctionnalité d'analyse d'ordonnance, j'ai un véritable assistant à portée de main. Il me suffit de scanner l'ordonnance ou d'entrer les médicaments, et en un instant, j'ai un bilan clair des interactions potentielles, des alertes précises et des recommandations adaptées. Résultat ? Je détecte rapidement les risques, j'ajuste la prescription en toute confiance et surtout je sécurise mon patient tout en gardant un temps précieux. L'appli est gratuite pour tous les médecins. Il suffit de la télécharger et de renseigner son numéro. RPPS, vous avez le lien dans les notes de cet épisode. De mon côté, je ne peux plus m'en passer, alors à vous de tester. Bonjour à tous et bienvenue dans Superdocteur. Et dans ce deuxième épisode de cette semaine, je vous invite à retrouver à nouveau mon invité, le docteur Anne Gabaralar, elle est gynécologue. Elle a réalisé une formidable thèse de recherche en philosophie de la médecine et son travail consiste à faire le lien entre les traumatismes de vie et les pathologies, notamment gynécologiques. C'est un entretien qui m'a absolument passionné. Je l'ai trouvé vraiment fascinant. Je pense que le premier épisode vous a plu. Alors, je vous invite dès à présent à découvrir la suite de notre entretien. Je vous invite également dès à présent à bien vouloir noter ce podcast, voire même lui mettre un pouce. commentaires sur votre appli préférée et ça me permet de référencer mon travail et le podcast sur toutes les plateformes pour le faire découvrir. Je vous remercie, ça m'aide énormément et je vous souhaite une excellente écoute. Anne, pour un médecin généraliste qui soupçonnerait une dimension psychologique dans une pathologie gynéco comme de l'endométriose, de l'infertilité voire des cystites à répétition motif aussi très fréquent en médecine générale est-ce qu'il y a des signaux d'alerte ou des indices qui peuvent orienté vers la piste du traumatisme psychologique ? Et puis, question subsidiaire, comment aborder le sujet avec nos patientes ?
- Speaker #1
Oui, très important. Donc, alors, moi, je ferais une petite nuance par rapport à est-ce qu'il y a une approche psychologique ? Je pense qu'on est fait de notre corps, mais de notre conscience supérieure et qu'ils sont indissociables. Et tout ça, c'est une information qui... se met dans la matière, en ce qui concerne la matière, mais une information psychique, émotionnelle, qui m'a fait d'ailleurs décrire une zone d'habitabilité, donc physique, bien sûr, avec la température, etc., mais aussi une zone d'habitabilité émotionnelle. Moi, je pense qu'on ne peut pas vivre avec une rage, une culpabilité, une honte à 10 sur 10 pendant 10 ans de sa vie. Le corps ne peut pas supporter ça. Et donc, moi, je... Je visualise comme un tout. C'est-à-dire, il n'y a pas... Donc, toute la maladie est une manifestation dans le corps de ce que nous vivons et de notre histoire. Et donc, toujours s'intéresser à l'histoire. Donc, les infections urinaires, on dit qu'une femme sur deux fera une infection urinaire au cours de sa vie. Quand elles sont erratiques, c'est un peu difficile de faire un lien avec la vie. Si elles deviennent à répétition, et souvent, chez l'adulte, elles sont. post-cohétale, à ce moment-là, ce que j'ai trouvé, c'est une rencontre problématique avec l'environnement. Le sens qu'elles ont, le plus souvent, c'est peut-être une défense, une manifestation du corps qui parle parce que le verbe ne peut pas s'exprimer. Et bien souvent, c'est une difficulté de la sexualité. Alors qu'il peut être une difficulté de la sexualité avec le compagnon en cours, mais aussi avec... quelque chose qui a été vécu auparavant. Donc, si on a une femme en bonne santé qui se met à faire 15-16 ans des infections urinaires, des crises de spasmophilie, de tétanie, qui se met à avoir des troubles de l'alimentation, c'est qu'elle a été abusée, violée, il y a 9 chances sur 10. Donc, tu me disais, oui, comment faire pour aller chercher ça ? Bien évidemment, c'est le clou de l'affaire. Cette information, Il faut aller la chercher. J'ai été stupéfiée, et je pèse mon mot, quand j'ai commencé ma thèse, à connaître l'histoire des patients, du nombre de femmes que je suivais depuis des années et dont j'ignorais. le vécu de violence qu'elles avaient eu ou qu'elles avaient. Donc, il ne faut pas hésiter à aller la chercher, cette information. Vous, médecin généraliste, par exemple, quand vous examinez un enfant, toujours lui demander à cet enfant « Est-ce que tu me permets de t'examiner ? » Parce que tu sais que ton corps, on n'a pas le droit d'y toucher, surtout tes parties intimes. Et donc, moi, je te demande la permission pour le faire. Est-ce que par hasard, quelqu'un a touché ton corps sans ta permission ? C'est complètement anodin, ce n'est pas agressif. Et comme ça, vous pouvez sauver des enfants qui ne sont pas en capacité de parler et de le dire d'une autre façon. Alors, ne pas hésiter à poser des questions. Posez des questions ouvertes. Donc, est-ce que quand elles viennent pour un symptôme qui est là depuis quelque temps, est-ce que quand ce symptôme est apparu, est-ce que vous avez vécu quelque chose de difficile ? Est-ce que d'ailleurs dans votre vie, vous avez vécu quelque chose de difficile ? Est-ce qu'après ces événements, vous avez eu des émotions qui sont difficiles à vivre pour vous ? Et puis, alors, quand vous serez un peu plus habitués, ou pour nous les gynécos, c'est plus facile, mais ne pas hésiter à aborder la sexualité. La sexualité nous dit tellement de nous, et de la violence qui… Quand il y a de la violence dans un couple, il y a forcément de la violence sexuelle. c'est exceptionnel qu'il n'y en ait pas. Donc, il faut aller chercher cette violence. Et après, quand on a cette information, ne pas avoir peur des émotions. Je me souviens, le premier jour où Charlie, cette patiente dont je vous ai parlé au départ, que j'ai appelée Charlie, m'a raconté son histoire, j'étais complètement paniquée. Qu'est-ce que je fais ? Qu'est-ce que je dois faire ? Moi, son médecin, je n'ai pas d'ordonnance à faire. J'ai appris petit à petit qu'il y a juste à recevoir l'émotion. Sachez que beaucoup de patientes et de patients n'ont pas de référent à qui parler. C'est-à-dire que ce qu'on va vous dire, ces secrets qu'on va vous dire, souvent on vous dira « c'est la première fois de ma vie que j'en parle » parce qu'elles n'ont pas de référent. Donc juste accueillir l'émotion, la légitimer dans un premier temps, parce qu'une émotion, elle est toujours… légitime, enfin, on n'a pas à la juger, on est tous différents, donc vous avez telle émotion, j'en ai une autre, et donc ne pas juger une émotion, la légitimer en disant, ben oui, je comprends que vous ayez eu cette émotion, pour après pouvoir l'apaiser. Alors, ce qu'on peut faire, c'est parfois juste expliquer la physiologie, et ça, bon, peut-être que j'ai pas assez de temps pour en parler, mais... J'en parle dans mon livre et je pense que c'est intéressant de savoir, parce que juste expliquer la physiologie, juste par exemple, expliquer qu'en cas de traumatisme très important, les hormones du stress, l'adrénaline, le cortisol, ils montent, ils montent, ils montent, et ils sont toxiques quand ils sont trop hauts. Enfin, elles sont toxiques, ces hormones, quand elles sont trop hautes. Et elles sont toxiques pour le cerveau, donc la victime peut perdre connaissance, et pour le cœur. Le cœur va s'emballer, il va s'emballer, et à partir d'un certain seuil, il va s'arrêter, on va mourir de peur. Il y a un verrou de sécurité qui fait qu'à partir d'un certain seuil, le cerveau est disjoncte. C'est comme un circuit électrique. Les hormones baissent tout de suite. La survie immédiate est assurée. Mais il y a un prix à payer. Le cortex ne reçoit plus d'informations sur l'état émotionnel et physique de la patiente qui dit « mais c'était complètement irréel. C'était comme si j'étais à côté de mon corps, comme si je voyais la scène, mais je n'y participais pas. » Et puis, j'étais tout seul. tétanisé. Je n'ai pas pu crier, je n'ai pas pu griffer, je n'ai pas pu me sauver. Et d'ailleurs, à cause de ça, j'ai eu une culpabilité et une honte à 10 sur 10 depuis 10 ans, parce que je n'en ai jamais parlé, parce que c'est comme si j'avais cautionné ce qui s'était passé. Et juste, parfois, d'expliquer que non, vous n'avez pas cautionné ce qui s'est passé. C'est que votre cerveau, il a choisi de vous paralyser. Vous étiez réellement paralysé. Et donc, vous me ne pouviez pas vous sauver, c'était pas possible. Et parfois, on voit des culpabilités qui « Mais alors, je suis coupable de rien. » Ben non, vous n'êtes coupable de rien. Je vais même aller jusqu'à dire que si on supprime, on empêche une culpabilité à 10 ou parfois c'est 50 sur 10 de s'installer pendant 10 ans, 20 ans, peut-être qu'on empêche une maladie auto-immune de plus tard. Enfin, moi, je vais jusque-là.
- Speaker #0
C'est très intéressant et je te remercie beaucoup de me permettre d'aborder avec toi le rôle essentiel des médecins, mais des soignants en général, de revenir aux fondamentaux, c'est-à-dire... d'écouter les patients, de prendre le temps de recevoir ce qu'ils ont à nous dire, de ne pas juger. Maintenant, en t'écoutant, on comprend l'intérêt de poser des questions ouvertes pour aller à la recherche de ce qu'on doit trouver, c'est-à-dire les traumatismes passés, les émotions enfouies. Je te remercie beaucoup. Ton travail, on l'a évoqué ces dernières minutes, c'est très intéressant, Anne. On comprend évidemment le lien corps-esprit, particulièrement en gynécologie. Est-ce que, selon toi, il n'y a-t-il pas un risque de tout interpréter sous l'angle du psychisme avec ces nouvelles données ? Est-ce qu'il n'y a pas un risque de minimiser le besoin de traitements médicaux classiques ? Et comment trouver un équilibre ?
- Speaker #1
Alors ma réponse est non, parce que ce n'est pas ou l'un ou l'autre, c'est et l'un et l'autre. Il n'est bien sûr pas question. une seconde de se priver de nos examens, de nos traitements. Pas une seconde, mais je pense que ce n'est pas suffisant. C'est-à-dire que c'est un soutien. Je pense que ce n'est pas la même chose de savoir ce qui est arrivé à votre patient. Vous n'aurez pas la même relation avec lui. Donc, ne serait-ce que pour l'aider à prendre ses décisions, pour faire ses examens, pour suivre ses traitements, si vous avez cette donnée. Et si je peux raconter une dernière histoire, si on a le temps, je ne sais pas. Bien sûr. Si le milieu hostile perdure, on a dit qu'on était en état d'anesthésie émotionnelle quand on était au moment du traumatisme. Donc, quelqu'un dont le milieu violent va perdurer va essayer de se faire autodigenter pour avoir cette anesthésie émotionnelle qui l'a fait vivre dans un monde fixe. qui est moins insupportable que le monde réel. Et cette anesthésie émotionnelle, si elle perdure, c'est délétère pour la santé, pour le psychisme aussi. Parce qu'on n'est pas fait pour être à côté de ses pompes en permanence. Et donc, une des conséquences sur le psychisme, c'est la perte du sentiment de propriété de son propre corps. Et ça, je l'ai expérimenté avec les patientes. Il y en a une qui venait me voir régulièrement et elle était souvent sale. Chez le gynéco, c'est désagréable. Donc, je me redissais un petit peu en me disant qu'elle me manquait de respect. Et puis, un jour, elle est venue avec un gros bidon. J'ai demandé depuis quand elle avait ça. Elle me dit « je ne sais pas, est-ce que vous avez remarqué que vous aviez un grand bidon ? » « Ben non ! » Alors, je me suis dit qu'elle se moquait de moi. Et en fait, j'étais en cours de thèse, donc je lui ai demandé de me raconter son histoire. Elle m'a raconté qu'elle avait été violée par son papa. toute sa jeunesse, qui en plus de la violer, l'humiliait. Après, elle avait eu un mari violent, donc elle était sans arrêt dans un univers de stress, sans arrêt en état d'anesthésie émotionnelle. Et elle vivait en quelque sorte à côté de son corps. Et elle me dit, en effet, mon corps… Alors, elle se scarifiait. Elle me dit, je peux rester des semaines sans me laver. En effet, elle a été opérée d'un kyste de l'ovaire de 4,5 kg. Je dis bien 4,5 kg. C'est-à-dire qu'elle vivait avec son fils de l'envers de 4,5 kg sans le savoir, quelque part. Elle vivait à côté de son corps. Ça change complètement le rapport du médecin avec cette femme. Complètement. Donc, je ne sais plus où on en était.
- Speaker #0
C'est une histoire absolument incroyable que tu me racontes. Pour conclure, Anne, je te remercie beaucoup d'avoir pris le temps avec moi de mener cet entretien. Je pense que ça va permettre... à beaucoup de nos consoeurs et de nos confrères d'appréhender non seulement les maladies gynécologiques, mais pas que. Tous nos patients sous un nouvel angle, l'angle de leurs histoires, de leur traumatisme passé, de leur sexualité. C'était passionnant, je te remercie infiniment. Est-ce que, avant de nous quitter, tu pourrais transmettre à nos confrères, à nos consoeurs qui nous écoutent, qui souhaitent approfondir l'approche psychologique-émotionnelle, Est-ce que tu veux nous transmettre un conseil ? Et surtout, est-ce que tu peux nous dire s'il y a des ressources, des formations ? Et puis, où est-ce qu'on peut retrouver ton travail avant de nous quitter ? Je rajoute simplement, avant de te remercier chaleureusement, Anne, j'envoie comme chaque fin de semaine une newsletter qui récapitule les grands points de cet épisode. Les notes sont dans les notes de ce podcast. Vous pouvez vous y abonner gratuitement. Je vais retranscrire tous les éléments importants et notamment les travaux d'Anne. Et je te laisse le mot de la fin et je te remercie beaucoup, Anne.
- Speaker #1
Merci à toi de m'avoir invitée. C'est pour moi très important de transmettre ce que j'ai compris. Donc, juste quelques mots peut-être à retenir. Travailler avec ce concept d'information plutôt que celui de matière. Ne pas avoir peur des émotions. Penser à la parole médecine. La première fois qu'on m'a dit « vous êtes gentille, merci d'avoir écouté » , je me suis dit « je n'ai pas fait dix ans d'études pour qu'on me dise que j'étais gentille » . Parce que je n'avais pas compris le pouvoir de cette parole médecine. Souvenons-nous de la femme qui a fait une toxémie et qui a dit « j'aurais juste voulu qu'on me dise que ce n'était pas obligatoire de reproduire ce qu'on avait vécu dans son enfance » . Donc, vos paroles, elles ont un poids très important. Peut-être qu'elle n'aurait pas fait cette toxémie. Une autre, si on a deux ans encore, elle a eu une péritonite suite à une perforation d'ulcère à 27 ans, un mois après un accouchement. Et l'histoire de cette femme, elle était croate, elle est venue pendant la guerre, elle a laissé son mari et son père sur le front, et elle, elle était enceinte. Et elle dit, j'ai vécu ma grossesse terrorisée de mettre au monde un enfant dans un univers de violence comme ça. Et donc, elle a très mal vécu sa grossesse. C'est moi qui l'ai suivi, je parlais, parce que je l'ai vu après, enfin, il m'a raconté son histoire après. Et elle m'a dit, j'étais terrorisée. J'attendais qu'une chose, c'est qu'on m'invite à parler de mes angoisses, qu'on me soutienne et aucune question n'est venue de moi. Et donc elle dit, moi je pense que ma rupture, enfin que cette péritonique aurait pu être évitée. Voilà ce qu'elle a dit, la patiente. Si la parole médecine avait fait, enfin si moi j'avais utilisé cette parole médecine, qui est maintenant si chère à mon cœur. Donc si vous souhaitez... un peu plus, j'ai fait un TEDx, TEDxRen, Anne Gabar-Hallard, donc 12 minutes. Si vous tapez aussi Anne Gabar-Hallard, j'ai fait une conférence d'une heure et demie qui est retranscrite en intégralité au CERA, et puis quelques autres petites choses sur iTunes. Il y a des dossiers, donc il y a mon livre qui s'appelle « Mon corps raconte mon histoire » , donc vous Ça souligne encore l'intérêt que je porte à l'histoire. Et dans ce livre, alors ce n'est pas facile à trouver, mais il y a un site qui s'appelle moncormonhistoire, il y a des tirés entre moncor et monhistoire.fr, où je donne des... enfin où il y a d'autres dossiers que ceux qui sont dans le livre, puisqu'il n'y en a pas beaucoup. Et puis ma thèse est en accès libre, où là il y a 300 dossiers. Voilà. Merci beaucoup de m'avoir invitée et merci de m'avoir permis de transmettre et de partager ce que ça a apporté dans ma vie, c'est-à-dire le sens. Et si peut-être ça va vous déstabiliser parce que ça vous fait sortir de votre zone de confort, ça prend du temps, donc le temps c'est de l'argent, mais ce que vous allez trouver c'est le sens et c'est magnifique. Et si pendant un moment l'idée m'a traversé l'esprit, pardon. d'arrêter de faire de la gynécologie. Maintenant, je rêverais d'avoir 30 ans pour me réinstaller. Voilà, bonne chance à vous qui avez votre vie de médecin devant vous. C'est magnifique.
- Speaker #0
Merci pour cette magnifique conclusion. Je mets toutes les ressources dont tu viens de me parler dans la newsletter du podcast. À bientôt, Anne.
- Speaker #1
Au revoir, Mathieu. Merci d'avoir été là.
- Speaker #0
Bravo, vous êtes bien arrivée à la fin de cet entretien. J'espère qu'il vous a inspiré et apporté des clés utiles pour votre pratique. Pour ne rien manquer des prochains épisodes de Superdocteur, pensez à vous abonner dès maintenant. Si mon travail vous plaît, parlez-en autour de vous, à vos consoeurs, vos confrères et même à vos internes. Et si vous voulez me soutenir, laissez-moi une belle note de 5 étoiles sur votre application de podcast préférée. C'est rapide, ça m'aide énormément et surtout ça permet à d'autres médecins de découvrir ce contenu pour que l'on partage ensemble nos idées et améliorer nos pratiques. Merci pour votre écoute et à très bientôt.