- Speaker #0
Bienvenue dans We Love Mobility, le premier podcast dédié aux tendances de la mobilité internationale et de la gestion des talents. Chaque premier lundi du mois, je reçois un invité avec qui on va discuter des tendances et du futur de la mobilité internationale, du recrutement et de la gestion des talents étrangers. Moi c'est Caroline Troyard, directrice générale de France Immigration, acteur incontournable de la mobilité internationale. dans laquelle j'évolue depuis presque 20 ans. Retrouvez-nous sur LinkedIn et Instagram pour suivre l'actualité du podcast et interagir avec nous. Dans We Love Mobility, on aime donner la parole à tous les acteurs de la fonction, qu'ils soient super-experts ou juniors. C'est une question de partage et de transmission. Alors pour ce 30e épisode, j'ai eu envie d'inviter la relève de la mobilité internationale et j'ai eu le plaisir d'accueillir trois étudiants qui suivent le MBA International HR Management. à l'Institut Magellan et qui nous ont parlé avec passion et fierté de cette matière. Au programme de cet épisode, découvrez les profils de Soline, Zoé et Jules, ce qui les a amenés à la mobilité internationale et la raison pour laquelle ils ont choisi cette voie. Leur vision de la mobilité internationale et les principaux défis de la fonction à émettre dans le futur, selon eux, entre enjeux environnementaux, nouvelles formes de mobilité et le fait d'être ambassadeur de la fonction au sein de l'entreprise pour la rendre plus accessible et lisible. Pour ce 30e épisode de We Love Mobility, j'ai la chance d'accueillir trois étudiants en mobilité internationale, Soline, Zoé et Jules, qui suivent actuellement le MBA International HR Management à l'Institut Magellan et qui sont en alternance. Je trouvais ça chouette de donner la parole à des jeunes qui découvrent cette matière et de leur demander leur vision des défis et du futur de la mobilité internationale. Bonjour Soline, Zoé et Jules et bienvenue à tous les trois.
- Speaker #1
Bonjour.
- Speaker #0
Je vais vous laisser vous présenter un par un. Jules, tu veux commencer ?
- Speaker #1
Allez. Alors, je m'appelle Jules Capelle et je viens d'un master de droit social et pratiques RH. Et actuellement, je suis chez Accens en tant que HR International Mobility Officer avec Louisa Fénouche. En termes de scope, on a essentiellement des expatriés et des portés. Mais on fait aussi un petit peu de détachement. On touche à tout parce qu'on n'est qu'une équipe de deux pour une entreprise d'environ 600-700 personnes.
- Speaker #0
OK, très bien. Tu veux prendre le relais, Soli ?
- Speaker #2
Allez, let's go. Donc bonjour, je m'appelle Soline Bianchi, j'ai 24 ans et je réalise une alternance en tant que chargée gestion de carrière et AMI chez Arval, donc filiale du groupe BNP Paribas. J'ai débuté mon parcours par un diplôme en droit européen avant de m'orienter dans les ressources humaines pour mon master. Et dans ce cadre, j'ai réalisé trois expériences professionnelles. Tout d'abord un stage en tant que chargée de développement RH chez Symbio, société française opérant dans la mobilité hydrogène. puis une alternance en tant que chargée RH et communication interne chez Ecotone, qui est un groupe agroalimentaire propriétaire notamment des marques Biorg et Clipper et de bien d'autres, dans laquelle j'ai travaillé sur des sujets de communication interne, de diversité et d'inclusion, de relations sociales ou alors de recrutement. Et donc aujourd'hui, une alternance chez Herval où je m'occupe de la gestion des contrats locaux, des programmes reconnaissance et de divers projets RH internes.
- Speaker #0
Merci. Et toi Zoé ?
- Speaker #3
Alors moi je suis Zoé, j'ai 25 ans et je suis actuellement en alternance chez L'Oréal à la direction juridique RH, donc dans le cadre de ce MBA et j'interviens à la fois sur des sujets de droit du travail franco-français et sur des questions plutôt internationales telles que la gestion des clauses de non-concurrence et en ce moment on travaille sur l'implémentation de la directive sur la transparence salariale. Et avant ça, en ce qui concerne mon parcours académique, j'ai un master en droit social avec déjà une spécialité en mobilité internationale. Et à la suite de ce master, j'ai eu la chance de travailler deux ans au sein d'EY sur toutes les problématiques immigration et sécurité sociale.
- Speaker #0
Top, vous avez des parcours riches déjà. Alors, je me demandais comment vous êtes arrivés dans la mobilité internationale chacun ? Est-ce que vous pouvez me raconter un petit peu le cheminement ?
- Speaker #2
Pour ma part, j'ai toujours été très attirée par ce qui se passait au-delà des frontières. J'y grandis dans un environnement international qui a nourri ma curiosité pour les langues, les cultures et les différentes façons de travailler. C'est pour cette raison que j'ai d'ailleurs orienté mes premières études vers le droit européen. Mais je dirais que c'est vraiment lors de mon master en ressources humaines que j'ai eu un premier aperçu de la mobilité internationale. J'ai tout de suite accroché, c'est une discipline à la fois technique, humaine et stratégique. Elle demande de comprendre les enjeux globaux tout en accompagnant concrètement les collaborateurs dans leur parcours de vie et de carrière à l'international. J'ai donc cherché les formations qui pourraient m'accompagner au mieux pour accueillir les compétences nécessaires et c'est pour cette raison que j'ai intégré le MBA de l'Institut Magellan.
- Speaker #0
Très bien.
- Speaker #3
Alors moi j'ai toujours été attirée par l'international de par de nombreux voyages avec ma famille et arrivé en licence en troisième année, j'aimais beaucoup le droit du travail et je voulais trouver un moyen d'aller droit du travail avec cette appétence pour l'international. Et donc j'ai trouvé ce Master 2 en droit social mixé avec de la mobilité internationale à Lyon et qui proposait également un semestre à l'étranger au Canada. Donc je suis partie cinq mois au Canada et en revenant, j'ai fait mon stage de fin d'études chez Deloitte en immigration un peu par hasard. Et j'ai adoré ça et du coup, j'ai continué avec mon expérience chez EY. Et ça m'a poussée à me spécialiser davantage dans la mobilité internationale. Ok,
- Speaker #0
merci.
- Speaker #1
Et pour ma part, j'ai un environnement international qui vient d'à côté. c'est mon oncle qui... Habité à Londres parce qu'il était fonctionnaire européen. Et donc autour de la table, les week-ends, souvent on entendait parler de ses problématiques. Après le Brexit, c'est devenu Amsterdam. Et je me destinais vraiment aux droits sociaux purs à l'origine, procédures collectives, vraiment très droits. Et j'ai rencontré José Maria Olot lors de mon Master 2, qui co-dirige le fameux Master en MBA Magellan. Et suite à cette rencontre, je me suis rendu compte de l'intérêt que j'avais pour la matière et de la possibilité de partir du droit. vers la mobilité internationale. Donc, je l'ai choisi comme directeur de mémoire. J'ai fait un mémoire de master tourné vers la mobilité. Et j'ai effectué un stage chez Anywhere, qui est prestataire dans le milieu, avant de rejoindre Accent et le MBA Magellan. OK,
- Speaker #0
merci. Pour vous trois, quel est l'intérêt de faire une formation, justement, qui soit dédiée à la mobilité internationale ?
- Speaker #3
Je pense que ça nous permet de mieux comprendre les interconnexions entre les matières, entre le droit social. la fiscalité, l'immigration et tout ce qui est stratégie RH à l'international. Et ça nous donne une capacité d'analyse globale qui est vraiment précieuse pour accompagner les collaborateurs en entreprise et l'entreprise en elle-même. Et ce que j'apprécie particulièrement, c'est qu'il y a une vraie dimension humaine et stratégique dans la mobilité internationale.
- Speaker #0
Très bien.
- Speaker #2
Pour moi, faire une formation dédiée à la mobilité internationale, est très fortement recommandé si l'on veut réellement maîtriser les enjeux dans la fonction. La mobilité internationale, c'est un domaine à la croisée de plusieurs expertises, juridiques, fiscales, RH, interculturelles. C'est un sujet très technique qui nécessite de bien comprendre les cadres réglementaires, les enjeux de protection sociale, de rémunération, mais aussi les besoins humains derrière chaque mobilité. C'est ce qui rend d'ailleurs cette discipline et ce sujet passionnant, c'est cette pluridisciplinarité. On est constamment entre le stratégique et l'opérationnel, entre le business et l'humain. Et faire une formation dédiée à la mobilité internationale, c'est donc pour moi se donner les moyens de maîtriser cette complexité.
- Speaker #1
Déjà pour moi, le simple fait d'allier les études au travail, j'avais un côté enfin parce que je travaillais à côté de mes études. Et on se rend compte surtout de l'interdépendance entre le MBA et le temps en entreprise. À chaque fois qu'on venait en entreprise, j'avais pris confiance sur un sujet un peu plus fiscalité, sécurité sociale. Et quand on revient et qu'on participe au tableau rond ensemble, il y a un vrai bénéfice de comparer nos pratiques ensemble. Par exemple, mon entreprise ne pratique pas le collat négatif. Donc, comprendre la logique du collat négatif, c'était nécessaire de voir les exemples vécus par mes collègues de Magellan.
- Speaker #0
Donc, l'alternance, c'est génial. Enfin, pour ça,
- Speaker #2
c'est un vrai plus.
- Speaker #1
Ça fait plaisir.
- Speaker #3
Si on peut parler un peu d'un point faible de la fonction, c'est que ça reste une fonction qui est perçue comme purement opérationnelle, alors qu'elle contribue de plus en plus aux enjeux stratégiques d'attractivité et aussi de rétention des talents. Et donc, c'est dommage que ce soit une fonction qui ne soit pas du tout reconnue.
- Speaker #0
Pas suffisamment mise en valeur. Je pense que ça, ça commence à évoluer. Ça dépend des organisations dans les entreprises. Il y a des services mobilité qui sont maintenant rattachés aux talents, peut-être pas assez.
- Speaker #2
Qui restent un peu à la marge.
- Speaker #0
Qui restent un peu à la marge, qui sont plus rattachés au Compend-Bene peut-être, ou à la DRH. Ça, je pense que ça va évoluer dans le futur.
- Speaker #3
On espère.
- Speaker #1
Il paraît que c'est une pratique qui est plutôt plébiscitée, parce qu'en fait, le côté chiffrage Compend-Bene va forcément venir avec la mobilité internationale. On est obligé d'y penser. On est obligé d'y penser. Sauf que, juste se concentrer sur cet aspect-là, on perd l'intérêt de la mobilité internationale qui de base c'est un promoteur de carrière. Donc mettre l'aspect talent, développement, people dev plutôt comme on l'appelle, et penser ensuite à la partie Compendium, ça paraît peut-être plus logique. C'est pour ça qu'il paraît que c'est beaucoup plus fonctionnel de ce que nous on a vu en tout cas de nos retours.
- Speaker #0
C'est intéressant, c'est quelque chose qu'on va voir évoluer dans le temps à mon avis.
- Speaker #2
Mais je dirais que d'où aussi l'intérêt de faire partie d'un réseau, de se former, c'est de pouvoir être en contact avec plusieurs professionnels de la mobilité internationale et je dirais que cette formation nous aide grâce au réseau à y voir cette... C'est hyper riche. Exactement.
- Speaker #0
Merci beaucoup à tous les trois. Une question assez importante parce que là encore avec votre œil un peu plus junior, je pense que vous avez pas mal de choses à partager avec nous. Quels sont pour vous les principaux défis de la fonction ? de la MI dans le futur ?
- Speaker #1
Si je peux rebondir du coup sur Zoé, parce que c'était un de mes arguments, on est en plein dedans, c'est l'aspect ambassadeur. Je pense que dans cette fonction, on doit être nos propres ambassadeurs, surtout. Parce que c'est plus facile de faire face à l'aspect reconnaissance et de faire comprendre notre métier à partir du moment où nous-mêmes, on va un peu discuter. Certains professionnels nous ont déjà expliqué qu'ils évitaient les équipes comptables parce qu'ils savaient qu'ils avaient deux, trois soucis. Et au contraire. mettre le pied à l'étrier rapidement, se faire connaître, ça aide vraiment à ce qu'ils voient le visage. Ça m'est déjà arrivé de rencontrer des collègues lors d'activités sportives qui ne comprenaient rien à mon métier. Et dès que je leur en parle, l'image qu'ils ont de l'expatriation, d'un coup ça les intéresse pas mal. Donc il y a aussi ce truc de casser l'image de... on n'est pas une agence de voyage, on est vraiment des gens qui sont là pour gérer de la mobilité internationale. Donc ce côté, ça vend un peu du rêve mais en même temps on connaît pas trop. Je trouve que c'est bien d'être à la fois promoteur, mais aussi être exhaustif quand on parle de notre métier. Et c'est un milieu qui est très technique, qui est plutôt subtil. Donc, à partir du moment où on arrive à capter l'intérêt pour la fiscalité, les aspects sociaux, droit social aussi, toute la gestion qui vient derrière. Je ne vois pas pourquoi est-ce qu'on ne serait pas vraiment fier de notre métier. Et c'est quelque chose qui peut nous amener vraiment, je pense, à nous faire connaître aussi en entreprise.
- Speaker #0
Très bien.
- Speaker #2
J'ai choisi de parler des enjeux environnementaux et de la mobilité internationale. Pour moi, il s'agirait de pouvoir concilier les besoins d'expatriation des entreprises avec les impératifs de sobriété environnementale. Et c'est d'ailleurs le sujet de mémoire que j'ai choisi pour cette année. Je suis convaincue qu'on ne peut plus penser à la mobilité internationale comme avant. L'empreinte carbone des déplacements, l'impact des déménagements ou encore les modèles d'expatriation sur les longues durées sont remis en cause. Aujourd'hui, de plus en plus de pays mettent en place des obligations de reporting extra-financiers, des seuils carbone ou imposent des normes en matière de déplacement professionnel. Bien que les États-Unis ne soient actuellement pas dans cette dynamique, on perçoit clairement des voix qui s'élèvent, les sentiments de sidération que cela peut susciter. Donc on voit bien qu'il y a quand même un sujet là-dessus, je dirais. La fonction mobilité va devoir s'adapter, pour moi, à un nouveau cadre réglementaire, plus contraignant. où les politiques de mobilité devront intégrer des critères de durabilité et de conformité environnementale, tout en restant à la fois sécurisés sur le plan fiscal, social et attractif et compétitif, sur les packages notamment. Il y a aussi un enjeu d'attractivité. Aujourd'hui, les talents, et plus particulièrement les jeunes générations, veulent du sens, de la flexibilité, une cohérence entre les valeurs affichées par l'entreprise et les actions concrètes qu'elles peuvent apporter. Proposer une expatriation dans un pays lointain sans réfléchir n'a plus forcément de sens pour les générations qui arrivent. J'ai d'ailleurs pour ma part des amis qui refusent maintenant de prendre l'avion, que ce soit sur le plan personnel ou professionnel. Et enfin, je dirais qu'avec ça, les entreprises vont aussi devoir concilier ces nouvelles exigences avec une logique d'optimisation budgétaire, puisqu'on le sait, les expatriations coûtent cher. Et il ne va pas falloir que ce soit quelque chose qui s'ajoute, entre guillemets, au budget des entreprises. Mais je suis persuadée que cela est possible. On va devoir repenser nos pratiques, c'est évident. Mais le rôle de la mobilité internationale est, je pense, phare là-dedans. Il va devoir donc alerter, proposer, accompagner. Donc il ne s'agit pas forcément de freiner la mobilité, mais plus de la rendre durable, plus vertueuse. et faire en sorte qu'elle continue à créer de la valeur pour l'entreprise, pour les collaborateurs et pour la planète.
- Speaker #0
Merci. Toi Zoé, du coup, les défis ?
- Speaker #3
Enfin, pour moi, un des plus grands défis, c'est la gestion des nouvelles formes de mobilité internationale. Donc le télétravail, le virtual assignment, la tendance à des mobilités plus courtes. Ces nouvelles mobilités vont nécessiter, je pense, de réinventer les politiques RH afin d'avoir une conciliation entre agilité pour répondre aux nouvelles aspirations des collaborateurs et enfin donner une sécurité à l'entreprise en matière de conformité juridique, fiscale et sociale. Donc pour moi, c'est hyper important de maîtriser tous les impacts que ces nouvelles formes de... de mobilité peuvent avoir. Et donc le défi, ce sera de trouver un juste équilibre entre la flexibilité attendue par les talents et les exigences de gestion des risques et de coûts pour l'organisation.
- Speaker #0
Il y a de grandes choses et de belles choses à faire. Est-ce que vous pourriez me donner chacun un adjectif qui décrirait au mieux la fonction de la mobilité internationale, selon vous ?
- Speaker #3
Moi, je dirais challengeante, parce que ça demande énormément de rigueur et c'est un domaine qui est en constante évolution. et où on est obligé de s'adapter à la fois aux changements réglementaires, économiques et sociétaux. Et ça en fait une fonction très exigeante, mais très passionnante.
- Speaker #2
Moi, je parlerais d'agilité, ce qui rejoint un petit peu les arguments de Zoé, où il faut s'adapter, il y a des réglementations qui changent constamment, et puis tous les dossiers sont différents. Donc cette agilité, pour moi, est plus que nécessaire.
- Speaker #1
Et au-delà de l'activité mobilité internationale, moi ce serait plus sur la population. Je dirais que c'est l'adjectif intéressé qui compte le plus, parce que j'ai vu que clairement l'anticipation est peut-être le maître mot, c'est le corps du métier, mais l'intérêt pour moi c'en est vraiment l'âme. Parce que déjà nous qui sommes plutôt jeunes, on arrive en entreprise, il faut vraiment qu'on s'intéresse envers notre business pour comprendre la politique derrière, les besoins managériaux, mais il faut aussi comprendre les aspects concrets de la vie de nos expats. par exemple leur famille, surtout leur famille aussi en fait. D'un autre côté, il y a un aspect géopolitique, c'est même clairement le sujet de mon mémoire, c'est l'impact aussi de la géopolitique sur la mobilité internationale, mais il y a aussi des aspects fiscaux, sociaux, comme j'en ai parlé juste avant, et ce qui fait qu'on a une telle pluralité, un aspect holistique dans notre métier qui compte. Si on est intéressé profondément par la matière, ça évite de subir les évolutions qui sont constantes. Ça nous permet aussi déjà de réussir à comprendre les petites subtilités en plus aussi. Je trouve que c'est un facteur très facilitant de notre métier que de s'intéresser aussi à nous-mêmes.
- Speaker #0
Absolument. Merci. Dernière question. Est-ce qu'il y a des personnes que vous souhaiteriez remercier ici ?
- Speaker #2
Alors moi, je souhaiterais remercier ma tutrice d'alternance Karine Rocha pour m'avoir fait confiance et m'avoir permis d'intégrer cette année Arval pour mon alternance. Et bien entendu pour son énergie et son dynamisme légendaire qui font de cette alternance, et puis en fait tous les jours où je travaille avec elle, plein de petits bonheurs et un univers et un environnement très sympathiques. J'aimerais aussi remercier ma manager de mon alternance chez Ecotone, Audrey Bonnet, qui m'a énormément appris, qui m'a fait confiance, qui m'a donné beaucoup de sujets à gérer. et qui m'a fait grandir en compétence et puis même personnellement. Donc voilà, je tenais à la remercier également pour toute cette contribution.
- Speaker #3
Moi, je tenais à remercier mon ancienne équipe d'EY qui m'a fait découvrir l'immigration et la sécurité sociale. Ça a été un vrai plaisir de travailler avec elles parce que c'est une équipe que de femmes. Et je voulais aussi remercier mon équipe actuelle de L'Oréal qui me fait confiance et qui m'accompagne au quotidien pour monter en compétence sur des sujets plutôt internationaux.
- Speaker #1
Et moi, alors déjà, je souhaite remercier Joyce Cheng, qui était ma précédente manageuse chez Anywhere, et Louisa Fénouche, actuellement chez Accent. Parce que les deux ont très vite capté mon envie de rencontrer d'autres professionnels tout de suite, capté mon métier et m'ont fait énormément confiance rapidement. et D'un autre côté, je pense qu'on peut aussi remercier Ludivine Clément-Ravon, parce qu'elle aussi nous a fait quand même rapidement confiance.
- Speaker #3
Je pense qu'on est tous les trois d'accord pour remercier Ludivine, qui nous accompagne tous les jours et qui a un vrai soutien dans le cadre de la formation.
- Speaker #2
Je dirais la même chose, merci à Ludivine de nous avoir fait confiance, de nous avoir permis d'intégrer cette formation, et puis de nous apprendre, et puis d'avoir sélectionné des professionnels aussi compétents pour... pour notre futur et pour nous apprendre toutes ces belles choses dans la mobilité internationale.
- Speaker #0
Merci à tous les trois. C'était un plaisir de vous accueillir. Bonne continuation, bonne chance pour la suite.
- Speaker #3
Merci.
- Speaker #0
A bientôt.
- Speaker #3
A bientôt.
- Speaker #0
Pour conclure, la mobilité internationale va devoir évoluer avec les enjeux environnementaux. Elle va devoir s'adapter à un nouveau cadre réglementaire et répondre aux attentes des jeunes générations et favoriser les mobilités plus vertes. De la même manière, avec les nouvelles formes de mobilité, Il va falloir réinventer les politiques RH et concilier agilité et gestion des risques pour l'entreprise en matière de conformité juridique, sociale et fiscale. Et enfin, pour valoriser la fonction, les acteurs de l'AMI doivent s'intéresser profondément à tous les aspects de la matière et être leurs propres ambassadeurs au sein de l'entreprise. C'est la fin de cet épisode, merci de l'avoir suivi. On se retrouve le mois prochain avec un nouvel invité. D'ici là, n'hésitez pas à partager le podcast avec quelqu'un qui pourrait être intéressé.