Speaker #0Et aujourd'hui, je vais vous partager pourquoi vous n'arrivez pas à avoir votre permis. Souvent, on associe le fait de ne pas avoir son permis au stress. Mais souvent, c'est... pas forcément que le stress. Donc, je peux vous garantir, moi qui étais une ex-conductrice stressée, même angoissée, quand j'ai voulu passer le permis, ça a été assez compliqué. Donc, j'essayais plus ou moins de gérer mon stress, mais je voyais que c'était très compliqué de le faire. En tout cas, je n'avais pas les résultats escomptés. Et c'est là que j'ai commencé à faire mes petites recherches en me disant, tiens, ok, très bien. J'ai cette capacité à gérer mon stress, mais là, il y a quelque chose de beaucoup plus fort, puisque là, c'est mon corps qui réagit et c'est lui qui est maître à bord. Et c'est lui qui fait que, comme je vous l'expliquais dans l'épisode où j'étais figée sur la voie rapide, c'était impossible de pouvoir gérer cet état, puisque c'était mon corps qui était complètement figé. Donc, je ne pouvais pas continuer à appuyer sur la pédale d'accélérateur. C'était le moniteur qui l'avait fait. À ce moment-là, je n'entendais quasiment plus. C'était comme si c'était cette voix du moniteur qui me disait d'accélérer, d'accélérer. J'avais l'impression que cette voix était lointaine, que j'étais loin alors que j'étais en train de conduire et que la voiture continuait à rouler. C'était quelque chose de vraiment difficile déjà à vivre, mais c'était quelque chose qui m'a vraiment paniqué. J'étais en panique, mais... En même temps, je subissais en me disant « mais qu'est-ce qui m'arrive ? Qu'est-ce que je fais ? Mais quoi ? » Donc ça a duré vraiment peut-être une seconde, peut-être deux secondes, une seconde et demie. En tout cas, ça m'a fait remettre en question, me disant « mais tiens, qu'est-ce qu'il y a ? Est-ce que ce sont des peurs ? Est-ce que parce que j'ai du mal à gérer mes émotions ? Est-ce que c'est lié aux croyances, à des conditionnements ? Quels sont ces freins, ces résistances ? Est-ce que ce sont des traumas ? » Est-ce que ce sont des expériences négatives qui sont finalement la cause de ce manque de confiance pour le permis de conduire ? Et donc, je vais vous énumérer un petit peu les peurs. Souvent, on a peur de l'échec. Donc, ça peut arriver, surtout si on a déjà vécu un événement passé. On a déjà passé un examen et puis ça ne s'est pas bien passé. Donc, ça peut être. enregistré au niveau inconscient comme quelque chose de négatif, donc un souvenir négatif. Et si il y a eu, ça a été enregistré avec une émotion intense, ça, ça vous bloque en fait. Et du coup, vous êtes, vous pouvez avoir ce comportement de figement puisque inconsciemment, ce traumatisme qui s'est créé, donc qui a créé une sorte de nœud émotionnel est en fait bloqué. Et du coup, tant que je n'ai pas trouvé la source, que je n'ai pas travaillé sur cet événement traumatique, on va dire ça comme ça, je vais encore subir au fur et à mesure de ma vie, de mes challenges, de mes objectifs, et là notamment du permis de conduire, la peur de l'échec va être intense et je vais le sentir au niveau émotionnel, au niveau mental, mais aussi au niveau corporel, puisque c'est mon corps qui va être complètement figé. La peur de réussir, donc ça peut être aussi la peur de réussir parce que forcément, il y a peut-être un enjeu aussi parce que du coup, on a une pression autour de nous, nos proches, notre famille, etc. Ou ça peut être aussi du coup le fait de trouver un autre travail, un travail qui va nous apporter une meilleure situation financière. Et du coup, il y a un enjeu tellement important que cette peur de réussir, elle va peut-être aussi me... paralysé ou alors je vais avoir tendance à fuir et du coup ben ça va être aussi compliqué pour moi. J'ai noté aussi la peur de s'exprimer. Ça aussi, c'est vraiment un frein au niveau de la réussite du permis de conduire. Parce que si je ne m'exprime pas, je ne dis pas, je ne partage pas avec mon moniteur, peut-être mes ressentis, le fait que je ne comprends pas bien ce qu'il me dit, que je dis « bon, ce n'est pas grave, je verrai ça à la séance prochaine de conduite » ou alors « je verrai ça avec un autre moniteur » ou « je verrai ça la prochaine fois » . Et du coup, ben... Le fait de ne pas s'exprimer, il peut y avoir des quiproquos. Moi, je m'en rappelle, je discutais avec, des fois, on discutait un petit peu avec le moniteur au début. Et puis, bon, ben voilà, après, je me disais, ben tiens, parce que moi, j'ai un peu ce fonctionnement de tout faire toute seule. Ça, c'est, bon, ça a changé, heureusement, maintenant. Mais j'avais toujours ce côté, ben, en fait, je ne peux compter que sur moi. Et du coup, s'exprimer, ça me, j'en avais pas vraiment besoin. pour moi, entre guillemets, puisque je me disais de toute façon, je vais comprendre toute seule. Alors que là, j'avais vraiment tort sur toute la ligne à ce moment-là. Donc, je n'exprimais pas, par exemple, je sais qu'à cette période-là, j'avais beaucoup de douleurs musculaires. Et puis, du coup, je planifiais quand même mes heures alors que j'étais fatiguée, épuisée, j'avais tellement mal que je me disais c'est pas grave, ça va aller, etc. Du coup, je ne respectais pas mes limites, je ne respectais pas mon état du moment. Et du coup, j'aurais pu exprimer en disant, tiens, aujourd'hui, j'ai quelques douleurs. Est-ce qu'éventuellement, on peut juste conduire en agglomération, faire certaines manœuvres pour se garer, etc. Et puis, ça aurait été beaucoup mieux pour moi. J'aurais moins tiré sur mes cervicales et sur mon dos. Et du coup, on sait bien que dans la conduite, il faut toujours tourner la tête dans tous les côtés. Il faut bien observer, etc. Et moi, c'était compliqué. Et donc, finalement, je me suis mis des bâtons dans les roues. Le fait de ne pas m'exprimer alors qu'en exprimant, ben voilà j'ai pas compris la séance, est-ce qu'on peut revoir certains points, ben là j'ai pas bien compris, est-ce que tu peux m'expliquer, etc. C'est très important de communiquer, vous le savez, mais encore plus parce que ça va vous aider à finalement avoir un meilleur apprentissage et puis à augmenter vos chances puisque vous allez travailler vos points faibles et ça c'est très important. Il y a aussi cette notion d'être jugé. peur d'être jugée et critiquée. Alors ça, moi, j'étais, alors je suis encore un peu, ça je ne vais pas mentir, je suis quelqu'un qui critique beaucoup, j'étais beaucoup dans l'autocritique. Alors forcément, si je m'autocritiquais, je critiquais aussi les autres, ça c'est sûr. Et ce qui se passait, c'est que j'étais en train de me dire, là ce n'est pas bien, alors là ça ne va pas. Là tu fais n'importe quoi. Je voyais même pas ce que je réussissais à faire, j'étais tellement focus sur ce qui n'y allait pas. C'est pour ça que le fait de critiquer, c'est bien la critique constructive, mais alors l'autocritique, se critiquer tout le temps, c'est se rabaisser, c'est comme si vous ne vous accordiez pas aussi cette valeur, qui est importante, qui est le respect aussi de vous-même. Et du coup, j'avais tendance à critiquer, puis du coup je me disais, « Bah oui, là ça va pas, regarde là t'as encore raté, t'as raté le… » La sortie du rond-point, tu t'es mal positionné, tu roules un peu trop à droite, etc. Donc, je n'avais même pas besoin. Alors déjà, le moniteur me faisait des réflexions, mais alors moi, je m'en rajoutais 100 fois plus. Et ça, forcément, c'est se tirer une balle dans le pied. La peur d'être jugé. Oui, alors le fait, c'est aussi en lien avec la peur de s'exprimer, parce que des fois, en s'exprimant, forcément, ça va impliquer d'être jugé. Et ça, c'est vicieux parce que du coup, des fois, on ne s'exprime pas parce qu'on n'a pas envie d'être jugé, alors que finalement, le moniteur, il est là pour quoi ? C'est un professionnel qui va nous aider à mieux comprendre finalement comment fonctionne le véhicule, mieux se comporter finalement pour la conduite. Bien sûr que nous, on a notre travail à faire au niveau du code, de la route, à le connaître par cœur parce que ça aussi, c'est important. Mais c'est lui qui va nous driver en quelque sorte. Et donc... Si moi je ne pose pas des questions parce que j'ai peur qu'ils me disent « Ah là là, celle-là elle ne comprend rien, celle-là elle est nulle. » Mais franchement, on s'en fiche finalement. Puisque lui il va passer à autre chose, il va passer à une autre personne, à un autre élève et puis de toute façon le jour où on aura le permis, on le verra peut-être même plus cette personne-là. Ce qui est important c'est nous, c'est de mieux comprendre. Et pour mieux comprendre, des fois on a besoin de poser des questions, on a besoin de revenir sur une manœuvre qu'on n'a pas compris et de la refaire et d'oser demander de refaire par exemple, moi je m'en rappelle, j'avais expliqué aussi dans un épisode, bon ben... Je ne comprenais pas ce qu'il me disait. Il me disait, là, regarde, tu as fait une erreur sur le rond-point. Bon, ok, je ne vois pas du tout. Donc, à un moment, je me dis, qu'est-ce que je fais ? À ce moment-là, j'avais commencé à changer mes habitudes. Et je me suis dit, non, je ne vais pas rester comme ça. Je ne vais pas attendre je ne sais combien de temps avant la prochaine séance. D'ici là, j'aurai oublié lui aussi. Ça ne sera pas le même moniteur. Donc, tout de suite, en amont, on prend les rênes de la conduite. Ce n'est pas que conduire, c'est aussi prendre les bonnes décisions pour nous. pour réussir, pour être prêt le jour de l'examen. Et donc là, je lui ai demandé, est-ce que je peux faire demi-tour pour revenir à ce rond-point, pour comprendre mon erreur ? Et je l'ai fait plusieurs fois. Et j'ai dit, et après, on s'est arrêté. Il m'a fait un petit schéma. Et ensuite, j'ai recontinué, et là, j'ai compris. Et alors, même si ça prend 10 explications, 15 cas pratiques, on est là pour apprendre. N'oublions pas que c'est quand même marqué auto-école, et qu'on est encore des élèves, et on a besoin du temps. Et chacun, à son temps, moi je sais que j'ai besoin de comprendre les choses. Et des fois, ce n'est pas en m'expliquant. Moi, il faut vraiment que je sois sûre-faite, accomplie. Mais des fois, on est tellement concentré, puis on est focus sur ce qui va se passer après, etc. On est encore novice. Donc, c'est un peu compliqué pour nous, des fois, de comprendre sur le moment quand il nous dit, tiens, là, tu as fait une erreur, etc. Donc, oubliez le jugement. Soyez proactifs et productifs en posant des questions. et en n'hésitant pas à revenir sur vos lacunes, vous verrez que vous allez y gagner. Donc, la peur de se tromper, ça aussi, le fait de... Moi, j'étais aussi comme ça. Je voulais tellement pas me tromper, comme je n'aimais pas la critique, donc je ne voulais pas me tromper. Donc du coup, je n'essayais pas plusieurs fois. Pour moi, c'est comme si il fallait que tout soit parfait dès le début. Alors que ce n'est pas possible. Mais c'était aussi mon mode de fonctionnement. C'est-à-dire que, ben non, je n'ai pas le droit à l'erreur. Il faut que je fasse, alors que ce n'est pas logique. Mais tout ça, c'est inconscient. Et du coup, ces comportements-là sont intéressants à identifier. Et donc, du coup, j'essayais de me tromper le moins possible. Et du coup, forcément, à chaque fois que je faisais des erreurs, je ne m'entraînais pas, je ne m'exerçais pas, finalement, à échouer, à faire des erreurs, pour finalement, plus j'en faisais, moins j'en aurais fait par la suite. Et c'est vrai que je le dis souvent, il vaut mieux faire mille fois la même chose, je suis sûre après d'obtenir un meilleur résultat, que de faire... mille fois différentes choses. Et donc là, on a besoin de rester focus, d'essayer, réitérer. On dit souvent qu'on donne l'échec, alors que non, l'échec, c'est le début de la réussite. Plus je vais échouer au début, de toute façon, le but, c'est de se tromper le maximum pendant que vous conduisez, pour être prêt justement, pour ne pas refaire ces erreurs, le jour J face à l'examinateur. Donc, oubliez la... peur de vous tromper. Vous êtes là pour vous tromper. Autorisez-vous à vous tromper. Autorisez-vous à ne pas bien faire. C'est le but. On est en apprentissage. Donc allez-y. Il y a aussi la peur du changement parce que ça peut-être que pour le moment vous n'avez pas le permis. Peut-être que c'est bientôt. Et c'est vrai que inconsciemment ça change de statut parce qu'à partir du moment où on a le permis... Alors là, c'est beaucoup plus simple. De toute façon, c'est le but, quand on passe le permis de conduire. La vie change totalement. On n'est plus là en train de galérer à trouver quelqu'un pour nous emmener quelque part, etc. C'est plus facile d'emprunter une voiture. On peut la louer, on peut l'emprunter. Le permis, je le dis souvent, le permis, on ne peut pas l'emprunter. Et donc, à partir du moment où on a ce permis, du coup, votre vie change. Vous avez besoin, par exemple, je vais donner un cas extrême. Il y a votre enfant qui est malade, quelqu'un de votre famille. Et puis, vous habitez loin, il n'y a pas d'hôpital à côté. Vous appelez, on vous dit, peut-être que les pompiers ne peuvent pas se déplacer tout de suite. On ne sait jamais. Et il vous dit, écoutez, il y a au moins 15-30 minutes avant que les secours viennent. Et là, s'ils vous disent, écoutez, est-ce que vous pouvez venir à l'hôpital ? Ça sera beaucoup mieux. Si on vous dit ça, qu'est-ce que vous faites ? Vous prenez votre voiture, vous avez votre permis, puis vous y allez illico presto. Et donc, ça peut sauver aussi une vie. Ça améliore notre qualité de vie, on peut sortir, on peut aller en week-end, on peut emmener les enfants à l'école, aux activités extrascolaires, on peut faire les courses, etc. Donc, on devient complètement indépendant. Et des fois, cette indépendance, elle peut nous faire peur, puisque c'est vraiment cette notion de liberté. Alors vous, est-ce que ça vous fait peur quand je vous parle de ce changement radical ? Parce que c'est vraiment un changement radical. Donc le fait d'avoir le permis, moi je ne me pose plus cette question. alors c'est vrai que moi je n'utilise pas parce que moi je suis en Je suis dans une grande ville à Paris, donc c'est plus pratique de prendre les transports, mais j'ai le permis, donc ça veut dire que si je dois me déplacer, j'ai plus ce problème. Donc, est-ce que vous arrivez à vous projeter avec votre permis, avec tous les changements ? Est-ce que vous vous sentez à l'aise, le fait de vous voir en train de conduire, emmener les enfants à l'école, aller en cours, aller voir la famille, voir les amis, aller en vacances ? Comment ça se passe intérieurement ? Moi, je veux bien que vous me partagiez vos commentaires. Donc cette autonomie, cette peur de devenir indépendant, autonome. Et je voulais aussi ajouter la peur de déplaire. Et c'est vrai que des fois, on n'ose pas dire certaines choses, on n'ose pas demander parce qu'on a une certaine image de nous, peut-être qu'on n'a pas envie de trop en demander parce que ça fait trop, ou peut-être d'être un peu dans une critique, même si elle est constructive, mais comment il va le prendre ? Mais si je dis ça, il va penser ça. Mais si je ne fais pas ça, il va penser que... Il va penser si, etc. Peut-être que... Pendant comme ça, vous vous dites, oh là là, elle est dans ma tête. Moi, c'était comme ça, c'est-à-dire, tout était une question. Si je lui dis ça, il va penser ça, il va penser que peut-être que je ne suis pas reconnaissante ou que je suis dans la critique ou que je suis ingrate. Enfin, bref. Et pourquoi toutes ces questions ? C'est vraiment fou. le cerveau avec toutes ces pensées par jour alors d'après les scientifiques on en a au moins 50 voire 60 mille pensées par jour vous imaginez quand on est concentré là dessus mais c'est un brouillard total donc on s'en fiche que vous ne plaisiez pas c'est des fois c'est inconscient comme je le disais donc s'il ne vous aime pas ou que en lui disant quelque chose ils le prennent mal et c'est vrai dans la vie de tous les jours des fois on n'ose pas dire les choses on n'ose pas dire non Parce qu'on n'a pas envie de paraître méchant, pas sympa vis-à-vis de la personne. N'oublions pas que nous sommes là pour nous et que lui, c'est son travail, quoi qu'il arrive. Et puis, à vous aussi de formuler. Moi, c'est ce que je fais aussi des fois. Des fois, il y a des choses que je dis, ben non, il va, oh non, non, ben non, il faut que je le dise parce que là, c'est important pour moi. Donc, qui est important ? Vous êtes important ? Tu es important pour toi-même ? Eh ben, on pose les questions. On ose dire les choses, c'est très, très important. même pour notre... évolution personnelle pour respecter nos limites, nous respecter nous-mêmes et aussi, ça nous permet aussi de garder cette confiance en nous, de nous montrer à nous-mêmes que nous avons de la valeur. Et ce n'est pas parce qu'on va dire quelque chose à quelqu'un et même s'il le prend mal, ce n'est pas grave. C'est à lui de voir comment il doit le prendre. Nous, on est là pour le même objectif, c'est pour apprendre, à conduire et surtout à se préparer le jour J. Donc, J'espère en tout cas que peut-être vous êtes reconnus dans toutes ces peurs. Et j'aborderai aussi les croyances. Je trouve ça pas mal parce que c'est vrai que là j'ai parlé des peurs. Donc là ça fait quand même quelques minutes. Donc je me dis si je mets les croyances et tout le reste, là il y en a pour une heure de podcast. Donc pour moi ça me semble déjà pas mal. Donc en tout cas si vous avez des questions, vous vous êtes retrouvés dans ces peurs. Peur de réussir. Peur d'échouer, peur de l'échec, peur de vous exprimer, d'être jugé, critiqué, de vous tromper, peur de ne pas bien faire, donc de mal faire, la peur du changement, la peur de devenir indépendant, autonome, la peur de demander ou oser demander quelque chose. Parce que moi, je trouve que c'est vraiment dommage parce que c'est vrai que le permis, il n'est pas gratuit, on le paye. Et du coup, le fait d'avoir une personne de confiance, en tout cas j'espère que vous avez un bon moniteur, et si ce n'est pas le cas, n'hésitez pas à changer. C'est important aussi d'avoir une bonne relation avec lui pour créer ce lien, pour que vous puissiez avoir cette confiance et de co-créer avec lui. C'est vraiment important, n'oubliez pas, c'est vraiment lui qui va avoir ce regard, qui va pouvoir vous apporter tout ce qu'il vous faut pour avoir plus confiance en vous, mieux conduire, travailler vos points faibles. Donc relevez aussi vos points forts, donc n'oubliez pas, il y a aussi un équilibre. On ne se focalise pas forcément que sur ce que vous n'arrivez pas à faire, n'oubliez pas que vous avez réussi certaines choses, des fois on a tendance à oublier ce qu'on a bien fait, ce qu'on a réussi à faire et à se focaliser. Oui, on se focalise quand même sur ce qu'on n'a pas réussi à faire, mais n'oubliez pas, ça ce sont les points à travailler. Et l'équilibre dans tout ça, c'est aussi de reconnaître qu'on évolue et que ça va beaucoup mieux.