- Speaker #0
Une histoire à 15 films narratifs, aujourd'hui, la règle, c'est de se dire qu'un public ne peut pas suivre une série avec plus d'un certain nombre de personnages, parce qu'il y a un problème d'attachement, et ça c'est vrai. Mais si demain on fait une saison et on fait l'effet Rashomon avec 18 points de vue sur la même saison, peut-être que la question sera d'utiliser l'IA pour raconter ça un peu intelligemment. Une série fera une seule saison, mais sous 15 points de vue différents, et que ce sera intéressant et que chacun choisira le point de vue qui l'intéresse le plus dans l'histoire.
- Speaker #1
Bienvenue dans Deep Media, le podcast qui décrypte les médias à l'heure du numérique. Je suis Julien Bougeot, consultant social-média et IA générative, mais avant tout passionné et curieux de l'univers média depuis plus de 15 ans. Dans un écosystème en perpétuelle transformation, comment les médias s'adaptent-ils ? Comment se réinventer face aux nouvelles technologies ? et aux géants du numérique. Quel avenir pour l'information et ceux qui la produisent ? Si ces questions vous intriguent, alors vous êtes au bon endroit. VIP Média, c'est un temps de réflexion et d'échange avec celles et ceux qui façonnent l'avenir du secteur. A présent, place à la troisième et dernière partie de l'interview de Sébastien Charby, directeur général de 3ème MyStory, société de production spécialisée dans la fiction, qui fait partie du groupe MédiaOne. Bonne écoute. Sur l'enjeu effectivement de la distribution, donc tout à l'heure on a parlé de la distribution plus internationale, moi j'ai plutôt parlé Merci. La distribution consommation, on sait que la consommation peut être faite sur de multiples devices. On a la télévision, on a les smartphones, etc. Est-ce que un usage de ces technos peut être réfléchi aussi sur l'adaptation de vos productions pour une meilleure distribution selon les devices ? Concrètement, par exemple, pour du contenu social média, pour du contenu sur smartphone, du contenu tablette, etc.
- Speaker #0
Oui, aujourd'hui, il y a des agents qui sont très opérants là-dessus. On peut clairement trouver des solutions. Après, c'est plus que transformer une série qui est faite pour être consommée sur une télé par l'IA en une série qui va être consommée sur un téléphone. Je pense que ce n'est pas le même rapport. Il y a un truc de proximité dans la consommation de téléphone. En mode horizontal, on peut regarder n'importe quelle série, ce n'est pas mon point. Mais c'est de dire qu'aujourd'hui, l'émergence des verticales drama... C'est une autre narration, c'est une autre manière de penser, c'est d'autres talents. Donc en fait, c'est bizarre de se dire, bon, j'ai acheté une voiture, et en fait, l'IA va me le transformer en vélo électrique. Il y a un moment, ce n'est pas le même usage. Si je prends une voiture, c'est que je vais faire 500 km, si je prends un vélo électrique, c'est probablement que je vais en faire 15 ou 20. Donc pourquoi transformer l'un dans l'autre, alors que c'est deux usages différents ? Voilà, maintenant, là où c'est pertinent... ça va être sur la promotion des contenus, c'est-à-dire sur la base d'un contenu qui est possiblement consommable sur une télé, on peut faire du contenu additionnel promotionnel qui est déclinable sur plein de devices différents et qui va être pour le coup édité, séquencé et dont la diffusion va être rythmée par, et ça il y en a, des IA qui le font, et ça on va pouvoir le faire effectivement plus facilement, parce qu'avant on ne pouvait juste pas le faire. ou alors le faire très difficilement. Là, on va pouvoir le faire de manière un peu plus systématique.
- Speaker #1
D'accord. Je dis, ça nous emmène peut-être aussi sur un sujet autour des récits personnalisés, c'est-à-dire un petit peu cette idée de se dire que, effectivement, par rapport à une base éditoriale, donc une fiction, un scénario que vous avez fait, l'IA, de par des déclinaisons, ou en tout cas un retravail éditorial pour, allez, on va parler un peu marketing, différents sites, différents publics, on va plutôt être sur des publics, comment est-ce que... Vous imaginez que ça peut être un apport intéressant pour créer ces récits connexes ou ces récits complémentaires auprès d'audience personnalisée. Vous y croyez ?
- Speaker #0
Oui, mais là, c'est un poil plus loin parce que c'est comme toujours, la technologie bouge plus vite que les usages. Donc, il faut faire attention parce que... Enfin, il faut faire attention, ce n'est pas le terme. Mais je pense qu'il faut... Moi, je suis très technophile comme garçon et j'ai vu beaucoup de technologies arriver... Euh... Par exemple, quand le métaverse est arrivé, tout le monde nous a expliqué que la fiction allait se passer dans le métaverse. Je pense qu'on a oublié que c'était il y a à peine trois ans, et que plus personne n'en parle. Je pense aussi qu'il y a un moment où... D'ailleurs, vous posez votre question dans le bon sens. Il y a une forme d'appropriation et de proximité dans les œuvres. Ce qui me semble probable, c'est peut-être de se dire qu'on va se rapprocher d'une forme de... Pas de gamification, mais... de PNJ dans une série, en se disant, je vais peut-être suivre une séquence sur une histoire qui se déroule depuis mon point de vue. Et ça, c'est intéressant. J'ai un peu plus de doute sur l'espèce de serpent de mer de la fiction 100% interactive et tout ça, parce que c'est un peu... comme tout quoi. Oui, les gens peuvent aller dans un self, mais ils sont contents d'aller au restaurant, qu'on les serve, je crois. Donc parfois, il y a des moments où on a envie d'aller chercher l'histoire et parfois on a envie d'être pris par la main et qu'on me raconte l'histoire qu'on a imaginée sans que j'ai à me dire, ah au fait, tiens, est-ce que j'ai envie d'aller là, est-ce que j'ai envie d'aller là, voilà. Donc le point qui consiste à dire, il y a peut-être des lignes narratives secondaires que je vais pouvoir embrasser d'un point de vue différent grâce à ça, parce qu'on va pouvoir gérer une arborescence d'histoire qui est plus large grâce à l'IA. et grâce au gain de productivité qu'on a, possiblement, alors est-ce que ça va être à court ou à moyen terme ? J'ai l'impression qu'avant que ce soit à la masse, ça va plutôt être du moyen terme. Et après, sur la pure gamification et transformer la fiction en jeu vidéo, j'ai quand même l'impression que c'est deux usages différents. Moi, je joue aux jeux vidéo et puis il y a des moments où j'ai juste envie qu'on me raconte une histoire.
- Speaker #1
Et effectivement, c'est deux activités qui sont... Qui sont bien différentes. Est-ce que même cette éventuelle évolution, elle peut aussi passer par les plateformes ? On a souvenir, sur Netflix, on avait eu un épisode de Black Mirror qui s'appelait le Bandersnatch, je crois, où on avait quelque chose d'assez interactif. Alors, interactif, cela s'entend. C'était un peu le livre dont vous êtes le héros, dont vous faisiez des choix, etc. Sur des expériences comme ça, est-ce que vous les regardez un petit peu en mode musée, en se disant « c'est un bel objet et puis on en reparlera peut-être dans 25 ans » ? Ou est-ce que vous vous dites « tiens, ça m'intrigue » .
- Speaker #0
Le truc, c'est qu'on en parle depuis plus de 25 ans. Moi, j'ai commencé chez TF1, je me souviens au début des années 2000, d'une série qui s'appelle New York, une télé spéciale, qui avait fait un épisode interactif sur lequel on votait pour la fin et tout ça. Je sais plus ce que c'était ce jeu dans les années 80 présenté par Karen Chiaïl où il fallait piloter. Ce truc est tout sauf nouveau. Après on a des nouveaux outils pour le faire, mais encore une fois c'est là où je parle d'usage et nous on est très orienté vers qui sont les spectateurs d'aujourd'hui et de demain. Je ne crois pas une seconde que les spectateurs d'hier étaient 100% passifs et les spectateurs de demain sont 100% actifs. Je pense qu'il y a un truc d'écoute, d'attention, d'histoire qui se fait. Et si Netflix le fait, c'est un épisode de Black Mirror. Et par exemple, on parlait beaucoup du jeu vidéo comme remplaçant de la fiction. Mais en fait, on s'est rendu compte que les vrais remplaçants de la fiction dans le temps d'attention des gens, c'est plutôt le temps court que le temps... sélection. Sur TikTok, les gens peuvent passer une heure ou deux heures à scroller, mais ils ne regardent pas deux épisodes de 52 minutes. Ils regardent 120 épisodes d'une minute. Je pense que l'interaction est, à mon avis, possiblement là-dessus. Il se passe quelque chose au niveau du cerveau qui est addictif. Là où la prise de décision est quand même quelque chose d'actif, qui, chez des gens qui ont du temps, mais dès qu'il commence à y avoir une charge de travail est-ce que le soir on se remet dans une situation ou est-ce que sur son temps libre on se remet dans une situation d'être contributif à une histoire il y a une vraie question j'ai du mal à croire que ce sera 80% de la population demain qui fait ça je voulais aussi,
- Speaker #1
je me permets si on a encore un petit peu de temps vous pouvez réagir sur il y a un peu plus de deux ans on a vu la grève des scénaristes à Hollywood, je me souviens la plus grosse grève des scénaristes à Hollywood qui avait mis un petit peu en péril l'industrie des séries pendant quelques temps. Ça avait notamment été nourri largement par l'usage de l'IA. On sait qu'il y a des choses qui étaient sorties autour de l'utilisation d'avatar, de copies d'acteurs, etc. De manière générale, comment est-ce que vous aviez regardé ça ? Qu'est-ce que ça vous avait inspiré ? Et puis aussi sur ce sujet, on n'en avait pas parlé, de la génération d'avatar, de clones d'acteurs, de comédiens. Qu'est-ce que ça vous inspire pour la suite ?
- Speaker #0
Il y a un cran au-dessus parce que là, vous parlez de quelque chose dont les comédiens et les scénaristes se sont déjà emparés. Le cas le plus célèbre, c'est Robert Downey Jr. qui avait expliqué que ses avocats, après sa mort, se battront pour que ses images ne soient pas exploitées et que le dernier film qui tourne soit de son vivant et pas de sa mort. Donc ça, c'est des sujets qui sont déjà adressés par des stars assez puissantes à Hollywood, je crois. Et après, il y a encore une autre chose qui est la réponse à ça, c'est la création de comédiens et comédiennes, et donc comme on peut les voir sur les réseaux sociaux qui existent aujourd'hui, et aujourd'hui il y a des agents qui ont dit, moi je vais les représenter. Je pense que ce qu'il faut regarder, c'est quels sont les agents qui... qui font ça, c'est évidemment pas des agents qui ont des stars puissantes dans leur rang. Parce qu'immédiatement, il y a eu un tollé de toutes les stars présentes qui disaient, très bien, si vous décidez que maintenant vous allez faire la promotion d'acteur synthétique, moi je ne peux pas être représenté par cette personne qui préfère prendre un acteur ou une actrice synthétique plutôt que moi. Donc ça, je regarde ça dans le sens où... il va y avoir une profession qui va défendre son biftec et il va y avoir une profession qui va vouloir grandir le sien parce que les agents je pense qu'ils vont pratiquer, quand ils génèrent un comédien en synthétique, peut-être qu'ils ne prennent pas 10% de commission dessus, ils prennent probablement plus et à mon avis ça va être des intérêts divergents qui vont se heurter et on verra si c'est les agents ou si c'est les comédiens qu'on gagne cause là-dessus On regarde ça et puis on prend des paris sur la suite un petit peu Oui, mais je ne sais pas vous, mais je pense que c'est une question qui est plus fondamentale. En disant globalement, ce que dit l'IA, c'est qu'aujourd'hui, on peut tout remplacer. Maintenant, est-ce qu'on pense vraiment que l'IA est faite pour remplacer les gens ? Je ne suis pas sûr. C'est fait pour nous permettre de faire des choses qu'on ne pourrait pas faire aujourd'hui. Mais si on utilise des serveurs qui consomment je ne sais pas combien de gigawattheures, je ne sais pas combien de ressources, tout ça pour faire ce que des êtres humains font déjà, en se disant qu'on ne le fait pas mieux, mais qu'on le fait juste pour moins cher, à mon avis, on se trompe de débat. En revanche, si on utilise l'IA pour faire des choses qu'on ne peut pas faire, c'est un peu comme... Ce n'est pas parce qu'il y a des voitures qu'il ne faut plus marcher. Les voitures, elles ne servent pas à marcher.
- Speaker #1
Oui, bien sûr. C'est aussi un peu le même sujet sur tout ce qui était les traducteurs, etc. où on a eu aussi une... Une fonte qui est arrivée assez rapidement et on se disait que les versions étrangères allaient pouvoir être générées automatiquement. Mais on sent aussi que la chaleur humaine d'une voix s'entend encore à l'heure actuelle avec des outils qui en manquent encore singulièrement.
- Speaker #0
Et puis je ne sais pas si vous avez regardé la série The Studio qui a un épisode assez brillant là-dessus. Qui est à un moment, il va y avoir du name and shame sur les gens qui utilisent l'IA pour remplacer les personnes. Et je trouve ça assez légitime parce que si les gens qui utilisent l'IA... décident de le cacher, c'est qu'ils ne sont pas complètement à l'aise avec. Donc en fait, s'ils ne sont pas à l'aise avec, il faut dire qu'ils l'utilisent et qu'ils ne le disent pas.
- Speaker #1
Oui, c'est ça. Autant l'assumer, le mettre sur la place publique en disant, on l'utilise, mais en tout cas l'utiliser. Et puis, comme on l'a dit tout au long de cette discussion, c'est-à-dire que c'est un usage aussi raisonné, c'est un usage par fonction, par opportunité et pas effectivement par remplacement. Ça va permettre d'optimiser, d'avoir des nouvelles opportunités, mais pas nécessairement de... de remplacer les existants parce qu'il nous faut encore des créatifs et on souhaite en avoir encore longtemps.
- Speaker #0
Pour rebondir sur ce que vous disiez, une histoire à 15 films narratifs, aujourd'hui la règle c'est de se dire qu'un public ne peut pas suivre une série avec plus d'un certain nombre de personnages parce qu'il y a un problème d'attachement et ça c'est vrai. Mais si demain on fait une saison et on fait l'effet Rashomon avec 18 points de vue sur la même saison, Peut-être que la question sera d'utiliser l'IA pour raconter ça un peu intelligemment. Et peut-être qu'une série fera une seule saison, mais sous 15 points de vue différents. Et que ce sera intéressant et que chacun choisira le point de vue qui l'intéresse le plus dans l'histoire.
- Speaker #1
Et on en revient à nos récits un petit peu personnalisés dont on parlait tout à l'heure. Il y a plein d'opportunités. Mais c'est sûr qu'il y a des risques. Je pense qu'on est beaucoup à les identifier et à les pointer à juste titre. Mais il y a aussi plein d'opportunités et des opportunités qui n'étaient pas... pas possible avec les moyens qu'on a actuellement présents. On s'approche tout doucement de la fin, juste une petite question un peu prospective. Votre métier, votre domaine d'activité, l'activité 3ème OE Studio dans 5-10 ans, dans ce contexte on va dire d'ébullition permanente de l'IA générative, ça se présente comment selon vous ? Question très compliquée, j'en conviens.
- Speaker #0
Non mais parce qu'on est en plein dedans en fait donc ça va être compliqué d'y répondre mais je sais où j'en suis de la réflexion. Elle est de gérer un pivot sur le, et je pense que toute la filière doit s'emparer de ça, c'est-à-dire pas dans une forme de résistance, ce qui est un peu trop souvent le cas, je pense, malheureusement chez nous, de résistance au changement, mais pas dans une forme de naïveté face au changement. Et donc, je pense qu'il faut une responsabilité. Il faut intégrer qu'on ne va pas changer sans condition, mais en revanche, ce n'est pas nous qui allons décider du changement. Donc, nous, on est en train de réfléchir. sur quel niveau notre activité ça peut nous aider à soit aller plus vite, soit à faire mieux, et possiblement à avoir des récits qui vont toucher un public différent de par notre activité qui est intermédiaire. Aujourd'hui on travaille pour des diffuseurs, on ne travaille pas pour un public direct, mais ce que montre aujourd'hui l'émergence de tous les canaux, c'est qu'il y a une forme de désintermédiation, et aujourd'hui on pourrait à moindre coût... Je ne sais pas, je dis ça parce que moi je ne produis plus belle la vie, mais aujourd'hui, moi je ne m'interdis pas de réfléchir à plus belle la vie, mais qui est produite en direct, parce qu'en fait on fait des pastilles de deux minutes d'un quartier de vie, et j'ai 15 personnages qui font deux minutes tous les jours, et en fait j'ai 18 lignes à pondre chaque jour, mais à coup de deux minutes je peux le faire, et mon feuilleton il est quotidien, il est quasiment en temps réel, et c'est des personnages qui ont la même vie que moi, et puis je les suis, je les suis dans leurs grands mouvements, dans leurs... voilà. d'un seul coup ce truc là c'est plus du tout la même chose qu'à l'époque je le faisais, il fallait lever 50 millions pour faire ce projet là. Donc en fait il y a quand même une bascule sur ce qui est intermédiaire par intermédiaire, notre capacité à réinnover, quand on est producteur on doit prendre un risque producteur en se disant je crois à ça, je tente et si j'ai raison je développe. Moi, j'ai l'impression que l'IA, dans la bonne utilisation de l'IA, c'est un outil qui, comme tous les outils, a toujours été inventé. pour qu'un bon usage permette aux gens de se développer. on est un peu au coeur de ça de mon point de vue de producteur je pense que ce serait valable à plein d'endroits c'est de se dire tiens comment je vais faire mon métier un peu différemment mais peut-être avec des bottes de 7 lieux plutôt qu'avec des sabots aux pieds en
- Speaker #1
tout cas merci de terminer sur cette note assez positive et assez enthousiaste et voilà je vous rejoins en tout cas sur le côté il y a effectivement plein d'opportunités c'est vrai que le projet dont vous parliez et peut-être... effectivement captivants, intéressants, et puis aussi permettre de convoquer de nouveaux publics qui parfois peut-être délaissent aussi un petit peu les œuvres de fiction, etc. C'est aussi grâce à ces outils-là qu'on va peut-être aussi pouvoir raccrocher sur des nouveaux modes de consommation, des nouvelles habitudes.
- Speaker #0
Exactement, et je pense qu'on est pile à ce moment-là où il faut basculer parce qu'il y a un décrochage qu'on constate. Ce qui est formidable, c'est qu'on a un nouvel outil pour répondre à ce décrochage-là. Donc c'est quand même plutôt encourageant.
- Speaker #1
Saisissons-le. En tout cas, je vous remercie beaucoup. Merci. C'est la fin de la troisième et dernière partie de cette interview de Deep Media avec Sébastien Charbi, directeur général de Troisième Oeil Story, société de production spécialisée dans la fiction, qui fait partie du groupe MediaOne. On vous donne rendez-vous prochainement pour de nouvelles interviews avec celles et ceux qui façonnent l'avenir des médias à l'heure du numérique. En attendant, pour ne manquer aucun des prochains épisodes, abonnez-vous à ce podcast et mettez les étoiles et commentaires adéquats. Goût Média est un podcast autoproduit par Follow Me Conseil, agence de formation et conseil stratégique spécialisé en IA générative et social media. A très bientôt !