Speaker #0Coucou beauté de l'univers ! Bienvenue dans le podcast Tu mérites un amour, je suis Sarah, love coach pour les femmes qui veulent arrêter d'enchaîner les relations foireuses et se créer la vie amoureuse de leurs rêves. Chaque semaine dans ce podcast, j'aborde avec toi plusieurs sujets afin de t'accompagner à transformer ta vie de femme. Je partagerai avec toi mes conseils et astuces ainsi que mon expérience de coach. afin que tu puisses toi aussi devenir la femme que tu as toujours voulu être. Alors installe-toi confortablement et c'est parti pour un nouvel épisode de Tu mérites un amour. Ce message s'adresse à toutes celles qui enchaînent les déceptions ou les relations foireuses sur les sites de rencontres. Préparez-vous à tout changer. Et oui, Firematch arrive, mon programme qui transforme votre expérience en ligne. pour vous aider à attirer la relation que vous méritez. Vous allez apprendre à créer un profil qui attire les bonnes personnes, à repérer instantanément les drapeaux rouges, et à mener des conversations qui débouchent sur des vraies rencontres. Pas besoin d'être une experte en séduction, de passer des heures en ligne, la méthode pas à pas fonctionne vraiment, même si vous avez déjà tout essayé, même si vous êtes timide, même si vous avez peu de temps. En quelques semaines seulement, et pas en quelques années, mes clientes trouvent des matchs. de qualité. Elles arrivent à rencontrer des personnes qui leur correspondent. J'en ai même qui rencontrent leur chéri ou leur mari. Et oui, moi-même, j'ai rencontré mon mari sur une application de rencontre. Les places sont limitées pour le lancement du mois d'avril. Donc inscrivez-vous sur la liste d'attente. Je vous mets le lien dans la description du podcast. Et vous obtiendrez un accès prioritaire au prix spécial de lancement. Et votre vie amoureuse épanouie n'attend plus que vous. A tout de suite. Et maintenant, place à l'épisode du jour, dans lequel on va parler de comment surmonter la peur des débuts de relation. Pourquoi ce sujet ? Parce que je vois beaucoup de femmes qui sabotent elles-mêmes des débuts de relation prometteuses, avant même qu'elle n'ait vraiment commencé. Et je discutais d'ailleurs la semaine dernière avec deux clientes potentielles, qui me parlaient de ça et qui me disaient... Tu comprends, Sarah, l'une d'elles me disait, tu comprends, ce qui est compliqué pour moi, c'est les débuts de relation, parce que je sais que pour certaines personnes, c'est génial, c'est les débuts, on a les papillons dans le ventre, on se projette, on est hyper contentes, on est complètement portées par la relation, alors que moi, je suis complètement flippée, c'est quelque chose qui me terrifie, parce que... En fait, j'arrête pas de me projeter dans quelque chose de négatif, je me dis que ça sert à rien de mettre de l'énergie ou du temps, enfin d'investir du temps et de l'énergie parce que ça ne va pas fonctionner, et du coup, elles sont tétanisées, elles sont terrifiées par ce que pourrait donner la relation, elles s'orientent surtout vers une issue négative défavorable. Et du coup, ça les crispe, ça les empêche de vivre pleinement le début de relation et de profiter pleinement de ce qui se présente à elles parce qu'en vrai, elles n'ont aucune idée de ce qui va se passer. Ce qui va être important si vous vous sentez concerné, si c'est quelque chose qui vous parle... Alors déjà, ce qu'il faut voir, ce qu'il faut comprendre, c'est que c'est quelque chose qui est assez courant, que je vois assez souvent chez mes clientes en accompagnement. Parce que ça vient tirer parfois son sang en fer de psychologie et de comptoir. Mais je sais que beaucoup de clientes que j'accompagne qui ont été soit déçues par des relations, soit se sont senties trahies, soit ont eu des fins de relations chaotiques ou au plus ou moins violentes, vont avoir... vont intégrer les choses comme l'autosabotage, le retrait émotionnel dans des débuts de relation, la recherche permanente du défaut chez l'autre pour aller confirmer ce qu'elle pense être vrai. Et parce qu'en fait, elles se disent constamment si ça ne marche pas, j'aurais perdu mon temps, je serais blessée et je préfère anticiper pour être sûre qu'en fait, ce que je crois être vrai se confirme. C'est un peu le serpent qui se mord la queue. Parce que plus on va rester coincé dans cette espèce de croyance que de toute façon ça ne va pas marcher, plus on va chercher consciemment ou inconsciemment à aller valider ce qu'on croit être vrai, pour finir par se dire « Ah ben tu vois, j'avais raison ! » « Finalement ça n'a pas marché, j'ai perdu mon temps et je suis blessée, donc du coup je n'ai pas envie de recommencer. » Et comme je vous l'ai dit tout à l'heure, il y a beaucoup de choses... qui peuvent être à l'origine de cette peur. J'ai parlé des expériences douloureuses, ça peut être parfois les schémas familiaux, des modèles relationnels qui sont dysfonctionnés, qui sont inadaptés. Ça peut être la peur de l'échec, ça c'est quelque chose que je vois très souvent, que j'ai moi-même vécu par le passé. C'est qu'on est tellement perfectionniste, on a tellement peur d'échouer dans ce qu'on entreprend, que même dans nos relations amoureuses, on a l'impression qu'il faut... absolument qu'on soit certaine que la relation va fonctionner pour qu'on puisse y mettre du temps, de l'énergie, des ressources, etc. Je vois aussi parfois de la vulnérabilité émotionnelle qui peut être perçue comme une faiblesse, parce qu'effectivement les débuts de relation peuvent parfois amener une certaine vulnérabilité émotionnelle, on a besoin de s'ouvrir à l'autre, on a besoin de... En fait, de parler de soi, de parler de ce qu'on a traversé, de ce qu'on vit, de ce qu'on recherche, de ce qu'on attend, de ce qu'on ne veut plus, etc. Et parfois, effectivement, ça amène une certaine vulnérabilité et parfois on peut l'apercevoir comme une faiblesse et du coup, on n'a pas forcément envie de sourire à l'autre. Alors que c'est quelque chose qui est fortement conseillé, qui est parfois attendu par l'autre aussi en début de relation. Je sais parfois que cette peur peut avoir comme origine... tous les mythes romantiques avec lesquels on nous a biberonnés depuis qu'on est nés, notamment en tant que femmes, et toutes les attentes irréalistes qu'on peut avoir par rapport à l'autre. Des attentes irréalistes qui viennent se greffer justement à la vulnérabilité émotionnelle, à la peur de l'échec, et en fait on va attendre des choses qui clairement ne vont pas arriver, et encore une fois ça va venir confirmer ce qu'on croit être vrai, et on va encore se dire Tu vois, j'avais raison, en fait, j'ai des attentes qui n'ont pas été... auxquelles on n'a pas répondu, et en fait, ça ne sert à rien d'aller dans des relations qui ne fonctionnent pas. Ça va être intéressant, du coup, pour vous d'aller peut-être regarder si vous arrivez, parce que ce n'est pas toujours conscient, mais si vous arrivez à voir d'où vient cette peur et quelle est son origine, parce que ça va vous permettre, à partir de là, de pouvoir travailler dessus et de pouvoir avancer. Parce qu'en fait, les conséquences de cette... peur du début de relation et de la peur d'aller vers l'autre, c'est qu'on va créer une espèce de cercle vicieux de l'évitement. On va éviter tous les sujets importants, tous les sujets liés au début de relation. C'est qu'est-ce qu'on cherche, qu'est-ce qu'on veut, qu'est-ce qu'on ne veut pas, qu'est-ce qu'on attend chez l'autre, qu'est-ce qu'on a vécu, qu'est-ce qu'on ressent, comment on a envie de se sentir, etc. On va essayer de l'éviter au maximum et ça devient une espèce de... de prophétie autoréalisatrice, parce qu'en fait, on va venir, comme je vous le disais plus haut, mettre en place un certain nombre d'actions, un certain nombre de leviers qui vont se révéler être vrais, parce que forcément, quand tu évites des conversations importantes, quand tu as des attentes irréalistes, quand tu ne t'ouvres pas à l'autre, clairement, la relation, elle a très peu de chances d'avancer et d'évoluer de manière positive. Elle a probablement des chances de se terminer et du coup, tu vas, vous allez systématiquement vous dire... Ah bah voilà, en fait, j'avais raison et en fait, ce que je pensais, ce dont j'avais peur se réalise. Et en fait, ce qui va résulter de ça, c'est l'isolement émotionnel, puisqu'en fait, on va être moins en moins encline à aller dans des... enfin, à vouloir commencer et recommencer des relations amoureuses qui, dans notre fort intérieur, sont perçues comme finalement inutiles, parce qu'on se dit, en fait, ça va se terminer, donc ça sert à rien. Et en fait, on va commencer à s'isoler, à éviter les autres, à être émotionnellement vraiment tiraillée entre « est-ce que j'ai envie d'y aller ? » et finalement « je ne suis pas sûre que ça fonctionne » . Et je sais que j'avais une cliente d'ailleurs pour vous donner un témoignage, je ne la citerai pas parce que c'est pour des raisons de confidentialité. J'ai une cliente qui vivait systématiquement des relations de 2-3 mois. Et elle enchaînait comme ça des relations de 2-3 mois. Et elle me disait, je ne comprends pas, j'enchaîne des relations foireuses parce que j'ai l'impression de tomber que sur des profils inadaptés, inadéquats, je ne comprends pas, etc. Et en fait, en creusant au fur et à mesure comment elle percevait la relation, comment elle se projetait dans la relation, quel était son idéal, quelles étaient ses attentes, etc. On s'est rendu compte, elle a pris conscience du fait qu'en fait, elle mettait en place un certain nombre de choses de manière systématique, automatique et inconsciente. Des choses qui faisaient que la relation ne durait pas. Elle avait des attentes irréalistes, elle se basait uniquement sur des mythes Netflix, les mythes hyper romantiques Netflix, et à chaque fois c'est « Ah bah voilà, ça marche pas parce qu'en fait j'ai pas eu ce que je voulais » , alors que la relation venait à peine de commencer. Elle évitait systématiquement d'aborder des sujets intéressants, importants, avec l'autre, elle ne s'ouvrait pas et ne montrait pas sa vulnérabilité à l'autre, les mecs se barraient, et elle ne comprenait pas, alors qu'elle avait envie d'être tiraillée, en fait, entre j'ai envie et je suis pas sûre que ça marche. En fait, une fois qu'on a dit ça, vous allez me dire c'est cool, bon voilà, il faut peut-être effectivement essayer de voir d'où viennent les origines de cette peur, on a compris les conséquences de la peur sur la relation amoureuse, mais concrètement, comment on fait pour trouver des solutions concrètes pour sortir de ce truc-là ? Alors, il y a plein, plein, plein, plein, plein de choses qu'on peut mettre en place. Je vais vous donner aujourd'hui quelques techniques que moi j'aime beaucoup, des exercices vraiment très pratiques pour surmonter la peur des débuts de relation. Il y a un exercice que j'aime beaucoup, je vais vous donner quelques 3-4 exercices. La première, c'est ce que j'appelle la technique du dialogue avec la peur. C'est quelque chose qui vous prend, c'est un exercice qui vous prend 2-3 minutes par jour. C'est dire, c'est vraiment, vous pouvez faire ça après vous vous êtes rebrossé les dents ou pendant que vous prenez votre café le matin. vous prenez un carnet ou une feuille ou votre application de notes pour dialoguer avec votre peur. C'est vraiment un dialogue entre vous et votre peur. Alors, les instructions pour cet exercice, c'est de commencer par écrire « Ma peur m'a dit » et vous ouvrez les guillemets. Et vous allez laisser parler cette voix intérieure sans vous censurer. Il n'y a pas forcément toujours les choses inconscientes qui ressortent du premier coup. Mais en fait... plus vous allez le faire et plus vous allez conscientiser un certain nombre de choses. Donc vous allez écrire « ma peur m'a dit » puis vous écrivez « je réponds » deux points, vous ouvrez les guillemets et là vous répondez avec toute la compassion et toute la rationalité que vous pouvez avoir en tant que femme adulte qui a envie de commencer une belle relation amoureuse. Cet exercice est intéressant parce qu'en fait il permet d'externaliser la peur, de prendre conscience de son discours. pour souvent irrationnelle, et de créer finalement une distance saine avec cette peur. Je vais vous donner un exemple très concret. Vous allez écrire par exemple, « Ma peur me dit, s'il disparaît après quelques semaines, s'il ou elle disparaît après quelques semaines, j'aurais l'air d'une idiote, j'aurais l'air d'une idiote, ou j'aurais perdu mon temps. » Et là, vous écrivez, donc je répète, « Ma peur me dit, vous ouvrez les guillemets, s'il disparaît après quelques semaines, j'aurais l'air d'une idiote. » Ensuite, Vous écrivez « je réponds, je comprends cette inquiétude, mais même si cela arrivait, je serais fière d'avoir eu le courage de m'ouvrir et j'en tirerai des enseignements » . Ça, c'est vraiment la réponse compatissante avec du recul par rapport à ce qui s'est passé. C'est vraiment quelque chose qui peut paraître très anodin, très facile, très simple. Mais je vous garantis que si vous faites ce dialogue avec la peur de manière régulière, non seulement vous allez conscientiser un certain nombre de choses qui n'étaient peut-être pas conscientes, mais vous allez prendre l'habitude de prendre votre peur sous le bras et d'y aller quand même. C'est j'ai peur, mais j'y vais quand même. Le deuxième exercice que vous connaissez peut-être déjà, c'est le journal des croyances limitantes versus réalité. C'est pareil, ça prend cinq minutes par jour. Vous prenez une feuille, un carnet, ce que vous voulez, vous divisez une page en deux colonnes. À gauche, vous allez noter les croyances conscientes que vous avez sur les débuts de relation, et à droite, vous allez les challenger avec des faits ou des réalités objectives. Par exemple, vous allez identifier au moins une croyance par jour, et vous allez trouver, vous allez discuter avec vous-même, vous allez trouver trois arguments ou expériences qui vont la contredire. J'aime beaucoup cet exercice parce qu'en fait ça va venir reprogrammer progressivement le cerveau pour venir reconnaître les distorsions cognitives au fur et à mesure que vous avancez. Je vais vous donner aussi un exemple concret. Par exemple, croyance. Tous mes débuts de relations échouent. Réalité. J'ai eu des débuts prometteurs qui ont duré plusieurs mois. Certaines relations ont évolué positivement, même si elles n'ont pas duré. Des amis avec le même parcours ont trouvé des relations stables. Je connais la personne, une personne qui fait des podcasts, à cas moins, qui a rencontré son mari sur les applications de rencontre après avoir échoué plusieurs fois. Donc en fait, les débuts de relation peuvent être prometteurs. Donc n'hésitez pas, comme ça, à le faire régulièrement, vraiment, c'est quelque chose qui demande un petit peu de temps, 5-10 minutes par jour, et ensuite vous allez voir, vous allez prendre le... En fait, le pli, vraiment, c'est comme un muscle. Le cerveau, le muscle, on le reprogramme. Vous allez prendre le pli et commencer petit à petit à reconnaître ce qui ne vous convient pas. Et en fait, œuvrez vraiment pour votre objectif. Le troisième exercice, et ce sera le dernier, c'est un exercice... qui s'appelle un jour à la fois c'est une pratique qui est vraiment quotidienne et c'est un exercice qui permet de se concentrer uniquement sur les 24 heures à venir dans la relation je sais que c'est hyper compliqué pour certaines d'entre vous parce qu'on a tendance à se projeter parce qu'on a tendance déjà planifié les prochaines vacances on est déjà en train de planifier son mariage alors que ça fait juste trois jours qu'on a rencontré la personne je le sais je l' ai déjà vécu mais ce qui va être intéressant avec cet exercice et qu'en fait chaque matin Vous allez prendre l'engagement avec vous-même de ne pas vous projeter au-delà de la journée présente dans votre relation naissante. Ce qui va être intéressant avec cet exercice, c'est que ça va en fait réduire l'angoisse qui est liée aux projections futures. Et en fait, ça va vous permettre de profiter pleinement du moment présent et juste de kiffer votre relation, de kiffer ce qui se passe avec l'autre, de kiffer ce que vous êtes en train de vivre et d'oublier la projection. Et par exemple, je vous donne une petite phrase à vous dire. Vous pouvez vous dire par exemple, aujourd'hui, je choisis d'apprécier cette relation exactement là où elle en est, sans besoin de savoir où elle va. Je répète, aujourd'hui, je choisis d'apprécier cette relation exactement là où elle en est, sans besoin de savoir où elle va. Ce sont des exercices vraiment qui peuvent être hyper intéressants pour vous détacher. En fait, de la peur de l'avenir, de la peur de comment ça va se passer, ça va vous éviter surtout de mettre en place des choses qui vont vous saboter, de l'auto-sabotage, de l'isolement émotionnel, ça va vous permettre vraiment de vous ouvrir à l'autre et de vous mettre en action. Je vous invite vraiment à vous mettre en action si vous vous reconnaissez dans ce schéma. Je m'arrête là pour aujourd'hui, j'espère que l'épisode vous a aidé à cheminer dans votre réflexion par rapport au début de relation. J'espère vraiment de tout cœur que la peur va se dissiper petit à petit. Si l'épisode vous a parlé, n'hésitez pas à venir partager, le noter ou donner un commentaire ou partager ce qui vous a plu. Vous pouvez peut-être ajouter des choses auxquelles vous pensez, des exercices ou des choses auxquelles vous pensez. Et vraiment, vraiment, vraiment, je vous invite à pratiquer l'auto-compassion face à la vulnérabilité. Je vous invite vraiment à communiquer, même vos peurs, à votre partenaire potentiel. Toutes les personnes que vous rencontrez ne sont pas des monstres sans cœur qui sont là juste pour profiter de vous. Et d'ailleurs, ça va vous permettre de faire vraiment le filtre. Si vous communiquez vos peurs avec vos partenaires potentiels, ça va vraiment vous permettre de savoir si vous êtes avec les bonnes personnes au début. Et vraiment... voilà, je vous invite à mettre tout ça en oeuvre, n'hésitez pas encore une fois à noter l'épisode, à nous laisser un commentaire si la plateforme d'écoute le permet moi je vous retrouve au prochain épisode et d'ici là n'oubliez pas de kiffer vos débuts de relation et surtout, n'oubliez pas, vous méritez tout en amont, et moins que ça on ne prend pas à bientôt, ciao !
