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Episode 18  : THE OUTSIDER cover
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SUR MON CHEMIN

Episode 18 : THE OUTSIDER

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05min |28/03/2025
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SUR MON CHEMIN

Episode 18 : THE OUTSIDER

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05min |28/03/2025
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Description

Aujourd’hui, je vous invite à découvrir une adaptation récente d’une œuvre de Stephen King, maître incontesté de la littérature fantastique et horrifique. 


Nous allons parler de la série The Outsider, diffusée sur HBO, développée par Richard Price, et à laquelle Stephen King à lui-même participé en tant que coscénariste.



Avant d’aborder « The Outsider », rappelons que Stephen King a déjà inspiré un nombre considérable de films et de séries. 


Parmi les adaptations les plus marquantes, citons

  • Carrie au bal du diable (1976, réalisé par Brian De Palma), 

  • Shining (1980, par Stanley Kubrick), 

  • Cujo (1983), 

  • Dead Zone (1983, par David Cronenberg), Christine (1983, par John Carpenter), 

  • Les Démons du maïs (Children of the Corn, 1984), 

  • Stand by Me (1986, tiré de la nouvelle « Le Corps »), 

  • Misery (1990), 

  • la mini-série Ça (1990), 

  • Les Tommyknockers (1993), 

  • Le Fléau (The Stand, mini-série de 1994 puis remake en 2020), 

  • Les Langoliers (1995), 

  • Les Évadés 

  • Dolores Claiborne , 

  • La Tempête du siècle La Ligne Verte 

  • Dead Zone (la série TV diffusée entre 2002 et 2007), 

  • Under the Dome (2013-2015), 

  • la mini-série 22/11/63 (2016), 

  • Mr Mercedes (2017-2019), 

  • Castle Rock (2018-2019), 

  • The Mist (2017), et récemment Ça (2017 puis 2019) ainsi que

  • Docteur Sleep (2019). 


Cet inventaire témoigne clairement de l’attrait durable exercé par l’univers de King sur les cinéastes, les scénaristes et le public, que ce soit au cinéma ou à la télévision, et illustre combien son œuvre prolifique constitue une source d’inspiration quasi-inépuisable pour l’industrie audiovisuelle.



L’intrigue de “The Outsider” s’ouvre sur la découverte du corps mutilé d’un enfant dans une petite ville paisible. Toutes les preuves, qu’il s’agisse d’empreintes digitales, d’ADN ou de témoignages, désignent Terry Maitland, un citoyen modèle et entraîneur de baseball. Ralph Anderson, policier encore marqué par la perte de son fils, décide de procéder à l’arrestation de Terry en plein match, devant toute la communauté. 


(...)

C’était Arnaud, et je vous dis à très bientôt pour un nouveau chapitre de “Sur mon chemin”.


Je vous embrasse. 




Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

Transcription

  • Speaker #0

    Allez-y, lisez ses droits, et puis coffret-le pour que tout le monde puisse l'envoyer. Terrence Maitland, je vous arrête pour le morts de Frankie Peterson. Pour le quoi ? Rappelons que Stephen King a déjà inspiré un nombre considérable de films et de séries. Parmi les adaptations les plus marquantes, citons Carrie, au bal du diable, en 1976, réalisé par Brian De Palma, Shining, en 80, par Stanley Kubrick, Cujo, Dead Zone, réalisé par David Cronenberg, Christine, réalisé par John Carpenter, Les démons du maïs, Stand by me, Misery, les mini-séries S.A.R. dans les années 90, les Tommy Knockers, Le Fléau, en 1994, puis en remake en 2020, Les Langoliers, Les Évadés, Dolores Claiborne, Dead Zone, qui était aussi une série télévisée entre 2002 et 2007, Under the Dome, entre 2013 et 2015, la mini-série 22-11-63, Monsieur Mercedes, entre 2017 et 2019, Castle Rock, entre 2018 et 2019, Je Mist, et récemment Ça, en 2017 puis 2019, ainsi que Dr. Sleep. Cet inventaire témoigne clairement de l'attrait durable exercé par l'univers de King sur les cinéastes, les scénaristes et le public. que ce soit au cinéma ou à la télévision, et illustre combien son œuvre prolifique constitue une source d'inspiration quasi inépuisable pour l'industrie audiovisuelle. Conçue pour SGBO, The Outsider est l'œuvre de Richard Price, écrivain et scénariste américain dont les romans et les textes, souvent emprunts de réalisme urbain, ont déjà donné lieu à des collaborations avec des figures majeures du cinéma et de la télévision. On lui donne notamment les scénarios de La couleur de l'argent, réalisés par Martin Scorsese, Mélodie pour un meurtre, La rançon, ainsi que sa participation aux séries The Wire et The Night Of. Dans Outsider, il parvient à transposer à l'écran l'ambiance sombre et la tension psychologique caractéristique des romans de King en conservant ce style précis et rythmé qui fait sa renommée. L'intrigue de The Outsider s'ouvre sur la découverte d'un corps mutilé d'un enfant dans une petite ville paisible. Toutes les preuves, qu'il s'agisse d'empreintes digitales, d'ADN ou de témoignages, désignent Terry, un citoyen modèle et entraîneur de baseball. Ralph, policier encore marqué par la perte de son fils, décide de procéder à l'arrestation de Terry en plein match devant toute la communauté. Or, très vite, il apparaît que Terry... possédait un alibi irréfutable validé par des caméras de surveillance situées à des centaines de kilomètres. Devant ce paradoxe déstabilisant, la suspicion se mêle à l'incompréhension la plus totale. Pour tenter de résoudre l'impossible, Holly Gibney, une enquêtrice peu commune, dotée d'un sens aigu de la logique et d'une empathie hors du commun, fait son entrée et précipite tout ce petit monde dans un univers étrange à la limite du surnaturel. La série réunit par ailleurs un casting solide. Ben Waddle-Chan, acteur australien dont on a pu admirer la maîtrise de jeu dans Animal Kingdom, The Dark Knight Rises, la série Bloodline, Rogue One et Ready Player One, son regard sombre et sa capacité à rendre palpable les tourments intérieurs de son personnage confèrent une gravité précieuse à l'enquête. En parallèle, Cynthia Erivo, comédienne et chanteuse britannico-nigériane, donne vie à Oli Gibney. Révélée sur les planches dans la comédie musicale La Couleur Pauvre, elle a ensuite brillé dans les films comme Les Veuves, Saltant l'Hôtel El Royal, Harriet ou Encore. encore la série Genius Arrêta. Son interprétation de cette enquêtrice à la fois fragile et infaillible, dont le rôle s'étend sur plusieurs oeuvres de King, constitue l'une des grandes forces de l'adaptation. A leur côté, Bill Camp, comédien américain dont on se souvient dans 12 Year a Slave, Midnight Special, Le Grand Jeu, Joker ou Le Jeu de la Dame, incarne Howard Solomon avec sobriété et intensité. Paddy Concedine, qui s'est fait connaître du grand public dans des créations telles que Le Retour d'un Homme en Colère, Hot Fuzz, La Vengeance dans la Peau, Tyrannosaurus, qui l'a également réalisé, et récemment, House of Dragons, près de ses traits à Claude Bolton. Derek Cecil, vu dans Push, Nevada, Tremé, Benchy, House of Cards and Black Monday, interprète Andy Katkiewicz. Enfin, Jason Batman, que l'on associe souvent à la comédie, à tort, pour son travail dans Arrested Development, Juno, Comment tuer son boss, ou encore plus récemment à la série Ozark, ou du film Game Night, se glisse avec aisance dans le rôle de Terry Maitland, mêlant une apparence bonhomme à un profond sentiment d'injustice. L'importance de The Outsider réside autant dans sa direction artistique que dans le soin accordé à l'adaptation du personnage de Holly Gibney. Visuellement, la série nous plonge dans une atmosphère oppressante, servie par des décors faussement ordinaires et une photographie à la fois froide et réaliste. Sur le plan narratif, la réussite provient aussi de la fidélité à l'univers de Stephen King. Holly Gibney, déjà introduite dans Monsieur Mercedes, Carnet noir, fin de ronde, l'outsider, et si ça saigne, devient ici un pivot essentiel à l'intrigue, incarnant la raison face à l'irrationnel et ouvrant la voie à des récits qui flirtent avec le surnaturel sans jamais renoncer à la complexité psychologique des protagonistes. En somme, l'outsider ne se contente pas de reprendre les codes classiques du roman policier et du fantastique, il tisse un univers hybride où la réalité tangue sous le poids d'une menace insaisissable. Fidèle à l'esprit de Hawking, grâce à l'implication directe de ce dernier, la série nous offre un spectacle à la fois captivant et dérangeant, sublimé par un casting de haut vol et le talent scénaristique de Richard Price. Je vous encourage vivement à la découvrir, si vous ne l'avez pas encore fait. C'était Arnaud. Je vous dis à très bientôt pour un nouveau chapitre de Sur mon chemin. Je vous embrasse.

Description

Aujourd’hui, je vous invite à découvrir une adaptation récente d’une œuvre de Stephen King, maître incontesté de la littérature fantastique et horrifique. 


Nous allons parler de la série The Outsider, diffusée sur HBO, développée par Richard Price, et à laquelle Stephen King à lui-même participé en tant que coscénariste.



Avant d’aborder « The Outsider », rappelons que Stephen King a déjà inspiré un nombre considérable de films et de séries. 


Parmi les adaptations les plus marquantes, citons

  • Carrie au bal du diable (1976, réalisé par Brian De Palma), 

  • Shining (1980, par Stanley Kubrick), 

  • Cujo (1983), 

  • Dead Zone (1983, par David Cronenberg), Christine (1983, par John Carpenter), 

  • Les Démons du maïs (Children of the Corn, 1984), 

  • Stand by Me (1986, tiré de la nouvelle « Le Corps »), 

  • Misery (1990), 

  • la mini-série Ça (1990), 

  • Les Tommyknockers (1993), 

  • Le Fléau (The Stand, mini-série de 1994 puis remake en 2020), 

  • Les Langoliers (1995), 

  • Les Évadés 

  • Dolores Claiborne , 

  • La Tempête du siècle La Ligne Verte 

  • Dead Zone (la série TV diffusée entre 2002 et 2007), 

  • Under the Dome (2013-2015), 

  • la mini-série 22/11/63 (2016), 

  • Mr Mercedes (2017-2019), 

  • Castle Rock (2018-2019), 

  • The Mist (2017), et récemment Ça (2017 puis 2019) ainsi que

  • Docteur Sleep (2019). 


Cet inventaire témoigne clairement de l’attrait durable exercé par l’univers de King sur les cinéastes, les scénaristes et le public, que ce soit au cinéma ou à la télévision, et illustre combien son œuvre prolifique constitue une source d’inspiration quasi-inépuisable pour l’industrie audiovisuelle.



L’intrigue de “The Outsider” s’ouvre sur la découverte du corps mutilé d’un enfant dans une petite ville paisible. Toutes les preuves, qu’il s’agisse d’empreintes digitales, d’ADN ou de témoignages, désignent Terry Maitland, un citoyen modèle et entraîneur de baseball. Ralph Anderson, policier encore marqué par la perte de son fils, décide de procéder à l’arrestation de Terry en plein match, devant toute la communauté. 


(...)

C’était Arnaud, et je vous dis à très bientôt pour un nouveau chapitre de “Sur mon chemin”.


Je vous embrasse. 




Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

Transcription

  • Speaker #0

    Allez-y, lisez ses droits, et puis coffret-le pour que tout le monde puisse l'envoyer. Terrence Maitland, je vous arrête pour le morts de Frankie Peterson. Pour le quoi ? Rappelons que Stephen King a déjà inspiré un nombre considérable de films et de séries. Parmi les adaptations les plus marquantes, citons Carrie, au bal du diable, en 1976, réalisé par Brian De Palma, Shining, en 80, par Stanley Kubrick, Cujo, Dead Zone, réalisé par David Cronenberg, Christine, réalisé par John Carpenter, Les démons du maïs, Stand by me, Misery, les mini-séries S.A.R. dans les années 90, les Tommy Knockers, Le Fléau, en 1994, puis en remake en 2020, Les Langoliers, Les Évadés, Dolores Claiborne, Dead Zone, qui était aussi une série télévisée entre 2002 et 2007, Under the Dome, entre 2013 et 2015, la mini-série 22-11-63, Monsieur Mercedes, entre 2017 et 2019, Castle Rock, entre 2018 et 2019, Je Mist, et récemment Ça, en 2017 puis 2019, ainsi que Dr. Sleep. Cet inventaire témoigne clairement de l'attrait durable exercé par l'univers de King sur les cinéastes, les scénaristes et le public. que ce soit au cinéma ou à la télévision, et illustre combien son œuvre prolifique constitue une source d'inspiration quasi inépuisable pour l'industrie audiovisuelle. Conçue pour SGBO, The Outsider est l'œuvre de Richard Price, écrivain et scénariste américain dont les romans et les textes, souvent emprunts de réalisme urbain, ont déjà donné lieu à des collaborations avec des figures majeures du cinéma et de la télévision. On lui donne notamment les scénarios de La couleur de l'argent, réalisés par Martin Scorsese, Mélodie pour un meurtre, La rançon, ainsi que sa participation aux séries The Wire et The Night Of. Dans Outsider, il parvient à transposer à l'écran l'ambiance sombre et la tension psychologique caractéristique des romans de King en conservant ce style précis et rythmé qui fait sa renommée. L'intrigue de The Outsider s'ouvre sur la découverte d'un corps mutilé d'un enfant dans une petite ville paisible. Toutes les preuves, qu'il s'agisse d'empreintes digitales, d'ADN ou de témoignages, désignent Terry, un citoyen modèle et entraîneur de baseball. Ralph, policier encore marqué par la perte de son fils, décide de procéder à l'arrestation de Terry en plein match devant toute la communauté. Or, très vite, il apparaît que Terry... possédait un alibi irréfutable validé par des caméras de surveillance situées à des centaines de kilomètres. Devant ce paradoxe déstabilisant, la suspicion se mêle à l'incompréhension la plus totale. Pour tenter de résoudre l'impossible, Holly Gibney, une enquêtrice peu commune, dotée d'un sens aigu de la logique et d'une empathie hors du commun, fait son entrée et précipite tout ce petit monde dans un univers étrange à la limite du surnaturel. La série réunit par ailleurs un casting solide. Ben Waddle-Chan, acteur australien dont on a pu admirer la maîtrise de jeu dans Animal Kingdom, The Dark Knight Rises, la série Bloodline, Rogue One et Ready Player One, son regard sombre et sa capacité à rendre palpable les tourments intérieurs de son personnage confèrent une gravité précieuse à l'enquête. En parallèle, Cynthia Erivo, comédienne et chanteuse britannico-nigériane, donne vie à Oli Gibney. Révélée sur les planches dans la comédie musicale La Couleur Pauvre, elle a ensuite brillé dans les films comme Les Veuves, Saltant l'Hôtel El Royal, Harriet ou Encore. encore la série Genius Arrêta. Son interprétation de cette enquêtrice à la fois fragile et infaillible, dont le rôle s'étend sur plusieurs oeuvres de King, constitue l'une des grandes forces de l'adaptation. A leur côté, Bill Camp, comédien américain dont on se souvient dans 12 Year a Slave, Midnight Special, Le Grand Jeu, Joker ou Le Jeu de la Dame, incarne Howard Solomon avec sobriété et intensité. Paddy Concedine, qui s'est fait connaître du grand public dans des créations telles que Le Retour d'un Homme en Colère, Hot Fuzz, La Vengeance dans la Peau, Tyrannosaurus, qui l'a également réalisé, et récemment, House of Dragons, près de ses traits à Claude Bolton. Derek Cecil, vu dans Push, Nevada, Tremé, Benchy, House of Cards and Black Monday, interprète Andy Katkiewicz. Enfin, Jason Batman, que l'on associe souvent à la comédie, à tort, pour son travail dans Arrested Development, Juno, Comment tuer son boss, ou encore plus récemment à la série Ozark, ou du film Game Night, se glisse avec aisance dans le rôle de Terry Maitland, mêlant une apparence bonhomme à un profond sentiment d'injustice. L'importance de The Outsider réside autant dans sa direction artistique que dans le soin accordé à l'adaptation du personnage de Holly Gibney. Visuellement, la série nous plonge dans une atmosphère oppressante, servie par des décors faussement ordinaires et une photographie à la fois froide et réaliste. Sur le plan narratif, la réussite provient aussi de la fidélité à l'univers de Stephen King. Holly Gibney, déjà introduite dans Monsieur Mercedes, Carnet noir, fin de ronde, l'outsider, et si ça saigne, devient ici un pivot essentiel à l'intrigue, incarnant la raison face à l'irrationnel et ouvrant la voie à des récits qui flirtent avec le surnaturel sans jamais renoncer à la complexité psychologique des protagonistes. En somme, l'outsider ne se contente pas de reprendre les codes classiques du roman policier et du fantastique, il tisse un univers hybride où la réalité tangue sous le poids d'une menace insaisissable. Fidèle à l'esprit de Hawking, grâce à l'implication directe de ce dernier, la série nous offre un spectacle à la fois captivant et dérangeant, sublimé par un casting de haut vol et le talent scénaristique de Richard Price. Je vous encourage vivement à la découvrir, si vous ne l'avez pas encore fait. C'était Arnaud. Je vous dis à très bientôt pour un nouveau chapitre de Sur mon chemin. Je vous embrasse.

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Description

Aujourd’hui, je vous invite à découvrir une adaptation récente d’une œuvre de Stephen King, maître incontesté de la littérature fantastique et horrifique. 


Nous allons parler de la série The Outsider, diffusée sur HBO, développée par Richard Price, et à laquelle Stephen King à lui-même participé en tant que coscénariste.



Avant d’aborder « The Outsider », rappelons que Stephen King a déjà inspiré un nombre considérable de films et de séries. 


Parmi les adaptations les plus marquantes, citons

  • Carrie au bal du diable (1976, réalisé par Brian De Palma), 

  • Shining (1980, par Stanley Kubrick), 

  • Cujo (1983), 

  • Dead Zone (1983, par David Cronenberg), Christine (1983, par John Carpenter), 

  • Les Démons du maïs (Children of the Corn, 1984), 

  • Stand by Me (1986, tiré de la nouvelle « Le Corps »), 

  • Misery (1990), 

  • la mini-série Ça (1990), 

  • Les Tommyknockers (1993), 

  • Le Fléau (The Stand, mini-série de 1994 puis remake en 2020), 

  • Les Langoliers (1995), 

  • Les Évadés 

  • Dolores Claiborne , 

  • La Tempête du siècle La Ligne Verte 

  • Dead Zone (la série TV diffusée entre 2002 et 2007), 

  • Under the Dome (2013-2015), 

  • la mini-série 22/11/63 (2016), 

  • Mr Mercedes (2017-2019), 

  • Castle Rock (2018-2019), 

  • The Mist (2017), et récemment Ça (2017 puis 2019) ainsi que

  • Docteur Sleep (2019). 


Cet inventaire témoigne clairement de l’attrait durable exercé par l’univers de King sur les cinéastes, les scénaristes et le public, que ce soit au cinéma ou à la télévision, et illustre combien son œuvre prolifique constitue une source d’inspiration quasi-inépuisable pour l’industrie audiovisuelle.



L’intrigue de “The Outsider” s’ouvre sur la découverte du corps mutilé d’un enfant dans une petite ville paisible. Toutes les preuves, qu’il s’agisse d’empreintes digitales, d’ADN ou de témoignages, désignent Terry Maitland, un citoyen modèle et entraîneur de baseball. Ralph Anderson, policier encore marqué par la perte de son fils, décide de procéder à l’arrestation de Terry en plein match, devant toute la communauté. 


(...)

C’était Arnaud, et je vous dis à très bientôt pour un nouveau chapitre de “Sur mon chemin”.


Je vous embrasse. 




Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

Transcription

  • Speaker #0

    Allez-y, lisez ses droits, et puis coffret-le pour que tout le monde puisse l'envoyer. Terrence Maitland, je vous arrête pour le morts de Frankie Peterson. Pour le quoi ? Rappelons que Stephen King a déjà inspiré un nombre considérable de films et de séries. Parmi les adaptations les plus marquantes, citons Carrie, au bal du diable, en 1976, réalisé par Brian De Palma, Shining, en 80, par Stanley Kubrick, Cujo, Dead Zone, réalisé par David Cronenberg, Christine, réalisé par John Carpenter, Les démons du maïs, Stand by me, Misery, les mini-séries S.A.R. dans les années 90, les Tommy Knockers, Le Fléau, en 1994, puis en remake en 2020, Les Langoliers, Les Évadés, Dolores Claiborne, Dead Zone, qui était aussi une série télévisée entre 2002 et 2007, Under the Dome, entre 2013 et 2015, la mini-série 22-11-63, Monsieur Mercedes, entre 2017 et 2019, Castle Rock, entre 2018 et 2019, Je Mist, et récemment Ça, en 2017 puis 2019, ainsi que Dr. Sleep. Cet inventaire témoigne clairement de l'attrait durable exercé par l'univers de King sur les cinéastes, les scénaristes et le public. que ce soit au cinéma ou à la télévision, et illustre combien son œuvre prolifique constitue une source d'inspiration quasi inépuisable pour l'industrie audiovisuelle. Conçue pour SGBO, The Outsider est l'œuvre de Richard Price, écrivain et scénariste américain dont les romans et les textes, souvent emprunts de réalisme urbain, ont déjà donné lieu à des collaborations avec des figures majeures du cinéma et de la télévision. On lui donne notamment les scénarios de La couleur de l'argent, réalisés par Martin Scorsese, Mélodie pour un meurtre, La rançon, ainsi que sa participation aux séries The Wire et The Night Of. Dans Outsider, il parvient à transposer à l'écran l'ambiance sombre et la tension psychologique caractéristique des romans de King en conservant ce style précis et rythmé qui fait sa renommée. L'intrigue de The Outsider s'ouvre sur la découverte d'un corps mutilé d'un enfant dans une petite ville paisible. Toutes les preuves, qu'il s'agisse d'empreintes digitales, d'ADN ou de témoignages, désignent Terry, un citoyen modèle et entraîneur de baseball. Ralph, policier encore marqué par la perte de son fils, décide de procéder à l'arrestation de Terry en plein match devant toute la communauté. Or, très vite, il apparaît que Terry... possédait un alibi irréfutable validé par des caméras de surveillance situées à des centaines de kilomètres. Devant ce paradoxe déstabilisant, la suspicion se mêle à l'incompréhension la plus totale. Pour tenter de résoudre l'impossible, Holly Gibney, une enquêtrice peu commune, dotée d'un sens aigu de la logique et d'une empathie hors du commun, fait son entrée et précipite tout ce petit monde dans un univers étrange à la limite du surnaturel. La série réunit par ailleurs un casting solide. Ben Waddle-Chan, acteur australien dont on a pu admirer la maîtrise de jeu dans Animal Kingdom, The Dark Knight Rises, la série Bloodline, Rogue One et Ready Player One, son regard sombre et sa capacité à rendre palpable les tourments intérieurs de son personnage confèrent une gravité précieuse à l'enquête. En parallèle, Cynthia Erivo, comédienne et chanteuse britannico-nigériane, donne vie à Oli Gibney. Révélée sur les planches dans la comédie musicale La Couleur Pauvre, elle a ensuite brillé dans les films comme Les Veuves, Saltant l'Hôtel El Royal, Harriet ou Encore. encore la série Genius Arrêta. Son interprétation de cette enquêtrice à la fois fragile et infaillible, dont le rôle s'étend sur plusieurs oeuvres de King, constitue l'une des grandes forces de l'adaptation. A leur côté, Bill Camp, comédien américain dont on se souvient dans 12 Year a Slave, Midnight Special, Le Grand Jeu, Joker ou Le Jeu de la Dame, incarne Howard Solomon avec sobriété et intensité. Paddy Concedine, qui s'est fait connaître du grand public dans des créations telles que Le Retour d'un Homme en Colère, Hot Fuzz, La Vengeance dans la Peau, Tyrannosaurus, qui l'a également réalisé, et récemment, House of Dragons, près de ses traits à Claude Bolton. Derek Cecil, vu dans Push, Nevada, Tremé, Benchy, House of Cards and Black Monday, interprète Andy Katkiewicz. Enfin, Jason Batman, que l'on associe souvent à la comédie, à tort, pour son travail dans Arrested Development, Juno, Comment tuer son boss, ou encore plus récemment à la série Ozark, ou du film Game Night, se glisse avec aisance dans le rôle de Terry Maitland, mêlant une apparence bonhomme à un profond sentiment d'injustice. L'importance de The Outsider réside autant dans sa direction artistique que dans le soin accordé à l'adaptation du personnage de Holly Gibney. Visuellement, la série nous plonge dans une atmosphère oppressante, servie par des décors faussement ordinaires et une photographie à la fois froide et réaliste. Sur le plan narratif, la réussite provient aussi de la fidélité à l'univers de Stephen King. Holly Gibney, déjà introduite dans Monsieur Mercedes, Carnet noir, fin de ronde, l'outsider, et si ça saigne, devient ici un pivot essentiel à l'intrigue, incarnant la raison face à l'irrationnel et ouvrant la voie à des récits qui flirtent avec le surnaturel sans jamais renoncer à la complexité psychologique des protagonistes. En somme, l'outsider ne se contente pas de reprendre les codes classiques du roman policier et du fantastique, il tisse un univers hybride où la réalité tangue sous le poids d'une menace insaisissable. Fidèle à l'esprit de Hawking, grâce à l'implication directe de ce dernier, la série nous offre un spectacle à la fois captivant et dérangeant, sublimé par un casting de haut vol et le talent scénaristique de Richard Price. Je vous encourage vivement à la découvrir, si vous ne l'avez pas encore fait. C'était Arnaud. Je vous dis à très bientôt pour un nouveau chapitre de Sur mon chemin. Je vous embrasse.

Description

Aujourd’hui, je vous invite à découvrir une adaptation récente d’une œuvre de Stephen King, maître incontesté de la littérature fantastique et horrifique. 


Nous allons parler de la série The Outsider, diffusée sur HBO, développée par Richard Price, et à laquelle Stephen King à lui-même participé en tant que coscénariste.



Avant d’aborder « The Outsider », rappelons que Stephen King a déjà inspiré un nombre considérable de films et de séries. 


Parmi les adaptations les plus marquantes, citons

  • Carrie au bal du diable (1976, réalisé par Brian De Palma), 

  • Shining (1980, par Stanley Kubrick), 

  • Cujo (1983), 

  • Dead Zone (1983, par David Cronenberg), Christine (1983, par John Carpenter), 

  • Les Démons du maïs (Children of the Corn, 1984), 

  • Stand by Me (1986, tiré de la nouvelle « Le Corps »), 

  • Misery (1990), 

  • la mini-série Ça (1990), 

  • Les Tommyknockers (1993), 

  • Le Fléau (The Stand, mini-série de 1994 puis remake en 2020), 

  • Les Langoliers (1995), 

  • Les Évadés 

  • Dolores Claiborne , 

  • La Tempête du siècle La Ligne Verte 

  • Dead Zone (la série TV diffusée entre 2002 et 2007), 

  • Under the Dome (2013-2015), 

  • la mini-série 22/11/63 (2016), 

  • Mr Mercedes (2017-2019), 

  • Castle Rock (2018-2019), 

  • The Mist (2017), et récemment Ça (2017 puis 2019) ainsi que

  • Docteur Sleep (2019). 


Cet inventaire témoigne clairement de l’attrait durable exercé par l’univers de King sur les cinéastes, les scénaristes et le public, que ce soit au cinéma ou à la télévision, et illustre combien son œuvre prolifique constitue une source d’inspiration quasi-inépuisable pour l’industrie audiovisuelle.



L’intrigue de “The Outsider” s’ouvre sur la découverte du corps mutilé d’un enfant dans une petite ville paisible. Toutes les preuves, qu’il s’agisse d’empreintes digitales, d’ADN ou de témoignages, désignent Terry Maitland, un citoyen modèle et entraîneur de baseball. Ralph Anderson, policier encore marqué par la perte de son fils, décide de procéder à l’arrestation de Terry en plein match, devant toute la communauté. 


(...)

C’était Arnaud, et je vous dis à très bientôt pour un nouveau chapitre de “Sur mon chemin”.


Je vous embrasse. 




Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

Transcription

  • Speaker #0

    Allez-y, lisez ses droits, et puis coffret-le pour que tout le monde puisse l'envoyer. Terrence Maitland, je vous arrête pour le morts de Frankie Peterson. Pour le quoi ? Rappelons que Stephen King a déjà inspiré un nombre considérable de films et de séries. Parmi les adaptations les plus marquantes, citons Carrie, au bal du diable, en 1976, réalisé par Brian De Palma, Shining, en 80, par Stanley Kubrick, Cujo, Dead Zone, réalisé par David Cronenberg, Christine, réalisé par John Carpenter, Les démons du maïs, Stand by me, Misery, les mini-séries S.A.R. dans les années 90, les Tommy Knockers, Le Fléau, en 1994, puis en remake en 2020, Les Langoliers, Les Évadés, Dolores Claiborne, Dead Zone, qui était aussi une série télévisée entre 2002 et 2007, Under the Dome, entre 2013 et 2015, la mini-série 22-11-63, Monsieur Mercedes, entre 2017 et 2019, Castle Rock, entre 2018 et 2019, Je Mist, et récemment Ça, en 2017 puis 2019, ainsi que Dr. Sleep. Cet inventaire témoigne clairement de l'attrait durable exercé par l'univers de King sur les cinéastes, les scénaristes et le public. que ce soit au cinéma ou à la télévision, et illustre combien son œuvre prolifique constitue une source d'inspiration quasi inépuisable pour l'industrie audiovisuelle. Conçue pour SGBO, The Outsider est l'œuvre de Richard Price, écrivain et scénariste américain dont les romans et les textes, souvent emprunts de réalisme urbain, ont déjà donné lieu à des collaborations avec des figures majeures du cinéma et de la télévision. On lui donne notamment les scénarios de La couleur de l'argent, réalisés par Martin Scorsese, Mélodie pour un meurtre, La rançon, ainsi que sa participation aux séries The Wire et The Night Of. Dans Outsider, il parvient à transposer à l'écran l'ambiance sombre et la tension psychologique caractéristique des romans de King en conservant ce style précis et rythmé qui fait sa renommée. L'intrigue de The Outsider s'ouvre sur la découverte d'un corps mutilé d'un enfant dans une petite ville paisible. Toutes les preuves, qu'il s'agisse d'empreintes digitales, d'ADN ou de témoignages, désignent Terry, un citoyen modèle et entraîneur de baseball. Ralph, policier encore marqué par la perte de son fils, décide de procéder à l'arrestation de Terry en plein match devant toute la communauté. Or, très vite, il apparaît que Terry... possédait un alibi irréfutable validé par des caméras de surveillance situées à des centaines de kilomètres. Devant ce paradoxe déstabilisant, la suspicion se mêle à l'incompréhension la plus totale. Pour tenter de résoudre l'impossible, Holly Gibney, une enquêtrice peu commune, dotée d'un sens aigu de la logique et d'une empathie hors du commun, fait son entrée et précipite tout ce petit monde dans un univers étrange à la limite du surnaturel. La série réunit par ailleurs un casting solide. Ben Waddle-Chan, acteur australien dont on a pu admirer la maîtrise de jeu dans Animal Kingdom, The Dark Knight Rises, la série Bloodline, Rogue One et Ready Player One, son regard sombre et sa capacité à rendre palpable les tourments intérieurs de son personnage confèrent une gravité précieuse à l'enquête. En parallèle, Cynthia Erivo, comédienne et chanteuse britannico-nigériane, donne vie à Oli Gibney. Révélée sur les planches dans la comédie musicale La Couleur Pauvre, elle a ensuite brillé dans les films comme Les Veuves, Saltant l'Hôtel El Royal, Harriet ou Encore. encore la série Genius Arrêta. Son interprétation de cette enquêtrice à la fois fragile et infaillible, dont le rôle s'étend sur plusieurs oeuvres de King, constitue l'une des grandes forces de l'adaptation. A leur côté, Bill Camp, comédien américain dont on se souvient dans 12 Year a Slave, Midnight Special, Le Grand Jeu, Joker ou Le Jeu de la Dame, incarne Howard Solomon avec sobriété et intensité. Paddy Concedine, qui s'est fait connaître du grand public dans des créations telles que Le Retour d'un Homme en Colère, Hot Fuzz, La Vengeance dans la Peau, Tyrannosaurus, qui l'a également réalisé, et récemment, House of Dragons, près de ses traits à Claude Bolton. Derek Cecil, vu dans Push, Nevada, Tremé, Benchy, House of Cards and Black Monday, interprète Andy Katkiewicz. Enfin, Jason Batman, que l'on associe souvent à la comédie, à tort, pour son travail dans Arrested Development, Juno, Comment tuer son boss, ou encore plus récemment à la série Ozark, ou du film Game Night, se glisse avec aisance dans le rôle de Terry Maitland, mêlant une apparence bonhomme à un profond sentiment d'injustice. L'importance de The Outsider réside autant dans sa direction artistique que dans le soin accordé à l'adaptation du personnage de Holly Gibney. Visuellement, la série nous plonge dans une atmosphère oppressante, servie par des décors faussement ordinaires et une photographie à la fois froide et réaliste. Sur le plan narratif, la réussite provient aussi de la fidélité à l'univers de Stephen King. Holly Gibney, déjà introduite dans Monsieur Mercedes, Carnet noir, fin de ronde, l'outsider, et si ça saigne, devient ici un pivot essentiel à l'intrigue, incarnant la raison face à l'irrationnel et ouvrant la voie à des récits qui flirtent avec le surnaturel sans jamais renoncer à la complexité psychologique des protagonistes. En somme, l'outsider ne se contente pas de reprendre les codes classiques du roman policier et du fantastique, il tisse un univers hybride où la réalité tangue sous le poids d'une menace insaisissable. Fidèle à l'esprit de Hawking, grâce à l'implication directe de ce dernier, la série nous offre un spectacle à la fois captivant et dérangeant, sublimé par un casting de haut vol et le talent scénaristique de Richard Price. Je vous encourage vivement à la découvrir, si vous ne l'avez pas encore fait. C'était Arnaud. Je vous dis à très bientôt pour un nouveau chapitre de Sur mon chemin. Je vous embrasse.

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