100. Les 10 leçons de vie essentielles que j’ai tirées… 100 épisodes plus tard ! cover
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In My Holi Era

100. Les 10 leçons de vie essentielles que j’ai tirées… 100 épisodes plus tard !

100. Les 10 leçons de vie essentielles que j’ai tirées… 100 épisodes plus tard !

40min |24/06/2025
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Description

Depuis juillet 2020, j’ai enregistré 100 épisodes de ce podcast, quel parcours 🥹


Alors dans ce 100ème épisode qui est très spécial, je te partage les 10 leçons de vie essentielles que j'ai apprises au cours de ces 5 dernières années, et pour chacune, un conseil concret, si toi aussi tu vis ça aujourd’hui.


Et pour fêter le 100ème épisode et le nouveau compte Instagram que j'ai créé @myholiera, je t'ai préparé une belle surprise 💖


Je te laisse découvrir ça et te souhaite une agréable écoute 🥰


🎁 Découvre ton pack My Holi Reset à un tarif unique jusqu'au jeudi 3 juillet 23h59


⭐️ Le podcast te plait ? Dis le moi en laissant ta plus belle note sur ta plateforme d'écoute et en m'écrivant avis si tu es sur Spotify ou Apple Podcast, ça m'aidera vraiment à soutenir mon travail je te remercie !


———

Tu me découvres ? Je suis Marina, et ici on mise sur un équilibre physique & mental durable, sans pression 💖

Ici, pas d’injonctions, juste des conseils bienveillants autour du bien-être global, du self-care, de l’alimentation sans frustration, la compréhension du corps, des émotions, du lifestyle...

Bref, tout ce qui te fait du bien pour de vrai 🫶🏻

Et quand je ne parle pas nutrition, selfcare et équilibre, tu me trouveras en train de regarder Buffy pour la 20ème fois, savourer une vraie pizza au feu de bois (ritale oblige 🤌🏼), acheter des trucs roses ou faire des papouilles à mes chats (#mamanchat) 🥰


Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

Transcription

  • Speaker #0

    La Parce que, comme vous pouvez le constater, sauf si vous n'avez pas fait attention, on est arrivé au centième épisode. Waouh, c'est passé tellement vite. Je me souviens encore en juillet 2020, je lançais ce podcast qui s'appelait Encore à votre pleine santé. Et nous voici donc presque cinq ans après avec le centième épisode. Et avec un nouveau nom, comme on l'avait déjà vu ensemble il y a quelques épisodes avant, mais surtout une nouvelle ère. Et je ne pense pas que ce soit une coïncidence que ce centième épisode tombe au moment où j'ai pris ce nouveau départ, et au contraire je pense que ça va marquer une vraie transition. Parce que durant ces cinq années, et cent épisodes plus tard, j'ai beaucoup évolué, j'ai énormément grandi. grâce à mes échecs, mes chutes, mais aussi avec mes victoires et mes apprentissages derrière chaque leçon de vie. Et justement, dans cet épisode très spécial, j'avais envie de faire les choses un petit peu différemment, de vous faire un épisode hors série entre guillemets et de vous partager 10 choses que j'aurais aimé savoir plus tôt. Et pour chacune d'elles, vous partager mon conseil pour celles qui vivent ça encore aujourd'hui. Et restez bien jusqu'à la fin, parce que pour fêter ça, parce que déjà d'une, ça se fête, sans épisode, c'est pas rien. D'ailleurs, on a dépassé les 500 000 téléchargements, enfin c'est énorme. Et en plus, et j'ai quand même oublié de vous annoncer ça, mais cette nouvelle ère dont je parle, certes, on l'a déjà passé sur le podcast en changeant de nom, mais j'ai enfin lancé le nouveau compte Instagram. Je vous avais dit que ma vie saine et moi allaient prendre fin. Et c'est le cas, donc j'ai enfin lancé le nouveau compte, le nouveau chapitre sur My Holy Era, voilà. Donc bon, je vous avais déjà donné un très gros morceau du nouveau nom avec le podcast In My Holy Era, et effectivement, Mavisenne et moi, c'est même pas que ça devient My Holy Era, c'est que ça prend fin et qu'il y a un nouveau chapitre qui commence avec My Holy Era, donc mon ère holistique. En gros, comme je vous l'avais expliqué dans l'épisode où je vous partage le pourquoi j'ai changé de nom, etc. Bref, donc le nouveau compte est lancé. Je vous invite à aller voir ce que j'y propose. J'ai déjà fait trois postes épinglés pour comprendre un petit peu ce nouveau départ, ce que vous allez retrouver ici. Mais par contre, je n'ai pas tout finalisé. Je n'ai pas attendu que tout soit parfait pour me lancer. Ça, c'était hyper important pour moi de ne plus rentrer dans ce truc du perfectionnisme, de l'autosabotage, de procrastiner en attendant que tout soit parfait. Donc, j'ai lancé le compte, malgré que je n'ai pas encore le nouveau site, que je n'ai pas de logo, que j'ai plein de choses à modifier, à ajuster, etc. C'est pas grave, voilà, je me suis lancée. Bon, et comme d'habitude, je me suis perdue dans mes paroles, à papoter à chaque fois. Donc ce que je vous disais, c'est que pour fêter ça, donc non seulement le centième épisode, mais aussi le lancement du compte Instagram MyHoliéra, je vous ai préparé une surprise pour celles qui veulent aussi prendre un nouveau départ pour leur corps, leur mental, leur bien-être et leur vie. Donc je vous partagerai ça à la fin et je vous propose de commencer dès maintenant l'épisode du jour, l'épisode spécial, avec la première chose que j'aurais aimé apprendre plus tôt. A savoir que le corps ne se contrôle pas, il s'écoute. Et d'ailleurs, j'en profite pour dire aussi que c'est pareil pour les émotions. Les émotions, ça ne se gère pas, ça s'écoute. Donc le corps, en fait, il est parfait. Il n'y a pas de bug, il n'y a pas de défaut à corriger. Le corps, il n'a rien contre nous, il ne fait rien pour nous embêter, nous... Vous freinez, vous pourrez à la vie ? Pas du tout, parce qu'on a tendance, quand on est dans une situation où on ne se sent pas très bien dans son corps, qui nous fait souffrir pour différentes raisons, c'est bien physique que mental. il a tendance à rentrer en lutte contre lui. Et le problème, c'est que lui, il fait ce qu'il peut pour maintenir un équilibre avec ce qu'il a, tout simplement. Et il a juste besoin qu'on l'écoute vraiment, qu'on arrête de lui imposer des choses en pensant qu'on sait mieux que lui. Quand je dis « on » , c'est pas forcément que nous qui vivons ce que nous vivons, mais aussi des fois avec certains professionnels qui pensent avoir mieux que le corps et qui veulent... contrôler le corps et le diriger de telle ou telle manière. Le corps lui a besoin qu'on lui apporte tout simplement ce dont il a besoin, voilà je me répète, mais pour pouvoir faire son job parce qu'il sait très bien le faire, c'est parfaitement pensé, tout est très très bien fait. Quand on comprend le corps humain et d'autant plus quand on en fait notre métier et qu'on va vraiment dans le détail de son fonctionnement et tout On voit à quel point tout est pensé, tout est parfait, tout est vraiment... J'ai pas d'autre mot que dire que c'est parfait en fait. Mais pour qu'il puisse justement fonctionner efficacement, qu'il se rééquilibre, etc., eh bien il doit avoir les bonnes ressources. Et c'est là le piège. Donc encore une fois, le corps ne se contrôle pas, il s'écoute. Et quand on commence enfin à l'écouter vraiment, eh bien c'est là qu'on peut lui apporter les bonnes ressources. Donc mon conseil, si toi qui m'écoutes... tu te sens concerné, plutôt que de chercher à dominer ou à contrôler ou à diriger ton corps, demande-toi chaque jour ce que tu peux faire pour l'écouter un peu mieux. Essaye d'être plus bienveillante envers lui et de te rappeler que là, ce qu'il est en train de faire, c'est de s'adapter. Il est en train de s'adapter avec les moyens et les ressources qu'il a à sa disposition aujourd'hui pour faire face à ce que tu traverses, ce que tu vis aujourd'hui. et ce que tu as vécu dans le passé. Mais bon, ça, on va y revenir, justement. La deuxième leçon que j'ai apprise durant ces cinq dernières années, c'est que les relations sont aussi importantes que votre hygiène de vie. Parce que je trouve qu'on sous-estime beaucoup trop l'impact de la vie sociale et des relations sociales sur notre vie, sur notre santé et notre humeur. Parce que oui, des relations pas saines, ça peut vraiment... nous détruire, mais à l'inverse, des relations saines peuvent elles nous nourrir, nous élever, nous aider à grandir. Et en fait, après mon burn-out, je me suis isolée pendant à peu près 2-3 ans, je voyais vraiment pas régulièrement mes amis, et ça c'est un truc que je vous déconseille très fortement. Parce que oui, il faut s'écouter quand on a besoin de solitude, quand on a besoin de se ressourcer. D'autant plus quand on est introverti comme moi, donc les introvertis c'est vraiment les personnes qui au contact des autres vont avoir vraiment l'énergie qui vont diminuer, là où les extravertis vont se nourrir de l'énergie sociale et tout ça. Bref, moi ce n'est pas mon cas, et ce qui fait qu'on a ce besoin, en fait on se sent vidé. Donc ok, ça c'est quelque chose qu'il faut comprendre une fois qu'on se connaît, d'où l'intérêt de se connaître. Mais on n'a pas besoin non plus de s'isoler, ni d'aller dans l'extrême et de faire des sorties tous les jours. Il y a un juste milieu, il y a un équilibre, et c'est là que se trouve la solution. Et personnellement, le fait de refaire des après-midi, des brunchs, des soirées-jeux, même des week-ends récemment entre copines, et bien mine de rien, ça m'a vraiment aidé à tenir, à me relever et à ne pas m'oublier. Donc oui, nourrir vos relations, c'est tout aussi important que de bien manger ou de bouger suffisamment au quotidien. Parce qu'en plus, on le sait depuis très longtemps maintenant que ça agit sur votre longévité, sur votre équilibre émotionnel et sur votre équilibre nerveux. Donc mon conseil, eh bien, fais de la place dans ton emploi du temps pour les relations qui te font du bien. C'est pas un luxe, c'est une ressource, c'est un besoin. On a besoin de connexion avec les autres et justement ce besoin-là fait partie de nos besoins profonds qu'on a tendance à vraiment minimiser ou carrément à même pas connaître en fait, ce qui fait qu'on va pas combler correctement ce besoin. La troisième chose que j'ai apprise et qui a vraiment été parmi d'autres leçons mais vraiment un très gros tournant, c'est qu'on ne peut pas séparer le corps, le mental, les émotions et le vécu. Parce que tout ça, donc quand je parle du vécu, c'est le vécu présent et le vécu passé, donc ce qu'on vit aujourd'hui, ce qu'on a vécu. Tout ça, c'est lié. On ne peut pas se couper en différents morceaux. On ne peut pas scinder le corps organe par organe ou fonction par fonction, parce que tout est connecté et tout fonctionne ensemble. Et ça, c'est un piège. C'est un piège qu'en naturopathie, on a dit de ne pas faire sur l'approche conventionnelle. Et parce que oui, en conventionnel, le symptôme, c'est le symptôme. Et on va rester sur un système, on va dire. D'ailleurs, il y a des médecins spécialisés pour chaque système. C'est très bien, ce n'est pas le sujet. Ce que je veux dire, c'est que c'est quelque chose qu'on a naturellement fait de séparer les différentes fonctions du corps. Donc dans la pratique, c'est sûr que oui, ça permet d'avoir des gens qui sont beaucoup plus... plus compétent, plus professionnel, plus poussé sur chaque domaine, on va dire. Mais pour l'avoir expérimenté, pour l'avoir vu, que ce soit dans mes études, dans ce que j'ai pu apprendre, dans ce que j'ai pu voir aussi, en discutant avec des collègues, en voyant ce qui se passe aussi sur les réseaux et autres, c'est qu'au final, même dans une approche qui se veut holistique type naturopathie, eh bien en fait, on n'a pas du tout appliqué ça. Et on s'est retrouvés à vouloir... justement diviser l'être humain en plusieurs parties. Ce qui fait qu'on s'intéresse beaucoup au corps, donc au physique et au physiologique, là où on ne s'intéresse pas ou peu, mais bon en général c'est quasiment pas du tout, à la partie justement du vécu et des émotions. Et c'est ça qui fait que d'ailleurs je ne me reconnaissais plus du tout dans l'approche de la naturopathie. Bref. Parce que tout est directement influencé par notre esprit, par notre vie, par nos relations, par nos expériences. Et quand je dis tout, c'est tout, notre corps, nos fonctions, nos organes, tout. Tout fonctionne ensemble. Et le lien entre le corps et le mental, et quand je dis le mental, c'est également avec le... Comment dire ça ? L'environnement, ce qu'on traverse, ce qui passe par notre esprit, ce qu'on va vivre et tout ça. Eh bien, ça a été largement prouvé depuis déjà le siècle dernier. Donc c'est dire quand même, c'est pas nouveau, c'est pas la révélation de l'année. Non, non, ça fait déjà depuis le siècle dernier qu'on le sait. Sauf que la différence est qu'aujourd'hui, on sait l'expliquer. Parce qu'on sait que le pont entre tout ça, justement, entre le corps, l'esprit, les relations sociales, les expériences de vie, etc. Ce qui fait le pont, c'est le système nerveux. C'est pour ça qu'on en entend de plus en plus parler. C'est pour ça que personnellement, j'en parlais déjà, je crois c'était en 2018, que je faisais l'article là-dessus, sur le blog, à l'époque il n'y avait pas le podcast, et que j'en ai parlé également plusieurs fois en 2020, notamment quand le docteur David O'Hare est intervenu. Bref, c'est pour ça que c'est un pilier clé de notre bien-être global, et que j'en ai fait d'ailleurs le fil conducteur dans la méthode Omen Gut. Au mind, mind, il vient pour le système nerveux justement. Donc pour toi qui m'écoutes, mon conseil c'est ne cherche pas à séparer les symptômes physiques de tes émotions et du reste de ta vie. Même tes symptômes physiques, n'essaye pas de les séparer un à un et de collectionner les diagnostics et les symptômes. Non, pose-toi la question, qu'est-ce que mon corps traverse ? Qu'est-ce que je vis à côté ? Quand il se passe quelque chose, essaye de voir autour de toi qu'est-ce qui a pu se passer, est-ce qu'il y avait des émotions récurrentes, est-ce qu'il y avait des conflits, est-ce qu'il y avait quelque chose qui se passe. Et des fois, quand ça fait des années que justement on traverse quelque chose, oui forcément les symptômes deviennent chroniques, même s'il n'y a pas de facteur vraiment hyper facile à distinguer, que ce n'est pas hyper clair, mais en général... ça remonte justement, ça remonte et ça revient à ce que j'expliquais avec cette histoire de vécu. En général, c'est que c'était dans le passé et que le corps n'arrive toujours pas à se rééquilibrer dans le présent à cause de tout ce qui a été vécu dans le passé. Voilà. Alors, quatrième leçon apprise, c'est que ce n'est pas parce qu'on aime ce qu'on fait. qu'on doit le faire gratuitement. Et ce n'est certainement pas parce qu'on travaille dans le bien-être ou la santé qu'on doit tout donner, tout le temps, sans poser de cadres et de limites. Parce que pour ma part, j'ai très longtemps mis mon activité au service des autres, sans poser de limites, sans dire non, bref, sans me respecter. Et j'ai laissé certaines personnes me faire croire que mes tarifs étaient, je cite, trop élevés. que, je cite, ça ne se faisait pas de monétiser ou de se faire de l'argent dans le milieu de la santé et du bien-être. Et j'ai compris à mes dépens, évidemment, c'est toujours comme ça qu'on apprend les choses, que les likes, la reconnaissance, les partages ne payent pas les factures. Et à force de créer du contenu gratuit, d'avoir ce réflexe de « je veux aider tout le monde » , ce qui est très souvent le cas chez une personne, qui fait un travail dans le bien-être et la santé, eh ben j'ai fini par m'oublier moi. Et on ne peut pas aider les autres durablement quand on est soi-même sous pression financière derrière. Alors faire les choses avec le cœur, oui, pour moi c'est juste obligatoire, c'est ce qui m'anime, mais pas au point d'y laisser sa sécurité. Et dans la sécurité, on retrouve la sécurité financière, la sécurité de pouvoir s'acheter à manger, de pouvoir... payer son loyer, toutes ces choses-là. Alors on a le droit d'aimer ce qu'on fait, on a le droit d'y mettre du sens, tout en étant rémunéré à la hauteur de ce qu'on apporte. Donc mon conseil, si tu te reconnais là-dedans, ne confonds pas gentillesse, passion et sacrifice. Parce que ta générosité mérite malgré tout un cadre, et ton travail mérite d'être payé, d'être rémunéré. à sa juste valeur. Et là où encore certaines pensent que c'est trop égoïste justement de se faire rémunérer dans un travail, dans un milieu du bien-être, en fait je me dis pourquoi ? Sachant qu'il n'y a aucun mal à se faire rémunérer dans un travail qui nous plaît pas ou dans un travail alimentaire ou dans un travail autre en fait que dans le milieu du bien-être. Ça nous semble complètement normal d'être rémunérés pour notre travail, et ça nous semble aussi normal que les personnes soient rémunérées pour le travail qu'elles fournissent. Alors pourquoi ça serait différent quand on travaille dans le bien-être ? Je dirais même que c'est encore plus important, sachant que c'est un métier qui va apporter justement du bien et de l'utilité. Je dis pas que les autres sont inutiles, c'est pas du tout ce que je dis. C'est juste que... C'est pas parce qu'on est utile et qu'on sert les autres qu'on doit le faire bénévolement, en fait. C'est surtout ça. Et un très bon exemple, pour moi, ce sont toutes ces femmes, je pense notamment beaucoup aux infirmières, aux auxiliaires de vie, à toutes celles qui travaillent dans l'aide à la personne et dans la santé, comme ça. Combien font des burn-out ? Combien ont dû arrêter parce que... parce que justement elles n'étaient pas rémunérées à la hauteur de leur travail et du sacrifice que ça impliquait derrière, alors que justement ce sont ces personnes-là qui devraient avoir un salaire beaucoup plus valorisé par rapport à l'utilité qu'elles apportent dans la société. Voilà, en tout cas c'est mon point de vue. Maintenant passons à la cinquième chose que j'ai appris durant ces dernières années. C'est le fait que de ralentir, c'est avancer autrement. C'est pas perdre du temps, comme on pourrait le croire. Et je rajouterais même que ralentir, ce n'est pas être faible. Attention, parce que ça, on peut vraiment penser comme ça. Et pas du tout. En fait, justement, ralentir, c'est éviter de perdre encore plus de temps en fonçant droit, mais directement droit dans le mur de l'épuisement. à vouloir tout enchaîner, tout faire, être productive non-stop, personnellement, j'ai fini par m'effondrer deux fois. Burnout 2019, rechute burnout 2021. Et c'est là, en fait, que j'ai compris que la clé pour aller loin et pour tenir dans la durée, c'était certainement pas la tendance du hustle, donc le combat, la détermination, le truc en mode énergie masculine, allez, on... On défonce tout, on y va, on y va, allez c'est parti ! Voilà, non ? Mais c'est plutôt l'écoute, le repos, et le respect de nos émotions, de nos besoins profonds, etc. De toute façon, ça va ensemble, les émotions et les besoins profonds. Parce que sans énergie, quand on est débordé, quand on est à bout, eh ben on n'avance pas. Ou alors, on peut avancer pendant un temps, mais on va dans tous les sens. On s'éparpille, on avance sans clarté, et c'est ça en fait qui est vraiment... contre-productif et une vraie perte de temps. Donc ralentir, c'est pas un luxe, c'est une stratégie, entre guillemets, pour voir sur le long terme. Donc mon conseil, si tu n'arrives pas à ralentir, sans culpabiliser, eh bien si ton corps réclame une pause, s'il te plaît, écoute-le. Tu vas pas perdre de temps, tu vas justement te ressourcer un petit peu, donner à ton corps ce qu'il attend de toi, donc là par exemple, du repos. pour te permettre d'avancer mieux et plus longtemps, parce que justement tu te seras respecté et tu auras écouté ton corps. Parce que crois-moi, quand ton corps et ton mental ne suivent plus, c'est là que tu perds énormément de temps pour l'avoir vécu. Donc autorise-toi davantage à ralentir et sans culpabiliser. Dis-toi que c'est un bien pour toi, pour tes projets, pour la vie que tu as envie de mener, pour la vie que tu as envie de créer, tout simplement. Et ça rejoint un petit peu la sixième chose que j'ai retenue. Pareil, c'était long et c'est un petit peu logique après avoir vécu de burn-out, il était temps quand même, c'est qu'il faut savoir se ressourcer autant qu'on donne. Parce que on donne, on donne, on donne, et derrière, on oublie de remplir notre propre réservoir. On traverse des périodes de stress, de rush, on s'occupe des autres, on bosse dur, mais derrière, on ne prend jamais le temps de récupérer à la hauteur de ce qu'on a dépensé comme... énergie. Et c'est comme ça qu'on finit en déséquilibre chronique parce que nos besoins n'ont pas été écoutés ni respectés. Donc, prenez l'exemple, et c'est d'ailleurs l'exemple qu'avait donné le docteur David O'Hare quand il était intervenu pour parler de des déséquilibres au niveau du système nerveux en 2020. Si vous dépensez tout votre argent et qu'en parallèle, vous n'avez aucune entrée financière. Alors, avec un peu de chance, vous tiendrez quelques temps ... Si vous avez des économies. Mais au bout d'un moment, vous allez vous retrouver endetté. Et c'est exactement la même chose avec vous. Il faut du repos et des ressources à la hauteur de vos efforts et de ce que vous dépensez comme énergie. Et pas seulement pendant 3-5 semaines de vacances par an. C'est quoi 5 semaines de vacances par an sur une année ? Je sais pas si vous vous rendez compte. Non, ce qu'il faut, c'est un vrai équilibre quotidien entre l'énergie que vous dépensez avec les aléas du quotidien, etc. Et les choses qui viennent vous nourrir, vous recharger à chaque niveau, donc physique, mental, social, émotionnel, etc. Donc, mon conseil, toi qui m'écoutes, s'il te plaît, pose-toi régulièrement la question qu'est-ce que je fais pour moi, pour me nourrir et pas juste pour performer ? Parce que oui, ça va être ça, le petit piège, et ça va être ça la différence. C'est que dans les deux cas, il y aura du « faire » . Mais d'un côté, on a « faire » pour les autres, « faire » pour performer, « faire » pour s'adapter, « faire » pour voilà. Et de l'autre côté, dans les ressources, ça va être « faire » pour se nourrir. Donc le « faire » , comme je disais, nourrir les relations sociales, par exemple, aller voir des amis. Ça peut être tout simplement de s'écouter quand on a besoin de faire une sieste. prendre un petit peu de temps pour ralentir, etc. Ça peut être d'éviter de scroller sur le téléphone pour faire une pause et à la place, pourquoi pas, je sais pas, lire un livre si c'est ce que vous aimez, faire un jeu type sudoku, mots fléchés ou n'importe, ça va faire une petite pause sur le mental. Ça peut être de faire du coloriage, ça peut être d'aller marcher, voilà. Mais juste, en fait, il y a le faire qui va vous nourrir derrière. qui va vous nourrir vous, et qui n'a pas un but derrière de performer ou d'atteindre je ne sais quoi. Donc en gros, pensez à vous remplir autant que vous dépensez en termes d'énergie, avant de finir complètement vidé, tout simplement. Passons maintenant à la septième leçon, c'est que l'équilibre se trouve entre la pression de... tout faire parfaitement et le je m'en fous complet. Le total laxisme. Parce que j'ai eu une phase où tout était contrôlé. J'avais pas d'alimentation industrielle. J'étais quand même très impliquée dans le zéro déchet, donc pas de pas d'emballage, rien du tout. J'étais dans une démarche, même pour la décoration et tout, de minimalisme total. Bref, je m'étais mise une pression de dingue pour être parfaite dans tous les domaines. Pour être une bonne personne, pour être une bonne citoyenne, pour être une bonne élève, en gros. Et en réalité, j'ai compris que l'équilibre ne se trouvait justement pas dans cet hyper contrôle. Il ne se trouvait pas non plus dans le fait de, bah, on s'en fout de tout parce qu'il y a des choses qui sont importantes, ça, il n'y a aucun doute là-dessus. Maintenant, en fait, L'idée, c'est d'aller dans le juste milieu, c'est-à-dire dans un mode de vie, une façon de faire plus réaliste, même si c'est imparfait, mais au moins c'est fluide et ça dure dans le temps. Parce que c'est plus important à mon sens aujourd'hui de faire de son mieux sans se rajouter derrière une couche de culpabilité à chaque écart ou imperfection en fait. Et pour reprendre mon exemple, donc l'alimentation brute, vraiment pas de trucs industriels, machin, très... Surtout pas, il fallait surtout pas m'intoxiquer quoi, entre guillemets bien entendu. Du coup j'étais... Je vous l'avais dit, je suis tombée dans l'orthorexie, clairement. Et ça ne m'a pas empêché de tomber malade, ça ne m'a pas empêché de faire des dépressions, d'avoir des déséquilibres en haut, bref. Ça ne m'a pas empêché tout ça. On pourrait croire que oui, mais pas du tout. Donc ça c'était un premier exemple. Deuxième exemple pour le mode de vie plutôt. Et les convictions, ça va être justement le zéro déchet et le minimalisme. Alors déjà le zéro déchet. Dans la démarche écologique, bien entendu. Démarche écologique que j'ai toujours. Moi, je suis quelqu'un, j'ai été éduquée comme ça. C'est des valeurs qui sont importantes pour moi. Le respect du vivant, en fait. Le respect de la nature, le respect de l'humain, le respect des animaux. Pour moi, c'est des choses... Enfin, ça fait partie de moi, j'ai été élevée comme ça. Donc, c'est clairement dans mon ADN. Maintenant, de devoir être parfaite à tout point sur tout ça, j'ai accepté de ne plus être parfaite, justement. Et de faire au maximum à mon niveau. D'autant plus que, comme je crois que je l'avais déjà dit dans un épisode de podcast, mais je ne sais plus lequel, sûrement un chitchat, où je vous expliquais qu'en fait, quand on comprend d'un point de vue écologique, que les vrais dangers et les vraies sources de problèmes écologiques, ce sont les grosses industries, les gros pollueurs, enfin toutes ces grosses compagnies, qui ne changent rien au final. et qu'on a essayé de nous mettre la pression et la culpabilité sur nous, chaque personne citoyenne, à faire zéro déchet, surtout pas d'emballage plastique, surtout pas de ci, surtout pas de ça, alors qu'en réalité, c'est complètement faux. En réalité, c'est complètement faux, c'est pas nous qui portons le poids de ce qui se passe au niveau écologique aujourd'hui. Maintenant, ce n'est pas une raison, en tout cas pour moi, ce n'est pas une raison pour laquelle j'irais me dire « je m'en fous complètement » . Pas du tout, comme j'ai dit, pour moi c'est important, donc je respecte, je trie mes déchets, j'achète quand c'est possible d'acheter sans emballage, je fais sans emballage, mais maintenant je ne veux pas non plus me priver d'un certain confort quotidien, notamment dans mon alimentation, quand je dois prendre des choses où il y a du plastique, si je veux prendre des légumes ou des fruits surgelés, parce que c'est beaucoup plus pratique, ils tiennent dans le temps, ils ne s'abîment pas, au contraire. Ils ont une très bonne valeur nutritionnelle, au moins je sais que j'en ai toujours au congélateur. Voilà, c'est des choses comme ça qui me servent pour mon bien-être et ma praticité, donc déjà pour mon alimentation au quotidien. Mais avant, je me l'interdisais parce qu'emballer dans du plastique, en fait. Emballer, tout court en fait. Voilà, donc c'est un choix que j'ai fait pour ma part. Maintenant, sur plein de choses, je fais attention, je sais qu'au niveau des produits, j'utilise des choses qui respectent l'environnement, je fais très attention Ausha de ces trucs-là. Dans la mesure où ça ne me met pas une pression et ça ne me met pas non plus une charge extrêmement lourde au quotidien. Et pareil dans cette histoire de minimalisme. Il y a des choses qui sont complètement naturelles aujourd'hui pour moi. Je n'ai pas besoin d'avoir un milliard de vêtements, un milliard de chaussures, d'accessoires ou que sais-je. Je vais être assez minimaliste là-dedans. Parce que dans une démarche de ne pas aider à la surconsommation, tout simplement, mais ça c'est quelque chose que je pratique dans beaucoup de choses, maintenant je vais pas non plus m'interdire des choses que j'aimerais me prendre parce que ça me fait plaisir, parce que ça me fait du bien, parce que c'est efficace ou quoi, juste parce que c'est pas minimaliste et que quelqu'un a décidé qu'il fallait juste 3 produits pour les cosmétiques ou pour je ne sais quoi. Non, voilà, c'est vraiment, pour moi c'est un équilibre à trouver. pour chaque personne. Et pareil, dans la déco, il y en a pour qui, ben, elles sont heureuses comme ça. Moi, je suis quelqu'un de très artistique, de très créative. J'aime les couleurs, j'aime la belle décoration, j'aime l'art, en fait. Et avoir un chez-moi complètement vide, avec très peu de déco, en mode tout beige et tout ça, pour moi, c'est impossible. Vraiment, c'est quelque chose qui m'éteint littéralement au niveau de mon âme, quoi. Donc, c'est pour ça que c'est quelque chose à trouver, c'est un équilibre à trouver pour chaque personne. dont La mesure où ça ne vous met pas de pression. Donc en fait, c'est ça, c'est ne pas être dans la pression et cette charge, parce que la société et le monde dans lequel on vit nous met déjà suffisamment de poids sur les épaules pour qu'on s'en rajoute à vouloir être la bonne élève dans tous les domaines. Maintenant, on n'est pas non plus obligé de tomber dans le laxisme et de je m'en fous, et on n'a plus du tout de conviction, et on les applique plus du tout. Pour moi, il y a un juste milieu qui existe. Voilà, c'est la leçon en tout cas que j'ai appris durant ces cinq dernières années. Alors mon conseil, c'est ne visez pas la perfection. Visez ce qui est tenable, ce qui est accessible, ce qui est fluide pour vous au quotidien. On arrive à la fin, donc il n'en reste plus que trois. On a déjà une demi-heure d'épisode. Donc la huitième chose que j'ai appris, c'est que le bien-être ne doit jamais devenir une nouvelle injonction. Ça rejoint un petit peu ce que je viens de dire juste avant, et de toute façon vous verrez que chaque chose un petit peu, pas toutes, mais souvent ça se rejoint et c'est assez logique en même temps. Concernant celle-ci, c'est parce qu'en fait j'ai vu et j'ai vécu ce truc que la quête du bien-être devient un nouveau stress. Vouloir tout faire, tout tester, tout réussir pour retrouver sa santé ou alors pour ne pas la perdre. Mais à force de se mettre la pression pour bien faire, c'est pour ça que je vous ai dit que ça rejoint le point d'avant, en fait là le bien-être perd complètement son sens. Parce que ça devient une nouvelle injonction et une nouvelle source de culpabilité. Et c'est pour ça que personnellement je suis sortie de ces approches de clean girl, de healthy life, parce que l'hyper contrôle dans la quête de perfection pour avoir un corps... pur ou un environnement pur, bref, n'importe, bah non merci personnellement. Parce que moi je veux pas proposer une énième approche où tout est contrôlé, calculé, hyper rigide millimétré, bref. Moi je veux que le bien-être ça reste un espace de liberté de plaisir et pas un genre de prison dorée en gros. Mon conseil, alléger, simplifier faites le tri entre ce qui vous nourrit vraiment dans ce que vous voyez au niveau du bien-être, etc. et ce que vous faites par peur de mal faire. Parce que si vous faites justement par peur de mal faire, par peur d'être malade, par peur, quand c'est la peur qui vous dirige, il y a un problème. Et là, le bien-être ne devient pas le bien-être, mais une source de mal-être. Donc attention à ce piège-là dans lequel je suis tombée et dans lequel je sais que beaucoup de personnes tombent également. La neuvième chose, c'est que ce qu'on traverse forge notre résilience. Alors oui, mes blessures, mes traumas, mes douleurs, mes soucis de santé, c'est pas ce que j'aurais choisi, clairement, on va pas se mentir. Mais je sais aussi que sans ça, je serais pas qui je suis aujourd'hui. Parce que j'ai compris quelque chose, c'est que c'est dans le chaos qu'on apprend de manière forcée, je vous l'accorde. à se reconstruire. C'est quand tout s'écroule qu'on peut rebâtir plus solidement. C'est quand on chute qu'on apprend à se relever après les obstacles et à comprendre leur message. Alors oui, je ne vais pas le nier, c'était très difficile. Je me suis écroulée, je me suis effondrée. Mais c'est ce qui m'a permis aujourd'hui de me connaître, de connaître mon corps, de connaître mes émotions, de m'écouter, de savoir ce que je veux vraiment. De poser des limites, de ralentir, de dire non. Et aujourd'hui, c'est ce qui m'a permis d'avoir une base solide, d'avoir une vraie sécurité intérieure, et une mission de vie qui m'anime au plus profond de moi, et avec lequel je me sens alignée. Et c'est grâce à ça, grâce à tout ça, que... J'ai en moi et j'ai entre les mains les ressources pour aller au bout de mes rêves justement et au bout de ces objectifs, de ces projets qui m'animent en fait. Alors oui, les épreuves laissent des traces, mais ce que vous vivez aujourd'hui vous prépare à autre chose. Et vous pouvez transformer ça justement en force, en fondation et en nouvelle direction. Donc mon conseil, c'est que... Ce n'est pas ce que vous avez vécu qui vous définit, mais c'est ce que vous choisissez d'en faire. Et pour terminer, le dixième point, la dixième leçon de vie, et celle-là aussi, de toute façon, toutes les leçons, je les ai apprises à mes dépens. Comme je viens de le dire, c'est dans le chaos qu'on apprend. Voilà, c'est exactement ça. Aucune hygiène de vie. aussi parfaite soit-elle, ne suffira quand on est en insécurité. Vous pouvez avoir l'alimentation parfaite, faire du sport, méditer, faire du yoga, bref tout ce que vous voulez. Si votre corps se sent en insécurité constante, rien ne tiendra parce que les fondations sont trop fragiles, instables. Et c'est pourquoi il faut d'abord reconstruire un socle solide, comprendre son corps. Ses émotions, ses besoins profonds. Faire une thérapie pour partir sur une base neuve, sans le gros bagage lourd là derrière, avec toutes les croyances, tous les schémas, tout ça qui nous freine au quotidien. Apporter à votre corps ce dont il a besoin pour bien fonctionner. Puis, enfin, quand on a tout ça, nourrir cet équilibre quotidiennement, avec des habitudes simples, réalistes. par un bien-être et un lifestyle, un mode de vie soutenant au quotidien. Donc mon conseil pour ça, bâtissez des fondations solides, parce que ce sont elles qui vont rendre vos efforts que vous faites au quotidien réellement efficaces. Parce que c'est ça la base de tout. Et justement, avec My Holy Reset, j'ai voulu vous proposer ce socle, un vrai reset pour poser les bonnes bases. Parce que vous aussi, vous méritez de construire la vie que vous rêvez. My Holy Reset, c'est un pack que je vous ai préparé et que je vous propose à tarif exceptionnel jusqu'au jeudi 3 juillet 2025 pour poser enfin les fondations d'un bien-être physique et mental qui vous soutient vraiment. Alors, dans ce pack, vous retrouverez bien entendu Oman Gut, qui est aujourd'hui le programme signature, pour comprendre ce qui vous a maintenu en mode survie et en suradaptation tout ce temps, toutes ces années, pour apprendre à écouter les signaux de votre corps et vos besoins et pour appliquer des outils doux mais efficaces et réalistes pour retrouver votre énergie, votre clarté mentale, une digestion apaisée et une sérénité émotionnelle. Vous aurez également dans ce pack Wonderfood pour apprendre à manger de façon équilibrée. sans pression ni charge mentale, pour préparer des repas simples, rapides et savoureux, et pour retrouver du plaisir à manger sans vous perdre dans les injonctions, dans les règles et les conseils contradictoires. Alors, si vous sentez, vous aussi, que c'est le moment de poser les bases d'un nouveau chapitre, pour votre corps, votre esprit, votre énergie et votre vie, que vous souhaitez retrouver ou créer un bien-être durable, sans pression, et qui vous soutient dans votre vraie vie, eh bien offrez-vous le pack My Holy Reset. Un vrai cadeau pour vous-même. Je vous ai mis le lien juste en dessous dans la description et j'espère très sincèrement que ce pack vous aidera dans votre Holy Era, vous aussi. Parce que normalement, j'avais dit que je ne faisais plus de promotion sur mes programmes. Or là, comme on est vraiment sur quelque chose de très particulier, Avec un nouveau départ, une nouvelle lancée, le centième épisode, bref, il y a beaucoup de choses. J'avais quand même envie de fêter ça et j'avais quand même envie de vous faire ce beau cadeau, ce geste, avec une très belle promotion pour que vous puissiez avoir toutes les clés pour construire justement votre vie de rêve avec un corps et un mental qui vous soutiennent au quotidien. Parce que vous verrez à quel point ça fait toute la différence. Compte. Ils nous soutiennent et quand on n'est plus en lutte avec eux. Voilà. On est arrivé à la fin de cet épisode spécial. J'espère de tout cœur qu'il vous a plu. J'espère que vous saurez profiter de mes leçons de vie, de ce que j'ai appris. Certes, difficilement, dans la douleur parfois, mais au final, je me dis que tout ça, mine de rien, ça me permet déjà d'être très résiliente à la hauteur de mes 32 ans, bientôt 33 ans. Donc c'est déjà un très grand pas, mais aussi ça me permet de vous partager ça, de vous transmettre ça, pour éviter à vous aussi les mêmes erreurs que moi, pour vous faire gagner du temps, gagner de l'énergie. Bref, voilà, donc j'espère sincèrement que cet épisode vous aura plu. Et puis, d'ici là, prenez bien soin de vous. Et moi, je vous dis à très bientôt dans le prochain épisode.

Description

Depuis juillet 2020, j’ai enregistré 100 épisodes de ce podcast, quel parcours 🥹


Alors dans ce 100ème épisode qui est très spécial, je te partage les 10 leçons de vie essentielles que j'ai apprises au cours de ces 5 dernières années, et pour chacune, un conseil concret, si toi aussi tu vis ça aujourd’hui.


Et pour fêter le 100ème épisode et le nouveau compte Instagram que j'ai créé @myholiera, je t'ai préparé une belle surprise 💖


Je te laisse découvrir ça et te souhaite une agréable écoute 🥰


🎁 Découvre ton pack My Holi Reset à un tarif unique jusqu'au jeudi 3 juillet 23h59


⭐️ Le podcast te plait ? Dis le moi en laissant ta plus belle note sur ta plateforme d'écoute et en m'écrivant avis si tu es sur Spotify ou Apple Podcast, ça m'aidera vraiment à soutenir mon travail je te remercie !


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Tu me découvres ? Je suis Marina, et ici on mise sur un équilibre physique & mental durable, sans pression 💖

Ici, pas d’injonctions, juste des conseils bienveillants autour du bien-être global, du self-care, de l’alimentation sans frustration, la compréhension du corps, des émotions, du lifestyle...

Bref, tout ce qui te fait du bien pour de vrai 🫶🏻

Et quand je ne parle pas nutrition, selfcare et équilibre, tu me trouveras en train de regarder Buffy pour la 20ème fois, savourer une vraie pizza au feu de bois (ritale oblige 🤌🏼), acheter des trucs roses ou faire des papouilles à mes chats (#mamanchat) 🥰


Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

Transcription

  • Speaker #0

    La Parce que, comme vous pouvez le constater, sauf si vous n'avez pas fait attention, on est arrivé au centième épisode. Waouh, c'est passé tellement vite. Je me souviens encore en juillet 2020, je lançais ce podcast qui s'appelait Encore à votre pleine santé. Et nous voici donc presque cinq ans après avec le centième épisode. Et avec un nouveau nom, comme on l'avait déjà vu ensemble il y a quelques épisodes avant, mais surtout une nouvelle ère. Et je ne pense pas que ce soit une coïncidence que ce centième épisode tombe au moment où j'ai pris ce nouveau départ, et au contraire je pense que ça va marquer une vraie transition. Parce que durant ces cinq années, et cent épisodes plus tard, j'ai beaucoup évolué, j'ai énormément grandi. grâce à mes échecs, mes chutes, mais aussi avec mes victoires et mes apprentissages derrière chaque leçon de vie. Et justement, dans cet épisode très spécial, j'avais envie de faire les choses un petit peu différemment, de vous faire un épisode hors série entre guillemets et de vous partager 10 choses que j'aurais aimé savoir plus tôt. Et pour chacune d'elles, vous partager mon conseil pour celles qui vivent ça encore aujourd'hui. Et restez bien jusqu'à la fin, parce que pour fêter ça, parce que déjà d'une, ça se fête, sans épisode, c'est pas rien. D'ailleurs, on a dépassé les 500 000 téléchargements, enfin c'est énorme. Et en plus, et j'ai quand même oublié de vous annoncer ça, mais cette nouvelle ère dont je parle, certes, on l'a déjà passé sur le podcast en changeant de nom, mais j'ai enfin lancé le nouveau compte Instagram. Je vous avais dit que ma vie saine et moi allaient prendre fin. Et c'est le cas, donc j'ai enfin lancé le nouveau compte, le nouveau chapitre sur My Holy Era, voilà. Donc bon, je vous avais déjà donné un très gros morceau du nouveau nom avec le podcast In My Holy Era, et effectivement, Mavisenne et moi, c'est même pas que ça devient My Holy Era, c'est que ça prend fin et qu'il y a un nouveau chapitre qui commence avec My Holy Era, donc mon ère holistique. En gros, comme je vous l'avais expliqué dans l'épisode où je vous partage le pourquoi j'ai changé de nom, etc. Bref, donc le nouveau compte est lancé. Je vous invite à aller voir ce que j'y propose. J'ai déjà fait trois postes épinglés pour comprendre un petit peu ce nouveau départ, ce que vous allez retrouver ici. Mais par contre, je n'ai pas tout finalisé. Je n'ai pas attendu que tout soit parfait pour me lancer. Ça, c'était hyper important pour moi de ne plus rentrer dans ce truc du perfectionnisme, de l'autosabotage, de procrastiner en attendant que tout soit parfait. Donc, j'ai lancé le compte, malgré que je n'ai pas encore le nouveau site, que je n'ai pas de logo, que j'ai plein de choses à modifier, à ajuster, etc. C'est pas grave, voilà, je me suis lancée. Bon, et comme d'habitude, je me suis perdue dans mes paroles, à papoter à chaque fois. Donc ce que je vous disais, c'est que pour fêter ça, donc non seulement le centième épisode, mais aussi le lancement du compte Instagram MyHoliéra, je vous ai préparé une surprise pour celles qui veulent aussi prendre un nouveau départ pour leur corps, leur mental, leur bien-être et leur vie. Donc je vous partagerai ça à la fin et je vous propose de commencer dès maintenant l'épisode du jour, l'épisode spécial, avec la première chose que j'aurais aimé apprendre plus tôt. A savoir que le corps ne se contrôle pas, il s'écoute. Et d'ailleurs, j'en profite pour dire aussi que c'est pareil pour les émotions. Les émotions, ça ne se gère pas, ça s'écoute. Donc le corps, en fait, il est parfait. Il n'y a pas de bug, il n'y a pas de défaut à corriger. Le corps, il n'a rien contre nous, il ne fait rien pour nous embêter, nous... Vous freinez, vous pourrez à la vie ? Pas du tout, parce qu'on a tendance, quand on est dans une situation où on ne se sent pas très bien dans son corps, qui nous fait souffrir pour différentes raisons, c'est bien physique que mental. il a tendance à rentrer en lutte contre lui. Et le problème, c'est que lui, il fait ce qu'il peut pour maintenir un équilibre avec ce qu'il a, tout simplement. Et il a juste besoin qu'on l'écoute vraiment, qu'on arrête de lui imposer des choses en pensant qu'on sait mieux que lui. Quand je dis « on » , c'est pas forcément que nous qui vivons ce que nous vivons, mais aussi des fois avec certains professionnels qui pensent avoir mieux que le corps et qui veulent... contrôler le corps et le diriger de telle ou telle manière. Le corps lui a besoin qu'on lui apporte tout simplement ce dont il a besoin, voilà je me répète, mais pour pouvoir faire son job parce qu'il sait très bien le faire, c'est parfaitement pensé, tout est très très bien fait. Quand on comprend le corps humain et d'autant plus quand on en fait notre métier et qu'on va vraiment dans le détail de son fonctionnement et tout On voit à quel point tout est pensé, tout est parfait, tout est vraiment... J'ai pas d'autre mot que dire que c'est parfait en fait. Mais pour qu'il puisse justement fonctionner efficacement, qu'il se rééquilibre, etc., eh bien il doit avoir les bonnes ressources. Et c'est là le piège. Donc encore une fois, le corps ne se contrôle pas, il s'écoute. Et quand on commence enfin à l'écouter vraiment, eh bien c'est là qu'on peut lui apporter les bonnes ressources. Donc mon conseil, si toi qui m'écoutes... tu te sens concerné, plutôt que de chercher à dominer ou à contrôler ou à diriger ton corps, demande-toi chaque jour ce que tu peux faire pour l'écouter un peu mieux. Essaye d'être plus bienveillante envers lui et de te rappeler que là, ce qu'il est en train de faire, c'est de s'adapter. Il est en train de s'adapter avec les moyens et les ressources qu'il a à sa disposition aujourd'hui pour faire face à ce que tu traverses, ce que tu vis aujourd'hui. et ce que tu as vécu dans le passé. Mais bon, ça, on va y revenir, justement. La deuxième leçon que j'ai apprise durant ces cinq dernières années, c'est que les relations sont aussi importantes que votre hygiène de vie. Parce que je trouve qu'on sous-estime beaucoup trop l'impact de la vie sociale et des relations sociales sur notre vie, sur notre santé et notre humeur. Parce que oui, des relations pas saines, ça peut vraiment... nous détruire, mais à l'inverse, des relations saines peuvent elles nous nourrir, nous élever, nous aider à grandir. Et en fait, après mon burn-out, je me suis isolée pendant à peu près 2-3 ans, je voyais vraiment pas régulièrement mes amis, et ça c'est un truc que je vous déconseille très fortement. Parce que oui, il faut s'écouter quand on a besoin de solitude, quand on a besoin de se ressourcer. D'autant plus quand on est introverti comme moi, donc les introvertis c'est vraiment les personnes qui au contact des autres vont avoir vraiment l'énergie qui vont diminuer, là où les extravertis vont se nourrir de l'énergie sociale et tout ça. Bref, moi ce n'est pas mon cas, et ce qui fait qu'on a ce besoin, en fait on se sent vidé. Donc ok, ça c'est quelque chose qu'il faut comprendre une fois qu'on se connaît, d'où l'intérêt de se connaître. Mais on n'a pas besoin non plus de s'isoler, ni d'aller dans l'extrême et de faire des sorties tous les jours. Il y a un juste milieu, il y a un équilibre, et c'est là que se trouve la solution. Et personnellement, le fait de refaire des après-midi, des brunchs, des soirées-jeux, même des week-ends récemment entre copines, et bien mine de rien, ça m'a vraiment aidé à tenir, à me relever et à ne pas m'oublier. Donc oui, nourrir vos relations, c'est tout aussi important que de bien manger ou de bouger suffisamment au quotidien. Parce qu'en plus, on le sait depuis très longtemps maintenant que ça agit sur votre longévité, sur votre équilibre émotionnel et sur votre équilibre nerveux. Donc mon conseil, eh bien, fais de la place dans ton emploi du temps pour les relations qui te font du bien. C'est pas un luxe, c'est une ressource, c'est un besoin. On a besoin de connexion avec les autres et justement ce besoin-là fait partie de nos besoins profonds qu'on a tendance à vraiment minimiser ou carrément à même pas connaître en fait, ce qui fait qu'on va pas combler correctement ce besoin. La troisième chose que j'ai apprise et qui a vraiment été parmi d'autres leçons mais vraiment un très gros tournant, c'est qu'on ne peut pas séparer le corps, le mental, les émotions et le vécu. Parce que tout ça, donc quand je parle du vécu, c'est le vécu présent et le vécu passé, donc ce qu'on vit aujourd'hui, ce qu'on a vécu. Tout ça, c'est lié. On ne peut pas se couper en différents morceaux. On ne peut pas scinder le corps organe par organe ou fonction par fonction, parce que tout est connecté et tout fonctionne ensemble. Et ça, c'est un piège. C'est un piège qu'en naturopathie, on a dit de ne pas faire sur l'approche conventionnelle. Et parce que oui, en conventionnel, le symptôme, c'est le symptôme. Et on va rester sur un système, on va dire. D'ailleurs, il y a des médecins spécialisés pour chaque système. C'est très bien, ce n'est pas le sujet. Ce que je veux dire, c'est que c'est quelque chose qu'on a naturellement fait de séparer les différentes fonctions du corps. Donc dans la pratique, c'est sûr que oui, ça permet d'avoir des gens qui sont beaucoup plus... plus compétent, plus professionnel, plus poussé sur chaque domaine, on va dire. Mais pour l'avoir expérimenté, pour l'avoir vu, que ce soit dans mes études, dans ce que j'ai pu apprendre, dans ce que j'ai pu voir aussi, en discutant avec des collègues, en voyant ce qui se passe aussi sur les réseaux et autres, c'est qu'au final, même dans une approche qui se veut holistique type naturopathie, eh bien en fait, on n'a pas du tout appliqué ça. Et on s'est retrouvés à vouloir... justement diviser l'être humain en plusieurs parties. Ce qui fait qu'on s'intéresse beaucoup au corps, donc au physique et au physiologique, là où on ne s'intéresse pas ou peu, mais bon en général c'est quasiment pas du tout, à la partie justement du vécu et des émotions. Et c'est ça qui fait que d'ailleurs je ne me reconnaissais plus du tout dans l'approche de la naturopathie. Bref. Parce que tout est directement influencé par notre esprit, par notre vie, par nos relations, par nos expériences. Et quand je dis tout, c'est tout, notre corps, nos fonctions, nos organes, tout. Tout fonctionne ensemble. Et le lien entre le corps et le mental, et quand je dis le mental, c'est également avec le... Comment dire ça ? L'environnement, ce qu'on traverse, ce qui passe par notre esprit, ce qu'on va vivre et tout ça. Eh bien, ça a été largement prouvé depuis déjà le siècle dernier. Donc c'est dire quand même, c'est pas nouveau, c'est pas la révélation de l'année. Non, non, ça fait déjà depuis le siècle dernier qu'on le sait. Sauf que la différence est qu'aujourd'hui, on sait l'expliquer. Parce qu'on sait que le pont entre tout ça, justement, entre le corps, l'esprit, les relations sociales, les expériences de vie, etc. Ce qui fait le pont, c'est le système nerveux. C'est pour ça qu'on en entend de plus en plus parler. C'est pour ça que personnellement, j'en parlais déjà, je crois c'était en 2018, que je faisais l'article là-dessus, sur le blog, à l'époque il n'y avait pas le podcast, et que j'en ai parlé également plusieurs fois en 2020, notamment quand le docteur David O'Hare est intervenu. Bref, c'est pour ça que c'est un pilier clé de notre bien-être global, et que j'en ai fait d'ailleurs le fil conducteur dans la méthode Omen Gut. Au mind, mind, il vient pour le système nerveux justement. Donc pour toi qui m'écoutes, mon conseil c'est ne cherche pas à séparer les symptômes physiques de tes émotions et du reste de ta vie. Même tes symptômes physiques, n'essaye pas de les séparer un à un et de collectionner les diagnostics et les symptômes. Non, pose-toi la question, qu'est-ce que mon corps traverse ? Qu'est-ce que je vis à côté ? Quand il se passe quelque chose, essaye de voir autour de toi qu'est-ce qui a pu se passer, est-ce qu'il y avait des émotions récurrentes, est-ce qu'il y avait des conflits, est-ce qu'il y avait quelque chose qui se passe. Et des fois, quand ça fait des années que justement on traverse quelque chose, oui forcément les symptômes deviennent chroniques, même s'il n'y a pas de facteur vraiment hyper facile à distinguer, que ce n'est pas hyper clair, mais en général... ça remonte justement, ça remonte et ça revient à ce que j'expliquais avec cette histoire de vécu. En général, c'est que c'était dans le passé et que le corps n'arrive toujours pas à se rééquilibrer dans le présent à cause de tout ce qui a été vécu dans le passé. Voilà. Alors, quatrième leçon apprise, c'est que ce n'est pas parce qu'on aime ce qu'on fait. qu'on doit le faire gratuitement. Et ce n'est certainement pas parce qu'on travaille dans le bien-être ou la santé qu'on doit tout donner, tout le temps, sans poser de cadres et de limites. Parce que pour ma part, j'ai très longtemps mis mon activité au service des autres, sans poser de limites, sans dire non, bref, sans me respecter. Et j'ai laissé certaines personnes me faire croire que mes tarifs étaient, je cite, trop élevés. que, je cite, ça ne se faisait pas de monétiser ou de se faire de l'argent dans le milieu de la santé et du bien-être. Et j'ai compris à mes dépens, évidemment, c'est toujours comme ça qu'on apprend les choses, que les likes, la reconnaissance, les partages ne payent pas les factures. Et à force de créer du contenu gratuit, d'avoir ce réflexe de « je veux aider tout le monde » , ce qui est très souvent le cas chez une personne, qui fait un travail dans le bien-être et la santé, eh ben j'ai fini par m'oublier moi. Et on ne peut pas aider les autres durablement quand on est soi-même sous pression financière derrière. Alors faire les choses avec le cœur, oui, pour moi c'est juste obligatoire, c'est ce qui m'anime, mais pas au point d'y laisser sa sécurité. Et dans la sécurité, on retrouve la sécurité financière, la sécurité de pouvoir s'acheter à manger, de pouvoir... payer son loyer, toutes ces choses-là. Alors on a le droit d'aimer ce qu'on fait, on a le droit d'y mettre du sens, tout en étant rémunéré à la hauteur de ce qu'on apporte. Donc mon conseil, si tu te reconnais là-dedans, ne confonds pas gentillesse, passion et sacrifice. Parce que ta générosité mérite malgré tout un cadre, et ton travail mérite d'être payé, d'être rémunéré. à sa juste valeur. Et là où encore certaines pensent que c'est trop égoïste justement de se faire rémunérer dans un travail, dans un milieu du bien-être, en fait je me dis pourquoi ? Sachant qu'il n'y a aucun mal à se faire rémunérer dans un travail qui nous plaît pas ou dans un travail alimentaire ou dans un travail autre en fait que dans le milieu du bien-être. Ça nous semble complètement normal d'être rémunérés pour notre travail, et ça nous semble aussi normal que les personnes soient rémunérées pour le travail qu'elles fournissent. Alors pourquoi ça serait différent quand on travaille dans le bien-être ? Je dirais même que c'est encore plus important, sachant que c'est un métier qui va apporter justement du bien et de l'utilité. Je dis pas que les autres sont inutiles, c'est pas du tout ce que je dis. C'est juste que... C'est pas parce qu'on est utile et qu'on sert les autres qu'on doit le faire bénévolement, en fait. C'est surtout ça. Et un très bon exemple, pour moi, ce sont toutes ces femmes, je pense notamment beaucoup aux infirmières, aux auxiliaires de vie, à toutes celles qui travaillent dans l'aide à la personne et dans la santé, comme ça. Combien font des burn-out ? Combien ont dû arrêter parce que... parce que justement elles n'étaient pas rémunérées à la hauteur de leur travail et du sacrifice que ça impliquait derrière, alors que justement ce sont ces personnes-là qui devraient avoir un salaire beaucoup plus valorisé par rapport à l'utilité qu'elles apportent dans la société. Voilà, en tout cas c'est mon point de vue. Maintenant passons à la cinquième chose que j'ai appris durant ces dernières années. C'est le fait que de ralentir, c'est avancer autrement. C'est pas perdre du temps, comme on pourrait le croire. Et je rajouterais même que ralentir, ce n'est pas être faible. Attention, parce que ça, on peut vraiment penser comme ça. Et pas du tout. En fait, justement, ralentir, c'est éviter de perdre encore plus de temps en fonçant droit, mais directement droit dans le mur de l'épuisement. à vouloir tout enchaîner, tout faire, être productive non-stop, personnellement, j'ai fini par m'effondrer deux fois. Burnout 2019, rechute burnout 2021. Et c'est là, en fait, que j'ai compris que la clé pour aller loin et pour tenir dans la durée, c'était certainement pas la tendance du hustle, donc le combat, la détermination, le truc en mode énergie masculine, allez, on... On défonce tout, on y va, on y va, allez c'est parti ! Voilà, non ? Mais c'est plutôt l'écoute, le repos, et le respect de nos émotions, de nos besoins profonds, etc. De toute façon, ça va ensemble, les émotions et les besoins profonds. Parce que sans énergie, quand on est débordé, quand on est à bout, eh ben on n'avance pas. Ou alors, on peut avancer pendant un temps, mais on va dans tous les sens. On s'éparpille, on avance sans clarté, et c'est ça en fait qui est vraiment... contre-productif et une vraie perte de temps. Donc ralentir, c'est pas un luxe, c'est une stratégie, entre guillemets, pour voir sur le long terme. Donc mon conseil, si tu n'arrives pas à ralentir, sans culpabiliser, eh bien si ton corps réclame une pause, s'il te plaît, écoute-le. Tu vas pas perdre de temps, tu vas justement te ressourcer un petit peu, donner à ton corps ce qu'il attend de toi, donc là par exemple, du repos. pour te permettre d'avancer mieux et plus longtemps, parce que justement tu te seras respecté et tu auras écouté ton corps. Parce que crois-moi, quand ton corps et ton mental ne suivent plus, c'est là que tu perds énormément de temps pour l'avoir vécu. Donc autorise-toi davantage à ralentir et sans culpabiliser. Dis-toi que c'est un bien pour toi, pour tes projets, pour la vie que tu as envie de mener, pour la vie que tu as envie de créer, tout simplement. Et ça rejoint un petit peu la sixième chose que j'ai retenue. Pareil, c'était long et c'est un petit peu logique après avoir vécu de burn-out, il était temps quand même, c'est qu'il faut savoir se ressourcer autant qu'on donne. Parce que on donne, on donne, on donne, et derrière, on oublie de remplir notre propre réservoir. On traverse des périodes de stress, de rush, on s'occupe des autres, on bosse dur, mais derrière, on ne prend jamais le temps de récupérer à la hauteur de ce qu'on a dépensé comme... énergie. Et c'est comme ça qu'on finit en déséquilibre chronique parce que nos besoins n'ont pas été écoutés ni respectés. Donc, prenez l'exemple, et c'est d'ailleurs l'exemple qu'avait donné le docteur David O'Hare quand il était intervenu pour parler de des déséquilibres au niveau du système nerveux en 2020. Si vous dépensez tout votre argent et qu'en parallèle, vous n'avez aucune entrée financière. Alors, avec un peu de chance, vous tiendrez quelques temps ... Si vous avez des économies. Mais au bout d'un moment, vous allez vous retrouver endetté. Et c'est exactement la même chose avec vous. Il faut du repos et des ressources à la hauteur de vos efforts et de ce que vous dépensez comme énergie. Et pas seulement pendant 3-5 semaines de vacances par an. C'est quoi 5 semaines de vacances par an sur une année ? Je sais pas si vous vous rendez compte. Non, ce qu'il faut, c'est un vrai équilibre quotidien entre l'énergie que vous dépensez avec les aléas du quotidien, etc. Et les choses qui viennent vous nourrir, vous recharger à chaque niveau, donc physique, mental, social, émotionnel, etc. Donc, mon conseil, toi qui m'écoutes, s'il te plaît, pose-toi régulièrement la question qu'est-ce que je fais pour moi, pour me nourrir et pas juste pour performer ? Parce que oui, ça va être ça, le petit piège, et ça va être ça la différence. C'est que dans les deux cas, il y aura du « faire » . Mais d'un côté, on a « faire » pour les autres, « faire » pour performer, « faire » pour s'adapter, « faire » pour voilà. Et de l'autre côté, dans les ressources, ça va être « faire » pour se nourrir. Donc le « faire » , comme je disais, nourrir les relations sociales, par exemple, aller voir des amis. Ça peut être tout simplement de s'écouter quand on a besoin de faire une sieste. prendre un petit peu de temps pour ralentir, etc. Ça peut être d'éviter de scroller sur le téléphone pour faire une pause et à la place, pourquoi pas, je sais pas, lire un livre si c'est ce que vous aimez, faire un jeu type sudoku, mots fléchés ou n'importe, ça va faire une petite pause sur le mental. Ça peut être de faire du coloriage, ça peut être d'aller marcher, voilà. Mais juste, en fait, il y a le faire qui va vous nourrir derrière. qui va vous nourrir vous, et qui n'a pas un but derrière de performer ou d'atteindre je ne sais quoi. Donc en gros, pensez à vous remplir autant que vous dépensez en termes d'énergie, avant de finir complètement vidé, tout simplement. Passons maintenant à la septième leçon, c'est que l'équilibre se trouve entre la pression de... tout faire parfaitement et le je m'en fous complet. Le total laxisme. Parce que j'ai eu une phase où tout était contrôlé. J'avais pas d'alimentation industrielle. J'étais quand même très impliquée dans le zéro déchet, donc pas de pas d'emballage, rien du tout. J'étais dans une démarche, même pour la décoration et tout, de minimalisme total. Bref, je m'étais mise une pression de dingue pour être parfaite dans tous les domaines. Pour être une bonne personne, pour être une bonne citoyenne, pour être une bonne élève, en gros. Et en réalité, j'ai compris que l'équilibre ne se trouvait justement pas dans cet hyper contrôle. Il ne se trouvait pas non plus dans le fait de, bah, on s'en fout de tout parce qu'il y a des choses qui sont importantes, ça, il n'y a aucun doute là-dessus. Maintenant, en fait, L'idée, c'est d'aller dans le juste milieu, c'est-à-dire dans un mode de vie, une façon de faire plus réaliste, même si c'est imparfait, mais au moins c'est fluide et ça dure dans le temps. Parce que c'est plus important à mon sens aujourd'hui de faire de son mieux sans se rajouter derrière une couche de culpabilité à chaque écart ou imperfection en fait. Et pour reprendre mon exemple, donc l'alimentation brute, vraiment pas de trucs industriels, machin, très... Surtout pas, il fallait surtout pas m'intoxiquer quoi, entre guillemets bien entendu. Du coup j'étais... Je vous l'avais dit, je suis tombée dans l'orthorexie, clairement. Et ça ne m'a pas empêché de tomber malade, ça ne m'a pas empêché de faire des dépressions, d'avoir des déséquilibres en haut, bref. Ça ne m'a pas empêché tout ça. On pourrait croire que oui, mais pas du tout. Donc ça c'était un premier exemple. Deuxième exemple pour le mode de vie plutôt. Et les convictions, ça va être justement le zéro déchet et le minimalisme. Alors déjà le zéro déchet. Dans la démarche écologique, bien entendu. Démarche écologique que j'ai toujours. Moi, je suis quelqu'un, j'ai été éduquée comme ça. C'est des valeurs qui sont importantes pour moi. Le respect du vivant, en fait. Le respect de la nature, le respect de l'humain, le respect des animaux. Pour moi, c'est des choses... Enfin, ça fait partie de moi, j'ai été élevée comme ça. Donc, c'est clairement dans mon ADN. Maintenant, de devoir être parfaite à tout point sur tout ça, j'ai accepté de ne plus être parfaite, justement. Et de faire au maximum à mon niveau. D'autant plus que, comme je crois que je l'avais déjà dit dans un épisode de podcast, mais je ne sais plus lequel, sûrement un chitchat, où je vous expliquais qu'en fait, quand on comprend d'un point de vue écologique, que les vrais dangers et les vraies sources de problèmes écologiques, ce sont les grosses industries, les gros pollueurs, enfin toutes ces grosses compagnies, qui ne changent rien au final. et qu'on a essayé de nous mettre la pression et la culpabilité sur nous, chaque personne citoyenne, à faire zéro déchet, surtout pas d'emballage plastique, surtout pas de ci, surtout pas de ça, alors qu'en réalité, c'est complètement faux. En réalité, c'est complètement faux, c'est pas nous qui portons le poids de ce qui se passe au niveau écologique aujourd'hui. Maintenant, ce n'est pas une raison, en tout cas pour moi, ce n'est pas une raison pour laquelle j'irais me dire « je m'en fous complètement » . Pas du tout, comme j'ai dit, pour moi c'est important, donc je respecte, je trie mes déchets, j'achète quand c'est possible d'acheter sans emballage, je fais sans emballage, mais maintenant je ne veux pas non plus me priver d'un certain confort quotidien, notamment dans mon alimentation, quand je dois prendre des choses où il y a du plastique, si je veux prendre des légumes ou des fruits surgelés, parce que c'est beaucoup plus pratique, ils tiennent dans le temps, ils ne s'abîment pas, au contraire. Ils ont une très bonne valeur nutritionnelle, au moins je sais que j'en ai toujours au congélateur. Voilà, c'est des choses comme ça qui me servent pour mon bien-être et ma praticité, donc déjà pour mon alimentation au quotidien. Mais avant, je me l'interdisais parce qu'emballer dans du plastique, en fait. Emballer, tout court en fait. Voilà, donc c'est un choix que j'ai fait pour ma part. Maintenant, sur plein de choses, je fais attention, je sais qu'au niveau des produits, j'utilise des choses qui respectent l'environnement, je fais très attention Ausha de ces trucs-là. Dans la mesure où ça ne me met pas une pression et ça ne me met pas non plus une charge extrêmement lourde au quotidien. Et pareil dans cette histoire de minimalisme. Il y a des choses qui sont complètement naturelles aujourd'hui pour moi. Je n'ai pas besoin d'avoir un milliard de vêtements, un milliard de chaussures, d'accessoires ou que sais-je. Je vais être assez minimaliste là-dedans. Parce que dans une démarche de ne pas aider à la surconsommation, tout simplement, mais ça c'est quelque chose que je pratique dans beaucoup de choses, maintenant je vais pas non plus m'interdire des choses que j'aimerais me prendre parce que ça me fait plaisir, parce que ça me fait du bien, parce que c'est efficace ou quoi, juste parce que c'est pas minimaliste et que quelqu'un a décidé qu'il fallait juste 3 produits pour les cosmétiques ou pour je ne sais quoi. Non, voilà, c'est vraiment, pour moi c'est un équilibre à trouver. pour chaque personne. Et pareil, dans la déco, il y en a pour qui, ben, elles sont heureuses comme ça. Moi, je suis quelqu'un de très artistique, de très créative. J'aime les couleurs, j'aime la belle décoration, j'aime l'art, en fait. Et avoir un chez-moi complètement vide, avec très peu de déco, en mode tout beige et tout ça, pour moi, c'est impossible. Vraiment, c'est quelque chose qui m'éteint littéralement au niveau de mon âme, quoi. Donc, c'est pour ça que c'est quelque chose à trouver, c'est un équilibre à trouver pour chaque personne. dont La mesure où ça ne vous met pas de pression. Donc en fait, c'est ça, c'est ne pas être dans la pression et cette charge, parce que la société et le monde dans lequel on vit nous met déjà suffisamment de poids sur les épaules pour qu'on s'en rajoute à vouloir être la bonne élève dans tous les domaines. Maintenant, on n'est pas non plus obligé de tomber dans le laxisme et de je m'en fous, et on n'a plus du tout de conviction, et on les applique plus du tout. Pour moi, il y a un juste milieu qui existe. Voilà, c'est la leçon en tout cas que j'ai appris durant ces cinq dernières années. Alors mon conseil, c'est ne visez pas la perfection. Visez ce qui est tenable, ce qui est accessible, ce qui est fluide pour vous au quotidien. On arrive à la fin, donc il n'en reste plus que trois. On a déjà une demi-heure d'épisode. Donc la huitième chose que j'ai appris, c'est que le bien-être ne doit jamais devenir une nouvelle injonction. Ça rejoint un petit peu ce que je viens de dire juste avant, et de toute façon vous verrez que chaque chose un petit peu, pas toutes, mais souvent ça se rejoint et c'est assez logique en même temps. Concernant celle-ci, c'est parce qu'en fait j'ai vu et j'ai vécu ce truc que la quête du bien-être devient un nouveau stress. Vouloir tout faire, tout tester, tout réussir pour retrouver sa santé ou alors pour ne pas la perdre. Mais à force de se mettre la pression pour bien faire, c'est pour ça que je vous ai dit que ça rejoint le point d'avant, en fait là le bien-être perd complètement son sens. Parce que ça devient une nouvelle injonction et une nouvelle source de culpabilité. Et c'est pour ça que personnellement je suis sortie de ces approches de clean girl, de healthy life, parce que l'hyper contrôle dans la quête de perfection pour avoir un corps... pur ou un environnement pur, bref, n'importe, bah non merci personnellement. Parce que moi je veux pas proposer une énième approche où tout est contrôlé, calculé, hyper rigide millimétré, bref. Moi je veux que le bien-être ça reste un espace de liberté de plaisir et pas un genre de prison dorée en gros. Mon conseil, alléger, simplifier faites le tri entre ce qui vous nourrit vraiment dans ce que vous voyez au niveau du bien-être, etc. et ce que vous faites par peur de mal faire. Parce que si vous faites justement par peur de mal faire, par peur d'être malade, par peur, quand c'est la peur qui vous dirige, il y a un problème. Et là, le bien-être ne devient pas le bien-être, mais une source de mal-être. Donc attention à ce piège-là dans lequel je suis tombée et dans lequel je sais que beaucoup de personnes tombent également. La neuvième chose, c'est que ce qu'on traverse forge notre résilience. Alors oui, mes blessures, mes traumas, mes douleurs, mes soucis de santé, c'est pas ce que j'aurais choisi, clairement, on va pas se mentir. Mais je sais aussi que sans ça, je serais pas qui je suis aujourd'hui. Parce que j'ai compris quelque chose, c'est que c'est dans le chaos qu'on apprend de manière forcée, je vous l'accorde. à se reconstruire. C'est quand tout s'écroule qu'on peut rebâtir plus solidement. C'est quand on chute qu'on apprend à se relever après les obstacles et à comprendre leur message. Alors oui, je ne vais pas le nier, c'était très difficile. Je me suis écroulée, je me suis effondrée. Mais c'est ce qui m'a permis aujourd'hui de me connaître, de connaître mon corps, de connaître mes émotions, de m'écouter, de savoir ce que je veux vraiment. De poser des limites, de ralentir, de dire non. Et aujourd'hui, c'est ce qui m'a permis d'avoir une base solide, d'avoir une vraie sécurité intérieure, et une mission de vie qui m'anime au plus profond de moi, et avec lequel je me sens alignée. Et c'est grâce à ça, grâce à tout ça, que... J'ai en moi et j'ai entre les mains les ressources pour aller au bout de mes rêves justement et au bout de ces objectifs, de ces projets qui m'animent en fait. Alors oui, les épreuves laissent des traces, mais ce que vous vivez aujourd'hui vous prépare à autre chose. Et vous pouvez transformer ça justement en force, en fondation et en nouvelle direction. Donc mon conseil, c'est que... Ce n'est pas ce que vous avez vécu qui vous définit, mais c'est ce que vous choisissez d'en faire. Et pour terminer, le dixième point, la dixième leçon de vie, et celle-là aussi, de toute façon, toutes les leçons, je les ai apprises à mes dépens. Comme je viens de le dire, c'est dans le chaos qu'on apprend. Voilà, c'est exactement ça. Aucune hygiène de vie. aussi parfaite soit-elle, ne suffira quand on est en insécurité. Vous pouvez avoir l'alimentation parfaite, faire du sport, méditer, faire du yoga, bref tout ce que vous voulez. Si votre corps se sent en insécurité constante, rien ne tiendra parce que les fondations sont trop fragiles, instables. Et c'est pourquoi il faut d'abord reconstruire un socle solide, comprendre son corps. Ses émotions, ses besoins profonds. Faire une thérapie pour partir sur une base neuve, sans le gros bagage lourd là derrière, avec toutes les croyances, tous les schémas, tout ça qui nous freine au quotidien. Apporter à votre corps ce dont il a besoin pour bien fonctionner. Puis, enfin, quand on a tout ça, nourrir cet équilibre quotidiennement, avec des habitudes simples, réalistes. par un bien-être et un lifestyle, un mode de vie soutenant au quotidien. Donc mon conseil pour ça, bâtissez des fondations solides, parce que ce sont elles qui vont rendre vos efforts que vous faites au quotidien réellement efficaces. Parce que c'est ça la base de tout. Et justement, avec My Holy Reset, j'ai voulu vous proposer ce socle, un vrai reset pour poser les bonnes bases. Parce que vous aussi, vous méritez de construire la vie que vous rêvez. My Holy Reset, c'est un pack que je vous ai préparé et que je vous propose à tarif exceptionnel jusqu'au jeudi 3 juillet 2025 pour poser enfin les fondations d'un bien-être physique et mental qui vous soutient vraiment. Alors, dans ce pack, vous retrouverez bien entendu Oman Gut, qui est aujourd'hui le programme signature, pour comprendre ce qui vous a maintenu en mode survie et en suradaptation tout ce temps, toutes ces années, pour apprendre à écouter les signaux de votre corps et vos besoins et pour appliquer des outils doux mais efficaces et réalistes pour retrouver votre énergie, votre clarté mentale, une digestion apaisée et une sérénité émotionnelle. Vous aurez également dans ce pack Wonderfood pour apprendre à manger de façon équilibrée. sans pression ni charge mentale, pour préparer des repas simples, rapides et savoureux, et pour retrouver du plaisir à manger sans vous perdre dans les injonctions, dans les règles et les conseils contradictoires. Alors, si vous sentez, vous aussi, que c'est le moment de poser les bases d'un nouveau chapitre, pour votre corps, votre esprit, votre énergie et votre vie, que vous souhaitez retrouver ou créer un bien-être durable, sans pression, et qui vous soutient dans votre vraie vie, eh bien offrez-vous le pack My Holy Reset. Un vrai cadeau pour vous-même. Je vous ai mis le lien juste en dessous dans la description et j'espère très sincèrement que ce pack vous aidera dans votre Holy Era, vous aussi. Parce que normalement, j'avais dit que je ne faisais plus de promotion sur mes programmes. Or là, comme on est vraiment sur quelque chose de très particulier, Avec un nouveau départ, une nouvelle lancée, le centième épisode, bref, il y a beaucoup de choses. J'avais quand même envie de fêter ça et j'avais quand même envie de vous faire ce beau cadeau, ce geste, avec une très belle promotion pour que vous puissiez avoir toutes les clés pour construire justement votre vie de rêve avec un corps et un mental qui vous soutiennent au quotidien. Parce que vous verrez à quel point ça fait toute la différence. Compte. Ils nous soutiennent et quand on n'est plus en lutte avec eux. Voilà. On est arrivé à la fin de cet épisode spécial. J'espère de tout cœur qu'il vous a plu. J'espère que vous saurez profiter de mes leçons de vie, de ce que j'ai appris. Certes, difficilement, dans la douleur parfois, mais au final, je me dis que tout ça, mine de rien, ça me permet déjà d'être très résiliente à la hauteur de mes 32 ans, bientôt 33 ans. Donc c'est déjà un très grand pas, mais aussi ça me permet de vous partager ça, de vous transmettre ça, pour éviter à vous aussi les mêmes erreurs que moi, pour vous faire gagner du temps, gagner de l'énergie. Bref, voilà, donc j'espère sincèrement que cet épisode vous aura plu. Et puis, d'ici là, prenez bien soin de vous. Et moi, je vous dis à très bientôt dans le prochain épisode.

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Description

Depuis juillet 2020, j’ai enregistré 100 épisodes de ce podcast, quel parcours 🥹


Alors dans ce 100ème épisode qui est très spécial, je te partage les 10 leçons de vie essentielles que j'ai apprises au cours de ces 5 dernières années, et pour chacune, un conseil concret, si toi aussi tu vis ça aujourd’hui.


Et pour fêter le 100ème épisode et le nouveau compte Instagram que j'ai créé @myholiera, je t'ai préparé une belle surprise 💖


Je te laisse découvrir ça et te souhaite une agréable écoute 🥰


🎁 Découvre ton pack My Holi Reset à un tarif unique jusqu'au jeudi 3 juillet 23h59


⭐️ Le podcast te plait ? Dis le moi en laissant ta plus belle note sur ta plateforme d'écoute et en m'écrivant avis si tu es sur Spotify ou Apple Podcast, ça m'aidera vraiment à soutenir mon travail je te remercie !


———

Tu me découvres ? Je suis Marina, et ici on mise sur un équilibre physique & mental durable, sans pression 💖

Ici, pas d’injonctions, juste des conseils bienveillants autour du bien-être global, du self-care, de l’alimentation sans frustration, la compréhension du corps, des émotions, du lifestyle...

Bref, tout ce qui te fait du bien pour de vrai 🫶🏻

Et quand je ne parle pas nutrition, selfcare et équilibre, tu me trouveras en train de regarder Buffy pour la 20ème fois, savourer une vraie pizza au feu de bois (ritale oblige 🤌🏼), acheter des trucs roses ou faire des papouilles à mes chats (#mamanchat) 🥰


Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

Transcription

  • Speaker #0

    La Parce que, comme vous pouvez le constater, sauf si vous n'avez pas fait attention, on est arrivé au centième épisode. Waouh, c'est passé tellement vite. Je me souviens encore en juillet 2020, je lançais ce podcast qui s'appelait Encore à votre pleine santé. Et nous voici donc presque cinq ans après avec le centième épisode. Et avec un nouveau nom, comme on l'avait déjà vu ensemble il y a quelques épisodes avant, mais surtout une nouvelle ère. Et je ne pense pas que ce soit une coïncidence que ce centième épisode tombe au moment où j'ai pris ce nouveau départ, et au contraire je pense que ça va marquer une vraie transition. Parce que durant ces cinq années, et cent épisodes plus tard, j'ai beaucoup évolué, j'ai énormément grandi. grâce à mes échecs, mes chutes, mais aussi avec mes victoires et mes apprentissages derrière chaque leçon de vie. Et justement, dans cet épisode très spécial, j'avais envie de faire les choses un petit peu différemment, de vous faire un épisode hors série entre guillemets et de vous partager 10 choses que j'aurais aimé savoir plus tôt. Et pour chacune d'elles, vous partager mon conseil pour celles qui vivent ça encore aujourd'hui. Et restez bien jusqu'à la fin, parce que pour fêter ça, parce que déjà d'une, ça se fête, sans épisode, c'est pas rien. D'ailleurs, on a dépassé les 500 000 téléchargements, enfin c'est énorme. Et en plus, et j'ai quand même oublié de vous annoncer ça, mais cette nouvelle ère dont je parle, certes, on l'a déjà passé sur le podcast en changeant de nom, mais j'ai enfin lancé le nouveau compte Instagram. Je vous avais dit que ma vie saine et moi allaient prendre fin. Et c'est le cas, donc j'ai enfin lancé le nouveau compte, le nouveau chapitre sur My Holy Era, voilà. Donc bon, je vous avais déjà donné un très gros morceau du nouveau nom avec le podcast In My Holy Era, et effectivement, Mavisenne et moi, c'est même pas que ça devient My Holy Era, c'est que ça prend fin et qu'il y a un nouveau chapitre qui commence avec My Holy Era, donc mon ère holistique. En gros, comme je vous l'avais expliqué dans l'épisode où je vous partage le pourquoi j'ai changé de nom, etc. Bref, donc le nouveau compte est lancé. Je vous invite à aller voir ce que j'y propose. J'ai déjà fait trois postes épinglés pour comprendre un petit peu ce nouveau départ, ce que vous allez retrouver ici. Mais par contre, je n'ai pas tout finalisé. Je n'ai pas attendu que tout soit parfait pour me lancer. Ça, c'était hyper important pour moi de ne plus rentrer dans ce truc du perfectionnisme, de l'autosabotage, de procrastiner en attendant que tout soit parfait. Donc, j'ai lancé le compte, malgré que je n'ai pas encore le nouveau site, que je n'ai pas de logo, que j'ai plein de choses à modifier, à ajuster, etc. C'est pas grave, voilà, je me suis lancée. Bon, et comme d'habitude, je me suis perdue dans mes paroles, à papoter à chaque fois. Donc ce que je vous disais, c'est que pour fêter ça, donc non seulement le centième épisode, mais aussi le lancement du compte Instagram MyHoliéra, je vous ai préparé une surprise pour celles qui veulent aussi prendre un nouveau départ pour leur corps, leur mental, leur bien-être et leur vie. Donc je vous partagerai ça à la fin et je vous propose de commencer dès maintenant l'épisode du jour, l'épisode spécial, avec la première chose que j'aurais aimé apprendre plus tôt. A savoir que le corps ne se contrôle pas, il s'écoute. Et d'ailleurs, j'en profite pour dire aussi que c'est pareil pour les émotions. Les émotions, ça ne se gère pas, ça s'écoute. Donc le corps, en fait, il est parfait. Il n'y a pas de bug, il n'y a pas de défaut à corriger. Le corps, il n'a rien contre nous, il ne fait rien pour nous embêter, nous... Vous freinez, vous pourrez à la vie ? Pas du tout, parce qu'on a tendance, quand on est dans une situation où on ne se sent pas très bien dans son corps, qui nous fait souffrir pour différentes raisons, c'est bien physique que mental. il a tendance à rentrer en lutte contre lui. Et le problème, c'est que lui, il fait ce qu'il peut pour maintenir un équilibre avec ce qu'il a, tout simplement. Et il a juste besoin qu'on l'écoute vraiment, qu'on arrête de lui imposer des choses en pensant qu'on sait mieux que lui. Quand je dis « on » , c'est pas forcément que nous qui vivons ce que nous vivons, mais aussi des fois avec certains professionnels qui pensent avoir mieux que le corps et qui veulent... contrôler le corps et le diriger de telle ou telle manière. Le corps lui a besoin qu'on lui apporte tout simplement ce dont il a besoin, voilà je me répète, mais pour pouvoir faire son job parce qu'il sait très bien le faire, c'est parfaitement pensé, tout est très très bien fait. Quand on comprend le corps humain et d'autant plus quand on en fait notre métier et qu'on va vraiment dans le détail de son fonctionnement et tout On voit à quel point tout est pensé, tout est parfait, tout est vraiment... J'ai pas d'autre mot que dire que c'est parfait en fait. Mais pour qu'il puisse justement fonctionner efficacement, qu'il se rééquilibre, etc., eh bien il doit avoir les bonnes ressources. Et c'est là le piège. Donc encore une fois, le corps ne se contrôle pas, il s'écoute. Et quand on commence enfin à l'écouter vraiment, eh bien c'est là qu'on peut lui apporter les bonnes ressources. Donc mon conseil, si toi qui m'écoutes... tu te sens concerné, plutôt que de chercher à dominer ou à contrôler ou à diriger ton corps, demande-toi chaque jour ce que tu peux faire pour l'écouter un peu mieux. Essaye d'être plus bienveillante envers lui et de te rappeler que là, ce qu'il est en train de faire, c'est de s'adapter. Il est en train de s'adapter avec les moyens et les ressources qu'il a à sa disposition aujourd'hui pour faire face à ce que tu traverses, ce que tu vis aujourd'hui. et ce que tu as vécu dans le passé. Mais bon, ça, on va y revenir, justement. La deuxième leçon que j'ai apprise durant ces cinq dernières années, c'est que les relations sont aussi importantes que votre hygiène de vie. Parce que je trouve qu'on sous-estime beaucoup trop l'impact de la vie sociale et des relations sociales sur notre vie, sur notre santé et notre humeur. Parce que oui, des relations pas saines, ça peut vraiment... nous détruire, mais à l'inverse, des relations saines peuvent elles nous nourrir, nous élever, nous aider à grandir. Et en fait, après mon burn-out, je me suis isolée pendant à peu près 2-3 ans, je voyais vraiment pas régulièrement mes amis, et ça c'est un truc que je vous déconseille très fortement. Parce que oui, il faut s'écouter quand on a besoin de solitude, quand on a besoin de se ressourcer. D'autant plus quand on est introverti comme moi, donc les introvertis c'est vraiment les personnes qui au contact des autres vont avoir vraiment l'énergie qui vont diminuer, là où les extravertis vont se nourrir de l'énergie sociale et tout ça. Bref, moi ce n'est pas mon cas, et ce qui fait qu'on a ce besoin, en fait on se sent vidé. Donc ok, ça c'est quelque chose qu'il faut comprendre une fois qu'on se connaît, d'où l'intérêt de se connaître. Mais on n'a pas besoin non plus de s'isoler, ni d'aller dans l'extrême et de faire des sorties tous les jours. Il y a un juste milieu, il y a un équilibre, et c'est là que se trouve la solution. Et personnellement, le fait de refaire des après-midi, des brunchs, des soirées-jeux, même des week-ends récemment entre copines, et bien mine de rien, ça m'a vraiment aidé à tenir, à me relever et à ne pas m'oublier. Donc oui, nourrir vos relations, c'est tout aussi important que de bien manger ou de bouger suffisamment au quotidien. Parce qu'en plus, on le sait depuis très longtemps maintenant que ça agit sur votre longévité, sur votre équilibre émotionnel et sur votre équilibre nerveux. Donc mon conseil, eh bien, fais de la place dans ton emploi du temps pour les relations qui te font du bien. C'est pas un luxe, c'est une ressource, c'est un besoin. On a besoin de connexion avec les autres et justement ce besoin-là fait partie de nos besoins profonds qu'on a tendance à vraiment minimiser ou carrément à même pas connaître en fait, ce qui fait qu'on va pas combler correctement ce besoin. La troisième chose que j'ai apprise et qui a vraiment été parmi d'autres leçons mais vraiment un très gros tournant, c'est qu'on ne peut pas séparer le corps, le mental, les émotions et le vécu. Parce que tout ça, donc quand je parle du vécu, c'est le vécu présent et le vécu passé, donc ce qu'on vit aujourd'hui, ce qu'on a vécu. Tout ça, c'est lié. On ne peut pas se couper en différents morceaux. On ne peut pas scinder le corps organe par organe ou fonction par fonction, parce que tout est connecté et tout fonctionne ensemble. Et ça, c'est un piège. C'est un piège qu'en naturopathie, on a dit de ne pas faire sur l'approche conventionnelle. Et parce que oui, en conventionnel, le symptôme, c'est le symptôme. Et on va rester sur un système, on va dire. D'ailleurs, il y a des médecins spécialisés pour chaque système. C'est très bien, ce n'est pas le sujet. Ce que je veux dire, c'est que c'est quelque chose qu'on a naturellement fait de séparer les différentes fonctions du corps. Donc dans la pratique, c'est sûr que oui, ça permet d'avoir des gens qui sont beaucoup plus... plus compétent, plus professionnel, plus poussé sur chaque domaine, on va dire. Mais pour l'avoir expérimenté, pour l'avoir vu, que ce soit dans mes études, dans ce que j'ai pu apprendre, dans ce que j'ai pu voir aussi, en discutant avec des collègues, en voyant ce qui se passe aussi sur les réseaux et autres, c'est qu'au final, même dans une approche qui se veut holistique type naturopathie, eh bien en fait, on n'a pas du tout appliqué ça. Et on s'est retrouvés à vouloir... justement diviser l'être humain en plusieurs parties. Ce qui fait qu'on s'intéresse beaucoup au corps, donc au physique et au physiologique, là où on ne s'intéresse pas ou peu, mais bon en général c'est quasiment pas du tout, à la partie justement du vécu et des émotions. Et c'est ça qui fait que d'ailleurs je ne me reconnaissais plus du tout dans l'approche de la naturopathie. Bref. Parce que tout est directement influencé par notre esprit, par notre vie, par nos relations, par nos expériences. Et quand je dis tout, c'est tout, notre corps, nos fonctions, nos organes, tout. Tout fonctionne ensemble. Et le lien entre le corps et le mental, et quand je dis le mental, c'est également avec le... Comment dire ça ? L'environnement, ce qu'on traverse, ce qui passe par notre esprit, ce qu'on va vivre et tout ça. Eh bien, ça a été largement prouvé depuis déjà le siècle dernier. Donc c'est dire quand même, c'est pas nouveau, c'est pas la révélation de l'année. Non, non, ça fait déjà depuis le siècle dernier qu'on le sait. Sauf que la différence est qu'aujourd'hui, on sait l'expliquer. Parce qu'on sait que le pont entre tout ça, justement, entre le corps, l'esprit, les relations sociales, les expériences de vie, etc. Ce qui fait le pont, c'est le système nerveux. C'est pour ça qu'on en entend de plus en plus parler. C'est pour ça que personnellement, j'en parlais déjà, je crois c'était en 2018, que je faisais l'article là-dessus, sur le blog, à l'époque il n'y avait pas le podcast, et que j'en ai parlé également plusieurs fois en 2020, notamment quand le docteur David O'Hare est intervenu. Bref, c'est pour ça que c'est un pilier clé de notre bien-être global, et que j'en ai fait d'ailleurs le fil conducteur dans la méthode Omen Gut. Au mind, mind, il vient pour le système nerveux justement. Donc pour toi qui m'écoutes, mon conseil c'est ne cherche pas à séparer les symptômes physiques de tes émotions et du reste de ta vie. Même tes symptômes physiques, n'essaye pas de les séparer un à un et de collectionner les diagnostics et les symptômes. Non, pose-toi la question, qu'est-ce que mon corps traverse ? Qu'est-ce que je vis à côté ? Quand il se passe quelque chose, essaye de voir autour de toi qu'est-ce qui a pu se passer, est-ce qu'il y avait des émotions récurrentes, est-ce qu'il y avait des conflits, est-ce qu'il y avait quelque chose qui se passe. Et des fois, quand ça fait des années que justement on traverse quelque chose, oui forcément les symptômes deviennent chroniques, même s'il n'y a pas de facteur vraiment hyper facile à distinguer, que ce n'est pas hyper clair, mais en général... ça remonte justement, ça remonte et ça revient à ce que j'expliquais avec cette histoire de vécu. En général, c'est que c'était dans le passé et que le corps n'arrive toujours pas à se rééquilibrer dans le présent à cause de tout ce qui a été vécu dans le passé. Voilà. Alors, quatrième leçon apprise, c'est que ce n'est pas parce qu'on aime ce qu'on fait. qu'on doit le faire gratuitement. Et ce n'est certainement pas parce qu'on travaille dans le bien-être ou la santé qu'on doit tout donner, tout le temps, sans poser de cadres et de limites. Parce que pour ma part, j'ai très longtemps mis mon activité au service des autres, sans poser de limites, sans dire non, bref, sans me respecter. Et j'ai laissé certaines personnes me faire croire que mes tarifs étaient, je cite, trop élevés. que, je cite, ça ne se faisait pas de monétiser ou de se faire de l'argent dans le milieu de la santé et du bien-être. Et j'ai compris à mes dépens, évidemment, c'est toujours comme ça qu'on apprend les choses, que les likes, la reconnaissance, les partages ne payent pas les factures. Et à force de créer du contenu gratuit, d'avoir ce réflexe de « je veux aider tout le monde » , ce qui est très souvent le cas chez une personne, qui fait un travail dans le bien-être et la santé, eh ben j'ai fini par m'oublier moi. Et on ne peut pas aider les autres durablement quand on est soi-même sous pression financière derrière. Alors faire les choses avec le cœur, oui, pour moi c'est juste obligatoire, c'est ce qui m'anime, mais pas au point d'y laisser sa sécurité. Et dans la sécurité, on retrouve la sécurité financière, la sécurité de pouvoir s'acheter à manger, de pouvoir... payer son loyer, toutes ces choses-là. Alors on a le droit d'aimer ce qu'on fait, on a le droit d'y mettre du sens, tout en étant rémunéré à la hauteur de ce qu'on apporte. Donc mon conseil, si tu te reconnais là-dedans, ne confonds pas gentillesse, passion et sacrifice. Parce que ta générosité mérite malgré tout un cadre, et ton travail mérite d'être payé, d'être rémunéré. à sa juste valeur. Et là où encore certaines pensent que c'est trop égoïste justement de se faire rémunérer dans un travail, dans un milieu du bien-être, en fait je me dis pourquoi ? Sachant qu'il n'y a aucun mal à se faire rémunérer dans un travail qui nous plaît pas ou dans un travail alimentaire ou dans un travail autre en fait que dans le milieu du bien-être. Ça nous semble complètement normal d'être rémunérés pour notre travail, et ça nous semble aussi normal que les personnes soient rémunérées pour le travail qu'elles fournissent. Alors pourquoi ça serait différent quand on travaille dans le bien-être ? Je dirais même que c'est encore plus important, sachant que c'est un métier qui va apporter justement du bien et de l'utilité. Je dis pas que les autres sont inutiles, c'est pas du tout ce que je dis. C'est juste que... C'est pas parce qu'on est utile et qu'on sert les autres qu'on doit le faire bénévolement, en fait. C'est surtout ça. Et un très bon exemple, pour moi, ce sont toutes ces femmes, je pense notamment beaucoup aux infirmières, aux auxiliaires de vie, à toutes celles qui travaillent dans l'aide à la personne et dans la santé, comme ça. Combien font des burn-out ? Combien ont dû arrêter parce que... parce que justement elles n'étaient pas rémunérées à la hauteur de leur travail et du sacrifice que ça impliquait derrière, alors que justement ce sont ces personnes-là qui devraient avoir un salaire beaucoup plus valorisé par rapport à l'utilité qu'elles apportent dans la société. Voilà, en tout cas c'est mon point de vue. Maintenant passons à la cinquième chose que j'ai appris durant ces dernières années. C'est le fait que de ralentir, c'est avancer autrement. C'est pas perdre du temps, comme on pourrait le croire. Et je rajouterais même que ralentir, ce n'est pas être faible. Attention, parce que ça, on peut vraiment penser comme ça. Et pas du tout. En fait, justement, ralentir, c'est éviter de perdre encore plus de temps en fonçant droit, mais directement droit dans le mur de l'épuisement. à vouloir tout enchaîner, tout faire, être productive non-stop, personnellement, j'ai fini par m'effondrer deux fois. Burnout 2019, rechute burnout 2021. Et c'est là, en fait, que j'ai compris que la clé pour aller loin et pour tenir dans la durée, c'était certainement pas la tendance du hustle, donc le combat, la détermination, le truc en mode énergie masculine, allez, on... On défonce tout, on y va, on y va, allez c'est parti ! Voilà, non ? Mais c'est plutôt l'écoute, le repos, et le respect de nos émotions, de nos besoins profonds, etc. De toute façon, ça va ensemble, les émotions et les besoins profonds. Parce que sans énergie, quand on est débordé, quand on est à bout, eh ben on n'avance pas. Ou alors, on peut avancer pendant un temps, mais on va dans tous les sens. On s'éparpille, on avance sans clarté, et c'est ça en fait qui est vraiment... contre-productif et une vraie perte de temps. Donc ralentir, c'est pas un luxe, c'est une stratégie, entre guillemets, pour voir sur le long terme. Donc mon conseil, si tu n'arrives pas à ralentir, sans culpabiliser, eh bien si ton corps réclame une pause, s'il te plaît, écoute-le. Tu vas pas perdre de temps, tu vas justement te ressourcer un petit peu, donner à ton corps ce qu'il attend de toi, donc là par exemple, du repos. pour te permettre d'avancer mieux et plus longtemps, parce que justement tu te seras respecté et tu auras écouté ton corps. Parce que crois-moi, quand ton corps et ton mental ne suivent plus, c'est là que tu perds énormément de temps pour l'avoir vécu. Donc autorise-toi davantage à ralentir et sans culpabiliser. Dis-toi que c'est un bien pour toi, pour tes projets, pour la vie que tu as envie de mener, pour la vie que tu as envie de créer, tout simplement. Et ça rejoint un petit peu la sixième chose que j'ai retenue. Pareil, c'était long et c'est un petit peu logique après avoir vécu de burn-out, il était temps quand même, c'est qu'il faut savoir se ressourcer autant qu'on donne. Parce que on donne, on donne, on donne, et derrière, on oublie de remplir notre propre réservoir. On traverse des périodes de stress, de rush, on s'occupe des autres, on bosse dur, mais derrière, on ne prend jamais le temps de récupérer à la hauteur de ce qu'on a dépensé comme... énergie. Et c'est comme ça qu'on finit en déséquilibre chronique parce que nos besoins n'ont pas été écoutés ni respectés. Donc, prenez l'exemple, et c'est d'ailleurs l'exemple qu'avait donné le docteur David O'Hare quand il était intervenu pour parler de des déséquilibres au niveau du système nerveux en 2020. Si vous dépensez tout votre argent et qu'en parallèle, vous n'avez aucune entrée financière. Alors, avec un peu de chance, vous tiendrez quelques temps ... Si vous avez des économies. Mais au bout d'un moment, vous allez vous retrouver endetté. Et c'est exactement la même chose avec vous. Il faut du repos et des ressources à la hauteur de vos efforts et de ce que vous dépensez comme énergie. Et pas seulement pendant 3-5 semaines de vacances par an. C'est quoi 5 semaines de vacances par an sur une année ? Je sais pas si vous vous rendez compte. Non, ce qu'il faut, c'est un vrai équilibre quotidien entre l'énergie que vous dépensez avec les aléas du quotidien, etc. Et les choses qui viennent vous nourrir, vous recharger à chaque niveau, donc physique, mental, social, émotionnel, etc. Donc, mon conseil, toi qui m'écoutes, s'il te plaît, pose-toi régulièrement la question qu'est-ce que je fais pour moi, pour me nourrir et pas juste pour performer ? Parce que oui, ça va être ça, le petit piège, et ça va être ça la différence. C'est que dans les deux cas, il y aura du « faire » . Mais d'un côté, on a « faire » pour les autres, « faire » pour performer, « faire » pour s'adapter, « faire » pour voilà. Et de l'autre côté, dans les ressources, ça va être « faire » pour se nourrir. Donc le « faire » , comme je disais, nourrir les relations sociales, par exemple, aller voir des amis. Ça peut être tout simplement de s'écouter quand on a besoin de faire une sieste. prendre un petit peu de temps pour ralentir, etc. Ça peut être d'éviter de scroller sur le téléphone pour faire une pause et à la place, pourquoi pas, je sais pas, lire un livre si c'est ce que vous aimez, faire un jeu type sudoku, mots fléchés ou n'importe, ça va faire une petite pause sur le mental. Ça peut être de faire du coloriage, ça peut être d'aller marcher, voilà. Mais juste, en fait, il y a le faire qui va vous nourrir derrière. qui va vous nourrir vous, et qui n'a pas un but derrière de performer ou d'atteindre je ne sais quoi. Donc en gros, pensez à vous remplir autant que vous dépensez en termes d'énergie, avant de finir complètement vidé, tout simplement. Passons maintenant à la septième leçon, c'est que l'équilibre se trouve entre la pression de... tout faire parfaitement et le je m'en fous complet. Le total laxisme. Parce que j'ai eu une phase où tout était contrôlé. J'avais pas d'alimentation industrielle. J'étais quand même très impliquée dans le zéro déchet, donc pas de pas d'emballage, rien du tout. J'étais dans une démarche, même pour la décoration et tout, de minimalisme total. Bref, je m'étais mise une pression de dingue pour être parfaite dans tous les domaines. Pour être une bonne personne, pour être une bonne citoyenne, pour être une bonne élève, en gros. Et en réalité, j'ai compris que l'équilibre ne se trouvait justement pas dans cet hyper contrôle. Il ne se trouvait pas non plus dans le fait de, bah, on s'en fout de tout parce qu'il y a des choses qui sont importantes, ça, il n'y a aucun doute là-dessus. Maintenant, en fait, L'idée, c'est d'aller dans le juste milieu, c'est-à-dire dans un mode de vie, une façon de faire plus réaliste, même si c'est imparfait, mais au moins c'est fluide et ça dure dans le temps. Parce que c'est plus important à mon sens aujourd'hui de faire de son mieux sans se rajouter derrière une couche de culpabilité à chaque écart ou imperfection en fait. Et pour reprendre mon exemple, donc l'alimentation brute, vraiment pas de trucs industriels, machin, très... Surtout pas, il fallait surtout pas m'intoxiquer quoi, entre guillemets bien entendu. Du coup j'étais... Je vous l'avais dit, je suis tombée dans l'orthorexie, clairement. Et ça ne m'a pas empêché de tomber malade, ça ne m'a pas empêché de faire des dépressions, d'avoir des déséquilibres en haut, bref. Ça ne m'a pas empêché tout ça. On pourrait croire que oui, mais pas du tout. Donc ça c'était un premier exemple. Deuxième exemple pour le mode de vie plutôt. Et les convictions, ça va être justement le zéro déchet et le minimalisme. Alors déjà le zéro déchet. Dans la démarche écologique, bien entendu. Démarche écologique que j'ai toujours. Moi, je suis quelqu'un, j'ai été éduquée comme ça. C'est des valeurs qui sont importantes pour moi. Le respect du vivant, en fait. Le respect de la nature, le respect de l'humain, le respect des animaux. Pour moi, c'est des choses... Enfin, ça fait partie de moi, j'ai été élevée comme ça. Donc, c'est clairement dans mon ADN. Maintenant, de devoir être parfaite à tout point sur tout ça, j'ai accepté de ne plus être parfaite, justement. Et de faire au maximum à mon niveau. D'autant plus que, comme je crois que je l'avais déjà dit dans un épisode de podcast, mais je ne sais plus lequel, sûrement un chitchat, où je vous expliquais qu'en fait, quand on comprend d'un point de vue écologique, que les vrais dangers et les vraies sources de problèmes écologiques, ce sont les grosses industries, les gros pollueurs, enfin toutes ces grosses compagnies, qui ne changent rien au final. et qu'on a essayé de nous mettre la pression et la culpabilité sur nous, chaque personne citoyenne, à faire zéro déchet, surtout pas d'emballage plastique, surtout pas de ci, surtout pas de ça, alors qu'en réalité, c'est complètement faux. En réalité, c'est complètement faux, c'est pas nous qui portons le poids de ce qui se passe au niveau écologique aujourd'hui. Maintenant, ce n'est pas une raison, en tout cas pour moi, ce n'est pas une raison pour laquelle j'irais me dire « je m'en fous complètement » . Pas du tout, comme j'ai dit, pour moi c'est important, donc je respecte, je trie mes déchets, j'achète quand c'est possible d'acheter sans emballage, je fais sans emballage, mais maintenant je ne veux pas non plus me priver d'un certain confort quotidien, notamment dans mon alimentation, quand je dois prendre des choses où il y a du plastique, si je veux prendre des légumes ou des fruits surgelés, parce que c'est beaucoup plus pratique, ils tiennent dans le temps, ils ne s'abîment pas, au contraire. Ils ont une très bonne valeur nutritionnelle, au moins je sais que j'en ai toujours au congélateur. Voilà, c'est des choses comme ça qui me servent pour mon bien-être et ma praticité, donc déjà pour mon alimentation au quotidien. Mais avant, je me l'interdisais parce qu'emballer dans du plastique, en fait. Emballer, tout court en fait. Voilà, donc c'est un choix que j'ai fait pour ma part. Maintenant, sur plein de choses, je fais attention, je sais qu'au niveau des produits, j'utilise des choses qui respectent l'environnement, je fais très attention Ausha de ces trucs-là. Dans la mesure où ça ne me met pas une pression et ça ne me met pas non plus une charge extrêmement lourde au quotidien. Et pareil dans cette histoire de minimalisme. Il y a des choses qui sont complètement naturelles aujourd'hui pour moi. Je n'ai pas besoin d'avoir un milliard de vêtements, un milliard de chaussures, d'accessoires ou que sais-je. Je vais être assez minimaliste là-dedans. Parce que dans une démarche de ne pas aider à la surconsommation, tout simplement, mais ça c'est quelque chose que je pratique dans beaucoup de choses, maintenant je vais pas non plus m'interdire des choses que j'aimerais me prendre parce que ça me fait plaisir, parce que ça me fait du bien, parce que c'est efficace ou quoi, juste parce que c'est pas minimaliste et que quelqu'un a décidé qu'il fallait juste 3 produits pour les cosmétiques ou pour je ne sais quoi. Non, voilà, c'est vraiment, pour moi c'est un équilibre à trouver. pour chaque personne. Et pareil, dans la déco, il y en a pour qui, ben, elles sont heureuses comme ça. Moi, je suis quelqu'un de très artistique, de très créative. J'aime les couleurs, j'aime la belle décoration, j'aime l'art, en fait. Et avoir un chez-moi complètement vide, avec très peu de déco, en mode tout beige et tout ça, pour moi, c'est impossible. Vraiment, c'est quelque chose qui m'éteint littéralement au niveau de mon âme, quoi. Donc, c'est pour ça que c'est quelque chose à trouver, c'est un équilibre à trouver pour chaque personne. dont La mesure où ça ne vous met pas de pression. Donc en fait, c'est ça, c'est ne pas être dans la pression et cette charge, parce que la société et le monde dans lequel on vit nous met déjà suffisamment de poids sur les épaules pour qu'on s'en rajoute à vouloir être la bonne élève dans tous les domaines. Maintenant, on n'est pas non plus obligé de tomber dans le laxisme et de je m'en fous, et on n'a plus du tout de conviction, et on les applique plus du tout. Pour moi, il y a un juste milieu qui existe. Voilà, c'est la leçon en tout cas que j'ai appris durant ces cinq dernières années. Alors mon conseil, c'est ne visez pas la perfection. Visez ce qui est tenable, ce qui est accessible, ce qui est fluide pour vous au quotidien. On arrive à la fin, donc il n'en reste plus que trois. On a déjà une demi-heure d'épisode. Donc la huitième chose que j'ai appris, c'est que le bien-être ne doit jamais devenir une nouvelle injonction. Ça rejoint un petit peu ce que je viens de dire juste avant, et de toute façon vous verrez que chaque chose un petit peu, pas toutes, mais souvent ça se rejoint et c'est assez logique en même temps. Concernant celle-ci, c'est parce qu'en fait j'ai vu et j'ai vécu ce truc que la quête du bien-être devient un nouveau stress. Vouloir tout faire, tout tester, tout réussir pour retrouver sa santé ou alors pour ne pas la perdre. Mais à force de se mettre la pression pour bien faire, c'est pour ça que je vous ai dit que ça rejoint le point d'avant, en fait là le bien-être perd complètement son sens. Parce que ça devient une nouvelle injonction et une nouvelle source de culpabilité. Et c'est pour ça que personnellement je suis sortie de ces approches de clean girl, de healthy life, parce que l'hyper contrôle dans la quête de perfection pour avoir un corps... pur ou un environnement pur, bref, n'importe, bah non merci personnellement. Parce que moi je veux pas proposer une énième approche où tout est contrôlé, calculé, hyper rigide millimétré, bref. Moi je veux que le bien-être ça reste un espace de liberté de plaisir et pas un genre de prison dorée en gros. Mon conseil, alléger, simplifier faites le tri entre ce qui vous nourrit vraiment dans ce que vous voyez au niveau du bien-être, etc. et ce que vous faites par peur de mal faire. Parce que si vous faites justement par peur de mal faire, par peur d'être malade, par peur, quand c'est la peur qui vous dirige, il y a un problème. Et là, le bien-être ne devient pas le bien-être, mais une source de mal-être. Donc attention à ce piège-là dans lequel je suis tombée et dans lequel je sais que beaucoup de personnes tombent également. La neuvième chose, c'est que ce qu'on traverse forge notre résilience. Alors oui, mes blessures, mes traumas, mes douleurs, mes soucis de santé, c'est pas ce que j'aurais choisi, clairement, on va pas se mentir. Mais je sais aussi que sans ça, je serais pas qui je suis aujourd'hui. Parce que j'ai compris quelque chose, c'est que c'est dans le chaos qu'on apprend de manière forcée, je vous l'accorde. à se reconstruire. C'est quand tout s'écroule qu'on peut rebâtir plus solidement. C'est quand on chute qu'on apprend à se relever après les obstacles et à comprendre leur message. Alors oui, je ne vais pas le nier, c'était très difficile. Je me suis écroulée, je me suis effondrée. Mais c'est ce qui m'a permis aujourd'hui de me connaître, de connaître mon corps, de connaître mes émotions, de m'écouter, de savoir ce que je veux vraiment. De poser des limites, de ralentir, de dire non. Et aujourd'hui, c'est ce qui m'a permis d'avoir une base solide, d'avoir une vraie sécurité intérieure, et une mission de vie qui m'anime au plus profond de moi, et avec lequel je me sens alignée. Et c'est grâce à ça, grâce à tout ça, que... J'ai en moi et j'ai entre les mains les ressources pour aller au bout de mes rêves justement et au bout de ces objectifs, de ces projets qui m'animent en fait. Alors oui, les épreuves laissent des traces, mais ce que vous vivez aujourd'hui vous prépare à autre chose. Et vous pouvez transformer ça justement en force, en fondation et en nouvelle direction. Donc mon conseil, c'est que... Ce n'est pas ce que vous avez vécu qui vous définit, mais c'est ce que vous choisissez d'en faire. Et pour terminer, le dixième point, la dixième leçon de vie, et celle-là aussi, de toute façon, toutes les leçons, je les ai apprises à mes dépens. Comme je viens de le dire, c'est dans le chaos qu'on apprend. Voilà, c'est exactement ça. Aucune hygiène de vie. aussi parfaite soit-elle, ne suffira quand on est en insécurité. Vous pouvez avoir l'alimentation parfaite, faire du sport, méditer, faire du yoga, bref tout ce que vous voulez. Si votre corps se sent en insécurité constante, rien ne tiendra parce que les fondations sont trop fragiles, instables. Et c'est pourquoi il faut d'abord reconstruire un socle solide, comprendre son corps. Ses émotions, ses besoins profonds. Faire une thérapie pour partir sur une base neuve, sans le gros bagage lourd là derrière, avec toutes les croyances, tous les schémas, tout ça qui nous freine au quotidien. Apporter à votre corps ce dont il a besoin pour bien fonctionner. Puis, enfin, quand on a tout ça, nourrir cet équilibre quotidiennement, avec des habitudes simples, réalistes. par un bien-être et un lifestyle, un mode de vie soutenant au quotidien. Donc mon conseil pour ça, bâtissez des fondations solides, parce que ce sont elles qui vont rendre vos efforts que vous faites au quotidien réellement efficaces. Parce que c'est ça la base de tout. Et justement, avec My Holy Reset, j'ai voulu vous proposer ce socle, un vrai reset pour poser les bonnes bases. Parce que vous aussi, vous méritez de construire la vie que vous rêvez. My Holy Reset, c'est un pack que je vous ai préparé et que je vous propose à tarif exceptionnel jusqu'au jeudi 3 juillet 2025 pour poser enfin les fondations d'un bien-être physique et mental qui vous soutient vraiment. Alors, dans ce pack, vous retrouverez bien entendu Oman Gut, qui est aujourd'hui le programme signature, pour comprendre ce qui vous a maintenu en mode survie et en suradaptation tout ce temps, toutes ces années, pour apprendre à écouter les signaux de votre corps et vos besoins et pour appliquer des outils doux mais efficaces et réalistes pour retrouver votre énergie, votre clarté mentale, une digestion apaisée et une sérénité émotionnelle. Vous aurez également dans ce pack Wonderfood pour apprendre à manger de façon équilibrée. sans pression ni charge mentale, pour préparer des repas simples, rapides et savoureux, et pour retrouver du plaisir à manger sans vous perdre dans les injonctions, dans les règles et les conseils contradictoires. Alors, si vous sentez, vous aussi, que c'est le moment de poser les bases d'un nouveau chapitre, pour votre corps, votre esprit, votre énergie et votre vie, que vous souhaitez retrouver ou créer un bien-être durable, sans pression, et qui vous soutient dans votre vraie vie, eh bien offrez-vous le pack My Holy Reset. Un vrai cadeau pour vous-même. Je vous ai mis le lien juste en dessous dans la description et j'espère très sincèrement que ce pack vous aidera dans votre Holy Era, vous aussi. Parce que normalement, j'avais dit que je ne faisais plus de promotion sur mes programmes. Or là, comme on est vraiment sur quelque chose de très particulier, Avec un nouveau départ, une nouvelle lancée, le centième épisode, bref, il y a beaucoup de choses. J'avais quand même envie de fêter ça et j'avais quand même envie de vous faire ce beau cadeau, ce geste, avec une très belle promotion pour que vous puissiez avoir toutes les clés pour construire justement votre vie de rêve avec un corps et un mental qui vous soutiennent au quotidien. Parce que vous verrez à quel point ça fait toute la différence. Compte. Ils nous soutiennent et quand on n'est plus en lutte avec eux. Voilà. On est arrivé à la fin de cet épisode spécial. J'espère de tout cœur qu'il vous a plu. J'espère que vous saurez profiter de mes leçons de vie, de ce que j'ai appris. Certes, difficilement, dans la douleur parfois, mais au final, je me dis que tout ça, mine de rien, ça me permet déjà d'être très résiliente à la hauteur de mes 32 ans, bientôt 33 ans. Donc c'est déjà un très grand pas, mais aussi ça me permet de vous partager ça, de vous transmettre ça, pour éviter à vous aussi les mêmes erreurs que moi, pour vous faire gagner du temps, gagner de l'énergie. Bref, voilà, donc j'espère sincèrement que cet épisode vous aura plu. Et puis, d'ici là, prenez bien soin de vous. Et moi, je vous dis à très bientôt dans le prochain épisode.

Description

Depuis juillet 2020, j’ai enregistré 100 épisodes de ce podcast, quel parcours 🥹


Alors dans ce 100ème épisode qui est très spécial, je te partage les 10 leçons de vie essentielles que j'ai apprises au cours de ces 5 dernières années, et pour chacune, un conseil concret, si toi aussi tu vis ça aujourd’hui.


Et pour fêter le 100ème épisode et le nouveau compte Instagram que j'ai créé @myholiera, je t'ai préparé une belle surprise 💖


Je te laisse découvrir ça et te souhaite une agréable écoute 🥰


🎁 Découvre ton pack My Holi Reset à un tarif unique jusqu'au jeudi 3 juillet 23h59


⭐️ Le podcast te plait ? Dis le moi en laissant ta plus belle note sur ta plateforme d'écoute et en m'écrivant avis si tu es sur Spotify ou Apple Podcast, ça m'aidera vraiment à soutenir mon travail je te remercie !


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Tu me découvres ? Je suis Marina, et ici on mise sur un équilibre physique & mental durable, sans pression 💖

Ici, pas d’injonctions, juste des conseils bienveillants autour du bien-être global, du self-care, de l’alimentation sans frustration, la compréhension du corps, des émotions, du lifestyle...

Bref, tout ce qui te fait du bien pour de vrai 🫶🏻

Et quand je ne parle pas nutrition, selfcare et équilibre, tu me trouveras en train de regarder Buffy pour la 20ème fois, savourer une vraie pizza au feu de bois (ritale oblige 🤌🏼), acheter des trucs roses ou faire des papouilles à mes chats (#mamanchat) 🥰


Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

Transcription

  • Speaker #0

    La Parce que, comme vous pouvez le constater, sauf si vous n'avez pas fait attention, on est arrivé au centième épisode. Waouh, c'est passé tellement vite. Je me souviens encore en juillet 2020, je lançais ce podcast qui s'appelait Encore à votre pleine santé. Et nous voici donc presque cinq ans après avec le centième épisode. Et avec un nouveau nom, comme on l'avait déjà vu ensemble il y a quelques épisodes avant, mais surtout une nouvelle ère. Et je ne pense pas que ce soit une coïncidence que ce centième épisode tombe au moment où j'ai pris ce nouveau départ, et au contraire je pense que ça va marquer une vraie transition. Parce que durant ces cinq années, et cent épisodes plus tard, j'ai beaucoup évolué, j'ai énormément grandi. grâce à mes échecs, mes chutes, mais aussi avec mes victoires et mes apprentissages derrière chaque leçon de vie. Et justement, dans cet épisode très spécial, j'avais envie de faire les choses un petit peu différemment, de vous faire un épisode hors série entre guillemets et de vous partager 10 choses que j'aurais aimé savoir plus tôt. Et pour chacune d'elles, vous partager mon conseil pour celles qui vivent ça encore aujourd'hui. Et restez bien jusqu'à la fin, parce que pour fêter ça, parce que déjà d'une, ça se fête, sans épisode, c'est pas rien. D'ailleurs, on a dépassé les 500 000 téléchargements, enfin c'est énorme. Et en plus, et j'ai quand même oublié de vous annoncer ça, mais cette nouvelle ère dont je parle, certes, on l'a déjà passé sur le podcast en changeant de nom, mais j'ai enfin lancé le nouveau compte Instagram. Je vous avais dit que ma vie saine et moi allaient prendre fin. Et c'est le cas, donc j'ai enfin lancé le nouveau compte, le nouveau chapitre sur My Holy Era, voilà. Donc bon, je vous avais déjà donné un très gros morceau du nouveau nom avec le podcast In My Holy Era, et effectivement, Mavisenne et moi, c'est même pas que ça devient My Holy Era, c'est que ça prend fin et qu'il y a un nouveau chapitre qui commence avec My Holy Era, donc mon ère holistique. En gros, comme je vous l'avais expliqué dans l'épisode où je vous partage le pourquoi j'ai changé de nom, etc. Bref, donc le nouveau compte est lancé. Je vous invite à aller voir ce que j'y propose. J'ai déjà fait trois postes épinglés pour comprendre un petit peu ce nouveau départ, ce que vous allez retrouver ici. Mais par contre, je n'ai pas tout finalisé. Je n'ai pas attendu que tout soit parfait pour me lancer. Ça, c'était hyper important pour moi de ne plus rentrer dans ce truc du perfectionnisme, de l'autosabotage, de procrastiner en attendant que tout soit parfait. Donc, j'ai lancé le compte, malgré que je n'ai pas encore le nouveau site, que je n'ai pas de logo, que j'ai plein de choses à modifier, à ajuster, etc. C'est pas grave, voilà, je me suis lancée. Bon, et comme d'habitude, je me suis perdue dans mes paroles, à papoter à chaque fois. Donc ce que je vous disais, c'est que pour fêter ça, donc non seulement le centième épisode, mais aussi le lancement du compte Instagram MyHoliéra, je vous ai préparé une surprise pour celles qui veulent aussi prendre un nouveau départ pour leur corps, leur mental, leur bien-être et leur vie. Donc je vous partagerai ça à la fin et je vous propose de commencer dès maintenant l'épisode du jour, l'épisode spécial, avec la première chose que j'aurais aimé apprendre plus tôt. A savoir que le corps ne se contrôle pas, il s'écoute. Et d'ailleurs, j'en profite pour dire aussi que c'est pareil pour les émotions. Les émotions, ça ne se gère pas, ça s'écoute. Donc le corps, en fait, il est parfait. Il n'y a pas de bug, il n'y a pas de défaut à corriger. Le corps, il n'a rien contre nous, il ne fait rien pour nous embêter, nous... Vous freinez, vous pourrez à la vie ? Pas du tout, parce qu'on a tendance, quand on est dans une situation où on ne se sent pas très bien dans son corps, qui nous fait souffrir pour différentes raisons, c'est bien physique que mental. il a tendance à rentrer en lutte contre lui. Et le problème, c'est que lui, il fait ce qu'il peut pour maintenir un équilibre avec ce qu'il a, tout simplement. Et il a juste besoin qu'on l'écoute vraiment, qu'on arrête de lui imposer des choses en pensant qu'on sait mieux que lui. Quand je dis « on » , c'est pas forcément que nous qui vivons ce que nous vivons, mais aussi des fois avec certains professionnels qui pensent avoir mieux que le corps et qui veulent... contrôler le corps et le diriger de telle ou telle manière. Le corps lui a besoin qu'on lui apporte tout simplement ce dont il a besoin, voilà je me répète, mais pour pouvoir faire son job parce qu'il sait très bien le faire, c'est parfaitement pensé, tout est très très bien fait. Quand on comprend le corps humain et d'autant plus quand on en fait notre métier et qu'on va vraiment dans le détail de son fonctionnement et tout On voit à quel point tout est pensé, tout est parfait, tout est vraiment... J'ai pas d'autre mot que dire que c'est parfait en fait. Mais pour qu'il puisse justement fonctionner efficacement, qu'il se rééquilibre, etc., eh bien il doit avoir les bonnes ressources. Et c'est là le piège. Donc encore une fois, le corps ne se contrôle pas, il s'écoute. Et quand on commence enfin à l'écouter vraiment, eh bien c'est là qu'on peut lui apporter les bonnes ressources. Donc mon conseil, si toi qui m'écoutes... tu te sens concerné, plutôt que de chercher à dominer ou à contrôler ou à diriger ton corps, demande-toi chaque jour ce que tu peux faire pour l'écouter un peu mieux. Essaye d'être plus bienveillante envers lui et de te rappeler que là, ce qu'il est en train de faire, c'est de s'adapter. Il est en train de s'adapter avec les moyens et les ressources qu'il a à sa disposition aujourd'hui pour faire face à ce que tu traverses, ce que tu vis aujourd'hui. et ce que tu as vécu dans le passé. Mais bon, ça, on va y revenir, justement. La deuxième leçon que j'ai apprise durant ces cinq dernières années, c'est que les relations sont aussi importantes que votre hygiène de vie. Parce que je trouve qu'on sous-estime beaucoup trop l'impact de la vie sociale et des relations sociales sur notre vie, sur notre santé et notre humeur. Parce que oui, des relations pas saines, ça peut vraiment... nous détruire, mais à l'inverse, des relations saines peuvent elles nous nourrir, nous élever, nous aider à grandir. Et en fait, après mon burn-out, je me suis isolée pendant à peu près 2-3 ans, je voyais vraiment pas régulièrement mes amis, et ça c'est un truc que je vous déconseille très fortement. Parce que oui, il faut s'écouter quand on a besoin de solitude, quand on a besoin de se ressourcer. D'autant plus quand on est introverti comme moi, donc les introvertis c'est vraiment les personnes qui au contact des autres vont avoir vraiment l'énergie qui vont diminuer, là où les extravertis vont se nourrir de l'énergie sociale et tout ça. Bref, moi ce n'est pas mon cas, et ce qui fait qu'on a ce besoin, en fait on se sent vidé. Donc ok, ça c'est quelque chose qu'il faut comprendre une fois qu'on se connaît, d'où l'intérêt de se connaître. Mais on n'a pas besoin non plus de s'isoler, ni d'aller dans l'extrême et de faire des sorties tous les jours. Il y a un juste milieu, il y a un équilibre, et c'est là que se trouve la solution. Et personnellement, le fait de refaire des après-midi, des brunchs, des soirées-jeux, même des week-ends récemment entre copines, et bien mine de rien, ça m'a vraiment aidé à tenir, à me relever et à ne pas m'oublier. Donc oui, nourrir vos relations, c'est tout aussi important que de bien manger ou de bouger suffisamment au quotidien. Parce qu'en plus, on le sait depuis très longtemps maintenant que ça agit sur votre longévité, sur votre équilibre émotionnel et sur votre équilibre nerveux. Donc mon conseil, eh bien, fais de la place dans ton emploi du temps pour les relations qui te font du bien. C'est pas un luxe, c'est une ressource, c'est un besoin. On a besoin de connexion avec les autres et justement ce besoin-là fait partie de nos besoins profonds qu'on a tendance à vraiment minimiser ou carrément à même pas connaître en fait, ce qui fait qu'on va pas combler correctement ce besoin. La troisième chose que j'ai apprise et qui a vraiment été parmi d'autres leçons mais vraiment un très gros tournant, c'est qu'on ne peut pas séparer le corps, le mental, les émotions et le vécu. Parce que tout ça, donc quand je parle du vécu, c'est le vécu présent et le vécu passé, donc ce qu'on vit aujourd'hui, ce qu'on a vécu. Tout ça, c'est lié. On ne peut pas se couper en différents morceaux. On ne peut pas scinder le corps organe par organe ou fonction par fonction, parce que tout est connecté et tout fonctionne ensemble. Et ça, c'est un piège. C'est un piège qu'en naturopathie, on a dit de ne pas faire sur l'approche conventionnelle. Et parce que oui, en conventionnel, le symptôme, c'est le symptôme. Et on va rester sur un système, on va dire. D'ailleurs, il y a des médecins spécialisés pour chaque système. C'est très bien, ce n'est pas le sujet. Ce que je veux dire, c'est que c'est quelque chose qu'on a naturellement fait de séparer les différentes fonctions du corps. Donc dans la pratique, c'est sûr que oui, ça permet d'avoir des gens qui sont beaucoup plus... plus compétent, plus professionnel, plus poussé sur chaque domaine, on va dire. Mais pour l'avoir expérimenté, pour l'avoir vu, que ce soit dans mes études, dans ce que j'ai pu apprendre, dans ce que j'ai pu voir aussi, en discutant avec des collègues, en voyant ce qui se passe aussi sur les réseaux et autres, c'est qu'au final, même dans une approche qui se veut holistique type naturopathie, eh bien en fait, on n'a pas du tout appliqué ça. Et on s'est retrouvés à vouloir... justement diviser l'être humain en plusieurs parties. Ce qui fait qu'on s'intéresse beaucoup au corps, donc au physique et au physiologique, là où on ne s'intéresse pas ou peu, mais bon en général c'est quasiment pas du tout, à la partie justement du vécu et des émotions. Et c'est ça qui fait que d'ailleurs je ne me reconnaissais plus du tout dans l'approche de la naturopathie. Bref. Parce que tout est directement influencé par notre esprit, par notre vie, par nos relations, par nos expériences. Et quand je dis tout, c'est tout, notre corps, nos fonctions, nos organes, tout. Tout fonctionne ensemble. Et le lien entre le corps et le mental, et quand je dis le mental, c'est également avec le... Comment dire ça ? L'environnement, ce qu'on traverse, ce qui passe par notre esprit, ce qu'on va vivre et tout ça. Eh bien, ça a été largement prouvé depuis déjà le siècle dernier. Donc c'est dire quand même, c'est pas nouveau, c'est pas la révélation de l'année. Non, non, ça fait déjà depuis le siècle dernier qu'on le sait. Sauf que la différence est qu'aujourd'hui, on sait l'expliquer. Parce qu'on sait que le pont entre tout ça, justement, entre le corps, l'esprit, les relations sociales, les expériences de vie, etc. Ce qui fait le pont, c'est le système nerveux. C'est pour ça qu'on en entend de plus en plus parler. C'est pour ça que personnellement, j'en parlais déjà, je crois c'était en 2018, que je faisais l'article là-dessus, sur le blog, à l'époque il n'y avait pas le podcast, et que j'en ai parlé également plusieurs fois en 2020, notamment quand le docteur David O'Hare est intervenu. Bref, c'est pour ça que c'est un pilier clé de notre bien-être global, et que j'en ai fait d'ailleurs le fil conducteur dans la méthode Omen Gut. Au mind, mind, il vient pour le système nerveux justement. Donc pour toi qui m'écoutes, mon conseil c'est ne cherche pas à séparer les symptômes physiques de tes émotions et du reste de ta vie. Même tes symptômes physiques, n'essaye pas de les séparer un à un et de collectionner les diagnostics et les symptômes. Non, pose-toi la question, qu'est-ce que mon corps traverse ? Qu'est-ce que je vis à côté ? Quand il se passe quelque chose, essaye de voir autour de toi qu'est-ce qui a pu se passer, est-ce qu'il y avait des émotions récurrentes, est-ce qu'il y avait des conflits, est-ce qu'il y avait quelque chose qui se passe. Et des fois, quand ça fait des années que justement on traverse quelque chose, oui forcément les symptômes deviennent chroniques, même s'il n'y a pas de facteur vraiment hyper facile à distinguer, que ce n'est pas hyper clair, mais en général... ça remonte justement, ça remonte et ça revient à ce que j'expliquais avec cette histoire de vécu. En général, c'est que c'était dans le passé et que le corps n'arrive toujours pas à se rééquilibrer dans le présent à cause de tout ce qui a été vécu dans le passé. Voilà. Alors, quatrième leçon apprise, c'est que ce n'est pas parce qu'on aime ce qu'on fait. qu'on doit le faire gratuitement. Et ce n'est certainement pas parce qu'on travaille dans le bien-être ou la santé qu'on doit tout donner, tout le temps, sans poser de cadres et de limites. Parce que pour ma part, j'ai très longtemps mis mon activité au service des autres, sans poser de limites, sans dire non, bref, sans me respecter. Et j'ai laissé certaines personnes me faire croire que mes tarifs étaient, je cite, trop élevés. que, je cite, ça ne se faisait pas de monétiser ou de se faire de l'argent dans le milieu de la santé et du bien-être. Et j'ai compris à mes dépens, évidemment, c'est toujours comme ça qu'on apprend les choses, que les likes, la reconnaissance, les partages ne payent pas les factures. Et à force de créer du contenu gratuit, d'avoir ce réflexe de « je veux aider tout le monde » , ce qui est très souvent le cas chez une personne, qui fait un travail dans le bien-être et la santé, eh ben j'ai fini par m'oublier moi. Et on ne peut pas aider les autres durablement quand on est soi-même sous pression financière derrière. Alors faire les choses avec le cœur, oui, pour moi c'est juste obligatoire, c'est ce qui m'anime, mais pas au point d'y laisser sa sécurité. Et dans la sécurité, on retrouve la sécurité financière, la sécurité de pouvoir s'acheter à manger, de pouvoir... payer son loyer, toutes ces choses-là. Alors on a le droit d'aimer ce qu'on fait, on a le droit d'y mettre du sens, tout en étant rémunéré à la hauteur de ce qu'on apporte. Donc mon conseil, si tu te reconnais là-dedans, ne confonds pas gentillesse, passion et sacrifice. Parce que ta générosité mérite malgré tout un cadre, et ton travail mérite d'être payé, d'être rémunéré. à sa juste valeur. Et là où encore certaines pensent que c'est trop égoïste justement de se faire rémunérer dans un travail, dans un milieu du bien-être, en fait je me dis pourquoi ? Sachant qu'il n'y a aucun mal à se faire rémunérer dans un travail qui nous plaît pas ou dans un travail alimentaire ou dans un travail autre en fait que dans le milieu du bien-être. Ça nous semble complètement normal d'être rémunérés pour notre travail, et ça nous semble aussi normal que les personnes soient rémunérées pour le travail qu'elles fournissent. Alors pourquoi ça serait différent quand on travaille dans le bien-être ? Je dirais même que c'est encore plus important, sachant que c'est un métier qui va apporter justement du bien et de l'utilité. Je dis pas que les autres sont inutiles, c'est pas du tout ce que je dis. C'est juste que... C'est pas parce qu'on est utile et qu'on sert les autres qu'on doit le faire bénévolement, en fait. C'est surtout ça. Et un très bon exemple, pour moi, ce sont toutes ces femmes, je pense notamment beaucoup aux infirmières, aux auxiliaires de vie, à toutes celles qui travaillent dans l'aide à la personne et dans la santé, comme ça. Combien font des burn-out ? Combien ont dû arrêter parce que... parce que justement elles n'étaient pas rémunérées à la hauteur de leur travail et du sacrifice que ça impliquait derrière, alors que justement ce sont ces personnes-là qui devraient avoir un salaire beaucoup plus valorisé par rapport à l'utilité qu'elles apportent dans la société. Voilà, en tout cas c'est mon point de vue. Maintenant passons à la cinquième chose que j'ai appris durant ces dernières années. C'est le fait que de ralentir, c'est avancer autrement. C'est pas perdre du temps, comme on pourrait le croire. Et je rajouterais même que ralentir, ce n'est pas être faible. Attention, parce que ça, on peut vraiment penser comme ça. Et pas du tout. En fait, justement, ralentir, c'est éviter de perdre encore plus de temps en fonçant droit, mais directement droit dans le mur de l'épuisement. à vouloir tout enchaîner, tout faire, être productive non-stop, personnellement, j'ai fini par m'effondrer deux fois. Burnout 2019, rechute burnout 2021. Et c'est là, en fait, que j'ai compris que la clé pour aller loin et pour tenir dans la durée, c'était certainement pas la tendance du hustle, donc le combat, la détermination, le truc en mode énergie masculine, allez, on... On défonce tout, on y va, on y va, allez c'est parti ! Voilà, non ? Mais c'est plutôt l'écoute, le repos, et le respect de nos émotions, de nos besoins profonds, etc. De toute façon, ça va ensemble, les émotions et les besoins profonds. Parce que sans énergie, quand on est débordé, quand on est à bout, eh ben on n'avance pas. Ou alors, on peut avancer pendant un temps, mais on va dans tous les sens. On s'éparpille, on avance sans clarté, et c'est ça en fait qui est vraiment... contre-productif et une vraie perte de temps. Donc ralentir, c'est pas un luxe, c'est une stratégie, entre guillemets, pour voir sur le long terme. Donc mon conseil, si tu n'arrives pas à ralentir, sans culpabiliser, eh bien si ton corps réclame une pause, s'il te plaît, écoute-le. Tu vas pas perdre de temps, tu vas justement te ressourcer un petit peu, donner à ton corps ce qu'il attend de toi, donc là par exemple, du repos. pour te permettre d'avancer mieux et plus longtemps, parce que justement tu te seras respecté et tu auras écouté ton corps. Parce que crois-moi, quand ton corps et ton mental ne suivent plus, c'est là que tu perds énormément de temps pour l'avoir vécu. Donc autorise-toi davantage à ralentir et sans culpabiliser. Dis-toi que c'est un bien pour toi, pour tes projets, pour la vie que tu as envie de mener, pour la vie que tu as envie de créer, tout simplement. Et ça rejoint un petit peu la sixième chose que j'ai retenue. Pareil, c'était long et c'est un petit peu logique après avoir vécu de burn-out, il était temps quand même, c'est qu'il faut savoir se ressourcer autant qu'on donne. Parce que on donne, on donne, on donne, et derrière, on oublie de remplir notre propre réservoir. On traverse des périodes de stress, de rush, on s'occupe des autres, on bosse dur, mais derrière, on ne prend jamais le temps de récupérer à la hauteur de ce qu'on a dépensé comme... énergie. Et c'est comme ça qu'on finit en déséquilibre chronique parce que nos besoins n'ont pas été écoutés ni respectés. Donc, prenez l'exemple, et c'est d'ailleurs l'exemple qu'avait donné le docteur David O'Hare quand il était intervenu pour parler de des déséquilibres au niveau du système nerveux en 2020. Si vous dépensez tout votre argent et qu'en parallèle, vous n'avez aucune entrée financière. Alors, avec un peu de chance, vous tiendrez quelques temps ... Si vous avez des économies. Mais au bout d'un moment, vous allez vous retrouver endetté. Et c'est exactement la même chose avec vous. Il faut du repos et des ressources à la hauteur de vos efforts et de ce que vous dépensez comme énergie. Et pas seulement pendant 3-5 semaines de vacances par an. C'est quoi 5 semaines de vacances par an sur une année ? Je sais pas si vous vous rendez compte. Non, ce qu'il faut, c'est un vrai équilibre quotidien entre l'énergie que vous dépensez avec les aléas du quotidien, etc. Et les choses qui viennent vous nourrir, vous recharger à chaque niveau, donc physique, mental, social, émotionnel, etc. Donc, mon conseil, toi qui m'écoutes, s'il te plaît, pose-toi régulièrement la question qu'est-ce que je fais pour moi, pour me nourrir et pas juste pour performer ? Parce que oui, ça va être ça, le petit piège, et ça va être ça la différence. C'est que dans les deux cas, il y aura du « faire » . Mais d'un côté, on a « faire » pour les autres, « faire » pour performer, « faire » pour s'adapter, « faire » pour voilà. Et de l'autre côté, dans les ressources, ça va être « faire » pour se nourrir. Donc le « faire » , comme je disais, nourrir les relations sociales, par exemple, aller voir des amis. Ça peut être tout simplement de s'écouter quand on a besoin de faire une sieste. prendre un petit peu de temps pour ralentir, etc. Ça peut être d'éviter de scroller sur le téléphone pour faire une pause et à la place, pourquoi pas, je sais pas, lire un livre si c'est ce que vous aimez, faire un jeu type sudoku, mots fléchés ou n'importe, ça va faire une petite pause sur le mental. Ça peut être de faire du coloriage, ça peut être d'aller marcher, voilà. Mais juste, en fait, il y a le faire qui va vous nourrir derrière. qui va vous nourrir vous, et qui n'a pas un but derrière de performer ou d'atteindre je ne sais quoi. Donc en gros, pensez à vous remplir autant que vous dépensez en termes d'énergie, avant de finir complètement vidé, tout simplement. Passons maintenant à la septième leçon, c'est que l'équilibre se trouve entre la pression de... tout faire parfaitement et le je m'en fous complet. Le total laxisme. Parce que j'ai eu une phase où tout était contrôlé. J'avais pas d'alimentation industrielle. J'étais quand même très impliquée dans le zéro déchet, donc pas de pas d'emballage, rien du tout. J'étais dans une démarche, même pour la décoration et tout, de minimalisme total. Bref, je m'étais mise une pression de dingue pour être parfaite dans tous les domaines. Pour être une bonne personne, pour être une bonne citoyenne, pour être une bonne élève, en gros. Et en réalité, j'ai compris que l'équilibre ne se trouvait justement pas dans cet hyper contrôle. Il ne se trouvait pas non plus dans le fait de, bah, on s'en fout de tout parce qu'il y a des choses qui sont importantes, ça, il n'y a aucun doute là-dessus. Maintenant, en fait, L'idée, c'est d'aller dans le juste milieu, c'est-à-dire dans un mode de vie, une façon de faire plus réaliste, même si c'est imparfait, mais au moins c'est fluide et ça dure dans le temps. Parce que c'est plus important à mon sens aujourd'hui de faire de son mieux sans se rajouter derrière une couche de culpabilité à chaque écart ou imperfection en fait. Et pour reprendre mon exemple, donc l'alimentation brute, vraiment pas de trucs industriels, machin, très... Surtout pas, il fallait surtout pas m'intoxiquer quoi, entre guillemets bien entendu. Du coup j'étais... Je vous l'avais dit, je suis tombée dans l'orthorexie, clairement. Et ça ne m'a pas empêché de tomber malade, ça ne m'a pas empêché de faire des dépressions, d'avoir des déséquilibres en haut, bref. Ça ne m'a pas empêché tout ça. On pourrait croire que oui, mais pas du tout. Donc ça c'était un premier exemple. Deuxième exemple pour le mode de vie plutôt. Et les convictions, ça va être justement le zéro déchet et le minimalisme. Alors déjà le zéro déchet. Dans la démarche écologique, bien entendu. Démarche écologique que j'ai toujours. Moi, je suis quelqu'un, j'ai été éduquée comme ça. C'est des valeurs qui sont importantes pour moi. Le respect du vivant, en fait. Le respect de la nature, le respect de l'humain, le respect des animaux. Pour moi, c'est des choses... Enfin, ça fait partie de moi, j'ai été élevée comme ça. Donc, c'est clairement dans mon ADN. Maintenant, de devoir être parfaite à tout point sur tout ça, j'ai accepté de ne plus être parfaite, justement. Et de faire au maximum à mon niveau. D'autant plus que, comme je crois que je l'avais déjà dit dans un épisode de podcast, mais je ne sais plus lequel, sûrement un chitchat, où je vous expliquais qu'en fait, quand on comprend d'un point de vue écologique, que les vrais dangers et les vraies sources de problèmes écologiques, ce sont les grosses industries, les gros pollueurs, enfin toutes ces grosses compagnies, qui ne changent rien au final. et qu'on a essayé de nous mettre la pression et la culpabilité sur nous, chaque personne citoyenne, à faire zéro déchet, surtout pas d'emballage plastique, surtout pas de ci, surtout pas de ça, alors qu'en réalité, c'est complètement faux. En réalité, c'est complètement faux, c'est pas nous qui portons le poids de ce qui se passe au niveau écologique aujourd'hui. Maintenant, ce n'est pas une raison, en tout cas pour moi, ce n'est pas une raison pour laquelle j'irais me dire « je m'en fous complètement » . Pas du tout, comme j'ai dit, pour moi c'est important, donc je respecte, je trie mes déchets, j'achète quand c'est possible d'acheter sans emballage, je fais sans emballage, mais maintenant je ne veux pas non plus me priver d'un certain confort quotidien, notamment dans mon alimentation, quand je dois prendre des choses où il y a du plastique, si je veux prendre des légumes ou des fruits surgelés, parce que c'est beaucoup plus pratique, ils tiennent dans le temps, ils ne s'abîment pas, au contraire. Ils ont une très bonne valeur nutritionnelle, au moins je sais que j'en ai toujours au congélateur. Voilà, c'est des choses comme ça qui me servent pour mon bien-être et ma praticité, donc déjà pour mon alimentation au quotidien. Mais avant, je me l'interdisais parce qu'emballer dans du plastique, en fait. Emballer, tout court en fait. Voilà, donc c'est un choix que j'ai fait pour ma part. Maintenant, sur plein de choses, je fais attention, je sais qu'au niveau des produits, j'utilise des choses qui respectent l'environnement, je fais très attention Ausha de ces trucs-là. Dans la mesure où ça ne me met pas une pression et ça ne me met pas non plus une charge extrêmement lourde au quotidien. Et pareil dans cette histoire de minimalisme. Il y a des choses qui sont complètement naturelles aujourd'hui pour moi. Je n'ai pas besoin d'avoir un milliard de vêtements, un milliard de chaussures, d'accessoires ou que sais-je. Je vais être assez minimaliste là-dedans. Parce que dans une démarche de ne pas aider à la surconsommation, tout simplement, mais ça c'est quelque chose que je pratique dans beaucoup de choses, maintenant je vais pas non plus m'interdire des choses que j'aimerais me prendre parce que ça me fait plaisir, parce que ça me fait du bien, parce que c'est efficace ou quoi, juste parce que c'est pas minimaliste et que quelqu'un a décidé qu'il fallait juste 3 produits pour les cosmétiques ou pour je ne sais quoi. Non, voilà, c'est vraiment, pour moi c'est un équilibre à trouver. pour chaque personne. Et pareil, dans la déco, il y en a pour qui, ben, elles sont heureuses comme ça. Moi, je suis quelqu'un de très artistique, de très créative. J'aime les couleurs, j'aime la belle décoration, j'aime l'art, en fait. Et avoir un chez-moi complètement vide, avec très peu de déco, en mode tout beige et tout ça, pour moi, c'est impossible. Vraiment, c'est quelque chose qui m'éteint littéralement au niveau de mon âme, quoi. Donc, c'est pour ça que c'est quelque chose à trouver, c'est un équilibre à trouver pour chaque personne. dont La mesure où ça ne vous met pas de pression. Donc en fait, c'est ça, c'est ne pas être dans la pression et cette charge, parce que la société et le monde dans lequel on vit nous met déjà suffisamment de poids sur les épaules pour qu'on s'en rajoute à vouloir être la bonne élève dans tous les domaines. Maintenant, on n'est pas non plus obligé de tomber dans le laxisme et de je m'en fous, et on n'a plus du tout de conviction, et on les applique plus du tout. Pour moi, il y a un juste milieu qui existe. Voilà, c'est la leçon en tout cas que j'ai appris durant ces cinq dernières années. Alors mon conseil, c'est ne visez pas la perfection. Visez ce qui est tenable, ce qui est accessible, ce qui est fluide pour vous au quotidien. On arrive à la fin, donc il n'en reste plus que trois. On a déjà une demi-heure d'épisode. Donc la huitième chose que j'ai appris, c'est que le bien-être ne doit jamais devenir une nouvelle injonction. Ça rejoint un petit peu ce que je viens de dire juste avant, et de toute façon vous verrez que chaque chose un petit peu, pas toutes, mais souvent ça se rejoint et c'est assez logique en même temps. Concernant celle-ci, c'est parce qu'en fait j'ai vu et j'ai vécu ce truc que la quête du bien-être devient un nouveau stress. Vouloir tout faire, tout tester, tout réussir pour retrouver sa santé ou alors pour ne pas la perdre. Mais à force de se mettre la pression pour bien faire, c'est pour ça que je vous ai dit que ça rejoint le point d'avant, en fait là le bien-être perd complètement son sens. Parce que ça devient une nouvelle injonction et une nouvelle source de culpabilité. Et c'est pour ça que personnellement je suis sortie de ces approches de clean girl, de healthy life, parce que l'hyper contrôle dans la quête de perfection pour avoir un corps... pur ou un environnement pur, bref, n'importe, bah non merci personnellement. Parce que moi je veux pas proposer une énième approche où tout est contrôlé, calculé, hyper rigide millimétré, bref. Moi je veux que le bien-être ça reste un espace de liberté de plaisir et pas un genre de prison dorée en gros. Mon conseil, alléger, simplifier faites le tri entre ce qui vous nourrit vraiment dans ce que vous voyez au niveau du bien-être, etc. et ce que vous faites par peur de mal faire. Parce que si vous faites justement par peur de mal faire, par peur d'être malade, par peur, quand c'est la peur qui vous dirige, il y a un problème. Et là, le bien-être ne devient pas le bien-être, mais une source de mal-être. Donc attention à ce piège-là dans lequel je suis tombée et dans lequel je sais que beaucoup de personnes tombent également. La neuvième chose, c'est que ce qu'on traverse forge notre résilience. Alors oui, mes blessures, mes traumas, mes douleurs, mes soucis de santé, c'est pas ce que j'aurais choisi, clairement, on va pas se mentir. Mais je sais aussi que sans ça, je serais pas qui je suis aujourd'hui. Parce que j'ai compris quelque chose, c'est que c'est dans le chaos qu'on apprend de manière forcée, je vous l'accorde. à se reconstruire. C'est quand tout s'écroule qu'on peut rebâtir plus solidement. C'est quand on chute qu'on apprend à se relever après les obstacles et à comprendre leur message. Alors oui, je ne vais pas le nier, c'était très difficile. Je me suis écroulée, je me suis effondrée. Mais c'est ce qui m'a permis aujourd'hui de me connaître, de connaître mon corps, de connaître mes émotions, de m'écouter, de savoir ce que je veux vraiment. De poser des limites, de ralentir, de dire non. Et aujourd'hui, c'est ce qui m'a permis d'avoir une base solide, d'avoir une vraie sécurité intérieure, et une mission de vie qui m'anime au plus profond de moi, et avec lequel je me sens alignée. Et c'est grâce à ça, grâce à tout ça, que... J'ai en moi et j'ai entre les mains les ressources pour aller au bout de mes rêves justement et au bout de ces objectifs, de ces projets qui m'animent en fait. Alors oui, les épreuves laissent des traces, mais ce que vous vivez aujourd'hui vous prépare à autre chose. Et vous pouvez transformer ça justement en force, en fondation et en nouvelle direction. Donc mon conseil, c'est que... Ce n'est pas ce que vous avez vécu qui vous définit, mais c'est ce que vous choisissez d'en faire. Et pour terminer, le dixième point, la dixième leçon de vie, et celle-là aussi, de toute façon, toutes les leçons, je les ai apprises à mes dépens. Comme je viens de le dire, c'est dans le chaos qu'on apprend. Voilà, c'est exactement ça. Aucune hygiène de vie. aussi parfaite soit-elle, ne suffira quand on est en insécurité. Vous pouvez avoir l'alimentation parfaite, faire du sport, méditer, faire du yoga, bref tout ce que vous voulez. Si votre corps se sent en insécurité constante, rien ne tiendra parce que les fondations sont trop fragiles, instables. Et c'est pourquoi il faut d'abord reconstruire un socle solide, comprendre son corps. Ses émotions, ses besoins profonds. Faire une thérapie pour partir sur une base neuve, sans le gros bagage lourd là derrière, avec toutes les croyances, tous les schémas, tout ça qui nous freine au quotidien. Apporter à votre corps ce dont il a besoin pour bien fonctionner. Puis, enfin, quand on a tout ça, nourrir cet équilibre quotidiennement, avec des habitudes simples, réalistes. par un bien-être et un lifestyle, un mode de vie soutenant au quotidien. Donc mon conseil pour ça, bâtissez des fondations solides, parce que ce sont elles qui vont rendre vos efforts que vous faites au quotidien réellement efficaces. Parce que c'est ça la base de tout. Et justement, avec My Holy Reset, j'ai voulu vous proposer ce socle, un vrai reset pour poser les bonnes bases. Parce que vous aussi, vous méritez de construire la vie que vous rêvez. My Holy Reset, c'est un pack que je vous ai préparé et que je vous propose à tarif exceptionnel jusqu'au jeudi 3 juillet 2025 pour poser enfin les fondations d'un bien-être physique et mental qui vous soutient vraiment. Alors, dans ce pack, vous retrouverez bien entendu Oman Gut, qui est aujourd'hui le programme signature, pour comprendre ce qui vous a maintenu en mode survie et en suradaptation tout ce temps, toutes ces années, pour apprendre à écouter les signaux de votre corps et vos besoins et pour appliquer des outils doux mais efficaces et réalistes pour retrouver votre énergie, votre clarté mentale, une digestion apaisée et une sérénité émotionnelle. Vous aurez également dans ce pack Wonderfood pour apprendre à manger de façon équilibrée. sans pression ni charge mentale, pour préparer des repas simples, rapides et savoureux, et pour retrouver du plaisir à manger sans vous perdre dans les injonctions, dans les règles et les conseils contradictoires. Alors, si vous sentez, vous aussi, que c'est le moment de poser les bases d'un nouveau chapitre, pour votre corps, votre esprit, votre énergie et votre vie, que vous souhaitez retrouver ou créer un bien-être durable, sans pression, et qui vous soutient dans votre vraie vie, eh bien offrez-vous le pack My Holy Reset. Un vrai cadeau pour vous-même. Je vous ai mis le lien juste en dessous dans la description et j'espère très sincèrement que ce pack vous aidera dans votre Holy Era, vous aussi. Parce que normalement, j'avais dit que je ne faisais plus de promotion sur mes programmes. Or là, comme on est vraiment sur quelque chose de très particulier, Avec un nouveau départ, une nouvelle lancée, le centième épisode, bref, il y a beaucoup de choses. J'avais quand même envie de fêter ça et j'avais quand même envie de vous faire ce beau cadeau, ce geste, avec une très belle promotion pour que vous puissiez avoir toutes les clés pour construire justement votre vie de rêve avec un corps et un mental qui vous soutiennent au quotidien. Parce que vous verrez à quel point ça fait toute la différence. Compte. Ils nous soutiennent et quand on n'est plus en lutte avec eux. Voilà. On est arrivé à la fin de cet épisode spécial. J'espère de tout cœur qu'il vous a plu. J'espère que vous saurez profiter de mes leçons de vie, de ce que j'ai appris. Certes, difficilement, dans la douleur parfois, mais au final, je me dis que tout ça, mine de rien, ça me permet déjà d'être très résiliente à la hauteur de mes 32 ans, bientôt 33 ans. Donc c'est déjà un très grand pas, mais aussi ça me permet de vous partager ça, de vous transmettre ça, pour éviter à vous aussi les mêmes erreurs que moi, pour vous faire gagner du temps, gagner de l'énergie. Bref, voilà, donc j'espère sincèrement que cet épisode vous aura plu. Et puis, d'ici là, prenez bien soin de vous. Et moi, je vous dis à très bientôt dans le prochain épisode.

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