Speaker #0Est-ce que tu t'es déjà retenu de dire ce que tu pensais, ce que tu ressentais, par peur de blesser, de décevoir, ou pire, que l'on t'aime moins ou pas ? Est-ce que tu as déjà fait ça ? Peut-être que tu t'adaptes. Tu fais attention à ce que tu dis, à comment tu le dis. Tu dis oui alors que tu as envie de dire non. Bref, tu ne t'autorises pas à être toi. Parce que tu as peur, si tu le fais, qu'on ne t'aime pas, qu'on t'aime moins. C'est comme une peur viscérale au fond de toi, plus ou moins consciente, que si tu te montres comme tu es, tu ne seras pas aimé. Cette peur sourde qui guide tes choix, tes paroles, tes actes, tes silences, tes concessions si nombreuses qui t'étouffent, qui t'empêchent de respirer. Et tu t'épuises au fur et à mesure, tu te tords, tu te plies en quatre, en cinq, en six, pour toujours t'adapter à l'autre, pour ne pas déranger, pour ne pas être soi, parce qu'on ne peut pas aimer l'autre. Bienvenue dans « Et si tu t'écoutais autrement » , le podcast qui t'aide à te retrouver, à te libérer de ce qui t'alourdit et remettre de la douceur et de la bienveillance là où ça coince. Je suis Aude Jeandrot et ici je te donne des clés pour t'écouter en profondeur. et transformer ta vie de l'intérieur. Et si tu t'autorisais à être toi, sans avoir peur de ne plus être aimé, sans croire qu'être toi, c'est perdre l'autre. T'autoriser à être toi, sans peur de perdre l'autre, c'est le thème de cet épisode 16 de « Et si tu t'écoutais autrement ? » . Et je vais commencer par te dire une chose qui n'est pas facile. Mais qui pour moi est essentielle. C'est que si tu vis avec cette peur constante de perdre l'amour de l'autre, que ce soit tes amis, que ce soit ton conjoint, et bien c'est souvent que cette peur de perdre l'autre, elle est beaucoup plus ancienne que tu ne le crois. C'est une appartenance, une loyauté, souvent rattachée sur plusieurs générations. Déjà tu vas avoir grandi en général avec cette idée que si tu n'es pas gentille, si tu ne fais pas ce qu'on attend de toi, tu ne seras pas aimé. Alors tu te conformes, tu t'adaptes en permanence à l'autre, aux besoins de l'autre. Toi, tes besoins à toi, au mieux ils sont sous le tapis et au pire ils sont carrément à la cave. Et tu comprends que dans ce cadre-là, si tu dois être gentille, Utile, discrète, disponible. Alors t'autoriser à être toi, c'est comme trahir un pacte invisible, une loyauté invisible. Julie, par exemple, quand elle est venue me voir, elle disait oui à son mari. Même quand il a trompé, elle lui disait « oui, je te pardonne » . Oui, ce n'est pas grave. Alors qu'elle ne le pensait pas, quand elle venait, elle était effondrée, en larmes, en se disant qu'elle était nulle et pas digne d'être aimée par lui. Et que de toute façon, elle n'aurait personne d'autre. Donc il valait mieux qu'elle accepte son comportement. Avec ses amis, elle était une amie, je pense, assez exceptionnelle. Puisqu'elle disait oui à tout. Elle rendait tous les services qu'on voulait. Il fallait aller chercher les enfants à l'école parce que sa copine était retenue. Elle les récupérait sans problème. Alors qu'elle n'aurait même pas récupéré les siens parce qu'elle avait prévu de rester au travail. Et tout. Tout était comme ça. Elle était dans une recherche d'affection de l'autre, qui faisait qu'elle n'était pas elle-même, parce qu'elle souffrait de ça. Si on reprend l'exemple avec son amie, elle culpabilisait de se dire « Mes enfants, je ne serais pas allée les chercher, mais là, comme il faut que je prenne les siens, je récupère les miens en même temps pour me donner bonne conscience, mais que les miens, je ne l'aurais pas fait. Donc peut-être que je suis une mauvaise mère. » Et elle s'enfermait dans ce cycle-là, à toujours dire oui à l'autre, à faire des concessions en... permanence, une suradaptation permanente dont elle souffrait. Et au fond, elle était fatiguée avec un peu de colère bien cachée qui en fait était forte, mais elle l'avait bien cachée, il a fallu qu'on la cherche un moment pour la faire sortir. Elle était surtout invisible à elle-même. Elle ne voyait pas ses besoins, elle ne voyait pas ses envies, elle ne voyait pas ses limites. Ce que nous avons découvert au fil des séances ensemble, C'est qu'elle portait une loyauté inconsciente à sa mère, à sa grand-mère, qui avait fonctionné pareil, qui avait toujours fait passer les autres avant elle-même, qui avait accepté l'attitude, notamment pour la grand-mère, d'un mari, comme on disait à l'époque, très volage, et qu'il valait mieux ça qu'être seule, parce que c'était mieux d'être un petit peu aimée que pas du tout. Et pour Julie, en fait, eh bien, dire non. C'était... Comme dire à sa mère, à sa grand-mère, je ne suis pas comme toi. Et si je ne suis pas comme toi, je ne mérite pas ton amour. Donc je fais comme toi pour que tu me reconnaisses et que tu m'aimes. Et c'était la clé pour elle, de comprendre que il valait mieux souffrir mais être reconnu que d'affirmer qui elle était et de risquer de ne pas être aimée. Tu vois, c'était vraiment chez elle une croyance très profonde, mais pas irréversible. Et toi, c'est quoi ta croyance ? Qu'est-ce qui te pousse à te suradapter ? À croire que si tu es toi-même, Tu ne seras pas aimé. Parce qu'en réalité, tu ne perdras pas l'amour des autres si tu es toi-même. Tu perdras seulement l'illusion d'un amour. Parce que quand tu aimes vraiment quelqu'un, est-ce que tu le traites comme elle était traitée ? Si tu aimes vraiment quelqu'un, est-ce que tu te fiches de savoir ce que ça lui fait, ton comportement, ton attitude ? Je vais te donner un exemple. Moi, par exemple, dans mes relations amicales, à un moment donné, j'avais une femme qui était super gentille. Et c'était quelqu'un qui était tout le temps en colère. Sa colère concernait deux personnes. À chaque fois que je la voyais, quoi qu'on fasse, que ce soit prendre un verre, aller se balader, un ciné, peu importe la sortie, à chaque fois sa colère sur ces deux personnes ressortait. Je l'ai écouté de nombreuses fois. Je l'ai conseillé d'aller voir des professionnels. Je lui ai donné des conseils pour parler à ces deux personnes. J'ai fait tout ce que je pouvais. Mais à chaque fois qu'on se voyait, sa colère sur ces deux personnes prenait tout l'espace. Elle avait beau être gentille, elle ne faisait pas du tout attention à ce que je pouvais ressentir, à ce que je pouvais penser. Et elle ne prenait pas de mes nouvelles, elle attendait que je vienne vers elle. Et là, elle déchargeait sa colère. Et là, je me suis dit, en fait, ce n'est pas une relation qui est juste et respectueuse pour moi. Donc, il faut que je lui dise. Et quand je lui ai dit, cette personne n'a pas du tout compris. Que sa colère était envahissante et ne laissait pas d'espace à une relation amicale. En fait, je n'avais pas d'espace, ce n'était pas vraiment une amitié. Donc, si quand je lui dis qu'elle n'a pas compris, en fait, je n'ai pas perdu quelque chose. J'ai juste posé une limite. Et ça s'est arrêté, mais ça se serait arrêté de toute façon. C'est ça que je voudrais que tu comprennes. C'est que peut-être que quand tu vas t'affirmer, il y a des gens qui vont se mettre à distance. Mais tu les aurais « perdus » de toute façon. Ça veut dire que ces gens-là n'étaient pas avec toi pour les bonnes raisons. Ils étaient là pour ce que tu pouvais leur apporter, pas pour qui tu étais et ce que tu ressentais. Donc ce ne sont pas des relations justes et respectueuses. Demande-toi vraiment, est-ce que perdre ces gens-là, c'est perdre quelque chose ? Fais le point de tes relations. Si tu penses que tu as ce comportement-là à croire que tu ne peux pas être toi et que si tu l'es, tu vas perdre les autres. Fais le point sur tes relations. Est-ce que ces gens-là sont capables de t'écouter ? De faire attention à toi, à ce que tu ressens. Où est-ce que ce qu'ils font n'est centré que sur eux et leurs ressentis ? Où est-ce que tu peux leur apporter ? Je sais que c'est une question qui pique et qui n'est pas facile, mais elle est nécessaire, parce que c'est comme ça que tu vas pouvoir avancer. Parce que ce qui compte, ce n'est pas le nombre de relations, c'est la sincérité de la relation. Est-ce que c'est une amitié ou une relation amoureuse qui est réciproque ? Est-ce que tu apportes quelque chose à l'autre et que lui t'apporte quelque chose ? Est-ce que c'est des relations vraies, dans le sens où vraiment il y a une attention à toi ? Prenons un exemple. Si tu rates l'anniversaire d'une amie, tu oublies de lui souhaiter. Ça arrive, ça arrive à tout le monde, c'est pas un souci, d'accord ? Si par contre, quand tu la contactes pour lui dire je suis désolée, j'ai oublié ton anniversaire, comment tu te sens ? Voilà, je tiens à toi et j'ai envie qu'on se passe un bon moment dès qu'on peut se voir, c'est ok. Si par contre, quand tu la contactes, tout est tourné vers toi, je suis triste, je suis malheureuse, que c'est, on va dire, égocentré, il n'y a rien de sincère là-dedans, tu parles juste de toi, de ta souffrance à toi. Donc transpose ça dans une relation que tu peux avoir et vois si c'est réciproque, il y a une attention des deux côtés, un souci de l'autre des deux côtés. Parce que c'est important d'apprendre à faire le point sur les endroits, les personnes où tu t'autorises à dire ce que tu penses et c'est entendu. Où tu t'autorises à être toi avec tes qualités, avec tes défauts, ce qui fait toi en fait. T'as pas besoin d'être tout le temps gentil, t'as pas besoin d'être... tout le temps parfaite. T'as juste besoin d'être toi. Tes défauts, ils peuvent être rigolos. T'es toujours en retard. Est-ce que c'est un drame en soi ? Ça veut dire que les gens qui tiennent à toi, au pire des fois, ils peuvent être un peu agacés ou ils vont modifier l'heure pour te faire arriver à l'heure ou alors ils vont prendre leur mal en patience. D'accord ? C'est qu'un exemple, mais c'est vraiment que tu comprennes que peu importe tes qualités et tes défauts, Si tu es dans des relations sincères, ça passe. Et c'est ça qu'il est important de travailler, c'est que t'autoriser à être toi, ce n'est pas perdre l'amour des autres, c'est juste mettre à distance des relations qui n'étaient pas bonnes pour toi. T'autoriser à ça. Et ça peut être compliqué quand tu as des loyautés qui tournent, quand tu as des mémoires transgénérationnelles qui viennent te bloquer avec des schémas hérités, parce que du coup tout ne t'appartient pas. Ce qui t'appartient à toi, tu peux le travailler. T'es pas un souci. Par contre, ce qui est hérité, c'est beaucoup plus compliqué à travailler seul. Parce qu'il faut vraiment un projecteur. Il faut quelque chose qui vienne éclairer cette partie-là, qui est vraiment cachée. Et c'est là où moi je pense vraiment que c'est quelque chose qu'on ne peut pas faire seul. En tout cas, moi je ne l'ai pas fait seul. Et j'ai vu la différence. Ça va beaucoup plus vite, je trouve. Enfin, en tout cas, moi j'ai été beaucoup plus vite dans la libération de ces schémas-là. quand j'ai été accompagnée que quand j'ai cherché à le faire seule, même en lisant, j'avais cette sensation de tourner en rond et que les choses ne bougeaient pas. Et en tout cas, c'est pour ça que moi j'ai mis en place la méthode libre. Parce que libérer ce qui te freine pour être toi, ce qui te pèse de ton passé, qui impacte ton présent, c'est important. Identifier justement, concrètement, ces freins-là, faire bouger les lignes pour te sentir mieux, réconcilier ton passé et ton présent. Ça ne veut pas dire que tu vas être d'accord avec tout ce que tu as vécu. On n'est pas dans un monde de bisounours. Ça veut juste dire que ton passé ne va plus peser sur ton présent. Il ne va plus impacter, faire souffrir ton présent. Tu vas être capable de regarder ce que tu as vécu sans en souffrir. Et enfin évoluer, parce que quand tu es bien dans ton présent, tu peux poser les bases pour aller vers ce que tu veux vraiment. Et c'est comme ça que tu vas pouvoir t'autoriser à être toi. Sans peur de perdre l'autre. C'est pas devenir quelqu'un de différent. C'est juste accepter qui tu es au fond de toi et accepter de le montrer. Et si tu as envie de creuser plus ce sujet, moi je te propose de participer à mon prochain webinaire « J'ai le droit d'être moi » qui aura lieu le jeudi 21 août à 20h. Si tu veux, tu t'inscris, tu reçois le lien, c'est en visio. Et tu vas vraiment travailler sur ce webinaire, donc prévois un cahier et un crayon, parce que je vais vraiment te faire travailler. sur ce qui te freine pour t'autoriser à être toi. Quels sont tes blocages, que ce soit des loyautés invisibles, des peurs, des croyances limitantes ? Peu importe, on fera le tour pour que tu puisses enfin accepter d'être toi et accepter autour de toi des gens qui veulent réellement être avec toi et pas avec une image de toi que tu leur montres. Tu retrouves le lien du webinaire dans la description pour pouvoir t'inscrire. Même si tu as des questions, tu n'hésites pas à m'écrire. Tu sais que je te lis, je te réponds avec plaisir. D'ici là, d'ici le webinaire, moi ce que je te propose, c'est un petit exercice à faire par toi-même. Tu vas noter ou repenser, si tu es dans les transports ou en train de marcher, à une situation récente où tu t'es retenu de dire ou de faire ce que tu ressentais vraiment. Alors, on est d'accord, sur certaines situations professionnelles par exemple, tu ne vas pas dire à ton patron qu'il est con. Ça ne se dit pas. Ou alors tu acceptes de perdre ton boulot si tu le fais. Donc tu prends une situation où tu aurais pu dire ce que tu ressentais et que tu ne l'as pas fait. Tu repenses à cette situation avec une amie, avec un collègue par exemple. Et ensuite dis-toi, si je m'étais autorisée... À être moi, j'aurais dit ou j'aurais fait. Qu'est-ce que tu aurais dit ? Qu'est-ce que tu aurais fait si tu avais vraiment été toi ? Visualise cette scène. Imagine-toi en train de le dire ou de le faire. Comment tu te sens ? Est-ce que tu as peur ? Est-ce que tu te sens soulagé ? Est-ce que ça te fait rire ? Est-ce que tu te sens en résistance ? Est-ce que tu mets plein de barrières ? Mais non, ce n'est pas possible, je n'aurais pas pu, je ne pouvais pas, etc. Observe. réellement ta ou tes réactions et ensuite demande toi de quoi j'aurais eu besoin pour oser être moi dans cette situation de quoi j'aurais eu besoin pour oser être moi dans cette situation cet exercice tu peux le refaire autant de fois que tu veux parce que quand tu vas entamer ce travail de dire je m'autorise à être moi c'est pas un chemin tout droit il ya des fois tu vas te rater et c'est normal Comme un enfant qui apprend à marcher, il n'y arrive pas du premier coup. Ben toi, apprendre à t'autoriser à être toi, tu n'as pas y arriver tout le temps. Et c'est normal. Déjà, ça, c'est le premier postulat. Donc sur ce chemin, quand tu vas te rater, c'est là où tu vas avoir des choses à apprendre. Tu refais l'exercice dont je viens de te parler et tu te demandes pourquoi je n'ai pas réussi. Est-ce que c'est la personne ? Est-ce que c'est une peur ? Qu'est-ce qui s'est passé qui m'a empêché ? Et ça, c'est quelque chose que tu pourras faire tout au long de ta vie, parce que peut-être que même dans 15 ans, il y a un moment donné où tu ne le feras pas. Eh bien, repose-toi à la question. Mais sois sûr d'une chose, tu peux être toi, sans perdre l'amour des autres. Si tu es toi, à la rigueur, ça mettra à distance des gens qui n'étaient pas là pour toi, et pour ce que tu représentes. ou pour l'image qu'ils ont de toi ou l'image que tu donnes. Donc je te le redis, si tu es toi, tu ne perds pas l'amour des autres. Et tu verras que même, tu vas te retrouver toi. Tu ne vas pas changer, tu vas simplement être en accord avec toi. Et tu verras comme ça fait du bien de se foutre la paix et juste d'être soi. Ce que je veux vraiment que tu retiennes aujourd'hui de cet épisode, c'est que tu as le droit d'être toi et que je t'invite fortement à être toi. Moi, tu vois, je te parle avec le cœur. Je suis moi-même. Si ma manière de te parler, de te dire les choses te touche, j'en suis ravie. Et si ça ne te touche pas, si ma façon de faire n'est pas pour toi, c'est ok, tu trouveras ailleurs une autre personne capable de t'accompagner. D'accord ? Et ceux qui t'aiment, vraiment, aimeront aussi qui tu es, ta vérité, pas juste ta capacité d'adaptation et l'image que tu me montres. Et n'oublie pas que si tu veux aller plus loin, moi je te propose ce webinaire du 21 août. Je te rappelle que le lien est en description. Il n'y a pas d'engagement à ce webinaire, tu n'as rien à payer. C'est juste un espace pour te permettre de déposer les freins que tu as et pouvoir te libérer. Parce que mon cœur de métier, c'est ça. Accompagner les femmes à se libérer des freins qu'elles ont. Plus. Il y aura deux femmes libres d'être elles-mêmes. Plus les choses iront à l'endroit, j'en suis profondément convaincue. C'est ma petite graine à moi, c'est mon petit effet papillon à moi. Si tu es mieux, si tu es libre d'être toi, imagine l'impact positif sur tes proches autour de toi. Alors si cet épisode t'a parlé, si tu as trouvé qu'il résonnait, envoie-le à une amie qui peut avoir besoin de l'entendre, de faire l'exercice ou de participer au webinaire. Vous pouvez même vous y inscrire ensemble. Il ne sera pas enregistré, il n'y aura pas de replay, parce que ce qui se dit dans le webinaire reste dans le webinaire. D'accord ? Tu peux aussi venir sur Instagram, mon compte y porte mon nom, au Djandro. Si tu m'écris, si tu commentes, je te répondrai parce que c'est important pour moi, la qualité de l'échange et de vraiment pouvoir discuter. Et la semaine prochaine, lundi prochain ? Sur le nouvel épisode, on parlera de ce moment étrange, où tout va bien, mais où tu ressens un vide. Tous les indicateurs dans ta vie sont ouverts, tout devrait aller bien, et pourtant, toi tu ressens ce vide, cette sensation floue de ne pas être vraiment à ta place. Et tu vas voir qu'on va pousser ça encore un petit peu plus loin. Mais d'ici là, n'oublie pas, je t'invite à être toi. Parce que c'est là que tu vas vraiment être bien. C'est là où tu vas vraiment faire des choix pour toi et être libre. Pense-moi de toi.