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Comment j’ai planté 2 solo-médias en 3 mois - (Autopsie) - Road To Kiff #3 cover
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The Impacters

Comment j’ai planté 2 solo-médias en 3 mois - (Autopsie) - Road To Kiff #3

Comment j’ai planté 2 solo-médias en 3 mois - (Autopsie) - Road To Kiff #3

11min |11/06/2025
Play
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Comment j’ai planté 2 solo-médias en 3 mois - (Autopsie) - Road To Kiff #3

11min |11/06/2025
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Description

Je documente ici chaque étape du lancement de mon solobusiness dans l’impact.

Je suis Marc-Antoine Bouteille-Torre, ex-CMO et serial-entrepreneur.

J’aide les entrepreneurs à attirer des opportunités alignées qui les font kiffer. Car j’estime que celles et ceux qui réussissent aujourd’hui sont ces personnes qui vivent la vie dont elles ont rêvé.

Et que l’entrepreneuriat moderne est le meilleur véhicule pour arriver à cet accomplissement.

Un véhicule que je t’aide à alimenter en t’apprenant à générer les bonnes opportunités dont tu as besoin pour le faire avancer vers le style de vie (dont tu rêves) et qui te fait kiffer.

“Road To Kiff”, c’est une sorte de Track record, un format brut et sans paillettes où je partage tout du lancement de mon solobusiness : mes réussites, mes galères, et mes apprentissages qui, peut-être, en inspireront d'autres ici.

Au programme de ce 3e épisode :

👉 Comment j’ai planté 2 solo-média (newsletters) en 3 mois.
👉 Qu’est-ce que j’ai retenu de ces échecs ?

👉 Ce qu’ils m’ont apporté.
👉 Et comment j’en suis venu à lancer mon Podcast ?

🎁Tu veux apprendre à générer des opportunités alignées ?
Par ici pour recevoir mes Recos personnalisées pour toi.

https://form.typeform.com/to/CmNjk9uJ

💚 Pour réaliser le Kiffomètre du Solopreneur(e).

https://form.typeform.com/to/mLZK1YPj

📩 Ma Newsletter pour recevoir mes idées pour t’attirer les bonnes opportunités (chaque vendredi) :

https://theimpacters.substack.com/p/j...


🍿 Regarder sur YouTube : https://youtu.be/kqwUi3Qh-es

Prochain épisode : Dimanche 12 Juin

Let’s grow 💚

PS : Cette série, je la lance sans savoir où je vais. Ce qui va déterminer la suite, ce sont tes retours. Alors dis-moi en commentaires ce que tu voudrais voir dans le prochain épisode.


Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

Transcription

  • Speaker #0

    Donc déjà, la première erreur à ne pas faire si tu veux lancer ton média, c'est d'oublier de brancher le micro. Je l'ai entendu 150 fois, je me suis dit, il n'y a que les ploucs qui pouvaient faire ça. Mais en fait, c'est ce qui vient de m'arriver au bout du 50e ou 60e épisode podcast que je tourne. Donc désolé par avance pour la qualité audio qui arrive sur cet épisode et qui va arriver sur les deux prochains parce que j'ai fait un enregistrement en one shot. Voilà, au moins vous êtes vraiment dans les coulisses. Donc allez, on débranche le micro et on rentre dans l'épisode. Bonjour à tous, bienvenue dans ce nouvel épisode de Road to Kif, le troisième. Donc dans le dernier épisode et dans la dernière newsletter, je vous mettrai le lien en dessous de l'épisode, je vous parlais du chaos qui est à l'origine de The Impacters. Aujourd'hui, j'avais commencé à vous en parler la semaine dernière. je voulais vous parler de ce qui vient de la crise et ma réflexion du moment sur laquelle je gamberge beaucoup. Donc le plan de cet épisode, alors j'ai décidé de faire ça en 2-3 épisodes pour que ça soit plus efficace. Dans cet épisode, un focus sur une autopsie de mes 2 médias que j'ai foirés et en fait un mode d'emploi pour planter 2 médias en 3 mois, donc 2 newsletters en 3 mois pour vous éviter à perdre 3 mois là-dessus. Ensuite, comment ces échecs m'ont permis de vivre ce que je vis aujourd'hui. Et pour terminer, comment j'en suis venu à lancer mon podcast ? Donc, pourquoi un petit peu cette crise d'un an ? Parce que voilà, je vous disais, The Impact Earth, ça prête à souffler sa première bougie dans quelques jours. Donc, un an, ça passe très vite et en même temps, il y a beaucoup de choses, énormément de choses qui se sont passées. Donc, pour revenir un petit peu sur les plus gros apprentissages, après un an de podcasting, Merci. et de médias. Donc en fait, le podcast The Impacters que vous connaissez aujourd'hui, c'est le troisième média que j'ai lancé en six mois. C'est-à-dire, dans la dernière vidéo, je vous parlais de ma newsletter sur les finances perso, donc Impact, c'est un nom très original. Et je vous racontais l'objectif un petit peu de cette newsletter, c'était chaque semaine de vulgariser les finances perso pour apprendre à chacun à bien utiliser son argent pour le faire capitaliser dans des projets à impact. Ce média-là, il a eu une vie très courte. Donc, je vous disais un mois et demi, quatre éditions. Et pourquoi ça s'est cassé la gueule ? Parce que d'un, je vous disais le temps de production, donc six heures par semaine, je produisais seul cette newsletter. Donc, beaucoup d'infos à aller chercher, à aller vérifier. Quand on parle finance, c'est pas comme quand on parle de com. On dira qu'il y a une vérification beaucoup plus... plus fines à avoir sur chaque terme avant de publier. Et deux, c'est surtout ça. Donc, j'ai lancé la newsletter. C'était la première fois que je parlais de finances. Même si moi, en fait, je connaissais, j'avais étudié ça à ma guille, dans mon réseau, en fait, quand j'étais au Canada, je parlais que de marketing et encore un peu de mobilité, tout ce qui impacte. Le seul réseau où je communiquais, c'était Unigine. J'avais 500, 600 abonnés max. Les gens qui me suivaient, c'était des personnes qui étaient intéressées par le marketing, le SEO, l'inbound marketing pour attirer du trafic des clients vers son site. Ou alors la mobilité et tout ce qui impacte RSE, l'audience que j'avais développée avec Happy Bike. Donc d'un coup, je suis arrivé à lancer Newsletter sur les finances perso avec... Zéro audience, en fait c'est là où ça a été très difficile, c'est que je suis parti de zéro. C'est-à-dire la newsletter, elle me prenait 6 heures à produire, et en plus, il fallait, une fois que j'ai cliqué sur envoyer, pour qu'elle s'envoie, il faut qu'il y ait des destinataires. Donc des adresses mail qui soient abonnées. Ces adresses mail, j'ai télé-pioché où ? Déjà dans mes abonnés, donc le cercle de personnes que je connaissais, en leur proposant, voilà, je lance ça. est-ce que ça t'intéresse, tu veux t'abonner ? Et là, il y a trois options. Il y a ceux qui sont, ah oui, ça m'intéresse, je m'abonne. Ceux, non, je t'aime bien, mais moi, je m'en fous de la finance. Et trois, c'est le pire pour moi, c'est, oui, oui, ça m'intéresse, mais en fait, en gros, je le fais juste pour te faire plaisir parce que je t'aime bien, qu'on est amis, qu'on se connaît, voilà. Et ça, c'est le pire parce que si derrière, en fait, de votre optique, c'est de lancer un média qui derrière est un peu va vous ramener du business, du trafic, faire rayonner un petit peu votre savoir-faire sur une expertise en particulier. C'est le pire qui puisse arriver parce que vous allez développer une audience avec des abonnés, vous allez croire que tout roule alors qu'en fait rien ne roule. Vous allez avoir une audience qui n'est pas engagée et qui du coup ne vaut rien. Donc j'ai un premier vivier dans mes contacts. Et comment je fais ensuite pour en attirer des nouveaux ? En fait, le post que je fais dans la newsletter, chaque édition, il y a un gros contenu qui est produit. Je coupe ce contenu, je le transforme en 5, 7 ou 10 posts LinkedIn. C'est-à-dire que j'arrive tous les jours ou tous les deux jours à publier un contenu qui va apprendre quelque chose sur la finance aux gens qui me suivent. Et en fait, c'est là où vraiment c'est compliqué parce que je parle à une audience qui n'est pas du tout dans ce monde-là. Donc, dans cette audience, la part qui va être intéressée par le sujet est très minime. Donc, en fait, si je veux réussir, je comprends qu'il va me falloir beaucoup plus de temps. Donc, beaucoup plus de temps, que ce soit à court terme, full time. Et même si je me mettais à temps plein, beaucoup plus de temps. Il va me falloir des mois, voire peut-être un an pour réussir à faire de ce média un succès. qu'il ait de l'impact et que derrière ça déclenche des opportunités. Un petit peu par épuisement, donc j'abandonne. C'est là que je vous dis que j'ai... Donc c'est à ce moment, je vous disais, que j'ai pris la décision de me lancer parce que j'ai pris la décision que des projets que je voulais mener, je ne voulais pas que... Je voulais consacrer mon temps dessus. Je ne voulais pas le consacrer à autre chose. Et en attendant, je me dis, bon, je sais que je vais me lancer maintenant, mais du coup... Pour avoir des clients, le jour où je me lance, il faut que je commence à faire de la com. Il ne faut pas attirer un peu une audience vers moi. Parce que c'est facile de lancer une boîte. Ça se fait en cinq minutes, mais ça ne sert à rien. Tant qu'il n'y a pas des clients qui sont là que vous allez servir, la boîte ne sert à rien. Je me mets dans l'optique de relancer un média. Je repars pour une newsletter et je me dis, voilà. La finance perso, j'avais pas en fait une crédibilité, une audience déjà développée sur le sujet. Par contre, l'impact pour les entreprises, tout ce qui est marketing durable, modèle économique circulaire, RSE, mobilité, là par contre, j'avais une audience et aussi je me disais, je vais avoir plus d'impact parce qu'on aura plus d'impact sur le changement climatique en faisant shifter en fait. des entreprises qui ont 10, 20, 100, 200 salariés, des milliers de clients, plutôt que faire shifter un à un des particuliers qui vont placer leur épargne de telle ou telle façon. Donc, à cette époque-là, c'est comme ça que je le vois. Et je me dis, allez, je lance la newsletter The Impacters. Et là, ce que je décide de changer aussi, c'est de dire, je ne vais pas produire 100% du contenu, je vais m'alléger le travail. et en même temps... je vais augmenter la valeur, apporter plus de valeur au contenu en invitant des contributeurs experts à contribuer à Newsetter, donc des consultants, des coachs, des responsables RSE dans des entreprises. Et en fait, je me dis aussi, le bénéfice de ça, ça va me permettre de créer un réseau, d'avoir une occasion de me présenter, de discuter en fait avec des... personnes que je n'aurais jamais réussi à atteindre sans cette initiative. Et donc, je commence, je me fais une liste de contributeurs potentiels et un à un, je commence à partir un peu en quête de contributeurs. Je décroche des calls et j'expose un petit peu ma vision et là, tout le monde, en gros, le retour c'est, ah ouais, c'est top, il faut vraiment éduquer en fait le public là-dessus pour accélérer le changement. Mais par contre, Ton idée, c'est bien, mais sans moi, parce que moi, je suis débordé, je n'ai pas le temps, contribuer à une newsletter, c'est trop long. Et donc, deuxième idée qui se casse la gueule. Donc là, il n'a pas fallu un mois et demi, il a fallu deux semaines, le temps de faire, je crois, une dizaine de calls. Et en fait, c'est en parlant avec une de ces personnes qu'en fait, la personne me dit, tu vois, si ça serait pour moi... parler pendant une demi-heure, une demi-heure, trois quarts d'heure d'un sujet, ça, je peux le faire facilement. Je maîtrise tellement que j'ai même pas d'effort de production à faire là-dessus. Mais voilà, une newsletter, il faut écrire, c'est réfléchi, c'est trop compliqué. C'est là que, dans ma tête, je me dis, mais tiens, si en fait, il faudrait que je fasse des visios avec ces contributeurs. qu'on les enregistre, qu'en fait on puisse les retransmettre. Je me dis, ouais, c'est un podcast en fait. Et c'est de là que vient l'idée de dire, on va faire un podcast pour vulgariser la RSE pour les petites et moyennes entreprises. L'idée me vient, je rappelle les 10 personnes que j'ai appelées pour la newsletter. Alors, je me dis, ils vont me prendre pour un fou. Je les rappelle trois jours après avec une autre idée. En fait, j'avais mes 10 premiers invités. C'est de suite, ah ouais, c'est feu, dis-moi quand tu es dispo, comment on fait ? Et là, en fait, sans rien savoir comment on faisait un podcast, j'ai dit, on se réserve un créneau, une heure, dans trois semaines, on fait une vidéo et c'est enregistré. Et voilà, pour toi, il n'y a que ça à faire. Et en amont, je t'envoie une proposition de script, de trame pour l'épisode, et on fait une conversation là-dessus. C'est comme ça qu'en un mois, j'enregistre mes dix premiers épisodes. Et au moment où j'ai dans mon Google Agenda les premiers épisodes, les premiers enregistrements qui sont calés avec l'invité qui a dit « Ok, invitation acceptée » , C'est là que je me dis, merde, maintenant, il faut que j'apprenne comment faire un podcast, en fait. Et ça, c'est justement ce que je vous partage dans les prochains épisodes de Road to Kif. Donc, on parlera dans le prochain épisode comment lancer son podcast en un mois avec moins de 100 euros. Et ensuite, quels sont les vrais bénéfices que génère le podcast aujourd'hui. N'hésitez pas à poser vos questions en commentaire ici, en dessous de l'épisode. et à vous abonner et liker l'épisode pour m'aider à le rendre accessible aux plus grandes. Merci d'avoir écouté jusqu'ici, et je vous dis à la semaine prochaine pour un nouvel épisode. Ciao !

Description

Je documente ici chaque étape du lancement de mon solobusiness dans l’impact.

Je suis Marc-Antoine Bouteille-Torre, ex-CMO et serial-entrepreneur.

J’aide les entrepreneurs à attirer des opportunités alignées qui les font kiffer. Car j’estime que celles et ceux qui réussissent aujourd’hui sont ces personnes qui vivent la vie dont elles ont rêvé.

Et que l’entrepreneuriat moderne est le meilleur véhicule pour arriver à cet accomplissement.

Un véhicule que je t’aide à alimenter en t’apprenant à générer les bonnes opportunités dont tu as besoin pour le faire avancer vers le style de vie (dont tu rêves) et qui te fait kiffer.

“Road To Kiff”, c’est une sorte de Track record, un format brut et sans paillettes où je partage tout du lancement de mon solobusiness : mes réussites, mes galères, et mes apprentissages qui, peut-être, en inspireront d'autres ici.

Au programme de ce 3e épisode :

👉 Comment j’ai planté 2 solo-média (newsletters) en 3 mois.
👉 Qu’est-ce que j’ai retenu de ces échecs ?

👉 Ce qu’ils m’ont apporté.
👉 Et comment j’en suis venu à lancer mon Podcast ?

🎁Tu veux apprendre à générer des opportunités alignées ?
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🍿 Regarder sur YouTube : https://youtu.be/kqwUi3Qh-es

Prochain épisode : Dimanche 12 Juin

Let’s grow 💚

PS : Cette série, je la lance sans savoir où je vais. Ce qui va déterminer la suite, ce sont tes retours. Alors dis-moi en commentaires ce que tu voudrais voir dans le prochain épisode.


Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

Transcription

  • Speaker #0

    Donc déjà, la première erreur à ne pas faire si tu veux lancer ton média, c'est d'oublier de brancher le micro. Je l'ai entendu 150 fois, je me suis dit, il n'y a que les ploucs qui pouvaient faire ça. Mais en fait, c'est ce qui vient de m'arriver au bout du 50e ou 60e épisode podcast que je tourne. Donc désolé par avance pour la qualité audio qui arrive sur cet épisode et qui va arriver sur les deux prochains parce que j'ai fait un enregistrement en one shot. Voilà, au moins vous êtes vraiment dans les coulisses. Donc allez, on débranche le micro et on rentre dans l'épisode. Bonjour à tous, bienvenue dans ce nouvel épisode de Road to Kif, le troisième. Donc dans le dernier épisode et dans la dernière newsletter, je vous mettrai le lien en dessous de l'épisode, je vous parlais du chaos qui est à l'origine de The Impacters. Aujourd'hui, j'avais commencé à vous en parler la semaine dernière. je voulais vous parler de ce qui vient de la crise et ma réflexion du moment sur laquelle je gamberge beaucoup. Donc le plan de cet épisode, alors j'ai décidé de faire ça en 2-3 épisodes pour que ça soit plus efficace. Dans cet épisode, un focus sur une autopsie de mes 2 médias que j'ai foirés et en fait un mode d'emploi pour planter 2 médias en 3 mois, donc 2 newsletters en 3 mois pour vous éviter à perdre 3 mois là-dessus. Ensuite, comment ces échecs m'ont permis de vivre ce que je vis aujourd'hui. Et pour terminer, comment j'en suis venu à lancer mon podcast ? Donc, pourquoi un petit peu cette crise d'un an ? Parce que voilà, je vous disais, The Impact Earth, ça prête à souffler sa première bougie dans quelques jours. Donc, un an, ça passe très vite et en même temps, il y a beaucoup de choses, énormément de choses qui se sont passées. Donc, pour revenir un petit peu sur les plus gros apprentissages, après un an de podcasting, Merci. et de médias. Donc en fait, le podcast The Impacters que vous connaissez aujourd'hui, c'est le troisième média que j'ai lancé en six mois. C'est-à-dire, dans la dernière vidéo, je vous parlais de ma newsletter sur les finances perso, donc Impact, c'est un nom très original. Et je vous racontais l'objectif un petit peu de cette newsletter, c'était chaque semaine de vulgariser les finances perso pour apprendre à chacun à bien utiliser son argent pour le faire capitaliser dans des projets à impact. Ce média-là, il a eu une vie très courte. Donc, je vous disais un mois et demi, quatre éditions. Et pourquoi ça s'est cassé la gueule ? Parce que d'un, je vous disais le temps de production, donc six heures par semaine, je produisais seul cette newsletter. Donc, beaucoup d'infos à aller chercher, à aller vérifier. Quand on parle finance, c'est pas comme quand on parle de com. On dira qu'il y a une vérification beaucoup plus... plus fines à avoir sur chaque terme avant de publier. Et deux, c'est surtout ça. Donc, j'ai lancé la newsletter. C'était la première fois que je parlais de finances. Même si moi, en fait, je connaissais, j'avais étudié ça à ma guille, dans mon réseau, en fait, quand j'étais au Canada, je parlais que de marketing et encore un peu de mobilité, tout ce qui impacte. Le seul réseau où je communiquais, c'était Unigine. J'avais 500, 600 abonnés max. Les gens qui me suivaient, c'était des personnes qui étaient intéressées par le marketing, le SEO, l'inbound marketing pour attirer du trafic des clients vers son site. Ou alors la mobilité et tout ce qui impacte RSE, l'audience que j'avais développée avec Happy Bike. Donc d'un coup, je suis arrivé à lancer Newsletter sur les finances perso avec... Zéro audience, en fait c'est là où ça a été très difficile, c'est que je suis parti de zéro. C'est-à-dire la newsletter, elle me prenait 6 heures à produire, et en plus, il fallait, une fois que j'ai cliqué sur envoyer, pour qu'elle s'envoie, il faut qu'il y ait des destinataires. Donc des adresses mail qui soient abonnées. Ces adresses mail, j'ai télé-pioché où ? Déjà dans mes abonnés, donc le cercle de personnes que je connaissais, en leur proposant, voilà, je lance ça. est-ce que ça t'intéresse, tu veux t'abonner ? Et là, il y a trois options. Il y a ceux qui sont, ah oui, ça m'intéresse, je m'abonne. Ceux, non, je t'aime bien, mais moi, je m'en fous de la finance. Et trois, c'est le pire pour moi, c'est, oui, oui, ça m'intéresse, mais en fait, en gros, je le fais juste pour te faire plaisir parce que je t'aime bien, qu'on est amis, qu'on se connaît, voilà. Et ça, c'est le pire parce que si derrière, en fait, de votre optique, c'est de lancer un média qui derrière est un peu va vous ramener du business, du trafic, faire rayonner un petit peu votre savoir-faire sur une expertise en particulier. C'est le pire qui puisse arriver parce que vous allez développer une audience avec des abonnés, vous allez croire que tout roule alors qu'en fait rien ne roule. Vous allez avoir une audience qui n'est pas engagée et qui du coup ne vaut rien. Donc j'ai un premier vivier dans mes contacts. Et comment je fais ensuite pour en attirer des nouveaux ? En fait, le post que je fais dans la newsletter, chaque édition, il y a un gros contenu qui est produit. Je coupe ce contenu, je le transforme en 5, 7 ou 10 posts LinkedIn. C'est-à-dire que j'arrive tous les jours ou tous les deux jours à publier un contenu qui va apprendre quelque chose sur la finance aux gens qui me suivent. Et en fait, c'est là où vraiment c'est compliqué parce que je parle à une audience qui n'est pas du tout dans ce monde-là. Donc, dans cette audience, la part qui va être intéressée par le sujet est très minime. Donc, en fait, si je veux réussir, je comprends qu'il va me falloir beaucoup plus de temps. Donc, beaucoup plus de temps, que ce soit à court terme, full time. Et même si je me mettais à temps plein, beaucoup plus de temps. Il va me falloir des mois, voire peut-être un an pour réussir à faire de ce média un succès. qu'il ait de l'impact et que derrière ça déclenche des opportunités. Un petit peu par épuisement, donc j'abandonne. C'est là que je vous dis que j'ai... Donc c'est à ce moment, je vous disais, que j'ai pris la décision de me lancer parce que j'ai pris la décision que des projets que je voulais mener, je ne voulais pas que... Je voulais consacrer mon temps dessus. Je ne voulais pas le consacrer à autre chose. Et en attendant, je me dis, bon, je sais que je vais me lancer maintenant, mais du coup... Pour avoir des clients, le jour où je me lance, il faut que je commence à faire de la com. Il ne faut pas attirer un peu une audience vers moi. Parce que c'est facile de lancer une boîte. Ça se fait en cinq minutes, mais ça ne sert à rien. Tant qu'il n'y a pas des clients qui sont là que vous allez servir, la boîte ne sert à rien. Je me mets dans l'optique de relancer un média. Je repars pour une newsletter et je me dis, voilà. La finance perso, j'avais pas en fait une crédibilité, une audience déjà développée sur le sujet. Par contre, l'impact pour les entreprises, tout ce qui est marketing durable, modèle économique circulaire, RSE, mobilité, là par contre, j'avais une audience et aussi je me disais, je vais avoir plus d'impact parce qu'on aura plus d'impact sur le changement climatique en faisant shifter en fait. des entreprises qui ont 10, 20, 100, 200 salariés, des milliers de clients, plutôt que faire shifter un à un des particuliers qui vont placer leur épargne de telle ou telle façon. Donc, à cette époque-là, c'est comme ça que je le vois. Et je me dis, allez, je lance la newsletter The Impacters. Et là, ce que je décide de changer aussi, c'est de dire, je ne vais pas produire 100% du contenu, je vais m'alléger le travail. et en même temps... je vais augmenter la valeur, apporter plus de valeur au contenu en invitant des contributeurs experts à contribuer à Newsetter, donc des consultants, des coachs, des responsables RSE dans des entreprises. Et en fait, je me dis aussi, le bénéfice de ça, ça va me permettre de créer un réseau, d'avoir une occasion de me présenter, de discuter en fait avec des... personnes que je n'aurais jamais réussi à atteindre sans cette initiative. Et donc, je commence, je me fais une liste de contributeurs potentiels et un à un, je commence à partir un peu en quête de contributeurs. Je décroche des calls et j'expose un petit peu ma vision et là, tout le monde, en gros, le retour c'est, ah ouais, c'est top, il faut vraiment éduquer en fait le public là-dessus pour accélérer le changement. Mais par contre, Ton idée, c'est bien, mais sans moi, parce que moi, je suis débordé, je n'ai pas le temps, contribuer à une newsletter, c'est trop long. Et donc, deuxième idée qui se casse la gueule. Donc là, il n'a pas fallu un mois et demi, il a fallu deux semaines, le temps de faire, je crois, une dizaine de calls. Et en fait, c'est en parlant avec une de ces personnes qu'en fait, la personne me dit, tu vois, si ça serait pour moi... parler pendant une demi-heure, une demi-heure, trois quarts d'heure d'un sujet, ça, je peux le faire facilement. Je maîtrise tellement que j'ai même pas d'effort de production à faire là-dessus. Mais voilà, une newsletter, il faut écrire, c'est réfléchi, c'est trop compliqué. C'est là que, dans ma tête, je me dis, mais tiens, si en fait, il faudrait que je fasse des visios avec ces contributeurs. qu'on les enregistre, qu'en fait on puisse les retransmettre. Je me dis, ouais, c'est un podcast en fait. Et c'est de là que vient l'idée de dire, on va faire un podcast pour vulgariser la RSE pour les petites et moyennes entreprises. L'idée me vient, je rappelle les 10 personnes que j'ai appelées pour la newsletter. Alors, je me dis, ils vont me prendre pour un fou. Je les rappelle trois jours après avec une autre idée. En fait, j'avais mes 10 premiers invités. C'est de suite, ah ouais, c'est feu, dis-moi quand tu es dispo, comment on fait ? Et là, en fait, sans rien savoir comment on faisait un podcast, j'ai dit, on se réserve un créneau, une heure, dans trois semaines, on fait une vidéo et c'est enregistré. Et voilà, pour toi, il n'y a que ça à faire. Et en amont, je t'envoie une proposition de script, de trame pour l'épisode, et on fait une conversation là-dessus. C'est comme ça qu'en un mois, j'enregistre mes dix premiers épisodes. Et au moment où j'ai dans mon Google Agenda les premiers épisodes, les premiers enregistrements qui sont calés avec l'invité qui a dit « Ok, invitation acceptée » , C'est là que je me dis, merde, maintenant, il faut que j'apprenne comment faire un podcast, en fait. Et ça, c'est justement ce que je vous partage dans les prochains épisodes de Road to Kif. Donc, on parlera dans le prochain épisode comment lancer son podcast en un mois avec moins de 100 euros. Et ensuite, quels sont les vrais bénéfices que génère le podcast aujourd'hui. N'hésitez pas à poser vos questions en commentaire ici, en dessous de l'épisode. et à vous abonner et liker l'épisode pour m'aider à le rendre accessible aux plus grandes. Merci d'avoir écouté jusqu'ici, et je vous dis à la semaine prochaine pour un nouvel épisode. Ciao !

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Je documente ici chaque étape du lancement de mon solobusiness dans l’impact.

Je suis Marc-Antoine Bouteille-Torre, ex-CMO et serial-entrepreneur.

J’aide les entrepreneurs à attirer des opportunités alignées qui les font kiffer. Car j’estime que celles et ceux qui réussissent aujourd’hui sont ces personnes qui vivent la vie dont elles ont rêvé.

Et que l’entrepreneuriat moderne est le meilleur véhicule pour arriver à cet accomplissement.

Un véhicule que je t’aide à alimenter en t’apprenant à générer les bonnes opportunités dont tu as besoin pour le faire avancer vers le style de vie (dont tu rêves) et qui te fait kiffer.

“Road To Kiff”, c’est une sorte de Track record, un format brut et sans paillettes où je partage tout du lancement de mon solobusiness : mes réussites, mes galères, et mes apprentissages qui, peut-être, en inspireront d'autres ici.

Au programme de ce 3e épisode :

👉 Comment j’ai planté 2 solo-média (newsletters) en 3 mois.
👉 Qu’est-ce que j’ai retenu de ces échecs ?

👉 Ce qu’ils m’ont apporté.
👉 Et comment j’en suis venu à lancer mon Podcast ?

🎁Tu veux apprendre à générer des opportunités alignées ?
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🍿 Regarder sur YouTube : https://youtu.be/kqwUi3Qh-es

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PS : Cette série, je la lance sans savoir où je vais. Ce qui va déterminer la suite, ce sont tes retours. Alors dis-moi en commentaires ce que tu voudrais voir dans le prochain épisode.


Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

Transcription

  • Speaker #0

    Donc déjà, la première erreur à ne pas faire si tu veux lancer ton média, c'est d'oublier de brancher le micro. Je l'ai entendu 150 fois, je me suis dit, il n'y a que les ploucs qui pouvaient faire ça. Mais en fait, c'est ce qui vient de m'arriver au bout du 50e ou 60e épisode podcast que je tourne. Donc désolé par avance pour la qualité audio qui arrive sur cet épisode et qui va arriver sur les deux prochains parce que j'ai fait un enregistrement en one shot. Voilà, au moins vous êtes vraiment dans les coulisses. Donc allez, on débranche le micro et on rentre dans l'épisode. Bonjour à tous, bienvenue dans ce nouvel épisode de Road to Kif, le troisième. Donc dans le dernier épisode et dans la dernière newsletter, je vous mettrai le lien en dessous de l'épisode, je vous parlais du chaos qui est à l'origine de The Impacters. Aujourd'hui, j'avais commencé à vous en parler la semaine dernière. je voulais vous parler de ce qui vient de la crise et ma réflexion du moment sur laquelle je gamberge beaucoup. Donc le plan de cet épisode, alors j'ai décidé de faire ça en 2-3 épisodes pour que ça soit plus efficace. Dans cet épisode, un focus sur une autopsie de mes 2 médias que j'ai foirés et en fait un mode d'emploi pour planter 2 médias en 3 mois, donc 2 newsletters en 3 mois pour vous éviter à perdre 3 mois là-dessus. Ensuite, comment ces échecs m'ont permis de vivre ce que je vis aujourd'hui. Et pour terminer, comment j'en suis venu à lancer mon podcast ? Donc, pourquoi un petit peu cette crise d'un an ? Parce que voilà, je vous disais, The Impact Earth, ça prête à souffler sa première bougie dans quelques jours. Donc, un an, ça passe très vite et en même temps, il y a beaucoup de choses, énormément de choses qui se sont passées. Donc, pour revenir un petit peu sur les plus gros apprentissages, après un an de podcasting, Merci. et de médias. Donc en fait, le podcast The Impacters que vous connaissez aujourd'hui, c'est le troisième média que j'ai lancé en six mois. C'est-à-dire, dans la dernière vidéo, je vous parlais de ma newsletter sur les finances perso, donc Impact, c'est un nom très original. Et je vous racontais l'objectif un petit peu de cette newsletter, c'était chaque semaine de vulgariser les finances perso pour apprendre à chacun à bien utiliser son argent pour le faire capitaliser dans des projets à impact. Ce média-là, il a eu une vie très courte. Donc, je vous disais un mois et demi, quatre éditions. Et pourquoi ça s'est cassé la gueule ? Parce que d'un, je vous disais le temps de production, donc six heures par semaine, je produisais seul cette newsletter. Donc, beaucoup d'infos à aller chercher, à aller vérifier. Quand on parle finance, c'est pas comme quand on parle de com. On dira qu'il y a une vérification beaucoup plus... plus fines à avoir sur chaque terme avant de publier. Et deux, c'est surtout ça. Donc, j'ai lancé la newsletter. C'était la première fois que je parlais de finances. Même si moi, en fait, je connaissais, j'avais étudié ça à ma guille, dans mon réseau, en fait, quand j'étais au Canada, je parlais que de marketing et encore un peu de mobilité, tout ce qui impacte. Le seul réseau où je communiquais, c'était Unigine. J'avais 500, 600 abonnés max. Les gens qui me suivaient, c'était des personnes qui étaient intéressées par le marketing, le SEO, l'inbound marketing pour attirer du trafic des clients vers son site. Ou alors la mobilité et tout ce qui impacte RSE, l'audience que j'avais développée avec Happy Bike. Donc d'un coup, je suis arrivé à lancer Newsletter sur les finances perso avec... Zéro audience, en fait c'est là où ça a été très difficile, c'est que je suis parti de zéro. C'est-à-dire la newsletter, elle me prenait 6 heures à produire, et en plus, il fallait, une fois que j'ai cliqué sur envoyer, pour qu'elle s'envoie, il faut qu'il y ait des destinataires. Donc des adresses mail qui soient abonnées. Ces adresses mail, j'ai télé-pioché où ? Déjà dans mes abonnés, donc le cercle de personnes que je connaissais, en leur proposant, voilà, je lance ça. est-ce que ça t'intéresse, tu veux t'abonner ? Et là, il y a trois options. Il y a ceux qui sont, ah oui, ça m'intéresse, je m'abonne. Ceux, non, je t'aime bien, mais moi, je m'en fous de la finance. Et trois, c'est le pire pour moi, c'est, oui, oui, ça m'intéresse, mais en fait, en gros, je le fais juste pour te faire plaisir parce que je t'aime bien, qu'on est amis, qu'on se connaît, voilà. Et ça, c'est le pire parce que si derrière, en fait, de votre optique, c'est de lancer un média qui derrière est un peu va vous ramener du business, du trafic, faire rayonner un petit peu votre savoir-faire sur une expertise en particulier. C'est le pire qui puisse arriver parce que vous allez développer une audience avec des abonnés, vous allez croire que tout roule alors qu'en fait rien ne roule. Vous allez avoir une audience qui n'est pas engagée et qui du coup ne vaut rien. Donc j'ai un premier vivier dans mes contacts. Et comment je fais ensuite pour en attirer des nouveaux ? En fait, le post que je fais dans la newsletter, chaque édition, il y a un gros contenu qui est produit. Je coupe ce contenu, je le transforme en 5, 7 ou 10 posts LinkedIn. C'est-à-dire que j'arrive tous les jours ou tous les deux jours à publier un contenu qui va apprendre quelque chose sur la finance aux gens qui me suivent. Et en fait, c'est là où vraiment c'est compliqué parce que je parle à une audience qui n'est pas du tout dans ce monde-là. Donc, dans cette audience, la part qui va être intéressée par le sujet est très minime. Donc, en fait, si je veux réussir, je comprends qu'il va me falloir beaucoup plus de temps. Donc, beaucoup plus de temps, que ce soit à court terme, full time. Et même si je me mettais à temps plein, beaucoup plus de temps. Il va me falloir des mois, voire peut-être un an pour réussir à faire de ce média un succès. qu'il ait de l'impact et que derrière ça déclenche des opportunités. Un petit peu par épuisement, donc j'abandonne. C'est là que je vous dis que j'ai... Donc c'est à ce moment, je vous disais, que j'ai pris la décision de me lancer parce que j'ai pris la décision que des projets que je voulais mener, je ne voulais pas que... Je voulais consacrer mon temps dessus. Je ne voulais pas le consacrer à autre chose. Et en attendant, je me dis, bon, je sais que je vais me lancer maintenant, mais du coup... Pour avoir des clients, le jour où je me lance, il faut que je commence à faire de la com. Il ne faut pas attirer un peu une audience vers moi. Parce que c'est facile de lancer une boîte. Ça se fait en cinq minutes, mais ça ne sert à rien. Tant qu'il n'y a pas des clients qui sont là que vous allez servir, la boîte ne sert à rien. Je me mets dans l'optique de relancer un média. Je repars pour une newsletter et je me dis, voilà. La finance perso, j'avais pas en fait une crédibilité, une audience déjà développée sur le sujet. Par contre, l'impact pour les entreprises, tout ce qui est marketing durable, modèle économique circulaire, RSE, mobilité, là par contre, j'avais une audience et aussi je me disais, je vais avoir plus d'impact parce qu'on aura plus d'impact sur le changement climatique en faisant shifter en fait. des entreprises qui ont 10, 20, 100, 200 salariés, des milliers de clients, plutôt que faire shifter un à un des particuliers qui vont placer leur épargne de telle ou telle façon. Donc, à cette époque-là, c'est comme ça que je le vois. Et je me dis, allez, je lance la newsletter The Impacters. Et là, ce que je décide de changer aussi, c'est de dire, je ne vais pas produire 100% du contenu, je vais m'alléger le travail. et en même temps... je vais augmenter la valeur, apporter plus de valeur au contenu en invitant des contributeurs experts à contribuer à Newsetter, donc des consultants, des coachs, des responsables RSE dans des entreprises. Et en fait, je me dis aussi, le bénéfice de ça, ça va me permettre de créer un réseau, d'avoir une occasion de me présenter, de discuter en fait avec des... personnes que je n'aurais jamais réussi à atteindre sans cette initiative. Et donc, je commence, je me fais une liste de contributeurs potentiels et un à un, je commence à partir un peu en quête de contributeurs. Je décroche des calls et j'expose un petit peu ma vision et là, tout le monde, en gros, le retour c'est, ah ouais, c'est top, il faut vraiment éduquer en fait le public là-dessus pour accélérer le changement. Mais par contre, Ton idée, c'est bien, mais sans moi, parce que moi, je suis débordé, je n'ai pas le temps, contribuer à une newsletter, c'est trop long. Et donc, deuxième idée qui se casse la gueule. Donc là, il n'a pas fallu un mois et demi, il a fallu deux semaines, le temps de faire, je crois, une dizaine de calls. Et en fait, c'est en parlant avec une de ces personnes qu'en fait, la personne me dit, tu vois, si ça serait pour moi... parler pendant une demi-heure, une demi-heure, trois quarts d'heure d'un sujet, ça, je peux le faire facilement. Je maîtrise tellement que j'ai même pas d'effort de production à faire là-dessus. Mais voilà, une newsletter, il faut écrire, c'est réfléchi, c'est trop compliqué. C'est là que, dans ma tête, je me dis, mais tiens, si en fait, il faudrait que je fasse des visios avec ces contributeurs. qu'on les enregistre, qu'en fait on puisse les retransmettre. Je me dis, ouais, c'est un podcast en fait. Et c'est de là que vient l'idée de dire, on va faire un podcast pour vulgariser la RSE pour les petites et moyennes entreprises. L'idée me vient, je rappelle les 10 personnes que j'ai appelées pour la newsletter. Alors, je me dis, ils vont me prendre pour un fou. Je les rappelle trois jours après avec une autre idée. En fait, j'avais mes 10 premiers invités. C'est de suite, ah ouais, c'est feu, dis-moi quand tu es dispo, comment on fait ? Et là, en fait, sans rien savoir comment on faisait un podcast, j'ai dit, on se réserve un créneau, une heure, dans trois semaines, on fait une vidéo et c'est enregistré. Et voilà, pour toi, il n'y a que ça à faire. Et en amont, je t'envoie une proposition de script, de trame pour l'épisode, et on fait une conversation là-dessus. C'est comme ça qu'en un mois, j'enregistre mes dix premiers épisodes. Et au moment où j'ai dans mon Google Agenda les premiers épisodes, les premiers enregistrements qui sont calés avec l'invité qui a dit « Ok, invitation acceptée » , C'est là que je me dis, merde, maintenant, il faut que j'apprenne comment faire un podcast, en fait. Et ça, c'est justement ce que je vous partage dans les prochains épisodes de Road to Kif. Donc, on parlera dans le prochain épisode comment lancer son podcast en un mois avec moins de 100 euros. Et ensuite, quels sont les vrais bénéfices que génère le podcast aujourd'hui. N'hésitez pas à poser vos questions en commentaire ici, en dessous de l'épisode. et à vous abonner et liker l'épisode pour m'aider à le rendre accessible aux plus grandes. Merci d'avoir écouté jusqu'ici, et je vous dis à la semaine prochaine pour un nouvel épisode. Ciao !

Description

Je documente ici chaque étape du lancement de mon solobusiness dans l’impact.

Je suis Marc-Antoine Bouteille-Torre, ex-CMO et serial-entrepreneur.

J’aide les entrepreneurs à attirer des opportunités alignées qui les font kiffer. Car j’estime que celles et ceux qui réussissent aujourd’hui sont ces personnes qui vivent la vie dont elles ont rêvé.

Et que l’entrepreneuriat moderne est le meilleur véhicule pour arriver à cet accomplissement.

Un véhicule que je t’aide à alimenter en t’apprenant à générer les bonnes opportunités dont tu as besoin pour le faire avancer vers le style de vie (dont tu rêves) et qui te fait kiffer.

“Road To Kiff”, c’est une sorte de Track record, un format brut et sans paillettes où je partage tout du lancement de mon solobusiness : mes réussites, mes galères, et mes apprentissages qui, peut-être, en inspireront d'autres ici.

Au programme de ce 3e épisode :

👉 Comment j’ai planté 2 solo-média (newsletters) en 3 mois.
👉 Qu’est-ce que j’ai retenu de ces échecs ?

👉 Ce qu’ils m’ont apporté.
👉 Et comment j’en suis venu à lancer mon Podcast ?

🎁Tu veux apprendre à générer des opportunités alignées ?
Par ici pour recevoir mes Recos personnalisées pour toi.

https://form.typeform.com/to/CmNjk9uJ

💚 Pour réaliser le Kiffomètre du Solopreneur(e).

https://form.typeform.com/to/mLZK1YPj

📩 Ma Newsletter pour recevoir mes idées pour t’attirer les bonnes opportunités (chaque vendredi) :

https://theimpacters.substack.com/p/j...


🍿 Regarder sur YouTube : https://youtu.be/kqwUi3Qh-es

Prochain épisode : Dimanche 12 Juin

Let’s grow 💚

PS : Cette série, je la lance sans savoir où je vais. Ce qui va déterminer la suite, ce sont tes retours. Alors dis-moi en commentaires ce que tu voudrais voir dans le prochain épisode.


Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

Transcription

  • Speaker #0

    Donc déjà, la première erreur à ne pas faire si tu veux lancer ton média, c'est d'oublier de brancher le micro. Je l'ai entendu 150 fois, je me suis dit, il n'y a que les ploucs qui pouvaient faire ça. Mais en fait, c'est ce qui vient de m'arriver au bout du 50e ou 60e épisode podcast que je tourne. Donc désolé par avance pour la qualité audio qui arrive sur cet épisode et qui va arriver sur les deux prochains parce que j'ai fait un enregistrement en one shot. Voilà, au moins vous êtes vraiment dans les coulisses. Donc allez, on débranche le micro et on rentre dans l'épisode. Bonjour à tous, bienvenue dans ce nouvel épisode de Road to Kif, le troisième. Donc dans le dernier épisode et dans la dernière newsletter, je vous mettrai le lien en dessous de l'épisode, je vous parlais du chaos qui est à l'origine de The Impacters. Aujourd'hui, j'avais commencé à vous en parler la semaine dernière. je voulais vous parler de ce qui vient de la crise et ma réflexion du moment sur laquelle je gamberge beaucoup. Donc le plan de cet épisode, alors j'ai décidé de faire ça en 2-3 épisodes pour que ça soit plus efficace. Dans cet épisode, un focus sur une autopsie de mes 2 médias que j'ai foirés et en fait un mode d'emploi pour planter 2 médias en 3 mois, donc 2 newsletters en 3 mois pour vous éviter à perdre 3 mois là-dessus. Ensuite, comment ces échecs m'ont permis de vivre ce que je vis aujourd'hui. Et pour terminer, comment j'en suis venu à lancer mon podcast ? Donc, pourquoi un petit peu cette crise d'un an ? Parce que voilà, je vous disais, The Impact Earth, ça prête à souffler sa première bougie dans quelques jours. Donc, un an, ça passe très vite et en même temps, il y a beaucoup de choses, énormément de choses qui se sont passées. Donc, pour revenir un petit peu sur les plus gros apprentissages, après un an de podcasting, Merci. et de médias. Donc en fait, le podcast The Impacters que vous connaissez aujourd'hui, c'est le troisième média que j'ai lancé en six mois. C'est-à-dire, dans la dernière vidéo, je vous parlais de ma newsletter sur les finances perso, donc Impact, c'est un nom très original. Et je vous racontais l'objectif un petit peu de cette newsletter, c'était chaque semaine de vulgariser les finances perso pour apprendre à chacun à bien utiliser son argent pour le faire capitaliser dans des projets à impact. Ce média-là, il a eu une vie très courte. Donc, je vous disais un mois et demi, quatre éditions. Et pourquoi ça s'est cassé la gueule ? Parce que d'un, je vous disais le temps de production, donc six heures par semaine, je produisais seul cette newsletter. Donc, beaucoup d'infos à aller chercher, à aller vérifier. Quand on parle finance, c'est pas comme quand on parle de com. On dira qu'il y a une vérification beaucoup plus... plus fines à avoir sur chaque terme avant de publier. Et deux, c'est surtout ça. Donc, j'ai lancé la newsletter. C'était la première fois que je parlais de finances. Même si moi, en fait, je connaissais, j'avais étudié ça à ma guille, dans mon réseau, en fait, quand j'étais au Canada, je parlais que de marketing et encore un peu de mobilité, tout ce qui impacte. Le seul réseau où je communiquais, c'était Unigine. J'avais 500, 600 abonnés max. Les gens qui me suivaient, c'était des personnes qui étaient intéressées par le marketing, le SEO, l'inbound marketing pour attirer du trafic des clients vers son site. Ou alors la mobilité et tout ce qui impacte RSE, l'audience que j'avais développée avec Happy Bike. Donc d'un coup, je suis arrivé à lancer Newsletter sur les finances perso avec... Zéro audience, en fait c'est là où ça a été très difficile, c'est que je suis parti de zéro. C'est-à-dire la newsletter, elle me prenait 6 heures à produire, et en plus, il fallait, une fois que j'ai cliqué sur envoyer, pour qu'elle s'envoie, il faut qu'il y ait des destinataires. Donc des adresses mail qui soient abonnées. Ces adresses mail, j'ai télé-pioché où ? Déjà dans mes abonnés, donc le cercle de personnes que je connaissais, en leur proposant, voilà, je lance ça. est-ce que ça t'intéresse, tu veux t'abonner ? Et là, il y a trois options. Il y a ceux qui sont, ah oui, ça m'intéresse, je m'abonne. Ceux, non, je t'aime bien, mais moi, je m'en fous de la finance. Et trois, c'est le pire pour moi, c'est, oui, oui, ça m'intéresse, mais en fait, en gros, je le fais juste pour te faire plaisir parce que je t'aime bien, qu'on est amis, qu'on se connaît, voilà. Et ça, c'est le pire parce que si derrière, en fait, de votre optique, c'est de lancer un média qui derrière est un peu va vous ramener du business, du trafic, faire rayonner un petit peu votre savoir-faire sur une expertise en particulier. C'est le pire qui puisse arriver parce que vous allez développer une audience avec des abonnés, vous allez croire que tout roule alors qu'en fait rien ne roule. Vous allez avoir une audience qui n'est pas engagée et qui du coup ne vaut rien. Donc j'ai un premier vivier dans mes contacts. Et comment je fais ensuite pour en attirer des nouveaux ? En fait, le post que je fais dans la newsletter, chaque édition, il y a un gros contenu qui est produit. Je coupe ce contenu, je le transforme en 5, 7 ou 10 posts LinkedIn. C'est-à-dire que j'arrive tous les jours ou tous les deux jours à publier un contenu qui va apprendre quelque chose sur la finance aux gens qui me suivent. Et en fait, c'est là où vraiment c'est compliqué parce que je parle à une audience qui n'est pas du tout dans ce monde-là. Donc, dans cette audience, la part qui va être intéressée par le sujet est très minime. Donc, en fait, si je veux réussir, je comprends qu'il va me falloir beaucoup plus de temps. Donc, beaucoup plus de temps, que ce soit à court terme, full time. Et même si je me mettais à temps plein, beaucoup plus de temps. Il va me falloir des mois, voire peut-être un an pour réussir à faire de ce média un succès. qu'il ait de l'impact et que derrière ça déclenche des opportunités. Un petit peu par épuisement, donc j'abandonne. C'est là que je vous dis que j'ai... Donc c'est à ce moment, je vous disais, que j'ai pris la décision de me lancer parce que j'ai pris la décision que des projets que je voulais mener, je ne voulais pas que... Je voulais consacrer mon temps dessus. Je ne voulais pas le consacrer à autre chose. Et en attendant, je me dis, bon, je sais que je vais me lancer maintenant, mais du coup... Pour avoir des clients, le jour où je me lance, il faut que je commence à faire de la com. Il ne faut pas attirer un peu une audience vers moi. Parce que c'est facile de lancer une boîte. Ça se fait en cinq minutes, mais ça ne sert à rien. Tant qu'il n'y a pas des clients qui sont là que vous allez servir, la boîte ne sert à rien. Je me mets dans l'optique de relancer un média. Je repars pour une newsletter et je me dis, voilà. La finance perso, j'avais pas en fait une crédibilité, une audience déjà développée sur le sujet. Par contre, l'impact pour les entreprises, tout ce qui est marketing durable, modèle économique circulaire, RSE, mobilité, là par contre, j'avais une audience et aussi je me disais, je vais avoir plus d'impact parce qu'on aura plus d'impact sur le changement climatique en faisant shifter en fait. des entreprises qui ont 10, 20, 100, 200 salariés, des milliers de clients, plutôt que faire shifter un à un des particuliers qui vont placer leur épargne de telle ou telle façon. Donc, à cette époque-là, c'est comme ça que je le vois. Et je me dis, allez, je lance la newsletter The Impacters. Et là, ce que je décide de changer aussi, c'est de dire, je ne vais pas produire 100% du contenu, je vais m'alléger le travail. et en même temps... je vais augmenter la valeur, apporter plus de valeur au contenu en invitant des contributeurs experts à contribuer à Newsetter, donc des consultants, des coachs, des responsables RSE dans des entreprises. Et en fait, je me dis aussi, le bénéfice de ça, ça va me permettre de créer un réseau, d'avoir une occasion de me présenter, de discuter en fait avec des... personnes que je n'aurais jamais réussi à atteindre sans cette initiative. Et donc, je commence, je me fais une liste de contributeurs potentiels et un à un, je commence à partir un peu en quête de contributeurs. Je décroche des calls et j'expose un petit peu ma vision et là, tout le monde, en gros, le retour c'est, ah ouais, c'est top, il faut vraiment éduquer en fait le public là-dessus pour accélérer le changement. Mais par contre, Ton idée, c'est bien, mais sans moi, parce que moi, je suis débordé, je n'ai pas le temps, contribuer à une newsletter, c'est trop long. Et donc, deuxième idée qui se casse la gueule. Donc là, il n'a pas fallu un mois et demi, il a fallu deux semaines, le temps de faire, je crois, une dizaine de calls. Et en fait, c'est en parlant avec une de ces personnes qu'en fait, la personne me dit, tu vois, si ça serait pour moi... parler pendant une demi-heure, une demi-heure, trois quarts d'heure d'un sujet, ça, je peux le faire facilement. Je maîtrise tellement que j'ai même pas d'effort de production à faire là-dessus. Mais voilà, une newsletter, il faut écrire, c'est réfléchi, c'est trop compliqué. C'est là que, dans ma tête, je me dis, mais tiens, si en fait, il faudrait que je fasse des visios avec ces contributeurs. qu'on les enregistre, qu'en fait on puisse les retransmettre. Je me dis, ouais, c'est un podcast en fait. Et c'est de là que vient l'idée de dire, on va faire un podcast pour vulgariser la RSE pour les petites et moyennes entreprises. L'idée me vient, je rappelle les 10 personnes que j'ai appelées pour la newsletter. Alors, je me dis, ils vont me prendre pour un fou. Je les rappelle trois jours après avec une autre idée. En fait, j'avais mes 10 premiers invités. C'est de suite, ah ouais, c'est feu, dis-moi quand tu es dispo, comment on fait ? Et là, en fait, sans rien savoir comment on faisait un podcast, j'ai dit, on se réserve un créneau, une heure, dans trois semaines, on fait une vidéo et c'est enregistré. Et voilà, pour toi, il n'y a que ça à faire. Et en amont, je t'envoie une proposition de script, de trame pour l'épisode, et on fait une conversation là-dessus. C'est comme ça qu'en un mois, j'enregistre mes dix premiers épisodes. Et au moment où j'ai dans mon Google Agenda les premiers épisodes, les premiers enregistrements qui sont calés avec l'invité qui a dit « Ok, invitation acceptée » , C'est là que je me dis, merde, maintenant, il faut que j'apprenne comment faire un podcast, en fait. Et ça, c'est justement ce que je vous partage dans les prochains épisodes de Road to Kif. Donc, on parlera dans le prochain épisode comment lancer son podcast en un mois avec moins de 100 euros. Et ensuite, quels sont les vrais bénéfices que génère le podcast aujourd'hui. N'hésitez pas à poser vos questions en commentaire ici, en dessous de l'épisode. et à vous abonner et liker l'épisode pour m'aider à le rendre accessible aux plus grandes. Merci d'avoir écouté jusqu'ici, et je vous dis à la semaine prochaine pour un nouvel épisode. Ciao !

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