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Du 5km à l'ultratrail!

Ep 416:: Débriefing de mon week end choc!

Ep 416:: Débriefing de mon week end choc!

17min |06/04/2025|

687

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Description


Mes liens pour toi:



As-tu déjà rêvé de te lancer dans un ultratrail, mais tu ne sais pas par où commencer ?


Dans cet épisode du podcast "Du 5km à l'ultratrail!", je partage avec toi mon expérience récente d'un week-end choc d'entraînement, où j'ai couru près de 80 km sur deux jours. Ces sessions intenses sont essentielles pour préparer à la fois le corps et l'esprit à des courses longues, comme un ultratrail. Je te dévoile les clés de la réussite, en abordant des sujets cruciaux tels que l'hydratation et la nutrition durant ces entraînements intensifs.


Au fil de cet épisode, je te parle des bénéfices d'une bonne préparation mentale et des sacrifices nécessaires pour progresser dans la course à pied. Oui, il est vrai que ces moments d'entraînement peuvent parfois prendre du temps sur notre vie personnelle, mais ils sont également incroyablement gratifiants. Je partage avec toi les douleurs physiques que j'ai rencontrées après des courses longues et comment ces expériences m'ont aidé à mieux me préparer pour mes prochaines compétitions.


En plus des aspects techniques, je mets un point d'honneur à souligner l'importance de la motivation. Que tu sois un coureur débutant ou un athlète aguerri, il est essentiel de rester motivé et de se dépasser. Chaque premier kilomètre, chaque 10 kilomètres parcourus, te rapproche de ton objectif, que ce soit un marathon ou un ultra trail. Je te donne également des conseils pratiques sur le choix de tes chaussures de course et l'importance de la boisson d'effort pour optimiser tes performances.


Alors, si tu es prêt à relever le défi et à découvrir les secrets d'un entraînement efficace, rejoins-moi dans cet épisode inspirant. Ensemble, nous allons explorer le monde fascinant de la course à pied, du 5km à l'ultratrail, et je suis là pour t'encourager à continuer à progresser dans ton propre parcours de course. N'oublie pas, chaque pas compte, et je suis là pour te soutenir dans cette aventure incroyable!



Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

Transcription

  • Speaker #0

    et bienvenue trailleuse trailer rôneuse runner dans ce nouvel épisode du 5 km à l'ultra trail podcast qui partagent des conseils pour que vous puissiez courir et atteindre vos objectifs personnels dans la course à pied Et salut les amis, j'espère que vous allez bien en ce début de semaine. J'ai dû me reprendre parce que je disais en ce début de week-end, bon le week-end est fini malheureusement. Ah toute bonne chose, en fait moi je milite pour le week-end de trois jours. Je sais pas si ça passerait ou pas. Ceci étant dit, au mois de mai, il y a quand même pas mal de ponts et pour une fois je peux faire les ponts parce que dans l'armée, le mois de mai, généralement j'étais en mission et j'étais pas à la maison. Forcément j'étais en mer. Donc tous les... pont, ça sautait, je les voyais. Et là, pour le coup, je suis à la maison et c'est plutôt cool. Donc, au mois de mai, je ne sais pas, il y a trois... Il y a le premier week-end, le deuxième week-end et le dernier week-end. Finalement, il n'y a que deux semaines où ce sont apparemment des semaines complètes. Et on va en profiter. Alors, écoute, que te dire Je voulais sortir une vidéo YouTube entre autres aussi pour... Pour expliquer un petit peu le week-end choc, alors, bon, je suis un petit peu fatigué, je ne te cache pas. J'ai terminé mon week-end choc, là, il y a quelques heures, tranquille. Et j'aimerais débriefer un petit peu avec toi. Et puis, dans la vidéo YouTube, ce sera de comment organiser un week-end choc. Qu'est-ce qu'un week-end choc Les bénéfices Combien de temps sortir suivant un petit peu la distance que tu prépares Est-ce que c'est utile ou pas Ce genre de choses. Donc moi, oui, c'est utile. Je prépare le 5 km du Tint Valley Trade dans un mois, jour pour jour quasiment. Donc voilà, à mon sens, il faut se faire un petit week-end shock de temps en temps. Le week-end shock, c'est globalement... Bon, j'ai parlé en règle générale, mais c'est ton volume hebdomadaire à la semaine que tu fais en deux jours. Ou trois. Plutôt deux. Donc j'ai fait deux fois presque 40 km. J'ai fait 37 et 38. kilomètres je crois excuse moi 37 kilomètres hier, samedi avec 1600 et pareil aujourd'hui, alors c'est intéressant, c'est hyper intéressant les amis, ces week-end chocs c'est ce que je me disais aujourd'hui en fait, vraiment quand tu tapes sur des distances des longues distances c'est bien ça, j'ai mis mon téléphone en vibreur mais ça sonne quand même donc quand tu prépares des longues distances tu sais que tu vas passer des heures et des heures allez je vais dire à partir de 50 60 km en dessous tu es pas obligé de faire à mon sens un week-end choc les sorties longues répétées en version en de course de plus ou moins plus ou moins longue distance ou plutôt en termes de temps suffisent à préparer correctement même si un week-end choc peut le faire la ferme et il n'est pas essentiel maintenant à partir du moment où tu Tu vas passer des heures et des heures sur... Ben oui, ça devient essentiel de voir un petit peu comment tu réagis au bout d'un certain temps de fatigue. C'est ça qui est intéressant. Et c'est ça que je me suis aperçu en fait. Et à chaque fois que je fais un week-end choc, ça ne m'arrive pas hyper souvent parce que je ne fais pas des courses très souvent non plus, mais à chaque fois que j'en fais, j'ai toujours la même réflexion. Je me dis, en fait, ils sont essentiels. Ils sont essentiels parce que... C'est pas la première journée. La première journée, généralement, ok, même si j'ai pas forcément hyper l'habitude de faire des sorties longues de 40 bornes, on est d'accord, néanmoins, j'arrive à le faire et je suis pas explosé à la fin et ça se passe bien. Mais par contre, la deuxième journée, quand tu dois repartir, c'est plus compliqué, même quand tu... Moi, je me suis levé ce matin, donc avant la deuxième journée, déjà j'ai beaucoup bu hier, finalement, et c'est hyper important de... bien s'hydrater, vraiment, entre le premier et le deuxième jour. Donc ce matin, je me suis levé, j'avais rien. Sincèrement, si, j'ai eu mal aux orteils parce que je ne me suis pas bien coupé les ongles avant. Donc forcément, ça a un petit peu couiné et même si je me suis coupé les ongles entre hier et aujourd'hui, quand je suis parti, c'était sensible et c'est resté sensible toute la sortie. Aujourd'hui, qui a duré 5 heures, comme hier, finalement, que 5 heures. C'est vrai que... J'aurais pu pousser un petit peu plus loin, finalement, avec le recul. Bon, ça fait 40 km, c'est pas si mal que ça. Donc j'avais des orteils qui couinent un peu, mais ça l'a fait, j'ai pas eu d'ampoule, bon bref. Et donc le matin, comme si j'avais pas couru véritablement, la veille j'étais plutôt content, tu vois. Et quand on est parti, tout ça, au fur et à mesure, quand tu commences à rentrer dans le dur, bah oui, là le corps il se souvient que t'as couru 40 bornes la veille. Et c'est là où ça simule en fait. La fatigue d'une course. d'une course qui dure plusieurs heures. Une course qui dure typiquement 100 km, arriver au 50, 60e, oui, tu es fatigué. Et ce n'est pas parce que tu es fatigué que finalement tu vas abandonner. C'est normal d'être fatigué au 50 ou 60e km. C'est logique, il y a du dénivelé, il y a de la longueur. Ça n'arrive pas tous les jours de courir X heures. Mais la course, ça sert à ça, à te pousser. Mais les week-end shocks, ça te sert à te projeter sur la difficulté de ta course. C'est-à-dire que là, je me suis dit, j'ai mal aux jambes en fait, mais ça ne m'empêche pas de courir. Tiens, j'ai mal là. Ok, c'est là où je vais peut-être avoir mal si je ne m'entraîne pas pour le jour de ma course. Donc là, il faudra que j'axe mes efforts sur peut-être du renfort musculaire ou je ne sais pas, ce genre de choses. Donc là, on est psychologiquement... Je saute du coq à l'âne, mais c'est vrai que j'ai beaucoup de pensées qui viennent. Quand j'étais sur ma course aujourd'hui, je me disais... En fait, ça m'a projeté, pas dans la douleur, mais dans la difficulté de ce que sera ma course dans un mois. Et ça me prépare psychologiquement à endurer qu'à un moment ou à un autre, je n'aurais pas plus forcément envie de courir. Même sur du plat, peut-être. Et typiquement, quand on fait des 100 ou même des 160, quand c'est plat, arriver des kilomètres au centième ou 120, même plat, en fait, parfois, t'as même pas envie de courir. T'as plus envie parce que t'as mal aux jambes. Et 20 kilomètres plus tard, tu galopes, tu sais pas pourquoi, parce que t'as mangé. Et là, c'est ce qui s'est passé un petit peu. Alors non, parce que j'étais pas véritablement dans le dur. Aujourd'hui, sincèrement, alors ok, je sentais que... en montée, j'avais les jambes lourdes, mais j'avais les jambes lourdes, mais elles avançaient en fait, et j'étais super content en fait aujourd'hui, j'ai été super content, c'était cool, et même en descente, en descente, alors je sais pas pourquoi, je pense que psychologiquement hier, je me suis dit, t'as une deuxième journée, vas-y cool, et c'est ce que je dis à mes coachés, rends de course, voilà, tu cours comme si t'étais en course, donc hier j'étais sur la retenue entre guillemets, parce que j'avais une deuxième journée que je le savais, Mais là, aujourd'hui, je me suis vu en fin de course. Et en fin de course, les courses, elles sont rapides. Moi, il faut que je termine comme une balle, quand je peux. Et là, j'ai fait ma dernière heure et demie après le pic de Nord dans la descente. J'ai galopé comme un lapin. Et je me suis dit, hier, ce n'était pas ça. Et j'avais mal aux jambes. Les jambes étaient lourdes, mais je n'avais pas plus mal que ça. Et hop, j'ai galopé, j'ai galopé, j'ai galopé et je ne te cache pas que je l'ai payé. Je l'ai payé un petit peu parce que, en règle générale, je n'ai pas un entraînement très intensif. Je suis hyper endurant, il n'y a pas de problème. Mais bon voilà, je n'ai pas d'entraîneur, je me coach moi-même pour le coup. Donc, je n'ai pas forcément cette discipline que je devrais avoir de me rentrer dedans. Et c'est bien pour ça que les gens, ils prennent des entraîneurs, des coachs. pour un petit peu devoir rendre des comptes, se motiver et s'obliger à sortir moi j'ai pas ça parce que je considère que non en fait j'ai la flemme je suis pas certain de le faire même si je paye quelqu'un donc là je suis sorti j'ai couru vraiment à fond sincèrement j'étais assez content et ce qui s'est passé c'est que quand je suis arrivé au parking où j'avais laissé la voiture alors cet après-midi, j'ai roulé 40 minutes pour rentrer à la maison et quand je suis sorti de la voiture, ça faisait longtemps, très longtemps que je n'ai pas eu mal comme ça. J'ai eu mal au quadri, vraiment l'intérieur des cuisses des deux jambes. Comme ça au moins il n'y a pas de gêne. Et je me suis dit, en fait là, j'ai payé en fait. ma descente rapide, que je n'ai pas véritablement l'habitude, je le descends, mais pas pendant une heure et demie. Là, ça m'a vraiment, je le savais, quand je descendais, j'étais content, parce que 40 km hier, 40 aujourd'hui, et j'étais content de la forme que j'avais. Et je suis quand même content quelques heures plus tard en me disant, ouais, j'ai mal là, ça veut dire que, ok, là, j'ai besoin de travailler ça encore avant ma course. C'est cool, sincèrement c'est cool, c'est des axes d'amélioration, de progression, et je sais que si je cours comme ça sur ma course, je risque d'exploser assez vite, tout du moins si je fais ça dès le début. Maintenant si je fais ça vers la fin, 70-80, il y a des chances que je me fasse plaisir sur la fin, par contre je le paierai après. Donc c'est vrai que les week-end chocs, moi comme ça je me suis projeté sur ma course, dans un état de fatigue. ou juste courir, ça devient pénible. Et je sais que j'ai à peine touché du doigt en fait, parce que j'ai fait des week-end chocs où je courais 7-8 heures, notamment en montagne, donc c'était plus compliqué, plus dur, il y avait du dénivelé, là il y a Mij6, c'est bien, mais c'est limite pas assez pour véritablement m'impacter physiquement. Du coup, j'ai juste touché un petit peu une fatigue. mais pas à fond. Mais juste ça, ça m'a servi à me dire il faut que je me prépare, il faut que je me coupe les ongles, il faut que je fasse ça. Ça ne va pas être une partie de repos, clairement. Et juste pour ça, ça te plonge psychologiquement dans ta course. Et juste pour ça, fais des week-end chocs. Tu n'es pas obligé de faire des trucs énormes. Mais juste être en pré-fatigue, tu peux même faire du vélo la veille. et courir le lendemain, par exemple, sans rentrer dans un week-end choc, mais courir avec une petite pré-fatigue qui te dira, ouais, là, ouf, c'est dur, ça, c'est cool. Donc, je suis assez content de moi, de mon alimentation, elle s'est bien passée. J'ai quand même pas mal boulotté, finalement. J'ai fait mes deux repas, mes deux petits-déj, comme d'hab, Energy Plus, chocolat. Voilà, un shaker, j'ai bu ça dans ma voiture à trois quarts d'heure de la course, et c'est nickel les amis, vraiment, vraiment. Moi je vous conseille d'essayer, si vous voulez essayer, j'ai un code promo, mais sincèrement, moi ça m'enlève, je me fais pas chier, je prends ça, il y a des glucides, il y a des lipides, il y a des protéines, il y a tout ce qu'il faut, c'est pas mauvais, c'est bon, hop, et moi ça fait le taf. Et après, pendant le... Pendant mes deux jours, j'ai mangé grosso modo en duractive. Voilà, qu'est-ce que j'ai pris en duractive Les compotes. Alors je me suis aperçu que les compotes riz, riz, pomme, riz, pomme et je ne sais plus quoi, elles étaient beaucoup plus solides que les autres compotes fraises et pommes marrons. Donc je ne sais pas pourquoi, mais ce n'est pas mauvais. Il faut juste le savoir. Mais c'est passé relativement bien. Et puis les barres figues, elles sont trop bonnes. J'adore les deux barres qu'il a sorties, Alain, dans Directive. Ça passe très bien. Alors, c'est des petites doses en termes de glucides. Il n'y a que 15 grammes de glucides. Mais en version d'appoint, ça fait le taf. Donc voilà, je suis assez content de mon alimentation et hydratation aussi. Même si je n'ai pas assez bu à mon sens. Mais bon. J'avais peur de manquer d'eau. Mais c'est vrai que moi, j'ai un sac Red Light et j'ai des flasques de 650 ml. Donc, c'est toujours plus que 500 finalement. Donc, je ne les ai pas finis en fait. C'est là où je me dis que je n'ai pas assez bu. C'est mon péché mignon ça de ne pas assez boire. Mais bon. Donc, ça a été un week-end cool. Enfin cool. Il faut se lever quand même le matin. Il faut remettre ça. Je n'ai pas vu ma femme. du week-end quasiment, ça fait un peu chier mais bon, voilà j'ai essayé de me lever un petit peu plus tôt ce matin pour revenir un petit peu plus tôt, donc ça l'a fait j'étais là à 15h mais c'est des moments que je passe pas avec elle donc c'est vrai que faut s'en rendre compte que ok, c'est une passion pour tout le monde mais ça nous prend du temps, et c'est du temps qu'on passe pas avec quelqu'un d'autre peut-être, et c'est du temps perdu, qu'on va pas rattraper j'aurais pu sortir avec ma femme mais ce week-end, j'ai pas fait. Donc il y a des priorités et autant s'entraîner correctement pour valider un petit peu ces heures perdues et perdues entre guillemets. Voilà. Donc il n'y a pas de regrets. J'ai aucun regret en tout cas. Mais je suis... C'est même l'inverse. Je ne sais pas que je n'ai pas de regrets. C'est que je suis hyper content même de l'enseignement de ce week-end choc et que je me dis que oui, je suis... finalement, depuis janvier, ma reprise, tout ça, avec J'étais Malade, finalement, on arrive au mois d'avril, je suis capable de courir 2 fois 40 km. J'ai les cuisses un peu à cause de la descente, mais... C'est cool, c'est cool, je pense que dans un mois, ça va le faire, là je vais récupérer, je vais reprendre un petit peu, je vais travailler un petit peu les côtes, faire un petit peu de pliométrie, de renfots, et puis ça le fera quoi, j'ai rien à dire, ça le fera crème. Voilà, bon, je vais essayer, ce podcast, cet épisode sort normalement lundi, lundi 7 avril, je pense que vers 17-18h lundi. je ferai mon épisode YouTube qui sortira donc mardi, mardi 8 avril, où je t'expliquerai véritablement comment, comment on fait quoi et pourquoi. N'hésite pas à me poser des questions avant, peut-être la journée d'aujourd'hui, enfin d'aujourd'hui pour toi, le 7, pour que je puisse l'inclure dans la vidéo ou je te répondrai à l'issue, il n'y a pas de souci. Limite, si tu me poses des questions dans la vidéo, c'est bien pour l'algorithme YouTube. si tu regardes la vidéo jusqu'au bout c'est encore mieux pour le watch time comme ils appellent ça le référencement et le nombre de vues mais ouais donc mardi ce sera un petit peu plus éducatif, informatif et voilà, ah oui bonne nouvelle enfin bonne nouvelle je sais pas en même temps bonne nouvelle pour moi parce que bon ma tondeuse elle fonctionne bien et je me suis bien rasé les cheveux ah oui c'est court, c'est militaire c'est carré j'aime beaucoup ça Depuis que j'ai 14 ans, de toute façon, j'ai cette coupe. Donc voilà. Allez sur ce, les amis. Félicitations aussi. Félicitations à tous ceux qui ont couru. J'ai pas mal de coachés qui ont couru ce week-end. Et j'en ai malheureusement eu une qui s'est fait une entorse à quelques kilomètres de l'arrivée. C'est des choses qui arrivent, véritablement. Malheureusement, c'est des choses qui arrivent de se faire une entorse, de tomber. Elle s'est vraiment fait mal, mais... Ça ira pour elle, mais c'est vrai que quand on apprend ce genre de nouvelles, c'est jamais agréable, d'autant plus qu'elle s'était préparée, tout ça, et elle était bien, et clac, à 3 km de l'arrivée, je sais pas comment elle s'est débrouillée, mais elle a fini dans le décor, et ouais, c'est bien bien fait mal. Donc voilà, petite pensée pour elle, et félicitations à tous ceux qui ont couru, qui ont fait des sorties longues, qui ont profité du beau temps, bref, d'avoir cette discipline. Et continuer à progresser de semaine en semaine, tout simplement. Allez, sur ce, les amis, j'arrête de vous retenir. Je vous souhaite une très belle journée. Et on se retrouve demain ou après-midi ou très vite. Voilà. Allez, ciao, ciao.

Chapters

  • Introduction et présentation du week-end choc

    00:13

  • Définition et utilité du week-end choc

    01:42

  • Les effets de la fatigue sur la performance

    03:21

  • Préparation mentale et physique pour la course

    05:41

  • Conclusion et réflexions sur l'entraînement

    10:15

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Mes liens pour toi:



As-tu déjà rêvé de te lancer dans un ultratrail, mais tu ne sais pas par où commencer ?


Dans cet épisode du podcast "Du 5km à l'ultratrail!", je partage avec toi mon expérience récente d'un week-end choc d'entraînement, où j'ai couru près de 80 km sur deux jours. Ces sessions intenses sont essentielles pour préparer à la fois le corps et l'esprit à des courses longues, comme un ultratrail. Je te dévoile les clés de la réussite, en abordant des sujets cruciaux tels que l'hydratation et la nutrition durant ces entraînements intensifs.


Au fil de cet épisode, je te parle des bénéfices d'une bonne préparation mentale et des sacrifices nécessaires pour progresser dans la course à pied. Oui, il est vrai que ces moments d'entraînement peuvent parfois prendre du temps sur notre vie personnelle, mais ils sont également incroyablement gratifiants. Je partage avec toi les douleurs physiques que j'ai rencontrées après des courses longues et comment ces expériences m'ont aidé à mieux me préparer pour mes prochaines compétitions.


En plus des aspects techniques, je mets un point d'honneur à souligner l'importance de la motivation. Que tu sois un coureur débutant ou un athlète aguerri, il est essentiel de rester motivé et de se dépasser. Chaque premier kilomètre, chaque 10 kilomètres parcourus, te rapproche de ton objectif, que ce soit un marathon ou un ultra trail. Je te donne également des conseils pratiques sur le choix de tes chaussures de course et l'importance de la boisson d'effort pour optimiser tes performances.


Alors, si tu es prêt à relever le défi et à découvrir les secrets d'un entraînement efficace, rejoins-moi dans cet épisode inspirant. Ensemble, nous allons explorer le monde fascinant de la course à pied, du 5km à l'ultratrail, et je suis là pour t'encourager à continuer à progresser dans ton propre parcours de course. N'oublie pas, chaque pas compte, et je suis là pour te soutenir dans cette aventure incroyable!



Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

Transcription

  • Speaker #0

    et bienvenue trailleuse trailer rôneuse runner dans ce nouvel épisode du 5 km à l'ultra trail podcast qui partagent des conseils pour que vous puissiez courir et atteindre vos objectifs personnels dans la course à pied Et salut les amis, j'espère que vous allez bien en ce début de semaine. J'ai dû me reprendre parce que je disais en ce début de week-end, bon le week-end est fini malheureusement. Ah toute bonne chose, en fait moi je milite pour le week-end de trois jours. Je sais pas si ça passerait ou pas. Ceci étant dit, au mois de mai, il y a quand même pas mal de ponts et pour une fois je peux faire les ponts parce que dans l'armée, le mois de mai, généralement j'étais en mission et j'étais pas à la maison. Forcément j'étais en mer. Donc tous les... pont, ça sautait, je les voyais. Et là, pour le coup, je suis à la maison et c'est plutôt cool. Donc, au mois de mai, je ne sais pas, il y a trois... Il y a le premier week-end, le deuxième week-end et le dernier week-end. Finalement, il n'y a que deux semaines où ce sont apparemment des semaines complètes. Et on va en profiter. Alors, écoute, que te dire Je voulais sortir une vidéo YouTube entre autres aussi pour... Pour expliquer un petit peu le week-end choc, alors, bon, je suis un petit peu fatigué, je ne te cache pas. J'ai terminé mon week-end choc, là, il y a quelques heures, tranquille. Et j'aimerais débriefer un petit peu avec toi. Et puis, dans la vidéo YouTube, ce sera de comment organiser un week-end choc. Qu'est-ce qu'un week-end choc Les bénéfices Combien de temps sortir suivant un petit peu la distance que tu prépares Est-ce que c'est utile ou pas Ce genre de choses. Donc moi, oui, c'est utile. Je prépare le 5 km du Tint Valley Trade dans un mois, jour pour jour quasiment. Donc voilà, à mon sens, il faut se faire un petit week-end shock de temps en temps. Le week-end shock, c'est globalement... Bon, j'ai parlé en règle générale, mais c'est ton volume hebdomadaire à la semaine que tu fais en deux jours. Ou trois. Plutôt deux. Donc j'ai fait deux fois presque 40 km. J'ai fait 37 et 38. kilomètres je crois excuse moi 37 kilomètres hier, samedi avec 1600 et pareil aujourd'hui, alors c'est intéressant, c'est hyper intéressant les amis, ces week-end chocs c'est ce que je me disais aujourd'hui en fait, vraiment quand tu tapes sur des distances des longues distances c'est bien ça, j'ai mis mon téléphone en vibreur mais ça sonne quand même donc quand tu prépares des longues distances tu sais que tu vas passer des heures et des heures allez je vais dire à partir de 50 60 km en dessous tu es pas obligé de faire à mon sens un week-end choc les sorties longues répétées en version en de course de plus ou moins plus ou moins longue distance ou plutôt en termes de temps suffisent à préparer correctement même si un week-end choc peut le faire la ferme et il n'est pas essentiel maintenant à partir du moment où tu Tu vas passer des heures et des heures sur... Ben oui, ça devient essentiel de voir un petit peu comment tu réagis au bout d'un certain temps de fatigue. C'est ça qui est intéressant. Et c'est ça que je me suis aperçu en fait. Et à chaque fois que je fais un week-end choc, ça ne m'arrive pas hyper souvent parce que je ne fais pas des courses très souvent non plus, mais à chaque fois que j'en fais, j'ai toujours la même réflexion. Je me dis, en fait, ils sont essentiels. Ils sont essentiels parce que... C'est pas la première journée. La première journée, généralement, ok, même si j'ai pas forcément hyper l'habitude de faire des sorties longues de 40 bornes, on est d'accord, néanmoins, j'arrive à le faire et je suis pas explosé à la fin et ça se passe bien. Mais par contre, la deuxième journée, quand tu dois repartir, c'est plus compliqué, même quand tu... Moi, je me suis levé ce matin, donc avant la deuxième journée, déjà j'ai beaucoup bu hier, finalement, et c'est hyper important de... bien s'hydrater, vraiment, entre le premier et le deuxième jour. Donc ce matin, je me suis levé, j'avais rien. Sincèrement, si, j'ai eu mal aux orteils parce que je ne me suis pas bien coupé les ongles avant. Donc forcément, ça a un petit peu couiné et même si je me suis coupé les ongles entre hier et aujourd'hui, quand je suis parti, c'était sensible et c'est resté sensible toute la sortie. Aujourd'hui, qui a duré 5 heures, comme hier, finalement, que 5 heures. C'est vrai que... J'aurais pu pousser un petit peu plus loin, finalement, avec le recul. Bon, ça fait 40 km, c'est pas si mal que ça. Donc j'avais des orteils qui couinent un peu, mais ça l'a fait, j'ai pas eu d'ampoule, bon bref. Et donc le matin, comme si j'avais pas couru véritablement, la veille j'étais plutôt content, tu vois. Et quand on est parti, tout ça, au fur et à mesure, quand tu commences à rentrer dans le dur, bah oui, là le corps il se souvient que t'as couru 40 bornes la veille. Et c'est là où ça simule en fait. La fatigue d'une course. d'une course qui dure plusieurs heures. Une course qui dure typiquement 100 km, arriver au 50, 60e, oui, tu es fatigué. Et ce n'est pas parce que tu es fatigué que finalement tu vas abandonner. C'est normal d'être fatigué au 50 ou 60e km. C'est logique, il y a du dénivelé, il y a de la longueur. Ça n'arrive pas tous les jours de courir X heures. Mais la course, ça sert à ça, à te pousser. Mais les week-end shocks, ça te sert à te projeter sur la difficulté de ta course. C'est-à-dire que là, je me suis dit, j'ai mal aux jambes en fait, mais ça ne m'empêche pas de courir. Tiens, j'ai mal là. Ok, c'est là où je vais peut-être avoir mal si je ne m'entraîne pas pour le jour de ma course. Donc là, il faudra que j'axe mes efforts sur peut-être du renfort musculaire ou je ne sais pas, ce genre de choses. Donc là, on est psychologiquement... Je saute du coq à l'âne, mais c'est vrai que j'ai beaucoup de pensées qui viennent. Quand j'étais sur ma course aujourd'hui, je me disais... En fait, ça m'a projeté, pas dans la douleur, mais dans la difficulté de ce que sera ma course dans un mois. Et ça me prépare psychologiquement à endurer qu'à un moment ou à un autre, je n'aurais pas plus forcément envie de courir. Même sur du plat, peut-être. Et typiquement, quand on fait des 100 ou même des 160, quand c'est plat, arriver des kilomètres au centième ou 120, même plat, en fait, parfois, t'as même pas envie de courir. T'as plus envie parce que t'as mal aux jambes. Et 20 kilomètres plus tard, tu galopes, tu sais pas pourquoi, parce que t'as mangé. Et là, c'est ce qui s'est passé un petit peu. Alors non, parce que j'étais pas véritablement dans le dur. Aujourd'hui, sincèrement, alors ok, je sentais que... en montée, j'avais les jambes lourdes, mais j'avais les jambes lourdes, mais elles avançaient en fait, et j'étais super content en fait aujourd'hui, j'ai été super content, c'était cool, et même en descente, en descente, alors je sais pas pourquoi, je pense que psychologiquement hier, je me suis dit, t'as une deuxième journée, vas-y cool, et c'est ce que je dis à mes coachés, rends de course, voilà, tu cours comme si t'étais en course, donc hier j'étais sur la retenue entre guillemets, parce que j'avais une deuxième journée que je le savais, Mais là, aujourd'hui, je me suis vu en fin de course. Et en fin de course, les courses, elles sont rapides. Moi, il faut que je termine comme une balle, quand je peux. Et là, j'ai fait ma dernière heure et demie après le pic de Nord dans la descente. J'ai galopé comme un lapin. Et je me suis dit, hier, ce n'était pas ça. Et j'avais mal aux jambes. Les jambes étaient lourdes, mais je n'avais pas plus mal que ça. Et hop, j'ai galopé, j'ai galopé, j'ai galopé et je ne te cache pas que je l'ai payé. Je l'ai payé un petit peu parce que, en règle générale, je n'ai pas un entraînement très intensif. Je suis hyper endurant, il n'y a pas de problème. Mais bon voilà, je n'ai pas d'entraîneur, je me coach moi-même pour le coup. Donc, je n'ai pas forcément cette discipline que je devrais avoir de me rentrer dedans. Et c'est bien pour ça que les gens, ils prennent des entraîneurs, des coachs. pour un petit peu devoir rendre des comptes, se motiver et s'obliger à sortir moi j'ai pas ça parce que je considère que non en fait j'ai la flemme je suis pas certain de le faire même si je paye quelqu'un donc là je suis sorti j'ai couru vraiment à fond sincèrement j'étais assez content et ce qui s'est passé c'est que quand je suis arrivé au parking où j'avais laissé la voiture alors cet après-midi, j'ai roulé 40 minutes pour rentrer à la maison et quand je suis sorti de la voiture, ça faisait longtemps, très longtemps que je n'ai pas eu mal comme ça. J'ai eu mal au quadri, vraiment l'intérieur des cuisses des deux jambes. Comme ça au moins il n'y a pas de gêne. Et je me suis dit, en fait là, j'ai payé en fait. ma descente rapide, que je n'ai pas véritablement l'habitude, je le descends, mais pas pendant une heure et demie. Là, ça m'a vraiment, je le savais, quand je descendais, j'étais content, parce que 40 km hier, 40 aujourd'hui, et j'étais content de la forme que j'avais. Et je suis quand même content quelques heures plus tard en me disant, ouais, j'ai mal là, ça veut dire que, ok, là, j'ai besoin de travailler ça encore avant ma course. C'est cool, sincèrement c'est cool, c'est des axes d'amélioration, de progression, et je sais que si je cours comme ça sur ma course, je risque d'exploser assez vite, tout du moins si je fais ça dès le début. Maintenant si je fais ça vers la fin, 70-80, il y a des chances que je me fasse plaisir sur la fin, par contre je le paierai après. Donc c'est vrai que les week-end chocs, moi comme ça je me suis projeté sur ma course, dans un état de fatigue. ou juste courir, ça devient pénible. Et je sais que j'ai à peine touché du doigt en fait, parce que j'ai fait des week-end chocs où je courais 7-8 heures, notamment en montagne, donc c'était plus compliqué, plus dur, il y avait du dénivelé, là il y a Mij6, c'est bien, mais c'est limite pas assez pour véritablement m'impacter physiquement. Du coup, j'ai juste touché un petit peu une fatigue. mais pas à fond. Mais juste ça, ça m'a servi à me dire il faut que je me prépare, il faut que je me coupe les ongles, il faut que je fasse ça. Ça ne va pas être une partie de repos, clairement. Et juste pour ça, ça te plonge psychologiquement dans ta course. Et juste pour ça, fais des week-end chocs. Tu n'es pas obligé de faire des trucs énormes. Mais juste être en pré-fatigue, tu peux même faire du vélo la veille. et courir le lendemain, par exemple, sans rentrer dans un week-end choc, mais courir avec une petite pré-fatigue qui te dira, ouais, là, ouf, c'est dur, ça, c'est cool. Donc, je suis assez content de moi, de mon alimentation, elle s'est bien passée. J'ai quand même pas mal boulotté, finalement. J'ai fait mes deux repas, mes deux petits-déj, comme d'hab, Energy Plus, chocolat. Voilà, un shaker, j'ai bu ça dans ma voiture à trois quarts d'heure de la course, et c'est nickel les amis, vraiment, vraiment. Moi je vous conseille d'essayer, si vous voulez essayer, j'ai un code promo, mais sincèrement, moi ça m'enlève, je me fais pas chier, je prends ça, il y a des glucides, il y a des lipides, il y a des protéines, il y a tout ce qu'il faut, c'est pas mauvais, c'est bon, hop, et moi ça fait le taf. Et après, pendant le... Pendant mes deux jours, j'ai mangé grosso modo en duractive. Voilà, qu'est-ce que j'ai pris en duractive Les compotes. Alors je me suis aperçu que les compotes riz, riz, pomme, riz, pomme et je ne sais plus quoi, elles étaient beaucoup plus solides que les autres compotes fraises et pommes marrons. Donc je ne sais pas pourquoi, mais ce n'est pas mauvais. Il faut juste le savoir. Mais c'est passé relativement bien. Et puis les barres figues, elles sont trop bonnes. J'adore les deux barres qu'il a sorties, Alain, dans Directive. Ça passe très bien. Alors, c'est des petites doses en termes de glucides. Il n'y a que 15 grammes de glucides. Mais en version d'appoint, ça fait le taf. Donc voilà, je suis assez content de mon alimentation et hydratation aussi. Même si je n'ai pas assez bu à mon sens. Mais bon. J'avais peur de manquer d'eau. Mais c'est vrai que moi, j'ai un sac Red Light et j'ai des flasques de 650 ml. Donc, c'est toujours plus que 500 finalement. Donc, je ne les ai pas finis en fait. C'est là où je me dis que je n'ai pas assez bu. C'est mon péché mignon ça de ne pas assez boire. Mais bon. Donc, ça a été un week-end cool. Enfin cool. Il faut se lever quand même le matin. Il faut remettre ça. Je n'ai pas vu ma femme. du week-end quasiment, ça fait un peu chier mais bon, voilà j'ai essayé de me lever un petit peu plus tôt ce matin pour revenir un petit peu plus tôt, donc ça l'a fait j'étais là à 15h mais c'est des moments que je passe pas avec elle donc c'est vrai que faut s'en rendre compte que ok, c'est une passion pour tout le monde mais ça nous prend du temps, et c'est du temps qu'on passe pas avec quelqu'un d'autre peut-être, et c'est du temps perdu, qu'on va pas rattraper j'aurais pu sortir avec ma femme mais ce week-end, j'ai pas fait. Donc il y a des priorités et autant s'entraîner correctement pour valider un petit peu ces heures perdues et perdues entre guillemets. Voilà. Donc il n'y a pas de regrets. J'ai aucun regret en tout cas. Mais je suis... C'est même l'inverse. Je ne sais pas que je n'ai pas de regrets. C'est que je suis hyper content même de l'enseignement de ce week-end choc et que je me dis que oui, je suis... finalement, depuis janvier, ma reprise, tout ça, avec J'étais Malade, finalement, on arrive au mois d'avril, je suis capable de courir 2 fois 40 km. J'ai les cuisses un peu à cause de la descente, mais... C'est cool, c'est cool, je pense que dans un mois, ça va le faire, là je vais récupérer, je vais reprendre un petit peu, je vais travailler un petit peu les côtes, faire un petit peu de pliométrie, de renfots, et puis ça le fera quoi, j'ai rien à dire, ça le fera crème. Voilà, bon, je vais essayer, ce podcast, cet épisode sort normalement lundi, lundi 7 avril, je pense que vers 17-18h lundi. je ferai mon épisode YouTube qui sortira donc mardi, mardi 8 avril, où je t'expliquerai véritablement comment, comment on fait quoi et pourquoi. N'hésite pas à me poser des questions avant, peut-être la journée d'aujourd'hui, enfin d'aujourd'hui pour toi, le 7, pour que je puisse l'inclure dans la vidéo ou je te répondrai à l'issue, il n'y a pas de souci. Limite, si tu me poses des questions dans la vidéo, c'est bien pour l'algorithme YouTube. si tu regardes la vidéo jusqu'au bout c'est encore mieux pour le watch time comme ils appellent ça le référencement et le nombre de vues mais ouais donc mardi ce sera un petit peu plus éducatif, informatif et voilà, ah oui bonne nouvelle enfin bonne nouvelle je sais pas en même temps bonne nouvelle pour moi parce que bon ma tondeuse elle fonctionne bien et je me suis bien rasé les cheveux ah oui c'est court, c'est militaire c'est carré j'aime beaucoup ça Depuis que j'ai 14 ans, de toute façon, j'ai cette coupe. Donc voilà. Allez sur ce, les amis. Félicitations aussi. Félicitations à tous ceux qui ont couru. J'ai pas mal de coachés qui ont couru ce week-end. Et j'en ai malheureusement eu une qui s'est fait une entorse à quelques kilomètres de l'arrivée. C'est des choses qui arrivent, véritablement. Malheureusement, c'est des choses qui arrivent de se faire une entorse, de tomber. Elle s'est vraiment fait mal, mais... Ça ira pour elle, mais c'est vrai que quand on apprend ce genre de nouvelles, c'est jamais agréable, d'autant plus qu'elle s'était préparée, tout ça, et elle était bien, et clac, à 3 km de l'arrivée, je sais pas comment elle s'est débrouillée, mais elle a fini dans le décor, et ouais, c'est bien bien fait mal. Donc voilà, petite pensée pour elle, et félicitations à tous ceux qui ont couru, qui ont fait des sorties longues, qui ont profité du beau temps, bref, d'avoir cette discipline. Et continuer à progresser de semaine en semaine, tout simplement. Allez, sur ce, les amis, j'arrête de vous retenir. Je vous souhaite une très belle journée. Et on se retrouve demain ou après-midi ou très vite. Voilà. Allez, ciao, ciao.

Chapters

  • Introduction et présentation du week-end choc

    00:13

  • Définition et utilité du week-end choc

    01:42

  • Les effets de la fatigue sur la performance

    03:21

  • Préparation mentale et physique pour la course

    05:41

  • Conclusion et réflexions sur l'entraînement

    10:15

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Mes liens pour toi:



As-tu déjà rêvé de te lancer dans un ultratrail, mais tu ne sais pas par où commencer ?


Dans cet épisode du podcast "Du 5km à l'ultratrail!", je partage avec toi mon expérience récente d'un week-end choc d'entraînement, où j'ai couru près de 80 km sur deux jours. Ces sessions intenses sont essentielles pour préparer à la fois le corps et l'esprit à des courses longues, comme un ultratrail. Je te dévoile les clés de la réussite, en abordant des sujets cruciaux tels que l'hydratation et la nutrition durant ces entraînements intensifs.


Au fil de cet épisode, je te parle des bénéfices d'une bonne préparation mentale et des sacrifices nécessaires pour progresser dans la course à pied. Oui, il est vrai que ces moments d'entraînement peuvent parfois prendre du temps sur notre vie personnelle, mais ils sont également incroyablement gratifiants. Je partage avec toi les douleurs physiques que j'ai rencontrées après des courses longues et comment ces expériences m'ont aidé à mieux me préparer pour mes prochaines compétitions.


En plus des aspects techniques, je mets un point d'honneur à souligner l'importance de la motivation. Que tu sois un coureur débutant ou un athlète aguerri, il est essentiel de rester motivé et de se dépasser. Chaque premier kilomètre, chaque 10 kilomètres parcourus, te rapproche de ton objectif, que ce soit un marathon ou un ultra trail. Je te donne également des conseils pratiques sur le choix de tes chaussures de course et l'importance de la boisson d'effort pour optimiser tes performances.


Alors, si tu es prêt à relever le défi et à découvrir les secrets d'un entraînement efficace, rejoins-moi dans cet épisode inspirant. Ensemble, nous allons explorer le monde fascinant de la course à pied, du 5km à l'ultratrail, et je suis là pour t'encourager à continuer à progresser dans ton propre parcours de course. N'oublie pas, chaque pas compte, et je suis là pour te soutenir dans cette aventure incroyable!



Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

Transcription

  • Speaker #0

    et bienvenue trailleuse trailer rôneuse runner dans ce nouvel épisode du 5 km à l'ultra trail podcast qui partagent des conseils pour que vous puissiez courir et atteindre vos objectifs personnels dans la course à pied Et salut les amis, j'espère que vous allez bien en ce début de semaine. J'ai dû me reprendre parce que je disais en ce début de week-end, bon le week-end est fini malheureusement. Ah toute bonne chose, en fait moi je milite pour le week-end de trois jours. Je sais pas si ça passerait ou pas. Ceci étant dit, au mois de mai, il y a quand même pas mal de ponts et pour une fois je peux faire les ponts parce que dans l'armée, le mois de mai, généralement j'étais en mission et j'étais pas à la maison. Forcément j'étais en mer. Donc tous les... pont, ça sautait, je les voyais. Et là, pour le coup, je suis à la maison et c'est plutôt cool. Donc, au mois de mai, je ne sais pas, il y a trois... Il y a le premier week-end, le deuxième week-end et le dernier week-end. Finalement, il n'y a que deux semaines où ce sont apparemment des semaines complètes. Et on va en profiter. Alors, écoute, que te dire Je voulais sortir une vidéo YouTube entre autres aussi pour... Pour expliquer un petit peu le week-end choc, alors, bon, je suis un petit peu fatigué, je ne te cache pas. J'ai terminé mon week-end choc, là, il y a quelques heures, tranquille. Et j'aimerais débriefer un petit peu avec toi. Et puis, dans la vidéo YouTube, ce sera de comment organiser un week-end choc. Qu'est-ce qu'un week-end choc Les bénéfices Combien de temps sortir suivant un petit peu la distance que tu prépares Est-ce que c'est utile ou pas Ce genre de choses. Donc moi, oui, c'est utile. Je prépare le 5 km du Tint Valley Trade dans un mois, jour pour jour quasiment. Donc voilà, à mon sens, il faut se faire un petit week-end shock de temps en temps. Le week-end shock, c'est globalement... Bon, j'ai parlé en règle générale, mais c'est ton volume hebdomadaire à la semaine que tu fais en deux jours. Ou trois. Plutôt deux. Donc j'ai fait deux fois presque 40 km. J'ai fait 37 et 38. kilomètres je crois excuse moi 37 kilomètres hier, samedi avec 1600 et pareil aujourd'hui, alors c'est intéressant, c'est hyper intéressant les amis, ces week-end chocs c'est ce que je me disais aujourd'hui en fait, vraiment quand tu tapes sur des distances des longues distances c'est bien ça, j'ai mis mon téléphone en vibreur mais ça sonne quand même donc quand tu prépares des longues distances tu sais que tu vas passer des heures et des heures allez je vais dire à partir de 50 60 km en dessous tu es pas obligé de faire à mon sens un week-end choc les sorties longues répétées en version en de course de plus ou moins plus ou moins longue distance ou plutôt en termes de temps suffisent à préparer correctement même si un week-end choc peut le faire la ferme et il n'est pas essentiel maintenant à partir du moment où tu Tu vas passer des heures et des heures sur... Ben oui, ça devient essentiel de voir un petit peu comment tu réagis au bout d'un certain temps de fatigue. C'est ça qui est intéressant. Et c'est ça que je me suis aperçu en fait. Et à chaque fois que je fais un week-end choc, ça ne m'arrive pas hyper souvent parce que je ne fais pas des courses très souvent non plus, mais à chaque fois que j'en fais, j'ai toujours la même réflexion. Je me dis, en fait, ils sont essentiels. Ils sont essentiels parce que... C'est pas la première journée. La première journée, généralement, ok, même si j'ai pas forcément hyper l'habitude de faire des sorties longues de 40 bornes, on est d'accord, néanmoins, j'arrive à le faire et je suis pas explosé à la fin et ça se passe bien. Mais par contre, la deuxième journée, quand tu dois repartir, c'est plus compliqué, même quand tu... Moi, je me suis levé ce matin, donc avant la deuxième journée, déjà j'ai beaucoup bu hier, finalement, et c'est hyper important de... bien s'hydrater, vraiment, entre le premier et le deuxième jour. Donc ce matin, je me suis levé, j'avais rien. Sincèrement, si, j'ai eu mal aux orteils parce que je ne me suis pas bien coupé les ongles avant. Donc forcément, ça a un petit peu couiné et même si je me suis coupé les ongles entre hier et aujourd'hui, quand je suis parti, c'était sensible et c'est resté sensible toute la sortie. Aujourd'hui, qui a duré 5 heures, comme hier, finalement, que 5 heures. C'est vrai que... J'aurais pu pousser un petit peu plus loin, finalement, avec le recul. Bon, ça fait 40 km, c'est pas si mal que ça. Donc j'avais des orteils qui couinent un peu, mais ça l'a fait, j'ai pas eu d'ampoule, bon bref. Et donc le matin, comme si j'avais pas couru véritablement, la veille j'étais plutôt content, tu vois. Et quand on est parti, tout ça, au fur et à mesure, quand tu commences à rentrer dans le dur, bah oui, là le corps il se souvient que t'as couru 40 bornes la veille. Et c'est là où ça simule en fait. La fatigue d'une course. d'une course qui dure plusieurs heures. Une course qui dure typiquement 100 km, arriver au 50, 60e, oui, tu es fatigué. Et ce n'est pas parce que tu es fatigué que finalement tu vas abandonner. C'est normal d'être fatigué au 50 ou 60e km. C'est logique, il y a du dénivelé, il y a de la longueur. Ça n'arrive pas tous les jours de courir X heures. Mais la course, ça sert à ça, à te pousser. Mais les week-end shocks, ça te sert à te projeter sur la difficulté de ta course. C'est-à-dire que là, je me suis dit, j'ai mal aux jambes en fait, mais ça ne m'empêche pas de courir. Tiens, j'ai mal là. Ok, c'est là où je vais peut-être avoir mal si je ne m'entraîne pas pour le jour de ma course. Donc là, il faudra que j'axe mes efforts sur peut-être du renfort musculaire ou je ne sais pas, ce genre de choses. Donc là, on est psychologiquement... Je saute du coq à l'âne, mais c'est vrai que j'ai beaucoup de pensées qui viennent. Quand j'étais sur ma course aujourd'hui, je me disais... En fait, ça m'a projeté, pas dans la douleur, mais dans la difficulté de ce que sera ma course dans un mois. Et ça me prépare psychologiquement à endurer qu'à un moment ou à un autre, je n'aurais pas plus forcément envie de courir. Même sur du plat, peut-être. Et typiquement, quand on fait des 100 ou même des 160, quand c'est plat, arriver des kilomètres au centième ou 120, même plat, en fait, parfois, t'as même pas envie de courir. T'as plus envie parce que t'as mal aux jambes. Et 20 kilomètres plus tard, tu galopes, tu sais pas pourquoi, parce que t'as mangé. Et là, c'est ce qui s'est passé un petit peu. Alors non, parce que j'étais pas véritablement dans le dur. Aujourd'hui, sincèrement, alors ok, je sentais que... en montée, j'avais les jambes lourdes, mais j'avais les jambes lourdes, mais elles avançaient en fait, et j'étais super content en fait aujourd'hui, j'ai été super content, c'était cool, et même en descente, en descente, alors je sais pas pourquoi, je pense que psychologiquement hier, je me suis dit, t'as une deuxième journée, vas-y cool, et c'est ce que je dis à mes coachés, rends de course, voilà, tu cours comme si t'étais en course, donc hier j'étais sur la retenue entre guillemets, parce que j'avais une deuxième journée que je le savais, Mais là, aujourd'hui, je me suis vu en fin de course. Et en fin de course, les courses, elles sont rapides. Moi, il faut que je termine comme une balle, quand je peux. Et là, j'ai fait ma dernière heure et demie après le pic de Nord dans la descente. J'ai galopé comme un lapin. Et je me suis dit, hier, ce n'était pas ça. Et j'avais mal aux jambes. Les jambes étaient lourdes, mais je n'avais pas plus mal que ça. Et hop, j'ai galopé, j'ai galopé, j'ai galopé et je ne te cache pas que je l'ai payé. Je l'ai payé un petit peu parce que, en règle générale, je n'ai pas un entraînement très intensif. Je suis hyper endurant, il n'y a pas de problème. Mais bon voilà, je n'ai pas d'entraîneur, je me coach moi-même pour le coup. Donc, je n'ai pas forcément cette discipline que je devrais avoir de me rentrer dedans. Et c'est bien pour ça que les gens, ils prennent des entraîneurs, des coachs. pour un petit peu devoir rendre des comptes, se motiver et s'obliger à sortir moi j'ai pas ça parce que je considère que non en fait j'ai la flemme je suis pas certain de le faire même si je paye quelqu'un donc là je suis sorti j'ai couru vraiment à fond sincèrement j'étais assez content et ce qui s'est passé c'est que quand je suis arrivé au parking où j'avais laissé la voiture alors cet après-midi, j'ai roulé 40 minutes pour rentrer à la maison et quand je suis sorti de la voiture, ça faisait longtemps, très longtemps que je n'ai pas eu mal comme ça. J'ai eu mal au quadri, vraiment l'intérieur des cuisses des deux jambes. Comme ça au moins il n'y a pas de gêne. Et je me suis dit, en fait là, j'ai payé en fait. ma descente rapide, que je n'ai pas véritablement l'habitude, je le descends, mais pas pendant une heure et demie. Là, ça m'a vraiment, je le savais, quand je descendais, j'étais content, parce que 40 km hier, 40 aujourd'hui, et j'étais content de la forme que j'avais. Et je suis quand même content quelques heures plus tard en me disant, ouais, j'ai mal là, ça veut dire que, ok, là, j'ai besoin de travailler ça encore avant ma course. C'est cool, sincèrement c'est cool, c'est des axes d'amélioration, de progression, et je sais que si je cours comme ça sur ma course, je risque d'exploser assez vite, tout du moins si je fais ça dès le début. Maintenant si je fais ça vers la fin, 70-80, il y a des chances que je me fasse plaisir sur la fin, par contre je le paierai après. Donc c'est vrai que les week-end chocs, moi comme ça je me suis projeté sur ma course, dans un état de fatigue. ou juste courir, ça devient pénible. Et je sais que j'ai à peine touché du doigt en fait, parce que j'ai fait des week-end chocs où je courais 7-8 heures, notamment en montagne, donc c'était plus compliqué, plus dur, il y avait du dénivelé, là il y a Mij6, c'est bien, mais c'est limite pas assez pour véritablement m'impacter physiquement. Du coup, j'ai juste touché un petit peu une fatigue. mais pas à fond. Mais juste ça, ça m'a servi à me dire il faut que je me prépare, il faut que je me coupe les ongles, il faut que je fasse ça. Ça ne va pas être une partie de repos, clairement. Et juste pour ça, ça te plonge psychologiquement dans ta course. Et juste pour ça, fais des week-end chocs. Tu n'es pas obligé de faire des trucs énormes. Mais juste être en pré-fatigue, tu peux même faire du vélo la veille. et courir le lendemain, par exemple, sans rentrer dans un week-end choc, mais courir avec une petite pré-fatigue qui te dira, ouais, là, ouf, c'est dur, ça, c'est cool. Donc, je suis assez content de moi, de mon alimentation, elle s'est bien passée. J'ai quand même pas mal boulotté, finalement. J'ai fait mes deux repas, mes deux petits-déj, comme d'hab, Energy Plus, chocolat. Voilà, un shaker, j'ai bu ça dans ma voiture à trois quarts d'heure de la course, et c'est nickel les amis, vraiment, vraiment. Moi je vous conseille d'essayer, si vous voulez essayer, j'ai un code promo, mais sincèrement, moi ça m'enlève, je me fais pas chier, je prends ça, il y a des glucides, il y a des lipides, il y a des protéines, il y a tout ce qu'il faut, c'est pas mauvais, c'est bon, hop, et moi ça fait le taf. Et après, pendant le... Pendant mes deux jours, j'ai mangé grosso modo en duractive. Voilà, qu'est-ce que j'ai pris en duractive Les compotes. Alors je me suis aperçu que les compotes riz, riz, pomme, riz, pomme et je ne sais plus quoi, elles étaient beaucoup plus solides que les autres compotes fraises et pommes marrons. Donc je ne sais pas pourquoi, mais ce n'est pas mauvais. Il faut juste le savoir. Mais c'est passé relativement bien. Et puis les barres figues, elles sont trop bonnes. J'adore les deux barres qu'il a sorties, Alain, dans Directive. Ça passe très bien. Alors, c'est des petites doses en termes de glucides. Il n'y a que 15 grammes de glucides. Mais en version d'appoint, ça fait le taf. Donc voilà, je suis assez content de mon alimentation et hydratation aussi. Même si je n'ai pas assez bu à mon sens. Mais bon. J'avais peur de manquer d'eau. Mais c'est vrai que moi, j'ai un sac Red Light et j'ai des flasques de 650 ml. Donc, c'est toujours plus que 500 finalement. Donc, je ne les ai pas finis en fait. C'est là où je me dis que je n'ai pas assez bu. C'est mon péché mignon ça de ne pas assez boire. Mais bon. Donc, ça a été un week-end cool. Enfin cool. Il faut se lever quand même le matin. Il faut remettre ça. Je n'ai pas vu ma femme. du week-end quasiment, ça fait un peu chier mais bon, voilà j'ai essayé de me lever un petit peu plus tôt ce matin pour revenir un petit peu plus tôt, donc ça l'a fait j'étais là à 15h mais c'est des moments que je passe pas avec elle donc c'est vrai que faut s'en rendre compte que ok, c'est une passion pour tout le monde mais ça nous prend du temps, et c'est du temps qu'on passe pas avec quelqu'un d'autre peut-être, et c'est du temps perdu, qu'on va pas rattraper j'aurais pu sortir avec ma femme mais ce week-end, j'ai pas fait. Donc il y a des priorités et autant s'entraîner correctement pour valider un petit peu ces heures perdues et perdues entre guillemets. Voilà. Donc il n'y a pas de regrets. J'ai aucun regret en tout cas. Mais je suis... C'est même l'inverse. Je ne sais pas que je n'ai pas de regrets. C'est que je suis hyper content même de l'enseignement de ce week-end choc et que je me dis que oui, je suis... finalement, depuis janvier, ma reprise, tout ça, avec J'étais Malade, finalement, on arrive au mois d'avril, je suis capable de courir 2 fois 40 km. J'ai les cuisses un peu à cause de la descente, mais... C'est cool, c'est cool, je pense que dans un mois, ça va le faire, là je vais récupérer, je vais reprendre un petit peu, je vais travailler un petit peu les côtes, faire un petit peu de pliométrie, de renfots, et puis ça le fera quoi, j'ai rien à dire, ça le fera crème. Voilà, bon, je vais essayer, ce podcast, cet épisode sort normalement lundi, lundi 7 avril, je pense que vers 17-18h lundi. je ferai mon épisode YouTube qui sortira donc mardi, mardi 8 avril, où je t'expliquerai véritablement comment, comment on fait quoi et pourquoi. N'hésite pas à me poser des questions avant, peut-être la journée d'aujourd'hui, enfin d'aujourd'hui pour toi, le 7, pour que je puisse l'inclure dans la vidéo ou je te répondrai à l'issue, il n'y a pas de souci. Limite, si tu me poses des questions dans la vidéo, c'est bien pour l'algorithme YouTube. si tu regardes la vidéo jusqu'au bout c'est encore mieux pour le watch time comme ils appellent ça le référencement et le nombre de vues mais ouais donc mardi ce sera un petit peu plus éducatif, informatif et voilà, ah oui bonne nouvelle enfin bonne nouvelle je sais pas en même temps bonne nouvelle pour moi parce que bon ma tondeuse elle fonctionne bien et je me suis bien rasé les cheveux ah oui c'est court, c'est militaire c'est carré j'aime beaucoup ça Depuis que j'ai 14 ans, de toute façon, j'ai cette coupe. Donc voilà. Allez sur ce, les amis. Félicitations aussi. Félicitations à tous ceux qui ont couru. J'ai pas mal de coachés qui ont couru ce week-end. Et j'en ai malheureusement eu une qui s'est fait une entorse à quelques kilomètres de l'arrivée. C'est des choses qui arrivent, véritablement. Malheureusement, c'est des choses qui arrivent de se faire une entorse, de tomber. Elle s'est vraiment fait mal, mais... Ça ira pour elle, mais c'est vrai que quand on apprend ce genre de nouvelles, c'est jamais agréable, d'autant plus qu'elle s'était préparée, tout ça, et elle était bien, et clac, à 3 km de l'arrivée, je sais pas comment elle s'est débrouillée, mais elle a fini dans le décor, et ouais, c'est bien bien fait mal. Donc voilà, petite pensée pour elle, et félicitations à tous ceux qui ont couru, qui ont fait des sorties longues, qui ont profité du beau temps, bref, d'avoir cette discipline. Et continuer à progresser de semaine en semaine, tout simplement. Allez, sur ce, les amis, j'arrête de vous retenir. Je vous souhaite une très belle journée. Et on se retrouve demain ou après-midi ou très vite. Voilà. Allez, ciao, ciao.

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  • Introduction et présentation du week-end choc

    00:13

  • Définition et utilité du week-end choc

    01:42

  • Les effets de la fatigue sur la performance

    03:21

  • Préparation mentale et physique pour la course

    05:41

  • Conclusion et réflexions sur l'entraînement

    10:15

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Dans cet épisode du podcast "Du 5km à l'ultratrail!", je partage avec toi mon expérience récente d'un week-end choc d'entraînement, où j'ai couru près de 80 km sur deux jours. Ces sessions intenses sont essentielles pour préparer à la fois le corps et l'esprit à des courses longues, comme un ultratrail. Je te dévoile les clés de la réussite, en abordant des sujets cruciaux tels que l'hydratation et la nutrition durant ces entraînements intensifs.


Au fil de cet épisode, je te parle des bénéfices d'une bonne préparation mentale et des sacrifices nécessaires pour progresser dans la course à pied. Oui, il est vrai que ces moments d'entraînement peuvent parfois prendre du temps sur notre vie personnelle, mais ils sont également incroyablement gratifiants. Je partage avec toi les douleurs physiques que j'ai rencontrées après des courses longues et comment ces expériences m'ont aidé à mieux me préparer pour mes prochaines compétitions.


En plus des aspects techniques, je mets un point d'honneur à souligner l'importance de la motivation. Que tu sois un coureur débutant ou un athlète aguerri, il est essentiel de rester motivé et de se dépasser. Chaque premier kilomètre, chaque 10 kilomètres parcourus, te rapproche de ton objectif, que ce soit un marathon ou un ultra trail. Je te donne également des conseils pratiques sur le choix de tes chaussures de course et l'importance de la boisson d'effort pour optimiser tes performances.


Alors, si tu es prêt à relever le défi et à découvrir les secrets d'un entraînement efficace, rejoins-moi dans cet épisode inspirant. Ensemble, nous allons explorer le monde fascinant de la course à pied, du 5km à l'ultratrail, et je suis là pour t'encourager à continuer à progresser dans ton propre parcours de course. N'oublie pas, chaque pas compte, et je suis là pour te soutenir dans cette aventure incroyable!



Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

Transcription

  • Speaker #0

    et bienvenue trailleuse trailer rôneuse runner dans ce nouvel épisode du 5 km à l'ultra trail podcast qui partagent des conseils pour que vous puissiez courir et atteindre vos objectifs personnels dans la course à pied Et salut les amis, j'espère que vous allez bien en ce début de semaine. J'ai dû me reprendre parce que je disais en ce début de week-end, bon le week-end est fini malheureusement. Ah toute bonne chose, en fait moi je milite pour le week-end de trois jours. Je sais pas si ça passerait ou pas. Ceci étant dit, au mois de mai, il y a quand même pas mal de ponts et pour une fois je peux faire les ponts parce que dans l'armée, le mois de mai, généralement j'étais en mission et j'étais pas à la maison. Forcément j'étais en mer. Donc tous les... pont, ça sautait, je les voyais. Et là, pour le coup, je suis à la maison et c'est plutôt cool. Donc, au mois de mai, je ne sais pas, il y a trois... Il y a le premier week-end, le deuxième week-end et le dernier week-end. Finalement, il n'y a que deux semaines où ce sont apparemment des semaines complètes. Et on va en profiter. Alors, écoute, que te dire Je voulais sortir une vidéo YouTube entre autres aussi pour... Pour expliquer un petit peu le week-end choc, alors, bon, je suis un petit peu fatigué, je ne te cache pas. J'ai terminé mon week-end choc, là, il y a quelques heures, tranquille. Et j'aimerais débriefer un petit peu avec toi. Et puis, dans la vidéo YouTube, ce sera de comment organiser un week-end choc. Qu'est-ce qu'un week-end choc Les bénéfices Combien de temps sortir suivant un petit peu la distance que tu prépares Est-ce que c'est utile ou pas Ce genre de choses. Donc moi, oui, c'est utile. Je prépare le 5 km du Tint Valley Trade dans un mois, jour pour jour quasiment. Donc voilà, à mon sens, il faut se faire un petit week-end shock de temps en temps. Le week-end shock, c'est globalement... Bon, j'ai parlé en règle générale, mais c'est ton volume hebdomadaire à la semaine que tu fais en deux jours. Ou trois. Plutôt deux. Donc j'ai fait deux fois presque 40 km. J'ai fait 37 et 38. kilomètres je crois excuse moi 37 kilomètres hier, samedi avec 1600 et pareil aujourd'hui, alors c'est intéressant, c'est hyper intéressant les amis, ces week-end chocs c'est ce que je me disais aujourd'hui en fait, vraiment quand tu tapes sur des distances des longues distances c'est bien ça, j'ai mis mon téléphone en vibreur mais ça sonne quand même donc quand tu prépares des longues distances tu sais que tu vas passer des heures et des heures allez je vais dire à partir de 50 60 km en dessous tu es pas obligé de faire à mon sens un week-end choc les sorties longues répétées en version en de course de plus ou moins plus ou moins longue distance ou plutôt en termes de temps suffisent à préparer correctement même si un week-end choc peut le faire la ferme et il n'est pas essentiel maintenant à partir du moment où tu Tu vas passer des heures et des heures sur... Ben oui, ça devient essentiel de voir un petit peu comment tu réagis au bout d'un certain temps de fatigue. C'est ça qui est intéressant. Et c'est ça que je me suis aperçu en fait. Et à chaque fois que je fais un week-end choc, ça ne m'arrive pas hyper souvent parce que je ne fais pas des courses très souvent non plus, mais à chaque fois que j'en fais, j'ai toujours la même réflexion. Je me dis, en fait, ils sont essentiels. Ils sont essentiels parce que... C'est pas la première journée. La première journée, généralement, ok, même si j'ai pas forcément hyper l'habitude de faire des sorties longues de 40 bornes, on est d'accord, néanmoins, j'arrive à le faire et je suis pas explosé à la fin et ça se passe bien. Mais par contre, la deuxième journée, quand tu dois repartir, c'est plus compliqué, même quand tu... Moi, je me suis levé ce matin, donc avant la deuxième journée, déjà j'ai beaucoup bu hier, finalement, et c'est hyper important de... bien s'hydrater, vraiment, entre le premier et le deuxième jour. Donc ce matin, je me suis levé, j'avais rien. Sincèrement, si, j'ai eu mal aux orteils parce que je ne me suis pas bien coupé les ongles avant. Donc forcément, ça a un petit peu couiné et même si je me suis coupé les ongles entre hier et aujourd'hui, quand je suis parti, c'était sensible et c'est resté sensible toute la sortie. Aujourd'hui, qui a duré 5 heures, comme hier, finalement, que 5 heures. C'est vrai que... J'aurais pu pousser un petit peu plus loin, finalement, avec le recul. Bon, ça fait 40 km, c'est pas si mal que ça. Donc j'avais des orteils qui couinent un peu, mais ça l'a fait, j'ai pas eu d'ampoule, bon bref. Et donc le matin, comme si j'avais pas couru véritablement, la veille j'étais plutôt content, tu vois. Et quand on est parti, tout ça, au fur et à mesure, quand tu commences à rentrer dans le dur, bah oui, là le corps il se souvient que t'as couru 40 bornes la veille. Et c'est là où ça simule en fait. La fatigue d'une course. d'une course qui dure plusieurs heures. Une course qui dure typiquement 100 km, arriver au 50, 60e, oui, tu es fatigué. Et ce n'est pas parce que tu es fatigué que finalement tu vas abandonner. C'est normal d'être fatigué au 50 ou 60e km. C'est logique, il y a du dénivelé, il y a de la longueur. Ça n'arrive pas tous les jours de courir X heures. Mais la course, ça sert à ça, à te pousser. Mais les week-end shocks, ça te sert à te projeter sur la difficulté de ta course. C'est-à-dire que là, je me suis dit, j'ai mal aux jambes en fait, mais ça ne m'empêche pas de courir. Tiens, j'ai mal là. Ok, c'est là où je vais peut-être avoir mal si je ne m'entraîne pas pour le jour de ma course. Donc là, il faudra que j'axe mes efforts sur peut-être du renfort musculaire ou je ne sais pas, ce genre de choses. Donc là, on est psychologiquement... Je saute du coq à l'âne, mais c'est vrai que j'ai beaucoup de pensées qui viennent. Quand j'étais sur ma course aujourd'hui, je me disais... En fait, ça m'a projeté, pas dans la douleur, mais dans la difficulté de ce que sera ma course dans un mois. Et ça me prépare psychologiquement à endurer qu'à un moment ou à un autre, je n'aurais pas plus forcément envie de courir. Même sur du plat, peut-être. Et typiquement, quand on fait des 100 ou même des 160, quand c'est plat, arriver des kilomètres au centième ou 120, même plat, en fait, parfois, t'as même pas envie de courir. T'as plus envie parce que t'as mal aux jambes. Et 20 kilomètres plus tard, tu galopes, tu sais pas pourquoi, parce que t'as mangé. Et là, c'est ce qui s'est passé un petit peu. Alors non, parce que j'étais pas véritablement dans le dur. Aujourd'hui, sincèrement, alors ok, je sentais que... en montée, j'avais les jambes lourdes, mais j'avais les jambes lourdes, mais elles avançaient en fait, et j'étais super content en fait aujourd'hui, j'ai été super content, c'était cool, et même en descente, en descente, alors je sais pas pourquoi, je pense que psychologiquement hier, je me suis dit, t'as une deuxième journée, vas-y cool, et c'est ce que je dis à mes coachés, rends de course, voilà, tu cours comme si t'étais en course, donc hier j'étais sur la retenue entre guillemets, parce que j'avais une deuxième journée que je le savais, Mais là, aujourd'hui, je me suis vu en fin de course. Et en fin de course, les courses, elles sont rapides. Moi, il faut que je termine comme une balle, quand je peux. Et là, j'ai fait ma dernière heure et demie après le pic de Nord dans la descente. J'ai galopé comme un lapin. Et je me suis dit, hier, ce n'était pas ça. Et j'avais mal aux jambes. Les jambes étaient lourdes, mais je n'avais pas plus mal que ça. Et hop, j'ai galopé, j'ai galopé, j'ai galopé et je ne te cache pas que je l'ai payé. Je l'ai payé un petit peu parce que, en règle générale, je n'ai pas un entraînement très intensif. Je suis hyper endurant, il n'y a pas de problème. Mais bon voilà, je n'ai pas d'entraîneur, je me coach moi-même pour le coup. Donc, je n'ai pas forcément cette discipline que je devrais avoir de me rentrer dedans. Et c'est bien pour ça que les gens, ils prennent des entraîneurs, des coachs. pour un petit peu devoir rendre des comptes, se motiver et s'obliger à sortir moi j'ai pas ça parce que je considère que non en fait j'ai la flemme je suis pas certain de le faire même si je paye quelqu'un donc là je suis sorti j'ai couru vraiment à fond sincèrement j'étais assez content et ce qui s'est passé c'est que quand je suis arrivé au parking où j'avais laissé la voiture alors cet après-midi, j'ai roulé 40 minutes pour rentrer à la maison et quand je suis sorti de la voiture, ça faisait longtemps, très longtemps que je n'ai pas eu mal comme ça. J'ai eu mal au quadri, vraiment l'intérieur des cuisses des deux jambes. Comme ça au moins il n'y a pas de gêne. Et je me suis dit, en fait là, j'ai payé en fait. ma descente rapide, que je n'ai pas véritablement l'habitude, je le descends, mais pas pendant une heure et demie. Là, ça m'a vraiment, je le savais, quand je descendais, j'étais content, parce que 40 km hier, 40 aujourd'hui, et j'étais content de la forme que j'avais. Et je suis quand même content quelques heures plus tard en me disant, ouais, j'ai mal là, ça veut dire que, ok, là, j'ai besoin de travailler ça encore avant ma course. C'est cool, sincèrement c'est cool, c'est des axes d'amélioration, de progression, et je sais que si je cours comme ça sur ma course, je risque d'exploser assez vite, tout du moins si je fais ça dès le début. Maintenant si je fais ça vers la fin, 70-80, il y a des chances que je me fasse plaisir sur la fin, par contre je le paierai après. Donc c'est vrai que les week-end chocs, moi comme ça je me suis projeté sur ma course, dans un état de fatigue. ou juste courir, ça devient pénible. Et je sais que j'ai à peine touché du doigt en fait, parce que j'ai fait des week-end chocs où je courais 7-8 heures, notamment en montagne, donc c'était plus compliqué, plus dur, il y avait du dénivelé, là il y a Mij6, c'est bien, mais c'est limite pas assez pour véritablement m'impacter physiquement. Du coup, j'ai juste touché un petit peu une fatigue. mais pas à fond. Mais juste ça, ça m'a servi à me dire il faut que je me prépare, il faut que je me coupe les ongles, il faut que je fasse ça. Ça ne va pas être une partie de repos, clairement. Et juste pour ça, ça te plonge psychologiquement dans ta course. Et juste pour ça, fais des week-end chocs. Tu n'es pas obligé de faire des trucs énormes. Mais juste être en pré-fatigue, tu peux même faire du vélo la veille. et courir le lendemain, par exemple, sans rentrer dans un week-end choc, mais courir avec une petite pré-fatigue qui te dira, ouais, là, ouf, c'est dur, ça, c'est cool. Donc, je suis assez content de moi, de mon alimentation, elle s'est bien passée. J'ai quand même pas mal boulotté, finalement. J'ai fait mes deux repas, mes deux petits-déj, comme d'hab, Energy Plus, chocolat. Voilà, un shaker, j'ai bu ça dans ma voiture à trois quarts d'heure de la course, et c'est nickel les amis, vraiment, vraiment. Moi je vous conseille d'essayer, si vous voulez essayer, j'ai un code promo, mais sincèrement, moi ça m'enlève, je me fais pas chier, je prends ça, il y a des glucides, il y a des lipides, il y a des protéines, il y a tout ce qu'il faut, c'est pas mauvais, c'est bon, hop, et moi ça fait le taf. Et après, pendant le... Pendant mes deux jours, j'ai mangé grosso modo en duractive. Voilà, qu'est-ce que j'ai pris en duractive Les compotes. Alors je me suis aperçu que les compotes riz, riz, pomme, riz, pomme et je ne sais plus quoi, elles étaient beaucoup plus solides que les autres compotes fraises et pommes marrons. Donc je ne sais pas pourquoi, mais ce n'est pas mauvais. Il faut juste le savoir. Mais c'est passé relativement bien. Et puis les barres figues, elles sont trop bonnes. J'adore les deux barres qu'il a sorties, Alain, dans Directive. Ça passe très bien. Alors, c'est des petites doses en termes de glucides. Il n'y a que 15 grammes de glucides. Mais en version d'appoint, ça fait le taf. Donc voilà, je suis assez content de mon alimentation et hydratation aussi. Même si je n'ai pas assez bu à mon sens. Mais bon. J'avais peur de manquer d'eau. Mais c'est vrai que moi, j'ai un sac Red Light et j'ai des flasques de 650 ml. Donc, c'est toujours plus que 500 finalement. Donc, je ne les ai pas finis en fait. C'est là où je me dis que je n'ai pas assez bu. C'est mon péché mignon ça de ne pas assez boire. Mais bon. Donc, ça a été un week-end cool. Enfin cool. Il faut se lever quand même le matin. Il faut remettre ça. Je n'ai pas vu ma femme. du week-end quasiment, ça fait un peu chier mais bon, voilà j'ai essayé de me lever un petit peu plus tôt ce matin pour revenir un petit peu plus tôt, donc ça l'a fait j'étais là à 15h mais c'est des moments que je passe pas avec elle donc c'est vrai que faut s'en rendre compte que ok, c'est une passion pour tout le monde mais ça nous prend du temps, et c'est du temps qu'on passe pas avec quelqu'un d'autre peut-être, et c'est du temps perdu, qu'on va pas rattraper j'aurais pu sortir avec ma femme mais ce week-end, j'ai pas fait. Donc il y a des priorités et autant s'entraîner correctement pour valider un petit peu ces heures perdues et perdues entre guillemets. Voilà. Donc il n'y a pas de regrets. J'ai aucun regret en tout cas. Mais je suis... C'est même l'inverse. Je ne sais pas que je n'ai pas de regrets. C'est que je suis hyper content même de l'enseignement de ce week-end choc et que je me dis que oui, je suis... finalement, depuis janvier, ma reprise, tout ça, avec J'étais Malade, finalement, on arrive au mois d'avril, je suis capable de courir 2 fois 40 km. J'ai les cuisses un peu à cause de la descente, mais... C'est cool, c'est cool, je pense que dans un mois, ça va le faire, là je vais récupérer, je vais reprendre un petit peu, je vais travailler un petit peu les côtes, faire un petit peu de pliométrie, de renfots, et puis ça le fera quoi, j'ai rien à dire, ça le fera crème. Voilà, bon, je vais essayer, ce podcast, cet épisode sort normalement lundi, lundi 7 avril, je pense que vers 17-18h lundi. je ferai mon épisode YouTube qui sortira donc mardi, mardi 8 avril, où je t'expliquerai véritablement comment, comment on fait quoi et pourquoi. N'hésite pas à me poser des questions avant, peut-être la journée d'aujourd'hui, enfin d'aujourd'hui pour toi, le 7, pour que je puisse l'inclure dans la vidéo ou je te répondrai à l'issue, il n'y a pas de souci. Limite, si tu me poses des questions dans la vidéo, c'est bien pour l'algorithme YouTube. si tu regardes la vidéo jusqu'au bout c'est encore mieux pour le watch time comme ils appellent ça le référencement et le nombre de vues mais ouais donc mardi ce sera un petit peu plus éducatif, informatif et voilà, ah oui bonne nouvelle enfin bonne nouvelle je sais pas en même temps bonne nouvelle pour moi parce que bon ma tondeuse elle fonctionne bien et je me suis bien rasé les cheveux ah oui c'est court, c'est militaire c'est carré j'aime beaucoup ça Depuis que j'ai 14 ans, de toute façon, j'ai cette coupe. Donc voilà. Allez sur ce, les amis. Félicitations aussi. Félicitations à tous ceux qui ont couru. J'ai pas mal de coachés qui ont couru ce week-end. Et j'en ai malheureusement eu une qui s'est fait une entorse à quelques kilomètres de l'arrivée. C'est des choses qui arrivent, véritablement. Malheureusement, c'est des choses qui arrivent de se faire une entorse, de tomber. Elle s'est vraiment fait mal, mais... Ça ira pour elle, mais c'est vrai que quand on apprend ce genre de nouvelles, c'est jamais agréable, d'autant plus qu'elle s'était préparée, tout ça, et elle était bien, et clac, à 3 km de l'arrivée, je sais pas comment elle s'est débrouillée, mais elle a fini dans le décor, et ouais, c'est bien bien fait mal. Donc voilà, petite pensée pour elle, et félicitations à tous ceux qui ont couru, qui ont fait des sorties longues, qui ont profité du beau temps, bref, d'avoir cette discipline. Et continuer à progresser de semaine en semaine, tout simplement. Allez, sur ce, les amis, j'arrête de vous retenir. Je vous souhaite une très belle journée. Et on se retrouve demain ou après-midi ou très vite. Voilà. Allez, ciao, ciao.

Chapters

  • Introduction et présentation du week-end choc

    00:13

  • Définition et utilité du week-end choc

    01:42

  • Les effets de la fatigue sur la performance

    03:21

  • Préparation mentale et physique pour la course

    05:41

  • Conclusion et réflexions sur l'entraînement

    10:15

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