Speaker #0Ouh ah, Alors peut-être que vous faites des efforts pour mieux manger, vous testez des astuces que vous avez vues sur les réseaux, sur les blogs, vous avez même testé des protocoles vus des diététiciens, des naturopathes, des nutritionnistes, des médecins bien entendu, et peut-être même que vous avez testé ces fameux régimes avec des évictions alimentaires. Et pourtant, votre ventre continue de crier à l'aide, donc avec des ballonnements, des gaz, des reflux, des lourdeurs après le repas. Un syndrome de l'intestin irritable, une gêne sous les côtes, bref, vous avez cette impression que quelque chose ne va pas. Et bah, laissez-moi tout vous expliquer. Alors tout d'abord, qu'est-ce que c'est que cette hypochloridrie ? Ce trouble bien courant et pourtant trop souvent ignoré. En fait, l'hypochloridrie, ça désigne un niveau d'acide chlorhydrique, donc qui est dans le liquide gastrique au niveau de l'estomac, qui est bas, voire inexistant. Et dans ce cas, on va parler même d'achloridrie. Et ce qui va se passer, c'est que le pH de l'estomac durant la digestion va être supérieur à 3, ce qui fait que ça va être pas suffisamment acide. Et le problème, c'est que cette défaillance en acidité gastrique, elle est souvent invisible, mais elle peut entraîner de grands problèmes digestifs. L'acide gastrique, justement, c'est un petit peu le starter de votre digestion, parce qu'il va vous permettre de décomposer les protéines, de désinfecter l'estomac, notamment ça a une très bonne barrière contre les bactéries, les parasites, etc. Ça permet aussi de stimuler la production de bile et d'enzymes et de préparer l'intestin grêle à la sécrétion d'enzymes digestifs pour bien assimiler les nutriments. Mais quand cet acide est insuffisant, les conséquences vont s'accumuler. Donc voici quelques symptômes typiques d'une hypochloridrie. Vous pouvez ressentir des ballonnements ou le ventre gonflé, des lourdeurs après les repas, une sensation de « bouchon » dans le haut de l'abdomen. des reflux acides, ce qui peut être paradoxal parce que c'est possible effectivement même avec peu d'acide. Vous pouvez rencontrer des gaz, des flatulences, une mauvaise haleine, une fatigue digestive, une constipation et ou des diarrhées, et également des aliments qui vont être mal digérés, que vous allez retrouver dans les selles. Mais c'est pas tout, parce que l'hypochloridrie c'est aussi une porte d'entrée vers d'autres déséquilibres, parce que ce manque d'acide dans l'estomac ne va pas rester sans conséquence. au-delà des symptômes qu'on a pu énumérer juste avant, ça peut entraîner à moyen-long terme, comme je vous l'avais dit, des reflux acides, paradoxalement causés par un manque d'acidité, dans la mesure où l'acide chlorhydrique joue un rôle clé dans le tonus du cardia, donc c'est un petit muscle qui sépare l'estomac de l'œsophage, et quand il y en a trop peu, ce sphincter va rester entrouvert. Et forcément, le peu d'acide présent va remonter et vous brûler. Donc oui, ça peut sembler ironique, mais c'est comme ça. et malheureusement le reflux qu'on va traiter trop souvent comme un excès, et en réalité c'est un défaut d'acidité, c'est un manque d'acidité à la base. Ça va provoquer également des carences nutritionnelles, parce que sans une acidité suffisante, le corps va mal assimiler certains nutriments. Donc même avec une alimentation équilibrée, vous pouvez vous retrouver carencés en fer, en zinc, en calcium, mais également en vitamine B12, B6, A, D, E, ou encore en acide gras essentiel. Et vous pouvez bien entendu ressentir donc une fatigue qui va être persistante, vous pouvez avoir des problèmes de peau, des ongles fragiles, un mental qui va être en dramsie, etc. Et les conséquences ne s'arrêtent pas là, parce que forcément, ça va avoir aussi un impact au niveau du microbiote. Dans la mesure où l'estomac est censé être un milieu très acide, à la base il est donc très peu colonisé. Mais en cas d'hypocloridrie, on a certaines bactéries ou levures, qui vont s'installer ou proliférer, parce que oui, malgré tout, il y a un microbiote gastrique, juste il va être différent, il est adapté à ce pH très acide. Sauf que là, voilà, celles qui sont naturellement présentes, notamment le fameux Helicobacter pylori, peuvent proliférer. Alors certes, ça va être au niveau gastrique, mais aussi au niveau intestinal. Et on a plusieurs études qui ont montré que la déficience en acide chlorhydrique, ou sa suppression par l'usage, vous savez, des fameuses IPP, va provoquer une surpopulation bactérienne et fongique, donc au niveau des champignons, des levures, au niveau des intestins. Et en ce qui concerne cette fameuse bactérie Helicobacter pylori, ou encore le fameux champignon Candida albican qui est réputé pour la candidose, Ils ne sont absolument pas nos ennemis. Bien au contraire, ils ont un rôle très bénéfique, d'où leur présence naturelle dans notre microbiote. Maintenant, leur prolifération, elle, n'est que le résultat d'un déséquilibre interne, mais certainement pas la cause de ce déséquilibre. Et ce qui va se passer également, c'est que lorsque les aliments vont stagner, ils vont être mal digérés, et bien ils vont fermenter. Donc ça va produire des toxines, créer de la pression, des gaz, et ça va finir par irriter les parois de l'intestin. Et donc c'est souvent à ce stade que le syndrome de l'intestin irritable va se manifester. On va retrouver donc un inconfort permanent, des spasmes, des troubles du transit, et une hypersensibilité digestive. Et aujourd'hui, on sait grâce aux recherches que l'hypochloridrie est une cause sous-jacente majeure du SIBO, donc de la dysbiose, et de ce fait également du fameux intestin irritable, parce que si beau et intestins irritables ont été reliés. Et pour terminer, la barrière intestinale, une fois abîmée, elle va laisser passer des toxines et des protéines partiellement digérées au niveau de la circulation sanguine. Donc ce qui va se passer, c'est que votre système immunitaire va s'emballer, on va se retrouver avec une fatigue chronique, des réactions inflammatoires, des intolérances, des nouvelles allergies alimentaires, voire des crises d'asthme chez certains profils beaucoup plus sensibles. Et ce n'est pas une... théorie parce qu'on a plusieurs études anciennes et récentes qui ont montré des liens directs entre l'hypochloridrie et l'asthme, les allergies alimentaires, les dérèglements immunitaires, voire des risques accrus de troubles plus profonds si le terrain reste fragilisé trop longtemps. Alors concrètement, comment savoir si on a une hypochloridrie ? Le problème justement avec l'hypochloridrie, c'est qu'elle est bien trop souvent mal diagnostiquée car les sensations d'acidité ou de brûlure peuvent prêter à confusion. Et d'ailleurs, il y a des médecins qui disent que ça n'existe pas, qu'ils ne croient pas en l'hypochloridrie, quand j'ai des clientes qui vont les voir pour justement demander des examens, donc on leur dit ça. Heureusement, tous les médecins ne sont pas comme ça, parce que s'ils regardaient un minimum d'études scientifiques, dont certaines qui datent déjà depuis les années 80-90 sur le sujet, sauraient que non, ce n'est pas quelque chose de nouveau. Ce n'est pas quelque chose de fou ou d'inexistant, c'est bien réel. Il y a des études sérieuses et multiples sur le sujet. Mais peut-être que vous trouverez un médecin qui est totalement ouvert à ça et qui pourra vous passer des tests médicaux. Donc je vais vous faire une liste de ceux qui sont reconnus, en tout cas quand j'ai pu faire mes recherches là-dessus. Après n'hésitez pas à aller lire l'article en lien avec cet épisode qui vous permettra d'avoir le nom exact de ces examens. Donc on va avoir la mesure des anticorps antipariétaux et des antifacteurs intrinsèques, une biopsie de l'estomac, un contrôle du pH gastrique. On va pouvoir aussi mesurer les taux de pepsinogène sérique, les taux de gastrine sérique, ou encore les tests de détection de l'infection par Helicobacter pylori, sachant que Helicobacter pylori ne peut proliférer que dans des milieux qui ne sont pas suffisamment acides. Ensuite, un autre test, ça va être le test à la... bétaine HCL. Donc vous allez prendre une capsule de bétaine HCL après les premières bouchées d'un repas et si vous ne sentez pas de brûlure au niveau de l'estomac, au niveau de l'œsophage dans les 30 minutes qui suivent l'ingestion de la capsule, ça indique probablement que vous avez besoin d'un apport supplémentaire en acide chlorhydrique et donc très probablement que vous avez une hypochlorhydrique. Par contre si vous ressentez une sensation de brûlure dans les 30 minutes, ça signifie que vous n'en avez pas besoin et donc potentiellement que votre taux d'acide chlorhydrique est normal. Alors il faut savoir que cette sensation de brûlure, si c'est votre cas, peut être soulagée en buvant 2 cuillères à café de bicarbonate de soude dans un verre d'eau pour neutraliser l'excès d'acide. Par contre, je précise que ce test est contre-indiqué chez les femmes enceintes ou allaitantes, ainsi qu'en cas d'ulcère gastrique ou duodénale, ou encore avec la prise des traitements suivants, donc les anti-inflammatoires, les antihistaminiques de type H2, ou encore les IPP, donc les inhibiteurs de la pompe à proton. C'est pourquoi je préfère personnellement un test qui est... hyper simple, à savoir le test au bicarbonate de soude, parce qu'en plus il est peu coûteux et il permet de voir si notre taux d'acide chlorhydrique est suffisant ou trop bas. Donc pour le réaliser, vous aurez besoin le matin à jeun de prendre une cuillère à café de bicarbonate de soude, une demi cuillère à café maximum si vous avez subi une sylve ou un rétrécissement de l'estomac, et vous mélangez ça dans un verre d'eau de 25 centilitres à peu près à température ambiante. Certainement pas chauffée et certainement pas froide. Ensuite vous buvez tranquillement ce verre sans précipitation, parce que sinon vous pouvez avaler de l'air et ça va forcément fausser le résultat. Et une fois le verre terminé, lancez un chronomètre et une fois que vous allez avoir un vrai rot qui va sortir, vous arrêtez le chronomètre et vous regardez au bout de combien de temps c'était. Attention par contre, ne forcez pas le rot même si vous le sentez arriver qu'il est coincé entre guillemets. Donc ce test là par contre n'a pas de contre-indication tant qu'il est réalisé ponctuellement. Il peut simplement chez certaines personnes accélérer un peu le transit durant la journée. C'est vraiment pas quelque chose de commun mais ça peut. arriver. Donc le mieux aussi c'est de faire ce test encore une ou deux fois avec quelques jours de distance parce que le premier peut être faussé et notamment si vous êtes sous IPP ou sous antiacide. Donc c'est pour ça que l'idéal c'est de faire quand même plusieurs fois de manière décalée pour avoir quelque chose de plus fiable. Au niveau des résultats maintenant ce qui va se c'est que le bicarbonate est alcalin donc il va réagir avec l'acidité de l'estomac pour créer un gaz, le dioxyde de carbone. Et plus on va avoir d'acidité, donc d'acide chlorhydrique, plus on va avoir un rot puissant qui va arriver rapidement. Donc si le rot est intervenu avant les 2 minutes, on peut estimer que la situation est normale. Si c'est intervenu au bout de 2 minutes, on peut estimer qu'il y a une baisse de l'acidité. Si en revanche c'est au bout de 3... 3 minutes, entre 3 minutes et 5 minutes, alors là on est potentiellement sur une hypochloridrie. Et si on n'a pas du tout d'euros, ou c'est vraiment très très long à arriver, alors là on est potentiellement, encore une fois, sur une achloridrie. Et justement, dans le cadre de mon mémoire que j'avais fait sur le sujet il y a 7 ans maintenant, j'avais réalisé une expérience personnelle, donc c'est quelque chose de... c'est pas quelque chose d'encadré comme une vraie étude scientifique, attention, c'est vraiment une petite expérience que j'avais menée. J'avais demandé à des personnes qui avaient des problèmes digestifs au quotidien de réaliser ce test tout en me précisant justement leurs différents symptômes. Donc au total j'avais 50 personnes qui avaient réalisé ce test une seule fois et c'est avec la pratique dans le temps que j'ai compris la nécessité de le refaire au moins une à deux fois. Et les résultats avaient été quand même assez parlants dans la mesure où il y avait presque 70% des personnes qui avaient potentiellement une hypochloridrie. Et ce que je vous propose pour aller plus loin, c'est que je vous ai préparé un test totalement gratuit pour faire le point sur votre digestion actuelle et sur l'équilibre de votre microbiote. Donc en plus de ce test au bicarbonate bien détaillé, vous retrouverez un autre test que peu de personnes connaissent. Donc ça n'a pas de lien direct si je puis dire avec l'hypochloridrie, mais ça a son importance. Et vous allez retrouver aussi un questionnaire complet, donc je vous mettrai le lien dans la description de cet épisode. Maintenant qu'on a vu ce que c'était que l'hypochloridrie, ses différents symptômes, les conséquences et comment on peut savoir si on a une hypochloridrie, je voulais vous parler de la cause oubliée derrière ce phénomène. Et voilà ce qu'on oublie trop souvent, c'est que la production d'acide gastrique, elle est commandée par votre système nerveux, et plus précisément par ce qu'on appelle la branche vagale ventrale. Et quand cette branche est activée, votre corps va se sentir en sécurité, donc il va pouvoir digérer, assimiler, guérir et se régénérer. Mais si vous êtes en mode alerte constant, donc en stress, eh bien votre système nerveux se bloque en mode survie, et ce mécanisme de digestion ne va plus s'activer correctement. Donc le résultat, c'est que même avec une alimentation « parfaite » , votre corps et votre ventre vous envoient des signaux d'alerte, parce qu'il ne se sent pas en sécurité. Donc il va privilégier la survie et pas la digestion. Donc non, ce n'est pas que votre estomac ne veut plus fonctionner ou que votre corps est contre vous, c'est tout simplement qu'il ne se sent plus soutenu. À cause d'un stress chronique, d'une charge mentale élevée, troubles du sommeil, une fatigue émotionnelle, un rythme de vie qui ne vous soutient pas du tout et qui vous épuise, tout ça va empêcher votre système nerveux d'activer correctement votre nerf vague et tant qu'il ne revient pas à cet équilibre, eh bien, votre digestion ne pourra pas se faire correctement. Après, il y a d'autres facteurs aussi à prendre en compte qui sont moins fréquents que cette histoire de système nerveux, qui peuvent aussi se coupler au système nerveux, bien entendu, il peut y avoir plusieurs choses. Et une des choses qui est assez récurrente, évidemment, c'est la mastication trop rapide. Parce que quand on mange trop vite, l'estomac n'a pas le temps d'anticiper votre digestion. Donc il va recevoir des aliments peu broyés, pas assez imbibés de salive, ce qui va le pousser à produire... plus d'acidité jusqu'à s'épuiser. Tandis que ralentir et mâcher longuement, c'est pas un conseil à prendre à la légère, c'est vraiment une base pour une digestion efficace. Ensuite, on va avoir une consommation déséquilibrée en protéines. On peut avoir le cas de trop de protéines, notamment le système digestif qui va s'épuiser à force de devoir produire de l'acidité et de la gastrine en boucle, donc c'est une hormone qui va permettre effectivement ... une bonne digestion après des protéines, et plus précisément des protéines animales, mais globalement des protéines. Et de l'autre côté, on peut avoir aussi un manque de protéines, notamment chez des végétariens ou des végétaliens qui ne sont pas très bien accompagnés, qui peuvent avoir des carences au niveau des protéines, ce qui fait que la stimulation hormonale va diminuer, notamment de cette fameuse gastrine, ce qui fait que la production d'acide chlorhydrique va diminuer également. On a aussi les carences en zinc ou en sodium. Parce que le stress, les traitements médicamenteux ou encore l'appauvrissement des sols peuvent entraîner des manques en minéraux essentiels, dont le zinc et le sodium. Le souci, c'est que ces derniers vont être nécessaires à la production d'acide chlorhydrique et à la protection de la muqueuse de votre estomac. Donc le corps va préférer produire moins d'acide s'il sent qu'il ne peut pas s'en protéger. Parce que ce qui peut se passer s'il ne s'en protège pas et qu'il y a trop d'acidité, on se retrouve avec un ulcère. Et pour en avoir eu... 1. Je peux vous garantir que vous ne voulez pas d'ulcère. C'est vraiment horrible, c'est une douleur qui est indescriptible. Donc vraiment, si le corps forcément il sent qu'il est en danger et que régulièrement il n'y a pas suffisamment de protection au niveau de la muqueuse de l'estomac, et bien naturellement il est toujours dans ce mécanisme de se protéger et donc il va réduire la sécrétion d'acidité. Ensuite on va avoir une alimentation ultra-trostformée avec trop de plats industriels. Trop peu d'enzymes naturels parce que du coup, les aliments ont été trop cuits ou ils ont été pasteurisés. Enfin voilà, il n'y a plus suffisamment d'enzymes, pas assez de fibres, etc. Donc le microbiote s'appauvrit, on a une inflammation aussi qui va s'installer, et comme le système nerveux va être lui aussi perturbé, tout ça va créer un déséquilibre et une mauvaise communication entre le cerveau et le microbiote. Et donc encore une fois, on a cette digestion qui va se dérégler. On a aussi certains médicaments ou certaines pathologies, notamment les inhibiteurs de la pompe à proton, donc les IPP dont je vous ai parlé, les antihistaminiques ou encore certaines maladies auto-immunes comme Hashimoto, mais même tout simplement l'hypothyroïdie, peuvent réduire ou bloquer la sécrétion d'acide gastrique. C'est pourquoi c'est essentiel de considérer l'ensemble du terrain et de ne pas se contenter uniquement de traiter un reflux comme un excès. Un sixième facteur qui est moins courant, c'est la présence d'une dérive gastrique. ou du bypass. Donc en effet, on a des études qui montrent que la sécrétion d'acide qui n'est pas bien compensée par les aliments dans l'estomac va entraîner une diminution de la sécrétion de la gastrine, donc ce qui va conduire à une hypochloréderie tout simplement. Et pour finir, la présence d'anticorps, anti-facteurs intrinsèques ou anti-cellules pariétales, comme c'est le cas dans une gastrite atrophique, métaplasique, alors oui c'est un peu compliqué, mais en gros c'est une maladie auto-immune, ou encore dans l'anémie pernicieuse qu'on appelle aussi la maladie de Birmer. Mais bonne nouvelle, bien entendu, ce n'est pas irréversible. Vous n'avez pas besoin de prendre des compléments à vie, ni de vous restreindre encore plus. Ce qu'il vous faut, c'est de rétablir cette sécurité intérieure pour donner à votre système nerveux les ressources nécessaires et l'équilibre dont il a besoin pour fonctionner correctement. Alors non, ce n'est pas un régime sans FODMAPS. sans gluten, ni une énième détox ou cure miracle, ni des astuces magiques qui vont vous aider à y parvenir. C'est une approche profonde qui va soutenir vraiment votre corps et non une méthode qui va lui en demander toujours plus, l'épuiser et accentuer le problème. Donc pour faire le point, je vous invite à voir si votre système nerveux est bel et bien l'origine ... réel de vos troubles digestifs en faisant un test gratuitement que je vous ai créé. Donc je vous mettrai le lien également dans la description, comme ça vous aurez deux tests à faire. Et je vous explique aussi la suite dans le prochain épisode, ce qu'il faut arrêter de faire et ce qui peut vraiment vous aider à relancer votre digestion sans vous épuiser. Voilà, j'espère que cet épisode vous aura permis d'y voir plus clair sur le sujet, que ça vous aura permis de comprendre davantage le phénomène d'hypochloridrie et bien entendu redonner de l'espoir parce que oui, et j'en suis la preuve et j'ai des centaines de clientes qui peuvent en témoigner, que bien entendu on peut se défaire de cette problématique là. Mais par contre il faut agir sur le vrai fond du problème et pas se focaliser sur les différents symptômes pris un à un. Voilà, bon, je vous dis à très vite dans le prochain épisode, et en attendant, prenez bien soin de vous.