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#17 Attitudes et comportements dans les relations humaines ; quelles influences sur la santé ? Le soin vu d'ailleurs, rencontres aux USA. cover
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Toucher du doigt la santé

#17 Attitudes et comportements dans les relations humaines ; quelles influences sur la santé ? Le soin vu d'ailleurs, rencontres aux USA.

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07min |11/01/2025
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Description

Les mots impactent la taille de nos pupilles, qu’on le veuille ou non ! Alors l’environnement relationnel modifie t il nos perceptions, nos sensations, notre état d’être ?


C’est la question que je (me) pose avant de partir découvrir le quotidien Américain 🇺🇸


Biarritz, Toulouse, Marseille, Lyon, Limoges, Brest, Paris, Besançon et Lille ont toutes un point commun : ce sont toutes des villes françaises… et pourtant, bien sûr, il existe beaucoup de différences sur différents plans (la taille, l’architecture, le climat, l’accent, …)


J’ai tout à fait conscience que les États Unis d’Amérique sont aussi différents les uns des autres et que certains éléments seront difficilement comparables.


L’idée n’est pas là.

L’idée c’est d’aller vérifier par moi même ce que beaucoup de livres, de personnes racontent en parlant de l’ETAT D’ESPRIT Américain.


L’état d’esprit ET la manière de communiquer.

Les mots, l’intention, les mimiques du visage, les sourires (peut être), les images utilisées, … etc.

Nous parlions des certains grands psychologues Américains qui ont travaillé sur ces sujets passionnants, il me vient à l’esprit les grand.e.s sportifs aussi !

Et peut être même les entrepreneurs ?

Et les politiciens ?

Et les artistes ?

Aussi !


Comment parlent ils ?

Comment s’encouragent ils ?

Comment se motivent ils ?

Où placent t'ils leurs attentions ? Sur le négatif, la critique, la jalousie, le jugement ? Ou ailleurs ? 😊


En prenant conscience de ces éléments…

Comment les intégrer dans nos soins ?

Comment participer à la prise de conscience de l'importance de soigner notre communication avec les autres ? (et avec nous même :))


Citations inspirantes :

« Nous sommes la moyenne des 5 personnes que nous côtoyons le plus » (Jim Rohn)

« La domestication des enfants » Don Miguel Ruiz


Retrouvons nous sur  Instagram  Facebook LinkedIn

Si vous appréciez ce podcast santé, je vous invite à nous laisser 5 ⭐️ Sur Apple sur Spotify ou et à le partager autour de vous ? 🌱

Merci d’avance pour la reconnaissance du travail 😌

Belle écoute et à tout bientôt,

Antoine


Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

Transcription

  • Antoine Lacouturière

    Bonjour, soyez les bienvenus sur Toucher du doigt la santé, le podcast autour des soins, du bien-être et de la santé. Je suis ravi de vous retrouver aujourd'hui pour la série Le soin vu d'ailleurs, rencontre aux USA et le thème l'attitude, les comportements en France et aux Etats-Unis. La différence supposée, en tout cas la vision que j'ai avant le voyage. A quelques jours du voyage... Le constat que je fais aujourd'hui, le constat que je vis, que je ressens en moi, c'est que souvent dans nos quotidiens de soignants et de patients, de parents, il y a une forme de jugement, de critique, de jalousie quasi permanente. Ça demande un effort, ça demande une attention particulière de créer des relations avec, je vais dire, une certaine positivité, avec... Un non-jugement avec une acceptation, voire même avec des encouragements, voire même avec de l'enthousiasme. Alors je me mets très facilement dans le lot de monsieur et madame tout le monde et j'ai moi aussi, moi le premier, cette tendance à spontanément juger, à comparer. ça me demande un effort important, ça me demande un travail personnel du quotidien, d'arriver, alors pas à ressembler au Dalai Lama, mais d'arriver à réorienter vers du positif. Du positif au sens simple du terme, pas du positif ésotérique complètement perché, barré, du positif... au sens neurophysiologique du terme, de la dopamine, de l'ocytocine, sérotonine, endorphine, voilà, des neurotransmetteurs du bien-être. On l'a vu dans le podcast concernant l'impact des mots sur le corps. Souvenez-vous, les chercheurs d'Aix-Marseille, ils ont objectivé le fait qu'un simple mot lu ou entendu allait impacter notre système nerveux notamment au niveau de la taille des pupilles Vous vous souvenez, la simple évocation à la lecture ou à l'écoute du mot soleil comparativement au mot nuit va amener une dilatation des pupilles ou un relâchement des muscles autour, c'est-à-dire que le cerveau, que le système nerveux fait comme si le soleil était présent alors que les conditions dans la pièce de luminosité n'ont pas changé. Et donc, riche de cette... connaissance-là, de ce savoir, de cette connaissance scientifique, reproductible, objectivable. Nous pouvons faire une analogie avec les relations humaines. Pourquoi je dis tout ça ? Parce que dans le monde du soin aujourd'hui, dans le monde de la santé, du bien-être, il y a un certain nombre de critiques, de critiques des soignants entre eux. Et je trouve que c'est... pas quelque chose de constructif. Je trouve que c'est quelque chose qui tire vers le bas. J'ai l'impression, aujourd'hui, qu'il est assez commun de critiquer nos voisins, d'être jaloux de la réussite. On parlait d'argent dans un des podcasts précédents. Oui, quelqu'un qui réussit, tant mieux pour lui. Et non, ce n'est pas gratuit, et non, ça ne tombe pas du ciel. Il y a probablement un travail, il y a probablement des compétences, il y a probablement un investissement. Et je crois que cette jalousie qui s'entretient dès l'école, malheureusement, c'est un sujet qui me touche. Dans les cours d'école, je suis parfois choqué du comportement entre les enfants, de cette dureté-là. Je me demande si ce côté jaloux, si ce côté critique, comparatif, moquerie, il est présent dès la naissance. Je ne crois pas. S'il est entretenu, si comme Don Miguel Ruiz le suggère dans les accords Toltec et cette philosophie, la domestication, et c'est un mot terrible, amène à ça, si c'est la société occidentale, j'ai l'impression, j'ai l'intuition, le sentiment que d'autres sociétés, d'autres formes, d'autres cultures encouragent. Apercevoir l'autre comme une richesse, plutôt que comme un problème, que comme un ennemi, entre guillemets. J'exagère, bien sûr. Voilà, c'est la réflexion que j'ai avant de partir sur cette attitude, sur le fait de se réjouir pour l'autre, d'être enthousiasmé par la réussite, par les découvertes de ses voisins, par les réussites dans les processus thérapeutiques mis en œuvre et proposés, plutôt que d'être critiquant pour les soignants, pour les patients également. Pourquoi est-ce que je parle de ça dans l'épisode de Toucher du doigt la santé ? Parce que pour moi, là... relation, elle va impacter la santé, on l'a vu, on en parle régulièrement. Et cette attitude spontanée, cet environnement, il me semble qu'aux Etats-Unis, il est différent. Il me semble que l'enthousiasme, que l'encouragement est plus facilement présent. Que la réussite est perçue comme quelque chose qui inspire, plutôt que comme c'est facile pour lui, Ah, mais il a irrité ça ! Ah, mais il n'a pas dû faire beaucoup d'efforts ! Ah, mais il a gagné sur le dos de quelqu'un d'autre ! Alors oui, bien sûr, certaines fortunes se sont construites sur des mauvaises bases. C'est le cas. Mais il y a aussi beaucoup, beaucoup, beaucoup de fortunes construites sur des choses extraordinaires. Donc je retrouve cette perspective de la richesse et de la considération de la rémunération des autres, mais aussi simplement de l'être, de la manière d'être des autres. Je m'interroge sur comment les soignants communiquent entre eux, comment ils perçoivent entre eux leurs différences, comment les patients le reçoivent, et comment ces attitudes, cette jalousie, ces effs, Versus cet enthousiasme, cet encouragement, cette inspiration, comment le fait de reconnaître la réussite de l'autre et de la valoriser peut impacter notre santé. Je vous donne rendez-vous sur les réseaux, je suis curieux, je suis... exciting, je suis désireux entre guillemets, j'ai envie de recueillir vos avis par rapport à ça. Si pour vous c'est facile d'être enthousiaste, motivant, encourageant, positif, ou si comme un certain nombre ça demande un effort, je vous souhaite une très belle fin de journée et je vous dis à bientôt.

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Les mots impactent la taille de nos pupilles, qu’on le veuille ou non ! Alors l’environnement relationnel modifie t il nos perceptions, nos sensations, notre état d’être ?


C’est la question que je (me) pose avant de partir découvrir le quotidien Américain 🇺🇸


Biarritz, Toulouse, Marseille, Lyon, Limoges, Brest, Paris, Besançon et Lille ont toutes un point commun : ce sont toutes des villes françaises… et pourtant, bien sûr, il existe beaucoup de différences sur différents plans (la taille, l’architecture, le climat, l’accent, …)


J’ai tout à fait conscience que les États Unis d’Amérique sont aussi différents les uns des autres et que certains éléments seront difficilement comparables.


L’idée n’est pas là.

L’idée c’est d’aller vérifier par moi même ce que beaucoup de livres, de personnes racontent en parlant de l’ETAT D’ESPRIT Américain.


L’état d’esprit ET la manière de communiquer.

Les mots, l’intention, les mimiques du visage, les sourires (peut être), les images utilisées, … etc.

Nous parlions des certains grands psychologues Américains qui ont travaillé sur ces sujets passionnants, il me vient à l’esprit les grand.e.s sportifs aussi !

Et peut être même les entrepreneurs ?

Et les politiciens ?

Et les artistes ?

Aussi !


Comment parlent ils ?

Comment s’encouragent ils ?

Comment se motivent ils ?

Où placent t'ils leurs attentions ? Sur le négatif, la critique, la jalousie, le jugement ? Ou ailleurs ? 😊


En prenant conscience de ces éléments…

Comment les intégrer dans nos soins ?

Comment participer à la prise de conscience de l'importance de soigner notre communication avec les autres ? (et avec nous même :))


Citations inspirantes :

« Nous sommes la moyenne des 5 personnes que nous côtoyons le plus » (Jim Rohn)

« La domestication des enfants » Don Miguel Ruiz


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Si vous appréciez ce podcast santé, je vous invite à nous laisser 5 ⭐️ Sur Apple sur Spotify ou et à le partager autour de vous ? 🌱

Merci d’avance pour la reconnaissance du travail 😌

Belle écoute et à tout bientôt,

Antoine


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Transcription

  • Antoine Lacouturière

    Bonjour, soyez les bienvenus sur Toucher du doigt la santé, le podcast autour des soins, du bien-être et de la santé. Je suis ravi de vous retrouver aujourd'hui pour la série Le soin vu d'ailleurs, rencontre aux USA et le thème l'attitude, les comportements en France et aux Etats-Unis. La différence supposée, en tout cas la vision que j'ai avant le voyage. A quelques jours du voyage... Le constat que je fais aujourd'hui, le constat que je vis, que je ressens en moi, c'est que souvent dans nos quotidiens de soignants et de patients, de parents, il y a une forme de jugement, de critique, de jalousie quasi permanente. Ça demande un effort, ça demande une attention particulière de créer des relations avec, je vais dire, une certaine positivité, avec... Un non-jugement avec une acceptation, voire même avec des encouragements, voire même avec de l'enthousiasme. Alors je me mets très facilement dans le lot de monsieur et madame tout le monde et j'ai moi aussi, moi le premier, cette tendance à spontanément juger, à comparer. ça me demande un effort important, ça me demande un travail personnel du quotidien, d'arriver, alors pas à ressembler au Dalai Lama, mais d'arriver à réorienter vers du positif. Du positif au sens simple du terme, pas du positif ésotérique complètement perché, barré, du positif... au sens neurophysiologique du terme, de la dopamine, de l'ocytocine, sérotonine, endorphine, voilà, des neurotransmetteurs du bien-être. On l'a vu dans le podcast concernant l'impact des mots sur le corps. Souvenez-vous, les chercheurs d'Aix-Marseille, ils ont objectivé le fait qu'un simple mot lu ou entendu allait impacter notre système nerveux notamment au niveau de la taille des pupilles Vous vous souvenez, la simple évocation à la lecture ou à l'écoute du mot soleil comparativement au mot nuit va amener une dilatation des pupilles ou un relâchement des muscles autour, c'est-à-dire que le cerveau, que le système nerveux fait comme si le soleil était présent alors que les conditions dans la pièce de luminosité n'ont pas changé. Et donc, riche de cette... connaissance-là, de ce savoir, de cette connaissance scientifique, reproductible, objectivable. Nous pouvons faire une analogie avec les relations humaines. Pourquoi je dis tout ça ? Parce que dans le monde du soin aujourd'hui, dans le monde de la santé, du bien-être, il y a un certain nombre de critiques, de critiques des soignants entre eux. Et je trouve que c'est... pas quelque chose de constructif. Je trouve que c'est quelque chose qui tire vers le bas. J'ai l'impression, aujourd'hui, qu'il est assez commun de critiquer nos voisins, d'être jaloux de la réussite. On parlait d'argent dans un des podcasts précédents. Oui, quelqu'un qui réussit, tant mieux pour lui. Et non, ce n'est pas gratuit, et non, ça ne tombe pas du ciel. Il y a probablement un travail, il y a probablement des compétences, il y a probablement un investissement. Et je crois que cette jalousie qui s'entretient dès l'école, malheureusement, c'est un sujet qui me touche. Dans les cours d'école, je suis parfois choqué du comportement entre les enfants, de cette dureté-là. Je me demande si ce côté jaloux, si ce côté critique, comparatif, moquerie, il est présent dès la naissance. Je ne crois pas. S'il est entretenu, si comme Don Miguel Ruiz le suggère dans les accords Toltec et cette philosophie, la domestication, et c'est un mot terrible, amène à ça, si c'est la société occidentale, j'ai l'impression, j'ai l'intuition, le sentiment que d'autres sociétés, d'autres formes, d'autres cultures encouragent. Apercevoir l'autre comme une richesse, plutôt que comme un problème, que comme un ennemi, entre guillemets. J'exagère, bien sûr. Voilà, c'est la réflexion que j'ai avant de partir sur cette attitude, sur le fait de se réjouir pour l'autre, d'être enthousiasmé par la réussite, par les découvertes de ses voisins, par les réussites dans les processus thérapeutiques mis en œuvre et proposés, plutôt que d'être critiquant pour les soignants, pour les patients également. Pourquoi est-ce que je parle de ça dans l'épisode de Toucher du doigt la santé ? Parce que pour moi, là... relation, elle va impacter la santé, on l'a vu, on en parle régulièrement. Et cette attitude spontanée, cet environnement, il me semble qu'aux Etats-Unis, il est différent. Il me semble que l'enthousiasme, que l'encouragement est plus facilement présent. Que la réussite est perçue comme quelque chose qui inspire, plutôt que comme c'est facile pour lui, Ah, mais il a irrité ça ! Ah, mais il n'a pas dû faire beaucoup d'efforts ! Ah, mais il a gagné sur le dos de quelqu'un d'autre ! Alors oui, bien sûr, certaines fortunes se sont construites sur des mauvaises bases. C'est le cas. Mais il y a aussi beaucoup, beaucoup, beaucoup de fortunes construites sur des choses extraordinaires. Donc je retrouve cette perspective de la richesse et de la considération de la rémunération des autres, mais aussi simplement de l'être, de la manière d'être des autres. Je m'interroge sur comment les soignants communiquent entre eux, comment ils perçoivent entre eux leurs différences, comment les patients le reçoivent, et comment ces attitudes, cette jalousie, ces effs, Versus cet enthousiasme, cet encouragement, cette inspiration, comment le fait de reconnaître la réussite de l'autre et de la valoriser peut impacter notre santé. Je vous donne rendez-vous sur les réseaux, je suis curieux, je suis... exciting, je suis désireux entre guillemets, j'ai envie de recueillir vos avis par rapport à ça. Si pour vous c'est facile d'être enthousiaste, motivant, encourageant, positif, ou si comme un certain nombre ça demande un effort, je vous souhaite une très belle fin de journée et je vous dis à bientôt.

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Les mots impactent la taille de nos pupilles, qu’on le veuille ou non ! Alors l’environnement relationnel modifie t il nos perceptions, nos sensations, notre état d’être ?


C’est la question que je (me) pose avant de partir découvrir le quotidien Américain 🇺🇸


Biarritz, Toulouse, Marseille, Lyon, Limoges, Brest, Paris, Besançon et Lille ont toutes un point commun : ce sont toutes des villes françaises… et pourtant, bien sûr, il existe beaucoup de différences sur différents plans (la taille, l’architecture, le climat, l’accent, …)


J’ai tout à fait conscience que les États Unis d’Amérique sont aussi différents les uns des autres et que certains éléments seront difficilement comparables.


L’idée n’est pas là.

L’idée c’est d’aller vérifier par moi même ce que beaucoup de livres, de personnes racontent en parlant de l’ETAT D’ESPRIT Américain.


L’état d’esprit ET la manière de communiquer.

Les mots, l’intention, les mimiques du visage, les sourires (peut être), les images utilisées, … etc.

Nous parlions des certains grands psychologues Américains qui ont travaillé sur ces sujets passionnants, il me vient à l’esprit les grand.e.s sportifs aussi !

Et peut être même les entrepreneurs ?

Et les politiciens ?

Et les artistes ?

Aussi !


Comment parlent ils ?

Comment s’encouragent ils ?

Comment se motivent ils ?

Où placent t'ils leurs attentions ? Sur le négatif, la critique, la jalousie, le jugement ? Ou ailleurs ? 😊


En prenant conscience de ces éléments…

Comment les intégrer dans nos soins ?

Comment participer à la prise de conscience de l'importance de soigner notre communication avec les autres ? (et avec nous même :))


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« Nous sommes la moyenne des 5 personnes que nous côtoyons le plus » (Jim Rohn)

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  • Antoine Lacouturière

    Bonjour, soyez les bienvenus sur Toucher du doigt la santé, le podcast autour des soins, du bien-être et de la santé. Je suis ravi de vous retrouver aujourd'hui pour la série Le soin vu d'ailleurs, rencontre aux USA et le thème l'attitude, les comportements en France et aux Etats-Unis. La différence supposée, en tout cas la vision que j'ai avant le voyage. A quelques jours du voyage... Le constat que je fais aujourd'hui, le constat que je vis, que je ressens en moi, c'est que souvent dans nos quotidiens de soignants et de patients, de parents, il y a une forme de jugement, de critique, de jalousie quasi permanente. Ça demande un effort, ça demande une attention particulière de créer des relations avec, je vais dire, une certaine positivité, avec... Un non-jugement avec une acceptation, voire même avec des encouragements, voire même avec de l'enthousiasme. Alors je me mets très facilement dans le lot de monsieur et madame tout le monde et j'ai moi aussi, moi le premier, cette tendance à spontanément juger, à comparer. ça me demande un effort important, ça me demande un travail personnel du quotidien, d'arriver, alors pas à ressembler au Dalai Lama, mais d'arriver à réorienter vers du positif. Du positif au sens simple du terme, pas du positif ésotérique complètement perché, barré, du positif... au sens neurophysiologique du terme, de la dopamine, de l'ocytocine, sérotonine, endorphine, voilà, des neurotransmetteurs du bien-être. On l'a vu dans le podcast concernant l'impact des mots sur le corps. Souvenez-vous, les chercheurs d'Aix-Marseille, ils ont objectivé le fait qu'un simple mot lu ou entendu allait impacter notre système nerveux notamment au niveau de la taille des pupilles Vous vous souvenez, la simple évocation à la lecture ou à l'écoute du mot soleil comparativement au mot nuit va amener une dilatation des pupilles ou un relâchement des muscles autour, c'est-à-dire que le cerveau, que le système nerveux fait comme si le soleil était présent alors que les conditions dans la pièce de luminosité n'ont pas changé. Et donc, riche de cette... connaissance-là, de ce savoir, de cette connaissance scientifique, reproductible, objectivable. Nous pouvons faire une analogie avec les relations humaines. Pourquoi je dis tout ça ? Parce que dans le monde du soin aujourd'hui, dans le monde de la santé, du bien-être, il y a un certain nombre de critiques, de critiques des soignants entre eux. Et je trouve que c'est... pas quelque chose de constructif. Je trouve que c'est quelque chose qui tire vers le bas. J'ai l'impression, aujourd'hui, qu'il est assez commun de critiquer nos voisins, d'être jaloux de la réussite. On parlait d'argent dans un des podcasts précédents. Oui, quelqu'un qui réussit, tant mieux pour lui. Et non, ce n'est pas gratuit, et non, ça ne tombe pas du ciel. Il y a probablement un travail, il y a probablement des compétences, il y a probablement un investissement. Et je crois que cette jalousie qui s'entretient dès l'école, malheureusement, c'est un sujet qui me touche. Dans les cours d'école, je suis parfois choqué du comportement entre les enfants, de cette dureté-là. Je me demande si ce côté jaloux, si ce côté critique, comparatif, moquerie, il est présent dès la naissance. Je ne crois pas. S'il est entretenu, si comme Don Miguel Ruiz le suggère dans les accords Toltec et cette philosophie, la domestication, et c'est un mot terrible, amène à ça, si c'est la société occidentale, j'ai l'impression, j'ai l'intuition, le sentiment que d'autres sociétés, d'autres formes, d'autres cultures encouragent. Apercevoir l'autre comme une richesse, plutôt que comme un problème, que comme un ennemi, entre guillemets. J'exagère, bien sûr. Voilà, c'est la réflexion que j'ai avant de partir sur cette attitude, sur le fait de se réjouir pour l'autre, d'être enthousiasmé par la réussite, par les découvertes de ses voisins, par les réussites dans les processus thérapeutiques mis en œuvre et proposés, plutôt que d'être critiquant pour les soignants, pour les patients également. Pourquoi est-ce que je parle de ça dans l'épisode de Toucher du doigt la santé ? Parce que pour moi, là... relation, elle va impacter la santé, on l'a vu, on en parle régulièrement. Et cette attitude spontanée, cet environnement, il me semble qu'aux Etats-Unis, il est différent. Il me semble que l'enthousiasme, que l'encouragement est plus facilement présent. Que la réussite est perçue comme quelque chose qui inspire, plutôt que comme c'est facile pour lui, Ah, mais il a irrité ça ! Ah, mais il n'a pas dû faire beaucoup d'efforts ! Ah, mais il a gagné sur le dos de quelqu'un d'autre ! Alors oui, bien sûr, certaines fortunes se sont construites sur des mauvaises bases. C'est le cas. Mais il y a aussi beaucoup, beaucoup, beaucoup de fortunes construites sur des choses extraordinaires. Donc je retrouve cette perspective de la richesse et de la considération de la rémunération des autres, mais aussi simplement de l'être, de la manière d'être des autres. Je m'interroge sur comment les soignants communiquent entre eux, comment ils perçoivent entre eux leurs différences, comment les patients le reçoivent, et comment ces attitudes, cette jalousie, ces effs, Versus cet enthousiasme, cet encouragement, cette inspiration, comment le fait de reconnaître la réussite de l'autre et de la valoriser peut impacter notre santé. Je vous donne rendez-vous sur les réseaux, je suis curieux, je suis... exciting, je suis désireux entre guillemets, j'ai envie de recueillir vos avis par rapport à ça. Si pour vous c'est facile d'être enthousiaste, motivant, encourageant, positif, ou si comme un certain nombre ça demande un effort, je vous souhaite une très belle fin de journée et je vous dis à bientôt.

Description

Les mots impactent la taille de nos pupilles, qu’on le veuille ou non ! Alors l’environnement relationnel modifie t il nos perceptions, nos sensations, notre état d’être ?


C’est la question que je (me) pose avant de partir découvrir le quotidien Américain 🇺🇸


Biarritz, Toulouse, Marseille, Lyon, Limoges, Brest, Paris, Besançon et Lille ont toutes un point commun : ce sont toutes des villes françaises… et pourtant, bien sûr, il existe beaucoup de différences sur différents plans (la taille, l’architecture, le climat, l’accent, …)


J’ai tout à fait conscience que les États Unis d’Amérique sont aussi différents les uns des autres et que certains éléments seront difficilement comparables.


L’idée n’est pas là.

L’idée c’est d’aller vérifier par moi même ce que beaucoup de livres, de personnes racontent en parlant de l’ETAT D’ESPRIT Américain.


L’état d’esprit ET la manière de communiquer.

Les mots, l’intention, les mimiques du visage, les sourires (peut être), les images utilisées, … etc.

Nous parlions des certains grands psychologues Américains qui ont travaillé sur ces sujets passionnants, il me vient à l’esprit les grand.e.s sportifs aussi !

Et peut être même les entrepreneurs ?

Et les politiciens ?

Et les artistes ?

Aussi !


Comment parlent ils ?

Comment s’encouragent ils ?

Comment se motivent ils ?

Où placent t'ils leurs attentions ? Sur le négatif, la critique, la jalousie, le jugement ? Ou ailleurs ? 😊


En prenant conscience de ces éléments…

Comment les intégrer dans nos soins ?

Comment participer à la prise de conscience de l'importance de soigner notre communication avec les autres ? (et avec nous même :))


Citations inspirantes :

« Nous sommes la moyenne des 5 personnes que nous côtoyons le plus » (Jim Rohn)

« La domestication des enfants » Don Miguel Ruiz


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Si vous appréciez ce podcast santé, je vous invite à nous laisser 5 ⭐️ Sur Apple sur Spotify ou et à le partager autour de vous ? 🌱

Merci d’avance pour la reconnaissance du travail 😌

Belle écoute et à tout bientôt,

Antoine


Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

Transcription

  • Antoine Lacouturière

    Bonjour, soyez les bienvenus sur Toucher du doigt la santé, le podcast autour des soins, du bien-être et de la santé. Je suis ravi de vous retrouver aujourd'hui pour la série Le soin vu d'ailleurs, rencontre aux USA et le thème l'attitude, les comportements en France et aux Etats-Unis. La différence supposée, en tout cas la vision que j'ai avant le voyage. A quelques jours du voyage... Le constat que je fais aujourd'hui, le constat que je vis, que je ressens en moi, c'est que souvent dans nos quotidiens de soignants et de patients, de parents, il y a une forme de jugement, de critique, de jalousie quasi permanente. Ça demande un effort, ça demande une attention particulière de créer des relations avec, je vais dire, une certaine positivité, avec... Un non-jugement avec une acceptation, voire même avec des encouragements, voire même avec de l'enthousiasme. Alors je me mets très facilement dans le lot de monsieur et madame tout le monde et j'ai moi aussi, moi le premier, cette tendance à spontanément juger, à comparer. ça me demande un effort important, ça me demande un travail personnel du quotidien, d'arriver, alors pas à ressembler au Dalai Lama, mais d'arriver à réorienter vers du positif. Du positif au sens simple du terme, pas du positif ésotérique complètement perché, barré, du positif... au sens neurophysiologique du terme, de la dopamine, de l'ocytocine, sérotonine, endorphine, voilà, des neurotransmetteurs du bien-être. On l'a vu dans le podcast concernant l'impact des mots sur le corps. Souvenez-vous, les chercheurs d'Aix-Marseille, ils ont objectivé le fait qu'un simple mot lu ou entendu allait impacter notre système nerveux notamment au niveau de la taille des pupilles Vous vous souvenez, la simple évocation à la lecture ou à l'écoute du mot soleil comparativement au mot nuit va amener une dilatation des pupilles ou un relâchement des muscles autour, c'est-à-dire que le cerveau, que le système nerveux fait comme si le soleil était présent alors que les conditions dans la pièce de luminosité n'ont pas changé. Et donc, riche de cette... connaissance-là, de ce savoir, de cette connaissance scientifique, reproductible, objectivable. Nous pouvons faire une analogie avec les relations humaines. Pourquoi je dis tout ça ? Parce que dans le monde du soin aujourd'hui, dans le monde de la santé, du bien-être, il y a un certain nombre de critiques, de critiques des soignants entre eux. Et je trouve que c'est... pas quelque chose de constructif. Je trouve que c'est quelque chose qui tire vers le bas. J'ai l'impression, aujourd'hui, qu'il est assez commun de critiquer nos voisins, d'être jaloux de la réussite. On parlait d'argent dans un des podcasts précédents. Oui, quelqu'un qui réussit, tant mieux pour lui. Et non, ce n'est pas gratuit, et non, ça ne tombe pas du ciel. Il y a probablement un travail, il y a probablement des compétences, il y a probablement un investissement. Et je crois que cette jalousie qui s'entretient dès l'école, malheureusement, c'est un sujet qui me touche. Dans les cours d'école, je suis parfois choqué du comportement entre les enfants, de cette dureté-là. Je me demande si ce côté jaloux, si ce côté critique, comparatif, moquerie, il est présent dès la naissance. Je ne crois pas. S'il est entretenu, si comme Don Miguel Ruiz le suggère dans les accords Toltec et cette philosophie, la domestication, et c'est un mot terrible, amène à ça, si c'est la société occidentale, j'ai l'impression, j'ai l'intuition, le sentiment que d'autres sociétés, d'autres formes, d'autres cultures encouragent. Apercevoir l'autre comme une richesse, plutôt que comme un problème, que comme un ennemi, entre guillemets. J'exagère, bien sûr. Voilà, c'est la réflexion que j'ai avant de partir sur cette attitude, sur le fait de se réjouir pour l'autre, d'être enthousiasmé par la réussite, par les découvertes de ses voisins, par les réussites dans les processus thérapeutiques mis en œuvre et proposés, plutôt que d'être critiquant pour les soignants, pour les patients également. Pourquoi est-ce que je parle de ça dans l'épisode de Toucher du doigt la santé ? Parce que pour moi, là... relation, elle va impacter la santé, on l'a vu, on en parle régulièrement. Et cette attitude spontanée, cet environnement, il me semble qu'aux Etats-Unis, il est différent. Il me semble que l'enthousiasme, que l'encouragement est plus facilement présent. Que la réussite est perçue comme quelque chose qui inspire, plutôt que comme c'est facile pour lui, Ah, mais il a irrité ça ! Ah, mais il n'a pas dû faire beaucoup d'efforts ! Ah, mais il a gagné sur le dos de quelqu'un d'autre ! Alors oui, bien sûr, certaines fortunes se sont construites sur des mauvaises bases. C'est le cas. Mais il y a aussi beaucoup, beaucoup, beaucoup de fortunes construites sur des choses extraordinaires. Donc je retrouve cette perspective de la richesse et de la considération de la rémunération des autres, mais aussi simplement de l'être, de la manière d'être des autres. Je m'interroge sur comment les soignants communiquent entre eux, comment ils perçoivent entre eux leurs différences, comment les patients le reçoivent, et comment ces attitudes, cette jalousie, ces effs, Versus cet enthousiasme, cet encouragement, cette inspiration, comment le fait de reconnaître la réussite de l'autre et de la valoriser peut impacter notre santé. Je vous donne rendez-vous sur les réseaux, je suis curieux, je suis... exciting, je suis désireux entre guillemets, j'ai envie de recueillir vos avis par rapport à ça. Si pour vous c'est facile d'être enthousiaste, motivant, encourageant, positif, ou si comme un certain nombre ça demande un effort, je vous souhaite une très belle fin de journée et je vous dis à bientôt.

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