Speaker #1J'ai eu à peu près pendant 10 ans, il y a eu 6 pilules. Avant ma diagnostic de 8 ans à 20 ans, je sentais des sensations dans mon corps qui n'étaient pas normales, comme avoir de la poitrine à 8 ans et faire des échographies. Et aussi, j'ai eu une poule dans la poitrine et qui était pour moi... La chose, c'est qu'ils ont diagnostiqué comme si c'était presque bénin. C'était un figo adénome, mais il aurait pu avoir un cancer. J'ai eu des cycles irréguliers et même absents, même pendant des mois et des mois. Et ça s'est réglé en 2019. J'ai quand même eu des douleurs pelviennes, même ovériennes, même plus que pelviennes, c'est plus ovériens. pendant plusieurs années, jusqu'à même encore aujourd'hui. Des douleurs pendant les rapports jusqu'en 2019. Je faisais des poids yo-yo et pendant dix ans, les médecins me disaient, surtout les gynéco, c'est pour ça que c'est très compliqué pour moi les gynéco. Ils ont commencé à me dire que les sopécas, c'était inflammatoire à cause de mon alimentation. La seule chose, c'est que je mangeais juste des goûters maison. Après, à côté, mon alimentation était saine et sans gras. Je ne mangeais pas souvent fat food. La seule chose, c'est que mon père est cuisinier. Il faisait très attention à mon alimentation. Il ne cuit pas au bord. Il cuit à l'huile d'olive. Et la chose, c'est que je n'ai jamais mangé beaucoup de féculents. Je mangeais quelques fois des pommes de terre, mais je suis plus dans les légumes. Alors, c'était juste les goûters à quatre heures qui étaient les gâteaux maison de mon père. La chose, c'est qu'on m'a dit que c'était peut-être inflammatoire, comme je vous ai dit, un estopécaflamateur ou post-pilule. J'ai eu aussi des phrases par certains génicaux ou même infirmières, terriles ou endocriniens, par rapport à... Il ne pouvait peut-être pas avoir d'enfant, la PMA ne sera jamais ouverte. Cette pathologie est vraiment très... c'était une pathologie qui est... Il y a eu des périodes très prouvantes pour moi pendant cette... Surtout quand j'ai eu le diagnostic, à 20 ans, me dire en plein de tête, je suis stérile. Surtout après, quelques... de temps avant, j'avais un frigo adénome et qu'on ne me disait pas que c'était peut-être en lien avec ça, parce que j'avais fait quand même des échographies et on voyait déjà mes follicules qui avaient des... Parce qu'au total, de follicules sur mes ovaires, j'en ai quand même 30 par mois, les deux côtés. Et en vrai, la seule chose, c'est que la période du frigo adénome, avant le diagnostic, on m'a quand même poncé ma poitrine. Avant le frigo adénome, on m'a quand même... diagnostiquer peut-être un cancer. On m'a comme fait beaucoup d'examens et en vrai, c'était bénin. Mais c'était une période déjà de stress. Il y a eu la période de 2017 que j'ai perdu ma grand-mère, qui là, à partir de là, mon SOPK a vraiment augmenté. Quelques temps avant, les SOPK étaient un peu stables, ça veut dire que j'avais juste un petit peu de poids, je n'avais pas mes règles irréguliers. Mais à partir de ma grand-mère, le diagnostic, les douleurs péguines étaient vraiment très présentes. Même j'ai eu des saignements et j'ai eu un quidermoïde qui s'est créé dans mon ovaire gauche. Cette période-là, pendant quand même de 2017 à 2019, je n'ai pas pu travailler. Tout l'année 2018, la seule chose, c'est que je faisais des saignements quotidiennement, des spottings quotidiennement, en dehors des règles. Limite, des fois, j'avais comme des spottings pendant un mois, plus les règles, c'était énorme. Ça veut dire que j'avais peut-être 15, parce qu'avant, j'avais des cils de 15 jours. Et en gros, plus des spottings, c'était énorme. C'était beaucoup pronom pour moi. Et des moments, c'était compliqué, jusqu'à ce que je puisse trouver un médecin après. un an pour me diagnostiquer que mon kyste était à 2 cm, mon petit thermoïde à gauche sur mon ovaire, et qu'à un moment donné il fallait qu'on m'opère. Ils me disaient c'est petit le kyste mais je voulais qu'on me l'opère parce que j'avais super mal, je ne pouvais même plus conduire. On a pu me l'enlever à Marseille, parce que là je vivais dans le sud, et en gros, je sais qu'on a pu quand même l'enlever. Et quand on m'a opéré avant le diagnostic, dans le compte-rendu, elle me disait que peut-être elle m'enlevait une partie de l'ové à gauche. Pas du tout, elle a réussi à ne pas m'enlever. Et à ce moment-là, cette période-là, on pensait que j'avais aussi l'endométriose. Et en vrai, on m'a fait tous les diagnostics, tous les examens, et pas du tout. Je n'ai rien du tout, je n'ai que les OPK. Ça, c'est déjà un point positif. Mais j'ai eu une période, ça, c'était des périodes déjà très difficiles pour moi. Après, c'est vrai que mes relations amoureuses ne m'ont pas aidé parce que j'ai eu des relations toxiques physiquement et moralement qui ne m'ont pas aidé vraiment sur SOPK parce que j'ai eu à 17 ans de la violence conjugale de mon pronifiancé. Après, j'ai eu un manque de confiance en moi. Je l'ai gardé en moi, je l'ai caché pour moi. Même ma propre famille n'était pas au courant. C'est vrai que c'était une période, je pense, très difficile. J'avais 17 ans et demi. Et la seule chose, c'est que jusqu'à mes 28 ans, j'ai gardé quand même 10 ans, tout ça. Et après avoir d'autres relations, on ne se répare jamais. Quand on se remet avec quelqu'un quelques mois après, on ne se répare pas. Et après, on reprend le même contexte de vie, le même schéma amoureux. Jusqu'à un moment donné... corps, il n'en peut plus. Et c'est vrai que je pense que les Ausha étaient entrés en moi, parce que depuis l'âge de 8 ans, mais je pense que c'était juste une petite parcelle. En mars 2020, j'ai eu 3 jours de saignement très abondants et à un moment donné, un matin, je me suis réveillée, j'avais une grosse flaque, limite comme une perte des eaux, on va dire, de sang. Je me rappellerai toute ma vie et je les garderai toute ma vie dans ma tête. C'est pour ça que ça, je travaillais beaucoup. Mais en gros, la seule chose, c'est que j'ai pris une ampoule pour arrêter mes saignements. Et la seule chose, c'est qu'après, j'ai eu le Covid pendant huit mois. Mais pendant deux mois, je suis restée au dents en ligne. Alors de mai, d'avril à juin, la seule chose, c'est que j'étais allongée. Et quand je me suis relevée, j'ai eu des contractions, des stigmas noirs et des douleurs très, très, très péliennes. Même des petites contractions. Alors, je ne peux pas vous expliquer parce que je ne comprends pas. J'ai jamais eu d'enfant avant, alors je ne sais pas si c'était des contractions énormes. Je suis allée à l'hôpital, ils n'ont pas prouvé. Et après, au fil du temps, j'ai eu des morceaux qui se sont tombés. Des morceaux qu'ils ne pouvaient pas comprendre parce qu'ils ne voyaient rien à l'échographie. Je comprends aujourd'hui les médecins qui ne l'ont pas compris. Mais moi, j'avais besoin d'explications, j'avais besoin d'entendre. Et en gros, je suis allée à Marseille 11 mois après parce que j'aurais dit mais j'ai des morceaux encore et tout Et ils m'ont dit. C'est là-bas, à l'hôpital Nord, je ne vais pas vous cacher, à Marseille, ils sont très poussés sur les... J'ai quand même dit, à un moment donné, ils m'ont pris pour une faune. Alors j'ai fait quand même une grossesse nerveuse. Suite à tout ça, en vrai, j'ai fait une grossesse nerveuse. En gros, la seule chose, c'est qu'à cause du stress, les contractions et tout, ça m'a fait une grossesse nerveuse. Mais ils voulaient d'abord des explications, juste des saillements noirs. J'ai des morceaux, je voulais savoir pourquoi. On m'a expliqué à Marseille qu'en gros, sur sa tête, que... C'est la suite de ma fausse couche et que physiquement et mentalement, j'ai quand même fait comme une vraie grossesse. Pour moi, ça reste un œuf clair et j'ai quand même voulu mettre un prénom dessus parce que ça reste quand même une étoile. Alors j'ai donné comme prénom Johanna, puisque pour moi, ça restera toujours un œuf clair féminin pour moi parce que c'est comme ça que j'ai voulu. Alors au début, je ne sais pas trop si c'est une fille ou un garçon. Alors j'ai voulu mettre Johanna parce que ça peut être Johanna ou Johanne. Je suis revenue dans le sud parce qu'après tout ça, en avril 2021, j'ai décidé de retourner dans le sud. Alors de base pour travailler. Et en gros, la seule chose c'est que j'ai rencontré mon nouveau compagnon, qui est devenu mon fiancé depuis un an maintenant. Et on va se marier dans quatre ans. Et suite à cela, la seule chose c'est que j'ai voulu plus retourner vers les gynécos. J'ai trop entendu, trop vu. Et franchement, je n'ai jamais été vraiment diagnostiquée en vrai. Vraiment, j'ai eu le SOPK et stuff que c'est quoi, mais ils ne m'ont jamais expliqué c'est quoi un cycle de 28 jours. OK, mais après, je ne sais pas plus. En vrai, le SOPK, j'étais dans le néant de dire, vous avez le SOPK, débrouillez-vous, etc. Et quand vous voudrez un enfant, vous démerdez. Et en vrai, c'est ça le mot qui, pour moi, qui m'a choquée. Vous démerdez. Ce n'est pas normal. que quelqu'un qui voudrait un enfant se dit débrouillez-vous parce que depuis 2019 j'ai arrêté les contraceptions voilà après depuis 2019 j'ai mes cycles j'ai jamais compris comment ça marchait rien pendant neuf mois on a essayé avec mon fiancé mon futur mari pour avoir un enfant de mai 2021 à février 2022 et en fait ma sache-femme a pris la décision de me diriger vers une PMA à Toulon Et en gros, je suis tombée sur la secrétaire. La génico PMA ne prend pas du tout de nouveaux patients parce qu'ils sont peu à la Toulon. Ils ne sont que deux génicaux. Alors c'est vraiment très compliqué parce que vous ne savez pas. Si certains qui sont en PMA, ils peuvent comprendre. Mais même des fois, certains ne comprennent pas. Mais ils sont très demandés. C'est énormément demandé en PMA. C'est un secteur de PMA. En vrai, moi, avant de rentrer en PMA, je n'aurais jamais pensé que... ce secteur était très demandé. Alors je savais, parce que je vois sur les réseaux, mais c'est un secteur très demandé. C'est devenu, limite, la seule chose pour avoir un enfant maintenant. Pour moi, c'est le vrai mot. Où tu as un enfant, moi je remarque, dans la société de maintenant, et je le remarque, je ressens, où tu as un enfant très désiré et tu arrives à en avoir un naturellement, où tu passes, tu as envie carrément d'être maman ou même parent, et en gros... T'as pas le choix de passer par une PMA. Alors certains ont pas le choix parce qu'ils sont homosexuels, mais nous les hétéros, ou tu arrives à avoir des enfants naturellement, ou tu passes par une PMA. Et c'est énorme. Le nombre... Alors la société, quand j'ai pris le téléphone et que je tombe sur la secrétaire, elle me dit, pour l'instant, elle veut voir avec la gynéco parce que la société, c'est qu'elle prend pas de nouveaux patients. OK, mais je leur dis, mais ça fait 10 ans que je les ai sauvés. Mais quand bientôt ? J'aimerais bien avoir quand même des... Parce que je suis pas du tout... Je suis venue par une sache-femme parce que le gynéco n'arrive pas à me répondre. Elle me dit, je vous rappelle dans la première idée. Elle a eu le courage de me dire, la gynéco vous accepte. Parce que par rapport à votre parcours. Et ça m'a beaucoup touchée. Elle m'a dit, vous faites tous les examens nécessaires, des outils par téléphone, voilà, spermogramme, bilan sanguin, etc. Moi, il fallait faire plein d'autres examens pour savoir si les trompes étaient bouchées, si mon bilan sanguin était bon. Il fallait que je fasse une échographie folliculaire, plein de choses. En vrai, c'était en septembre, tous ces diagnostics, et on avait des semaines encore. On avait à peu près 15 jours entre tous ces diagnostics et son diagnostic de spermogramme. Et le premier rendez-vous de PMA avec la gynéco. Franchement, ça m'a vraiment stressée, même remis en question, même de doute, même de colère. Au début, on peut penser que... contre lui, mais en vrai pas du tout. C'était moi, même, je me disais, mais comment on va faire ? Comment on va faire ? J'arrive pas. En plus, maintenant, les labos ont droit à mettre quel diagnostic, alors on modifie ou machin. Je me suis doutée, parce que avant de rencontrer mon compagnon, avec toutes les périodes difficiles que j'ai eues avec mes relations, et avant les relations, la chose, c'est que je me suis dit, avec ces relations que j'ai eues, je me suis dit, la chose, c'est que comme Maintenant, je vais me laisser vivre et qu'en gros, je vais préférer me dire, je vais me concentrer sur le travail et le mettre à fond. Et que quand j'aurai 35 ans, si je ne rencontre personne, je me mets dans une PMA sous l'eau. Et je pensais faire une chive, voilà, ou une fille normale ou une fille, je ne savais pas que ça existait, une fille. Suite à tout cela, on a eu le deuxième rendez-vous. Alors, il fallait refaire des examens pour monsieur et en gros, il fallait qu'il fasse génétique. Alors ça, cette période génétique, on a attendu trois mois. Des co-graphités circulaires, prostate, en course thermogramme. Et suite à cela, on a eu un social thinking là, elle nous a dit, Moi, il y a un évent en gros. Les effets qu'ils m'ont fait sur le corps qui m'ont un peu plus perturbée, mais elle m'avait dit, ça c'est tous les premiers protocoles pour que le corps agit. Mais au bout de cette même hyperstimulation, on a quand même eu cet embryon de très haute qualité pour la première ponction en général. Mais voilà, la seule chose, c'est qu'au plus personne n'a le droit de bouger pendant ce parcours. de vous dire que ça ne marchera pas. Si vous y croyez, peut-être que ce n'est pas le moment, ce n'est peut-être pas le bon moment, mais ça va marcher. Et à un moment donné, ça va marcher, je peux vous confirmer. J'ai des amis qui ont passé par la file, ils ont eu un bébé. Et dix ans après, ça c'est sûr. Mais des fois, oui, c'est un parcours très très long, très très long. Mais à un moment donné, il y a un espoir. Il y a toujours des espoirs. Et ça, c'est le plus important. C'est le plus important dans ce parcours d'y croire. Il y a des montagnes, et à un moment donné, dans la montagne, il y a des endroits où on peut s'arrêter comme des gîtes. Et bien moi, en ce moment, je m'arrête sur un gîte. Voilà, je me repose. Et je vais repartir pour faire mon transfert. Et c'est ça la vie. Dans les Sopécas, j'ai vu des montagnes pendant 10 ans. C'est comme la dysphasie. Je ne sais pas si c'est dans des périodes, mais je ne sais même pas. Et c'est ça le plus important dans la vie, c'est d'y croire. De croire à un but. La dysphasie, pendant 14 ans, j'ai fait de l'orthophoniste. Si vous m'avez vu avant, comment je parlais, j'ai eu des critiques. Et encore aujourd'hui, encore des critiques. Et j'ai eu des critiques. Et maintenant, des filles de collège qui me parlent sur Instagram, sur Fasmy qui me suivent. Parce qu'elles voient le passage que je suis passé. Et quand on est au collège et quand on est au lycée, même maintenant, adultes, il y a des périodes qu'on se critique. Et même en relation. C'est pour ça qu'aujourd'hui, j'ai pardonné en vrai à ces personnes-là. On était des gamins certains. Et même il y a trois ans. La seule chose, c'est que je pardonne les gens. On n'est pas pareil, on a changé, on a vécu des choses. Il faut pardonner aux gens. Parce que les gens ne s'en sortiront pas si on ne pardonne pas. Quand mes médecins ne croyaient plus, j'ai pardonné. Et aujourd'hui, j'ouvre la porte à ma gynéco. De base, je ne lui croyais plus la gynécologie. Et j'ai ouvert, je lui fais confiance. Dès maintenant, je doute un peu. Mais je lui fais confiance, je lui laisse faire. C'est la gynéco qui va faire mes enfants. Voilà, qui va... qui va nous aider pour avoir notre enfant avec ou en compagnie. Alors pour moi, c'est le plus important de lui faire confiance. Après, il ne faut pas fermer les yeux. Mais voilà, moi, je suis trombée sur mon gynéco, qui est pour moi déjà une partie au top. Après, la société, c'est que les traitements, etc., elle ne peut pas tout savoir, elle ne connaît pas mon corps. Elle teste. Voilà, on n'est pas des cobayes, mais voilà. Mais c'est vrai que des moments, il y a des gynécos qui chouinent. pas vraiment son corps et des fois, ils donnent trop de traitement. Je peux comprendre certaines qui ne comprennent pas pourquoi les gynécos donnent ça, parce qu'en vrai, je ne peux pas nous dire pourquoi. Mais moi, c'est que là, pour l'instant, les gynécos ont trouvé le traitement peut-être bien, mais voilà, j'ai une hyperstimulation, ce n'est pas grave. Je suis déjà très heureuse du parcours que j'ai vécu. Franchement, c'est déjà une première partie très heureuse. Pour tout, je pardonne et j'essaie d'avancer parce que si je n'avance pas, moi je suis bientôt mariée. Si je n'avance pas, je suis toujours dans mon passé avec mes autres relations ou mes autres amis que je ne parle plus. Je ne m'avance pas dans la vie. Et c'est comme pour tout, ma dysphagie, c'est même pour mon SOPK. Si je suis toujours sur mon SOPK, je ne m'en sors pas. Je fais juste attention maintenant à l'alimentation, surtout les souris-oison. Je bois quelques fois des sodas, pas tout le temps. Et surtout, je ne suis plus sur les jus de pommes, les jus de raisins, sur les jus surtout. Mais surtout, je ne suis plus sur l'alcool. Depuis 2020, je ne bois plus d'alcool, je ne chume plus. J'étais une fumeuse et je buvais quelques fois au week-end. Très osée. Mais depuis mes 28 ans, c'est que tout ça, je fais le pédicard et l'alcool ne m'aide pas. Surtout dans les sous-pédicards. Et le café, j'ai tout arrêté depuis un an. Je buvais quelques cafés comme ça au fil du temps, mais c'est pas du tout bon. Et le thé, j'ai arrêté depuis trois mois. Voilà, je bois du tea-salt. Pas en ce moment, mais voilà. Mais l'alcool, j'ai tout arrêté. Quand quelqu'un me demande, surtout en famille, ma famille me demande tout le temps quand je suis bien, ils ne me testent pas, mais ils le savent. Mais ils me disent, alors non. Et ils comprennent, ils le savent que j'ai eu une période très difficile sur ça. Et la cigarette, j'ai tout arrêté d'un coup, comme ça, du jour au lendemain. Alors, je supporte, sauf avec le protocole, je supporte pas trop la cigarette. Et voilà, mais c'est comme ça, c'est les hormones. Mais voilà, j'ai tout arrêté d'un coup du jour au lendemain, en 2020. Et j'ai eu raison de me faire parce qu'aujourd'hui, ben voilà, je... J'ai des beaux embryons, après c'est un choix pour tout le monde, mais pour moi je suis très heureuse du passage que je fais et mon soutien c'est mon chéri au quotidien. Et il me soutient tout le temps, malgré qu'il me supporte avec mon caractère, mais on est complémentaires. Et moi aussi je supporte, je suis très heureuse de l'avoir en amie. C'est mon demi-homme, en vrai de base c'est ma mère qui est ma meilleure amie et j'ai deux, trois autres meilleures amies. Mais mon chéri est devenu mon meilleur ami. Et c'est le premier parce que les autres, c'était rien. C'est lui mon meilleur ami aujourd'hui. J'ai même pas besoin d'avoir d'amis. J'ai besoin que lui. En vrai, quand il est pas à mon quotidien, j'ai besoin de me confier qu'à lui. C'est devenu mon meilleur ami. Mais en gros, chaque SOPK, nous sommes pas pareils. Certains ont de la publicité, certains ont un SOPK qui n'a pas de sac en vie moyenne comme moi. Moi, j'ai pas de publicité, j'ai pas de Dapnay. J'en ai vite fait quelques fois. Surtout quand, bah là, parce que la seule chose c'est que j'ai eu des traitements hormonaux. Mais après, la seule chose, on n'est pas tous pareil. Jusqu'en 2017, mon SOPK était stable. Ça veut dire que j'avais juste pas de règles et j'avais que 5 kilos de plus. Mais c'était ça mon problème. Après, je vivais bien et la seule chose, j'avais pas très une grosse douleur. J'avais juste des problèmes de boule dans la faute. On ne compense pas que c'était un cancer. et un kiss d'Hermoine, mais avant je vivais très très bien. La seule chose c'est que, en vrai c'est les perturbations comme je vous ai dit, par rapport à mes relations qui m'ont perturbé ça, après aussi familialement. Dans ma famille il y a des choses qui sont passées et moi aujourd'hui j'ai beaucoup travaillé sur ça. Je vais vous parler quand même des symptômes que j'ai eu avec le protocole jusqu'à la pension. J'ai quand même eu de l'hyperstimulation, limite presque des problèmes béneux, c'est pour ça qu'elle m'a mis sous... piqure collagulant et des bas avant que ça fasse une thrombose. J'ai quand même eu des problèmes très très pollen fois 10. Je suis très allergique aux pollens mais là c'était fois 10. J'ai pris beaucoup de problèmes de peau. Parce que de base j'ai des problèmes de peau avec les zémas mais depuis mes 24 ans j'en avais plus. Mais là c'était atopie clinique en pleine nuit. Mon fiancé m'a mis à déposer. plaques de légumes quand j'étais dans la tête, pour vous dire. Voilà, c'était très très, très, voilà. Après, j'ai pris 3 kilos. J'étais de base 80 kilos quand j'ai commencé le protocole et je suis arrivée jusqu'à la même limite, presque 83. Voilà. Aussi, là, ce que je vois, c'est que on gonfle, on est très fatigué, on est très irritable et surtout, j'avais des effets secondaires. Je me suis mis en arrêt. Et aussi, j'avais des vertiges, ce n'était pas possible. Et je passais ma vie dans le lit et je ne pouvais plus rien faire. Ça, mais quand même, la seule chose, c'est que quand même, le plus positif, le point positif, c'est que la seule chose, c'est qu'on a quand même pu avoir cet embryon. Et que la seule chose, c'est que la ponction, malgré que j'étais en hyperstimulation élevée, j'étais quand même passée de 4000 à première prise de sang. à 23 000 d'androgènes. La seule chose, c'est qu'elle m'a quand même demandé de ma génico au PMA. Moi, je dirais ma génico parce que c'est vraiment ma génico. Elle m'a demandé quand même si j'avais mal et que si j'étais hâte d'aller jusqu'à la pension, si j'avais le courage et tout. Et j'ai eu le courage d'y aller. Et en vrai, c'est irritant parce que la fin, j'ai quand même eu 16 ovocytes prélevés. Après, avec la FIV-ISCI, J'ai quand même pu, avec les micro-agétions, avoir 12 qui ont été micro-agestés et 12 sont restés. Après, ils n'ont pas tout gardé parce que par rapport à mon SOPK qui est résistance à la chenille, j'ai beaucoup de sacs en vie aurienne. Les sacs en vie aurienne, ça veut dire que j'ai déjà des sacs, malgré que j'ai des follicules, j'ai déjà des sacs tout le temps en vrai. Et en vrai, les bails sont vides et en vrai, quand j'ai une vie, d'habitude, ils ne se remplissent pas. Parce qu'en vrai, à cause de poids, ou parce que je ne revule pas assez, ou parce que j'ai bloqué mon ovulation. À cause de 2020, j'ai eu bloqué la remarquée que j'ai bloqué mon ovulation. Et en gros, la seule chose, c'est que les sacs sont vides à chaque mois. C'est pour ça que je ne revule pas et que je ne suis pas enceinte. Mais en vrai, mes sacs sont déjà là. C'est pour ça qu'elles ont peur que s'ils gardent tous les embryons et qu'ils sont mauvais. pas très bons, que les autres sont de très très bonne qualité. Ils ont peur que s'ils gardent tous et quand ils vont choisir, ils ont mis par catégorie de bonnes jusqu'à moins bonnes. Et là ils sont très très bons les 7, ils n'ont pas gardé les 12. Mais on est déjà très content parce que mon objectif c'était dans ma tête et je pense aussi mon compagnon, d'avoir 10 au maximum et à la fin 6 et j'en ai eu 12 et à la fin j'en ai eu 7 et moi je suis très content. et même très contente et lui aussi mon chéri on est très très fiers parce que c'est très bonne qualité sont très très gros et ça c'est le point positif parce que j'ai tout entendu aussi pendant la pma pas ma gynéco ou par un sage femme ou une amia moi qui est pharmacienne mais dans la salle d'attente j'ai entendu certaines dire à connaître au pk on peut pas avoir des sacs aux vieux aériennes mais j'en ai et aussi deux et c'est ça la méchanceté un pma c'est même des pémettes entre nous on n'est pas capable de se soutenir en vrai. Moi, sachant qu'elle n'a pas les opékias ou je ne sais pas quoi, je vous donne un exemple, elle avait une autre pathologie. Et en vrai, ça m'embête énormément. C'est une galère. Elle ne fait pas ma vie. Elle m'a jugée. Et c'est ça qui m'attriste. Parce qu'en vrai, moi, j'étais souriante malgré mes douleurs dans la salle d'attente parce que j'étais dans un état les derniers temps. Les deux échographies, je souffre énormément. Je ne peux plus marcher vraiment. Je marchais comme un canard parce que j'étais limite. trois petits bouts de plus, mais j'avais le vent de conflit comme une femme enceinte de trois mois. C'était énorme pour moi et elle ne voyait pas mes douleurs parce que je gardais un sourire quand je ne connais pas les gens, c'est comme ça, mais ça m'a attristée de la voir me dire Ah, pas de Thérèse Ausha, moi, mon amie, elle n'a pas de sept d'un, plus rien. Et ses embryons, elle n'en a eu que deux, moi, j'en ai eu beaucoup, j'en avais eu deux pendant deux jours et après, il n'existe qu'à cinq, ils n'ont gardé que les sept. Ils sont très très gros, elles disaient, ah mais ils sont pas de bonne qualité, ils sont pas très gros. En vrai c'est de la méchanceté gratuite et j'ai eu le courage de faire de la loi d'attraction et de tout, et en vrai le deuxième rendez-vous je me suis éloignée d'elle, je me suis bloquée, je me suis calée dans un coin. Parce que je n'accepte pas de la méchanceté gratuite et j'entends sur les réseaux que beaucoup de pénètes me disent que quand on est enceinte ou qu'on a un projet qui ça marche bien, les gens nous serrent, nous bloquent, ils ne nous parlent plus et je ne comprends pas, je n'accepte pas. Et je me dis... on a droit à avoir aussi notre bonheur et on a droit aussi d'être positif et on n'est pas tous pareil et chaque SOP4 n'est pas pareil et c'est ça que beaucoup de gynéco parlent en vrai dans ma famille il y a eu des viols et la social je pense que ça m'a resté sur moi et après moi j'ai eu des choses conjugales et d'avoir eu l'offre conjugale et physique et morale c'est pour ça que la social je pense que c'est lié tout ensemble mais après la social les gens ne me connaissent pas Et il me dit, je sens ça va, il donne des diagnostics qui ne sont pas médecins. C'est comme les médecins qui ne connaissent pas leur travail, excusez-moi. Mais la chose, c'est qu'à un moment donné, ils donnent des diagnostics, mais ils ne sont pas dans la fertilité. Ils sont génicaux de génicaux, en vrai, ils ne sont pas dans la fertilité. Alors, il ne peut pas donner de diagnostic. Pendant 10 ans, j'en ai entendu de toutes les couleurs. Et encore aujourd'hui, dans une salle d'attente, une femme, c'est sa deuxième grossesse qu'elle veut, passer par une PMA. Et là, ce chose, sa première déjà, elle l'a eue. grâce à la PMA et je suis très contente pour elle. Mais la deuxième, elle essaie d'en avoir encore. Mais tu es méchante, Sam. Je n'arrive pas à comprendre. C'est pour ça qu'aujourd'hui, je vais mettre au clair que le premier protocole, j'ai vécu. Et c'est pour ça que pour mon deuxième protocole, j'espère bien, et là je suis prête, que je ne vais pas parler aux gens dans la salle d'attente. Je ferai un sourire, je dirai bonjour. Mais après, je resterai dans mon coin. parce qu'en vrai j'ai compris que les gens, la méchanceté gratuite, mais j'ai eu la chance que j'ai pu quand même avoir mes environs congelés parce que si j'aurais été dans le néant et j'aurais pu lui répondre et en vrai j'ai écouté mon instant en me disant ne lui réponds pas, si tu la recroises au deuxième rendez-vous, tu te mets dans un coin et j'ai eu raison de le faire et j'ai eu raison parce qu'aujourd'hui le deuxième rendez-vous elle m'a quand même dit que j'étais en hyperstimulation, le premier rendez-vous c'était positif mais j'étais en hyperstimulation Et j'ai eu le courage et j'ai eu des grosses larmes. Vous ne savez pas si mon chéri, quand il va écouter une pause casque, il vous dira que par commentaire peut-être, j'ai pleuré de l'hôpital jusqu'à la pharmacie de l'hôpital en bas, parce que c'est pas ensemble, et jusqu'à la voiture. J'ai pleuré même à la maison. C'était une journée, mais j'ai passé une matinée à pleurer. Et quand j'ai eu la peine, j'ai été rassurée parce que j'ai écouté et j'ai mis de la misère en rentrant et j'ai prié dans la voiture en rentrant. Et tout le monde a marre. Je ne veux, je ne veux cette pension. Je sais que ça va marcher, je vais avoir mes embryons congelés. Et j'ai pu le faire. Alors la prière, la loi d'attraction marche énormément. Alors de base, je suis croyante. Alors pas pratiquante, mais dans ces parties-là, j'ai besoin de prier. Alors je ne prie pas Jésus ou Dieu, je prie mes anges. Je suis très ange, mais voilà, pour moi, il y a un quotidien pour moi et mon ange chez ma grand-mère. C'est énormément énorme parce qu'elle m'a soutenue tout au long de 2020. Pendant le Covid, elle était présente, même si elle est décédée en 2017, elle était présente et elle m'a sauvée. Et aujourd'hui, je veux dire, les anges existent et je peux vous confirmer. Après, vous pouvez croire ou pas croire. Ma grand-mère est toujours au quotidien avec moi et je prie souvent ma grand-mère. Elle s'appelle Gabrielle Marcel. Elle n'aimait pas le prénom Marcel, mais elle adorait Gabriel. C'est pour ça qu'ils ont donné le prénom. On l'appelait Gabi. Et pour moi, c'est important pour moi aujourd'hui. À ce moment-là, je l'ai priée parce que j'avais besoin d'elle. Et elle a été là. Et chaque fois que j'ai besoin d'elle, elle est là. Malgré que des choses se sont passées et que j'ai su par des soins énergétiques. Mais elle me soutient au quotidien. C'est mon ange et je n'oublierai jamais ce qu'elle a fait. toute ma vie, même si des moments, c'était une grand-mère pas parfaite, mais au-delà de la perception, au ciel, elle fait son travail de grand-mère et ça, pour moi, c'est énormément fort pour moi. Après, pas toutes les grand-mères et les anges de tout le monde, mais moi, ma grand-mère, c'est mon ange et ça, je n'oublierai pas. Elle m'a encore sauvée, elle m'a encore donné le bonheur que j'ai attendu d'avoir mes sept embryons pour l'instant et ça, je n'oublierai jamais. Ça, je n'oublierai jamais. Et ça, c'est un moment Et c'est comme pendant le Covid, elle m'a sauvée et elle m'a appris beaucoup de choses sur moi. Et c'est ça qui m'a tournée. Mais voilà, aujourd'hui, les larmes sont sorties parce que c'est énorme et que c'était très fort. Et que je n'accepte pas que la méchanceté des gens. Et il y en a des gens qui sont méchants, voilà. Mais voilà, moi sur Instagram, j'ai beaucoup de personnes qui ne me critiquent jamais. Mais la seule chose, c'est que j'ai beaucoup de commentaires positifs. J'ai beaucoup de... j'ai des PME, on se suit j'ai changé beaucoup d'Instagram parce que j'ai eu un passé pas facile mais j'ai des PME qui m'ont suivi du début jusqu'à la fin et encore mon nouveau compte maintenant qui marche pas mal parce que je me mets vraiment en valeur sur mon parcours et sur les stories je reste nature peinture mais la seule chose c'est que j'ai des PME qui m'ont suivi, il y en a deux qui m'ont suivi du début jusqu'à la fin de mon parcours et on s'entraide et je ne lâche pas et une m'a déjà la main de Elle est enceinte de 7 mois et je suis très contente pour elle, franchement, je suis vraiment émue pour elle. Et quand elle m'en a raconté là, elle m'a dit vais-je te chercher ? Et elle m'a annoncé qu'elle était enceinte de 7 mois, je suis très contente pour elle, elle le sait. Et même s'il y a une autre aussi que je viens de rencontrer, elle est tombée enceinte grâce à la pension. Moi, ça me touche énormément, c'est une personne qui a réussi et qui se bat. Même s'il y a des galères avec les médecins, il se bat et ça, c'est important. Et quand les gens critiquent comme la personne qui est enceinte de 7 mois, elle a eu son compte fermé par des personnes, je n'accepte pas ça. Je ne comprends pas en vrai. Ce n'est pas l'acceptation, c'est juste que les gens font ce qu'ils veulent. Mais tu te bloques parce qu'elle est enceinte, mais elle a galéré comme toi en vrai. Et moi, je n'accepte pas ça. Après, voilà, ce n'est pas l'injustice ou quoi, mais... Voilà, mais aujourd'hui, je suis très heureuse pour elle. Et pour ça, je vais me mettre dedans parce que pour moi, elles sont là au quotidien, elles m'aident aussi à me répondre. Et elle prend du temps aussi à écouter mes voix. Je parle souvent sur Instagram par vocaux. Je ne parle pas à l'écrit parce que j'ai du mal. De base, je suis dysphasique, c'est pour ça. Mais c'est un combat. Tous les jours, les SOPK m'a dysphasie. Je me suis combattue jusqu'à maintenant. Mais en vrai, je suis très forte de vous en parler de mon parcours parce que je suis très contente jusqu'à maintenant, jusqu'à ma pension, d'avoir combattu déjà. Et maintenant, il me reste une dernière partie, c'est le transfert. Et après, il y aura aussi la grossesse. Mais je suis très heureuse déjà d'avoir fait un grand pas avec mon compagnon parce que je ne suis pas seule dans le 7FR. Je voulais avoir une PMA toute seule parce que je n'aurais pas pensé que je rencontrerais un homme merveilleux. Et j'ai trouvé l'amour parfait.