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En Bref.... Le podcast du Céreq (Centre d'études et de recherches sur les qualifications)

Génération Erasmus : quand partir à l'étranger booste sa carrière

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04min |17/06/2025
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04min |17/06/2025
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Description

🌎 Depuis la création du programme Erasmus en 1987, les séjours à l’étranger au cours des études supérieures connaissent un engouement croissant. En 2021, 1,5 million de jeunes européens étudiaient hors de leur pays d’origine, dont 105 000 français inscrits dans un programme diplômant à l’étranger. La France se place ainsi au 6e rang mondial des pays d’origine pour la mobilité étudiante. Cette expérience internationale, souvent perçue comme un gage d’ouverture, de dynamisme et de compétences linguistiques, séduit un nombre croissant d’étudiants et d’employeurs. Mais au-delà de l’image, quels sont les effets réels de ces séjours sur l’insertion professionnelle, notamment dans l’accès aux emplois de cadres ?


🎙️Christian CAMPO, secrétaire de rédaction au Céreq, nous partage en quelques minutes les principaux résultats de cette analyse et ce qu'il faut en retenir.  


📘 La publication complète est à retrouver sur : https://www.cereq.fr/mobilite-etranger-etudiant-cadre-salaire


Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

Transcription

  • Speaker #0

    Aujourd'hui, en bref, le podcast du Céreq aborde le sujet des séjours à l'étranger pendant les études supérieures et leur impact sur les carrières. Depuis la création du programme Erasmus en 1987, les séjours à l'étranger au cours des études supérieures connaissent un engouement croissant. En 2021, 1,5 million de jeunes européens étudiaient hors de leur pays d'origine. dont 105 000 Français inscrits dans un programme diplômant à l'étranger. La France se place ainsi au sixième rang mondial des pays d'origine pour la mobilité étudiante. Cette expérience internationale, souvent perçue comme un gage d'ouverture, de dynamisme et de compétences linguistiques, séduit un nombre croissant d'étudiants et d'employeurs. Mais au-delà de l'image, quels sont les effets réels de ces séjours sur l'insertion professionnelle, notamment dans l'accès aux emplois de cadre ? Une nouvelle étude du Céreq apporte des réponses à partir de l'enquête Génération 2017 et interroge la plus-value de la mobilité internationale étudiante pour les jeunes diplômés du supérieur. Parmi les sortants de l'enseignement supérieur en 2017, 28% ont effectué un séjour à l'étranger durant leurs études supérieures, une proportion qui grimpe à 75% dans les grandes écoles. Ces séjours, d'une durée moyenne de 6 mois, sont le plus souvent réalisés en fin de cursus et intégrés à la formation pour un tiers d'entre eux. Les pays anglophones restent la destination privilégiée de 40% des étudiants mobiles, témoignant de l'importance accordée à la maîtrise de l'anglais. Ainsi, l'étude montre que les séjours ont un impact positif sur l'accès à l'emploi de cadre. Pour 63% des jeunes ayant séjourné à l'étranger, Cette expérience est perçue comme ayant facilité l'accès à l'emploi, un sentiment particulièrement marqué dans les métiers tournés vers l'international comme le commerce, la recherche ou la communication. Les employeurs accordent un crédit significatif à la mobilité internationale, surtout quand cela concerne le recrutement des cadres commerciaux, technico-commerciaux, cadres d'études et de recherche ou encore dans les services administratifs et financiers. Dans certaines professions, Plus de la moitié des jeunes recrutés comme cadres ont connu une expérience de mobilité internationale pendant leurs études supérieures. C'est le cas des cadres commerciaux, des cadres d'études et de recherche, et des cadres des services administratifs et financiers. Cette expérience est aussi valorisée dans les métiers du bâtiment, de l'agriculture et de la communication. Mais alors qu'en est-il de l'impact salarial ? Si l'expérience internationale procure un avantage salarial brut dans 7 des 10 professions étudiées, cet effet ne persiste pas toujours une fois que l'on contrôle les autres caractéristiques comme le diplôme ou l'origine sociale. Toutefois, un gain salarial net est observé dans 4 des 10 professions étudiées. Il est de 7 à 8% pour les cadres des services administratifs, comptables et financiers et les professionnels de la communication et de l'information. Pour les ingénieurs de l'informatique, il s'élève à 5%. et à 4,3% pour les cadres d'études et de recherches. En conclusion, l'étude révèle que 80% des diplômés du supérieur tirent profit de leur séjour à l'étranger, que ce soit en facilitant leur recrutement, en obtenant un meilleur salaire ou en bénéficiant des deux à la fois. Ces résultats soulignent l'importance de la mobilité internationale, non seulement pour l'enrichissement personnel, mais aussi comme un investissement professionnel rentable. Il plaide pour un renforcement de son intégration dans les cursus et un soutien inclus aux étudiants, notamment ceux disposant de moins de ressources, afin de favoriser l'inclusion, objectif clé du programme Erasmus+, 2021-2027.

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🌎 Depuis la création du programme Erasmus en 1987, les séjours à l’étranger au cours des études supérieures connaissent un engouement croissant. En 2021, 1,5 million de jeunes européens étudiaient hors de leur pays d’origine, dont 105 000 français inscrits dans un programme diplômant à l’étranger. La France se place ainsi au 6e rang mondial des pays d’origine pour la mobilité étudiante. Cette expérience internationale, souvent perçue comme un gage d’ouverture, de dynamisme et de compétences linguistiques, séduit un nombre croissant d’étudiants et d’employeurs. Mais au-delà de l’image, quels sont les effets réels de ces séjours sur l’insertion professionnelle, notamment dans l’accès aux emplois de cadres ?


🎙️Christian CAMPO, secrétaire de rédaction au Céreq, nous partage en quelques minutes les principaux résultats de cette analyse et ce qu'il faut en retenir.  


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    Aujourd'hui, en bref, le podcast du Céreq aborde le sujet des séjours à l'étranger pendant les études supérieures et leur impact sur les carrières. Depuis la création du programme Erasmus en 1987, les séjours à l'étranger au cours des études supérieures connaissent un engouement croissant. En 2021, 1,5 million de jeunes européens étudiaient hors de leur pays d'origine. dont 105 000 Français inscrits dans un programme diplômant à l'étranger. La France se place ainsi au sixième rang mondial des pays d'origine pour la mobilité étudiante. Cette expérience internationale, souvent perçue comme un gage d'ouverture, de dynamisme et de compétences linguistiques, séduit un nombre croissant d'étudiants et d'employeurs. Mais au-delà de l'image, quels sont les effets réels de ces séjours sur l'insertion professionnelle, notamment dans l'accès aux emplois de cadre ? Une nouvelle étude du Céreq apporte des réponses à partir de l'enquête Génération 2017 et interroge la plus-value de la mobilité internationale étudiante pour les jeunes diplômés du supérieur. Parmi les sortants de l'enseignement supérieur en 2017, 28% ont effectué un séjour à l'étranger durant leurs études supérieures, une proportion qui grimpe à 75% dans les grandes écoles. Ces séjours, d'une durée moyenne de 6 mois, sont le plus souvent réalisés en fin de cursus et intégrés à la formation pour un tiers d'entre eux. Les pays anglophones restent la destination privilégiée de 40% des étudiants mobiles, témoignant de l'importance accordée à la maîtrise de l'anglais. Ainsi, l'étude montre que les séjours ont un impact positif sur l'accès à l'emploi de cadre. Pour 63% des jeunes ayant séjourné à l'étranger, Cette expérience est perçue comme ayant facilité l'accès à l'emploi, un sentiment particulièrement marqué dans les métiers tournés vers l'international comme le commerce, la recherche ou la communication. Les employeurs accordent un crédit significatif à la mobilité internationale, surtout quand cela concerne le recrutement des cadres commerciaux, technico-commerciaux, cadres d'études et de recherche ou encore dans les services administratifs et financiers. Dans certaines professions, Plus de la moitié des jeunes recrutés comme cadres ont connu une expérience de mobilité internationale pendant leurs études supérieures. C'est le cas des cadres commerciaux, des cadres d'études et de recherche, et des cadres des services administratifs et financiers. Cette expérience est aussi valorisée dans les métiers du bâtiment, de l'agriculture et de la communication. Mais alors qu'en est-il de l'impact salarial ? Si l'expérience internationale procure un avantage salarial brut dans 7 des 10 professions étudiées, cet effet ne persiste pas toujours une fois que l'on contrôle les autres caractéristiques comme le diplôme ou l'origine sociale. Toutefois, un gain salarial net est observé dans 4 des 10 professions étudiées. Il est de 7 à 8% pour les cadres des services administratifs, comptables et financiers et les professionnels de la communication et de l'information. Pour les ingénieurs de l'informatique, il s'élève à 5%. et à 4,3% pour les cadres d'études et de recherches. En conclusion, l'étude révèle que 80% des diplômés du supérieur tirent profit de leur séjour à l'étranger, que ce soit en facilitant leur recrutement, en obtenant un meilleur salaire ou en bénéficiant des deux à la fois. Ces résultats soulignent l'importance de la mobilité internationale, non seulement pour l'enrichissement personnel, mais aussi comme un investissement professionnel rentable. Il plaide pour un renforcement de son intégration dans les cursus et un soutien inclus aux étudiants, notamment ceux disposant de moins de ressources, afin de favoriser l'inclusion, objectif clé du programme Erasmus+, 2021-2027.

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🌎 Depuis la création du programme Erasmus en 1987, les séjours à l’étranger au cours des études supérieures connaissent un engouement croissant. En 2021, 1,5 million de jeunes européens étudiaient hors de leur pays d’origine, dont 105 000 français inscrits dans un programme diplômant à l’étranger. La France se place ainsi au 6e rang mondial des pays d’origine pour la mobilité étudiante. Cette expérience internationale, souvent perçue comme un gage d’ouverture, de dynamisme et de compétences linguistiques, séduit un nombre croissant d’étudiants et d’employeurs. Mais au-delà de l’image, quels sont les effets réels de ces séjours sur l’insertion professionnelle, notamment dans l’accès aux emplois de cadres ?


🎙️Christian CAMPO, secrétaire de rédaction au Céreq, nous partage en quelques minutes les principaux résultats de cette analyse et ce qu'il faut en retenir.  


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    Aujourd'hui, en bref, le podcast du Céreq aborde le sujet des séjours à l'étranger pendant les études supérieures et leur impact sur les carrières. Depuis la création du programme Erasmus en 1987, les séjours à l'étranger au cours des études supérieures connaissent un engouement croissant. En 2021, 1,5 million de jeunes européens étudiaient hors de leur pays d'origine. dont 105 000 Français inscrits dans un programme diplômant à l'étranger. La France se place ainsi au sixième rang mondial des pays d'origine pour la mobilité étudiante. Cette expérience internationale, souvent perçue comme un gage d'ouverture, de dynamisme et de compétences linguistiques, séduit un nombre croissant d'étudiants et d'employeurs. Mais au-delà de l'image, quels sont les effets réels de ces séjours sur l'insertion professionnelle, notamment dans l'accès aux emplois de cadre ? Une nouvelle étude du Céreq apporte des réponses à partir de l'enquête Génération 2017 et interroge la plus-value de la mobilité internationale étudiante pour les jeunes diplômés du supérieur. Parmi les sortants de l'enseignement supérieur en 2017, 28% ont effectué un séjour à l'étranger durant leurs études supérieures, une proportion qui grimpe à 75% dans les grandes écoles. Ces séjours, d'une durée moyenne de 6 mois, sont le plus souvent réalisés en fin de cursus et intégrés à la formation pour un tiers d'entre eux. Les pays anglophones restent la destination privilégiée de 40% des étudiants mobiles, témoignant de l'importance accordée à la maîtrise de l'anglais. Ainsi, l'étude montre que les séjours ont un impact positif sur l'accès à l'emploi de cadre. Pour 63% des jeunes ayant séjourné à l'étranger, Cette expérience est perçue comme ayant facilité l'accès à l'emploi, un sentiment particulièrement marqué dans les métiers tournés vers l'international comme le commerce, la recherche ou la communication. Les employeurs accordent un crédit significatif à la mobilité internationale, surtout quand cela concerne le recrutement des cadres commerciaux, technico-commerciaux, cadres d'études et de recherche ou encore dans les services administratifs et financiers. Dans certaines professions, Plus de la moitié des jeunes recrutés comme cadres ont connu une expérience de mobilité internationale pendant leurs études supérieures. C'est le cas des cadres commerciaux, des cadres d'études et de recherche, et des cadres des services administratifs et financiers. Cette expérience est aussi valorisée dans les métiers du bâtiment, de l'agriculture et de la communication. Mais alors qu'en est-il de l'impact salarial ? Si l'expérience internationale procure un avantage salarial brut dans 7 des 10 professions étudiées, cet effet ne persiste pas toujours une fois que l'on contrôle les autres caractéristiques comme le diplôme ou l'origine sociale. Toutefois, un gain salarial net est observé dans 4 des 10 professions étudiées. Il est de 7 à 8% pour les cadres des services administratifs, comptables et financiers et les professionnels de la communication et de l'information. Pour les ingénieurs de l'informatique, il s'élève à 5%. et à 4,3% pour les cadres d'études et de recherches. En conclusion, l'étude révèle que 80% des diplômés du supérieur tirent profit de leur séjour à l'étranger, que ce soit en facilitant leur recrutement, en obtenant un meilleur salaire ou en bénéficiant des deux à la fois. Ces résultats soulignent l'importance de la mobilité internationale, non seulement pour l'enrichissement personnel, mais aussi comme un investissement professionnel rentable. Il plaide pour un renforcement de son intégration dans les cursus et un soutien inclus aux étudiants, notamment ceux disposant de moins de ressources, afin de favoriser l'inclusion, objectif clé du programme Erasmus+, 2021-2027.

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