- Speaker #0
Bonjour, je suis Johanna. Depuis des années, je me passionne pour le wellness, la santé, le sport,
- Speaker #1
la nutrition et tout ce qui contribue au mieux-être mental et physique. Cette caisse m'a permis de croiser le chemin de nombreux experts que je souhaite aujourd'hui mettre sur la route de celles et ceux qui en ont besoin.
- Speaker #0
Naturopathes,
- Speaker #1
médecins esthétiques,
- Speaker #0
coachs sportifs,
- Speaker #1
nutrithérapeutes ou encore astrologues,
- Speaker #0
ce rendez-vous existe pour vous les présenter et vous raconter de quelle manière ils ont changé ma vision de la santé holistique. Je vous propose de partir à leur rencontre avec moi. pour le meilleur et pour le mieux. Bienvenue dans le Wellness Founders Podcast. Lorsque j'ai lancé ce podcast, tout le monde m'a demandé Est-ce que tu vas interviewer ta voyante ? Ma voyante ? Alors déjà, je n'en ai pas qu'une, j'en ai une multitude. La médium qui parle aux défunts, La gentille qui tient les cartes, celle qui est terrifiante de vérité, celui qui a travaillé aux 36 quais des Orfèvres. Le pire, c'est que toutes ces personnes existent et que je ne vous les ai pas toutes citées. Très jeune, je me suis intéressée à la voyance après avoir entendu ma grand-mère parler de sa médium. Ma mère, ma tante, mon oncle, tout le monde était allé la voir et donner des exemples stupéfiants. Moi aussi je voulais y aller, mais soi-disant j'étais trop jeune, je crois que je devais avoir 12 ans. Mais cela ne m'a pas empêché de trouver le nom de cette dame et d'y aller pour mes 15 ans en cachette. Je voulais le spectacle, je voulais qu'elle me dise des trucs de fou. Ça a été le cas, ça m'a calmée et puis je suis passée à autre chose. Jusqu'à ce livre intitulé Le Test, écrit par Stéphane Alix, un de mes auteurs préférés. Dans ce livre, il choisit, à la mort de son père, de dissimuler cinq objets dans le cercueil de celui-ci, puis de consulter des médiums pour voir s'il parvenait à identifier ces objets et à les lui révéler. Chaque chapitre met en lumière un médium différent, détaillant notamment la manière dont chacun a découvert et développé ses facultés, l'origine de leurs dons et la façon dont ils l'exploitent. Car au-delà de la prédiction de l'avenir, je crois que c'est ça qui m'intrigue. D'où viennent ces messages ? Comment ces personnes ont un jour entendu, vu, perçu tout cela ? Aujourd'hui, je suis ravie d'accueillir Elisabeth, l'une des médiums que je consulte. J'ai tenté de lui poser toutes les questions possibles pour vous éclairer sur ce monde fascinant. Si vous n'avez encore jamais consulté de médium, alors je vous y invite très fortement.
- Speaker #1
Moi, je suis super contente de recevoir une voyante médium. Comment on vous appelle déjà ?
- Speaker #2
Un médium.
- Speaker #1
Pourquoi médium et pas voyante ?
- Speaker #2
En fait, ce sont des termes qui définissent un ensemble de compétences et de manières de travailler. Alors, moi, j'ai quand même pour habitude de dire voyant parce que nous voyons. Nous voyons l'avenir, nous voyons le passé. Donc, c'est la compétence, c'est la possibilité et c'est ce qui est le plus communément employé. Mais c'est vrai que dans mon cas, dans le cas d'autres collègues également, je suis plus médium, c'est-à-dire je travaille en relationnel, on va dire, avec les personnes défunts. Je suis plus en relationnel avec les, comment dire, Que ce soit des entités, que ce soit des, on va dire un terme plutôt moderne, des énergies, des énergies qui échappent à la lecture d'un support, à la lecture des cartes, quoi que ce soit. C'est-à-dire que j'ai la chance, j'ai l'honneur, je ne sais pas comment on peut définir, d'entendre, de voir et de sentir. C'est-à-dire que je suis à la fois clairvoyante, clairaudiente. Donc,
- Speaker #1
vous êtes le canal pour ces âmes, personnes qui souhaitent venir vous parler.
- Speaker #2
C'est exact. Le ou les personnages, parce que des fois, dans une même consultation, vous pouvez avoir plusieurs intervenants. Vous avez plusieurs intervenants. En fait, on est là pour canaliser les énergies et transmettre notre ressenti. Donc, moi, en l'occurrence, c'est souvent pour... répondre à des questions, parce que beaucoup de personnes, moi y compris, je n'échappe pas à la règle, des personnes qui s'interrogent sur un événement passé, sur un événement futur, sur quelque chose dans le présent. Voilà. Donc, moi, je me sers des personnes qui ne sont plus... que nous ne voyons plus, en fait, qui font partie du monde de l'invisible.
- Speaker #1
Et comment c'est arrivé ça ? Parce que j'adore poser cette question, parce que je sais que, selon les médiums, c'est... pas arrivé de la même manière.
- Speaker #2
Bon, moi, ça m'est arrivé par un choc, parce que... Parce que j'ai failli me noyer quand j'étais petite. J'ai failli me noyer. Je ne sais toujours pas nager. Ça ne m'a pas servi de leçon, on va dire. Et quand vous êtes confronté à une problématique comme ça, souvent, d'accord, je ne dis pas que c'est systématiquement pareil pour tout le monde, effectivement. Mais je pense qu'avec ce choc, en fait, j'ai eu un canal qui s'est ouvert. Mais il faut quand même savoir que je suis issue d'une lignée de médiums. Mon arrière-grand-mère, c'était une très, très grande médium. Elle a formé en lecture-carte, attention, elle a formé en lecture-carte d'autres médiums, d'autres personnes, d'autres cartomanciens également, et ses filles, donc ma grand-mère maternelle, mes tantes, voilà. on fait partie d'une famille bon j'ai pas eu l'honneur de la rencontrer mais je peux dire que s'il y a une personne en fait qui a hérité de ces dons parce que c'était quelqu'un d'exceptionnel d'après les souvenirs de ma maman c'est
- Speaker #1
moi Et vous saviez déjà enfant que vous aviez ces dons là dans la famille vous saviez à quoi ça correspondait est-ce que ça veut dire ?
- Speaker #2
Oui, parce que moi, ma mère, je l'ai toujours vue consulter des personnes. Puis bon, on est allé voir ses tantes le week-end. Elle me disait, tiens, on va aller chez tante Hélène. On va aller là, elle va nous faire les cartes. Voilà, donc il avait déjà… Disons que je n'ai pas eu la malchance, en fait, de grandir comme certaines personnes dans un milieu où c'est tabou. Donc, on en parlait d'une manière assez… assez facile. Même si ce n'était pas le choix que mes parents auraient voulu que je fasse au niveau du métier.
- Speaker #1
Donc, quand c'est arrivé, vous avez tout de suite pu en parler à vos parents en disant, je crois que moi aussi j'entends des trucs.
- Speaker #2
Alors, en fait, c'est arrivé, comme je vous disais, à la suite de ce problème-là que j'ai rencontré, j'avais 11 ans. D'accord ? En fait, plus exactement, j'avais 10 ans et demi. Et après, j'ai commencé à sentir des choses. Et malheureusement, quand on commence à voir des choses, souvent à ces âges-là, parce qu'on ne maîtrise pas toujours ni la parole, ni… Vous savez, c'est comme un chien fou, vous voyez ? Il est jeune et puis il va à droite, il va à gauche. C'est pareil au niveau médiumité, c'est la même chose. Donc malheureusement, la première chose que j'ai sentie, ça a été le décès de mon père. Ah oui ? Oui. Voilà, bon, ça fait un choc, mais c'est comme ça. Ça ne pouvait que commencer, si vous voulez, un choc qui en a dégagé un autre choc. Ça ne pouvait être que comme ça.
- Speaker #1
Et comment vous l'avez senti ?
- Speaker #2
En fait, je l'ai eu comme ça. Alors, ça ne s'est pas manifesté comme ça. Ça s'est manifesté, en fait, un soir, pendant que je dormais. Je n'étais pas du tout chez moi. On était partis avec ma mère visiter mon grand-père. qui n'habitait pas à Marseille, qui habitait dans l'Est de la France. Et il paraît, parce que moi, je n'ai pas de souvenirs, il paraît que la nuit, je me suis réveillée et j'ai secoué ma mère et je lui ai dit, il faut qu'on aille à Marseille parce que papa, il va mourir. Et je pleurais. Vous savez, comme une personne, comme un somnambule en fait. Et j'étais très petite. Et le lendemain matin... Ma mère l'a expliqué à son père devant moi en polonais, parce que j'étais à moitié d'origine polonaise, et elle lui a dit ce qui s'était passé. Et dans la conversation, le mot est revenu, prémonition, prémonition, prémonition. Et tristement, une semaine après, mon papa est décédé. Oui. Oui, ben voilà. Bon, malheureusement, c'est comme ça. Et puis bon, événement qui s'est avéré également marquant à la même période. On avait été consulter une parente à ma mère, lorsque nous avons été visiter mon grand-père. Et cette parente, donc, avait été formée, on va dire, par mon arrière-grand-mère. Et elle avait dit à ma mère, mais de toute façon, ta fille, elle est comme tout le monde. Elle est comme tout le monde, elle est comme chez nous. Elle sera médium. Ma mère lui avait dit, non, quand même pas. Bon, ben voilà, c'est comme ça.
- Speaker #1
Il paraît qu'on ne peut jamais réchapper une fois, parce que... Après avoir lu pas mal de choses, ça arrive souvent par des chocs. Il y a des gens qui refusent ce don, cette vocation, et ça revient toujours à eux de manière de plus en plus violente.
- Speaker #2
Ça revient toujours. On ne peut pas y échapper parce que c'est en vous. Alors, ce n'est pas exactement des visions comme dans les films. Mais bon, je te sais dit, il y a tellement de montages. Voilà, ce n'est pas exactement. C'est quelque chose qui peut être relativement furtif. Vous voyez, moi, lorsque je fais une voyance à quelqu'un, je me sers de mes cartes, je vous les montre. Vous voyez, je travaille avec le Béline. Je travaille avec l'oracle de la triade en tant que support. Bon, le papier, le stylo, parce que... J'ai beaucoup d'écritures automatiques lorsque je suis en contact des femmes. Et un oracle que j'ai créé moi-même qui s'appelle l'oracle d'Elisabeth. Et c'est vrai que quand vous commencez à partir en connexion, on va dire, vis-à-vis d'une personne qui est en face de vous, vous pouvez voir, enfin, je peux voir, vous s'en dire n'importe quoi. D'accord ? Donc, il faut savoir maîtriser ce que vous allez dire à l'autre aussi. Parce que...
- Speaker #1
Et c'est toujours des choses qui le concernent ou vous pouvez avoir d'autres choses qui se manifestent ?
- Speaker #2
Non, non, non, il peut y avoir d'autres choses qui se manifestent. Moi, j'essaie de me canaliser, de toute façon, c'est le but, vers la personne que j'ai face à moi. Mais si elle vient et qu'elle me pose une question sur son frère, son beau-frère, sa maman disparue, on travaille, si vous voulez, son ouverture, on va dire, de telle sorte à ce qu'elle est. la réponse qu'elle a voulu. Moi, je peux vous dire, par exemple, qui c'était Jean qui est né le 1703, vous voyez, par exemple, et que la personne me dise Ah, mais oui, mais c'était mon beau-frère. Donc, je vais me servir, et je commence systématiquement une consultation en me servant des personnes qui ne font plus de ce monde. Et à partir du moment où mon consultant ou consultante, parce que j'ai quasiment autant d'hommes que de femmes, me dit Ah oui, mais effectivement, c'est mon oncle, c'est mon cousin. Donc, à ce moment-là, je sais que je suis sur la bonne direction et je vais lui dire tout ce que je vois. Ça peut être une date de naissance, ça peut être un prénom, ça peut être une circonstance. Je vais regarder un petit peu, comme je dis, je scanne, mais on me parle d'une opération qui était là. Ah oui, effectivement, on m'a opéré de la clavicule. Vous voyez ? Ça, c'est de la mécanité. Et après, on part sur des points précis. Oui, mais Elisabeth, moi, je voudrais voir plus, on va dire d'une manière générale, amour, argent, travail, santé. Après, vous avez des personnes qui veulent voir plus précisément pour leur petit-fils, pour leur fille. D'accord ? Voilà.
- Speaker #1
Et typiquement, le genre de personne qui vient vous voir, ce que vous disiez, a autant d'hommes que de femmes. Mais pour les personnes qui n'ont jamais consulté un médian, c'est qui les personnes qui viennent vous voir ? C'est des gens qui sont désespérés ? C'est des chefs d'entreprise ?
- Speaker #2
Désespérés au niveau psychologique, il y en a. Il y a des personnes qui sont effectivement désespérées, qui ne trouvent pas de réponse par rapport à leur entourage. Par exemple, une personne qui est très esselée, qui ne peut pas trop se confier. Ça également, vous avez ce type de personnes-là. Vous avez des personnes qui attendent désespérément le retour de quelqu'un. Ou qui sait qu'il va y avoir des changements dans sa vie, mais qui ne sait pas comment en fait ils vont arriver. D'accord ? Alors, la différence… d'une nouveauté, on va dire, sur le marché de la médiumité, si je peux m'exprimer ainsi. Moi, je ne fais pas de guidance. Vous voyez, je ne dis pas à quelqu'un, vous devriez acheter la voiture rouge au lieu de la noire parce qu'elle va mieux avec votre t-shirt. Ça, je ne le fais pas.
- Speaker #1
Vous donnez l'effet que… Voilà,
- Speaker #2
moi, je donne les choses dans la mesure… Comme je dis aux gens, moi, j'annonce les événements tels que je les sens, tels que je les vois, dans la mesure où vous ne faites pas intervenir votre libre arbitre. parce que c'est ça qu'il faut voir également, pour changer les événements. Et oui, il y a des personnes désespérées, il y a des personnes curieuses, également, parce qu'on leur a dit que Elisabeth Medium, finalement, elle n'est pas mal, etc. Donc, on va voir. Il y a des personnes, j'ai beaucoup, ces derniers temps, parce qu'en fait, j'ai beaucoup de consultants, donc forcément, plus vous avez du monde, plus vous avez des représentations de différents schémas, on est bien d'accord. Donc, j'ai un peu de tout. J'ai le curieux, j'ai le ou la désespérée, j'ai la dépressive.
- Speaker #1
On s'imagine toujours que c'est des gens, quand j'en parle autour de moi, on me dit toujours, c'est pour un peu les faire felus. Et non, il y a plein de gens qui viennent voir pour s'orienter. Il y a aussi des gens très bien, des personnes qui ne sont pas forcément, c'est pour ça que je vous disais, des désespérés. Il y en a qui ne sont pas forcément désespérés. Il y en a qui ont des boulots, qui veulent juste un peu s'orienter, bien calculer leurs coûts.
- Speaker #2
Exactement. Vous avez un tas de personnes, en fait. Et là, maintenant, à la différence, il y a peut-être, parce que moi, ça fait quand même 35 ans, maintenant, il y a une espèce de démocratisation. On en parle. On en parle. D'accord ? Donc, j'ai pu constater ces derniers temps, justement, enfin ces derniers temps, ces dernières années, on va dire, ces derniers dix ans, que j'ai énormément, énormément plus d'hommes. J'ai énormément plus d'hommes. À un moment donné, lorsque j'ai commencé, il n'y avait pas trop d'hommes qui venaient me consulter. D'accord ? Enfin, j'en avais, mais c'était... Allez ! Il venait en me disant, moi, ce qui m'intéresse, c'est ma partie. S'il vous plaît, parlez-moi de mon travail. Et après, il me disait, oui, vous comprenez, avec ma compagne, ça ne va pas trop. Vous voyez, c'était un peu plus dissimulé, un petit peu plus tabou. Tandis que maintenant, c'est beaucoup plus ouvert d'esprit. Même, je me rends compte lorsque je fais un salon, vous savez, un festival dans les arts divinatoires. C'est vraiment bien. Vous avez des voyants, vous avez des médiums masculins, vous avez des magnétiseurs, beaucoup plus de magnétiseurs qu'avant. On vit une époque qui est difficile et on a besoin également d'avoir des nouveaux points de repère. On est un petit peu comme au 19e, vous savez, avec la montée du spiritisme. Les gens ont découvert le spiritisme, pourquoi ? Parce qu'on a des... On rentrait, si vous voulez, dans une ère de fort développement industriel. Et psychologiquement, l'être humain était un petit peu perdu. Qu'est-ce que c'est ? Mon Dieu, on circule d'un pays à l'autre, d'un continent à l'autre. Mon Dieu, quelle merveille ! Donc, il y avait ce côté-là. Et là, maintenant, il y a tout un tas de développement encore. Malheureusement, l'époque est escalée. Donc, on se rapproche au religieux, on va dire, d'une manière… très étendu, y compris à la voyance, à la spiritualité, au magnétisme, quelque chose qui permet un petit peu de penser les blessures de notre société et de guérir les maux de notre époque. D'accord ? Alors, une personne va peut-être aller voir un psychologue, mais moi je disais un voyant, c'est le psychologue. D'accord ? Mais c'est sûr,
- Speaker #1
vous aidez beaucoup aussi les gens.
- Speaker #2
Oui, je pense que oui, on est là pour ça également. On est là pour ça également. On leur tient la main. On a une fonction très sociale, très… Allez, écoute, peut-être qu'une autre personne n'aura pas, avec un plus, on va dire, le plus… Voilà, je veux dire, peut-être que… Ce n'est pas peut-être, c'est certain. Je veux dire, un psychologue ne va pas vous dire, mais ne vous inquiétez pas, ça va s'arranger. si ça doit s'arranger, bien entendu. Si ça ne s'arrange pas,
- Speaker #1
parce que par exemple, tout à l'heure, vous disiez, il y a quelqu'un qui vient et qui me dit j'attends le retour de l'être aimé et vous, vous savez pertinemment qu'en fait, c'est mort. Vous lui dites ?
- Speaker #2
Oui. Ah oui ? Ben oui, il vient pour savoir. Après, il y a une manière de dire les choses. On ne s'adresse pas à quelqu'un qui a 20 ans comme à quelqu'un qui en a 70. On ne s'adresse pas à une personne qui est très malade. je veux dire, je ne suis pas le bon dieu, je veux dire, il y a des spécialistes qui peuvent se tromper, de la même manière qu'on va s'adresser à une jeune femme ou à un jeune homme qui est en pleine forme. Il faut faire attention à comment on dit les choses. Ça, c'est une question d'éducation. Ça, là-dessus, je pense que vous allez être d'accord avec moi. Et c'est une question de manière dont on va prononcer les événements. Par exemple, une personne... qui est malade, malheureusement, ou dont je vois la maladie du mari, du mari ou de la femme, je vais lui dire les choses d'une certaine manière. Je dis, vous savez, votre mari, la santé, il faudra faire attention, l'estomac, etc. Voilà, à ce moment-là, il suffit de dire à quelqu'un, vous faites ce pour quoi vous êtes là, mais il faut le dire avec diplomatie. Il faut le dire d'une certaine manière. Vous me sentez de ce cas-là ?
- Speaker #1
Est-ce qu'il y a des choses, par exemple, vous, si vous deviez conseiller quelqu'un qui n'avait jamais fait de séance de médiumité, est-ce qu'il y a des questions à ne pas poser ? Ou ça ne sert à rien, en fait, de savoir ? Est-ce que parfois, c'est mieux de garder un peu son libre arbitre ?
- Speaker #2
Alors, des questions à ne pas poser. Dans le sens du consultant, oui. Par exemple, une personne qui va venir, premièrement, je n'ai jamais vu une voyante ou un voyant ou un médium ou une médium. Je viens sur les recommandations de ma cousine. Allez, dites-moi tout ce que je vois. Donc, moi, j'avertis. Je leur dis, vous savez, j'ai effectivement pour habitude de tout dire. Est-ce que vous êtes d'accord avec ça ? Oui,
- Speaker #1
prendre le consentement quand même avant de balancer sa pratique.
- Speaker #2
Si elle me dit, ah, mais vous ne me parlez pas de la santé de ma mère, de mon père, de mes frères et mes sœurs, je ne vais pas en parler. Parce qu'il ne voit vraiment pas l'intérêt d'aller faire de la peine, si toutefois il y a une peine à annoncer, à quelqu'un qui n'est pas venu pour ça. Elisabeth, je veux absolument savoir. si mon placement financier va bien, parce que j'ai ça aussi. J'ai des personnes dans le financement, j'ai des hommes politiques, j'ai des femmes politiques. J'ai comme... Voilà.
- Speaker #1
Et ils vous posent quel genre de questions ?
- Speaker #2
S'ils vont garder la mairie, ils vont pouvoir avoir... Bien sûr. Si le collaborateur ou l'adjoint, c'est une bonne personne. Si c'est quelqu'un de qui on peut faire confiance, s'il n'a pas volé, s'il n'a pas dissimulé, on me pose tout un tas de questions.
- Speaker #1
Pour éviter, pour subvenir, oui, parce que pour les politiques, il vaut mieux être bien entouré.
- Speaker #2
Exactement. D'accord.
- Speaker #1
Et typiquement, dans l'achat d'un appartement, pour se dire, est-ce que celui-là, il est bien ? Qu'est-ce que vous en pensez ? Est-ce que je peux y aller ?
- Speaker #2
Oui, oui, on me le dit. On me dit, est-ce que vous pensez que c'est un appartement qui est pour moi ? Alors, moi, en général, quand c'est comme ça, je redis aux gens, attention. moi je vous dis si vous allez pouvoir l'acquérir ou pas. Quand on commence dans le côté est-ce que vous pensez que c'est tout de suite un jugement en fait déjà est-ce que moi je pense, alors je leur dis ça à qui vous posez la question, à la femme ou à la médium parce que la médium elle vous a répondu la médium elle vous a dit ok vous allez prendre cet appartement. Maintenant vous m'expliquez depuis tout à l'heure que c'est un appartement qui est bourré de fissures... qui risque d'y avoir des gros problèmes au niveau du toit qui n'a pas été réparé. Vous me demandez qu'est-ce que j'en pense. J'en pense que ce n'est peut-être pas bon.
- Speaker #1
Parce que c'est vrai que vous avez quand même aussi, vous, votre part de jugement. Parce que vous dites la médium, effectivement, et aussi la femme. Comment vous savez que ce que vous entendez ou ce que vous ressentez, ce n'est pas votre mental, mais c'est ce qu'on vous envoie ?
- Speaker #2
Parce que j'ai énormément d'expérience, ce qui fait que j'arrive à prendre du recul. C'est pour ça que je dis aux consultants et consultantes, ne me racontez pas votre vie. C'est à moi de vous dire ce que je vois. D'accord ? Personne qui arrive à me dire, ah oui, mais vous comprenez mon mari, il est militaire. Hop, bah, bah, bah. Je l'arrête de ce militaire. Je leur dis, écoutez, d'accord, c'est bon, vous me l'avez dit, c'est fait. Maintenant, vous ne me dites plus rien. C'est à moi de voir s'il va avoir une mutation, s'il va avoir sa progression professionnelle. Sinon, ça sert à quoi ? Parce que dans la question qu'elle va me poser, il va y avoir une espèce d'auto-suggestion quelque part qui va échapper à ma volonté d'être neutre. D'accord ? Quelqu'un qui vient me dire Ah, mais bon Dieu, mais la personne que vous aviez, là, vous venez de me décrire quelqu'un, c'est Benoît. Elle me met ça en tête. Donc, je vais rester sur cette personne alors que ça sera peut-être Rémi. D'accord ? Donc, il faut faire attention à… C'est pour ça que je leur dis ne me raconte pas. d'intervenir. D'abord parce que c'est mon job de découvrir parce que la personne qui va vous poser autant de questions que le temps que vous allez rester chez elle, je suis désolée, il faut qu'elle change de métier.
- Speaker #1
Justement, ça c'est pas mal pour les personnes qui sont un peu sceptiques. Si on repart à zéro, parce que moi j'ai l'habitude de faire des séances, mais pour les personnes qui n'en ont jamais fait, quand on vient chez vous, qu'est-ce qui se passe ? On se présente et on ne dit plus rien.
- Speaker #2
Qu'est-ce qui se passe ? Il se passe, elle s'assoit face à moi, j'allume une bougie, je mets de l'encens, je lui demande son prénom, sa date de naissance, je l'avertis, je lui dis que la médiumité c'est quelque chose qui se déplace au niveau du temps, que c'est relatif à chaque personne, qu'on ne peut pas toujours définir une date, que si j'entends certaines choses, comme je vous disais au début de notre entretien, je vais les lui dire, est-ce qu'elle est d'accord avec ça, oui, non, voilà. Et là après, c'est parti. Je sors, si vous voulez, je commence, je mélange l'écriture automatique et la lecture des cartes. Je vais battre mes cartes, je vais demander à la personne qui est face à moi de les couper en deux et elle va installer autant de cartes qu'il y a de lettres dans son prénom. Et à ce moment-là, je vais commencer à regarder ce que je sens. Alors évidemment, inutile de vous dire que je ne lis pas les cartes. C'est très bien de les avoir comme ça, à l'envers. C'est un support. Voilà, mais je viens de toucher les cartes, en plus je suis une collectionneuse, donc j'adore ça. Et à la fin de la consultation, si vous voulez, il va y avoir, comme il va y avoir dans le courant de la consultation, un fil conducteur qui va sortir. Parce qu'au bout de, admettons, 3-4 minutes, si vous voulez, on va revenir systématiquement, admettons, un exemple, vers le côté professionnel. Donc, conclusion. cette dame ou ce monsieur sera venu plus pour le travail que pour le côté amoureux ou le côté familial. Vous avez toujours quelque chose qui va émaner, qui va être comme une évidence.
- Speaker #1
Et ça, c'est envoyé par les personnes, par les défunts ou c'est les personnes qui demandent plus, les consultants qui demandent plus ?
- Speaker #2
Non, c'est pour moi les réponses que je vais leur donner. Ce sont des réponses qui me viennent, qui vont arriver, d'accord ? Qui vont arriver, qu'on va me donner. C'est pour ça que je leur dis qui est Jean, c'est toujours la même personne. Qui est Jean, c'est un exemple. Donc, pour moi, je passerai à travers ce que monsieur va bien vouloir me dire, d'accord ?
- Speaker #1
Et est-ce que, parce que moi, pour avoir fait plusieurs séances, j'ai toujours la même personne qui se manifeste, et c'est ma grand-mère. Et en fait, c'est marrant parce que je me suis toujours dit, tiens, c'était pas celle dont qui j'étais le plus proche. Et elle s'est quand même manifestée. Et en fait, les détails qu'on m'a donnés, c'était assez marrant et c'était impossible que ce ne soit pas elle. Et peu importe aussi parfois des séances de magnétisme, on me disait, ah, il y a votre grand-mère qui est à côté de vous. Elle est là, elle est derrière vous. Et du coup... Je me dis, c'est-à-dire que là, par exemple, je me suis connectée. Vous sentez tout de suite des gens arriver ou pas ? Ou c'est vous qui décidez d'ouvrir ?
- Speaker #2
Alors, là, on va dire que moi, j'ai appris à ouvrir et à fermer. D'accord ? Voilà. J'ai appris à ouvrir et à fermer parce que sinon, vous n'avez plus de l'unité.
- Speaker #1
C'est ça, ça n'arrête pas. D'accord ? C'est le bal.
- Speaker #2
Là, vous m'auriez dit, on fait une voyance en direct toutes les deux. Évidemment, je me serais conditionnée pour que… Ah, cool, cool. que ça puisse venir. Là, on est parti sur un entretien. Oui. Donc, je n'ai pas forcément une connexion immédiate, on va dire. D'accord ? Maintenant, si je suis parti sur une connexion, je serai conditionné pour que les choses arrivent. Donc, oui, je laisse venir. Maintenant, il ne faut pas non plus avoir honte à dire à quelqu'un, je suis désolée, je ne vois rien sur vous. Oui,
- Speaker #1
parce que du coup, c'est toujours les mêmes personnes qui se manifestent ou pas forcément ?
- Speaker #2
Non.
- Speaker #1
Ça a l'air comme ça, parce que par rapport à la relation avec la personne du vivant, est-ce qu'il y a des gens qui peuvent se voir en disant, moi, je veux absolument être en communication avec mon grand-père et ça ne marche pas ?
- Speaker #2
Alors, ça peut arriver, d'accord ? Ça peut arriver aussi. Tout peut arriver lorsque vous avez affaire à des défunts. Tout peut arriver. Moi, ça m'est arrivé en séance parce que je travaille également sur des séances de... Bon, je sais que ça ne plaît pas, mais je le fais également sur des séances de Ouija. Vous savez, des séances de spiritisme avec un partenaire professionnel et une planche de Ouija sur des séances où il y a 6 ou 7 personnes. Là, vous avez toutes les réponses que vous voulez. Mais si vous voulez rentrer en relation avec votre grand-père qui n'a pas envie de vous parler, peut-être que ce sera votre oncle, peut-être que ce sera une autre personne. Après, il faut laisser également les choses. Aujourd'hui, ça va être votre grand-mère. peut-être que dans trois semaines ou dans trois mois, ça ne sera plus elle. Ils viennent un petit peu, quand ils sentent que le terrain est favorable, c'est-à-dire quand ils sentent le canal médiumnique, donc ils se manifestent. Moi, j'ai des personnes à qui je dis systématiquement, et c'était qui ça pour vous ? Ah, mais encore cette personne-là ? Mais ce n'est pas possible. La dernière fois, c'était pareil. J'ai dit, vous savez, moi, je ne me rappelle pas, parce que c'était il y a un an ou il y a deux ans, je ne peux pas me rappeler, ce n'est pas possible. Sinon, j'ai la tête comme un ordinateur.
- Speaker #1
Ou alors, ce n'était pas vous.
- Speaker #0
Oui, mais exactement. Ce n'est pas moi. Ce n'est pas systématiquement ce auquel on veut parler. Moi, je sais, par exemple, j'ai eu le malheur de perdre mon papa très jeune, comme je vous disais, et ma maman un peu plus tard, bien plus tard, mais trop jeune quand même. Je suis très souvent en relationnel avec ma mère. Et depuis ces derniers temps, Je me suis rendue compte que j'étais en relationnel avec mon père également. Mais ça a été comme une espèce de révélation. Parce que comme je l'ai perdue, j'étais petite. Pas trop de souvenirs, si vous préférez. Et puis c'est quelque chose que j'ai occulté parce que ça a été une période horrible pour la famille. D'accord ? Vous imaginez ? Donc c'est quelque chose que je suis arrivée à, tristement, à me lobotomiser de l'esprit. Je n'ai pas d'autres mots pour le préciser. Et là, depuis quelques temps, on dirait que j'ai une espèce de réconciliation avec son départ, qui fait que je lui parle. Je lui parle, je lui demande des choses, j'ai ma réponse. Alors, j'ai ma manière d'obtenir ma réponse avec lui. C'est-à-dire, je vais me servir d'un paquet de cartes pour savoir s'il est bien en connexion avec moi. D'accord ? Pas besoin de sortir sa photo. J'ai ma réponse, de toute façon. Mais c'est bizarrement, étonnamment récent.
- Speaker #1
Est-ce que vous aidez des gens dans le deuil, justement, qui veulent avoir des contacts avec leurs défunts pour savoir si ça va mieux ? Comment vous pouvez les aider, justement ?
- Speaker #0
Oui, oui. Alors, quand on vient me voir pour un contact défunts, il n'y a pas... C'est souvent pour les mêmes raisons. Alors, la première, c'est que la personne n'a pas fait le deuil. La deuxième, c'est qu'ils ont souvent quelque chose à se faire pardonner auprès des défunts. Ah, je n'ai pas pu aller voir ma mère. Je n'étais pas en France. On me l'a dit trop tard. J'étais fatiguée. Je n'avais pas envie. On ne se parlait pas. Il y a une espèce de culpabilité. D'accord ? Donc oui, on peut aider. Est-ce qu'il m'en veut, mon père ? Je n'ai pas été le voir. On regarde. Non, plus maintenant. Alors oui, en ce sens, vous pouvez les aider. Et vous pouvez également les aider dans le sens où, lorsque je travaille sur une personne, et avec une personne défunte, en contact défunte, que ce soit dans une conférence ou ailleurs, les détails que je vais donner sur le défunt vont rassurer sur le fait que... Il y a une vie après la mort.
- Speaker #1
Et ça, on en est sûr du coup ? Enfin, vous, vous en êtes sûr ?
- Speaker #0
Moi, j'en suis plus que sûr. Plus que sûr.
- Speaker #1
Mais du coup, il se passe quoi après ? On est où ?
- Speaker #0
Ça dépend ce que... Ça dépend où vous avez été déjà dans votre vie corporée. Par exemple... lorsqu'une personne s'est malheureusement suicidée, lorsqu'une personne a été assassinée, lorsque un bébé est mort-né, quelqu'un qui a été arraché à la vie par un accident, il est entre deux.
- Speaker #1
Il n'a pas fini, quoi.
- Speaker #0
Il est entre deux. Il n'est pas réellement monté, vous voyez. Il n'a pas franchi un cap spirituel. C'est-à-dire qu'il n'est pas réintégrable. on va dire, au niveau d'une réincarnation. Je vous crois à ça également. Cette personne-là, c'est celle qui va rentrer en contact avec vous. Une personne qui est malade, qui est partie sur une fin de vie, de vieillesse, d'accord, normale, on va dire, en général, elle monte tranquillement, elle monte tranquillement. Est-ce que vous êtes bien ? Oui, je suis bien. Donc, je pense qu'ils flottent, vous voyez, ils flottent comme ça, ils flottent sur différents plans astraux. Et à un moment donné, ils reviennent. Alors, après, moi, je suis une personne également croyante et de religion catholique, d'accord ? Ça plaît, ça ne plaît pas, ça plaît, ça ne plaît pas, c'est comme ça. Je veux dire, je travaille quand même là-dedans. Donc, je pense qu'on peut avoir une partie. purgatoire, on peut avoir une partie enfer, on peut avoir une partie paradis. Après, c'est selon également certaines interprétations, selon les confessions de chacun.
- Speaker #1
Mais il y a quand même pas mal de choses communes si on regarde toutes les religions, finalement.
- Speaker #0
Absolument.
- Speaker #1
Et par exemple, est-ce que vous pensez que la réincarnation, c'est jusqu'à ce qu'on travaille des choses sur nous et puis après, c'est fini, en fait ? On fait quoi ? On est en haut ? On aide les autres ? En haut, de l'autre côté ? Pour moi,
- Speaker #0
on revient. On revient toujours ? Oui.
- Speaker #1
Et vous arrivez à voir, vous, justement, les vies antérieures un peu des gens ou pas trop ?
- Speaker #0
Alors, ça m'arrive. Ça m'arrive, c'est pas systématique. Mais ça m'arrive, oui. Ça m'arrive de dire, vous savez... Après, ils ne viennent pas trop pour ça non plus parce que ça, c'est difficilement vérifiable. Vous voyez ? Quelqu'un qui me dit, mais bon, vous me dites que je suis la réincarnation de ma grande-tante.
- Speaker #1
Parce que c'est vrai que c'est souvent au sein d'une même famille. En fait, il y a même beaucoup de cultures qui disent qu'on se change dans notre famille et que les ancêtres reviennent dans la même famille.
- Speaker #0
Oui, moi, ça m'est arrivé d'avoir un contact défunct avec une personne, en fait, qui avait hérité… Enfin, comment je peux vous expliquer ? Disons qu'il y avait une maman qui était tombée enceinte de jumeaux et elle avait perdu un des jumeaux durant la grossesse. Donc, la deuxième personne qui a survécu, donc en fait, le bébé qui a survécu, c'était la petite fille, mais elle a hérité de l'âme… de son frère défunt. Donc, c'est... Voilà. Il y a ce genre de choses aussi.
- Speaker #1
Mais du coup, ça sert à quelque chose de le savoir, par exemple ?
- Speaker #0
Ça sert à quelque chose de tout dépendre. Il y a des personnes qui ont besoin de savoir. Il y a un peu qui n'ont pas besoin de le savoir. Je ne sais pas si ça sert réellement, en fait. Ce n'est pas une question d'utilité. C'est une question de bien-être psychologique. Ce n'est pas une question d'utilité.
- Speaker #1
Et nous, par exemple, en tant que non-médium, Comment on peut avoir des contacts avec nos défunts, par exemple, les personnes de notre famille, ou des signes, ou des choses comme ça ? Est-ce qu'il y a des moyens ?
- Speaker #0
On peut pas s'amuser à toucher une planche. Voilà. On peut pas s'amuser à toucher une planche, une planche ou une chatte toute seule, ou à invoquer avec des prières, ou je ne sais quoi. C'est dangereux.
- Speaker #1
Même demander de l'aide en se disant Allez, s'il te plaît, aide-moi pour ci, aide-moi pour ça
- Speaker #0
Ce n'est pas la même chose. Ce que vous êtes en train de me demander, ce n'est pas pareil. Pour moi, oui, si vous demandez un signe d'une personne disparue, elle peut vous le donner. Donc, ça peut être une odeur que l'on sent à la maison. Ça peut être plusieurs odeurs. Ça peut être des bruits que vous entendez alors que vous avez demandé justement à ce qu'il y ait un support, à ce qu'il y ait une manifestation. Mais il faut toujours que c'est… que ces conditionnements, en fait, arrivent d'une manière récurrente. Une fois, ça ne veut rien dire. Ça peut être une simple coïncidence. D'accord ? Ça commence à devenir intéressant. Au bout de deux fois, par exemple, la télévision qui se met en place toute seule alors qu'elle est faite du mur, d'accord ? C'est-à-dire qu'elle est faite du décodeur. Voilà.
- Speaker #1
C'est quoi les signes ? les signes ou les expériences que vos consultants vous ont racontées, par exemple ?
- Speaker #0
Hier, j'ai eu une dame qui est venue me voir. Je consulte plein de certaines dames, c'est quelqu'un de confession musulmane. Et cette personne-là, un soir, elle s'est endormie. Le matin, elle s'est réveillée. Elle avait des marques dans les mains, à l'intérieur des mains. D'accord ? Des marques, vous savez, comme chez eux, ils mettent du haine. Alors, je la crois, parce que ce n'est pas une personne qui est loufoque. Au contraire, c'est quelqu'un qui est extrêmement… C'est une personne qui est au grade dans l'armée française et elle n'est pas du tout… Elle n'est pas loufoque, je veux dire. Ce n'est pas une excentrique, on va dire. Mais c'est quelqu'un qui m'a montré qu'elle a eu ces signes-là. Voilà. Après, vous avez des personnes également qui viennent en me disant, Elisabeth, je ne comprends pas, j'ai déplacé la photo de mon mari. Elle est au-dessus de mon lit, je l'ai cherchée, elle était tombée. Bon, je dis, écoutez, ce n'est pas une fois. Bon, c'est arrivé, un tremblement de terre, mais vous savez, les petites secousses, un courant d'air, n'importe quoi. Bon, mais quand ça arrive trois, quatre fois d'affilée, sur trois, quatre jours d'affilée, C'est une manifestation. Ça peut être interprété tel quel. Vous allez me dire, alors qu'est-ce qu'il a bien voulu lui dire ? Je n'en sais rien, ça dépend. Simplement qu'il était là, qu'il occupait, qu'elle était toujours dans ses pensées. Simplement pour dire, je suis là, tu n'es pas seule.
- Speaker #1
Et du coup, pour ceux qui souhaiteraient venir voir un médium, comment on sait que... Parce qu'il y a toujours la peur de tomber sur quelqu'un qui dit n'importe quoi ou qui va vous arnaquer. Puisque à chaque fois, en principe, moi, je n'ai jamais eu à chercher un voyant ou un médium. Je l'ai toujours eu en bouche à oreille. Mais pour les gens qui n'ont pas de contact, quels sont un peu les signes qui font qu'on sait qu'on est avec une bonne personne ?
- Speaker #0
Alors déjà, le bouche à oreille, c'est bien. Parce que ça veut dire que la personne qui vous a envoyé vers ce personnage a eu confiance et a eu des preuves de la bonne foi, on va dire, et de la non-escroquerie. D'accord ? Oui. Donc déjà, c'est un bon point. Déjà. Ensuite, vous avez les référencements. Voyez-moi par exemple. Voilà, par exemple, moi je suis sur Google, donc sur Google, vous voyez le nombre d'étoiles que j'ai parce que les gens mettent des commentaires, d'accord ? Alors ça, c'est quand même une bonne, c'est également une bonne référence, d'accord ? Ensuite, vous avez également la durabilité, quand je dis la durabilité, on va dire plutôt la durée. Quelqu'un qui vous dit, de toute façon, le travail là-dedans, ça fait 30 ans.
- Speaker #1
Bon, là, il n'y a pas trop de…
- Speaker #0
Voilà. Donc, ça, de toute façon, il faut… Quelque part, il y a toujours une part ensuite de côté un petit peu aléatoire. Mais, comme je dis aux gens, ce ne sont que des prédictions. Donc, il ne faut pas l'oublier. Donc, toujours prendre un petit peu de recul. D'accord ? Si vous allez voir quelqu'un qui nous a annoncé que des catastrophes, vous pouvez toujours dire, on verra, on s'en fout, on prend un peu de recul. Après, ce n'est pas une séance exacte. On n'est pas sur quelque chose d'exact. Moi, j'y crois ferme, dur comme fer, parce que j'ai grandi avec ça également et parce que j'ai la chance d'avoir le don. Les gens qui viennent me voir y croient également. Maintenant… Je ne dis pas que tout ce que j'ai pu annoncer dans ma vie est arrivé à 300 Non, je ne vais pas dire ça. Vous avez toujours une petite marge d'erreur ou une petite marge de subjectivité. D'accord ? Vous ne pouvez pas être sûr à 100 On ne peut pas être sûr à 100 De toute manière,
- Speaker #1
il faut aussi garder un peu des surprises aussi.
- Speaker #0
Complètement. Non, complètement. Laçon. Où ça convient, où ça ne convient pas. Il ne faut pas tout prendre à la lettre.
- Speaker #1
En tout cas, à chaque fois que... Alors moi, je n'en parle pas forcément trop, mais les gens savent que j'y vais. Et il y a beaucoup de sceptiques qui me disent Ah, mais moi, je n'y crois pas. Et vraiment, le seul truc, et si on pouvait conclure là-dessus, ça serait de dire Si vous n'y croyez pas, n'y allez pas. Et si vraiment, vous voulez remettre en doute et prouver que ça n'existe pas, franchement, allez-y. Et vous verrez, parce qu'en fait, il y a des choses qu'on a en consultation, des informations, parce que quand on arrive, comme vous disiez, on ne raconte pas notre vie, au contraire. Il y a des informations qui sortent, qui sont indéniables, en fait. On ne peut pas les remettre en question, parce qu'il y a des choses que seuls nous savons. Et quand la personne en face que vous connaissez à peine, avec qui vous avez juste pris rendez-vous, qui parfois n'a même pas votre nom en entier, parce qu'on peut juste donner, par exemple, notre prénom, et puis la personne ne va pas se casser la tête à aller chercher des informations sur vous. On se rend compte, en fait, qu'il y a des informations qui ne peuvent pas être réfutées. C'est impossible. Et rien que ça, parfois, j'ai envie d'envoyer un peu les sceptiques en disant Va voir, tiens, elle va te sortir de trois infos. Et là, tu ne pourras rien dire, en fait.
- Speaker #0
Après, je pense qu'il ne faut pas faire, entre guillemets, déjà, je partage votre point de vue, c'est très, très bien, très, très juste ce que vous venez de dire. Mais moi, je pense qu'il ne faut pas trop faire de prosélytisme. Quelqu'un qui a envie de consulter, il va consulter. Quelqu'un qui n'a pas envie, il ne va pas.
- Speaker #1
Exactement.
- Speaker #0
pour aller critiquer. Moi, j'avais déjà constaté ça lorsque je suis en conférence, par exemple, sur n'importe quoi. Simplement une conférence à des interventions, soit sur de la voyance en direct, vous savez, avec le micro, tout ça. Je les vois. Ah oui, mais non, mais... Ça, c'est des personnes qui veulent montrer, comme quand on fait passer les autres sur des plateaux télévisés, ils veulent montrer le côté farfelu, ils veulent montrer les... Le ridicule. Oui, évidemment. Si on vous montre une personne qui fait n'importe quoi à la télé, comment vous voulez faire confiance ? Voilà. Il faudrait qu'ils arrivent à faire venir des personnes qui soient franches, qui soient honnêtes, qui sachent ce qu'ils disent. Pas avec la chouette morte empaillée sur l'épaule et le chat noir accroché à côté avec le harnaud. Il ne faut pas exagérer non plus. D'accord ? Exactement. Voilà. Donc ça, c'est… Voilà. Ce côté ridicule, ce côté… On n'en a pas besoin. On va dire, on n'a pas besoin de ça. On n'a pas besoin de ça. Ils ont envie de venir, ils viennent. Ils n'ont pas envie de venir, ils restent. Moi, je leur dis, vous savez, j'essaie de convaincre personne. Si vous êtes venu vers moi, c'est volontairement. Si vous n'avez pas envie de rester, je vous ouvre la porte, je vous offre le café. Je suis une fille polie. Mais oui. Mais bon, c'est pas... Voilà, les démarches, je ne vais pas chercher les gens. Je ne vais pas les récupérer. Ils viennent tout seuls, comme les grands.
- Speaker #1
T'as raison. Merci en tout cas, Elisabeth.
- Speaker #0
Ça me prie. Avec grand plaisir.
- Speaker #1
Merci. Retrouvez le Wellness Wonders podcast sur toutes vos plateformes d'écoute préférées, Spotify, Apple, Deezer. et suivez-nous sur Instagram et TikTok at wellnesswonders underscore underscore.