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ÉTATS DAMES

Au cœur du SOPK et de la PMA : un parcours entre espoir et résilience

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46min |14/07/2023|

76

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46min |14/07/2023|

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Description

Si vous n’avez pas encore écouté la première partie, intitulée « Du SOPK à l’aventure PMA : mon parcours de combattante », je vous invite à le découvrir pour bien comprendre l’histoire de Tatiana depuis le début. Cette première partie met en lumière son parcours face au syndrome des ovaires polykystiques (SOPK) et ses premiers pas en Procréation Médicalement Assistée (PMA).

Dans cette Partie 2, intitulée « Un transfert de bonheur », Tatiana revient pour nous partager la suite de son aventure. Elle nous livre avec sincérité son expérience lors de la procédure de transfert, ses espoirs, et le désir profond qui anime son chemin vers la maternité.

Retrouvez également Tatiana sur Instagram pour découvrir son parcours de manière plus intime. Bonne écoute et plongez-vous dans cette histoire de résilience, de courage et d’espoir.


Du SOPK a l’aventure PMA : mon parcours de combattante » part.1 📻



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Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

Transcription

  • Speaker #0

    Dans une PMA, il y a toujours un parcours très difficile, certains galèrent énormément et je comprends que mon parcours est plus court, mais j'ai vécu dix ans avec un SOPK et j'ai galéré énormément, j'ai quand même perdu ma fille, qu'on n'a jamais prouvé et on m'a quand même dit, et je le résume aujourd'hui, on m'a quand même dit que la PMA ne serait jamais ouverte à moi et que je perdrais tous mes enfants. Aujourd'hui, je peux prouver qu'aujourd'hui, j'ai une école qui m'a vraiment aidée, qui m'a... Bienvenue sur Etat d'âme. Si vous avez cliqué sur cet épisode, c'est que vous avez sûrement envie de connaître la suite de l'aventure de Tatiana et de son parcours PMA étant atteinte du SOPK. Si vous n'avez pas eu l'occasion d'écouter l'épisode « Du SOPK à l'aventure PMA, mon parcours de combattante, partie 1 » , je vous invite à cliquer sur le lien en description de l'épisode. Cela vous permettra de mieux vous plonger dans son parcours. Tatiana est donc de retour pour nous livrer la suite de son récit. Je tiens à dédier cet épisode à Gabi, la grand-mère de Tatiana qui veille toujours sur elle. J'ai eu un soutien médical. Pour mon parcours SOPK, jamais de la vie, sauf à partir de 2021, j'ai eu ma sage-femme qui est dans ma région, qui est comme ma génico, qui m'a poussée à aller en PMA. Mais avant, pas du tout, je n'avais pas de soutien médical. En plus, ce n'est pas un soutien, c'est incompréhensible, parce que pendant 10 ans, on m'a fait croire que c'était alimentaire et pilule. Et pas du tout. Je suis en résistance à la sublime. Il fallait que je sois sous traitement. Après, en 2021, j'ai eu un soutien, comme je vous ai dit, par ma sachet, mais j'ai de la chance. Après, aujourd'hui, oui, j'ai un gros soutien par rapport à la PMA. J'ai une secrétaire qui est au top. J'ai tous les médecins autour de moi qui m'ont soutenue. J'ai quand même une copine qui est pharmacienne, qui galère avec trois filles. Elle est super heureuse pour moi. C'est vrai qu'autour de moi, j'ai beaucoup de personnes qui sont en PMA et qui ont vécu et qui vivent un enfer. Et... Il me souvient que j'avais 10 ans avec un parcours très compliqué. Ma génico, elle me dit que chaque parcours est difficile. Chaque parcours n'est pas facile. Je sais qu'aujourd'hui, le vôtre mérite d'être réussi. Ma génico et moi, on est encore choqués que j'ai réussi à être maman. De porter la vie, parce que maman, ce n'est pas encore. Mais de porter la vie en peu de temps. Déjà, elle n'aurait pas pensé qu'un apport de chance aurait beaucoup d'embryons. Parce qu'ils en avaient 12 de base. Ils n'ont gardé que 7 parce qu'ils avaient peur que quand ils choisissaient... Et bah je perds en vrai, sachant que même s'ils sont de bonne qualité les 5 autres, que en vrai je perds des ovaires où je fasse des multiples grossesses. Avec des embryons qui sont très faibles et que je galère très fortement pendant ma grossesse. Elle préfère mieux garder 7 embryons qui sont de bonne qualité. Mais quand elle m'a fait le transfert, elle m'a dit, j'ai tout espoir pour vous, mais je ne sais pas s'il va tout nier. Et aujourd'hui elle est très heureuse et tout le monde le voit. Et aujourd'hui en vrai les croyances et les valeurs faut arrêter. Cacher jusqu'à trois mois, parce que cacher jusqu'à trois mois, ça peut provoquer plein de choses, les nausées, les brumissements, les inquiétudes, et il faut arrêter tout ça. Comme vous l'avez compris lors du premier protocole, il y a pu avoir la conservation de sept embryons. L'un de ces embryons va-t-il permettre à Tatiana et son futur mari de connaître le bonheur de la parentalité ? C'est ce que vous allez découvrir dans cette partie 2. Un transfert de bonheur. Excellente écoute. Lui, on n'avait pas du tout conscience. Alors ça veut dire qu'on avait un doute. Parce qu'au début, avec le OAPS de mon compagnon, on est quand même passé par la génétique. Ça veut dire qu'on avait un examen. Pendant trois mois, on était en dans le dos de poser la question si M. Chéri serait le papa de mes enfants. Et surtout, si on passerait par un donneur. Vous voyez la chaise musicale ? On était sur deux chaises où on tombe par terre parce que si c'est un donneur ou si c'est lui, en PMA, on a des embryons et après on peut avoir un deuxième parcours. Mais pour le pronier, je me suis dit, je veux un enfant de mon compagnon, je ne veux pas un enfant d'une personne inconnue. Pour moi, c'était, moi je porte la vie, mais mon compagnon, je veux que ce soit ses yeux, son visage. J'ai eu une hyperstimulation élevée. Si c'était sévère, je n'aurais jamais eu parce qu'on est acide. Et c'est que l'acidité des produits peut mettre en danger le bébé et la maman. Même s'ils sont congelés, la seule chose, elle sévère, ça veut dire que le produit reste dans le bébé. Et c'est très dangereux pour l'avenir du bébé et de la maman au fil des mois et au fil des années. On ne met pas en danger la maman et le bébé surtout. Et voilà, c'est pour l'avenir du bébé et de la maman. La FIBCI, pour moi, je n'aurais pas pensé qu'au troisième jour, je me mettrais en arrêt. À cause des stimulations ovériennes, j'ai fait un pollen x10. Ça m'a fait un effet secondaire. Je n'ai pas arrêté le protocole, mais c'est juste que j'ai fait une allergie virale. J'étais dans un état et en vrai, je ne pouvais plus continuer de travailler. Et en gros, je suis allée jusqu'à un point de faire une hyperstimulation. Le jour du deuxième contrôle, on m'a dit que j'étais en hyperstimulation. Malgré tout, elle m'a demandé mes douleurs et j'ai quand même fait ma ponction. Mais c'est vrai que dans l'état où j'étais, j'ai eu des douleurs, j'ai eu de la transpiration, j'étais très fatiguée. Mais la seule chose, c'est que quand même, j'ai eu ma pension. Je repasserai par là s'il faut. Mais c'est vrai que c'était des doses très hautes. Alors pas très hautes, très hautes, mais quand même pour mon corps. Et c'est vrai que je suis allée jusqu'à quand même 24 000 d'estrogène. Et c'est vrai que c'était énorme pour moi. Mais voilà, même la gynéco était choquée. Mais voilà, j'ai quand même eu des bons résultats pour la pension. Depuis le début, on savait, depuis le premier sphère, un gramme de monstres mariaux, on savait qu'on passerait par ça. Malgré qu'on ait passé par des montagnes russes, des doutes, des tristesses, de la colère, même des fois on est passé sur la joie. On savait que ça allait marcher, même si en transfert frais ou en transfert congé, on savait que des moments, peut-être ça ne marcherait pas. En prenant une salle, on savait, mais on restait positif. Suite à la ponction aussi, j'ai eu des douleurs. Après, j'ai eu pire par rapport à mon clit d'hermoïde. Tout va bien. C'était une douleur qui était positive parce qu'à la fin, on a eu nos embryons. Tous les jours, ils m'ont appelé. Alors, c'était douleur. Elle était présente le premier jour. Le deuxième jour, après, quand j'ai eu des réponses, les douleurs, elles n'étaient plus présentes pour moi. Le plus important, je me suis dit que j'ai réussi à avoir 12 embryons. 12 embryons micro-AGT, 12 embryons fécondés. Et les 12 sont gardés, sauf après, ils ont fait un tri, ça c'est sûr. Mais il y en a sept. Pour moi, la douleur était loin pour moi. Loin, même si c'était il y a quelques jours. Pour moi, c'était le plus important, c'est que j'étais objectif, c'était les objectifs, c'était mes embryons. C'était pas la douleur. C'était ça, moi après, la douleur elle était là, après j'étais fatiguée, j'ai eu des douleurs pour faire pipi au début. Mais pendant la pension, j'ai eu un problème respiratoire. Alors voilà, j'ai eu une canne de tout. Je pense que c'était à cause du pollen, une hyperstimulation, un mélange de l'anesthésie. Mais c'était oublié parce que j'étais endormie. Je n'ai pas entendu, je n'ai rien senti parce que c'était général. Mais quand on m'a dit, j'étais choquée. Mais quand j'ai su, quelques jours après, combien il y en avait, j'ai oublié ça. C'était du passé. Il y a plus des choses positives. Il y a pire dans la vie en plus, mais c'était positif. Et c'est ça le plus important. Même par exemple, négativement, peut-être que je n'aurais pas eu d'embryon. Malgré tout, ce n'est pas grave. Moi, physiquement, comment je me sentais ? J'étais très fatiguée, très faible. Après, j'étais très forte. Mentalement, je me suis dit, mon chéri, son but, c'est son sperme. Le jour de la ponction, mais moi, mon but, c'est de faire les piqûres. Et mon but, c'est d'avoir des bons ovocytes pour la partie 1. Après, je n'aurais pas pensé que je n'aurais pas de transfert frais. Mais quand j'ai su qu'après, on aurait un transfert congelé, mon but deuxième, c'était d'avoir un ovule. et d'avoir l'endromètre très prêt pour avoir mon transfert. Pas comme au début, quand on a eu un an d'examen, que j'étais stressée pour nous deux. À partir que j'ai commencé les protocoles, j'étais plus stressée pour nous deux. J'étais stressée par rapport à que ça soit positif pour nous et que moi je fais tout mon maximum pour avoir des ovocytes et après d'avoir un ovule ou un endromètre qui est prêt. C'était pas... Ben on est deux, faut qu'on se tient jusqu'au bout. En vrai, je n'avais même pas besoin de son soutien parce que je sais que physiquement, mentalement, c'était important pour nous d'avoir une famille. Les piqûres, c'était moi le maître. Et de réussir d'avoir un maximum des embryons pour la première partie. Et après, la deuxième partie, même si c'est un transfert frais ou un transfert congelé, que ce bébé soit calé dans mon andromètre. Après, la deuxième partie, c'était plus dur parce qu'après, on a recommencé un mois après. C'était de refaire des piqûres et que ce... et que ça soit positif. On ne va pas dire que c'était un jeu, mais imaginez quoi, elle n'a quand même pas tiré des cartes, on ne va pas dire comme ça, mais vous savez qu'elle a tiré sur des choses, ça veut dire que les piqueurs ne savaient pas où aller. Et c'est vraiment mon corps qui a vraiment travaillé et qui a ovulé tout seul. Et ça, je pense que c'est un miracle. Parce qu'avoir une ovulation naturelle, ça, après des vraies règles, après une ponction et sous du Ausha, c'est magique. parce que les deux contrôles, elle n'avait même pas remarqué, j'ai ovulé naturellement. Elle n'aurait pas pensé. Après, comme je vous ai déjà dit, j'ai des sacs matures de base. Alors oui, mais on n'aurait pas pensé le 22 mai que j'ovulerais naturellement. Jamais de la vie. Même moi, je n'aurais jamais pensé parce que j'ai déjà ovulé. Pour ma fille, j'ai déjà ovulé après. J'ai déjà fait un test d'ovulation en 2020. Mais je n'aurais jamais pensé après deux ans d'essai avec mon compagnon. que j'aurais une ovulation naturelle. C'est un miracle. Après, c'est un miracle moitié parce qu'il y a un transfert après. Mais On a eu cinq individuels et deux ensemble, ça veut dire que c'est des jumeaux. Pour moi, on est très contents des résultats, de la qualité et on est très très fiers, mon compagnon et moi, de tout ça. C'est dans une piqûre, on va dire, dans un tube blanc. On ajoute l'embryon et comme une échographie, les gens, comme sur le siège de la généco, te désinfectent, te mettent dans l'endomètre. Sur l'échographie, mon compagnon a participé. Et c'était trop beau. On a vu l'embryon se mettre dans l'endromètre. J'ai eu une émotion énorme. Le voir, en vrai, c'était trop beau. C'était vraiment tout petit, tout petit. On est très présentes et je n'ai pas pu me retenir. J'ai eu la petite larme parce qu'en vrai, c'est à ce moment-là que j'ai pris conscience que l'embryon congelé est de base un embryon. Et j'ai pris conscience que ce petit bébé peut grandir dans mon ventre. Et dans quelques semaines, je saurai. que je serais même pris conscience là, je me suis attachée. De base, je ne voulais pas m'attacher et je me suis attachée dès le premier jour. Et en vrai, voilà, c'était magique et je n'oublierai jamais ce moment. Et en plus, ma génico a fait participer mon chéri. C'est un moment que je n'oublierai jamais, vraiment jamais. Il était magique, voilà. Magique, magique. J'ai attendu 15 jours, 15 jours d'attente pour la prise de sang. 15 jours de, pas souffrance, mais 15 jours d'attente, c'était les plus longs de ma vie. Après le transfert, après 5 jours, déjà le troisième jour, je savais que j'étais enceinte. J'ai pris des mamelons. Le mamelon avait pris du volume. La poitrine commençait à gonfler, j'ai pris du ventre. J'avais déjà du ventre, mais là j'avais pris un ventre très dur. Et au cinquième jour, deux jours après tous ces effets, j'ai eu des nausées. Je pense que l'annulation s'est faite au 30 mai, parce que mon transfert était 5. Je pense que j'ai fait là, sachant que c'était un J3. Je pense que c'était ça. Sept jours après, la fécondation s'est faite. J'ai eu l'anidation pendant deux jours, même plus, parce qu'après, j'ai eu des saignements quelques temps après. Au transfert, j'ai pris conscience que je serais maman et que j'ai dit, ce bébé va s'accrocher, il va s'accrocher jusqu'au bout. Et je me suis attachée. Et il s'est attaché aussi à moi et il s'est accroché. Et je savais, en plus, je ne veux pas vous cacher, le 31, je me suis doutée, le 2 et le 3, à minuit, j'ai mangé une pizza. Une pizza, le 3, à minuit. Et le 4, matin, j'ai mangé à 8h30 une pizza. J'ai jamais mangé à 8h30 une pizza. Voilà, après, il y a plein de signes que j'ai eus. J'ai eu aussi... Ouais, j'ai eu la tête qui tombe, mais ça, j'avais déjà avec les stimulations. Mais là, vraiment, plus, plus, plus, vous pouvez pas m'abaisser. Après, j'avais des piqûres de progestérone et j'en ai encore. Mais au début, le corps, avec la progestérone, j'avais pas encore trop l'habitude. Les hormones me prenaient énormément. Mais vous savez, dès le début, j'étais enceinte. C'était pas ciblé. Mais c'est vrai que quand j'ai pris, deux ou trois jours après, je commençais à prendre des auréoles qui dépassaient les miens. J'ai compris. Après, j'ai des petites bulles dessus. J'ai compris tout de suite, j'étais enceinte. Je n'ai jamais eu ça avant. Et c'est vrai que dès que j'ai eu des nausées, j'ai compris tout de suite. Je n'ai jamais eu des nausées de ma vie. J'ai compris tout de suite, j'étais enceinte. C'est magique qu'on a des symptômes comme ça. Je ne veux pas le cacher. Je reste positive sur ça. Et non, les résultats étaient très longs pour moi. Un jour là, c'était énorme. C'est ça qui était plus long pour moi. Par rapport à la prise de sang, quand j'ai eu mes résultats, mes résultats étaient très très bien. Sauf que la première prise de sang, je le goûtais encore. Malgré les symptômes, malgré tout, il était encore une hésitation. En plus, il fallait que j'atteigne encore 7 jours en plus pour la deuxième. Et en vrai, la deuxième, le matin, je me suis levée, j'ai eu des saignements. De stress, je suis partie jusqu'à Toulon pour faire la prise de sang et après voir ma gynéco. Et en vrai, ma gynéco, la secrétaire de ma gynéco n'était pas là. Alors je suis allée aux urgences. C'est vrai que j'étais à six semaines améliorée. Premier jour, J0. Et en vrai, ils ne pouvaient pas me faire un écho. Et en vrai, ils ont eu ma gynéco en urgence. Et elle m'a dit qu'il fallait que quelques jours après, je refasse 48 heures après. Alors c'était samedi. Une prise de sang et ma prise de sang était très, très haute. Et elle était positive, en vrai. Même déjà la deuxième, j'étais enceinte. Mais en vrai, le stress du saignement, j'ai vécu déjà pour Johanna. C'était juste des spoutings, mais c'était un stress pour moi. Et le lundi, j'ai eu une échographie. Et l'échographie annonçait vraiment que c'était positif et que le cœur battait et qu'il s'est accroché. Il ne fallait pas, je m'inquiète, mais qu'on a vécu déjà des saignements, on ne peut pas... s'inquiéter de ça en vrai. Une maman s'inquiète toujours de son bébé et même ma gynéco s'inquiétait. Elle avait peur que ça ne soit pas accroché. Mais il s'est accroché et il n'y a pas d'inquiétude du tout. Comment je me sens aujourd'hui ? Très très bien. Malgré que j'ai du volume de ventre depuis le premier mois, vraiment le ventre on le voit depuis le premier mois. Pendant le premier mois j'ai vraiment caché parce qu'avec les saignements, l'échographie, on a vraiment attendu l'échographie d'adaptation, la vraie. Malgré que le cœur était positif, j'ai commencé quand même à dire à des personnes que, surtout mes parents, ma soeur, dès qu'ils ont la première prise de sein, on l'a entendu au téléphone avec l'intuition que j'étais enceinte. Oui, mais voilà. Mais après, non, je n'ai pas caché, j'ai pas attendu. J'ai attendu l'échographie d'attention, on va dire. On va dire dès la première semaine du deuxième mois, on l'a annoncé. En plus, ça a arrêté mes nausées. Quand j'ai commencé à annoncer fin du premier mois, j'avais pris une nausée et je n'en ai plus. Je suis très contente. Après, il y a des moments où je pleure parce que c'est les émotions de la grossesse. Après, j'ai du ventre, j'ai pris beaucoup de poitrine. C'est vrai que mes vêtements, je rentre plus dans du 50-52 bientôt. C'est plus le poids qui me stresse un peu plus parce que par rapport à mon SOPK, ça reste toujours de moins à 15. Mais après, il faut que je garde positive et ça, c'est un peu compliqué. Je pense qu'à partir du quatrième mois, je serai plus positive sur ça. C'est que le surpoids est pour moi une peur totale. De me dire que je n'arriverai jamais à perdre. Et en vrai, quand je me pèse, il n'y a rien du tout. C'est juste qu'en vrai, c'est le placenta qui commence à prendre sa place, le BB, le litigamotique. Et voilà, c'est juste que c'est toutes ces choses-là qui prennent la place. Moi, en vrai, je ne prends rien. Après, depuis la PMA, depuis le début de la PMA, depuis, on va dire, depuis l'été dernier, j'ai quand même pris 6 kilos au total. Voilà, en plus de là, du début de grossesse à fait. J'ai pas pris beaucoup depuis le début de grossesse, j'ai pris à peu près 2 kilos. Il n'y a pas grand-chose. Après, il y aurait des stimulations. La stimulation m'a énormément fait grossir parce qu'au début de la stimulation, j'avais trop perdu 70 et j'étais à 77. De base, mon poids serait 69-70. J'avais pris 7 kilos quand j'étais... Et là, en vrai, j'étais à 77. J'avais pris 7 kilos depuis un an de... de protocole. Mais en gros, j'ai pris, on va dire, depuis, j'ai pris 6 kilos. Mais en vrai, j'ai pris à peu près 2 kilos avec la grosse. Je n'ai pas pris énormément. Après, je fais très attention. En vrai, j'ai mangé une petite brique. Après, des fois, je me fais plaisir. Mais c'est vrai qu'on me dit que je vais aller dans le 52. J'ai toujours dit que je n'aimerais jamais dépasser le... Le plus, c'est 42. C'est vrai que là, je les efface énormément. Après, c'est la grossesse et c'est le plus important. Et en vrai, le poids est pour moi ma hantise, mais pas pour ma grossesse. Je m'enlève ça tout de suite de la tête. Et voilà, c'est juste que c'est ma phobie, le poids. Et voilà, mais en plus, je me pèse tous les semaines. Et de base, il faut arrêter ça quand on est enceinte, mais je n'ai pas le choix. En vrai, c'est ma hantise. Et en plus, c'est bien parce que je me mesure tous les mois. Et ça aussi, ce n'est pas bien, mais c'est un souvenir. Mais le poids, c'est vrai qu'il faut que j'arrête. Il faut que je me pèse. Sauf le dernier mois, il faut que je me pèse tous les jours. Mais même ça, ce n'est pas bon. Alors, j'ai décidé d'arrêter. Mais voilà, je vais finir cette semaine. C'est ma dernière semaine. La semaine prochaine du deuxième mois, je le ferai. Et après, je me poserai une fois par mois. C'est-à-dire que la fin du troisième mois, je me poserai. Par rapport à la fin du deuxième mois, on verra la différence. C'est aussi un but de me dire que j'étais enceinte et qu'il fallait que je me fasse plaisir parce que peut-être que je n'aurais qu'une seule grossesse. Mais c'est juste ça le truc. Mais après, je reste positive. Je suis très contente de ma grossesse pour l'instant. Je n'ai pas d'acné. J'ai juste un beau ventre, une belle poitrine, un beau corps de femme enceinte. Quand je suis habillée, on voit vraiment mes formes que j'adore, que j'ai toujours rêvées parce que mes formes, je les cachais. J'avais peur, mais là, avec la grossesse, c'est encore plus beau et ça, j'adore. Après, j'ai un beau visage. Là, je vais aller chez le coiffeur pour remettre mes cheveux bien, juste pour couper et remettre mes boucles en forme. Mais je ne fais pas de couleur, rien, parce qu'on a la grossesse. Après, j'ai des beaux ongles. Le seul problème, c'est qu'avec la grossesse et la chaleur, la polisité, elle est présente. Mais ça va, j'ai une éticienne qui va faire les choses. J'arrivais au début pour me raser et tout, mais là, c'est plus possible. Avec le ventre, c'est plus possible. Le maillot, je fais très attention. J'essaye de me raser et j'ai trouvé une technique. Pour les femmes enceintes, la technique, c'est s'allonger sur le lit et se raser sur les côtés. Le maillot, je ne le fais pas trop au milieu parce qu'avec... Je fais très attention par rapport aux afflatures urinaires. Je fais très attention, il faut se protéger par rapport à la flore vaginale. Mais en gros, à part ça, après chaque été, j'ai souvent un peu plus de pulisité. Mais là, avec la grossesse, un peu plus, ouais. Mais à part ça, sur le visage, j'en ai pas beaucoup. C'est juste sur les parties. Après, c'est vrai que je me rasais toutes les semaines avant. On ne voyait pas vraiment, c'est vrai que là, avec la grossesse. un peu compliquée. Mais à part ça, je suis très contente de ma grossesse pour le début. J'arrive à la fin de mon deuxième mois. Je suis trop heureuse. Les temps passent très vite. La semaine prochaine, je suis déjà à la fin de mon deuxième mois. Je passe dans mon troisième mois, début août. Et en plus, on revoit le bébé, on va faire la TA et tout. Le seul truc qui me stresse, c'est la trisomie, mais ça, on le reste positif. Je sais qu'il n'y aura pas, j'espère. Ça, c'est fortement parce que c'est un choix qu'on va faire après et le choix, on l'a déjà décidé. Mais je n'y pense pas. Je n'y pense pas, mais c'est que c'est encore une période un peu compliquée, mais pour l'instant, on reste positif et tout va bien. Et voilà. Je n'ai jamais fait de test de grossesse. J'en ai fait avant, pendant deux ans, on va dire avant la paix, avant le protocole. Et en vrai, j'avais fait aussi pour ma fille. Les tests de grossesse pour moi n'ont jamais marché. Et en vrai, pendant les 15 jours, on a eu beaucoup de... Tout le monde dit, j'ai fait un test de grossesse, après j'ai fait une fausse couche. Et l'autre, il était négatif. Et en vrai, il était positif. Aujourd'hui, elle va accoucher dans une semaine, là. Voilà, en vrai, j'ai décidé de ne pas faire, malgré que c'était très long pour moi. Mais j'ai tenu le bon bout. Et en vrai, aujourd'hui, je mérite tout ce bonheur. Après, je ne m'envoie pas des fleurs, mais j'ai eu de la chance. et j'ai eu le courage, malgré que le jour de la première prise de sang, j'ai craqué. En vrai, toutes les prises de sang, j'ai appelé le labo, en vrai, avant même les résultats parce que pour moi, c'était trop long d'attendre jusqu'à 15h. Mais j'ai tenu jusqu'à à chaque fois des prises de sang. Voilà, j'ai pas fait un test de grossesse au milieu pour voir si c'était toujours bon. Non, non, j'ai vraiment fait que des prises de sang. J'ai jamais fait de test de grossesse et même dans l'avenir, j'en referai pas parce qu'en vrai, la prise de sang, pour moi, est encore plus magique et résultat vraiment pour vraiment qu'un test de grossesse. Pour moi, c'est pas bidon, mais c'est pas magique. C'est pas le sang, en vrai, c'est ton urine. Mais ton urine peut se tromper, en vrai. Mais pour moi, personnellement, je ne referai jamais de test de grossesse de ma vie. Il n'y aura plus même test d'ovulation à la maison. Mon ovulation, je le sais, parce qu'en vrai, j'ai des pertes blanches maintenant. Je peux le dire, c'est un autre sujet, mais voilà. Mais je suis très contente d'avoir tenu. Je suis même fière de moi, en vrai. Aujourd'hui, je suis même fière de... même pas mettre un test de grossesse sur mon Instagram. J'ai mis mes analyses et je suis très fière de le mettre en vrai. Que je les ai mis en vrai quand j'ai annoncé ma grossesse sur Instagram. Parce qu'en vrai, je suis très fière d'avoir pas fait de test de grossesse. Parce que s'il aurait été négatif, ça m'aurait plus stressée, j'aurais eu encore plus de saignements. Et j'aurais peut-être perdu mon bébé parce qu'inconsciemment, mon corps était pas faible. Mais j'ai cru en moi, j'ai cru au positif et j'ai eu la chance d'y croire parce que j'ai pas fait de test de grossesse et mes analyses étaient très hautes. Elles étaient magnifiques et j'étais très contente d'avoir fait ce que moi je sentais et de me dire, ben non, tu fais pas de test de grossesse, tu fais prise de sang, prise de sang et j'ai eu raison. Mon seul conseil, ça serait que si le corps et l'esprit est bien connecté, tout ira bien. Après, c'est l'alimentation. les compléments alimentaires et le sport et être bien entouré. Si on est une norme négative, qui en ira ? Et aussi, être bien entouré, c'est bien aussi. Je ne dis pas le contraire. Mais moi, pendant ce parcours, j'ai tout bloqué. Ça veut dire que j'étais connectée sur Instagram, mais j'étais dans ma bulle avec mon compagnon. On avait des amis, après j'avais ma famille, mais en vrai, j'ai tout bloqué. Ça veut dire que je me suis renfermée, je me suis mise dans la bulle. Après, je me confiais beaucoup à ma famille, beaucoup à mes amis. Mais pendant ce parcours, ponction et transfert, on n'était que tous les deux. Je ne voyais plus personne. Et c'est ça qui m'a vraiment soutenue. En vrai, c'est que je ne suis pas sortie, j'ai tout arrêté déjà depuis longtemps. Alimentation, j'ai resté innée. Et en vrai, je me suis raisonnée, en vrai, comme une femme enceinte, en vrai. Alors après, sur l'alcool, la cigarette et d'autres choses, j'ai rédimé déjà depuis longtemps. Mais après, j'ai fait des nettoyages de corps, j'ai fait des détotes. Ça faisait déjà dix ans. Après, j'ai fait beaucoup de compléments alimentaires. J'ai pris de l'oméga pendant dix ans. J'ai fait plein de choses. Avant, je me suis aidée par une sophrologue, par un des soins énergétiques. J'ai fait une PBA et après, je suis liée par ma tante et ma mère qui est naturopathe et moi aussi. C'est familial. Après, on a beaucoup d'intuition dans notre famille. J'ai vu beaucoup de voyants. Je savais qu'au printemps, je serais maman. On m'avait dit il y a deux ans. Par rapport aux énergies du ciel et l'énergie de terre, c'est un peu compliqué parce qu'on n'est pas liés. C'était compliqué parce que pendant deux ans, tu doutes beaucoup. Mais j'ai beaucoup travaillé sur ça. Comme je le dis, c'est alimentaire, c'est plein de choses. Mais la seule chose, c'est que quand le corps et l'esprit sont présents, comme je l'ai dit au début, tout ira bien. Et surtout, il faut s'écouter soi-même. Si on se dit qu'on n'y arrivera pas, rien n'ira. Et surtout, il faut y croire en soi. Et dans ce parcours, faire douter son compagnon, ça ne marchera jamais. Et j'ai beaucoup discuté avec beaucoup de personnes sur les réseaux. J'ai toujours dit que dans un parcours, dans un couple, L'homme met la graine et la femme ne fait rien. Elle fait juste voilà. Et bien dans un parcours PMA, une relation amoureuse, c'est comme la réalité. Un acte sexuel amoureux, pour faire un bébé, reste pareil en PMA. Et ça beaucoup disent que non, bah si. Parce que pour faire un bébé, il faut avoir des ovocytes. Il faut avoir du sperme. Et il met la graine, oui le père. Mais dans un spermogramme, dans un tube, c'est la même chose. et un nouveau site aussi. Pour moi, le but, c'est à la fin, c'est la même chose. Et aujourd'hui, j'ai réussi à... En vrai, j'ai une connaissance sur les eaux qui fait des cartes et des livres pour les naissances, pour les parcours. J'ai commandé le livre pour notre futur bébé. Et en vrai, dedans, elle nous demande l'histoire de la conception. Eh bien, je ne le trompe pas. Et en vrai, c'est une histoire que je raconte en petit résumé. Mais j'explique naturellement au vrai le parcours et ça reste pour moi comme un parcours naturel. Notre enfant, il est arrivé comme si c'était naturel. C'est juste que, en vrai, c'est l'aide médicale, mais ça reste pareil. C'est juste que ce n'est pas dans un lit, mais ça reste pareil. C'est mon ovocyte ou mes ovocytes qui l'ont aidé à arriver, mais c'est le sperme de mon compagnon. Mais c'est comme si c'était dans un lit, sauf que c'est autrement. Mais moi, c'était encore plus magique. parce que je l'ai vu être dans mon endomètre. Et c'est ça, encore plus magique en vrai. C'est de l'avoir vu et après, au fil du temps, de l'avoir vu. Et en plus, le plus important, c'est qu'à l'échographie d'alatation, il tombe déjà que... Je n'ai jamais vu ça, un bébé qui tombe déjà, qui fait déjà des pirouettes. Et qui n'a même pas encore tous ses bras en entier. Alors aujourd'hui, je parle en même temps que je vous fais le vocal. Aujourd'hui, il a encore plus pris de bras et de jambes, je pense. Mais voilà, c'est magique. Je ne peux pas oublier ses écourachis et tout, et même les autres que je n'oublierai pas après. La seule chose, c'est qu'il faut croire en vous, même s'il y a des périodes difficiles. J'ai vécu ça dans un SOPK et j'en ai vécu encore après. Peut-être que j'en vivrai encore, mais aujourd'hui, je suis très contente du parcours que j'ai vécu et qu'aujourd'hui, on est heureux d'avoir ce petit bébé qu'on appelle Bonbon pour l'instant. Après, on a déjà choisi les prénoms des deux côtés, des deux têtes. C'est ça, une fille ou un garçon. Mais on est très heureux que ça soit son surnom. En plus, toutes les cartes qu'on a commandées chez Ket, parce qu'elle s'appelle Ket. Et c'est le thème gourmandise, alors je pense qu'on fera sa chambre sur le thème gourmandise, mais on est très heureux de tout ça et on est très heureux de vous partager ça en vrai. Et après, chaque partie de la vie apporte et j'ai mis, voilà, c'est vrai que mes portes de PMA sont ouvertes rapidement, en peu de temps, en un an j'ai eu mes résultats d'analyse, etc. Et après j'ai eu mon parcours qu'en trois mois, mais avant ce que j'ai vécu. Voilà, c'est pas un cancer, mais j'ai vécu plein de choses. Et j'ai presque eu un cancer de sein, en vrai. C'était bénin, mais j'aurais pu avoir un cancer de sein. Surtout avec mes périodes que j'ai eues. Et en vrai, c'était bénin, alors j'ai de la chance. Mais j'ai vécu le Covid, que j'ai mouru presque avec ma fille. Et voilà, ma fille est partie. Alors aujourd'hui, je ne mérite pas que ce bonheur, mais je le mérite énormément avec mon compagnon, parce que même mon compagnon n'a pas eu une enfance facile. Alors notre histoire mérite... être réussite à la fin. Après, je me dis je vais profiter de cette grossesse à fond parce que je ne sais pas comment ça va être notre avenir parce que notre projet, c'est d'avoir deux autres enfants. Je ne sais même pas comment ça va être mais on ne pense pas. On vit au présent et c'est plus important. Évidemment, c'est compliqué. Voilà, la seule chose, c'est qu'on est très heureux. Et voilà, je suis très contente de vous partager ça aujourd'hui. Et voilà, et merci beaucoup Stéphanie pour tout ce moment de partage et que tu m'as laissé partager ça avec beaucoup de monde. Et je suis très heureuse. A très bientôt sur ma page Instagram. Et n'hésitez pas à me poser des questions. Et voilà, bisous, bisous. Etat d'âme, bienvenue sur le podcast qui vous plonge dans l'univers de la santé mentale et physique des femmes. Suivez les témoignages émouvants, les histoires captivantes et les conseils des professionnels de santé pour vous éclairer sur des sujets spécifiques. Embarquez dans l'esprit et le corps des femmes pour un voyage unique et inspirant. Etat d'âme, chaque femme est unique, mais certains parcours de santé s'entremêlent. Vous découvrirez tous les états d'âme, les émotions dont ces guerrières, ces combattantes, ces femmes exceptionnelles ont eu à affronter. Un podcast de Stéphanie Jarry. Продолжение следует...

Description

Si vous n’avez pas encore écouté la première partie, intitulée « Du SOPK à l’aventure PMA : mon parcours de combattante », je vous invite à le découvrir pour bien comprendre l’histoire de Tatiana depuis le début. Cette première partie met en lumière son parcours face au syndrome des ovaires polykystiques (SOPK) et ses premiers pas en Procréation Médicalement Assistée (PMA).

Dans cette Partie 2, intitulée « Un transfert de bonheur », Tatiana revient pour nous partager la suite de son aventure. Elle nous livre avec sincérité son expérience lors de la procédure de transfert, ses espoirs, et le désir profond qui anime son chemin vers la maternité.

Retrouvez également Tatiana sur Instagram pour découvrir son parcours de manière plus intime. Bonne écoute et plongez-vous dans cette histoire de résilience, de courage et d’espoir.


Du SOPK a l’aventure PMA : mon parcours de combattante » part.1 📻



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  • Speaker #0

    Dans une PMA, il y a toujours un parcours très difficile, certains galèrent énormément et je comprends que mon parcours est plus court, mais j'ai vécu dix ans avec un SOPK et j'ai galéré énormément, j'ai quand même perdu ma fille, qu'on n'a jamais prouvé et on m'a quand même dit, et je le résume aujourd'hui, on m'a quand même dit que la PMA ne serait jamais ouverte à moi et que je perdrais tous mes enfants. Aujourd'hui, je peux prouver qu'aujourd'hui, j'ai une école qui m'a vraiment aidée, qui m'a... Bienvenue sur Etat d'âme. Si vous avez cliqué sur cet épisode, c'est que vous avez sûrement envie de connaître la suite de l'aventure de Tatiana et de son parcours PMA étant atteinte du SOPK. Si vous n'avez pas eu l'occasion d'écouter l'épisode « Du SOPK à l'aventure PMA, mon parcours de combattante, partie 1 » , je vous invite à cliquer sur le lien en description de l'épisode. Cela vous permettra de mieux vous plonger dans son parcours. Tatiana est donc de retour pour nous livrer la suite de son récit. Je tiens à dédier cet épisode à Gabi, la grand-mère de Tatiana qui veille toujours sur elle. J'ai eu un soutien médical. Pour mon parcours SOPK, jamais de la vie, sauf à partir de 2021, j'ai eu ma sage-femme qui est dans ma région, qui est comme ma génico, qui m'a poussée à aller en PMA. Mais avant, pas du tout, je n'avais pas de soutien médical. En plus, ce n'est pas un soutien, c'est incompréhensible, parce que pendant 10 ans, on m'a fait croire que c'était alimentaire et pilule. Et pas du tout. Je suis en résistance à la sublime. Il fallait que je sois sous traitement. Après, en 2021, j'ai eu un soutien, comme je vous ai dit, par ma sachet, mais j'ai de la chance. Après, aujourd'hui, oui, j'ai un gros soutien par rapport à la PMA. J'ai une secrétaire qui est au top. J'ai tous les médecins autour de moi qui m'ont soutenue. J'ai quand même une copine qui est pharmacienne, qui galère avec trois filles. Elle est super heureuse pour moi. C'est vrai qu'autour de moi, j'ai beaucoup de personnes qui sont en PMA et qui ont vécu et qui vivent un enfer. Et... Il me souvient que j'avais 10 ans avec un parcours très compliqué. Ma génico, elle me dit que chaque parcours est difficile. Chaque parcours n'est pas facile. Je sais qu'aujourd'hui, le vôtre mérite d'être réussi. Ma génico et moi, on est encore choqués que j'ai réussi à être maman. De porter la vie, parce que maman, ce n'est pas encore. Mais de porter la vie en peu de temps. Déjà, elle n'aurait pas pensé qu'un apport de chance aurait beaucoup d'embryons. Parce qu'ils en avaient 12 de base. Ils n'ont gardé que 7 parce qu'ils avaient peur que quand ils choisissaient... Et bah je perds en vrai, sachant que même s'ils sont de bonne qualité les 5 autres, que en vrai je perds des ovaires où je fasse des multiples grossesses. Avec des embryons qui sont très faibles et que je galère très fortement pendant ma grossesse. Elle préfère mieux garder 7 embryons qui sont de bonne qualité. Mais quand elle m'a fait le transfert, elle m'a dit, j'ai tout espoir pour vous, mais je ne sais pas s'il va tout nier. Et aujourd'hui elle est très heureuse et tout le monde le voit. Et aujourd'hui en vrai les croyances et les valeurs faut arrêter. Cacher jusqu'à trois mois, parce que cacher jusqu'à trois mois, ça peut provoquer plein de choses, les nausées, les brumissements, les inquiétudes, et il faut arrêter tout ça. Comme vous l'avez compris lors du premier protocole, il y a pu avoir la conservation de sept embryons. L'un de ces embryons va-t-il permettre à Tatiana et son futur mari de connaître le bonheur de la parentalité ? C'est ce que vous allez découvrir dans cette partie 2. Un transfert de bonheur. Excellente écoute. Lui, on n'avait pas du tout conscience. Alors ça veut dire qu'on avait un doute. Parce qu'au début, avec le OAPS de mon compagnon, on est quand même passé par la génétique. Ça veut dire qu'on avait un examen. Pendant trois mois, on était en dans le dos de poser la question si M. Chéri serait le papa de mes enfants. Et surtout, si on passerait par un donneur. Vous voyez la chaise musicale ? On était sur deux chaises où on tombe par terre parce que si c'est un donneur ou si c'est lui, en PMA, on a des embryons et après on peut avoir un deuxième parcours. Mais pour le pronier, je me suis dit, je veux un enfant de mon compagnon, je ne veux pas un enfant d'une personne inconnue. Pour moi, c'était, moi je porte la vie, mais mon compagnon, je veux que ce soit ses yeux, son visage. J'ai eu une hyperstimulation élevée. Si c'était sévère, je n'aurais jamais eu parce qu'on est acide. Et c'est que l'acidité des produits peut mettre en danger le bébé et la maman. Même s'ils sont congelés, la seule chose, elle sévère, ça veut dire que le produit reste dans le bébé. Et c'est très dangereux pour l'avenir du bébé et de la maman au fil des mois et au fil des années. On ne met pas en danger la maman et le bébé surtout. Et voilà, c'est pour l'avenir du bébé et de la maman. La FIBCI, pour moi, je n'aurais pas pensé qu'au troisième jour, je me mettrais en arrêt. À cause des stimulations ovériennes, j'ai fait un pollen x10. Ça m'a fait un effet secondaire. Je n'ai pas arrêté le protocole, mais c'est juste que j'ai fait une allergie virale. J'étais dans un état et en vrai, je ne pouvais plus continuer de travailler. Et en gros, je suis allée jusqu'à un point de faire une hyperstimulation. Le jour du deuxième contrôle, on m'a dit que j'étais en hyperstimulation. Malgré tout, elle m'a demandé mes douleurs et j'ai quand même fait ma ponction. Mais c'est vrai que dans l'état où j'étais, j'ai eu des douleurs, j'ai eu de la transpiration, j'étais très fatiguée. Mais la seule chose, c'est que quand même, j'ai eu ma pension. Je repasserai par là s'il faut. Mais c'est vrai que c'était des doses très hautes. Alors pas très hautes, très hautes, mais quand même pour mon corps. Et c'est vrai que je suis allée jusqu'à quand même 24 000 d'estrogène. Et c'est vrai que c'était énorme pour moi. Mais voilà, même la gynéco était choquée. Mais voilà, j'ai quand même eu des bons résultats pour la pension. Depuis le début, on savait, depuis le premier sphère, un gramme de monstres mariaux, on savait qu'on passerait par ça. Malgré qu'on ait passé par des montagnes russes, des doutes, des tristesses, de la colère, même des fois on est passé sur la joie. On savait que ça allait marcher, même si en transfert frais ou en transfert congé, on savait que des moments, peut-être ça ne marcherait pas. En prenant une salle, on savait, mais on restait positif. Suite à la ponction aussi, j'ai eu des douleurs. Après, j'ai eu pire par rapport à mon clit d'hermoïde. Tout va bien. C'était une douleur qui était positive parce qu'à la fin, on a eu nos embryons. Tous les jours, ils m'ont appelé. Alors, c'était douleur. Elle était présente le premier jour. Le deuxième jour, après, quand j'ai eu des réponses, les douleurs, elles n'étaient plus présentes pour moi. Le plus important, je me suis dit que j'ai réussi à avoir 12 embryons. 12 embryons micro-AGT, 12 embryons fécondés. Et les 12 sont gardés, sauf après, ils ont fait un tri, ça c'est sûr. Mais il y en a sept. Pour moi, la douleur était loin pour moi. Loin, même si c'était il y a quelques jours. Pour moi, c'était le plus important, c'est que j'étais objectif, c'était les objectifs, c'était mes embryons. C'était pas la douleur. C'était ça, moi après, la douleur elle était là, après j'étais fatiguée, j'ai eu des douleurs pour faire pipi au début. Mais pendant la pension, j'ai eu un problème respiratoire. Alors voilà, j'ai eu une canne de tout. Je pense que c'était à cause du pollen, une hyperstimulation, un mélange de l'anesthésie. Mais c'était oublié parce que j'étais endormie. Je n'ai pas entendu, je n'ai rien senti parce que c'était général. Mais quand on m'a dit, j'étais choquée. Mais quand j'ai su, quelques jours après, combien il y en avait, j'ai oublié ça. C'était du passé. Il y a plus des choses positives. Il y a pire dans la vie en plus, mais c'était positif. Et c'est ça le plus important. Même par exemple, négativement, peut-être que je n'aurais pas eu d'embryon. Malgré tout, ce n'est pas grave. Moi, physiquement, comment je me sentais ? J'étais très fatiguée, très faible. Après, j'étais très forte. Mentalement, je me suis dit, mon chéri, son but, c'est son sperme. Le jour de la ponction, mais moi, mon but, c'est de faire les piqûres. Et mon but, c'est d'avoir des bons ovocytes pour la partie 1. Après, je n'aurais pas pensé que je n'aurais pas de transfert frais. Mais quand j'ai su qu'après, on aurait un transfert congelé, mon but deuxième, c'était d'avoir un ovule. et d'avoir l'endromètre très prêt pour avoir mon transfert. Pas comme au début, quand on a eu un an d'examen, que j'étais stressée pour nous deux. À partir que j'ai commencé les protocoles, j'étais plus stressée pour nous deux. J'étais stressée par rapport à que ça soit positif pour nous et que moi je fais tout mon maximum pour avoir des ovocytes et après d'avoir un ovule ou un endromètre qui est prêt. C'était pas... Ben on est deux, faut qu'on se tient jusqu'au bout. En vrai, je n'avais même pas besoin de son soutien parce que je sais que physiquement, mentalement, c'était important pour nous d'avoir une famille. Les piqûres, c'était moi le maître. Et de réussir d'avoir un maximum des embryons pour la première partie. Et après, la deuxième partie, même si c'est un transfert frais ou un transfert congelé, que ce bébé soit calé dans mon andromètre. Après, la deuxième partie, c'était plus dur parce qu'après, on a recommencé un mois après. C'était de refaire des piqûres et que ce... et que ça soit positif. On ne va pas dire que c'était un jeu, mais imaginez quoi, elle n'a quand même pas tiré des cartes, on ne va pas dire comme ça, mais vous savez qu'elle a tiré sur des choses, ça veut dire que les piqueurs ne savaient pas où aller. Et c'est vraiment mon corps qui a vraiment travaillé et qui a ovulé tout seul. Et ça, je pense que c'est un miracle. Parce qu'avoir une ovulation naturelle, ça, après des vraies règles, après une ponction et sous du Ausha, c'est magique. parce que les deux contrôles, elle n'avait même pas remarqué, j'ai ovulé naturellement. Elle n'aurait pas pensé. Après, comme je vous ai déjà dit, j'ai des sacs matures de base. Alors oui, mais on n'aurait pas pensé le 22 mai que j'ovulerais naturellement. Jamais de la vie. Même moi, je n'aurais jamais pensé parce que j'ai déjà ovulé. Pour ma fille, j'ai déjà ovulé après. J'ai déjà fait un test d'ovulation en 2020. Mais je n'aurais jamais pensé après deux ans d'essai avec mon compagnon. que j'aurais une ovulation naturelle. C'est un miracle. Après, c'est un miracle moitié parce qu'il y a un transfert après. Mais On a eu cinq individuels et deux ensemble, ça veut dire que c'est des jumeaux. Pour moi, on est très contents des résultats, de la qualité et on est très très fiers, mon compagnon et moi, de tout ça. C'est dans une piqûre, on va dire, dans un tube blanc. On ajoute l'embryon et comme une échographie, les gens, comme sur le siège de la généco, te désinfectent, te mettent dans l'endomètre. Sur l'échographie, mon compagnon a participé. Et c'était trop beau. On a vu l'embryon se mettre dans l'endromètre. J'ai eu une émotion énorme. Le voir, en vrai, c'était trop beau. C'était vraiment tout petit, tout petit. On est très présentes et je n'ai pas pu me retenir. J'ai eu la petite larme parce qu'en vrai, c'est à ce moment-là que j'ai pris conscience que l'embryon congelé est de base un embryon. Et j'ai pris conscience que ce petit bébé peut grandir dans mon ventre. Et dans quelques semaines, je saurai. que je serais même pris conscience là, je me suis attachée. De base, je ne voulais pas m'attacher et je me suis attachée dès le premier jour. Et en vrai, voilà, c'était magique et je n'oublierai jamais ce moment. Et en plus, ma génico a fait participer mon chéri. C'est un moment que je n'oublierai jamais, vraiment jamais. Il était magique, voilà. Magique, magique. J'ai attendu 15 jours, 15 jours d'attente pour la prise de sang. 15 jours de, pas souffrance, mais 15 jours d'attente, c'était les plus longs de ma vie. Après le transfert, après 5 jours, déjà le troisième jour, je savais que j'étais enceinte. J'ai pris des mamelons. Le mamelon avait pris du volume. La poitrine commençait à gonfler, j'ai pris du ventre. J'avais déjà du ventre, mais là j'avais pris un ventre très dur. Et au cinquième jour, deux jours après tous ces effets, j'ai eu des nausées. Je pense que l'annulation s'est faite au 30 mai, parce que mon transfert était 5. Je pense que j'ai fait là, sachant que c'était un J3. Je pense que c'était ça. Sept jours après, la fécondation s'est faite. J'ai eu l'anidation pendant deux jours, même plus, parce qu'après, j'ai eu des saignements quelques temps après. Au transfert, j'ai pris conscience que je serais maman et que j'ai dit, ce bébé va s'accrocher, il va s'accrocher jusqu'au bout. Et je me suis attachée. Et il s'est attaché aussi à moi et il s'est accroché. Et je savais, en plus, je ne veux pas vous cacher, le 31, je me suis doutée, le 2 et le 3, à minuit, j'ai mangé une pizza. Une pizza, le 3, à minuit. Et le 4, matin, j'ai mangé à 8h30 une pizza. J'ai jamais mangé à 8h30 une pizza. Voilà, après, il y a plein de signes que j'ai eus. J'ai eu aussi... Ouais, j'ai eu la tête qui tombe, mais ça, j'avais déjà avec les stimulations. Mais là, vraiment, plus, plus, plus, vous pouvez pas m'abaisser. Après, j'avais des piqûres de progestérone et j'en ai encore. Mais au début, le corps, avec la progestérone, j'avais pas encore trop l'habitude. Les hormones me prenaient énormément. Mais vous savez, dès le début, j'étais enceinte. C'était pas ciblé. Mais c'est vrai que quand j'ai pris, deux ou trois jours après, je commençais à prendre des auréoles qui dépassaient les miens. J'ai compris. Après, j'ai des petites bulles dessus. J'ai compris tout de suite, j'étais enceinte. Je n'ai jamais eu ça avant. Et c'est vrai que dès que j'ai eu des nausées, j'ai compris tout de suite. Je n'ai jamais eu des nausées de ma vie. J'ai compris tout de suite, j'étais enceinte. C'est magique qu'on a des symptômes comme ça. Je ne veux pas le cacher. Je reste positive sur ça. Et non, les résultats étaient très longs pour moi. Un jour là, c'était énorme. C'est ça qui était plus long pour moi. Par rapport à la prise de sang, quand j'ai eu mes résultats, mes résultats étaient très très bien. Sauf que la première prise de sang, je le goûtais encore. Malgré les symptômes, malgré tout, il était encore une hésitation. En plus, il fallait que j'atteigne encore 7 jours en plus pour la deuxième. Et en vrai, la deuxième, le matin, je me suis levée, j'ai eu des saignements. De stress, je suis partie jusqu'à Toulon pour faire la prise de sang et après voir ma gynéco. Et en vrai, ma gynéco, la secrétaire de ma gynéco n'était pas là. Alors je suis allée aux urgences. C'est vrai que j'étais à six semaines améliorée. Premier jour, J0. Et en vrai, ils ne pouvaient pas me faire un écho. Et en vrai, ils ont eu ma gynéco en urgence. Et elle m'a dit qu'il fallait que quelques jours après, je refasse 48 heures après. Alors c'était samedi. Une prise de sang et ma prise de sang était très, très haute. Et elle était positive, en vrai. Même déjà la deuxième, j'étais enceinte. Mais en vrai, le stress du saignement, j'ai vécu déjà pour Johanna. C'était juste des spoutings, mais c'était un stress pour moi. Et le lundi, j'ai eu une échographie. Et l'échographie annonçait vraiment que c'était positif et que le cœur battait et qu'il s'est accroché. Il ne fallait pas, je m'inquiète, mais qu'on a vécu déjà des saignements, on ne peut pas... s'inquiéter de ça en vrai. Une maman s'inquiète toujours de son bébé et même ma gynéco s'inquiétait. Elle avait peur que ça ne soit pas accroché. Mais il s'est accroché et il n'y a pas d'inquiétude du tout. Comment je me sens aujourd'hui ? Très très bien. Malgré que j'ai du volume de ventre depuis le premier mois, vraiment le ventre on le voit depuis le premier mois. Pendant le premier mois j'ai vraiment caché parce qu'avec les saignements, l'échographie, on a vraiment attendu l'échographie d'adaptation, la vraie. Malgré que le cœur était positif, j'ai commencé quand même à dire à des personnes que, surtout mes parents, ma soeur, dès qu'ils ont la première prise de sein, on l'a entendu au téléphone avec l'intuition que j'étais enceinte. Oui, mais voilà. Mais après, non, je n'ai pas caché, j'ai pas attendu. J'ai attendu l'échographie d'attention, on va dire. On va dire dès la première semaine du deuxième mois, on l'a annoncé. En plus, ça a arrêté mes nausées. Quand j'ai commencé à annoncer fin du premier mois, j'avais pris une nausée et je n'en ai plus. Je suis très contente. Après, il y a des moments où je pleure parce que c'est les émotions de la grossesse. Après, j'ai du ventre, j'ai pris beaucoup de poitrine. C'est vrai que mes vêtements, je rentre plus dans du 50-52 bientôt. C'est plus le poids qui me stresse un peu plus parce que par rapport à mon SOPK, ça reste toujours de moins à 15. Mais après, il faut que je garde positive et ça, c'est un peu compliqué. Je pense qu'à partir du quatrième mois, je serai plus positive sur ça. C'est que le surpoids est pour moi une peur totale. De me dire que je n'arriverai jamais à perdre. Et en vrai, quand je me pèse, il n'y a rien du tout. C'est juste qu'en vrai, c'est le placenta qui commence à prendre sa place, le BB, le litigamotique. Et voilà, c'est juste que c'est toutes ces choses-là qui prennent la place. Moi, en vrai, je ne prends rien. Après, depuis la PMA, depuis le début de la PMA, depuis, on va dire, depuis l'été dernier, j'ai quand même pris 6 kilos au total. Voilà, en plus de là, du début de grossesse à fait. J'ai pas pris beaucoup depuis le début de grossesse, j'ai pris à peu près 2 kilos. Il n'y a pas grand-chose. Après, il y aurait des stimulations. La stimulation m'a énormément fait grossir parce qu'au début de la stimulation, j'avais trop perdu 70 et j'étais à 77. De base, mon poids serait 69-70. J'avais pris 7 kilos quand j'étais... Et là, en vrai, j'étais à 77. J'avais pris 7 kilos depuis un an de... de protocole. Mais en gros, j'ai pris, on va dire, depuis, j'ai pris 6 kilos. Mais en vrai, j'ai pris à peu près 2 kilos avec la grosse. Je n'ai pas pris énormément. Après, je fais très attention. En vrai, j'ai mangé une petite brique. Après, des fois, je me fais plaisir. Mais c'est vrai qu'on me dit que je vais aller dans le 52. J'ai toujours dit que je n'aimerais jamais dépasser le... Le plus, c'est 42. C'est vrai que là, je les efface énormément. Après, c'est la grossesse et c'est le plus important. Et en vrai, le poids est pour moi ma hantise, mais pas pour ma grossesse. Je m'enlève ça tout de suite de la tête. Et voilà, c'est juste que c'est ma phobie, le poids. Et voilà, mais en plus, je me pèse tous les semaines. Et de base, il faut arrêter ça quand on est enceinte, mais je n'ai pas le choix. En vrai, c'est ma hantise. Et en plus, c'est bien parce que je me mesure tous les mois. Et ça aussi, ce n'est pas bien, mais c'est un souvenir. Mais le poids, c'est vrai qu'il faut que j'arrête. Il faut que je me pèse. Sauf le dernier mois, il faut que je me pèse tous les jours. Mais même ça, ce n'est pas bon. Alors, j'ai décidé d'arrêter. Mais voilà, je vais finir cette semaine. C'est ma dernière semaine. La semaine prochaine du deuxième mois, je le ferai. Et après, je me poserai une fois par mois. C'est-à-dire que la fin du troisième mois, je me poserai. Par rapport à la fin du deuxième mois, on verra la différence. C'est aussi un but de me dire que j'étais enceinte et qu'il fallait que je me fasse plaisir parce que peut-être que je n'aurais qu'une seule grossesse. Mais c'est juste ça le truc. Mais après, je reste positive. Je suis très contente de ma grossesse pour l'instant. Je n'ai pas d'acné. J'ai juste un beau ventre, une belle poitrine, un beau corps de femme enceinte. Quand je suis habillée, on voit vraiment mes formes que j'adore, que j'ai toujours rêvées parce que mes formes, je les cachais. J'avais peur, mais là, avec la grossesse, c'est encore plus beau et ça, j'adore. Après, j'ai un beau visage. Là, je vais aller chez le coiffeur pour remettre mes cheveux bien, juste pour couper et remettre mes boucles en forme. Mais je ne fais pas de couleur, rien, parce qu'on a la grossesse. Après, j'ai des beaux ongles. Le seul problème, c'est qu'avec la grossesse et la chaleur, la polisité, elle est présente. Mais ça va, j'ai une éticienne qui va faire les choses. J'arrivais au début pour me raser et tout, mais là, c'est plus possible. Avec le ventre, c'est plus possible. Le maillot, je fais très attention. J'essaye de me raser et j'ai trouvé une technique. Pour les femmes enceintes, la technique, c'est s'allonger sur le lit et se raser sur les côtés. Le maillot, je ne le fais pas trop au milieu parce qu'avec... Je fais très attention par rapport aux afflatures urinaires. Je fais très attention, il faut se protéger par rapport à la flore vaginale. Mais en gros, à part ça, après chaque été, j'ai souvent un peu plus de pulisité. Mais là, avec la grossesse, un peu plus, ouais. Mais à part ça, sur le visage, j'en ai pas beaucoup. C'est juste sur les parties. Après, c'est vrai que je me rasais toutes les semaines avant. On ne voyait pas vraiment, c'est vrai que là, avec la grossesse. un peu compliquée. Mais à part ça, je suis très contente de ma grossesse pour le début. J'arrive à la fin de mon deuxième mois. Je suis trop heureuse. Les temps passent très vite. La semaine prochaine, je suis déjà à la fin de mon deuxième mois. Je passe dans mon troisième mois, début août. Et en plus, on revoit le bébé, on va faire la TA et tout. Le seul truc qui me stresse, c'est la trisomie, mais ça, on le reste positif. Je sais qu'il n'y aura pas, j'espère. Ça, c'est fortement parce que c'est un choix qu'on va faire après et le choix, on l'a déjà décidé. Mais je n'y pense pas. Je n'y pense pas, mais c'est que c'est encore une période un peu compliquée, mais pour l'instant, on reste positif et tout va bien. Et voilà. Je n'ai jamais fait de test de grossesse. J'en ai fait avant, pendant deux ans, on va dire avant la paix, avant le protocole. Et en vrai, j'avais fait aussi pour ma fille. Les tests de grossesse pour moi n'ont jamais marché. Et en vrai, pendant les 15 jours, on a eu beaucoup de... Tout le monde dit, j'ai fait un test de grossesse, après j'ai fait une fausse couche. Et l'autre, il était négatif. Et en vrai, il était positif. Aujourd'hui, elle va accoucher dans une semaine, là. Voilà, en vrai, j'ai décidé de ne pas faire, malgré que c'était très long pour moi. Mais j'ai tenu le bon bout. Et en vrai, aujourd'hui, je mérite tout ce bonheur. Après, je ne m'envoie pas des fleurs, mais j'ai eu de la chance. et j'ai eu le courage, malgré que le jour de la première prise de sang, j'ai craqué. En vrai, toutes les prises de sang, j'ai appelé le labo, en vrai, avant même les résultats parce que pour moi, c'était trop long d'attendre jusqu'à 15h. Mais j'ai tenu jusqu'à à chaque fois des prises de sang. Voilà, j'ai pas fait un test de grossesse au milieu pour voir si c'était toujours bon. Non, non, j'ai vraiment fait que des prises de sang. J'ai jamais fait de test de grossesse et même dans l'avenir, j'en referai pas parce qu'en vrai, la prise de sang, pour moi, est encore plus magique et résultat vraiment pour vraiment qu'un test de grossesse. Pour moi, c'est pas bidon, mais c'est pas magique. C'est pas le sang, en vrai, c'est ton urine. Mais ton urine peut se tromper, en vrai. Mais pour moi, personnellement, je ne referai jamais de test de grossesse de ma vie. Il n'y aura plus même test d'ovulation à la maison. Mon ovulation, je le sais, parce qu'en vrai, j'ai des pertes blanches maintenant. Je peux le dire, c'est un autre sujet, mais voilà. Mais je suis très contente d'avoir tenu. Je suis même fière de moi, en vrai. Aujourd'hui, je suis même fière de... même pas mettre un test de grossesse sur mon Instagram. J'ai mis mes analyses et je suis très fière de le mettre en vrai. Que je les ai mis en vrai quand j'ai annoncé ma grossesse sur Instagram. Parce qu'en vrai, je suis très fière d'avoir pas fait de test de grossesse. Parce que s'il aurait été négatif, ça m'aurait plus stressée, j'aurais eu encore plus de saignements. Et j'aurais peut-être perdu mon bébé parce qu'inconsciemment, mon corps était pas faible. Mais j'ai cru en moi, j'ai cru au positif et j'ai eu la chance d'y croire parce que j'ai pas fait de test de grossesse et mes analyses étaient très hautes. Elles étaient magnifiques et j'étais très contente d'avoir fait ce que moi je sentais et de me dire, ben non, tu fais pas de test de grossesse, tu fais prise de sang, prise de sang et j'ai eu raison. Mon seul conseil, ça serait que si le corps et l'esprit est bien connecté, tout ira bien. Après, c'est l'alimentation. les compléments alimentaires et le sport et être bien entouré. Si on est une norme négative, qui en ira ? Et aussi, être bien entouré, c'est bien aussi. Je ne dis pas le contraire. Mais moi, pendant ce parcours, j'ai tout bloqué. Ça veut dire que j'étais connectée sur Instagram, mais j'étais dans ma bulle avec mon compagnon. On avait des amis, après j'avais ma famille, mais en vrai, j'ai tout bloqué. Ça veut dire que je me suis renfermée, je me suis mise dans la bulle. Après, je me confiais beaucoup à ma famille, beaucoup à mes amis. Mais pendant ce parcours, ponction et transfert, on n'était que tous les deux. Je ne voyais plus personne. Et c'est ça qui m'a vraiment soutenue. En vrai, c'est que je ne suis pas sortie, j'ai tout arrêté déjà depuis longtemps. Alimentation, j'ai resté innée. Et en vrai, je me suis raisonnée, en vrai, comme une femme enceinte, en vrai. Alors après, sur l'alcool, la cigarette et d'autres choses, j'ai rédimé déjà depuis longtemps. Mais après, j'ai fait des nettoyages de corps, j'ai fait des détotes. Ça faisait déjà dix ans. Après, j'ai fait beaucoup de compléments alimentaires. J'ai pris de l'oméga pendant dix ans. J'ai fait plein de choses. Avant, je me suis aidée par une sophrologue, par un des soins énergétiques. J'ai fait une PBA et après, je suis liée par ma tante et ma mère qui est naturopathe et moi aussi. C'est familial. Après, on a beaucoup d'intuition dans notre famille. J'ai vu beaucoup de voyants. Je savais qu'au printemps, je serais maman. On m'avait dit il y a deux ans. Par rapport aux énergies du ciel et l'énergie de terre, c'est un peu compliqué parce qu'on n'est pas liés. C'était compliqué parce que pendant deux ans, tu doutes beaucoup. Mais j'ai beaucoup travaillé sur ça. Comme je le dis, c'est alimentaire, c'est plein de choses. Mais la seule chose, c'est que quand le corps et l'esprit sont présents, comme je l'ai dit au début, tout ira bien. Et surtout, il faut s'écouter soi-même. Si on se dit qu'on n'y arrivera pas, rien n'ira. Et surtout, il faut y croire en soi. Et dans ce parcours, faire douter son compagnon, ça ne marchera jamais. Et j'ai beaucoup discuté avec beaucoup de personnes sur les réseaux. J'ai toujours dit que dans un parcours, dans un couple, L'homme met la graine et la femme ne fait rien. Elle fait juste voilà. Et bien dans un parcours PMA, une relation amoureuse, c'est comme la réalité. Un acte sexuel amoureux, pour faire un bébé, reste pareil en PMA. Et ça beaucoup disent que non, bah si. Parce que pour faire un bébé, il faut avoir des ovocytes. Il faut avoir du sperme. Et il met la graine, oui le père. Mais dans un spermogramme, dans un tube, c'est la même chose. et un nouveau site aussi. Pour moi, le but, c'est à la fin, c'est la même chose. Et aujourd'hui, j'ai réussi à... En vrai, j'ai une connaissance sur les eaux qui fait des cartes et des livres pour les naissances, pour les parcours. J'ai commandé le livre pour notre futur bébé. Et en vrai, dedans, elle nous demande l'histoire de la conception. Eh bien, je ne le trompe pas. Et en vrai, c'est une histoire que je raconte en petit résumé. Mais j'explique naturellement au vrai le parcours et ça reste pour moi comme un parcours naturel. Notre enfant, il est arrivé comme si c'était naturel. C'est juste que, en vrai, c'est l'aide médicale, mais ça reste pareil. C'est juste que ce n'est pas dans un lit, mais ça reste pareil. C'est mon ovocyte ou mes ovocytes qui l'ont aidé à arriver, mais c'est le sperme de mon compagnon. Mais c'est comme si c'était dans un lit, sauf que c'est autrement. Mais moi, c'était encore plus magique. parce que je l'ai vu être dans mon endomètre. Et c'est ça, encore plus magique en vrai. C'est de l'avoir vu et après, au fil du temps, de l'avoir vu. Et en plus, le plus important, c'est qu'à l'échographie d'alatation, il tombe déjà que... Je n'ai jamais vu ça, un bébé qui tombe déjà, qui fait déjà des pirouettes. Et qui n'a même pas encore tous ses bras en entier. Alors aujourd'hui, je parle en même temps que je vous fais le vocal. Aujourd'hui, il a encore plus pris de bras et de jambes, je pense. Mais voilà, c'est magique. Je ne peux pas oublier ses écourachis et tout, et même les autres que je n'oublierai pas après. La seule chose, c'est qu'il faut croire en vous, même s'il y a des périodes difficiles. J'ai vécu ça dans un SOPK et j'en ai vécu encore après. Peut-être que j'en vivrai encore, mais aujourd'hui, je suis très contente du parcours que j'ai vécu et qu'aujourd'hui, on est heureux d'avoir ce petit bébé qu'on appelle Bonbon pour l'instant. Après, on a déjà choisi les prénoms des deux côtés, des deux têtes. C'est ça, une fille ou un garçon. Mais on est très heureux que ça soit son surnom. En plus, toutes les cartes qu'on a commandées chez Ket, parce qu'elle s'appelle Ket. Et c'est le thème gourmandise, alors je pense qu'on fera sa chambre sur le thème gourmandise, mais on est très heureux de tout ça et on est très heureux de vous partager ça en vrai. Et après, chaque partie de la vie apporte et j'ai mis, voilà, c'est vrai que mes portes de PMA sont ouvertes rapidement, en peu de temps, en un an j'ai eu mes résultats d'analyse, etc. Et après j'ai eu mon parcours qu'en trois mois, mais avant ce que j'ai vécu. Voilà, c'est pas un cancer, mais j'ai vécu plein de choses. Et j'ai presque eu un cancer de sein, en vrai. C'était bénin, mais j'aurais pu avoir un cancer de sein. Surtout avec mes périodes que j'ai eues. Et en vrai, c'était bénin, alors j'ai de la chance. Mais j'ai vécu le Covid, que j'ai mouru presque avec ma fille. Et voilà, ma fille est partie. Alors aujourd'hui, je ne mérite pas que ce bonheur, mais je le mérite énormément avec mon compagnon, parce que même mon compagnon n'a pas eu une enfance facile. Alors notre histoire mérite... être réussite à la fin. Après, je me dis je vais profiter de cette grossesse à fond parce que je ne sais pas comment ça va être notre avenir parce que notre projet, c'est d'avoir deux autres enfants. Je ne sais même pas comment ça va être mais on ne pense pas. On vit au présent et c'est plus important. Évidemment, c'est compliqué. Voilà, la seule chose, c'est qu'on est très heureux. Et voilà, je suis très contente de vous partager ça aujourd'hui. Et voilà, et merci beaucoup Stéphanie pour tout ce moment de partage et que tu m'as laissé partager ça avec beaucoup de monde. Et je suis très heureuse. A très bientôt sur ma page Instagram. Et n'hésitez pas à me poser des questions. Et voilà, bisous, bisous. Etat d'âme, bienvenue sur le podcast qui vous plonge dans l'univers de la santé mentale et physique des femmes. Suivez les témoignages émouvants, les histoires captivantes et les conseils des professionnels de santé pour vous éclairer sur des sujets spécifiques. Embarquez dans l'esprit et le corps des femmes pour un voyage unique et inspirant. Etat d'âme, chaque femme est unique, mais certains parcours de santé s'entremêlent. Vous découvrirez tous les états d'âme, les émotions dont ces guerrières, ces combattantes, ces femmes exceptionnelles ont eu à affronter. Un podcast de Stéphanie Jarry. Продолжение следует...

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Si vous n’avez pas encore écouté la première partie, intitulée « Du SOPK à l’aventure PMA : mon parcours de combattante », je vous invite à le découvrir pour bien comprendre l’histoire de Tatiana depuis le début. Cette première partie met en lumière son parcours face au syndrome des ovaires polykystiques (SOPK) et ses premiers pas en Procréation Médicalement Assistée (PMA).

Dans cette Partie 2, intitulée « Un transfert de bonheur », Tatiana revient pour nous partager la suite de son aventure. Elle nous livre avec sincérité son expérience lors de la procédure de transfert, ses espoirs, et le désir profond qui anime son chemin vers la maternité.

Retrouvez également Tatiana sur Instagram pour découvrir son parcours de manière plus intime. Bonne écoute et plongez-vous dans cette histoire de résilience, de courage et d’espoir.


Du SOPK a l’aventure PMA : mon parcours de combattante » part.1 📻



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  • Speaker #0

    Dans une PMA, il y a toujours un parcours très difficile, certains galèrent énormément et je comprends que mon parcours est plus court, mais j'ai vécu dix ans avec un SOPK et j'ai galéré énormément, j'ai quand même perdu ma fille, qu'on n'a jamais prouvé et on m'a quand même dit, et je le résume aujourd'hui, on m'a quand même dit que la PMA ne serait jamais ouverte à moi et que je perdrais tous mes enfants. Aujourd'hui, je peux prouver qu'aujourd'hui, j'ai une école qui m'a vraiment aidée, qui m'a... Bienvenue sur Etat d'âme. Si vous avez cliqué sur cet épisode, c'est que vous avez sûrement envie de connaître la suite de l'aventure de Tatiana et de son parcours PMA étant atteinte du SOPK. Si vous n'avez pas eu l'occasion d'écouter l'épisode « Du SOPK à l'aventure PMA, mon parcours de combattante, partie 1 » , je vous invite à cliquer sur le lien en description de l'épisode. Cela vous permettra de mieux vous plonger dans son parcours. Tatiana est donc de retour pour nous livrer la suite de son récit. Je tiens à dédier cet épisode à Gabi, la grand-mère de Tatiana qui veille toujours sur elle. J'ai eu un soutien médical. Pour mon parcours SOPK, jamais de la vie, sauf à partir de 2021, j'ai eu ma sage-femme qui est dans ma région, qui est comme ma génico, qui m'a poussée à aller en PMA. Mais avant, pas du tout, je n'avais pas de soutien médical. En plus, ce n'est pas un soutien, c'est incompréhensible, parce que pendant 10 ans, on m'a fait croire que c'était alimentaire et pilule. Et pas du tout. Je suis en résistance à la sublime. Il fallait que je sois sous traitement. Après, en 2021, j'ai eu un soutien, comme je vous ai dit, par ma sachet, mais j'ai de la chance. Après, aujourd'hui, oui, j'ai un gros soutien par rapport à la PMA. J'ai une secrétaire qui est au top. J'ai tous les médecins autour de moi qui m'ont soutenue. J'ai quand même une copine qui est pharmacienne, qui galère avec trois filles. Elle est super heureuse pour moi. C'est vrai qu'autour de moi, j'ai beaucoup de personnes qui sont en PMA et qui ont vécu et qui vivent un enfer. Et... Il me souvient que j'avais 10 ans avec un parcours très compliqué. Ma génico, elle me dit que chaque parcours est difficile. Chaque parcours n'est pas facile. Je sais qu'aujourd'hui, le vôtre mérite d'être réussi. Ma génico et moi, on est encore choqués que j'ai réussi à être maman. De porter la vie, parce que maman, ce n'est pas encore. Mais de porter la vie en peu de temps. Déjà, elle n'aurait pas pensé qu'un apport de chance aurait beaucoup d'embryons. Parce qu'ils en avaient 12 de base. Ils n'ont gardé que 7 parce qu'ils avaient peur que quand ils choisissaient... Et bah je perds en vrai, sachant que même s'ils sont de bonne qualité les 5 autres, que en vrai je perds des ovaires où je fasse des multiples grossesses. Avec des embryons qui sont très faibles et que je galère très fortement pendant ma grossesse. Elle préfère mieux garder 7 embryons qui sont de bonne qualité. Mais quand elle m'a fait le transfert, elle m'a dit, j'ai tout espoir pour vous, mais je ne sais pas s'il va tout nier. Et aujourd'hui elle est très heureuse et tout le monde le voit. Et aujourd'hui en vrai les croyances et les valeurs faut arrêter. Cacher jusqu'à trois mois, parce que cacher jusqu'à trois mois, ça peut provoquer plein de choses, les nausées, les brumissements, les inquiétudes, et il faut arrêter tout ça. Comme vous l'avez compris lors du premier protocole, il y a pu avoir la conservation de sept embryons. L'un de ces embryons va-t-il permettre à Tatiana et son futur mari de connaître le bonheur de la parentalité ? C'est ce que vous allez découvrir dans cette partie 2. Un transfert de bonheur. Excellente écoute. Lui, on n'avait pas du tout conscience. Alors ça veut dire qu'on avait un doute. Parce qu'au début, avec le OAPS de mon compagnon, on est quand même passé par la génétique. Ça veut dire qu'on avait un examen. Pendant trois mois, on était en dans le dos de poser la question si M. Chéri serait le papa de mes enfants. Et surtout, si on passerait par un donneur. Vous voyez la chaise musicale ? On était sur deux chaises où on tombe par terre parce que si c'est un donneur ou si c'est lui, en PMA, on a des embryons et après on peut avoir un deuxième parcours. Mais pour le pronier, je me suis dit, je veux un enfant de mon compagnon, je ne veux pas un enfant d'une personne inconnue. Pour moi, c'était, moi je porte la vie, mais mon compagnon, je veux que ce soit ses yeux, son visage. J'ai eu une hyperstimulation élevée. Si c'était sévère, je n'aurais jamais eu parce qu'on est acide. Et c'est que l'acidité des produits peut mettre en danger le bébé et la maman. Même s'ils sont congelés, la seule chose, elle sévère, ça veut dire que le produit reste dans le bébé. Et c'est très dangereux pour l'avenir du bébé et de la maman au fil des mois et au fil des années. On ne met pas en danger la maman et le bébé surtout. Et voilà, c'est pour l'avenir du bébé et de la maman. La FIBCI, pour moi, je n'aurais pas pensé qu'au troisième jour, je me mettrais en arrêt. À cause des stimulations ovériennes, j'ai fait un pollen x10. Ça m'a fait un effet secondaire. Je n'ai pas arrêté le protocole, mais c'est juste que j'ai fait une allergie virale. J'étais dans un état et en vrai, je ne pouvais plus continuer de travailler. Et en gros, je suis allée jusqu'à un point de faire une hyperstimulation. Le jour du deuxième contrôle, on m'a dit que j'étais en hyperstimulation. Malgré tout, elle m'a demandé mes douleurs et j'ai quand même fait ma ponction. Mais c'est vrai que dans l'état où j'étais, j'ai eu des douleurs, j'ai eu de la transpiration, j'étais très fatiguée. Mais la seule chose, c'est que quand même, j'ai eu ma pension. Je repasserai par là s'il faut. Mais c'est vrai que c'était des doses très hautes. Alors pas très hautes, très hautes, mais quand même pour mon corps. Et c'est vrai que je suis allée jusqu'à quand même 24 000 d'estrogène. Et c'est vrai que c'était énorme pour moi. Mais voilà, même la gynéco était choquée. Mais voilà, j'ai quand même eu des bons résultats pour la pension. Depuis le début, on savait, depuis le premier sphère, un gramme de monstres mariaux, on savait qu'on passerait par ça. Malgré qu'on ait passé par des montagnes russes, des doutes, des tristesses, de la colère, même des fois on est passé sur la joie. On savait que ça allait marcher, même si en transfert frais ou en transfert congé, on savait que des moments, peut-être ça ne marcherait pas. En prenant une salle, on savait, mais on restait positif. Suite à la ponction aussi, j'ai eu des douleurs. Après, j'ai eu pire par rapport à mon clit d'hermoïde. Tout va bien. C'était une douleur qui était positive parce qu'à la fin, on a eu nos embryons. Tous les jours, ils m'ont appelé. Alors, c'était douleur. Elle était présente le premier jour. Le deuxième jour, après, quand j'ai eu des réponses, les douleurs, elles n'étaient plus présentes pour moi. Le plus important, je me suis dit que j'ai réussi à avoir 12 embryons. 12 embryons micro-AGT, 12 embryons fécondés. Et les 12 sont gardés, sauf après, ils ont fait un tri, ça c'est sûr. Mais il y en a sept. Pour moi, la douleur était loin pour moi. Loin, même si c'était il y a quelques jours. Pour moi, c'était le plus important, c'est que j'étais objectif, c'était les objectifs, c'était mes embryons. C'était pas la douleur. C'était ça, moi après, la douleur elle était là, après j'étais fatiguée, j'ai eu des douleurs pour faire pipi au début. Mais pendant la pension, j'ai eu un problème respiratoire. Alors voilà, j'ai eu une canne de tout. Je pense que c'était à cause du pollen, une hyperstimulation, un mélange de l'anesthésie. Mais c'était oublié parce que j'étais endormie. Je n'ai pas entendu, je n'ai rien senti parce que c'était général. Mais quand on m'a dit, j'étais choquée. Mais quand j'ai su, quelques jours après, combien il y en avait, j'ai oublié ça. C'était du passé. Il y a plus des choses positives. Il y a pire dans la vie en plus, mais c'était positif. Et c'est ça le plus important. Même par exemple, négativement, peut-être que je n'aurais pas eu d'embryon. Malgré tout, ce n'est pas grave. Moi, physiquement, comment je me sentais ? J'étais très fatiguée, très faible. Après, j'étais très forte. Mentalement, je me suis dit, mon chéri, son but, c'est son sperme. Le jour de la ponction, mais moi, mon but, c'est de faire les piqûres. Et mon but, c'est d'avoir des bons ovocytes pour la partie 1. Après, je n'aurais pas pensé que je n'aurais pas de transfert frais. Mais quand j'ai su qu'après, on aurait un transfert congelé, mon but deuxième, c'était d'avoir un ovule. et d'avoir l'endromètre très prêt pour avoir mon transfert. Pas comme au début, quand on a eu un an d'examen, que j'étais stressée pour nous deux. À partir que j'ai commencé les protocoles, j'étais plus stressée pour nous deux. J'étais stressée par rapport à que ça soit positif pour nous et que moi je fais tout mon maximum pour avoir des ovocytes et après d'avoir un ovule ou un endromètre qui est prêt. C'était pas... Ben on est deux, faut qu'on se tient jusqu'au bout. En vrai, je n'avais même pas besoin de son soutien parce que je sais que physiquement, mentalement, c'était important pour nous d'avoir une famille. Les piqûres, c'était moi le maître. Et de réussir d'avoir un maximum des embryons pour la première partie. Et après, la deuxième partie, même si c'est un transfert frais ou un transfert congelé, que ce bébé soit calé dans mon andromètre. Après, la deuxième partie, c'était plus dur parce qu'après, on a recommencé un mois après. C'était de refaire des piqûres et que ce... et que ça soit positif. On ne va pas dire que c'était un jeu, mais imaginez quoi, elle n'a quand même pas tiré des cartes, on ne va pas dire comme ça, mais vous savez qu'elle a tiré sur des choses, ça veut dire que les piqueurs ne savaient pas où aller. Et c'est vraiment mon corps qui a vraiment travaillé et qui a ovulé tout seul. Et ça, je pense que c'est un miracle. Parce qu'avoir une ovulation naturelle, ça, après des vraies règles, après une ponction et sous du Ausha, c'est magique. parce que les deux contrôles, elle n'avait même pas remarqué, j'ai ovulé naturellement. Elle n'aurait pas pensé. Après, comme je vous ai déjà dit, j'ai des sacs matures de base. Alors oui, mais on n'aurait pas pensé le 22 mai que j'ovulerais naturellement. Jamais de la vie. Même moi, je n'aurais jamais pensé parce que j'ai déjà ovulé. Pour ma fille, j'ai déjà ovulé après. J'ai déjà fait un test d'ovulation en 2020. Mais je n'aurais jamais pensé après deux ans d'essai avec mon compagnon. que j'aurais une ovulation naturelle. C'est un miracle. Après, c'est un miracle moitié parce qu'il y a un transfert après. Mais On a eu cinq individuels et deux ensemble, ça veut dire que c'est des jumeaux. Pour moi, on est très contents des résultats, de la qualité et on est très très fiers, mon compagnon et moi, de tout ça. C'est dans une piqûre, on va dire, dans un tube blanc. On ajoute l'embryon et comme une échographie, les gens, comme sur le siège de la généco, te désinfectent, te mettent dans l'endomètre. Sur l'échographie, mon compagnon a participé. Et c'était trop beau. On a vu l'embryon se mettre dans l'endromètre. J'ai eu une émotion énorme. Le voir, en vrai, c'était trop beau. C'était vraiment tout petit, tout petit. On est très présentes et je n'ai pas pu me retenir. J'ai eu la petite larme parce qu'en vrai, c'est à ce moment-là que j'ai pris conscience que l'embryon congelé est de base un embryon. Et j'ai pris conscience que ce petit bébé peut grandir dans mon ventre. Et dans quelques semaines, je saurai. que je serais même pris conscience là, je me suis attachée. De base, je ne voulais pas m'attacher et je me suis attachée dès le premier jour. Et en vrai, voilà, c'était magique et je n'oublierai jamais ce moment. Et en plus, ma génico a fait participer mon chéri. C'est un moment que je n'oublierai jamais, vraiment jamais. Il était magique, voilà. Magique, magique. J'ai attendu 15 jours, 15 jours d'attente pour la prise de sang. 15 jours de, pas souffrance, mais 15 jours d'attente, c'était les plus longs de ma vie. Après le transfert, après 5 jours, déjà le troisième jour, je savais que j'étais enceinte. J'ai pris des mamelons. Le mamelon avait pris du volume. La poitrine commençait à gonfler, j'ai pris du ventre. J'avais déjà du ventre, mais là j'avais pris un ventre très dur. Et au cinquième jour, deux jours après tous ces effets, j'ai eu des nausées. Je pense que l'annulation s'est faite au 30 mai, parce que mon transfert était 5. Je pense que j'ai fait là, sachant que c'était un J3. Je pense que c'était ça. Sept jours après, la fécondation s'est faite. J'ai eu l'anidation pendant deux jours, même plus, parce qu'après, j'ai eu des saignements quelques temps après. Au transfert, j'ai pris conscience que je serais maman et que j'ai dit, ce bébé va s'accrocher, il va s'accrocher jusqu'au bout. Et je me suis attachée. Et il s'est attaché aussi à moi et il s'est accroché. Et je savais, en plus, je ne veux pas vous cacher, le 31, je me suis doutée, le 2 et le 3, à minuit, j'ai mangé une pizza. Une pizza, le 3, à minuit. Et le 4, matin, j'ai mangé à 8h30 une pizza. J'ai jamais mangé à 8h30 une pizza. Voilà, après, il y a plein de signes que j'ai eus. J'ai eu aussi... Ouais, j'ai eu la tête qui tombe, mais ça, j'avais déjà avec les stimulations. Mais là, vraiment, plus, plus, plus, vous pouvez pas m'abaisser. Après, j'avais des piqûres de progestérone et j'en ai encore. Mais au début, le corps, avec la progestérone, j'avais pas encore trop l'habitude. Les hormones me prenaient énormément. Mais vous savez, dès le début, j'étais enceinte. C'était pas ciblé. Mais c'est vrai que quand j'ai pris, deux ou trois jours après, je commençais à prendre des auréoles qui dépassaient les miens. J'ai compris. Après, j'ai des petites bulles dessus. J'ai compris tout de suite, j'étais enceinte. Je n'ai jamais eu ça avant. Et c'est vrai que dès que j'ai eu des nausées, j'ai compris tout de suite. Je n'ai jamais eu des nausées de ma vie. J'ai compris tout de suite, j'étais enceinte. C'est magique qu'on a des symptômes comme ça. Je ne veux pas le cacher. Je reste positive sur ça. Et non, les résultats étaient très longs pour moi. Un jour là, c'était énorme. C'est ça qui était plus long pour moi. Par rapport à la prise de sang, quand j'ai eu mes résultats, mes résultats étaient très très bien. Sauf que la première prise de sang, je le goûtais encore. Malgré les symptômes, malgré tout, il était encore une hésitation. En plus, il fallait que j'atteigne encore 7 jours en plus pour la deuxième. Et en vrai, la deuxième, le matin, je me suis levée, j'ai eu des saignements. De stress, je suis partie jusqu'à Toulon pour faire la prise de sang et après voir ma gynéco. Et en vrai, ma gynéco, la secrétaire de ma gynéco n'était pas là. Alors je suis allée aux urgences. C'est vrai que j'étais à six semaines améliorée. Premier jour, J0. Et en vrai, ils ne pouvaient pas me faire un écho. Et en vrai, ils ont eu ma gynéco en urgence. Et elle m'a dit qu'il fallait que quelques jours après, je refasse 48 heures après. Alors c'était samedi. Une prise de sang et ma prise de sang était très, très haute. Et elle était positive, en vrai. Même déjà la deuxième, j'étais enceinte. Mais en vrai, le stress du saignement, j'ai vécu déjà pour Johanna. C'était juste des spoutings, mais c'était un stress pour moi. Et le lundi, j'ai eu une échographie. Et l'échographie annonçait vraiment que c'était positif et que le cœur battait et qu'il s'est accroché. Il ne fallait pas, je m'inquiète, mais qu'on a vécu déjà des saignements, on ne peut pas... s'inquiéter de ça en vrai. Une maman s'inquiète toujours de son bébé et même ma gynéco s'inquiétait. Elle avait peur que ça ne soit pas accroché. Mais il s'est accroché et il n'y a pas d'inquiétude du tout. Comment je me sens aujourd'hui ? Très très bien. Malgré que j'ai du volume de ventre depuis le premier mois, vraiment le ventre on le voit depuis le premier mois. Pendant le premier mois j'ai vraiment caché parce qu'avec les saignements, l'échographie, on a vraiment attendu l'échographie d'adaptation, la vraie. Malgré que le cœur était positif, j'ai commencé quand même à dire à des personnes que, surtout mes parents, ma soeur, dès qu'ils ont la première prise de sein, on l'a entendu au téléphone avec l'intuition que j'étais enceinte. Oui, mais voilà. Mais après, non, je n'ai pas caché, j'ai pas attendu. J'ai attendu l'échographie d'attention, on va dire. On va dire dès la première semaine du deuxième mois, on l'a annoncé. En plus, ça a arrêté mes nausées. Quand j'ai commencé à annoncer fin du premier mois, j'avais pris une nausée et je n'en ai plus. Je suis très contente. Après, il y a des moments où je pleure parce que c'est les émotions de la grossesse. Après, j'ai du ventre, j'ai pris beaucoup de poitrine. C'est vrai que mes vêtements, je rentre plus dans du 50-52 bientôt. C'est plus le poids qui me stresse un peu plus parce que par rapport à mon SOPK, ça reste toujours de moins à 15. Mais après, il faut que je garde positive et ça, c'est un peu compliqué. Je pense qu'à partir du quatrième mois, je serai plus positive sur ça. C'est que le surpoids est pour moi une peur totale. De me dire que je n'arriverai jamais à perdre. Et en vrai, quand je me pèse, il n'y a rien du tout. C'est juste qu'en vrai, c'est le placenta qui commence à prendre sa place, le BB, le litigamotique. Et voilà, c'est juste que c'est toutes ces choses-là qui prennent la place. Moi, en vrai, je ne prends rien. Après, depuis la PMA, depuis le début de la PMA, depuis, on va dire, depuis l'été dernier, j'ai quand même pris 6 kilos au total. Voilà, en plus de là, du début de grossesse à fait. J'ai pas pris beaucoup depuis le début de grossesse, j'ai pris à peu près 2 kilos. Il n'y a pas grand-chose. Après, il y aurait des stimulations. La stimulation m'a énormément fait grossir parce qu'au début de la stimulation, j'avais trop perdu 70 et j'étais à 77. De base, mon poids serait 69-70. J'avais pris 7 kilos quand j'étais... Et là, en vrai, j'étais à 77. J'avais pris 7 kilos depuis un an de... de protocole. Mais en gros, j'ai pris, on va dire, depuis, j'ai pris 6 kilos. Mais en vrai, j'ai pris à peu près 2 kilos avec la grosse. Je n'ai pas pris énormément. Après, je fais très attention. En vrai, j'ai mangé une petite brique. Après, des fois, je me fais plaisir. Mais c'est vrai qu'on me dit que je vais aller dans le 52. J'ai toujours dit que je n'aimerais jamais dépasser le... Le plus, c'est 42. C'est vrai que là, je les efface énormément. Après, c'est la grossesse et c'est le plus important. Et en vrai, le poids est pour moi ma hantise, mais pas pour ma grossesse. Je m'enlève ça tout de suite de la tête. Et voilà, c'est juste que c'est ma phobie, le poids. Et voilà, mais en plus, je me pèse tous les semaines. Et de base, il faut arrêter ça quand on est enceinte, mais je n'ai pas le choix. En vrai, c'est ma hantise. Et en plus, c'est bien parce que je me mesure tous les mois. Et ça aussi, ce n'est pas bien, mais c'est un souvenir. Mais le poids, c'est vrai qu'il faut que j'arrête. Il faut que je me pèse. Sauf le dernier mois, il faut que je me pèse tous les jours. Mais même ça, ce n'est pas bon. Alors, j'ai décidé d'arrêter. Mais voilà, je vais finir cette semaine. C'est ma dernière semaine. La semaine prochaine du deuxième mois, je le ferai. Et après, je me poserai une fois par mois. C'est-à-dire que la fin du troisième mois, je me poserai. Par rapport à la fin du deuxième mois, on verra la différence. C'est aussi un but de me dire que j'étais enceinte et qu'il fallait que je me fasse plaisir parce que peut-être que je n'aurais qu'une seule grossesse. Mais c'est juste ça le truc. Mais après, je reste positive. Je suis très contente de ma grossesse pour l'instant. Je n'ai pas d'acné. J'ai juste un beau ventre, une belle poitrine, un beau corps de femme enceinte. Quand je suis habillée, on voit vraiment mes formes que j'adore, que j'ai toujours rêvées parce que mes formes, je les cachais. J'avais peur, mais là, avec la grossesse, c'est encore plus beau et ça, j'adore. Après, j'ai un beau visage. Là, je vais aller chez le coiffeur pour remettre mes cheveux bien, juste pour couper et remettre mes boucles en forme. Mais je ne fais pas de couleur, rien, parce qu'on a la grossesse. Après, j'ai des beaux ongles. Le seul problème, c'est qu'avec la grossesse et la chaleur, la polisité, elle est présente. Mais ça va, j'ai une éticienne qui va faire les choses. J'arrivais au début pour me raser et tout, mais là, c'est plus possible. Avec le ventre, c'est plus possible. Le maillot, je fais très attention. J'essaye de me raser et j'ai trouvé une technique. Pour les femmes enceintes, la technique, c'est s'allonger sur le lit et se raser sur les côtés. Le maillot, je ne le fais pas trop au milieu parce qu'avec... Je fais très attention par rapport aux afflatures urinaires. Je fais très attention, il faut se protéger par rapport à la flore vaginale. Mais en gros, à part ça, après chaque été, j'ai souvent un peu plus de pulisité. Mais là, avec la grossesse, un peu plus, ouais. Mais à part ça, sur le visage, j'en ai pas beaucoup. C'est juste sur les parties. Après, c'est vrai que je me rasais toutes les semaines avant. On ne voyait pas vraiment, c'est vrai que là, avec la grossesse. un peu compliquée. Mais à part ça, je suis très contente de ma grossesse pour le début. J'arrive à la fin de mon deuxième mois. Je suis trop heureuse. Les temps passent très vite. La semaine prochaine, je suis déjà à la fin de mon deuxième mois. Je passe dans mon troisième mois, début août. Et en plus, on revoit le bébé, on va faire la TA et tout. Le seul truc qui me stresse, c'est la trisomie, mais ça, on le reste positif. Je sais qu'il n'y aura pas, j'espère. Ça, c'est fortement parce que c'est un choix qu'on va faire après et le choix, on l'a déjà décidé. Mais je n'y pense pas. Je n'y pense pas, mais c'est que c'est encore une période un peu compliquée, mais pour l'instant, on reste positif et tout va bien. Et voilà. Je n'ai jamais fait de test de grossesse. J'en ai fait avant, pendant deux ans, on va dire avant la paix, avant le protocole. Et en vrai, j'avais fait aussi pour ma fille. Les tests de grossesse pour moi n'ont jamais marché. Et en vrai, pendant les 15 jours, on a eu beaucoup de... Tout le monde dit, j'ai fait un test de grossesse, après j'ai fait une fausse couche. Et l'autre, il était négatif. Et en vrai, il était positif. Aujourd'hui, elle va accoucher dans une semaine, là. Voilà, en vrai, j'ai décidé de ne pas faire, malgré que c'était très long pour moi. Mais j'ai tenu le bon bout. Et en vrai, aujourd'hui, je mérite tout ce bonheur. Après, je ne m'envoie pas des fleurs, mais j'ai eu de la chance. et j'ai eu le courage, malgré que le jour de la première prise de sang, j'ai craqué. En vrai, toutes les prises de sang, j'ai appelé le labo, en vrai, avant même les résultats parce que pour moi, c'était trop long d'attendre jusqu'à 15h. Mais j'ai tenu jusqu'à à chaque fois des prises de sang. Voilà, j'ai pas fait un test de grossesse au milieu pour voir si c'était toujours bon. Non, non, j'ai vraiment fait que des prises de sang. J'ai jamais fait de test de grossesse et même dans l'avenir, j'en referai pas parce qu'en vrai, la prise de sang, pour moi, est encore plus magique et résultat vraiment pour vraiment qu'un test de grossesse. Pour moi, c'est pas bidon, mais c'est pas magique. C'est pas le sang, en vrai, c'est ton urine. Mais ton urine peut se tromper, en vrai. Mais pour moi, personnellement, je ne referai jamais de test de grossesse de ma vie. Il n'y aura plus même test d'ovulation à la maison. Mon ovulation, je le sais, parce qu'en vrai, j'ai des pertes blanches maintenant. Je peux le dire, c'est un autre sujet, mais voilà. Mais je suis très contente d'avoir tenu. Je suis même fière de moi, en vrai. Aujourd'hui, je suis même fière de... même pas mettre un test de grossesse sur mon Instagram. J'ai mis mes analyses et je suis très fière de le mettre en vrai. Que je les ai mis en vrai quand j'ai annoncé ma grossesse sur Instagram. Parce qu'en vrai, je suis très fière d'avoir pas fait de test de grossesse. Parce que s'il aurait été négatif, ça m'aurait plus stressée, j'aurais eu encore plus de saignements. Et j'aurais peut-être perdu mon bébé parce qu'inconsciemment, mon corps était pas faible. Mais j'ai cru en moi, j'ai cru au positif et j'ai eu la chance d'y croire parce que j'ai pas fait de test de grossesse et mes analyses étaient très hautes. Elles étaient magnifiques et j'étais très contente d'avoir fait ce que moi je sentais et de me dire, ben non, tu fais pas de test de grossesse, tu fais prise de sang, prise de sang et j'ai eu raison. Mon seul conseil, ça serait que si le corps et l'esprit est bien connecté, tout ira bien. Après, c'est l'alimentation. les compléments alimentaires et le sport et être bien entouré. Si on est une norme négative, qui en ira ? Et aussi, être bien entouré, c'est bien aussi. Je ne dis pas le contraire. Mais moi, pendant ce parcours, j'ai tout bloqué. Ça veut dire que j'étais connectée sur Instagram, mais j'étais dans ma bulle avec mon compagnon. On avait des amis, après j'avais ma famille, mais en vrai, j'ai tout bloqué. Ça veut dire que je me suis renfermée, je me suis mise dans la bulle. Après, je me confiais beaucoup à ma famille, beaucoup à mes amis. Mais pendant ce parcours, ponction et transfert, on n'était que tous les deux. Je ne voyais plus personne. Et c'est ça qui m'a vraiment soutenue. En vrai, c'est que je ne suis pas sortie, j'ai tout arrêté déjà depuis longtemps. Alimentation, j'ai resté innée. Et en vrai, je me suis raisonnée, en vrai, comme une femme enceinte, en vrai. Alors après, sur l'alcool, la cigarette et d'autres choses, j'ai rédimé déjà depuis longtemps. Mais après, j'ai fait des nettoyages de corps, j'ai fait des détotes. Ça faisait déjà dix ans. Après, j'ai fait beaucoup de compléments alimentaires. J'ai pris de l'oméga pendant dix ans. J'ai fait plein de choses. Avant, je me suis aidée par une sophrologue, par un des soins énergétiques. J'ai fait une PBA et après, je suis liée par ma tante et ma mère qui est naturopathe et moi aussi. C'est familial. Après, on a beaucoup d'intuition dans notre famille. J'ai vu beaucoup de voyants. Je savais qu'au printemps, je serais maman. On m'avait dit il y a deux ans. Par rapport aux énergies du ciel et l'énergie de terre, c'est un peu compliqué parce qu'on n'est pas liés. C'était compliqué parce que pendant deux ans, tu doutes beaucoup. Mais j'ai beaucoup travaillé sur ça. Comme je le dis, c'est alimentaire, c'est plein de choses. Mais la seule chose, c'est que quand le corps et l'esprit sont présents, comme je l'ai dit au début, tout ira bien. Et surtout, il faut s'écouter soi-même. Si on se dit qu'on n'y arrivera pas, rien n'ira. Et surtout, il faut y croire en soi. Et dans ce parcours, faire douter son compagnon, ça ne marchera jamais. Et j'ai beaucoup discuté avec beaucoup de personnes sur les réseaux. J'ai toujours dit que dans un parcours, dans un couple, L'homme met la graine et la femme ne fait rien. Elle fait juste voilà. Et bien dans un parcours PMA, une relation amoureuse, c'est comme la réalité. Un acte sexuel amoureux, pour faire un bébé, reste pareil en PMA. Et ça beaucoup disent que non, bah si. Parce que pour faire un bébé, il faut avoir des ovocytes. Il faut avoir du sperme. Et il met la graine, oui le père. Mais dans un spermogramme, dans un tube, c'est la même chose. et un nouveau site aussi. Pour moi, le but, c'est à la fin, c'est la même chose. Et aujourd'hui, j'ai réussi à... En vrai, j'ai une connaissance sur les eaux qui fait des cartes et des livres pour les naissances, pour les parcours. J'ai commandé le livre pour notre futur bébé. Et en vrai, dedans, elle nous demande l'histoire de la conception. Eh bien, je ne le trompe pas. Et en vrai, c'est une histoire que je raconte en petit résumé. Mais j'explique naturellement au vrai le parcours et ça reste pour moi comme un parcours naturel. Notre enfant, il est arrivé comme si c'était naturel. C'est juste que, en vrai, c'est l'aide médicale, mais ça reste pareil. C'est juste que ce n'est pas dans un lit, mais ça reste pareil. C'est mon ovocyte ou mes ovocytes qui l'ont aidé à arriver, mais c'est le sperme de mon compagnon. Mais c'est comme si c'était dans un lit, sauf que c'est autrement. Mais moi, c'était encore plus magique. parce que je l'ai vu être dans mon endomètre. Et c'est ça, encore plus magique en vrai. C'est de l'avoir vu et après, au fil du temps, de l'avoir vu. Et en plus, le plus important, c'est qu'à l'échographie d'alatation, il tombe déjà que... Je n'ai jamais vu ça, un bébé qui tombe déjà, qui fait déjà des pirouettes. Et qui n'a même pas encore tous ses bras en entier. Alors aujourd'hui, je parle en même temps que je vous fais le vocal. Aujourd'hui, il a encore plus pris de bras et de jambes, je pense. Mais voilà, c'est magique. Je ne peux pas oublier ses écourachis et tout, et même les autres que je n'oublierai pas après. La seule chose, c'est qu'il faut croire en vous, même s'il y a des périodes difficiles. J'ai vécu ça dans un SOPK et j'en ai vécu encore après. Peut-être que j'en vivrai encore, mais aujourd'hui, je suis très contente du parcours que j'ai vécu et qu'aujourd'hui, on est heureux d'avoir ce petit bébé qu'on appelle Bonbon pour l'instant. Après, on a déjà choisi les prénoms des deux côtés, des deux têtes. C'est ça, une fille ou un garçon. Mais on est très heureux que ça soit son surnom. En plus, toutes les cartes qu'on a commandées chez Ket, parce qu'elle s'appelle Ket. Et c'est le thème gourmandise, alors je pense qu'on fera sa chambre sur le thème gourmandise, mais on est très heureux de tout ça et on est très heureux de vous partager ça en vrai. Et après, chaque partie de la vie apporte et j'ai mis, voilà, c'est vrai que mes portes de PMA sont ouvertes rapidement, en peu de temps, en un an j'ai eu mes résultats d'analyse, etc. Et après j'ai eu mon parcours qu'en trois mois, mais avant ce que j'ai vécu. Voilà, c'est pas un cancer, mais j'ai vécu plein de choses. Et j'ai presque eu un cancer de sein, en vrai. C'était bénin, mais j'aurais pu avoir un cancer de sein. Surtout avec mes périodes que j'ai eues. Et en vrai, c'était bénin, alors j'ai de la chance. Mais j'ai vécu le Covid, que j'ai mouru presque avec ma fille. Et voilà, ma fille est partie. Alors aujourd'hui, je ne mérite pas que ce bonheur, mais je le mérite énormément avec mon compagnon, parce que même mon compagnon n'a pas eu une enfance facile. Alors notre histoire mérite... être réussite à la fin. Après, je me dis je vais profiter de cette grossesse à fond parce que je ne sais pas comment ça va être notre avenir parce que notre projet, c'est d'avoir deux autres enfants. Je ne sais même pas comment ça va être mais on ne pense pas. On vit au présent et c'est plus important. Évidemment, c'est compliqué. Voilà, la seule chose, c'est qu'on est très heureux. Et voilà, je suis très contente de vous partager ça aujourd'hui. Et voilà, et merci beaucoup Stéphanie pour tout ce moment de partage et que tu m'as laissé partager ça avec beaucoup de monde. Et je suis très heureuse. A très bientôt sur ma page Instagram. Et n'hésitez pas à me poser des questions. Et voilà, bisous, bisous. Etat d'âme, bienvenue sur le podcast qui vous plonge dans l'univers de la santé mentale et physique des femmes. Suivez les témoignages émouvants, les histoires captivantes et les conseils des professionnels de santé pour vous éclairer sur des sujets spécifiques. Embarquez dans l'esprit et le corps des femmes pour un voyage unique et inspirant. Etat d'âme, chaque femme est unique, mais certains parcours de santé s'entremêlent. Vous découvrirez tous les états d'âme, les émotions dont ces guerrières, ces combattantes, ces femmes exceptionnelles ont eu à affronter. Un podcast de Stéphanie Jarry. Продолжение следует...

Description

Si vous n’avez pas encore écouté la première partie, intitulée « Du SOPK à l’aventure PMA : mon parcours de combattante », je vous invite à le découvrir pour bien comprendre l’histoire de Tatiana depuis le début. Cette première partie met en lumière son parcours face au syndrome des ovaires polykystiques (SOPK) et ses premiers pas en Procréation Médicalement Assistée (PMA).

Dans cette Partie 2, intitulée « Un transfert de bonheur », Tatiana revient pour nous partager la suite de son aventure. Elle nous livre avec sincérité son expérience lors de la procédure de transfert, ses espoirs, et le désir profond qui anime son chemin vers la maternité.

Retrouvez également Tatiana sur Instagram pour découvrir son parcours de manière plus intime. Bonne écoute et plongez-vous dans cette histoire de résilience, de courage et d’espoir.


Du SOPK a l’aventure PMA : mon parcours de combattante » part.1 📻



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  • Speaker #0

    Dans une PMA, il y a toujours un parcours très difficile, certains galèrent énormément et je comprends que mon parcours est plus court, mais j'ai vécu dix ans avec un SOPK et j'ai galéré énormément, j'ai quand même perdu ma fille, qu'on n'a jamais prouvé et on m'a quand même dit, et je le résume aujourd'hui, on m'a quand même dit que la PMA ne serait jamais ouverte à moi et que je perdrais tous mes enfants. Aujourd'hui, je peux prouver qu'aujourd'hui, j'ai une école qui m'a vraiment aidée, qui m'a... Bienvenue sur Etat d'âme. Si vous avez cliqué sur cet épisode, c'est que vous avez sûrement envie de connaître la suite de l'aventure de Tatiana et de son parcours PMA étant atteinte du SOPK. Si vous n'avez pas eu l'occasion d'écouter l'épisode « Du SOPK à l'aventure PMA, mon parcours de combattante, partie 1 » , je vous invite à cliquer sur le lien en description de l'épisode. Cela vous permettra de mieux vous plonger dans son parcours. Tatiana est donc de retour pour nous livrer la suite de son récit. Je tiens à dédier cet épisode à Gabi, la grand-mère de Tatiana qui veille toujours sur elle. J'ai eu un soutien médical. Pour mon parcours SOPK, jamais de la vie, sauf à partir de 2021, j'ai eu ma sage-femme qui est dans ma région, qui est comme ma génico, qui m'a poussée à aller en PMA. Mais avant, pas du tout, je n'avais pas de soutien médical. En plus, ce n'est pas un soutien, c'est incompréhensible, parce que pendant 10 ans, on m'a fait croire que c'était alimentaire et pilule. Et pas du tout. Je suis en résistance à la sublime. Il fallait que je sois sous traitement. Après, en 2021, j'ai eu un soutien, comme je vous ai dit, par ma sachet, mais j'ai de la chance. Après, aujourd'hui, oui, j'ai un gros soutien par rapport à la PMA. J'ai une secrétaire qui est au top. J'ai tous les médecins autour de moi qui m'ont soutenue. J'ai quand même une copine qui est pharmacienne, qui galère avec trois filles. Elle est super heureuse pour moi. C'est vrai qu'autour de moi, j'ai beaucoup de personnes qui sont en PMA et qui ont vécu et qui vivent un enfer. Et... Il me souvient que j'avais 10 ans avec un parcours très compliqué. Ma génico, elle me dit que chaque parcours est difficile. Chaque parcours n'est pas facile. Je sais qu'aujourd'hui, le vôtre mérite d'être réussi. Ma génico et moi, on est encore choqués que j'ai réussi à être maman. De porter la vie, parce que maman, ce n'est pas encore. Mais de porter la vie en peu de temps. Déjà, elle n'aurait pas pensé qu'un apport de chance aurait beaucoup d'embryons. Parce qu'ils en avaient 12 de base. Ils n'ont gardé que 7 parce qu'ils avaient peur que quand ils choisissaient... Et bah je perds en vrai, sachant que même s'ils sont de bonne qualité les 5 autres, que en vrai je perds des ovaires où je fasse des multiples grossesses. Avec des embryons qui sont très faibles et que je galère très fortement pendant ma grossesse. Elle préfère mieux garder 7 embryons qui sont de bonne qualité. Mais quand elle m'a fait le transfert, elle m'a dit, j'ai tout espoir pour vous, mais je ne sais pas s'il va tout nier. Et aujourd'hui elle est très heureuse et tout le monde le voit. Et aujourd'hui en vrai les croyances et les valeurs faut arrêter. Cacher jusqu'à trois mois, parce que cacher jusqu'à trois mois, ça peut provoquer plein de choses, les nausées, les brumissements, les inquiétudes, et il faut arrêter tout ça. Comme vous l'avez compris lors du premier protocole, il y a pu avoir la conservation de sept embryons. L'un de ces embryons va-t-il permettre à Tatiana et son futur mari de connaître le bonheur de la parentalité ? C'est ce que vous allez découvrir dans cette partie 2. Un transfert de bonheur. Excellente écoute. Lui, on n'avait pas du tout conscience. Alors ça veut dire qu'on avait un doute. Parce qu'au début, avec le OAPS de mon compagnon, on est quand même passé par la génétique. Ça veut dire qu'on avait un examen. Pendant trois mois, on était en dans le dos de poser la question si M. Chéri serait le papa de mes enfants. Et surtout, si on passerait par un donneur. Vous voyez la chaise musicale ? On était sur deux chaises où on tombe par terre parce que si c'est un donneur ou si c'est lui, en PMA, on a des embryons et après on peut avoir un deuxième parcours. Mais pour le pronier, je me suis dit, je veux un enfant de mon compagnon, je ne veux pas un enfant d'une personne inconnue. Pour moi, c'était, moi je porte la vie, mais mon compagnon, je veux que ce soit ses yeux, son visage. J'ai eu une hyperstimulation élevée. Si c'était sévère, je n'aurais jamais eu parce qu'on est acide. Et c'est que l'acidité des produits peut mettre en danger le bébé et la maman. Même s'ils sont congelés, la seule chose, elle sévère, ça veut dire que le produit reste dans le bébé. Et c'est très dangereux pour l'avenir du bébé et de la maman au fil des mois et au fil des années. On ne met pas en danger la maman et le bébé surtout. Et voilà, c'est pour l'avenir du bébé et de la maman. La FIBCI, pour moi, je n'aurais pas pensé qu'au troisième jour, je me mettrais en arrêt. À cause des stimulations ovériennes, j'ai fait un pollen x10. Ça m'a fait un effet secondaire. Je n'ai pas arrêté le protocole, mais c'est juste que j'ai fait une allergie virale. J'étais dans un état et en vrai, je ne pouvais plus continuer de travailler. Et en gros, je suis allée jusqu'à un point de faire une hyperstimulation. Le jour du deuxième contrôle, on m'a dit que j'étais en hyperstimulation. Malgré tout, elle m'a demandé mes douleurs et j'ai quand même fait ma ponction. Mais c'est vrai que dans l'état où j'étais, j'ai eu des douleurs, j'ai eu de la transpiration, j'étais très fatiguée. Mais la seule chose, c'est que quand même, j'ai eu ma pension. Je repasserai par là s'il faut. Mais c'est vrai que c'était des doses très hautes. Alors pas très hautes, très hautes, mais quand même pour mon corps. Et c'est vrai que je suis allée jusqu'à quand même 24 000 d'estrogène. Et c'est vrai que c'était énorme pour moi. Mais voilà, même la gynéco était choquée. Mais voilà, j'ai quand même eu des bons résultats pour la pension. Depuis le début, on savait, depuis le premier sphère, un gramme de monstres mariaux, on savait qu'on passerait par ça. Malgré qu'on ait passé par des montagnes russes, des doutes, des tristesses, de la colère, même des fois on est passé sur la joie. On savait que ça allait marcher, même si en transfert frais ou en transfert congé, on savait que des moments, peut-être ça ne marcherait pas. En prenant une salle, on savait, mais on restait positif. Suite à la ponction aussi, j'ai eu des douleurs. Après, j'ai eu pire par rapport à mon clit d'hermoïde. Tout va bien. C'était une douleur qui était positive parce qu'à la fin, on a eu nos embryons. Tous les jours, ils m'ont appelé. Alors, c'était douleur. Elle était présente le premier jour. Le deuxième jour, après, quand j'ai eu des réponses, les douleurs, elles n'étaient plus présentes pour moi. Le plus important, je me suis dit que j'ai réussi à avoir 12 embryons. 12 embryons micro-AGT, 12 embryons fécondés. Et les 12 sont gardés, sauf après, ils ont fait un tri, ça c'est sûr. Mais il y en a sept. Pour moi, la douleur était loin pour moi. Loin, même si c'était il y a quelques jours. Pour moi, c'était le plus important, c'est que j'étais objectif, c'était les objectifs, c'était mes embryons. C'était pas la douleur. C'était ça, moi après, la douleur elle était là, après j'étais fatiguée, j'ai eu des douleurs pour faire pipi au début. Mais pendant la pension, j'ai eu un problème respiratoire. Alors voilà, j'ai eu une canne de tout. Je pense que c'était à cause du pollen, une hyperstimulation, un mélange de l'anesthésie. Mais c'était oublié parce que j'étais endormie. Je n'ai pas entendu, je n'ai rien senti parce que c'était général. Mais quand on m'a dit, j'étais choquée. Mais quand j'ai su, quelques jours après, combien il y en avait, j'ai oublié ça. C'était du passé. Il y a plus des choses positives. Il y a pire dans la vie en plus, mais c'était positif. Et c'est ça le plus important. Même par exemple, négativement, peut-être que je n'aurais pas eu d'embryon. Malgré tout, ce n'est pas grave. Moi, physiquement, comment je me sentais ? J'étais très fatiguée, très faible. Après, j'étais très forte. Mentalement, je me suis dit, mon chéri, son but, c'est son sperme. Le jour de la ponction, mais moi, mon but, c'est de faire les piqûres. Et mon but, c'est d'avoir des bons ovocytes pour la partie 1. Après, je n'aurais pas pensé que je n'aurais pas de transfert frais. Mais quand j'ai su qu'après, on aurait un transfert congelé, mon but deuxième, c'était d'avoir un ovule. et d'avoir l'endromètre très prêt pour avoir mon transfert. Pas comme au début, quand on a eu un an d'examen, que j'étais stressée pour nous deux. À partir que j'ai commencé les protocoles, j'étais plus stressée pour nous deux. J'étais stressée par rapport à que ça soit positif pour nous et que moi je fais tout mon maximum pour avoir des ovocytes et après d'avoir un ovule ou un endromètre qui est prêt. C'était pas... Ben on est deux, faut qu'on se tient jusqu'au bout. En vrai, je n'avais même pas besoin de son soutien parce que je sais que physiquement, mentalement, c'était important pour nous d'avoir une famille. Les piqûres, c'était moi le maître. Et de réussir d'avoir un maximum des embryons pour la première partie. Et après, la deuxième partie, même si c'est un transfert frais ou un transfert congelé, que ce bébé soit calé dans mon andromètre. Après, la deuxième partie, c'était plus dur parce qu'après, on a recommencé un mois après. C'était de refaire des piqûres et que ce... et que ça soit positif. On ne va pas dire que c'était un jeu, mais imaginez quoi, elle n'a quand même pas tiré des cartes, on ne va pas dire comme ça, mais vous savez qu'elle a tiré sur des choses, ça veut dire que les piqueurs ne savaient pas où aller. Et c'est vraiment mon corps qui a vraiment travaillé et qui a ovulé tout seul. Et ça, je pense que c'est un miracle. Parce qu'avoir une ovulation naturelle, ça, après des vraies règles, après une ponction et sous du Ausha, c'est magique. parce que les deux contrôles, elle n'avait même pas remarqué, j'ai ovulé naturellement. Elle n'aurait pas pensé. Après, comme je vous ai déjà dit, j'ai des sacs matures de base. Alors oui, mais on n'aurait pas pensé le 22 mai que j'ovulerais naturellement. Jamais de la vie. Même moi, je n'aurais jamais pensé parce que j'ai déjà ovulé. Pour ma fille, j'ai déjà ovulé après. J'ai déjà fait un test d'ovulation en 2020. Mais je n'aurais jamais pensé après deux ans d'essai avec mon compagnon. que j'aurais une ovulation naturelle. C'est un miracle. Après, c'est un miracle moitié parce qu'il y a un transfert après. Mais On a eu cinq individuels et deux ensemble, ça veut dire que c'est des jumeaux. Pour moi, on est très contents des résultats, de la qualité et on est très très fiers, mon compagnon et moi, de tout ça. C'est dans une piqûre, on va dire, dans un tube blanc. On ajoute l'embryon et comme une échographie, les gens, comme sur le siège de la généco, te désinfectent, te mettent dans l'endomètre. Sur l'échographie, mon compagnon a participé. Et c'était trop beau. On a vu l'embryon se mettre dans l'endromètre. J'ai eu une émotion énorme. Le voir, en vrai, c'était trop beau. C'était vraiment tout petit, tout petit. On est très présentes et je n'ai pas pu me retenir. J'ai eu la petite larme parce qu'en vrai, c'est à ce moment-là que j'ai pris conscience que l'embryon congelé est de base un embryon. Et j'ai pris conscience que ce petit bébé peut grandir dans mon ventre. Et dans quelques semaines, je saurai. que je serais même pris conscience là, je me suis attachée. De base, je ne voulais pas m'attacher et je me suis attachée dès le premier jour. Et en vrai, voilà, c'était magique et je n'oublierai jamais ce moment. Et en plus, ma génico a fait participer mon chéri. C'est un moment que je n'oublierai jamais, vraiment jamais. Il était magique, voilà. Magique, magique. J'ai attendu 15 jours, 15 jours d'attente pour la prise de sang. 15 jours de, pas souffrance, mais 15 jours d'attente, c'était les plus longs de ma vie. Après le transfert, après 5 jours, déjà le troisième jour, je savais que j'étais enceinte. J'ai pris des mamelons. Le mamelon avait pris du volume. La poitrine commençait à gonfler, j'ai pris du ventre. J'avais déjà du ventre, mais là j'avais pris un ventre très dur. Et au cinquième jour, deux jours après tous ces effets, j'ai eu des nausées. Je pense que l'annulation s'est faite au 30 mai, parce que mon transfert était 5. Je pense que j'ai fait là, sachant que c'était un J3. Je pense que c'était ça. Sept jours après, la fécondation s'est faite. J'ai eu l'anidation pendant deux jours, même plus, parce qu'après, j'ai eu des saignements quelques temps après. Au transfert, j'ai pris conscience que je serais maman et que j'ai dit, ce bébé va s'accrocher, il va s'accrocher jusqu'au bout. Et je me suis attachée. Et il s'est attaché aussi à moi et il s'est accroché. Et je savais, en plus, je ne veux pas vous cacher, le 31, je me suis doutée, le 2 et le 3, à minuit, j'ai mangé une pizza. Une pizza, le 3, à minuit. Et le 4, matin, j'ai mangé à 8h30 une pizza. J'ai jamais mangé à 8h30 une pizza. Voilà, après, il y a plein de signes que j'ai eus. J'ai eu aussi... Ouais, j'ai eu la tête qui tombe, mais ça, j'avais déjà avec les stimulations. Mais là, vraiment, plus, plus, plus, vous pouvez pas m'abaisser. Après, j'avais des piqûres de progestérone et j'en ai encore. Mais au début, le corps, avec la progestérone, j'avais pas encore trop l'habitude. Les hormones me prenaient énormément. Mais vous savez, dès le début, j'étais enceinte. C'était pas ciblé. Mais c'est vrai que quand j'ai pris, deux ou trois jours après, je commençais à prendre des auréoles qui dépassaient les miens. J'ai compris. Après, j'ai des petites bulles dessus. J'ai compris tout de suite, j'étais enceinte. Je n'ai jamais eu ça avant. Et c'est vrai que dès que j'ai eu des nausées, j'ai compris tout de suite. Je n'ai jamais eu des nausées de ma vie. J'ai compris tout de suite, j'étais enceinte. C'est magique qu'on a des symptômes comme ça. Je ne veux pas le cacher. Je reste positive sur ça. Et non, les résultats étaient très longs pour moi. Un jour là, c'était énorme. C'est ça qui était plus long pour moi. Par rapport à la prise de sang, quand j'ai eu mes résultats, mes résultats étaient très très bien. Sauf que la première prise de sang, je le goûtais encore. Malgré les symptômes, malgré tout, il était encore une hésitation. En plus, il fallait que j'atteigne encore 7 jours en plus pour la deuxième. Et en vrai, la deuxième, le matin, je me suis levée, j'ai eu des saignements. De stress, je suis partie jusqu'à Toulon pour faire la prise de sang et après voir ma gynéco. Et en vrai, ma gynéco, la secrétaire de ma gynéco n'était pas là. Alors je suis allée aux urgences. C'est vrai que j'étais à six semaines améliorée. Premier jour, J0. Et en vrai, ils ne pouvaient pas me faire un écho. Et en vrai, ils ont eu ma gynéco en urgence. Et elle m'a dit qu'il fallait que quelques jours après, je refasse 48 heures après. Alors c'était samedi. Une prise de sang et ma prise de sang était très, très haute. Et elle était positive, en vrai. Même déjà la deuxième, j'étais enceinte. Mais en vrai, le stress du saignement, j'ai vécu déjà pour Johanna. C'était juste des spoutings, mais c'était un stress pour moi. Et le lundi, j'ai eu une échographie. Et l'échographie annonçait vraiment que c'était positif et que le cœur battait et qu'il s'est accroché. Il ne fallait pas, je m'inquiète, mais qu'on a vécu déjà des saignements, on ne peut pas... s'inquiéter de ça en vrai. Une maman s'inquiète toujours de son bébé et même ma gynéco s'inquiétait. Elle avait peur que ça ne soit pas accroché. Mais il s'est accroché et il n'y a pas d'inquiétude du tout. Comment je me sens aujourd'hui ? Très très bien. Malgré que j'ai du volume de ventre depuis le premier mois, vraiment le ventre on le voit depuis le premier mois. Pendant le premier mois j'ai vraiment caché parce qu'avec les saignements, l'échographie, on a vraiment attendu l'échographie d'adaptation, la vraie. Malgré que le cœur était positif, j'ai commencé quand même à dire à des personnes que, surtout mes parents, ma soeur, dès qu'ils ont la première prise de sein, on l'a entendu au téléphone avec l'intuition que j'étais enceinte. Oui, mais voilà. Mais après, non, je n'ai pas caché, j'ai pas attendu. J'ai attendu l'échographie d'attention, on va dire. On va dire dès la première semaine du deuxième mois, on l'a annoncé. En plus, ça a arrêté mes nausées. Quand j'ai commencé à annoncer fin du premier mois, j'avais pris une nausée et je n'en ai plus. Je suis très contente. Après, il y a des moments où je pleure parce que c'est les émotions de la grossesse. Après, j'ai du ventre, j'ai pris beaucoup de poitrine. C'est vrai que mes vêtements, je rentre plus dans du 50-52 bientôt. C'est plus le poids qui me stresse un peu plus parce que par rapport à mon SOPK, ça reste toujours de moins à 15. Mais après, il faut que je garde positive et ça, c'est un peu compliqué. Je pense qu'à partir du quatrième mois, je serai plus positive sur ça. C'est que le surpoids est pour moi une peur totale. De me dire que je n'arriverai jamais à perdre. Et en vrai, quand je me pèse, il n'y a rien du tout. C'est juste qu'en vrai, c'est le placenta qui commence à prendre sa place, le BB, le litigamotique. Et voilà, c'est juste que c'est toutes ces choses-là qui prennent la place. Moi, en vrai, je ne prends rien. Après, depuis la PMA, depuis le début de la PMA, depuis, on va dire, depuis l'été dernier, j'ai quand même pris 6 kilos au total. Voilà, en plus de là, du début de grossesse à fait. J'ai pas pris beaucoup depuis le début de grossesse, j'ai pris à peu près 2 kilos. Il n'y a pas grand-chose. Après, il y aurait des stimulations. La stimulation m'a énormément fait grossir parce qu'au début de la stimulation, j'avais trop perdu 70 et j'étais à 77. De base, mon poids serait 69-70. J'avais pris 7 kilos quand j'étais... Et là, en vrai, j'étais à 77. J'avais pris 7 kilos depuis un an de... de protocole. Mais en gros, j'ai pris, on va dire, depuis, j'ai pris 6 kilos. Mais en vrai, j'ai pris à peu près 2 kilos avec la grosse. Je n'ai pas pris énormément. Après, je fais très attention. En vrai, j'ai mangé une petite brique. Après, des fois, je me fais plaisir. Mais c'est vrai qu'on me dit que je vais aller dans le 52. J'ai toujours dit que je n'aimerais jamais dépasser le... Le plus, c'est 42. C'est vrai que là, je les efface énormément. Après, c'est la grossesse et c'est le plus important. Et en vrai, le poids est pour moi ma hantise, mais pas pour ma grossesse. Je m'enlève ça tout de suite de la tête. Et voilà, c'est juste que c'est ma phobie, le poids. Et voilà, mais en plus, je me pèse tous les semaines. Et de base, il faut arrêter ça quand on est enceinte, mais je n'ai pas le choix. En vrai, c'est ma hantise. Et en plus, c'est bien parce que je me mesure tous les mois. Et ça aussi, ce n'est pas bien, mais c'est un souvenir. Mais le poids, c'est vrai qu'il faut que j'arrête. Il faut que je me pèse. Sauf le dernier mois, il faut que je me pèse tous les jours. Mais même ça, ce n'est pas bon. Alors, j'ai décidé d'arrêter. Mais voilà, je vais finir cette semaine. C'est ma dernière semaine. La semaine prochaine du deuxième mois, je le ferai. Et après, je me poserai une fois par mois. C'est-à-dire que la fin du troisième mois, je me poserai. Par rapport à la fin du deuxième mois, on verra la différence. C'est aussi un but de me dire que j'étais enceinte et qu'il fallait que je me fasse plaisir parce que peut-être que je n'aurais qu'une seule grossesse. Mais c'est juste ça le truc. Mais après, je reste positive. Je suis très contente de ma grossesse pour l'instant. Je n'ai pas d'acné. J'ai juste un beau ventre, une belle poitrine, un beau corps de femme enceinte. Quand je suis habillée, on voit vraiment mes formes que j'adore, que j'ai toujours rêvées parce que mes formes, je les cachais. J'avais peur, mais là, avec la grossesse, c'est encore plus beau et ça, j'adore. Après, j'ai un beau visage. Là, je vais aller chez le coiffeur pour remettre mes cheveux bien, juste pour couper et remettre mes boucles en forme. Mais je ne fais pas de couleur, rien, parce qu'on a la grossesse. Après, j'ai des beaux ongles. Le seul problème, c'est qu'avec la grossesse et la chaleur, la polisité, elle est présente. Mais ça va, j'ai une éticienne qui va faire les choses. J'arrivais au début pour me raser et tout, mais là, c'est plus possible. Avec le ventre, c'est plus possible. Le maillot, je fais très attention. J'essaye de me raser et j'ai trouvé une technique. Pour les femmes enceintes, la technique, c'est s'allonger sur le lit et se raser sur les côtés. Le maillot, je ne le fais pas trop au milieu parce qu'avec... Je fais très attention par rapport aux afflatures urinaires. Je fais très attention, il faut se protéger par rapport à la flore vaginale. Mais en gros, à part ça, après chaque été, j'ai souvent un peu plus de pulisité. Mais là, avec la grossesse, un peu plus, ouais. Mais à part ça, sur le visage, j'en ai pas beaucoup. C'est juste sur les parties. Après, c'est vrai que je me rasais toutes les semaines avant. On ne voyait pas vraiment, c'est vrai que là, avec la grossesse. un peu compliquée. Mais à part ça, je suis très contente de ma grossesse pour le début. J'arrive à la fin de mon deuxième mois. Je suis trop heureuse. Les temps passent très vite. La semaine prochaine, je suis déjà à la fin de mon deuxième mois. Je passe dans mon troisième mois, début août. Et en plus, on revoit le bébé, on va faire la TA et tout. Le seul truc qui me stresse, c'est la trisomie, mais ça, on le reste positif. Je sais qu'il n'y aura pas, j'espère. Ça, c'est fortement parce que c'est un choix qu'on va faire après et le choix, on l'a déjà décidé. Mais je n'y pense pas. Je n'y pense pas, mais c'est que c'est encore une période un peu compliquée, mais pour l'instant, on reste positif et tout va bien. Et voilà. Je n'ai jamais fait de test de grossesse. J'en ai fait avant, pendant deux ans, on va dire avant la paix, avant le protocole. Et en vrai, j'avais fait aussi pour ma fille. Les tests de grossesse pour moi n'ont jamais marché. Et en vrai, pendant les 15 jours, on a eu beaucoup de... Tout le monde dit, j'ai fait un test de grossesse, après j'ai fait une fausse couche. Et l'autre, il était négatif. Et en vrai, il était positif. Aujourd'hui, elle va accoucher dans une semaine, là. Voilà, en vrai, j'ai décidé de ne pas faire, malgré que c'était très long pour moi. Mais j'ai tenu le bon bout. Et en vrai, aujourd'hui, je mérite tout ce bonheur. Après, je ne m'envoie pas des fleurs, mais j'ai eu de la chance. et j'ai eu le courage, malgré que le jour de la première prise de sang, j'ai craqué. En vrai, toutes les prises de sang, j'ai appelé le labo, en vrai, avant même les résultats parce que pour moi, c'était trop long d'attendre jusqu'à 15h. Mais j'ai tenu jusqu'à à chaque fois des prises de sang. Voilà, j'ai pas fait un test de grossesse au milieu pour voir si c'était toujours bon. Non, non, j'ai vraiment fait que des prises de sang. J'ai jamais fait de test de grossesse et même dans l'avenir, j'en referai pas parce qu'en vrai, la prise de sang, pour moi, est encore plus magique et résultat vraiment pour vraiment qu'un test de grossesse. Pour moi, c'est pas bidon, mais c'est pas magique. C'est pas le sang, en vrai, c'est ton urine. Mais ton urine peut se tromper, en vrai. Mais pour moi, personnellement, je ne referai jamais de test de grossesse de ma vie. Il n'y aura plus même test d'ovulation à la maison. Mon ovulation, je le sais, parce qu'en vrai, j'ai des pertes blanches maintenant. Je peux le dire, c'est un autre sujet, mais voilà. Mais je suis très contente d'avoir tenu. Je suis même fière de moi, en vrai. Aujourd'hui, je suis même fière de... même pas mettre un test de grossesse sur mon Instagram. J'ai mis mes analyses et je suis très fière de le mettre en vrai. Que je les ai mis en vrai quand j'ai annoncé ma grossesse sur Instagram. Parce qu'en vrai, je suis très fière d'avoir pas fait de test de grossesse. Parce que s'il aurait été négatif, ça m'aurait plus stressée, j'aurais eu encore plus de saignements. Et j'aurais peut-être perdu mon bébé parce qu'inconsciemment, mon corps était pas faible. Mais j'ai cru en moi, j'ai cru au positif et j'ai eu la chance d'y croire parce que j'ai pas fait de test de grossesse et mes analyses étaient très hautes. Elles étaient magnifiques et j'étais très contente d'avoir fait ce que moi je sentais et de me dire, ben non, tu fais pas de test de grossesse, tu fais prise de sang, prise de sang et j'ai eu raison. Mon seul conseil, ça serait que si le corps et l'esprit est bien connecté, tout ira bien. Après, c'est l'alimentation. les compléments alimentaires et le sport et être bien entouré. Si on est une norme négative, qui en ira ? Et aussi, être bien entouré, c'est bien aussi. Je ne dis pas le contraire. Mais moi, pendant ce parcours, j'ai tout bloqué. Ça veut dire que j'étais connectée sur Instagram, mais j'étais dans ma bulle avec mon compagnon. On avait des amis, après j'avais ma famille, mais en vrai, j'ai tout bloqué. Ça veut dire que je me suis renfermée, je me suis mise dans la bulle. Après, je me confiais beaucoup à ma famille, beaucoup à mes amis. Mais pendant ce parcours, ponction et transfert, on n'était que tous les deux. Je ne voyais plus personne. Et c'est ça qui m'a vraiment soutenue. En vrai, c'est que je ne suis pas sortie, j'ai tout arrêté déjà depuis longtemps. Alimentation, j'ai resté innée. Et en vrai, je me suis raisonnée, en vrai, comme une femme enceinte, en vrai. Alors après, sur l'alcool, la cigarette et d'autres choses, j'ai rédimé déjà depuis longtemps. Mais après, j'ai fait des nettoyages de corps, j'ai fait des détotes. Ça faisait déjà dix ans. Après, j'ai fait beaucoup de compléments alimentaires. J'ai pris de l'oméga pendant dix ans. J'ai fait plein de choses. Avant, je me suis aidée par une sophrologue, par un des soins énergétiques. J'ai fait une PBA et après, je suis liée par ma tante et ma mère qui est naturopathe et moi aussi. C'est familial. Après, on a beaucoup d'intuition dans notre famille. J'ai vu beaucoup de voyants. Je savais qu'au printemps, je serais maman. On m'avait dit il y a deux ans. Par rapport aux énergies du ciel et l'énergie de terre, c'est un peu compliqué parce qu'on n'est pas liés. C'était compliqué parce que pendant deux ans, tu doutes beaucoup. Mais j'ai beaucoup travaillé sur ça. Comme je le dis, c'est alimentaire, c'est plein de choses. Mais la seule chose, c'est que quand le corps et l'esprit sont présents, comme je l'ai dit au début, tout ira bien. Et surtout, il faut s'écouter soi-même. Si on se dit qu'on n'y arrivera pas, rien n'ira. Et surtout, il faut y croire en soi. Et dans ce parcours, faire douter son compagnon, ça ne marchera jamais. Et j'ai beaucoup discuté avec beaucoup de personnes sur les réseaux. J'ai toujours dit que dans un parcours, dans un couple, L'homme met la graine et la femme ne fait rien. Elle fait juste voilà. Et bien dans un parcours PMA, une relation amoureuse, c'est comme la réalité. Un acte sexuel amoureux, pour faire un bébé, reste pareil en PMA. Et ça beaucoup disent que non, bah si. Parce que pour faire un bébé, il faut avoir des ovocytes. Il faut avoir du sperme. Et il met la graine, oui le père. Mais dans un spermogramme, dans un tube, c'est la même chose. et un nouveau site aussi. Pour moi, le but, c'est à la fin, c'est la même chose. Et aujourd'hui, j'ai réussi à... En vrai, j'ai une connaissance sur les eaux qui fait des cartes et des livres pour les naissances, pour les parcours. J'ai commandé le livre pour notre futur bébé. Et en vrai, dedans, elle nous demande l'histoire de la conception. Eh bien, je ne le trompe pas. Et en vrai, c'est une histoire que je raconte en petit résumé. Mais j'explique naturellement au vrai le parcours et ça reste pour moi comme un parcours naturel. Notre enfant, il est arrivé comme si c'était naturel. C'est juste que, en vrai, c'est l'aide médicale, mais ça reste pareil. C'est juste que ce n'est pas dans un lit, mais ça reste pareil. C'est mon ovocyte ou mes ovocytes qui l'ont aidé à arriver, mais c'est le sperme de mon compagnon. Mais c'est comme si c'était dans un lit, sauf que c'est autrement. Mais moi, c'était encore plus magique. parce que je l'ai vu être dans mon endomètre. Et c'est ça, encore plus magique en vrai. C'est de l'avoir vu et après, au fil du temps, de l'avoir vu. Et en plus, le plus important, c'est qu'à l'échographie d'alatation, il tombe déjà que... Je n'ai jamais vu ça, un bébé qui tombe déjà, qui fait déjà des pirouettes. Et qui n'a même pas encore tous ses bras en entier. Alors aujourd'hui, je parle en même temps que je vous fais le vocal. Aujourd'hui, il a encore plus pris de bras et de jambes, je pense. Mais voilà, c'est magique. Je ne peux pas oublier ses écourachis et tout, et même les autres que je n'oublierai pas après. La seule chose, c'est qu'il faut croire en vous, même s'il y a des périodes difficiles. J'ai vécu ça dans un SOPK et j'en ai vécu encore après. Peut-être que j'en vivrai encore, mais aujourd'hui, je suis très contente du parcours que j'ai vécu et qu'aujourd'hui, on est heureux d'avoir ce petit bébé qu'on appelle Bonbon pour l'instant. Après, on a déjà choisi les prénoms des deux côtés, des deux têtes. C'est ça, une fille ou un garçon. Mais on est très heureux que ça soit son surnom. En plus, toutes les cartes qu'on a commandées chez Ket, parce qu'elle s'appelle Ket. Et c'est le thème gourmandise, alors je pense qu'on fera sa chambre sur le thème gourmandise, mais on est très heureux de tout ça et on est très heureux de vous partager ça en vrai. Et après, chaque partie de la vie apporte et j'ai mis, voilà, c'est vrai que mes portes de PMA sont ouvertes rapidement, en peu de temps, en un an j'ai eu mes résultats d'analyse, etc. Et après j'ai eu mon parcours qu'en trois mois, mais avant ce que j'ai vécu. Voilà, c'est pas un cancer, mais j'ai vécu plein de choses. Et j'ai presque eu un cancer de sein, en vrai. C'était bénin, mais j'aurais pu avoir un cancer de sein. Surtout avec mes périodes que j'ai eues. Et en vrai, c'était bénin, alors j'ai de la chance. Mais j'ai vécu le Covid, que j'ai mouru presque avec ma fille. Et voilà, ma fille est partie. Alors aujourd'hui, je ne mérite pas que ce bonheur, mais je le mérite énormément avec mon compagnon, parce que même mon compagnon n'a pas eu une enfance facile. Alors notre histoire mérite... être réussite à la fin. Après, je me dis je vais profiter de cette grossesse à fond parce que je ne sais pas comment ça va être notre avenir parce que notre projet, c'est d'avoir deux autres enfants. Je ne sais même pas comment ça va être mais on ne pense pas. On vit au présent et c'est plus important. Évidemment, c'est compliqué. Voilà, la seule chose, c'est qu'on est très heureux. Et voilà, je suis très contente de vous partager ça aujourd'hui. Et voilà, et merci beaucoup Stéphanie pour tout ce moment de partage et que tu m'as laissé partager ça avec beaucoup de monde. Et je suis très heureuse. A très bientôt sur ma page Instagram. Et n'hésitez pas à me poser des questions. Et voilà, bisous, bisous. Etat d'âme, bienvenue sur le podcast qui vous plonge dans l'univers de la santé mentale et physique des femmes. Suivez les témoignages émouvants, les histoires captivantes et les conseils des professionnels de santé pour vous éclairer sur des sujets spécifiques. Embarquez dans l'esprit et le corps des femmes pour un voyage unique et inspirant. Etat d'âme, chaque femme est unique, mais certains parcours de santé s'entremêlent. Vous découvrirez tous les états d'âme, les émotions dont ces guerrières, ces combattantes, ces femmes exceptionnelles ont eu à affronter. Un podcast de Stéphanie Jarry. Продолжение следует...

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