Speaker #0Et bien ça y est, nous voilà en 2025, je suis extrêmement contente de démarrer cette nouvelle année, j'espère que vous aussi, en tout cas je vous souhaite la pleine santé. La paix du cœur, c'est ce que j'avais dit aussi sur les réseaux, mais c'est super important, paix du cœur, la tranquillité de l'esprit, un corps en pleine forme, en pleine vitalité, et surtout que vous soyez épanouis dans vos vies. En tout cas c'est vraiment ce que je vous souhaite pour cette année et les autres années à venir bien entendu. Bon vous allez peut-être entendre que je suis encore un petit peu prise du nez, parce que c'est pas drôle, je suis retombée malade. Je suis retombée malade, tout bêtement. Je suis descendue en Corée se voir ma famille. Ma grand-mère était malade. Moi, je me suis dit, allez Marina, tranquille. Après la grippe de l'enfer que tu as eu pendant presque deux semaines, tes anticorps, ils sont au taquet. Eh bien non, pas du tout. Pas du tout, du tout. Donc du coup, je me suis retrouvée avec un genre de rhume. Honnêtement, je ne vais pas me plaindre, c'est rien. Mais donc, je parle encore du nez. Je suis désolée. Et d'ailleurs, vous avez remarqué, je n'étais pas là la semaine dernière. Alors qu'on avait dit, Marina, toutes les deux semaines, C'était le nouveau créneau, on repartait sur de bonnes habitudes, mais voilà, je suis descendue voir ma famille, donc j'en ai profité, en plus j'avais pas pris le micro pour enregistrer, donc voilà, j'ai profité avec ma famille, et je me suis dit, c'est pas bien grave, ça sera l'occasion de faire l'épisode bilan 2024 et les projets 2025, papoter avec vous avec un format Ausha, et je sais que vous êtes nombreuses à aimer ce format, alors si vous m'écoutez chez vous, je vous conseille de vous installer confortablement. Au coin du feu ou du radiateur à défaut. Tout le monde n'a pas de cheminée, n'est-ce pas ? Et avec un bon petit chocolat chaud. Clairement, moi, c'est ce que je vais faire après l'enregistrement de cet épisode. Parce qu'en plus, je vous enregistre vraiment le mardi pour le mercredi. Là, je ne suis vraiment pas en avance. Bon, maintenant, je pense que vous connaissez bien ce format d'épisode. Donc, c'est vraiment très chill. Je ne prépare pas de notes ou quoi à l'avance. Là, c'est vraiment en freestyle. J'ai juste noté trois points parce que c'est des trucs que je ne vais pas oublier et je me connais, je pars dans tous les sens, donc que ce soit un minimum structuré pour que vous puissiez suivre. Parce que sinon, si je vous sors ça comme c'est dans ma tête, ça va être compliqué, clairement. Donc, quelques petites notes, mais en gros, je vous propose de commencer déjà par un bilan 2024. Il y a des petites choses à dire, mais je préfère vite aller sur 2025. Et là, il y a aussi beaucoup de choses positives à dire, parce que 2024... Il y a des choses positives à dire, mais que j'ai apprises par le négatif, donc voilà, ce sera l'occasion de discuter de pas mal de petites choses. Bon, alors évidemment, on va commencer avec 2024. C'est simple, moi je m'étais dit 2024, si vous écoutez le bilan de 2023, projet 2024, je me rappelle, j'avais dit 2024, j'espère que ça va être enfin la bonne année. J'étais vraiment très optimiste vu que j'avais passé une année 2023 vraiment pas ouf. En fait non, c'est-à-dire que je ne pensais pas pouvoir faire pire et j'ai fait pire. Mais j'ai appris beaucoup de choses aussi, donc c'est ça le positif dans l'histoire. Mais 2024, ça aurait été vraiment l'année où j'aurais pu prendre conscience d'à quel point ma résilience avait enfin émergé. La résilience, si vous ne savez pas ce que ça veut dire, je pense que j'en ai quand même parlé plusieurs fois sur le podcast, mais en gros c'est votre capacité à vous adapter aux différentes situations stressantes de la vie, aux choses pas forcément positives. Et la résilience, ce qui est intéressant de savoir, c'est qu'elle n'est pas innée chez tout le monde. Donc ça c'est quelque chose que j'aborde notamment dans Oman Gut, parce que ça en prend très important dans la mesure où on sait aujourd'hui, il y a eu des études qui ont montré que les personnes... qui ont une moins bonne résilience sont les plus sujettes à avoir des troubles digestifs. Donc il y a vraiment cette connexion qui est assez intéressante. Et ça paraît tout à fait logique dans la mesure où quelqu'un qui n'a pas une bonne résilience, c'est une personne qui au quotidien, même pour des choses assez, pas futiles, mais des choses assez normalement qui ne sont pas censées être graves, peuvent se mettre dans des états de stress et d'insécurité assez intenses. qui font que le corps va être en permanence dans cet état de danger, d'insécurité. Et donc, le système nerveux, lui, il n'aime pas ça. Et forcément, la digestion, les systèmes digestifs non plus, les microbiotes non plus. Donc voilà, c'est assez intéressant, c'est pour ça que j'en parle dans Oh My Gut. Donc je ne sais plus ici ce que j'avais dit sur la résilience, mais effectivement, ça peut être inné chez certaines personnes, mais pas tout le monde. Mais on peut aussi l'acquérir. Et c'est justement ce dont je discutais avec la cliente que j'ai eue juste avant, là, en consultation. Et je vais expliquer justement pourquoi certaines personnes semblent, on va dire, vivre une vie assez tranquille et arrivent à... positiver facilement, là où certaines personnes sont souvent beaucoup plus pessimistes ou dès qu'il y a quelque chose qui va pas tout de suite, elles s'embourbent dans quelque chose où... Voilà, c'est tout le temps un gouffre en fait, on n'arrive pas à s'en sortir, c'est compliqué, compliqué et il faut pas culpabiliser par rapport à ça et pas se dire ouais bah je suis comme ça, c'est fichu pour moi, toute ma vie je serai comme ça, je serai toujours stressée de la vie, angoissée de la vie. Après, oui, si on ne fait rien pour, forcément, ça ne va pas partir en un claquement de doigts. Par contre, on peut agir dessus. Et je suis le parfait exemple pour ça. Moi, je n'ai pas du tout de résilience innée, clairement pas. En plus, en tant qu'hypersensible, le moindre élément de petite chose pouvait très vite me faire réagir et me mettre dans le mal. Et vraiment, en 2024, j'ai vu la différence. J'ai vu la différence aussi après quatre ans de psychothérapie avec toujours la même. Je fais toujours le DCV. Et ça me conforte encore plus dans le fait de toujours vous pousser à faire cette fameuse psychothérapie et de travailler sur la dimension psychologique parce que c'est un pouvoir après sur votre vie qui est vraiment durable. C'est un travail que vous faites. Il y a des personnes, 6 mois suffisent, des personnes 1 an, comme moi, 4 ans. Tout dépend de votre histoire personnelle, des événements que vous avez pu vivre. de beaucoup de choses en fait, chaque personne est différente, a une histoire différente, et donc voilà, ça sera pas le même temps, mais dans tous les cas, ce travail-là, il n'est pas perdu, faut pas avoir ça comme juste de l'argent que vous dépensez à chaque fois, non non, c'est un investissement incroyable, pour votre santé certes, mais aussi pour votre vie, votre qualité de vie, mais vraiment, moi je me dis, si c'était la Marina d'il y a 5 ans ou 10 ans qui vivait ce que j'ai vécu cette année, mais je sais pas dans quel état on m'aurait retrouvé, alors que là, bon, vous voyez... Je m'en sors bien, je suis là, je continue le podcast et tout. C'est que j'ai réussi à surmonter ça. Mais je sais qu'autour de moi, les personnes m'ont clairement dit Moi, si ça m'arrivait, je ne sais pas comment je serais. Et honnêtement, je pense que si je n'avais pas fait ce travail-là sur la résilience, je ne sais pas non plus comment je m'en serais sortie. Donc c'est pour ça que j'insiste sur la dimension psychologique. Je ne vous lâcherai pas avec ça. Je vais vraiment être la Marina Relou, la copine Relou avec ça. Mais vraiment, ne négligez pas cette dimension. Et là. pacte du travail psychologique. Parce que plus vous allez gagner en sécurité intérieure, plus vous allez aussi réussir à ne pas tout prendre à cœur. Moi, je sais que je l'ai vu, il y a des choses où il y a peut-être même encore un an ou deux, des genres de phrases, des petites choses, que ce soit en famille ou n'importe, des comportements. Je sais que ça m'aurait blessée ou que j'aurais été un peu sur la défensive, etc. Et en fait, cette année, j'ai été super surprise. Et je me suis rendu compte que les gens n'avaient pas spécialement changé. Donc j'avais toujours les mêmes remarques et tout. Mais moi, par contre, j'ai remarqué comment j'avais changé. Et comment je n'avais plus cette défensive. Et en fait, là où avant, je prenais ça comme une attaque, tout de suite, dans mon corps, dans ma tête, tout de suite, je vois plutôt la personne qui, elle, et en insécurité, et c'est pour ça qu'elle a besoin de dire ce genre de petits pics, ou de remarques, ou d'avoir ce comportement. Et ce qui fait que c'est limite... Je suis empathique en fait envers cette personne, même si elle a dit quelque chose qui n'est pas forcément agréable, ou voilà quoi, enfin... Ça reste des petits pics, des choses comme ça. En fait, quand on les voit avec un autre œil, et qu'on ne prend plus les choses à cœur et personnellement, en fait, petit à petit, on se rend compte des blessures des gens, et on ne voit que les personnes en face. qui n'ont pas fait ce travail émotionnel, elles vont avoir ces comportements qui sont limite en mode de survie. Vous le savez, l'attaque par la parole, les petits pics, les petites remarques et tout, mais l'attaque fait partie du mode de survie, le fameux fight or flight. Et le fight, c'est ça, c'est le combat, c'est l'attaque, et c'est un mode de survie. Une personne qui vous fait des pics, des choses comme ça dans votre entourage, ou même sur les réseaux ou quoi, c'est des personnes qui sont dans cet état de survie. Donc c'est des personnes qui ne sont pas bien. Et donc, quand vous ne prenez plus les choses personnellement, ça prend du temps, moi je vous dis, franchement, ça m'a pris du temps quand même, parce qu'au plus ça va être des gens proches de vous, Plus ça va être long. Moi, je sais que c'était le plus dur. C'est vraiment le noyau autour de vous. Vous savez, les parents, frères, sœurs et tout, conjoints, etc. Enfin, ça, c'est vraiment le plus dur. Le plus facile, ça va être quelqu'un des inconnus. Puis après, voilà, les collègues de travail ou les connaissances ou les voisins. Et plus vous vous rapprochez du noyau proche, et plus ça va être dur et plus ça va prendre du temps. Et là, pour le coup, je me rends compte qu'en fait, avec le noyau dur, j'ai enfin réussi à avoir ce niveau-là. Et pas parfaitement, mais je vois vraiment la différence. Et en fait, on se sent tellement mieux avec soi quand on ne prend pas les choses comme ça personnellement. La relation aussi avec les autres est meilleure, parce que si à chaque fois, chacun est dans son mode survie, en insécurité, qu'il attaque l'autre, et l'autre est sur la défensive, et machin, et ça fait un conflit, les relations ne sont pas forcément agréables. Et je suis certaine que vous avez déjà vécu ça. Tout le monde vit ça, en fait. Donc vraiment, j'insiste sur cette notion de travailler sa résilience et sa sécurité intérieure. Et honnêtement, sans travail, sans une vraie psychothérapie, avec des vraies méthodes, moi je parle tout le temps de l'ICV parce que je vois à quel point ça fonctionne, et parce que ça a été vraiment pensé pour cette sécurité intérieure, ce lien d'attachement, enfin toutes ces choses-là, ce qui fait que c'est vraiment hyper puissant. Et je sais que moi, les protocoles d'attachement, ce qu'on appelle les protocoles d'attachement, justement qui viennent agir sur ces liens d'attachement qu'on crée quand on est dans les premières années de vie. On en avait parlé d'ailleurs des liens d'attachement, je crois avec, je sais plus si c'était avec Laura qui était intervenue, je sais plus avec qui on en avait discuté, je crois que c'était avec Laura, il me semble. Bon bref, en tout cas l'importance de ça dans sa vie, parce qu'après vous allez voir que ça va impacter votre vie sociale, votre confiance en vous, votre relation avec vous, avec les autres, le fait de, même dans votre travail, enfin vraiment ces liens d'attachement là, ils sont vraiment impliqués dans... toutes les sphères de votre vie. Donc si vous ne les réparez pas, s'ils sont insécures justement, Vous restez comme ça avec des liens d'attachement insécures. La vie, elle est tout le temps dans cet état d'insécurité. Donc, on est toujours dans le conflit ou dans la peur, dans l'angoisse. Ce n'est pas vivable, en fait. Ce n'est pas ce que je vous souhaite et ce n'est pas ce que vous souhaitez même pour vous. Donc, voilà, travaillez sur ça. L'ICB, pour moi, c'est vraiment la meilleure technique. Et justement, ces protocoles d'attachement, je les ai faits en 2024. C'est en 2024 qu'on a pu commencer ce protocole-là. Et vraiment, la différence, elle est incroyable sur ma sécurité à l'intérieur et sur, du coup, ma possibilité de ne pas réagir face aux attaques des autres qui, eux, sont en insécurité. Et ce qui fait que je me sens beaucoup plus sereine. Clairement, comme je vous l'ai dit, vraiment, vous connaissez tous, là, durant les réunions de famille et tout, souvent, ça part en conflit, il y a des choses, il y a des petits pics. Et après, je parle même pas de celles qui ont les enfants et tout, moi j'ai un neveu maintenant, mais voilà, chacun va avoir sa vision de l'éducation, de machin, des trucs. Et en fait, moi je sais que ça m'a agacé très vite, en fait, les trucs comme ça, et aujourd'hui, en fait, je suis pas d'accord ou quoi, ou je vois que la personne, elle a envie de rentrer dans un débat ou dans un conflit, pour une raison qui lui est propre, mais en fait, je vais pas rentrer dedans. Si y a un débat qui est ouvert et que c'est juste une discussion, y a pas de souci. Mais si je vois que vraiment la position est très forte et que l'objectif c'est juste de montrer que oui moi j'ai raison, en fait je laisse la personne là-dedans, ça lui fait du bien et du coup moi je rentre pas dedans à essayer de dire pourquoi non à la tort. Et en fait je trouve que ça pèse vachement mes relations sociales, familiales, sociales et voilà c'est vraiment une partie positive. Donc j'espère que ça vous motivera peut-être cette dimension là parce que je parle souvent de la... du travail aussi pour d'autres choses, mais la dimension sociale est vite oubliée, alors que pourtant vous savez que j'y accorde de l'importance, parce que la santé selon l'OMS, et même de manière générale de toute façon, l'OMS n'est pas la seule référence bien entendu, mais c'est un bien-être physique, mental et social en fait. Je rajouterais même un bien-être avec soi, le self-care, mais en fait autour de soi, mais en gros voilà, c'est super important, et clairement le travail... la psychothérapie vous aidera à avoir des bonnes relations avec vos amis, avec vos proches, votre famille, la personne avec qui vous vivez tous les jours. Donc c'est pour ça que c'est vraiment hyper important. Et comme je disais aussi après sur votre capacité à gérer les événements difficiles de la vie, parce qu'on a tendance à chaque fois à avoir oui, stop au stress, il faut arrêter le stress, gérer votre stress. Oui et non, en fait, le stress, il sera toujours présent. d'autant plus aujourd'hui dans notre société, où on a accès à toutes les informations, ce qui est un stress pour l'organisme, pour le système nerveux, il ne faut pas l'oublier. Et donc, vous allez avoir en permanence des stimuli. Donc des stress qui peuvent être positifs, négatifs, ce n'est pas le sujet. Il y aura toujours du stress. Mais nous, ce qu'on veut, c'est s'adapter face à ce stress, c'est pouvoir vivre avec ce stress correctement, sans que ça nous surstimule, que ça nous mette en mode survie. Et pour ça, il faut que l'organisme et notamment le système nerveux, parce que c'est lui en fait qui s'adapte, qui gère les sources de stress, puissent le faire correctement, sans se mettre à chaque fois pour un rien je mets bien beaucoup de guillemets, en mode survie. Et ça, c'est pareil, c'est la psychothérapie, comme je le disais, et au-delà de la psychothérapie, en parallèle, c'est le temps que vous allez vous accorder, les ressources que vous allez vous accorder, parce que votre corps, c'est comme votre... compte bancaire, il y a des ressources, il y a des dépenses. Et dans le monde dans lequel on vit, on a tendance à être toujours en mode dépense. Et d'ailleurs, j'y pense, mais c'est vrai que dans le compte bancaire, ça peut être aussi la même chose. C'est vrai qu'on est dans une société aussi de surconsommation, donc beaucoup de dépenses. Mais même en termes d'énergie, c'est vraiment la même chose. On va beaucoup, beaucoup donner d'énergie. Mais derrière, on ne va pas remplir le compte. On ne va pas remplir, on ne va pas se ressourcer suffisamment. Et on va se ressourcer via les écrans, des choses comme ça. Après, là, je suis vraiment une généralité. Tout le monde n'est pas comme ça, évidemment. Mais ce que je veux dire, c'est que dans la société aujourd'hui, dès qu'il y a une pause ou quoi, souvent, il faut dire la vérité, c'est souvent les écrans. D'ailleurs, je vous avais fait l'épisode du dopamine menu là-dessus. Mais c'est un fait. Et donc, ce n'est pas du tout reposant, ce n'est pas ressourçant. Pour se ressourcer, il faut vraiment des choses qui nous nourrissent profondément. Et voilà. Et moi, je sais qu'en 2024... Le fait d'avoir fait ces protocoles liés à l'attachement, et du coup, ça a amélioré mon estime de moi, qui est différente de la confiance en soi, je vous ai déjà expliqué pas mal de fois la différence, mais l'estime de soi, ça vient avant la confiance en soi. Et l'estime de soi, c'est vraiment ce qui va vous permettre de plus facilement prendre soin de vous sans culpabiliser, d'établir des limites, de savoir dire non, enfin voilà, toutes ces choses-là, ça va être vraiment lié à l'estime de vous que vous vous portez. Et le fait de prendre soin de votre santé, de vous accorder des moments pour vous et tout, tout ça c'est très important et c'est lié à l'estime de vous. Et en fait plus vous allez travailler sur ces fameux liens d'attachement, plus votre estime de vous va être élevée et donc vous allez réussir plus facilement à faire les choses pour vous sans culpabiliser et que ce soit normalisé. Là où avant moi je sais que si j'étais pas dans un environnement associé aux vacances typiquement... partir en vacances, et bien en fait pour moi c'était impossible que d'accepter de ne pas faire des choses productives, il fallait que je sois productive, productive productive, tout le temps productive parce que sinon je me sentais pas bien ça me stressait en fait, parce que j'ai associé ça en fait, j'ai associé le fait de d'avoir le droit de ne pas être productive et d'être juste moi, quand je suis en vacances donc ça c'est des choses qui se déconstruisent, ça peut prendre du temps Et une fois qu'on le fait, on se rend compte qu'on arrive à s'accorder du temps sans nécessairement que ce soit forcément le week-end ou les vacances. Et ce qui fait qu'on sait que, par exemple, moi je sais que j'ai mes routines aujourd'hui qui sont bien, bien, bien implémentées et qui me permettent de surmonter plus facilement justement les moments difficiles. Et ça m'a vachement aidée en 2024, que ce soit mes moments de marche. le fait de ne pas avoir du tout d'écran de réseaux sociaux le matin, même le téléphone le matin, mes petits jeux intellectuels, le sudoku, les mots fléchés, tout ça j'en fais tous les matins, les soirs aussi. J'ai toujours plein de petits moments, des petites routines que je me suis créées, qui me font beaucoup de bien, et je vois la différence. Et ça me permet, c'est des petits trucs, c'est pas grand chose, mais c'est des petites choses qui font qu'on fait une pause pour soi. et qu'on s'autorise aussi à être dans un moment où tout ne va pas vite, contrairement à un jeu sur un téléphone, où moi je me rappelle, quand j'étais ado, Angry Birds et compagnie, le but c'était de tout défoncer avec les petits oiseaux, je ne sais plus c'était quoi l'objectif, mais ce genre de jeu ultra stimulant, on enlève ça et on passe sur un vrai jeu papier, et qui va en plus servir la mémoire, la logique et tout le cerveau, et qui... Voilà, on va prendre le temps, en fait. Ça, c'est super important. Et en fait, toutes ces choses-là, en parallèle d'un travail psy, parce que ça peut être très difficile de... Souvent, les personnes qui n'ont pas fait ce travail-là et qui n'ont pas une bonne estime d'elles, elles vont essayer, elles ont envie de prendre soin d'elles, bien entendu. Ça, c'est vraiment pas le sujet. C'est juste qu'elles auront du mal, elles vont pas y arriver, elles vont lâcher. Elles vont tenir une semaine, peut-être un mois, puis après, tout de suite, ce besoin de productivité. et il faut s'occuper des autres, et il faut faire ci, ça, ça, et moi, ça, ça attendra, ça prend le dessus. Parce que, justement, l'estime de soi est beaucoup trop faible, et donc, c'est pas naturel, c'est pas quelque chose qui est naturel. C'est pour ça que le fait de... Pour ma part, je trouve qu'avec le travail psy en parallèle, c'est ce qui m'a aidée à ce que tout ça devienne naturel, et donc, durable. Et c'est ce qui m'a permis que ça tienne, et que même dans les moments difficiles, ça tient. Parce que, et ça, je l'avais dit, je crois que j'avais fait un petit audio sur le... Canal privé, là, Instagram. Et en fait, dessus, j'expliquais qu'il ne faut pas attendre d'être dans le mal ou de vous sentir pas bien physiquement, mentalement, n'importe. Mais il ne faut pas attendre ce moment-là pour vous créer des routines de ressources, des moments de ressources. Parce qu'en général, ce n'est pas dans ces moments-là où vous allez réussir. Le cerveau, le système nerveux, il a autre chose à faire, il a une priorité, il n'est pas bien. Donc, lui rajouter un... nouvelle chose dont il n'a pas l'habitude, ça va lui demander beaucoup d'énergie, parce que créer des nouvelles habitudes pour le cerveau c'est long, ça demande de l'énergie. Donc c'est pour ça que moi je vous recommande de faire ça justement quand ça va bien. Et clairement c'est ce qui vous permettra de tenir les moments où ça va moins bien. Parce que la vie, c'est ce que du coup voilà je suis partie un peu dans tous les sens entre guillemets, mais ce que je voulais dire au tout début avec le stress et tout, la vie aura toujours du stress et aura toujours des moments difficiles. Après il y en a où... Pour qui ça prend, il y en a peut-être un moment difficile tous les ans, un tous les dix ans, enfin c'est vraiment propre à chacun. Mais la vie, on le sait, elle est faite de haut et de bas, il n'y a pas de vie linéaire, et si c'est votre cas, c'est que vraiment vous faites parmi, je pense, 1% d'exception peut-être, ou 0,1%. Je ne connais pas personne, en tout cas, chez qui ça arrive. Et sinon, voilà, ça va être souvent des hauts, des bas, c'est comme ça. Pareil, il y a des moments où ça sera plus stressant, par rapport au travail, par rapport à la famille, par rapport à plein de choses, la vie, tout bêtement. Et donc, l'objectif, c'est de pouvoir, en fait, malgré ses hauts et ses bas, réussir, en fait, à traverser ça, à voir être dans sa petite barque et à réussir quand même à avancer, quoi. Et pas à couler, en fait, à chaque fois. Et ça, ça passe par la résilience. Ça passe par la résilience et par votre capacité à surmonter les moments difficiles, à y faire face sans forcément plonger. Ça ne veut pas dire ne pas être mal, attention, parce que la résilience, il ne faut pas la confondre avec la positivité toxique, la positivité, faire semblant que tout va bien, de ne jamais être en colère, jamais être triste, jamais être frustrée. Non, moi je ne suis pas du tout pro ça. C'est juste qu'il faut savoir quand c'est normal, entre guillemets, quand on vit un deuil ou quoi, c'est normal d'être triste, c'est normal d'être en colère, quand il y a des injustices, quand... Voilà, il y a plein de choses, c'est des émotions qui sont là pour une bonne raison, elles ont un message, elles ont une légitimité. En attendant, ce n'est pas normal toute sa vie d'être triste. C'est-à-dire que derrière, il y a quelque chose, il y a quelque chose qui a besoin d'être éclairé et sur lequel il va falloir travailler parce que non, une tristesse... chronique ou une colère chronique par exemple ce n'est pas normal c'est que il ya quelque chose de plus profond qui ne va pas et c'est plutôt dans ce sens là où effectivement quand on dit les émotions négatives et tout en fait c'est dans ce sens là c'est quand c'est chronique et que il ya quelque chose derrière derrière et qu'on va pas travailler ce pourquoi parce que le corps il envoie ce message la tristesse pour nous dire quelque chose il ya un besoin qui n'est pas qui n'est pas rempli je vous avais fait d'ailleurs un Je suis en train de réfléchir. Oui, je vous avais fait l'épisode sur les émotions et tout ça. Je vous avais expliqué un petit peu tout ça. Donc, il faut vraiment comprendre que le corps, de manière générale, il n'est pas contre vous. Et ça va être normal d'avoir des moments de haut et de bas. En attendant, il ne faut pas que les moments de bas vous enfoncent et que vous ne puissiez à chaque fois jamais remonter, que ce soit vraiment l'impression de vous noyer, Il faut que ça va être difficile, mais que vous arriviez quand même à avancer, que vous arriviez quand même à prendre soin de vous. Je ne sais pas si vous voyez la différence. Pour moi, ça me semble à peu près clair, mais peut-être que vous ne voyez pas. Je ne sais pas si je suis suffisamment claire. En tout cas, l'objectif, dans la résilience, ce n'est pas de se dire Ok, je vais toujours bien, même dans les moments difficiles. Non, ce n'est pas ça. C'est juste de réussir à pouvoir quand même avancer durant les moments difficiles. et ne pas être à chaque fois au plus bas ou plus bas et avoir l'impression de faire un marathon pour pouvoir remonter à chaque fois. C'est juste ça. Et typiquement, comme je vous l'expliquais, je sais que moi, 2024, sur le plan perso, j'ai pas de mots. Après, vous me connaissez, je rentre pas du tout dans les détails de ma vie privée parce que ça n'a pas d'intérêt, que je suis pas la seule concernée et qu'en plus, il n'y a aucun objectif. Quand ça me concerne moi, que c'est ma santé ou quoi, et que ça a un intérêt pour vous, une utilité, plutôt pas un intérêt, mais une utilité pour vous, je partage, comme je l'ai déjà fait plusieurs fois dans les storytime, là c'est pas spécialement le cas. Mais ce que je veux dire, c'est que ça a été vraiment... Quand je dis que ça a été difficile, ça a été extrêmement difficile. Je pèse mes mots, il arrivait beaucoup, beaucoup de choses, des choses assez graves. Et donc... J'étais moi-même surprise de la manière dont j'arrivais à vivre le truc. J'ai beaucoup pleuré, j'ai vécu ma colère, j'ai vécu ma tristesse. Je sais que je me suis accordée presque un mois, deux mois je crois, pleinement. C'était vraiment beaucoup de chocs et je sais que je ne pouvais pas derrière assumer les réseaux sociaux. J'avais fait une pause en été pour celle qui l'avait remarqué. C'est-à-dire que j'ai pris ce temps. Je savais ce que je traversais, je me suis dit, il faut prioriser, ta santé mentale en priorité, donc les réseaux sociaux c'est pas du tout la priorité, là il faut savoir choisir, et donc c'est ça en fait, c'est ce côté de savoir prioriser, et de savoir se ressourcer, et de savoir faire pause, de savoir dire stop quand c'est important, et c'est ce que j'ai fait, j'ai dit ok, là vis toutes tes émotions, vas-y, traverse tout ce qu'il y a à traverser, pleure, machin, mais... J'avais mes incontournables, à savoir prendre l'air, sortir, donc marcher, avoir une activité physique, les moments, comme je vous ai dit, les moments de jeu intellectuel et tout, et tout ça, ça m'a vachement, vachement, vachement aidée. Et je me suis dit, une fois que ça s'est fait, et bien après, là, voilà, je reprends ma vie, dans le sens, voilà, reprendre le travail et tout, sachant que je travaillais quand même, parce que, bon, voilà, je suis à mon compte et je ne peux pas m'arrêter non plus comme ça à chaque fois. Mais ce que je veux dire c'est que j'avais quand même un ralenti et tout. Et en fait c'est plutôt dans ce sens là. Dans le sens quand je vous dis la résilience c'est d'accepter quand il y a des moments qui sont difficiles. D'accepter de ralentir, d'accepter qu'il y a des priorités. Donc de vous mettre aussi en priorité. Je sais que des fois il y a les enfants, tout ça c'est pas évident. Mais dans ce cas là effectivement d'apprendre à déléguer. D'accepter en fait de ne pas être bien et d'accepter... pour vous et vos enfants de faire une pause et de demander de l'aide, je sais pas, de la famille. Si il y a la personne avec votre conjoint ou quoi, votre conjoint, vous lui demandez de l'aide. Si c'est avec, je sais pas, une amie, quelqu'un dans votre entourage, mais d'accepter en fait. Parce qu'il y en a qui ne le font pas par culpabilité de dire oui, mais mes enfants c'est leur mère qu'ils veulent, machin et tout. Ils veulent une mère en bonne santé. Ça c'est un point qui est important parce que je sais que beaucoup traversent aussi des événements qui sont durs et se disent qu'en fait il y a les enfants donc elles n'ont pas le choix, elles s'interdisent de vivre leur truc parce qu'elles disent que oui il faut que ce soit absolument, il n'y a que elles qui peuvent bien s'occuper de leurs enfants. Alors c'est pas nécessairement la vérité. Donc voilà il faut vraiment aussi accepter ça. Bon je pense qu'on a fait le tournant sur 2024. Ça fait déjà une demi-heure. Donc pour finir d'ailleurs 2024, moi j'ai... clôturer, enfin liquider la société ma vie saine et moi et je pense que justement c'est l'occasion d'un nouveau départ pour 2025 j'ai été pas très bien conseillée sur le plan de beaucoup de choses et donc j'ai préféré revenir à mon statut que j'avais toujours d'ailleurs en auto-entreprise mais qui m'arrange pour le coup et donc voilà, ma vie saine et moi la société n'existe plus Et je pense que ma vie saine et moi tout court n'existera plus. Pas moi qui vais disparaître, je vous rassure. Mais le non. Donc voilà, je propose qu'on passe à 2025. Parce que je pense qu'on a fait le tour en 2024. Voilà, moi j'avais juste hâte que ça se termine. Ça s'est terminé, 2025 est arrivé. Je suis extrêmement contente et optimiste pour cette année-là. Donc 2025. Le changement de nom, déjà. Alors pourquoi ? Parce que ma vie saine et moi, ça commence à faire sa date, c'est depuis 2016, je crois. 2015, 2016, un truc comme ça. Je crois que c'est depuis 2016 que j'ai ce nom. Et je l'ai commencé avec cette étiquette naturopathe et tout ça, le mode de vie sain et tout. Et ma vie saine et moi, même si vous savez que pour moi, sain, ça englobe beaucoup de choses. Et donc le bien-être physique, mental, social et plein de choses, toutes ces dimensions qui font de nous des êtres humains. Mais c'est pas nécessairement... Quelqu'un qui ne me connaît pas, qui ne connaît pas mon approche, n'aura pas nécessairement cette... Comment dire ? Cette vision-là, quand il va voir ou lire ma vie saine et moi. Et je trouve qu'aujourd'hui, saine, sain, saine, est très vite connotée... Déjà, santé, logique. ça vient de là, mais aussi un petit peu rigide, un petit peu hygiène de vie qu'on attend de savoir comme strict, comme tout ce qui va se rapprocher de ce pourquoi je suis contre. Vous savez maintenant que je parle beaucoup de l'orthorexie et toutes ces choses-là, et où je trouve que l'hygiène de vie qui est extrêmement importante, ça je ne le nie jamais, mais qui ne fait pas tout, comme je vous l'ai dit tout à l'heure par exemple avec la résilience et tout. Une personne peut avoir une excellente hygiène de vie, manger parfaitement entre guillemets, et derrière, des traumas ou des événements difficiles qu'elle n'a pas forcément surmonté. Elle pense avoir surmonté, mais son corps, son système nerveux, il est toujours en hypervigilance, quelqu'un qui est toujours stressé, toujours anxieuse et tout. Et elle sera toujours en insécurité, et l'alimentation ne joue pas sur votre insécurité ou votre sécurité intérieure, même si elle a énormément de bienfaits, bien entendu. Donc, voilà, c'est pour ça. j'en ai un petit peu marre d'ailleurs même le podcast honnêtement je pense que je vous l'avais déjà dit il me semble même je crois déjà pour le bilan 2023 je l'avais dit j'avais dit que à votre pleine santé je pense que c'est un je sais pas si je vais continuer et tout et même ma vie saine et moi honnêtement ça fait un an que je voulais changer le nom j'ai pas eu de nom même encore aujourd'hui j'en ai aucune idée du nom qui qui remplacera ma vie saine et moi. En attendant, vous le saviez déjà, je vous l'avais dit, en 2023, enfin, bien en 2023, donc début 2024, que je ne voulais plus me ranger dans la catégorie uniquement santé et justement m'ouvrir à la partie plutôt bien-être, lifestyle, parce que c'est, selon moi, plus pertinent quand on a une approche vraiment holistique, où on va englober tout ce qui fait d'une personne une personne. Et il n'y a pas... que l'hygiène de vie, il n'y a pas que la santé physique et même il n'y a pas que la santé mentale entre guillemets, il y a aussi son environnement, son mode de vie, ses relations sociales, enfin il y a beaucoup de choses et pour moi ça ne faisait plus sens en fait que de mettre que la dimension de santé je me sentais trop restreinte mais je l'avais déjà dit ça pour le bilan 2023-2024 donc ça fait sens au final Donc voilà, ma vie saine et moi, le nom changera, je ne sais pas quoi encore. D'ailleurs, si vous avez des idées, n'hésitez pas, je suis preneuse. Et idem, à votre pleine santé, je pense, qui va changer aussi. Pareil, je n'ai toujours pas trouvé le nom adéquat. Parce qu'il faut vraiment que ça englobe cette dimension holistique et lifestyle, en fait. Vraiment, ce mode de vie que je veux partager, que je veux transmettre à travers toutes les connaissances. Et aussi toutes les choses que j'apprends quotidiennement, parce que moi j'ai une grande soif aussi de transmettre, mais aussi de savoir, donc d'apprentissage. Et je suis passionnée par toutes ces choses-là. Et moi ce que j'aime beaucoup c'est apprendre et vous transmettre en fait. Donc voilà, ça c'était la première des choses pour le changement, les projets 2025. Ensuite, deuxième chose, c'était... je sais pas ce que je vous dis en premier. J'hésite, j'hésite. Ouais, bon, je vais vous dire. Donc du coup, je vous avais dit 2025 janvier. Je sais pas d'ailleurs si ça va sortir en janvier, honnêtement. D'habitude, je vous dis jamais les projets avant qu'ils soient sortis. Là, je voulais dire quand même parce que ça va un petit peu me motiver. Enfin, c'est pas que c'est pas me motiver, mais c'est surtout que ça va me booster un petit peu à passer la deuxième parce que, mine de rien, en étant malade, j'ai dû prendre du temps pour moi et pour me reposer. Donc ça m'a fait prendre du retard sur le fameux projet que je voulais sortir en 2025, en janvier. Et c'était quoi ? Roulement de tambour, je ne sais pas faire les roulements de tambour. C'est la mise à jour de Wonder Food. Wonder Food, c'est le premier programme que j'ai sorti en 2021. C'était décembre 2021, si je ne me trompe pas. En fait, la première version que j'ai sortie à l'époque, à l'époque déjà j'avais aussi beaucoup de, on va dire... encore les syndromes de l'imposteur et tous ces trucs-là, j'avais ce besoin de prouver que mon travail, j'avais les connaissances pour vous partager ce que je vous partage, et en fait, Wonderfood qui est à la base un programme pour vous apprendre tout simplement à faire de votre alimentation une alliée précieuse au quotidien pour votre bien-être physique et mental et social, parce que mine de rien on mange matin, midi et soir, voire même on a le goûter, donc c'est quelque chose de... très important dans notre vie, l'alimentation. Et pour autant, j'en ai fait limite, enfin c'est pas limite, c'est j'en ai fait une formation professionnelle, quoi. C'est-à-dire que vraiment, il y a beaucoup d'heures. Et encore, moi ça va, parce que il y a 7 heures quand même de vidéo, c'est déjà énorme, mais je sais qu'il y a des trucs comme ça, il y a des... Mais je sais pas, genre des dizaines et des dizaines et des dizaines d'heures de contenu. Et en fait... Moi, ce n'est pas aux professionnels à qui je m'adresse. Je veux dire, ce ne sont pas les personnes qui veulent se professionnaliser, mais ce sont les personnes lambda, tout simplement, qui veulent juste... Et notamment les femmes souvent actives, même si elles ne sont pas actives, entre guillemets, mais même celles qui gèrent leur foyer, qui ont des activités, qui n'ont pas que ça à faire de regarder des heures et des heures de contenu pour apprendre à bien manger. Non, ça doit être simple, justement. Donc pour moi, c'était super important de tout refaire, sachant qu'en plus, forcément, il y avait beaucoup, beaucoup de contenu, donc le tarif était associé à ça, donc le tarif était assez élevé, et aujourd'hui, il y a un fait qui est l'inflation, clairement, aujourd'hui, c'est... enfin, j'espère que ça va s'arranger, mais l'inflation est une réalité, donc ça, je dois le prendre en considération, puis le fait de se dire, en fait, les personnes qui... voilà, les femmes actives comme ça, qui ont des responsabilités, qui ont... plein de choses à faire au quotidien et elles n'ont pas le temps nécessairement de se poser devant 20 heures de vidéos pour apprendre à bien manger. Et elles veulent tout simplement quelque chose qui soit facilement applicable et en fait qu'elles aillent juste droit au but en fait. On leur dise les choses, qu'elles puissent être autonomes parce que moi c'est ça, vous savez mon point, j'ai vraiment un... Très très grosse importance, je donne beaucoup d'importance au fait de vous rendre autonome parce que sinon ça n'a aucun sens pour moi. Si c'est vous dire oui faites ça et que je ne vous explique pas pourquoi il faut le faire, ça n'a pas de sens. Mon but ce n'est pas de vous rendre dépendante à mes conseils ou même aux conseils des autres, enfin n'importe. Mais c'est pour ça que j'accorde autant d'importance à l'autonomie et à la responsabilisation et au fait que vous appreniez par vous-même. Enfin bref, vous avez compris. Donc voilà, je voulais que cette nouvelle version de Wonderfood vous permette d'avoir les connaissances suffisantes pour cette partie d'autonomie, vraiment, c'est-à-dire ne pas dépendre à chaque fois de recettes et de recettes, parce qu'il y a plein de personnes, et moi j'étais comme ça avant, bien avant mes études et tout au niveau de la nutrition, mais de dépendre de recettes pour savoir quoi manger ou quoi faire en fait comme repas. Moi, si vous savez, 90% du temps, mes repas ne sont pas constitués de recettes, mais de compositions de repas. Et pour moi, c'est essentiel. Donc, il faut connaître vos besoins et tout. Donc, c'est indispensable pour avoir une autonomie. Et justement, ne pas dépendre à chaque fois des recettes. Donc, ça, c'était important. Tout en rendant les choses accessibles d'un point de vue temps. Et donc, là, normalement... Alors après, il faut que j'enregistre encore. Normalement, je suis passée de 7 heures à moins de 3 heures. Donc vous avez vu, j'ai quand même drastiquement diminué. Et je pense que j'essaye de réduire jusqu'à 2 heures. Parce que je me dis, 2 heures, en vrai, ça va. C'est-à-dire que vous faites en 4 jours, vous faites une demi-heure. Ou même si vous faites 10 minutes par jour, ça va vite. Enfin, voilà. Bref, j'ai prévu des petites choses supplémentaires pour justement faciliter la mise en application. ce système là que je ne parle pas, ça je le garde pour le coup pour moi mais celles qui rejoindront vous verrez et j'appliquerai le même principe aussi pour Romain N'Gut, j'ai pensé à quelque chose justement pour vous faciliter la mise en application, la lecture des vidéos mais aussi d'avoir des petits challenges pour vous passer à l'action parce que ça c'est un point qui revient souvent dans les méthodes en ligne justement. Même si voilà moi je suis présente, ça vous avez aucun souci là dessus, moi je suis toujours présente, toujours réactive, donc vous êtes jamais toute seule face à un truc, je suis là derrière s'il y a besoin de quoi que ce soit, mais effectivement il y a toujours quand même ce besoin de passer à l'action qui est un petit peu compliqué chez la majorité, vraiment, c'est pas une minorité qui a du mal, c'est vraiment une grosse majorité, donc voilà je voulais mettre ça en place. Et qu'est-ce que je voulais dire d'autre sur Wonderhood ? Certaines vont peut-être être choquées parce que quand je dis qu'il va être drastiquement diminué, vous n'avez pas idée à quel point ça va être drastiquement diminué, pour faciliter justement le fait que tout le monde puisse y avoir accès aussi. Et voilà, j'ai trop hâte, vraiment. Je suis très très contente de ce que je vais vous partager. Et pour la petite histoire, à la base, ce que je vous partage là, c'était... En partie, il suit d'un projet de livre. Je ne sais pas c'était quand je vous avais parlé, je crois que c'était 2023, je vous avais dit oui, normalement j'ai un projet sur lequel je travaille, blablabla. Projet qui n'a pas abouti, c'était un livre. C'était une maison d'édition dont je ne citerai absolument pas le nom, qui est extrêmement, je ne dirais pas problématique, mais voilà, c'est très bancal on va dire. Pas du tout professionnel et tout ça, donc du coup j'avais mis terme au contrat et tout et j'ai voulu sortir de ce truc. Du coup ce n'est pas sorti et moi j'ai pas envie d'attendre ou d'aller toquer à droite à gauche. Donc je fais les choses par moi-même et je me suis dit bah ça je vais vous le faire justement en programme. Après peut-être qu'un jour il sortira en livre, on ne sait pas de quoi l'avenir sera fait. En attendant j'ai hâte parce que vraiment j'avais fait tout un travail de recherche. pour vraiment, mais quand je vous dis débunker, mais des tonnes et des tonnes et des tonnes d'idées reçues et encore plus d'idées reçues qu'on a dans le monde de l'alimentation saine, healthy, enfin tous les trucs là que vous voyez sur les réseaux sociaux et des trucs que moi-même je pensais que moi-même j'avais appris dans mes études et qui en fait quand on va chercher et quand on regarde les preuves etc etc on se rend compte qu'il y a beaucoup de bullshit qu'on nous apprend et qui nous complexifie la vie et vous savez à quel point moi j'ai envie justement de rendre les choses déculpabilisantes et simples. La charge mentale, on a assez de stress, comme je vous l'ai dit tout à l'heure. On en a assez, du stress. On n'a pas envie de se rajouter du stress avec notre alimentation, sachant qu'on mange 3-4 fois par jour. Non, pas du tout. Il faut que ce soit simple, qu'on soit... Voilà, on mange, c'est simple, c'est facile. Il n'y a pas de charge mentale. Ce n'est pas qu'on est insupporté par ce qu'on mange, parce que ça nous dégoûte ou parce qu'il faut manger de telle manière ou de telle ci ou tel truc. Pas du tout. Non, non. Et ça, vous allez voir que... Justement, Wonderfood, là, c'est vraiment allié alimentation, 100% plaisir, pas de charge mentale, pas de frustration, pas d'interdit, pas de je ne sais quel mode alimentaire ou quoi que ce soit, et pourtant qui va soutenir efficacement votre santé physique et mentale parce qu'il y a des principes qui sont extrêmement simples à appliquer et à retenir et qui ont des effets prouvés. Et on le fait, on le sait depuis des années et des années et des années. Bref, je vous en dis trop là. En tout cas voilà, Wonder Food revient, donc dans un tout nouveau format, tout nouveau tarif, toute nouvelle identité visuelle, pareil je me suis éclatée à vous faire la nouvelle identité visuelle, je m'amuse de plus en plus là-dessus parce que vous avez remarqué que j'ai toujours eu un univers un peu particulier qui n'a pas grand chose à voir avec la nature en général, mais vous savez maintenant que je m'écarte, ah c'est pas que je m'écarte de la nature, mais juste que je sors de cette carte là parce que pour moi elle est trop restreinte et que... Il manque des dimensions qui pour moi sont très importantes. Et donc voilà, bref, j'ai toujours eu ce côté un petit peu décalé et qui se ressort par l'identité visuelle. Et d'ailleurs l'identité visuelle du futur, ma vie saine et moi, je ne sais pas ce que ça sera. Pareil, je pense que ça va un petit peu changer. Il y aura toujours du rose, évidemment, vous me connaissez. Vous savez, je fous du rose partout. Il y aura toujours du rose, toujours du orange. Mais il y aura une petite nouvelle couleur qui va se rajouter. Je vous en dis pas plus. Bref, donc ça, c'était la troisième chose. Et la dernière, enfin la dernière, oui et non, que je voulais vous dire, c'était par rapport à un nouveau format. Parce que justement, comme je vous ai dit, c'est beaucoup de nouvelles choses qui vont se passer en 2025. Même sur le plan perso, d'ailleurs. Beaucoup de nouveaux départs et de changements. Au niveau du professionnel, j'ai beaucoup réfléchi. 2024 aussi m'a fait beaucoup réfléchir parce que j'ai appris de certaines erreurs, j'ai appris de beaucoup de choses. Et notamment, vous avez même vu la fin 2024, je vous ai annoncé que j'avais repris les consultations, tout ça. Enfin, les consultations. Pour les membres, en tout cas, de Oh My Gut, parce qu'il était important pour moi quand même qu'il y ait toute la dimension théorique. Et ça n'avait pas... plus de sens pour moi que juste de faire des consultations one shot comme ça et derrière de pas avoir les informations nécessaires, enfin bref. Ça, je vous avais déjà expliqué ça dans les derniers épisodes, je sais plus lesquels exactement, mais j'ai remarqué quelque chose qui me manque énormément dans mon travail, c'est l'aspect social et l'aspect communauté. Alors je m'explique. Quand j'ai démarré ma vie saine et moi, notamment les réseaux, le blog et tout, On était dans une ère où les réseaux sociaux étaient très penchés sur l'aspect communauté. Communauté dans le bon sens, parce que là aujourd'hui, certes on est énormément sur les réseaux sociaux, mais je trouve que les interactions sont de moins en moins nombreuses. Et souvent, aujourd'hui, le contenu c'est, je vais sur les réseaux, je regarde le contenu. Si ça m'intéresse, je reste, je lis, j'écoute. Et quand j'ai fini, au revoir. Et sinon, je scrolle directement. Si ça ne m'intéresse pas, je passe. Mais je trouve... Alors après, peut-être que c'est dans mon domaine. Peut-être que c'est... Parce que je suis en train de dire... Oui, dès que c'est des trucs un peu plus privés, influenceurs et tout, qu'on partage plus de sa vie intime et tout, en général, il y a quand même davantage d'interactions. Mais dès que c'est un peu plus professionnel... J'ai remarqué que les interactions sociales, les commentaires, tout ça, c'est moins présent. Je trouve que la dimension sociale est étonnamment sur les réseaux sociaux et moins présente. L'aspect communauté que j'avais beaucoup dans les débuts de réseaux sociaux jusqu'à 2000, en fait jusqu'à ce que Instagram soit vachement plus utilisé pour la dimension pro et donc que Instagram n'est qu'en avant. certains types de comptes et machin, et qu'après, il y a toutes les stratégies business et les algorithmes. Enfin, voilà, une fois que tout ça s'est arrivé, ça a commencé un petit peu... Après, je fais une généralité, bien sûr, qu'il y aura toujours des exceptions. Mais en tout cas, moi, c'est le ressenti que j'ai eu. Je sais pas si vous, en tant qu'utilisateur des réseaux sociaux, pas forcément Instagram, mais ça peut être TikTok, ça peut être YouTube, ou même là, les podcasts, j'en sais rien. Mais est-ce que vous avez pas remarqué que votre consommation a changé ? Est-ce que vous prenez le temps, par exemple, de remercier la personne ou si vous avez trop aimé, genre de lui faire un commentaire ou de discuter avec ? Ou est-ce que vous avez tendance à plus facilement, vous avez kiffé, peut-être que vous allez mettre un petit like ou un truc, vous l'envoyez à une amie ou je sais pas, et ensuite vous allez passer ? En tout cas, moi je l'ai remarqué. Et moi-même aussi, des fois, parce que je suis créatrice de contenu et que je sais le travail que ça demande et le plaisir que ça fait d'avoir... un petit commentaire, un petit mot et tout. Du coup, quand vraiment j'ai kiffé le contenu, j'essaie quand même de prendre le temps de le faire. Mais c'est vrai que même moi, naturellement, je peux avoir cette tendance-là. Je m'inclus quand je dis qu'il y a eu un changement dans les réseaux sociaux. Et du coup, pour en revenir à ce que je disais, ce sentiment de communauté et donc de partage, d'interaction, me manque énormément. Et d'ailleurs, je vous avais déjà parlé même sur le podcast où je vous disais, pourtant moi c'est le format que je préfère et tout, je kiffe vous parler, mais en fait ce que je préfère c'est derrière d'avoir vos retours, ah bah oui Marina t'as dit ça, machin, et après vous me parlez de vous, de votre histoire, ou de ce que ça a résonné en vous, ou tout simplement d'amener les discussions, et en fait moi c'est ça que je préfère, et je me rends compte parce que après mon, mes, ouais mes, mon, mes murders out quoi, il y a eu un moment où je me suis vachement isolée socialement, Même avec mes amis et tout, je sais que je voyais beaucoup moins de monde et tout. Et en fait, j'étais rentrée dans une espèce de spirale comme ça. Et après, petit à petit, je suis sortie de cette spirale. Et en fait, plus ça allait et plus j'arrivais de nouveau à avoir plus d'interactions sociales. Parce que je les gère beaucoup mieux qu'avant, ça ne m'épuise pas autant qu'avant. Parce que voilà, il y a tout le travail dont je vous ai parlé qui a été fait. Et aujourd'hui, je ressens ce manque justement. Donc c'est pour ça que je vais naturellement plus vers des choses où il y a plus d'interactions sociales. Et d'où le fait d'avoir repris les consultations. Ça par contre, c'était quand même conditionné à le fait d'intégrer le programme. Mais là, justement, ce que je voulais vous parler, c'est d'un nouveau format que je voulais proposer. Parce que je sais que j'y ai réfléchi ça fait un moment. Mais je ne voulais pas parce que je savais justement que ça allait demander beaucoup d'interactions et tout. Et qu'à l'époque où j'avais pensé, je n'étais pas prête. Et ça vient de plus en plus. tout ce qui va être système, vous savez, d'abonnement mensuel, où il n'y a pas d'engagement, un peu comme une application, finalement. Moi, j'ai une copine qui fait ça, une copine collègue. J'ai d'autres collègues, d'ailleurs, quelques-uns, qui font ce système-là. Et en fait, je trouve ça vachement sympa, parce que ça permet... Alors oui, je vous explique le concept. Abonnement, oui, c'est bien beau, Marina, mais abonnement de quoi ? En fait, en tout cas, moi, c'est comme ça que je voulais le présenter. C'était, en fait, chaque mois... Il y aurait une thématique, d'accord ? Et cette thématique, chaque mois, je voulais faire... Donc il y aurait une communauté. Donc on aurait notre petite communauté sur... Je pense que je l'aurais fait sur Telegram parce qu'il y en a qui préfèrent WhatsApp. Mais l'avantage de Telegram, c'est qu'en fait, chaque discussion peut elle-même après avoir, vous savez, les commentaires qui sont dans le message initial et pas qui noient en fait le fil là où le fait WhatsApp. Donc Telegram j'avoue que j'aime bien, on peut faire des pages et tout ça, donc moi je sais ce que j'ai là pour mes programmes. Et clairement j'aime beaucoup le format, enfin bref. En tout cas faire donc un groupe, parce que je veux vraiment un vrai groupe, communauté, qui soit pas lié à un programme cette fois, mais tout simplement à celles qui sont dans cette vibe de prendre soin d'elles, elles ont envie de... D'avoir une approche vraiment holistique, de parler aussi bien que des relations sociales, comme je l'ai fait au début de l'épisode, que de parler de skin care, de parler de nutrition, de se partager des recettes, de machin. Vous voyez ce truc de communauté entre femmes qui ont vraiment cette même vision de vie, de lifestyle. et qui ont envie de partager ça avec des personnes qui les comprennent, et voilà, un vrai groupe de soutien, d'entraide, et de partage, avant tout de partage, moi c'est vraiment un truc qui me manque, donc voilà, donc il y aura ça déjà bien entendu, et donc dedans je voulais aussi me remettre aux ateliers en ligne, enfin conférences, j'appelle ça comme vous voulez, mais en gros donner des conférences en ligne, ou un atelier en ligne en fait, une fois par mois. et sur une thématique, la thématique du mois justement. Et enfin voilà, c'est vraiment un format que j'ai envie de reprendre pour 2025. Je faisais beaucoup, beaucoup de conférences avant mon burn-out. Après, j'ai quasiment arrêté à part en général une fois par an pour le ramadan. D'ailleurs, j'en ai une prévue là en fin février. Mais c'est vrai que sinon, en dehors de celle pour le ramadan que je fais annuellement, je n'en faisais plus. Et j'ai envie justement de retrouver ça parce qu'il y a l'échange et tout. Et en plus aussi, je voulais faire tout simplement un live entre nous. En mode, voilà, sur je ne sais pas quelle application, Zoom ou un truc comme ça. Enfin, je verrais quoi. Mais en mode, on parle en fait. C'est-à-dire que, bon, vous avez des questions, vous me posez vos questions. Mais aussi où on peut échanger. Genre vraiment, alors oui, je sais, le mot safe place, on l'a entendu, vu, revu, revu. On a compris. Mais vous avez le principe, en gros vraiment on est entre nous, on se prend un petit goûter ensemble, une petite boisson chaude, j'en sais rien, même les horaires, peut-être des choses, je sais pas encore, peut-être le week-end ou un soir dans la semaine et on fait ça une fois par mois, vous voyez. Mais c'est un petit moment en fait où on est entre nous et on discute, voilà, ça peut être comme je vous l'ai dit, en mode foire aux questions, mais j'ai pas envie d'être vue que comme l'hôte entre guillemets. mais aussi comme une membre à part entière de cette communauté et en fait que vous aussi vous avez beaucoup de choses à transmettre, à partager et d'avoir vraiment cette dimension d'échange. Alors peut-être que je suis la seule dans mon délire, que personne ne va me suivre et que ça ne va pas du tout marcher et tant pis, mais c'est vraiment un format, c'est vraiment quelque chose que... Et en plus, évidemment, un abonnement à un petit tarif. Parce que c'était ça aussi que je voulais, c'est de proposer quelque chose pour les petits budgets, sans engagement comme ça, il y a des personnes, peut-être elles viennent de bon quelques mois ou quoi, et au moins elles testent, elles voient si ça leur convient, si ça leur convient pas, et si elles kiffent le format, allez go, on continue, on est ensemble comme ça pendant plusieurs mois et c'est parti. Mais en fait, moi c'est un format que, je sais pas, j'ai eu cette attirance pour ça, j'ai eu ce... Et moi, je l'écoute beaucoup, mon instinct. Je suis extrêmement connectée à mes sensations et à mon instinct. Et j'ai envie d'aller vers ça. J'ai envie de créer une vraie communauté qui soit impliquée, qui soit interactive et avec qui je puisse échanger. J'en ai marre d'être un petit peu seule dans mon coin. Je fais mes contenus et derrière, bien sûr, j'en ai toujours, qui sont vraiment des amours, même là, celles qui m'écoutent. Je sais qu'il y en a toujours qui prennent le temps de faire un petit commentaire sur Spotify, sur YouTube. Alors sur YouTube, je pense que c'est celles qui sont les plus actives. Même après, voilà, sur Insta et tout machin. Des fois même par mail. Bref, je vous ai fait tous les canaux. On parle français quand même, Marina. Mais ouais, franchement, je sais qu'il y en a qui le font. Mais c'est vrai que ce format-là permettra justement d'intensifier et d'avoir vraiment cet aspect communauté. Et donc voilà, je vais tester parce que j'ai vraiment pas peur de l'échec. Moi, pour le coup, j'ai tellement appris à tester. Voilà, j'ai échoué, j'ai refait, j'ai changé. Si j'ai ça, je suis quelqu'un qui préfère apprendre et se servir des échecs pour apprendre. Mais au moins, j'aurai testé. Donc voilà, dites-moi si c'est un genre de format, si ce que je vous partage là, ça vous emballe ou pas. Et je pense que c'est quelque chose que je vais mettre en place très rapidement. J'attends juste de finir Wonderfood parce qu'il me manque encore à enregistrer les vidéos. Ouais, à enregistrer les vidéos et à refaire un peu la page de vente parce que du coup là c'est l'ancienne et c'est celle avec l'ancien contenu, l'ancien tarif et tout ça. Donc je sais pas si je vais réussir à sortir avant, enfin pour janvier. J'ai un gros doute, personnellement, mais je vais essayer, vraiment, je vais donner mon meilleur pour vous, pour que vous puissiez commencer l'année de manière opérationnelle. Et juste après, j'enchaînerai avec le format que je vous ai dit. Il faut que je trouve un nom, je ne trouve pas le nom. J'ai vraiment un problème avec les noms, il faut savoir que les noms, la quasi-totalité, ce n'est pas moi qui les trouve. Enfin, je suis là quand il s'agit de les chercher, mais je suis... pas très bonne en ce qu'on appelle en naming c'est pas moi je suis extrêmement on va dire j'ai mes performances elles sont sur le visuel ça je suis très très très performante là dedans mais alors moi tout ce qui est la partie naming et tout même les mots etc c'est pas c'est pas mon point fort du tout donc voilà je sais pas encore comment je vais l'appeler ce truc ce genre de club ou de deux communautés de je sais pas bref on verra bien Dites-moi si c'est un truc qui peut vous intéresser. Et j'essaie de sortir ça assez rapidement. J'ai déjà noté plein de trucs pour savoir quel format. Parce que comme je vous ai dit, c'est un format qui existe aux Etats-Unis. C'est quelque chose qu'ils font déjà beaucoup. Plus dans la dimension professionnelle par exemple. On va avoir chaque mois des nouvelles ressources pour notre business. C'est un truc qui est très courant. Pour la partie perso, bien-être, ça existe, mais c'est vrai que c'est moins courant, en tout cas moi, de ce que je vois. Mais voilà, après j'ai mes propres idées de certaines choses que j'ai envie de mettre en place, qui sont pas forcément qu'on voit partout. Ça je me les garde pour moi, et ça sera les petites surprises qui seront réservées à celles qui rejoindront du coup. Mais voilà, après je pense que j'ai un peu tout dit. Ah oui, je me rends compte, il y avait aussi une chose que je voulais vous dire, j'allais oublier. C'était sur... En fait, j'ai remarqué que les personnes qui vont prendre au MindGut, ou même les personnes qui vont, alors pas toutes, mais beaucoup, qui vont tomber sur mon profil ou quoi, qui vont être intéressées par ce que je propose, et ce qui est normal, bien entendu, c'est vraiment, c'est logique, c'est les personnes qui ont des troubles déjà installés. Donc des problématiques digestives, ou liées à tout ce qui va être anxiété, ou le stress et tout ça. Mais à ce jour, en tout cas après peut-être que je me trompe et que les personnes ne me l'ont pas dit, mais à ce jour, je ne pense pas qu'il y ait des personnes qui ont rejoint Home and Gut par prévention, dans le sens où pour venir rééquilibrer tout ça avant qu'il y ait des troubles, on va dire, qui s'installent, des symptômes un peu plus complexes qui s'installent. Et moi, je vous l'avais déjà dit, je crois, justement, dans le bilan 2023-2024, là, que... En fait, le rôle à la base du natureau, même si je vous l'ai dit, la naturopathie, pour moi, je ne m'arrête plus qu'à ça. Mais en fait, moi, ce qui m'intéresse aussi avant tout, c'est la dimension préventive et le fait de, en fait, tout simplement d'avoir un mode de vie, de partager un mode de vie qui vous nourrisse, qui vous serve au quotidien. et de vous aider en fait à faire les meilleurs choix pour, alors oui sur l'alimentation et tout, mais pas que, et qui vous permettent en fait d'être bien, c'est pas qui vous permettent de, non parce que je n'ai pas le droit de dire ces mots là, mais on va dire de venir contrer un problème. J'ai pas envie que mon contenu serve uniquement à quand il y a déjà eu un problème, quand il y a déjà des symptômes. Mais j'ai envie aussi qu'ils servent avant tout dans cette dimension de prévention, de ne pas attendre les problèmes pour prendre soin de soi et d'adopter un mode de vie qui, au lieu de se dire je ne veux plus aller mal même s'il n'y a rien de spécial, mais de se dire je veux être bien, je veux être heureuse, je veux me sentir bien dans ma vie, je veux me sentir bien dans ma relation avec les autres, dans ma relation avec moi, dans mon corps et tout Et en fait, c'est ça, moi, que je cherche avant tout. C'est ça qui vraiment me fait kiffer. Vous permettre de... Enfin, de vous permettre, et je m'inclus dedans, en fait, parce que moi aussi, j'applique ce que j'apprends et ce que je vous partage. Et c'est pour ça aussi que ce côté-là d'abonnement... Vous voyez le... Même d'ailleurs, Wonderfood, parce que Wonderfood... Sauf que c'est juste un point, parce que Wonderfood, c'est l'alimentation. Mais là, c'est pour ça que je voulais quelque chose où je pouvais vous... parler d'un petit peu de tout on pourrait aborder plein de thématiques différentes et justement s'entraider et cheminer ensemble dans ce lifestyle, on va dire, dans ce mode de vie, dans cette vision de la vie qui permette d'être bien en fait, dans sa tête, dans son corps, dans sa vie en général, et pas juste s'arrêter à ce symptôme-là, le trouble digestif ou l'anxiété. Non, aller plus loin que ça, c'est pas annuler des symptômes. Mais aller vers le bien-être, l'épanouissement, ces sentiments, parce que pas de la neutralité. Moi, je n'ai pas envie de vous proposer d'être neutre dans votre vie. Sans plus, il n'y a pas de mal auquel, mais ça s'arrête là. Non, non, ce n'est pas du tout ça. Moi, mon objectif, c'est qu'on aille ensemble vers ce côté d'épanouissement, en fait. Vraiment, de se sentir bien, même si les moments difficiles, on le sait. Mais de se sentir bien et de kiffer sa vie, en fait. Bon voilà en tout cas maintenant je pense que j'ai dit tout ce que j'avais à vous dire, je vais vous laisser là dessus sachant que ça fait plus d'une heure maintenant, bon ça vous avez l'habitude avec les Ausha. N'hésitez pas encore une fois à me faire vous vos retours, si vous voulez faire un petit bilan, si ça vous sert de journaling, je sais pas, si vous voulez me donner votre avis sur les différents projets, les différentes choses que j'ai partagé. N'hésitez pas en tout cas, vraiment moi je suis toujours très ravie de vous lire. de pouvoir discuter, échanger avec vous, et puis voilà, on se retrouve normalement, si l'organisation, si j'arrive à retrouver une bonne organisation, mais normalement ça devrait aller, dans deux semaines, et avec un épisode, je sais pas encore lequel je vais vous faire, faut que je réfléchisse, ouais, faut que je réfléchisse, mais on va reprendre vite les bonnes habitudes, où je vais vraiment programmer, et n'hésitez pas d'ailleurs, après si vous avez des sujets sur lesquels, voilà, il y a des choses que vous voulez que j'aborde ou quoi, n'hésitez pas aussi, parce que c'est aussi votre podcast, c'est... Donc je serai ravie. Et voilà, on arrive du coup à la fin de cet épisode. Je vous souhaite encore une merveilleuse année 2025. J'espère qu'elle sera remplie de douceur, de joie et de résilience du coup. Et puis je vous retrouve dans deux semaines. Et je vous dis une très belle journée ou une très belle soirée. Prenez bien soin de vous.