Speaker #0Bonjour à toutes et à tous et bienvenue dans l'épisode numéro 11 du podcast Business Tips. Cet épisode qui est consacré aujourd'hui à comment mettre ses émotions au service de son business. Vaste sujet, vaste débat parce qu'on est fait d'émotions. Nous sommes humains donc nous sommes... quand on est humain, on est émotion. Et je vous explique... Aujourd'hui, pourquoi nos émotions sont à prendre en compte dans la gestion de notre business et comment on peut les mettre au service de notre entreprise. Ça, c'est hyper important. Évidemment, à la fin de l'épisode, comme d'habitude, je vous fais un petit récap de tout ce qu'on s'est dit. Alors, par rapport à la dimension émotionnelle, on va partir de trois postulats. Le premier, c'est que l'entrepreneuriat est un ensemble qui est complexe. complexe de par la gestion administrative, l'environnement administratif, l'environnement juridique qui est dense, qui est complexe, qui est technique. Et quand on est entrepreneur, on est confronté à cet environnement, justement, où on a des obligations qui en découlent. Il est complexe également d'un point de vue de la gestion de l'activité. Alors quand je dis la gestion de l'activité, c'est le commercial, c'est la gestion financière. Manager sa trésor, c'est aussi manager ses équipes, manager ses collaborateurs, dynamiser sans cesse son activité, capter les tendances pour améliorer son activité, proposer toujours de meilleures offres aux clients, etc. Et donc tout ça fait qu'à un moment donné, l'entrepreneur doit être sur tous les fronts. Même si vous déléguez des tâches, vous devez connaître. les tâches que vous déléguez à minima, pas forcément les maîtriser, puisque sinon, ça ne sert à rien de les déléguer si vous les maîtrisez, mais vous devez effectivement les connaître. Et donc, on est vraiment sur tous les fronts. On est sur de l'administratif, sur du financier, sur du commercial, sur des ressources humaines, etc. Vraiment, c'est hyper dense. C'est aussi dense que c'est riche, en fait. Donc, voilà. La charge de travail, du coup, elle est aussi dense que technique, forcément. Et l'objectif que l'on recherche tous, c'est évidemment d'arriver à une croissance de son activité. À minima, ne pas se planter. Donc, c'est vraiment l'entrepreneuriat, c'est un système, un ensemble qui est complexe. Ça, c'est le premier postulat. Le deuxième postulat, c'est que... Les émotions sont propres à l'humain. Je vous l'ai dit en introduction, on est humain, on est émotion. Effectivement, on est fait d'émotions. Alors, propre à l'humain, quand je dis propre à l'humain, évidemment, les animaux aussi. Mais pour le moment, aujourd'hui, on va se concentrer sur l'humain. Et quand je dis ça, c'est que je veux dire par là que c'est impossible de gérer nos vies professionnelles et de gérer nos vies personnelles Sans prendre en compte justement ces émotions, cette dimension émotionnelle qui nous entoure, qui fait que nous sommes ce que nous ressentons finalement. Donc cette dimension-là, c'est un deuxième postulat qui va nous permettre de comprendre comment justement mettre au service de notre business nos émotions. Et enfin... Troisième et dernier postulat, c'est que nos émotions peuvent nous faire prendre des décisions complètement irrationnelles. Pourquoi ? Parce que dans certaines situations, on se laisse guider par nos émotions, ce qui est vraiment pas bon du tout. Et quand je dis ça, je pense évidemment à la première émotion que l'on ressent tous et toutes dans nos vies, qu'elles soient personnelles ou professionnelles, c'est la peur. La peur, elle peut nous faire prendre des décisions irrationnelles, nous faire nous engager dans des dépenses. inconsidéré ou à minima inutile. Et je voudrais vous donner un exemple qui est très simple et qui est parlant pour tout le monde. C'est l'exemple du litige client. Quand vous avez un client qui vous exprime une insatisfaction sur le produit que vous lui avez vendu ou sur le service que vous lui avez apporté, qu'il exprime d'une manière... après colérique ou pas, peu importe, mais qui vous l'exprime et qui derrière vous menace d'un litige judiciaire, votre premier réflexe, si vous craignez effectivement ce genre de litige-là, les litiges judiciaires, les procès, etc., votre premier réflexe, c'est de vous laisser guider par la peur. C'est un réflexe qui est immédiat. Je pourrais presque dire que c'est une généralité, c'est-à-dire qu'on se laisse... Notre premier réflexe, c'est à tous, à toutes et à tous, c'est de nous laisser guider par notre émotion, et donc dans ce cas-là, de nous laisser guider par la peur. Et donc, quelle est la décision qui va en découler si on se laisse guider par la peur ? C'est une décision qui peut être irrationnelle et qui peut mettre en péril notre activité, comme par exemple, lui faire une énorme ristourne sur le prix du produit ou sur le prix du service. Voilà, ça c'est... Et ça, c'est vraiment à éviter parce que, comme dit, si vous prenez ce genre de décision, ben ouais, à un moment donné, ça peut vous coûter votre boîte. Alors évidemment, pas dans tous les cas, mais il faut quand même avoir ça en tête parce que l'émotion, elle n'est pas toujours bonne pour la prise de nos décisions dans notre business. Or, il faut que, justement, vos décisions de business, en tout cas certaines, soit prise dans une totale rationalité. Important. Et la rationalité, elle ne laisse pas place à l'émotionnel. Donc on a deux éléments qui se confrontent. La rationalité où on doit garder la tête froide et l'émotionnel où on a tendance à se laisser guider justement par ce qu'on ressent, par nos sentiments, par nos émotions. Donc je pense que vous l'avez compris. Il s'agit dans la gestion de notre business au quotidien de trouver un juste équilibre entre la considération de nos émotions dans la prise de nos décisions dans notre vie professionnelle et une prise de décision parfaitement rationnelle dans notre business. Voilà, donc c'est vraiment ce à quoi il faut arriver à faire le juste équilibre. Alors premier point. Pour justement aller à la quête de cet équilibre-là, à trouver, le premier point c'est qu'on doit dissocier les décisions à prendre qui relèvent à 100% de la rationalité et celles qui relèvent d'une prise de décision, de la considération de la dimension émotionnelle. Je vous prends deux exemples justement de prises de décision qui relèvent l'une de la rationalité et l'autre un peu plus de l'émotionnel. La première, j'en reviens à mon premier exemple du litige client, ça c'est une prise de décision qui relève à 100% de la rationalité. Dans ce cas-là, vous devez absolument garder la tête froide. De toute façon, tout ce qui touche à la trésorerie, à votre chiffre d'affaires, à votre rentabilité, à vos chiffres, de toute façon, doit... relevé de décisions 100% rationnelles. Vous ne devez pas vous laisser guider par vos émotions, par des émotions qui sont négatives telles que la peur, telle que la colère, telle que l'angoisse ou l'anxiété. Voilà, ça c'est hyper important. Ensuite, vous avez la deuxième catégorie de décisions, les décisions qui prennent en compte justement la dimension émotionnelle. Et celle-là, je prends l'exemple du management. Donc manager ses équipes, c'est aussi faire preuve d'empathie. Donc à un moment donné, vous devez intégrer vos émotions dans vos prises de décision managériales. Parce que vous devez, quand vous avez un collaborateur qui vient vous voir et qui vous dit voilà j'ai mon enfant qui est malade, je dois partir un peu plus tôt aujourd'hui parce que je dois aller chez le médecin pour justement le soigner, voilà, vous pouvez pas lui dire en 100% rationnel, non. Vous finissez à 18h, vous restez jusqu'à 18h au boulot. Non, il faut prendre la dimension émotionnelle, faire preuve d'empathie justement, faire preuve de compréhension et lui dire « Ok, c'est bon, vous partez plus tôt, pas de problème, le boulot sera rattrapé plus tard, ok très bien. » Après, il ne faut pas non plus trop prendre en compte ces émotions-là et trop prendre en compte cette dimension. Il faut trouver évidemment un juste milieu. Il faut quand même avoir une prise de considération, avoir une considération modérée des émotions. Parce qu'il ne s'agit pas non plus qu'à un moment donné, tous vos collaborateurs... s'en aillent deux heures plus tôt en journée ou le soir, et qu'au final, vous vous retrouviez à payer des équipes à temps plein, alors qu'en réalité, tout le monde fait dix heures de moins dans la semaine. Voilà, donc il faut quand même qu'il y ait une modération dans la considération de nos émotions. En tout cas, l'idée de ce premier point, de la dissociation de ces... deux catégories de décision, c'est d'analyser en fait le contexte dans lequel on se situe. Il faut qu'on prenne du recul pour pouvoir justement analyser le contexte, analyser la situation et catégoriser les décisions qui sont à prendre. ça nous... En fait, il ne faut pas réagir à chaud. Quand on doit garder la tête froide, on ne réagit pas à chaud. Et dans un premier temps, on enregistre les informations, on enregistre la situation, on enregistre le contexte et ensuite on catégorise. Le deuxième point pour arriver à trouver cet équilibre, ce juste équilibre entre la considération de vos émotions dans votre vie professionnelle et la prise de décision rationnelle dans votre business, le deuxième point, c'est de réussir à devenir antifragile. Alors quand je dis qu'il faut devenir antifragile, je m'explique, c'est qu'on doit devenir hermétique à toute perturbation potentielle qui proviendrait de l'extérieur. Quand je dis de l'extérieur, c'est pas de nous-mêmes. Donc il faut qu'on devienne, il faut que vous deveniez hermétique à la colère de votre client, à la menace de votre client, de sorte à ce que ce qu'il vous dit ne soit pas un facteur déclencheur de l'émotion qui va vous faire prendre une décision irrationnelle, c'est-à-dire la peur. Et pour ça, le meilleur moyen, alors un des meilleurs moyens, peut-être qu'il y en a d'autres, mais un des meilleurs moyens pour vous faire justement... pour vous rendre hermétique à tout ça, c'est de réussir à s'adapter en toutes circonstances. Et comment est-ce qu'on réussit à s'adapter en toutes circonstances ? C'est en se confrontant volontairement à des situations qui génèrent du stress. Alors quand je vous dis se confronter à des situations de stress volontaire, ce n'est pas aller vous confronter à des situations de litige client. Ce n'est pas du tout ça. Les situations de stress volontaire, ça va être des situations plutôt des situations un peu sans risque, sans risque pour votre business, sans risque pour vous non plus. Mais c'est par exemple se mettre dans une position inconfortable. Quand je dis une position inconfortable, c'est quoi ? C'est prendre une douche froide le matin. Personne n'aime prendre une douche froide le matin. On aime tous prendre une douche bien chaude, surtout au saut du lit. c'est faire du sport à haute intensité. Personne n'aime faire de sport, enfin pas grand monde n'aime faire de sport à haute intensité. Pourquoi ? Parce que voilà, il faut se challenger, il faut essayer de performer, on sort sa zone de confort. C'est faire un jeûne. Tout le monde aime manger et tout le monde a besoin de manger d'ailleurs, c'est un besoin primaire. Donc faire du jeûne, ça va à l'encontre de notre besoin premier. C'est en fait des situations de stress volontaire qui... C'est des situations qui nous font sortir de notre zone de confort. Et celles-là, elles viennent renforcer notre capacité d'adaptation à justement des situations de stress involontaires, comme par exemple ce litige client qui peut être un facteur déclencheur de peur et donc de prise de décision irrationnelle. Donc ça, c'est vraiment un super moyen pour vous rendre en fait hermétique à des... à toute perturbation potentielle que vous pouvez rencontrer dans votre business. Ensuite, il faut quand même que vous fassiez aussi preuve de discernement dans vos émotions. Parfois on est capable de déclencher une anxiété, une angoisse ou une peur pour quelque chose en fait de finalement complètement futile. Donc là ici c'est se dire ok j'analyse la situation, voilà est-ce que je me pose la question ? Alors tout ça, ça se fait en un millième de seconde. Mais je me pose la question, est-ce que c'est vraiment nécessaire de s'angoisser pour ça ? Est-ce que c'est vraiment nécessaire de se mettre en colère pour ça ? Est-ce que c'est vraiment nécessaire d'avoir une trouille bleue de ça ? L'exemple assez récent, c'est la guerre en Ukraine. On n'avait plus de moutarde. Est-ce que c'est nécessaire d'aller, de déclencher ? Quand on a eu cette information qu'on allait être en rupture de moutarde, est-ce que c'est vraiment nécessaire de ressentir de la peur et donc du coup de nous faire prendre une décision complètement irrationnelle de courir au supermarché pour acheter tout de suite 10 pots de moutarde et l'avoir en stock et au final on a vidé les rayons ? Non, c'est pas nécessaire. La moutarde, je veux dire, franchement, si on n'en a plus, c'est pas grave. C'est la vie, on va réussir quand même à manger sans moutarde. C'est pas... Ce n'est pas un aliment indispensable, ce n'est pas un aliment vital pour nous. Donc il faut quand même qu'on fasse preuve de discernement. Quand on est trop guidé par nos émotions, on a tendance justement à ne pas discerner l'émotion futile. de l'émotion qui est compréhensible finalement. Alors comment est-ce qu'on fait concrètement pour faire tout ça ? Quelles sont les actions à mettre en place ? Eh bien j'ai envie de vous dire que j'en sais rien. En fait j'ai pas de solution miracle et j'ai pas de recette magique. Par contre je peux vous partager ce qui marche pour moi. Il n'y a pas de solution miracle, pas de recette magique parce qu'en réalité, comme on est humain, on est unique, donc par définition, il n'y a pas de recette ou de solution universelle. Par contre, j'aimerais vous partager ce qui a marché pour moi parce que peut-être que ça peut aussi marcher pour vous ou vous donner des pistes de réflexion ou des actions à mettre en place. Alors le point que moi j'ai décidé de suivre parce que j'ai compris que c'est mon principal outil de travail, moi j'ai décidé à un moment donné d'investir en moi. Ce n'est pas du tout prétentieux ce que je dis, au contraire, c'est que je me considère comme mon propre outil de travail. Et dans son outil de travail, on doit investir. Donc j'ai décidé d'investir en moi. Alors je ne l'ai pas décidé il y a très très longtemps, mais je l'ai décidé il y a quelques années. mais j'investis en moi pour effectivement toujours être meilleure dans mon business et aussi être meilleure dans ma vie personnelle. Voilà le principe de... J'aime pas trop reprendre ça parce que c'est toujours un peu le mantra de ces fit girls qu'on voit sur tous les réseaux sociaux, c'est devenir la meilleure version de soi-même. Mais c'est un peu le cas, en fait, finalement. Alors... Comment investir en soi et ce que moi je fais justement en termes d'investissement et qui m'aide justement à gagner de l'antifragilité et d'être parfaitement hermétique aux situations de stress involontaires, c'est déjà de faire du sport. ça c'est le premier point parce qu'en fait le sport ça nous fait clairement sortir de notre confort l'humain est foncièrement foncièrement paresseux. Je veux dire par là que c'est qu'entre choisir une soirée ou une fin de journée à rester sur notre canapé et à chiller et choisir une grosse séance de sport où on va bien transpirer alors qu'il fait nuit dehors parce qu'on est en plein hiver etc. On va plutôt choisir la version canapé. Je veux dire on est tous comme ça à part si effectivement... Le sport est devenu une habitude, etc. Mais ça, c'est encore un autre sujet. Donc moi, ce que je fais, c'est que je fais du sport. Et en fait, plus généralement, j'essaie d'avoir toujours une activité physique un peu tous les jours, quelle qu'elle soit, ne serait-ce que d'aller marcher, en fait. Ça fait du bien. Et j'essaie de me challenger aussi de temps en temps. Donc en fait, je crée via mes challenges des situations de stress volontaire. Quand je vais courir, je regarde, comme je vais toujours courir avec une montre connectée, je regarde mes perfs de la dernière séance de course à pied et j'essaie de me dire, ok, je fais le même trajet et là j'essaie de gagner une minute. Souvent je gagne 10 secondes, je ne gagne pas une minute, parce que c'est très compliqué de gagner une minute comme ça juste sur deux séances de running. Mais voilà, donc j'essaye de me créer des situations de stress volontaires. Alors je vous mets à l'aise tout de suite, moi les douches froides c'est pas du tout dans mes plans, donc ça je ne le fais pas. Du jeûne, oui de temps en temps ça m'arrive d'en faire, mais pas volontairement par contre, c'est plutôt involontaire. Donc voilà, là où je me... Vraiment mes situations de stress volontaire, c'est principalement en fait le sport dans lequel j'essaie de me challenger un petit peu. Ensuite, deuxième action que je fais au quotidien, c'est de faire de la méditation. Alors pour moi, de la méditation guidée, j'arrive pas à me poser sur une chaise et puis à fermer les yeux et à faire de la méditation toute seule. Ça c'est impossible et pourtant ça fait quelques années que j'en fais déjà. Mais comme quoi, j'ai toujours encore besoin d'être guidée là-dedans. Ça me permet d'apprendre la prise de recul et l'analyse des situations. Alors vraiment, la méditation guidée, c'est quelque chose que je vous conseille parce que je vois vraiment une différence entre les années où je ne connaissais pas la méditation, donc du coup je n'en faisais pas. Et les années où j'en fais, effectivement, ça me fait gagner en prise de recul, en analyse, en sérénité, meilleure gestion du stress, etc. Et ensuite, dernière action que je fais au quotidien, je lis des livres de développement personnel pour toujours en apprendre un peu plus sur moi, sur mes émotions, sur ce qui m'entoure. Alors, si vous n'aimez pas lire, il y a la version audio des livres sur certaines applications. Sinon, évidemment, je vous recommande grandement le podcast de Gianni Bergandi qui s'appelle Optimist Avis, The Morning Note Show. Vous avez plus de 450 épisodes dans lesquels il vous livre ses lectures de développement personnel, de bouquins qui sont très réputés. ça va du Miracle Morning à... Tiny Habits, etc. Donc voilà, et il vous en fait un résumé. Donc ça peut, voilà, ça peut remplacer un livre. Évidemment, ça ne le remplacera pas à 100%, ça c'est sûr, mais en tout cas, ça peut déjà donner de très bonnes pistes. Voilà, on arrive à la fin de l'épisode. Donc comme je vous l'ai promis, on va récapituler les différents points qu'on a évoqués. Donc le premier point, c'est que vous devez dissocier les décisions qui nécessitent... La prise en compte de vos émotions est celle qui nécessite une prise de décision 100% rationnelle et donc de garder la tête froide. Et ça, ça passe par l'analyse de la situation et une prise de recul. Pour celles, pour les décisions où vous devez garder la tête froide, vous devez absolument devenir antifragile, donc hermétique aux situations de stress involontaires. aux facteurs, aux situations qui potentiellement perturbantes, qui viennent de votre environnement extérieur. Et dernier point, pour faire tout cela, vous devez investir en vous et mettre en place des actions telles que, pour moi, ce sont mes actions à moi qui ont marché pour moi, je le répète, ce ne sont pas des actions qui marchent de manière générale et universelle, faire du sport, de la méditation et lire. Voilà, je vous ai donné toutes les clés pour ne plus vous laisser guider par vos émotions, mais au contraire, trouver un juste équilibre entre la dimension émotionnelle et la prise de décision rationnelle pour votre business et justement mettre ces émotions au service de votre entreprise. À bientôt ! Merci à toutes et à tous de m'avoir suivi jusqu'à la fin. J'espère que cette émission vous a plu. Et rendez-vous sur notre page Insta pour me raconter vos retours d'expérience. Je suis toujours très curieuse de savoir comment ça s'est passé ou comment ça se passe pour vous. A très vite.