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Pourquoi tu ne passes pas à l'action même si tu sais que tu vas regretter

Pourquoi tu ne passes pas à l'action même si tu sais que tu vas regretter

04min |12/02/2025
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Description

Aujourd'hui on voit pourquoi tu ne passes pas à l'action même si tu sais que tu vas regretter de ne pas l'avoir fait


Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

Transcription

  • Speaker #0

    Pourquoi tu ne passes pas l'action, même si tu sais que tu vas regretter de ne pas l'avoir fait ? Pour comprendre, des psychologues demandaient à 77 personnes les plus grands regrets de leur vie. Sur les 213 regrets qu'ils ont donnés, 63% concernaient des choses qu'ils n'avaient pas faites. Ce qu'ils expliquent, c'est que le temps fait évoluer notre perception et nos émotions. A court terme, on a tendance à avoir des remords sur les choses. qu'on a faite et qu'on considère comme un échec. Ça entraîne des émotions désagréables et intenses comme la frustration, la colère, la tristesse, la culpabilité, la honte, etc. Et c'est pour éviter ces émotions qu'on ne passe pas à l'action. Sauf qu'à long terme, ces évitements vont se transformer en mélancolie ou nostalgie. Et ces émotions sont plus durables. Et c'est elles... qui nous donne l'impression de passer à côté de notre vie. Alors, même si nos peurs nous freinent, on est obligé de les affronter et d'accueillir ces émotions désagréables. Pour ça, il faut comprendre deux choses. La première, c'est que quand tu hésites entre plusieurs possibilités, c'est qu'au fond, elles sont équivalentes. Elles peuvent t'apporter le même niveau de satisfaction, sinon tu n'hésiterais pas. En fait, c'est quand on va voir le résultat qu'on va juger si notre décision était la bonne ou pas. C'est ce qui s'appelle le biais du résultat. Imagine que je te demande de choisir entre deux mallettes. Elles sont identiques, mais à l'intérieur, le gain est différent. Tu choisis la mallette 1 ou la mallette 2. On va dire que tu choisis la mallette 2 et qu'à l'intérieur, il y a 100 000 euros. Tu es super content, tu viens de gagner 100 000 euros sans rien faire. Je te demande, est-ce que tu as pris la bonne décision ? Tu me réponds, oui. Alors je te montre ce qu'il y avait dans l'autre mallette. Et là, tu découvres qu'il y avait 10 millions d'euros. Là, t'es dégoûté. Je te demande, est-ce que tu penses toujours avoir pris la bonne décision ? Tu me réponds. Oui, oui, j'ai pris la bonne décision, parce qu'au moment où je l'ai prise, je n'avais aucun moyen de savoir ce qu'il y avait à l'intérieur. C'est pour ça que Sénèque disait « Le sage ne juge pas le résultat, mais la décision qu'il a prise » . Mais des fois, ce n'est pas une question de décision. Tu sais ce que tu veux, tu sais comment il faut faire pour l'obtenir, mais tu ne passes pas l'action parce que tu as peur de l'échec et des émotions désagréables. agréables qui vont avec. Alors voilà ce qui se passe quand tu passes à l'action. Quand tu passes à l'action, l'anxiété monte très vite, tellement vite que tu crois que ça va jamais s'arrêter, voire même qu'elle peut te tuer. Sauf qu'arrivée à un certain point, elle commence à redescendre. Et à force de s'exposer à cette situation, l'intensité est de moins en moins élevée. C'est ce qui s'appelle l'habituation à l'anxiété. C'est ce qui nous est tous arrivé à l'école le jour où on devait réciter notre poésie. Le prof demande « Un volontaire ? » « Personne. » Alors il dit « Bon, très bien. Alors je vais désigner quelqu'un. » Là, dans ta tête, tu te dis « Pas moi, pas moi, pas moi, pas moi. » Et là, t'entends ton nom. Erwan, on y va ? Oui, alors que dans ta tête, c'est « bah ouais, j'ai pas vraiment le choix » . Tu te lèves, tu commences à avancer, et plus tu avances, plus tu sens l'anxiété monter. Puis, tu arrives au tableau, tu te retrouves seul. face au prof et toute la classe qui te regarde l'anxiété est à son paroxysme tu te lances et plus ça va plus tu te sens mieux tu finis tu sais que ce n'est pas parfait tu sais que tu n'auras pas vain mais t'es quand même fier de toi Tu retournes à ta place et tu te dis « Bah, en fait, c'était pas si horrible que ça » . Et c'est ça, le deuxième point à retenir, c'est que c'est pas quand tu te sentiras fort que tu affronteras tes peurs. C'est quand tu affronteras tes peurs que tu te sentiras fort.

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    Pourquoi tu ne passes pas l'action, même si tu sais que tu vas regretter de ne pas l'avoir fait ? Pour comprendre, des psychologues demandaient à 77 personnes les plus grands regrets de leur vie. Sur les 213 regrets qu'ils ont donnés, 63% concernaient des choses qu'ils n'avaient pas faites. Ce qu'ils expliquent, c'est que le temps fait évoluer notre perception et nos émotions. A court terme, on a tendance à avoir des remords sur les choses. qu'on a faite et qu'on considère comme un échec. Ça entraîne des émotions désagréables et intenses comme la frustration, la colère, la tristesse, la culpabilité, la honte, etc. Et c'est pour éviter ces émotions qu'on ne passe pas à l'action. Sauf qu'à long terme, ces évitements vont se transformer en mélancolie ou nostalgie. Et ces émotions sont plus durables. Et c'est elles... qui nous donne l'impression de passer à côté de notre vie. Alors, même si nos peurs nous freinent, on est obligé de les affronter et d'accueillir ces émotions désagréables. Pour ça, il faut comprendre deux choses. La première, c'est que quand tu hésites entre plusieurs possibilités, c'est qu'au fond, elles sont équivalentes. Elles peuvent t'apporter le même niveau de satisfaction, sinon tu n'hésiterais pas. En fait, c'est quand on va voir le résultat qu'on va juger si notre décision était la bonne ou pas. C'est ce qui s'appelle le biais du résultat. Imagine que je te demande de choisir entre deux mallettes. Elles sont identiques, mais à l'intérieur, le gain est différent. Tu choisis la mallette 1 ou la mallette 2. On va dire que tu choisis la mallette 2 et qu'à l'intérieur, il y a 100 000 euros. Tu es super content, tu viens de gagner 100 000 euros sans rien faire. Je te demande, est-ce que tu as pris la bonne décision ? Tu me réponds, oui. Alors je te montre ce qu'il y avait dans l'autre mallette. Et là, tu découvres qu'il y avait 10 millions d'euros. Là, t'es dégoûté. Je te demande, est-ce que tu penses toujours avoir pris la bonne décision ? Tu me réponds. Oui, oui, j'ai pris la bonne décision, parce qu'au moment où je l'ai prise, je n'avais aucun moyen de savoir ce qu'il y avait à l'intérieur. C'est pour ça que Sénèque disait « Le sage ne juge pas le résultat, mais la décision qu'il a prise » . Mais des fois, ce n'est pas une question de décision. Tu sais ce que tu veux, tu sais comment il faut faire pour l'obtenir, mais tu ne passes pas l'action parce que tu as peur de l'échec et des émotions désagréables. agréables qui vont avec. Alors voilà ce qui se passe quand tu passes à l'action. Quand tu passes à l'action, l'anxiété monte très vite, tellement vite que tu crois que ça va jamais s'arrêter, voire même qu'elle peut te tuer. Sauf qu'arrivée à un certain point, elle commence à redescendre. Et à force de s'exposer à cette situation, l'intensité est de moins en moins élevée. C'est ce qui s'appelle l'habituation à l'anxiété. C'est ce qui nous est tous arrivé à l'école le jour où on devait réciter notre poésie. Le prof demande « Un volontaire ? » « Personne. » Alors il dit « Bon, très bien. Alors je vais désigner quelqu'un. » Là, dans ta tête, tu te dis « Pas moi, pas moi, pas moi, pas moi. » Et là, t'entends ton nom. Erwan, on y va ? Oui, alors que dans ta tête, c'est « bah ouais, j'ai pas vraiment le choix » . Tu te lèves, tu commences à avancer, et plus tu avances, plus tu sens l'anxiété monter. Puis, tu arrives au tableau, tu te retrouves seul. face au prof et toute la classe qui te regarde l'anxiété est à son paroxysme tu te lances et plus ça va plus tu te sens mieux tu finis tu sais que ce n'est pas parfait tu sais que tu n'auras pas vain mais t'es quand même fier de toi Tu retournes à ta place et tu te dis « Bah, en fait, c'était pas si horrible que ça » . Et c'est ça, le deuxième point à retenir, c'est que c'est pas quand tu te sentiras fort que tu affronteras tes peurs. C'est quand tu affronteras tes peurs que tu te sentiras fort.

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