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GrandiOse - Bien-être holistique, développement personnel, confiance en soi, constellations familiales

Passer à côté de sa vie : les 3 grandes peurs qui nous empêchent d'oser

Passer à côté de sa vie : les 3 grandes peurs qui nous empêchent d'oser

16min |02/03/2025
Play
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16min |02/03/2025
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Description

Les 3 grandes peurs qui empêchent de vivre pleinement

Et si tes peurs t’empêchaient de vivre la vie que tu mérites ?


On rêve tous d’une vie alignée et épanouissante… mais qu’est-ce qui nous bloque réellement ? Dans cet épisode, on explore les 3 grandes peurs qui nous freinent et comment s’en libérer pour OSER enfin vivre pleinement.


💡 Au programme :


La peur de l’échec : Et si se tromper était en réalité une étape vers la réussite ?
La peur du regard des autres : Comment arrêter de se brider par peur du jugement ?
La peur de manquer : Ce mythe qui nous pousse à la sécurité au détriment de nos rêves.


Tu repars avec des clés concrètes pour dépasser tes blocages et oser passer à l’action.


Ne laisse plus tes peurs décider à ta place. Écoute l’épisode maintenant !


Are you ready ? Mets-toi dans ta bulle et c'est parti ! 🎧 


__________________________________________



❤️ Si cet épisode t'a plu et que tu sens qu'il pourrait aider d'autres femmes de ton entourage, je t'invite à le partager autour de toi et à le noter avec la note de ton choix car si le podcast évolue, c'est surtout grâce à TOI ! MERCI ❤️ 



↓ Ressources gratuites, mes réseaux sociaux, mes offres ↓


⊹ Télécharge tes 32 affirmations offertes à découper : www.biendanstoncorps.fr/affirmations

⊹ Offert → Ton kit ''Libération transgénérationnelle'' : https://www.biendanstoncorps.fr/liberation-transgenerationnelle

Découvre le programme RENAISSANCE : https://www.biendanstoncorps.fr/programmerenaissance

⊹ Atelier « Trouve ta boussole intérieure » découvre tes valeurs profondes : https://www.biendanstoncorps.fr/atelier-valeurs

⊹ Commande ton jeu de cartes ''Ressouces Intérieures'' : https://www.biendanstoncorps.fr/oracle

⊹ Mon site : www.biendanstoncorps.fr


Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

Transcription

  • Speaker #0

    Coucou, bienvenue sur le podcast grandiose, le podcast qui t'aide à grandir et oser prendre ta place. Je suis Vanessa, une femme en quête de croissance personnelle, explorant la puissance et la profondeur de l'amour de soi. En tant que coach holistique, j'accompagne les femmes qui manquent de confiance et d'estime. à se reconnecter à elles-mêmes en se réconciliant avec leur corps, leur mental et leurs émotions. Si toi aussi tu désires éveiller ta conscience, augmenter ton estime de toi et surtout vivre une vie plus sereine, tu es au bon endroit. Sur ce podcast, je te partage mes prises de conscience et mes expériences avec authenticité. Mon but est que tu aies des outils concrets pour booster ta confiance en toi, t'accepter tel que tu es pour redevenir ta propre meilleure amie et la chef de ta vie. Je me réjouis de partager ce nouvel épisode avec toi. Are you ready ? Mets-toi dans ta bulle et c'est parti ! Coucou et bienvenue à toi dans ce tout nouvel épisode du podcast Grandiose. J'espère que tu vas bien à l'heure où tu m'écoutes. Aujourd'hui, j'avais envie de venir te parler d'un sujet qui revient beaucoup autour de moi et qui d'ailleurs moi-même m'a pas mal fait tourner en boucle dans ma tête à une certaine époque. C'est comment oser. Comment oser en fait pour ne pas passer à côté de sa vie. Finalement, c'est exactement l'esprit de mon podcast Grandis, Ose. Grandir, évoluer et surtout oser. L'être humain est fait pour avoir des buts, pour avoir des rêves, pour avancer, pour grandir. Et si aujourd'hui tu ne fais rien pour concrétiser tes rêves, aller vers tes buts, vers ce qui te fait kiffer, eh bien il y a de fortes chances que tu as l'impression que ta vie n'a pas de sens, que tu passes à côté de ta vie. Alors déjà, pourquoi est-ce qu'on n'ose pas ? Qu'est-ce qui nous bloque vraiment ? Et surtout, comment changer tout ça sans se mettre une pression de dingue ? C'est justement ce qu'on va déconstruire ensemble. La première chose qui nous empêche d'agir, ce sont évidemment nos chères peurs. Ces peurs, il faut savoir qu'elles ne viennent pas de nulle part. Elles sont le résultat de plusieurs choses. Le conditionnement social déjà, ce qu'on nous a appris depuis notre enfance, à l'école, dans notre environnement. Les croyances familiales, ce qui a été inculqué mais aussi transmis de génération en génération, souvent inconsciemment. Et notre cerveau qui est... programmée pour éviter le danger. Et ce qui est intéressant dans tout ça, c'est qu'on pourrait croire que nos peurs sont complètement rationnelles, mais en réalité, elles sont en grande partie automatiques et instinctives. On a une partie du cerveau qui s'appelle le cerveau reptilien, peut-être que tu en as déjà entendu parler, c'est la partie la plus ancienne qui gère nos fonctions primaires, comme la survie, la protection, la peur. Et son rôle, c'est justement d'éviter le danger à tout prix. Ce qu'il faut savoir, c'est qu'à l'époque, préhistorique, cette peur était essentielle parce qu'elle permettait d'éviter des dangers réels comme le risque de se faire attaquer par un prédateur en pleine nature. C'était vraiment une question de vie ou de mort. Aujourd'hui, ce danger n'existe plus. En théorie, il n'y a pas de tigre prêt à nous bondir dessus si on ose tout d'un coup sortir de notre zone de confort. Et pourtant, notre cerveau, lui, il fonctionne toujours de la même manière. Il continue d'interpréter toute situation inconnue comme étant une menace. Et ça, même si le risque réel est bien moins grand que ce qu'il n'était à l'époque. Résultat, il va tout faire pour nous maintenir dans ce qui est connu, même si ce connu ne nous rend pas heureux, heureuse. Et alors comme tu l'as compris, aujourd'hui le danger ne vient plus d'un prédateur, mais il prend d'autres formes comme par exemple changer de travail, oser parler en public, commencer une nouvelle relation, se lancer dans un projet qui nous tient à cœur, toute chose nouvelle, toute chose qu'on n'a pas l'habitude de faire, toute chose inconnue, toute chose qui nous a déjà blessés. Pour le cerveau reptilien, il y a une règle très simple. Changement est égal à inconnu est égal risque est égal danger. Ajoute à ça le conditionnement social, les peurs transmises par la famille et tu comprends bien évidemment pourquoi ça coince. Imagine si dans ta lignée, on t'a toujours répété qu'il fallait avoir un CDI pour être en sécurité, que prendre des risques c'était dangereux, qu'il fallait assurer ses arrières avant de faire quoi que ce soit. Alors forcément, c'est encore plus difficile de dépasser tes peurs. Et tout ça, comme je l'ai dit tout à l'heure, c'est même pas. conscients. C'est souvent des schémas qui se transmettent, qui sont ancrés et qui nous maintiennent dans une vie qui ne nous correspond pas vraiment. Alors la bonne nouvelle, c'est que ça se reprogramme et que je suis là pour t'aider. Mais clairement, la peur de l'échec, c'est une des plus grandes raisons pour lesquelles on n'ose pas. On nous l'a toujours présenté d'ailleurs comme quelque chose à éviter à tout prix. Dans notre société, depuis qu'on est petit, on nous a appris à éviter l'échec à tout prix à l'école. Fallait avoir les bonnes réponses, fallait avoir les bonnes notes, bien faire les choses du pire. premier coup, un mauvais résultat, c'était sanctionné, on nous faisait comprendre que l'erreur était une mauvaise chose tout simplement. Mais si on regarde bien en fait, c'est je trouve assez nul comme état d'esprit parce que dans la vie, l'échec est une étape indispensable à tout apprentissage. Regarde quand un bébé apprend à marcher. combien de fois ils tombent avant d'y arriver ? Est-ce que tu penses que le bébé se dit « Ah mais non, c'est pas possible, ça fait trois fois que je tombe, la marche c'est vraiment pas fait pour moi » . Eh ben non, il continue encore et encore jusqu'à réussir à marcher. Et malgré ça, tu vois, en grandissant, on développe cette peur d'échouer. Pourtant, si on observe les plus grandes réussites, elles sont presque toutes passées par des échecs majeurs avant d'en arriver là où elles sont aujourd'hui. Dans certains pays, l'échec est valorisé, il est vu comme un passage obligé. Au Japon, par exemple, il y a la philosophie du Kaizen qui repose sur l'amélioration continue. L'échec fait partie du processus. Il y a tellement d'exemples de personnes hyper connues aujourd'hui qui ont passé par des gros échecs. Prenons l'exemple de J.K. Rowling, l'autrice d'Harry Potter. Avant d'être publiée, elle a reçu 12 refus d'éditeur. Elle aurait pu abandonner tellement de fois. Un autre exemple, c'est Oprah Winfrey qui s'est fait virer de son propre job à la télé parce qu'on lui disait qu'elle n'avait pas le bon profil. Et aujourd'hui, c'est l'une des femmes les plus influentes du monde. Aux Etats-Unis, il faut savoir que la vision d'échec est totalement différente de celle qu'on a en Suisse, en France ou en Europe en général. Là-bas, l'échec, c'est vraiment considéré comme une preuve de prise de risque et d'expérience. Dans la Silicon Valley, d'ailleurs, il est même courant d'afficher ses échecs sur son CV parce que ça montre qu'on a appris, qu'on a tenté, qu'on a osé. Et il existe même une expression qui dit « fail fast, fail often » . Désolée pour mon anglais. L'idée, c'est que... Plus tu échoues vite, plus tu apprends vite et plus tu t'améliores rapidement. Donc finalement, l'échec, ce n'est pas un problème, c'est un passage obligé. Et qui dit passage, dit que ce n'est pas une fin. C'est juste le début de quelque chose d'autre. Imagine même si je te disais que l'échec n'existait pas vraiment et que c'était juste un concept qu'on nous a foutu dans la tête. Perso, aujourd'hui, comme tu le sais, moi je préfère vraiment voir l'échec comme une expérience et ça m'aide vraiment à... agir malgré la peur. Ça m'aide à agir malgré le résultat. Après, il faut savoir que derrière cette peur aussi de l'échec, il y a aussi très souvent un manque de confiance en soi. Et le piège qu'il y a là-dedans, c'est qu'on attend d'avoir confiance pour agir. Mais si tu as écouté mes épisodes sur la confiance en soi, c'est clairement un cercle vicieux parce que tout simplement, c'est l'action qui génère la confiance en toi. Donc si tu attends d'avoir confiance en toi pour agir, tu peux attendre longtemps parce que la confiance en soi ne tombe pas du ciel. Elle se construit en avançant, en testant, en osant. Passons maintenant à un autre blocage énorme qui nous empêche d'oser. C'est la peur d'être jugé. On vit dans une société où on cherche en permanence l'approbation des autres. Mais au final, ce besoin d'approbation, c'est aussi un cercle vicieux. Et la vérité, c'est que tout le monde juge, y compris nous. Et en fait, quand tu juges quelqu'un, c'est souvent une... projection de tes propres insécurités, de tes propres peurs et quand quelqu'un te juge, c'est la projection de ses propres insécurités. Donc au final, on s'en fout. Surtout qu'en vrai de vrai, les gens sont bien trop préoccupés à se juger eux-mêmes pour passer leur temps à te juger toi. Tout comme toi, tu es bien trop préoccupé par te juger toi-même. Donc si on résume, tu seras jugé quoi qu'il arrive. Les autres sont trop occupés à se juger eux-mêmes. Et pour terminer, le seul avis qui compte, c'est le tien. Il y a une autre peur aussi dont on parle moins, mais que j'ai vraiment envie d'aborder, parce que clairement, elle bloque énormément de gens, c'est la peur de manquer. D'ailleurs, si on y réfléchit, cette peur est vraiment très ancrée dans notre inconscient collectif. On nous a toujours appris qu'il fallait sécuriser notre avenir, qu'il était risqué de quitter un emploi stable, qu'il valait mieux ne pas prendre trop de risques. Et forcément, ça nous conditionne à éviter l'inconnu. Comme je t'ai dit avant, le cerveau essaie de nous protéger. Donc ce qui se passe, c'est qu'il va... toujours dramatiser les situations. Ils pensent toujours au pire alors qu'en réalité il y a toujours des solutions. Dans 99% des cas, avant de finir à la rue, il y a toujours un plan B. Nos peurs sont rarement justifiées et on peut clairement les remettre en doute. Et même si ce pire arrivait, finalement on doit juste le voir comme étant une étape de plus sur notre chemin parce que, souviens-toi, l'échec n'est rien d'autre qu'une opportunité déguisée. Aussi inconfortable soit-il sur le moment, c'est une chance de se réajuster de tout. tirer des leçons, repartir encore plus forte. Et il y a un autre truc qui met aussi une pression énorme quand on doit faire un choix, quand on doit oser, c'est de penser justement qu'un choix est irréversible. Alors bon, ok, il y a certains qui le sont, comme par exemple décider d'avoir un enfant. Et pourtant, le plus fou dans cette histoire, c'est que pour ça, la plupart des gens ne réfléchissent même pas. Mais bref, c'est un autre sujet. Quoi qu'il en soit, cette pression de faire le bon choix, je trouve que ça nous freine beaucoup aussi parce qu'on a cette croyance que Ausha sont gravés dans le marbre qu'une fois qu'on a pris une décision, on doit s'y tenir coûte que coûte alors qu'en fait, pas du tout. C'est pas parce qu'on s'engage dans une direction qu'on est coincé pour la vie. La réalité, c'est que rien n'est figé. C'est nous qui nous enfermons tout seuls, c'est nous qui nous emprisonnons et qui nous empêchons d'être libres. Mais c'est qu'une perception. En vrai, si demain tu changes d'avis, tu peux ajuster, tu peux changer de chemin, c'est complètement OK. J'ai vécu ça justement au mois de janvier quand je suis arrivée en Espagne avec plein d'attentes, comme je le racontais dans l'épisode précédent. Et je me mettais en fait une pression de malade en mode « Oh my God, est-ce que je me vois vraiment ici ? Est-ce que c'est vraiment là que je veux déménager ? » peut-être que je dois aller ailleurs. Et en fait, j'ai juste respiré un bon coup en me rappelant que ce que je veux, c'est vivre cette expérience, mais que ce n'est pas pour autant que je suis bloquée ici pour le restant de mes jours. Et j'ai l'impression que mon mental se dit, non, mais en fait, on ne peut pas, parce que peut-être que ce n'est pas la bonne solution, peut-être qu'il y a mieux, etc. Donc, je me suis vraiment souvenu que si un jour, je ressens que ce n'est plus aligné pour moi ou que ça ne me convient pas, je peux tout simplement choisir de partir ailleurs. J'aime bien cette expression qui dit, si quelque chose ne te convient pas, bouge, tu n'es pas un arbre. Donc tu vois, j'ai vite compris que dans la vie, si je teste pas les choses, en fait, je saurais pas si ça me correspond ou non. D'où l'importance d'oser. Parce qu'au final, qu'est-ce qui est le plus risqué ? Est-ce que c'est de tester quelque chose et se rendre compte qu'on peut modifier son chemin, réajuster, clarifier ce qu'on veut, ou alors rester immobile et ne jamais savoir ce qui aurait été réellement possible et tout simplement vivre ? D'ailleurs, j'aime trop imager ça avec la métaphore du jeu vidéo. Dans un jeu vidéo... Si tu restes immobile, il ne se passe rien. On est d'accord. Tu peux rester là, figé, à contempler le décor, mais tu ne progresses pas en fait. Pour avancer, tu n'as pas le choix que de jouer, appuyer sur les boutons, faire des actions. Et en jouant, oui, parfois tu vas perdre des vies, parfois tu vas devoir recommencer un niveau, tu vas devoir tout recommencer. Mais à chaque partie, quoi qu'il en soit, tu vas apprendre, tu vas progresser, tu vas aller plus loin. Tu ne recommences jamais en fait à zéro. La vie, c'est exactement pareil. Et... Et j'aime trop d'ailleurs cette phrase qui dit c'est en te plantant que tu finis par pousser. Donc l'idée c'est vraiment que tu reprennes les commandes de ta vie, que tu oses jouer. Pour terminer cet épisode avec un maximum de valeur, j'aimerais te partager un truc super puissant que j'ai lu dans un livre l'autre jour. Imagine que tu es à la fin de ta vie. C'est ton dernier jour sur Terre. Tes réalisations sont l'histoire ancienne. T'as plus le temps de rien faire, plus le temps pour évoluer ou poursuivre des objectifs. Imagine-toi, t'es peut-être installé dans un fauteuil confortable, ou peut-être avec tes cannes ou ton rollator. Et maintenant imagine que dans l'espace où tu es, dans la pièce, ou qu'importe, entre la version de toi qui a osé, qui a tout donné, qui a vécu à fond, cette personne que tu aurais pu devenir, qui a exploité tout son potentiel. Sans grande surprise, tu as le sentiment de... connaître cette personne depuis toujours et tu te sens complètement à l'aise face à elle. Vous commencez à bavarder un peu, suffisamment pour avoir une idée de ce à quoi ressemble la version idéale de toi-même, son état d'esprit, ses réussites, ses contributions et son niveau d'épanouissement. Vraiment, cette version de toi, elle a vécu son existence à fond. Elle a donné tout ce qu'elle avait, elle en a récolté les fruits. Et elles se sont vraiment fières, profondément reconnaissantes, en paix. La question à te poser maintenant, c'est sur la base de la trajectoire que tu suis actuellement. Est-ce que tu estimes que ces deux versions de toi-même sont plutôt similaires ou alors aux antipodes l'une de l'autre ? Je sais que c'est une question difficile, mais si tu es honnête avec toi-même, c'est un excellent moyen d'évaluer si tu es en train de vivre ta vie complètement, pleinement. aligné à tes valeurs ou si tu es en train de suivre un chemin qui n'est pas le tien et de passer à côté de ta vie. Je pense que l'une des choses les plus tristes est de vivre ton existence en sachant que tu te donnes pas les moyens pour réaliser tes rêves, en sachant que tu fais pas tout ce qui est en ton pouvoir pour être épanoui et je pense que la plupart d'entre nous malheureusement tombent dans ce piège. Et ce que j'aimerais te rappeler avec cet épisode c'est qu'on n'a qu'une seule vie et ce serait vraiment trop dommage de la vivre à moitié. juste parce qu'on a peur et surtout parce qu'on laisse ces peurs nous dominer. Tu veux changer de job ? Fais-le. Tu veux partir voyager ? Pars. Tu veux te lancer dans un projet qui te tient à cœur ? Ose. Il n'y a pas de bon moment. Le bon moment, c'est celui que tu choisis. Et si tu as besoin d'être accompagné sur ce chemin, n'oublie pas que tu n'es pas seul et que tu as le droit de t'entourer. J'espère que cet épisode t'aura plu. Si tu l'écoutes sur Spotify ou Apple Podcast, n'hésite pas à mettre un... Petit commentaire juste en dessous, je me ferai un énorme plaisir de te lire. Je te fais plein de gros bisous et je te dis à la semaine prochaine pour un tout nouvel épisode du podcast Grandiose. Merci d'avoir écouté cet épisode. Pour encore plus de contenu ou pour interagir avec moi, rejoins-moi sur les réseaux sociaux. Au fond de la description de cet épisode, tu trouveras un arbre à lien qui te redirigera vers mes réseaux sociaux, des ressources gratuites ainsi que mes accompagnements si tu désires travailler avec moi. Et comme d'habitude, si tu as apprécié cet épisode et que tu sens qu'il pourrait aider d'autres personnes de ton entourage, je t'invite à le partager autour de toi et à lui donner la note qu'il mérite sur Spotify ou sur Apple Podcast. Car je te rappelle que si le podcast évolue, c'est surtout grâce à toi. Je te remercie infiniment si tu prends quelques secondes pour le faire. Ta contribution a énormément de valeur pour moi. Je te souhaite une merveilleuse journée, soirée, nuit, où que tu sois et quelle que soit l'heure à laquelle tu m'écoutes. Bisous bisous !

Description

Les 3 grandes peurs qui empêchent de vivre pleinement

Et si tes peurs t’empêchaient de vivre la vie que tu mérites ?


On rêve tous d’une vie alignée et épanouissante… mais qu’est-ce qui nous bloque réellement ? Dans cet épisode, on explore les 3 grandes peurs qui nous freinent et comment s’en libérer pour OSER enfin vivre pleinement.


💡 Au programme :


La peur de l’échec : Et si se tromper était en réalité une étape vers la réussite ?
La peur du regard des autres : Comment arrêter de se brider par peur du jugement ?
La peur de manquer : Ce mythe qui nous pousse à la sécurité au détriment de nos rêves.


Tu repars avec des clés concrètes pour dépasser tes blocages et oser passer à l’action.


Ne laisse plus tes peurs décider à ta place. Écoute l’épisode maintenant !


Are you ready ? Mets-toi dans ta bulle et c'est parti ! 🎧 


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    Coucou, bienvenue sur le podcast grandiose, le podcast qui t'aide à grandir et oser prendre ta place. Je suis Vanessa, une femme en quête de croissance personnelle, explorant la puissance et la profondeur de l'amour de soi. En tant que coach holistique, j'accompagne les femmes qui manquent de confiance et d'estime. à se reconnecter à elles-mêmes en se réconciliant avec leur corps, leur mental et leurs émotions. Si toi aussi tu désires éveiller ta conscience, augmenter ton estime de toi et surtout vivre une vie plus sereine, tu es au bon endroit. Sur ce podcast, je te partage mes prises de conscience et mes expériences avec authenticité. Mon but est que tu aies des outils concrets pour booster ta confiance en toi, t'accepter tel que tu es pour redevenir ta propre meilleure amie et la chef de ta vie. Je me réjouis de partager ce nouvel épisode avec toi. Are you ready ? Mets-toi dans ta bulle et c'est parti ! Coucou et bienvenue à toi dans ce tout nouvel épisode du podcast Grandiose. J'espère que tu vas bien à l'heure où tu m'écoutes. Aujourd'hui, j'avais envie de venir te parler d'un sujet qui revient beaucoup autour de moi et qui d'ailleurs moi-même m'a pas mal fait tourner en boucle dans ma tête à une certaine époque. C'est comment oser. Comment oser en fait pour ne pas passer à côté de sa vie. Finalement, c'est exactement l'esprit de mon podcast Grandis, Ose. Grandir, évoluer et surtout oser. L'être humain est fait pour avoir des buts, pour avoir des rêves, pour avancer, pour grandir. Et si aujourd'hui tu ne fais rien pour concrétiser tes rêves, aller vers tes buts, vers ce qui te fait kiffer, eh bien il y a de fortes chances que tu as l'impression que ta vie n'a pas de sens, que tu passes à côté de ta vie. Alors déjà, pourquoi est-ce qu'on n'ose pas ? Qu'est-ce qui nous bloque vraiment ? Et surtout, comment changer tout ça sans se mettre une pression de dingue ? C'est justement ce qu'on va déconstruire ensemble. La première chose qui nous empêche d'agir, ce sont évidemment nos chères peurs. Ces peurs, il faut savoir qu'elles ne viennent pas de nulle part. Elles sont le résultat de plusieurs choses. Le conditionnement social déjà, ce qu'on nous a appris depuis notre enfance, à l'école, dans notre environnement. Les croyances familiales, ce qui a été inculqué mais aussi transmis de génération en génération, souvent inconsciemment. Et notre cerveau qui est... programmée pour éviter le danger. Et ce qui est intéressant dans tout ça, c'est qu'on pourrait croire que nos peurs sont complètement rationnelles, mais en réalité, elles sont en grande partie automatiques et instinctives. On a une partie du cerveau qui s'appelle le cerveau reptilien, peut-être que tu en as déjà entendu parler, c'est la partie la plus ancienne qui gère nos fonctions primaires, comme la survie, la protection, la peur. Et son rôle, c'est justement d'éviter le danger à tout prix. Ce qu'il faut savoir, c'est qu'à l'époque, préhistorique, cette peur était essentielle parce qu'elle permettait d'éviter des dangers réels comme le risque de se faire attaquer par un prédateur en pleine nature. C'était vraiment une question de vie ou de mort. Aujourd'hui, ce danger n'existe plus. En théorie, il n'y a pas de tigre prêt à nous bondir dessus si on ose tout d'un coup sortir de notre zone de confort. Et pourtant, notre cerveau, lui, il fonctionne toujours de la même manière. Il continue d'interpréter toute situation inconnue comme étant une menace. Et ça, même si le risque réel est bien moins grand que ce qu'il n'était à l'époque. Résultat, il va tout faire pour nous maintenir dans ce qui est connu, même si ce connu ne nous rend pas heureux, heureuse. Et alors comme tu l'as compris, aujourd'hui le danger ne vient plus d'un prédateur, mais il prend d'autres formes comme par exemple changer de travail, oser parler en public, commencer une nouvelle relation, se lancer dans un projet qui nous tient à cœur, toute chose nouvelle, toute chose qu'on n'a pas l'habitude de faire, toute chose inconnue, toute chose qui nous a déjà blessés. Pour le cerveau reptilien, il y a une règle très simple. Changement est égal à inconnu est égal risque est égal danger. Ajoute à ça le conditionnement social, les peurs transmises par la famille et tu comprends bien évidemment pourquoi ça coince. Imagine si dans ta lignée, on t'a toujours répété qu'il fallait avoir un CDI pour être en sécurité, que prendre des risques c'était dangereux, qu'il fallait assurer ses arrières avant de faire quoi que ce soit. Alors forcément, c'est encore plus difficile de dépasser tes peurs. Et tout ça, comme je l'ai dit tout à l'heure, c'est même pas. conscients. C'est souvent des schémas qui se transmettent, qui sont ancrés et qui nous maintiennent dans une vie qui ne nous correspond pas vraiment. Alors la bonne nouvelle, c'est que ça se reprogramme et que je suis là pour t'aider. Mais clairement, la peur de l'échec, c'est une des plus grandes raisons pour lesquelles on n'ose pas. On nous l'a toujours présenté d'ailleurs comme quelque chose à éviter à tout prix. Dans notre société, depuis qu'on est petit, on nous a appris à éviter l'échec à tout prix à l'école. Fallait avoir les bonnes réponses, fallait avoir les bonnes notes, bien faire les choses du pire. premier coup, un mauvais résultat, c'était sanctionné, on nous faisait comprendre que l'erreur était une mauvaise chose tout simplement. Mais si on regarde bien en fait, c'est je trouve assez nul comme état d'esprit parce que dans la vie, l'échec est une étape indispensable à tout apprentissage. Regarde quand un bébé apprend à marcher. combien de fois ils tombent avant d'y arriver ? Est-ce que tu penses que le bébé se dit « Ah mais non, c'est pas possible, ça fait trois fois que je tombe, la marche c'est vraiment pas fait pour moi » . Eh ben non, il continue encore et encore jusqu'à réussir à marcher. Et malgré ça, tu vois, en grandissant, on développe cette peur d'échouer. Pourtant, si on observe les plus grandes réussites, elles sont presque toutes passées par des échecs majeurs avant d'en arriver là où elles sont aujourd'hui. Dans certains pays, l'échec est valorisé, il est vu comme un passage obligé. Au Japon, par exemple, il y a la philosophie du Kaizen qui repose sur l'amélioration continue. L'échec fait partie du processus. Il y a tellement d'exemples de personnes hyper connues aujourd'hui qui ont passé par des gros échecs. Prenons l'exemple de J.K. Rowling, l'autrice d'Harry Potter. Avant d'être publiée, elle a reçu 12 refus d'éditeur. Elle aurait pu abandonner tellement de fois. Un autre exemple, c'est Oprah Winfrey qui s'est fait virer de son propre job à la télé parce qu'on lui disait qu'elle n'avait pas le bon profil. Et aujourd'hui, c'est l'une des femmes les plus influentes du monde. Aux Etats-Unis, il faut savoir que la vision d'échec est totalement différente de celle qu'on a en Suisse, en France ou en Europe en général. Là-bas, l'échec, c'est vraiment considéré comme une preuve de prise de risque et d'expérience. Dans la Silicon Valley, d'ailleurs, il est même courant d'afficher ses échecs sur son CV parce que ça montre qu'on a appris, qu'on a tenté, qu'on a osé. Et il existe même une expression qui dit « fail fast, fail often » . Désolée pour mon anglais. L'idée, c'est que... Plus tu échoues vite, plus tu apprends vite et plus tu t'améliores rapidement. Donc finalement, l'échec, ce n'est pas un problème, c'est un passage obligé. Et qui dit passage, dit que ce n'est pas une fin. C'est juste le début de quelque chose d'autre. Imagine même si je te disais que l'échec n'existait pas vraiment et que c'était juste un concept qu'on nous a foutu dans la tête. Perso, aujourd'hui, comme tu le sais, moi je préfère vraiment voir l'échec comme une expérience et ça m'aide vraiment à... agir malgré la peur. Ça m'aide à agir malgré le résultat. Après, il faut savoir que derrière cette peur aussi de l'échec, il y a aussi très souvent un manque de confiance en soi. Et le piège qu'il y a là-dedans, c'est qu'on attend d'avoir confiance pour agir. Mais si tu as écouté mes épisodes sur la confiance en soi, c'est clairement un cercle vicieux parce que tout simplement, c'est l'action qui génère la confiance en toi. Donc si tu attends d'avoir confiance en toi pour agir, tu peux attendre longtemps parce que la confiance en soi ne tombe pas du ciel. Elle se construit en avançant, en testant, en osant. Passons maintenant à un autre blocage énorme qui nous empêche d'oser. C'est la peur d'être jugé. On vit dans une société où on cherche en permanence l'approbation des autres. Mais au final, ce besoin d'approbation, c'est aussi un cercle vicieux. Et la vérité, c'est que tout le monde juge, y compris nous. Et en fait, quand tu juges quelqu'un, c'est souvent une... projection de tes propres insécurités, de tes propres peurs et quand quelqu'un te juge, c'est la projection de ses propres insécurités. Donc au final, on s'en fout. Surtout qu'en vrai de vrai, les gens sont bien trop préoccupés à se juger eux-mêmes pour passer leur temps à te juger toi. Tout comme toi, tu es bien trop préoccupé par te juger toi-même. Donc si on résume, tu seras jugé quoi qu'il arrive. Les autres sont trop occupés à se juger eux-mêmes. Et pour terminer, le seul avis qui compte, c'est le tien. Il y a une autre peur aussi dont on parle moins, mais que j'ai vraiment envie d'aborder, parce que clairement, elle bloque énormément de gens, c'est la peur de manquer. D'ailleurs, si on y réfléchit, cette peur est vraiment très ancrée dans notre inconscient collectif. On nous a toujours appris qu'il fallait sécuriser notre avenir, qu'il était risqué de quitter un emploi stable, qu'il valait mieux ne pas prendre trop de risques. Et forcément, ça nous conditionne à éviter l'inconnu. Comme je t'ai dit avant, le cerveau essaie de nous protéger. Donc ce qui se passe, c'est qu'il va... toujours dramatiser les situations. Ils pensent toujours au pire alors qu'en réalité il y a toujours des solutions. Dans 99% des cas, avant de finir à la rue, il y a toujours un plan B. Nos peurs sont rarement justifiées et on peut clairement les remettre en doute. Et même si ce pire arrivait, finalement on doit juste le voir comme étant une étape de plus sur notre chemin parce que, souviens-toi, l'échec n'est rien d'autre qu'une opportunité déguisée. Aussi inconfortable soit-il sur le moment, c'est une chance de se réajuster de tout. tirer des leçons, repartir encore plus forte. Et il y a un autre truc qui met aussi une pression énorme quand on doit faire un choix, quand on doit oser, c'est de penser justement qu'un choix est irréversible. Alors bon, ok, il y a certains qui le sont, comme par exemple décider d'avoir un enfant. Et pourtant, le plus fou dans cette histoire, c'est que pour ça, la plupart des gens ne réfléchissent même pas. Mais bref, c'est un autre sujet. Quoi qu'il en soit, cette pression de faire le bon choix, je trouve que ça nous freine beaucoup aussi parce qu'on a cette croyance que Ausha sont gravés dans le marbre qu'une fois qu'on a pris une décision, on doit s'y tenir coûte que coûte alors qu'en fait, pas du tout. C'est pas parce qu'on s'engage dans une direction qu'on est coincé pour la vie. La réalité, c'est que rien n'est figé. C'est nous qui nous enfermons tout seuls, c'est nous qui nous emprisonnons et qui nous empêchons d'être libres. Mais c'est qu'une perception. En vrai, si demain tu changes d'avis, tu peux ajuster, tu peux changer de chemin, c'est complètement OK. J'ai vécu ça justement au mois de janvier quand je suis arrivée en Espagne avec plein d'attentes, comme je le racontais dans l'épisode précédent. Et je me mettais en fait une pression de malade en mode « Oh my God, est-ce que je me vois vraiment ici ? Est-ce que c'est vraiment là que je veux déménager ? » peut-être que je dois aller ailleurs. Et en fait, j'ai juste respiré un bon coup en me rappelant que ce que je veux, c'est vivre cette expérience, mais que ce n'est pas pour autant que je suis bloquée ici pour le restant de mes jours. Et j'ai l'impression que mon mental se dit, non, mais en fait, on ne peut pas, parce que peut-être que ce n'est pas la bonne solution, peut-être qu'il y a mieux, etc. Donc, je me suis vraiment souvenu que si un jour, je ressens que ce n'est plus aligné pour moi ou que ça ne me convient pas, je peux tout simplement choisir de partir ailleurs. J'aime bien cette expression qui dit, si quelque chose ne te convient pas, bouge, tu n'es pas un arbre. Donc tu vois, j'ai vite compris que dans la vie, si je teste pas les choses, en fait, je saurais pas si ça me correspond ou non. D'où l'importance d'oser. Parce qu'au final, qu'est-ce qui est le plus risqué ? Est-ce que c'est de tester quelque chose et se rendre compte qu'on peut modifier son chemin, réajuster, clarifier ce qu'on veut, ou alors rester immobile et ne jamais savoir ce qui aurait été réellement possible et tout simplement vivre ? D'ailleurs, j'aime trop imager ça avec la métaphore du jeu vidéo. Dans un jeu vidéo... Si tu restes immobile, il ne se passe rien. On est d'accord. Tu peux rester là, figé, à contempler le décor, mais tu ne progresses pas en fait. Pour avancer, tu n'as pas le choix que de jouer, appuyer sur les boutons, faire des actions. Et en jouant, oui, parfois tu vas perdre des vies, parfois tu vas devoir recommencer un niveau, tu vas devoir tout recommencer. Mais à chaque partie, quoi qu'il en soit, tu vas apprendre, tu vas progresser, tu vas aller plus loin. Tu ne recommences jamais en fait à zéro. La vie, c'est exactement pareil. Et... Et j'aime trop d'ailleurs cette phrase qui dit c'est en te plantant que tu finis par pousser. Donc l'idée c'est vraiment que tu reprennes les commandes de ta vie, que tu oses jouer. Pour terminer cet épisode avec un maximum de valeur, j'aimerais te partager un truc super puissant que j'ai lu dans un livre l'autre jour. Imagine que tu es à la fin de ta vie. C'est ton dernier jour sur Terre. Tes réalisations sont l'histoire ancienne. T'as plus le temps de rien faire, plus le temps pour évoluer ou poursuivre des objectifs. Imagine-toi, t'es peut-être installé dans un fauteuil confortable, ou peut-être avec tes cannes ou ton rollator. Et maintenant imagine que dans l'espace où tu es, dans la pièce, ou qu'importe, entre la version de toi qui a osé, qui a tout donné, qui a vécu à fond, cette personne que tu aurais pu devenir, qui a exploité tout son potentiel. Sans grande surprise, tu as le sentiment de... connaître cette personne depuis toujours et tu te sens complètement à l'aise face à elle. Vous commencez à bavarder un peu, suffisamment pour avoir une idée de ce à quoi ressemble la version idéale de toi-même, son état d'esprit, ses réussites, ses contributions et son niveau d'épanouissement. Vraiment, cette version de toi, elle a vécu son existence à fond. Elle a donné tout ce qu'elle avait, elle en a récolté les fruits. Et elles se sont vraiment fières, profondément reconnaissantes, en paix. La question à te poser maintenant, c'est sur la base de la trajectoire que tu suis actuellement. Est-ce que tu estimes que ces deux versions de toi-même sont plutôt similaires ou alors aux antipodes l'une de l'autre ? Je sais que c'est une question difficile, mais si tu es honnête avec toi-même, c'est un excellent moyen d'évaluer si tu es en train de vivre ta vie complètement, pleinement. aligné à tes valeurs ou si tu es en train de suivre un chemin qui n'est pas le tien et de passer à côté de ta vie. Je pense que l'une des choses les plus tristes est de vivre ton existence en sachant que tu te donnes pas les moyens pour réaliser tes rêves, en sachant que tu fais pas tout ce qui est en ton pouvoir pour être épanoui et je pense que la plupart d'entre nous malheureusement tombent dans ce piège. Et ce que j'aimerais te rappeler avec cet épisode c'est qu'on n'a qu'une seule vie et ce serait vraiment trop dommage de la vivre à moitié. juste parce qu'on a peur et surtout parce qu'on laisse ces peurs nous dominer. Tu veux changer de job ? Fais-le. Tu veux partir voyager ? Pars. Tu veux te lancer dans un projet qui te tient à cœur ? Ose. Il n'y a pas de bon moment. Le bon moment, c'est celui que tu choisis. Et si tu as besoin d'être accompagné sur ce chemin, n'oublie pas que tu n'es pas seul et que tu as le droit de t'entourer. J'espère que cet épisode t'aura plu. Si tu l'écoutes sur Spotify ou Apple Podcast, n'hésite pas à mettre un... Petit commentaire juste en dessous, je me ferai un énorme plaisir de te lire. Je te fais plein de gros bisous et je te dis à la semaine prochaine pour un tout nouvel épisode du podcast Grandiose. Merci d'avoir écouté cet épisode. Pour encore plus de contenu ou pour interagir avec moi, rejoins-moi sur les réseaux sociaux. Au fond de la description de cet épisode, tu trouveras un arbre à lien qui te redirigera vers mes réseaux sociaux, des ressources gratuites ainsi que mes accompagnements si tu désires travailler avec moi. Et comme d'habitude, si tu as apprécié cet épisode et que tu sens qu'il pourrait aider d'autres personnes de ton entourage, je t'invite à le partager autour de toi et à lui donner la note qu'il mérite sur Spotify ou sur Apple Podcast. Car je te rappelle que si le podcast évolue, c'est surtout grâce à toi. Je te remercie infiniment si tu prends quelques secondes pour le faire. Ta contribution a énormément de valeur pour moi. Je te souhaite une merveilleuse journée, soirée, nuit, où que tu sois et quelle que soit l'heure à laquelle tu m'écoutes. Bisous bisous !

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Description

Les 3 grandes peurs qui empêchent de vivre pleinement

Et si tes peurs t’empêchaient de vivre la vie que tu mérites ?


On rêve tous d’une vie alignée et épanouissante… mais qu’est-ce qui nous bloque réellement ? Dans cet épisode, on explore les 3 grandes peurs qui nous freinent et comment s’en libérer pour OSER enfin vivre pleinement.


💡 Au programme :


La peur de l’échec : Et si se tromper était en réalité une étape vers la réussite ?
La peur du regard des autres : Comment arrêter de se brider par peur du jugement ?
La peur de manquer : Ce mythe qui nous pousse à la sécurité au détriment de nos rêves.


Tu repars avec des clés concrètes pour dépasser tes blocages et oser passer à l’action.


Ne laisse plus tes peurs décider à ta place. Écoute l’épisode maintenant !


Are you ready ? Mets-toi dans ta bulle et c'est parti ! 🎧 


__________________________________________



❤️ Si cet épisode t'a plu et que tu sens qu'il pourrait aider d'autres femmes de ton entourage, je t'invite à le partager autour de toi et à le noter avec la note de ton choix car si le podcast évolue, c'est surtout grâce à TOI ! MERCI ❤️ 



↓ Ressources gratuites, mes réseaux sociaux, mes offres ↓


⊹ Télécharge tes 32 affirmations offertes à découper : www.biendanstoncorps.fr/affirmations

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⊹ Commande ton jeu de cartes ''Ressouces Intérieures'' : https://www.biendanstoncorps.fr/oracle

⊹ Mon site : www.biendanstoncorps.fr


Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

Transcription

  • Speaker #0

    Coucou, bienvenue sur le podcast grandiose, le podcast qui t'aide à grandir et oser prendre ta place. Je suis Vanessa, une femme en quête de croissance personnelle, explorant la puissance et la profondeur de l'amour de soi. En tant que coach holistique, j'accompagne les femmes qui manquent de confiance et d'estime. à se reconnecter à elles-mêmes en se réconciliant avec leur corps, leur mental et leurs émotions. Si toi aussi tu désires éveiller ta conscience, augmenter ton estime de toi et surtout vivre une vie plus sereine, tu es au bon endroit. Sur ce podcast, je te partage mes prises de conscience et mes expériences avec authenticité. Mon but est que tu aies des outils concrets pour booster ta confiance en toi, t'accepter tel que tu es pour redevenir ta propre meilleure amie et la chef de ta vie. Je me réjouis de partager ce nouvel épisode avec toi. Are you ready ? Mets-toi dans ta bulle et c'est parti ! Coucou et bienvenue à toi dans ce tout nouvel épisode du podcast Grandiose. J'espère que tu vas bien à l'heure où tu m'écoutes. Aujourd'hui, j'avais envie de venir te parler d'un sujet qui revient beaucoup autour de moi et qui d'ailleurs moi-même m'a pas mal fait tourner en boucle dans ma tête à une certaine époque. C'est comment oser. Comment oser en fait pour ne pas passer à côté de sa vie. Finalement, c'est exactement l'esprit de mon podcast Grandis, Ose. Grandir, évoluer et surtout oser. L'être humain est fait pour avoir des buts, pour avoir des rêves, pour avancer, pour grandir. Et si aujourd'hui tu ne fais rien pour concrétiser tes rêves, aller vers tes buts, vers ce qui te fait kiffer, eh bien il y a de fortes chances que tu as l'impression que ta vie n'a pas de sens, que tu passes à côté de ta vie. Alors déjà, pourquoi est-ce qu'on n'ose pas ? Qu'est-ce qui nous bloque vraiment ? Et surtout, comment changer tout ça sans se mettre une pression de dingue ? C'est justement ce qu'on va déconstruire ensemble. La première chose qui nous empêche d'agir, ce sont évidemment nos chères peurs. Ces peurs, il faut savoir qu'elles ne viennent pas de nulle part. Elles sont le résultat de plusieurs choses. Le conditionnement social déjà, ce qu'on nous a appris depuis notre enfance, à l'école, dans notre environnement. Les croyances familiales, ce qui a été inculqué mais aussi transmis de génération en génération, souvent inconsciemment. Et notre cerveau qui est... programmée pour éviter le danger. Et ce qui est intéressant dans tout ça, c'est qu'on pourrait croire que nos peurs sont complètement rationnelles, mais en réalité, elles sont en grande partie automatiques et instinctives. On a une partie du cerveau qui s'appelle le cerveau reptilien, peut-être que tu en as déjà entendu parler, c'est la partie la plus ancienne qui gère nos fonctions primaires, comme la survie, la protection, la peur. Et son rôle, c'est justement d'éviter le danger à tout prix. Ce qu'il faut savoir, c'est qu'à l'époque, préhistorique, cette peur était essentielle parce qu'elle permettait d'éviter des dangers réels comme le risque de se faire attaquer par un prédateur en pleine nature. C'était vraiment une question de vie ou de mort. Aujourd'hui, ce danger n'existe plus. En théorie, il n'y a pas de tigre prêt à nous bondir dessus si on ose tout d'un coup sortir de notre zone de confort. Et pourtant, notre cerveau, lui, il fonctionne toujours de la même manière. Il continue d'interpréter toute situation inconnue comme étant une menace. Et ça, même si le risque réel est bien moins grand que ce qu'il n'était à l'époque. Résultat, il va tout faire pour nous maintenir dans ce qui est connu, même si ce connu ne nous rend pas heureux, heureuse. Et alors comme tu l'as compris, aujourd'hui le danger ne vient plus d'un prédateur, mais il prend d'autres formes comme par exemple changer de travail, oser parler en public, commencer une nouvelle relation, se lancer dans un projet qui nous tient à cœur, toute chose nouvelle, toute chose qu'on n'a pas l'habitude de faire, toute chose inconnue, toute chose qui nous a déjà blessés. Pour le cerveau reptilien, il y a une règle très simple. Changement est égal à inconnu est égal risque est égal danger. Ajoute à ça le conditionnement social, les peurs transmises par la famille et tu comprends bien évidemment pourquoi ça coince. Imagine si dans ta lignée, on t'a toujours répété qu'il fallait avoir un CDI pour être en sécurité, que prendre des risques c'était dangereux, qu'il fallait assurer ses arrières avant de faire quoi que ce soit. Alors forcément, c'est encore plus difficile de dépasser tes peurs. Et tout ça, comme je l'ai dit tout à l'heure, c'est même pas. conscients. C'est souvent des schémas qui se transmettent, qui sont ancrés et qui nous maintiennent dans une vie qui ne nous correspond pas vraiment. Alors la bonne nouvelle, c'est que ça se reprogramme et que je suis là pour t'aider. Mais clairement, la peur de l'échec, c'est une des plus grandes raisons pour lesquelles on n'ose pas. On nous l'a toujours présenté d'ailleurs comme quelque chose à éviter à tout prix. Dans notre société, depuis qu'on est petit, on nous a appris à éviter l'échec à tout prix à l'école. Fallait avoir les bonnes réponses, fallait avoir les bonnes notes, bien faire les choses du pire. premier coup, un mauvais résultat, c'était sanctionné, on nous faisait comprendre que l'erreur était une mauvaise chose tout simplement. Mais si on regarde bien en fait, c'est je trouve assez nul comme état d'esprit parce que dans la vie, l'échec est une étape indispensable à tout apprentissage. Regarde quand un bébé apprend à marcher. combien de fois ils tombent avant d'y arriver ? Est-ce que tu penses que le bébé se dit « Ah mais non, c'est pas possible, ça fait trois fois que je tombe, la marche c'est vraiment pas fait pour moi » . Eh ben non, il continue encore et encore jusqu'à réussir à marcher. Et malgré ça, tu vois, en grandissant, on développe cette peur d'échouer. Pourtant, si on observe les plus grandes réussites, elles sont presque toutes passées par des échecs majeurs avant d'en arriver là où elles sont aujourd'hui. Dans certains pays, l'échec est valorisé, il est vu comme un passage obligé. Au Japon, par exemple, il y a la philosophie du Kaizen qui repose sur l'amélioration continue. L'échec fait partie du processus. Il y a tellement d'exemples de personnes hyper connues aujourd'hui qui ont passé par des gros échecs. Prenons l'exemple de J.K. Rowling, l'autrice d'Harry Potter. Avant d'être publiée, elle a reçu 12 refus d'éditeur. Elle aurait pu abandonner tellement de fois. Un autre exemple, c'est Oprah Winfrey qui s'est fait virer de son propre job à la télé parce qu'on lui disait qu'elle n'avait pas le bon profil. Et aujourd'hui, c'est l'une des femmes les plus influentes du monde. Aux Etats-Unis, il faut savoir que la vision d'échec est totalement différente de celle qu'on a en Suisse, en France ou en Europe en général. Là-bas, l'échec, c'est vraiment considéré comme une preuve de prise de risque et d'expérience. Dans la Silicon Valley, d'ailleurs, il est même courant d'afficher ses échecs sur son CV parce que ça montre qu'on a appris, qu'on a tenté, qu'on a osé. Et il existe même une expression qui dit « fail fast, fail often » . Désolée pour mon anglais. L'idée, c'est que... Plus tu échoues vite, plus tu apprends vite et plus tu t'améliores rapidement. Donc finalement, l'échec, ce n'est pas un problème, c'est un passage obligé. Et qui dit passage, dit que ce n'est pas une fin. C'est juste le début de quelque chose d'autre. Imagine même si je te disais que l'échec n'existait pas vraiment et que c'était juste un concept qu'on nous a foutu dans la tête. Perso, aujourd'hui, comme tu le sais, moi je préfère vraiment voir l'échec comme une expérience et ça m'aide vraiment à... agir malgré la peur. Ça m'aide à agir malgré le résultat. Après, il faut savoir que derrière cette peur aussi de l'échec, il y a aussi très souvent un manque de confiance en soi. Et le piège qu'il y a là-dedans, c'est qu'on attend d'avoir confiance pour agir. Mais si tu as écouté mes épisodes sur la confiance en soi, c'est clairement un cercle vicieux parce que tout simplement, c'est l'action qui génère la confiance en toi. Donc si tu attends d'avoir confiance en toi pour agir, tu peux attendre longtemps parce que la confiance en soi ne tombe pas du ciel. Elle se construit en avançant, en testant, en osant. Passons maintenant à un autre blocage énorme qui nous empêche d'oser. C'est la peur d'être jugé. On vit dans une société où on cherche en permanence l'approbation des autres. Mais au final, ce besoin d'approbation, c'est aussi un cercle vicieux. Et la vérité, c'est que tout le monde juge, y compris nous. Et en fait, quand tu juges quelqu'un, c'est souvent une... projection de tes propres insécurités, de tes propres peurs et quand quelqu'un te juge, c'est la projection de ses propres insécurités. Donc au final, on s'en fout. Surtout qu'en vrai de vrai, les gens sont bien trop préoccupés à se juger eux-mêmes pour passer leur temps à te juger toi. Tout comme toi, tu es bien trop préoccupé par te juger toi-même. Donc si on résume, tu seras jugé quoi qu'il arrive. Les autres sont trop occupés à se juger eux-mêmes. Et pour terminer, le seul avis qui compte, c'est le tien. Il y a une autre peur aussi dont on parle moins, mais que j'ai vraiment envie d'aborder, parce que clairement, elle bloque énormément de gens, c'est la peur de manquer. D'ailleurs, si on y réfléchit, cette peur est vraiment très ancrée dans notre inconscient collectif. On nous a toujours appris qu'il fallait sécuriser notre avenir, qu'il était risqué de quitter un emploi stable, qu'il valait mieux ne pas prendre trop de risques. Et forcément, ça nous conditionne à éviter l'inconnu. Comme je t'ai dit avant, le cerveau essaie de nous protéger. Donc ce qui se passe, c'est qu'il va... toujours dramatiser les situations. Ils pensent toujours au pire alors qu'en réalité il y a toujours des solutions. Dans 99% des cas, avant de finir à la rue, il y a toujours un plan B. Nos peurs sont rarement justifiées et on peut clairement les remettre en doute. Et même si ce pire arrivait, finalement on doit juste le voir comme étant une étape de plus sur notre chemin parce que, souviens-toi, l'échec n'est rien d'autre qu'une opportunité déguisée. Aussi inconfortable soit-il sur le moment, c'est une chance de se réajuster de tout. tirer des leçons, repartir encore plus forte. Et il y a un autre truc qui met aussi une pression énorme quand on doit faire un choix, quand on doit oser, c'est de penser justement qu'un choix est irréversible. Alors bon, ok, il y a certains qui le sont, comme par exemple décider d'avoir un enfant. Et pourtant, le plus fou dans cette histoire, c'est que pour ça, la plupart des gens ne réfléchissent même pas. Mais bref, c'est un autre sujet. Quoi qu'il en soit, cette pression de faire le bon choix, je trouve que ça nous freine beaucoup aussi parce qu'on a cette croyance que Ausha sont gravés dans le marbre qu'une fois qu'on a pris une décision, on doit s'y tenir coûte que coûte alors qu'en fait, pas du tout. C'est pas parce qu'on s'engage dans une direction qu'on est coincé pour la vie. La réalité, c'est que rien n'est figé. C'est nous qui nous enfermons tout seuls, c'est nous qui nous emprisonnons et qui nous empêchons d'être libres. Mais c'est qu'une perception. En vrai, si demain tu changes d'avis, tu peux ajuster, tu peux changer de chemin, c'est complètement OK. J'ai vécu ça justement au mois de janvier quand je suis arrivée en Espagne avec plein d'attentes, comme je le racontais dans l'épisode précédent. Et je me mettais en fait une pression de malade en mode « Oh my God, est-ce que je me vois vraiment ici ? Est-ce que c'est vraiment là que je veux déménager ? » peut-être que je dois aller ailleurs. Et en fait, j'ai juste respiré un bon coup en me rappelant que ce que je veux, c'est vivre cette expérience, mais que ce n'est pas pour autant que je suis bloquée ici pour le restant de mes jours. Et j'ai l'impression que mon mental se dit, non, mais en fait, on ne peut pas, parce que peut-être que ce n'est pas la bonne solution, peut-être qu'il y a mieux, etc. Donc, je me suis vraiment souvenu que si un jour, je ressens que ce n'est plus aligné pour moi ou que ça ne me convient pas, je peux tout simplement choisir de partir ailleurs. J'aime bien cette expression qui dit, si quelque chose ne te convient pas, bouge, tu n'es pas un arbre. Donc tu vois, j'ai vite compris que dans la vie, si je teste pas les choses, en fait, je saurais pas si ça me correspond ou non. D'où l'importance d'oser. Parce qu'au final, qu'est-ce qui est le plus risqué ? Est-ce que c'est de tester quelque chose et se rendre compte qu'on peut modifier son chemin, réajuster, clarifier ce qu'on veut, ou alors rester immobile et ne jamais savoir ce qui aurait été réellement possible et tout simplement vivre ? D'ailleurs, j'aime trop imager ça avec la métaphore du jeu vidéo. Dans un jeu vidéo... Si tu restes immobile, il ne se passe rien. On est d'accord. Tu peux rester là, figé, à contempler le décor, mais tu ne progresses pas en fait. Pour avancer, tu n'as pas le choix que de jouer, appuyer sur les boutons, faire des actions. Et en jouant, oui, parfois tu vas perdre des vies, parfois tu vas devoir recommencer un niveau, tu vas devoir tout recommencer. Mais à chaque partie, quoi qu'il en soit, tu vas apprendre, tu vas progresser, tu vas aller plus loin. Tu ne recommences jamais en fait à zéro. La vie, c'est exactement pareil. Et... Et j'aime trop d'ailleurs cette phrase qui dit c'est en te plantant que tu finis par pousser. Donc l'idée c'est vraiment que tu reprennes les commandes de ta vie, que tu oses jouer. Pour terminer cet épisode avec un maximum de valeur, j'aimerais te partager un truc super puissant que j'ai lu dans un livre l'autre jour. Imagine que tu es à la fin de ta vie. C'est ton dernier jour sur Terre. Tes réalisations sont l'histoire ancienne. T'as plus le temps de rien faire, plus le temps pour évoluer ou poursuivre des objectifs. Imagine-toi, t'es peut-être installé dans un fauteuil confortable, ou peut-être avec tes cannes ou ton rollator. Et maintenant imagine que dans l'espace où tu es, dans la pièce, ou qu'importe, entre la version de toi qui a osé, qui a tout donné, qui a vécu à fond, cette personne que tu aurais pu devenir, qui a exploité tout son potentiel. Sans grande surprise, tu as le sentiment de... connaître cette personne depuis toujours et tu te sens complètement à l'aise face à elle. Vous commencez à bavarder un peu, suffisamment pour avoir une idée de ce à quoi ressemble la version idéale de toi-même, son état d'esprit, ses réussites, ses contributions et son niveau d'épanouissement. Vraiment, cette version de toi, elle a vécu son existence à fond. Elle a donné tout ce qu'elle avait, elle en a récolté les fruits. Et elles se sont vraiment fières, profondément reconnaissantes, en paix. La question à te poser maintenant, c'est sur la base de la trajectoire que tu suis actuellement. Est-ce que tu estimes que ces deux versions de toi-même sont plutôt similaires ou alors aux antipodes l'une de l'autre ? Je sais que c'est une question difficile, mais si tu es honnête avec toi-même, c'est un excellent moyen d'évaluer si tu es en train de vivre ta vie complètement, pleinement. aligné à tes valeurs ou si tu es en train de suivre un chemin qui n'est pas le tien et de passer à côté de ta vie. Je pense que l'une des choses les plus tristes est de vivre ton existence en sachant que tu te donnes pas les moyens pour réaliser tes rêves, en sachant que tu fais pas tout ce qui est en ton pouvoir pour être épanoui et je pense que la plupart d'entre nous malheureusement tombent dans ce piège. Et ce que j'aimerais te rappeler avec cet épisode c'est qu'on n'a qu'une seule vie et ce serait vraiment trop dommage de la vivre à moitié. juste parce qu'on a peur et surtout parce qu'on laisse ces peurs nous dominer. Tu veux changer de job ? Fais-le. Tu veux partir voyager ? Pars. Tu veux te lancer dans un projet qui te tient à cœur ? Ose. Il n'y a pas de bon moment. Le bon moment, c'est celui que tu choisis. Et si tu as besoin d'être accompagné sur ce chemin, n'oublie pas que tu n'es pas seul et que tu as le droit de t'entourer. J'espère que cet épisode t'aura plu. Si tu l'écoutes sur Spotify ou Apple Podcast, n'hésite pas à mettre un... Petit commentaire juste en dessous, je me ferai un énorme plaisir de te lire. Je te fais plein de gros bisous et je te dis à la semaine prochaine pour un tout nouvel épisode du podcast Grandiose. Merci d'avoir écouté cet épisode. Pour encore plus de contenu ou pour interagir avec moi, rejoins-moi sur les réseaux sociaux. 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Les 3 grandes peurs qui empêchent de vivre pleinement

Et si tes peurs t’empêchaient de vivre la vie que tu mérites ?


On rêve tous d’une vie alignée et épanouissante… mais qu’est-ce qui nous bloque réellement ? Dans cet épisode, on explore les 3 grandes peurs qui nous freinent et comment s’en libérer pour OSER enfin vivre pleinement.


💡 Au programme :


La peur de l’échec : Et si se tromper était en réalité une étape vers la réussite ?
La peur du regard des autres : Comment arrêter de se brider par peur du jugement ?
La peur de manquer : Ce mythe qui nous pousse à la sécurité au détriment de nos rêves.


Tu repars avec des clés concrètes pour dépasser tes blocages et oser passer à l’action.


Ne laisse plus tes peurs décider à ta place. Écoute l’épisode maintenant !


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Transcription

  • Speaker #0

    Coucou, bienvenue sur le podcast grandiose, le podcast qui t'aide à grandir et oser prendre ta place. Je suis Vanessa, une femme en quête de croissance personnelle, explorant la puissance et la profondeur de l'amour de soi. En tant que coach holistique, j'accompagne les femmes qui manquent de confiance et d'estime. à se reconnecter à elles-mêmes en se réconciliant avec leur corps, leur mental et leurs émotions. Si toi aussi tu désires éveiller ta conscience, augmenter ton estime de toi et surtout vivre une vie plus sereine, tu es au bon endroit. Sur ce podcast, je te partage mes prises de conscience et mes expériences avec authenticité. Mon but est que tu aies des outils concrets pour booster ta confiance en toi, t'accepter tel que tu es pour redevenir ta propre meilleure amie et la chef de ta vie. Je me réjouis de partager ce nouvel épisode avec toi. Are you ready ? Mets-toi dans ta bulle et c'est parti ! Coucou et bienvenue à toi dans ce tout nouvel épisode du podcast Grandiose. J'espère que tu vas bien à l'heure où tu m'écoutes. Aujourd'hui, j'avais envie de venir te parler d'un sujet qui revient beaucoup autour de moi et qui d'ailleurs moi-même m'a pas mal fait tourner en boucle dans ma tête à une certaine époque. C'est comment oser. Comment oser en fait pour ne pas passer à côté de sa vie. Finalement, c'est exactement l'esprit de mon podcast Grandis, Ose. Grandir, évoluer et surtout oser. L'être humain est fait pour avoir des buts, pour avoir des rêves, pour avancer, pour grandir. Et si aujourd'hui tu ne fais rien pour concrétiser tes rêves, aller vers tes buts, vers ce qui te fait kiffer, eh bien il y a de fortes chances que tu as l'impression que ta vie n'a pas de sens, que tu passes à côté de ta vie. Alors déjà, pourquoi est-ce qu'on n'ose pas ? Qu'est-ce qui nous bloque vraiment ? Et surtout, comment changer tout ça sans se mettre une pression de dingue ? C'est justement ce qu'on va déconstruire ensemble. La première chose qui nous empêche d'agir, ce sont évidemment nos chères peurs. Ces peurs, il faut savoir qu'elles ne viennent pas de nulle part. Elles sont le résultat de plusieurs choses. Le conditionnement social déjà, ce qu'on nous a appris depuis notre enfance, à l'école, dans notre environnement. Les croyances familiales, ce qui a été inculqué mais aussi transmis de génération en génération, souvent inconsciemment. Et notre cerveau qui est... programmée pour éviter le danger. Et ce qui est intéressant dans tout ça, c'est qu'on pourrait croire que nos peurs sont complètement rationnelles, mais en réalité, elles sont en grande partie automatiques et instinctives. On a une partie du cerveau qui s'appelle le cerveau reptilien, peut-être que tu en as déjà entendu parler, c'est la partie la plus ancienne qui gère nos fonctions primaires, comme la survie, la protection, la peur. Et son rôle, c'est justement d'éviter le danger à tout prix. Ce qu'il faut savoir, c'est qu'à l'époque, préhistorique, cette peur était essentielle parce qu'elle permettait d'éviter des dangers réels comme le risque de se faire attaquer par un prédateur en pleine nature. C'était vraiment une question de vie ou de mort. Aujourd'hui, ce danger n'existe plus. En théorie, il n'y a pas de tigre prêt à nous bondir dessus si on ose tout d'un coup sortir de notre zone de confort. Et pourtant, notre cerveau, lui, il fonctionne toujours de la même manière. Il continue d'interpréter toute situation inconnue comme étant une menace. Et ça, même si le risque réel est bien moins grand que ce qu'il n'était à l'époque. Résultat, il va tout faire pour nous maintenir dans ce qui est connu, même si ce connu ne nous rend pas heureux, heureuse. Et alors comme tu l'as compris, aujourd'hui le danger ne vient plus d'un prédateur, mais il prend d'autres formes comme par exemple changer de travail, oser parler en public, commencer une nouvelle relation, se lancer dans un projet qui nous tient à cœur, toute chose nouvelle, toute chose qu'on n'a pas l'habitude de faire, toute chose inconnue, toute chose qui nous a déjà blessés. Pour le cerveau reptilien, il y a une règle très simple. Changement est égal à inconnu est égal risque est égal danger. Ajoute à ça le conditionnement social, les peurs transmises par la famille et tu comprends bien évidemment pourquoi ça coince. Imagine si dans ta lignée, on t'a toujours répété qu'il fallait avoir un CDI pour être en sécurité, que prendre des risques c'était dangereux, qu'il fallait assurer ses arrières avant de faire quoi que ce soit. Alors forcément, c'est encore plus difficile de dépasser tes peurs. Et tout ça, comme je l'ai dit tout à l'heure, c'est même pas. conscients. C'est souvent des schémas qui se transmettent, qui sont ancrés et qui nous maintiennent dans une vie qui ne nous correspond pas vraiment. Alors la bonne nouvelle, c'est que ça se reprogramme et que je suis là pour t'aider. Mais clairement, la peur de l'échec, c'est une des plus grandes raisons pour lesquelles on n'ose pas. On nous l'a toujours présenté d'ailleurs comme quelque chose à éviter à tout prix. Dans notre société, depuis qu'on est petit, on nous a appris à éviter l'échec à tout prix à l'école. Fallait avoir les bonnes réponses, fallait avoir les bonnes notes, bien faire les choses du pire. premier coup, un mauvais résultat, c'était sanctionné, on nous faisait comprendre que l'erreur était une mauvaise chose tout simplement. Mais si on regarde bien en fait, c'est je trouve assez nul comme état d'esprit parce que dans la vie, l'échec est une étape indispensable à tout apprentissage. Regarde quand un bébé apprend à marcher. combien de fois ils tombent avant d'y arriver ? Est-ce que tu penses que le bébé se dit « Ah mais non, c'est pas possible, ça fait trois fois que je tombe, la marche c'est vraiment pas fait pour moi » . Eh ben non, il continue encore et encore jusqu'à réussir à marcher. Et malgré ça, tu vois, en grandissant, on développe cette peur d'échouer. Pourtant, si on observe les plus grandes réussites, elles sont presque toutes passées par des échecs majeurs avant d'en arriver là où elles sont aujourd'hui. Dans certains pays, l'échec est valorisé, il est vu comme un passage obligé. Au Japon, par exemple, il y a la philosophie du Kaizen qui repose sur l'amélioration continue. L'échec fait partie du processus. Il y a tellement d'exemples de personnes hyper connues aujourd'hui qui ont passé par des gros échecs. Prenons l'exemple de J.K. Rowling, l'autrice d'Harry Potter. Avant d'être publiée, elle a reçu 12 refus d'éditeur. Elle aurait pu abandonner tellement de fois. Un autre exemple, c'est Oprah Winfrey qui s'est fait virer de son propre job à la télé parce qu'on lui disait qu'elle n'avait pas le bon profil. Et aujourd'hui, c'est l'une des femmes les plus influentes du monde. Aux Etats-Unis, il faut savoir que la vision d'échec est totalement différente de celle qu'on a en Suisse, en France ou en Europe en général. Là-bas, l'échec, c'est vraiment considéré comme une preuve de prise de risque et d'expérience. Dans la Silicon Valley, d'ailleurs, il est même courant d'afficher ses échecs sur son CV parce que ça montre qu'on a appris, qu'on a tenté, qu'on a osé. Et il existe même une expression qui dit « fail fast, fail often » . Désolée pour mon anglais. L'idée, c'est que... Plus tu échoues vite, plus tu apprends vite et plus tu t'améliores rapidement. Donc finalement, l'échec, ce n'est pas un problème, c'est un passage obligé. Et qui dit passage, dit que ce n'est pas une fin. C'est juste le début de quelque chose d'autre. Imagine même si je te disais que l'échec n'existait pas vraiment et que c'était juste un concept qu'on nous a foutu dans la tête. Perso, aujourd'hui, comme tu le sais, moi je préfère vraiment voir l'échec comme une expérience et ça m'aide vraiment à... agir malgré la peur. Ça m'aide à agir malgré le résultat. Après, il faut savoir que derrière cette peur aussi de l'échec, il y a aussi très souvent un manque de confiance en soi. Et le piège qu'il y a là-dedans, c'est qu'on attend d'avoir confiance pour agir. Mais si tu as écouté mes épisodes sur la confiance en soi, c'est clairement un cercle vicieux parce que tout simplement, c'est l'action qui génère la confiance en toi. Donc si tu attends d'avoir confiance en toi pour agir, tu peux attendre longtemps parce que la confiance en soi ne tombe pas du ciel. Elle se construit en avançant, en testant, en osant. Passons maintenant à un autre blocage énorme qui nous empêche d'oser. C'est la peur d'être jugé. On vit dans une société où on cherche en permanence l'approbation des autres. Mais au final, ce besoin d'approbation, c'est aussi un cercle vicieux. Et la vérité, c'est que tout le monde juge, y compris nous. Et en fait, quand tu juges quelqu'un, c'est souvent une... projection de tes propres insécurités, de tes propres peurs et quand quelqu'un te juge, c'est la projection de ses propres insécurités. Donc au final, on s'en fout. Surtout qu'en vrai de vrai, les gens sont bien trop préoccupés à se juger eux-mêmes pour passer leur temps à te juger toi. Tout comme toi, tu es bien trop préoccupé par te juger toi-même. Donc si on résume, tu seras jugé quoi qu'il arrive. Les autres sont trop occupés à se juger eux-mêmes. Et pour terminer, le seul avis qui compte, c'est le tien. Il y a une autre peur aussi dont on parle moins, mais que j'ai vraiment envie d'aborder, parce que clairement, elle bloque énormément de gens, c'est la peur de manquer. D'ailleurs, si on y réfléchit, cette peur est vraiment très ancrée dans notre inconscient collectif. On nous a toujours appris qu'il fallait sécuriser notre avenir, qu'il était risqué de quitter un emploi stable, qu'il valait mieux ne pas prendre trop de risques. Et forcément, ça nous conditionne à éviter l'inconnu. Comme je t'ai dit avant, le cerveau essaie de nous protéger. Donc ce qui se passe, c'est qu'il va... toujours dramatiser les situations. Ils pensent toujours au pire alors qu'en réalité il y a toujours des solutions. Dans 99% des cas, avant de finir à la rue, il y a toujours un plan B. Nos peurs sont rarement justifiées et on peut clairement les remettre en doute. Et même si ce pire arrivait, finalement on doit juste le voir comme étant une étape de plus sur notre chemin parce que, souviens-toi, l'échec n'est rien d'autre qu'une opportunité déguisée. Aussi inconfortable soit-il sur le moment, c'est une chance de se réajuster de tout. tirer des leçons, repartir encore plus forte. Et il y a un autre truc qui met aussi une pression énorme quand on doit faire un choix, quand on doit oser, c'est de penser justement qu'un choix est irréversible. Alors bon, ok, il y a certains qui le sont, comme par exemple décider d'avoir un enfant. Et pourtant, le plus fou dans cette histoire, c'est que pour ça, la plupart des gens ne réfléchissent même pas. Mais bref, c'est un autre sujet. Quoi qu'il en soit, cette pression de faire le bon choix, je trouve que ça nous freine beaucoup aussi parce qu'on a cette croyance que Ausha sont gravés dans le marbre qu'une fois qu'on a pris une décision, on doit s'y tenir coûte que coûte alors qu'en fait, pas du tout. C'est pas parce qu'on s'engage dans une direction qu'on est coincé pour la vie. La réalité, c'est que rien n'est figé. C'est nous qui nous enfermons tout seuls, c'est nous qui nous emprisonnons et qui nous empêchons d'être libres. Mais c'est qu'une perception. En vrai, si demain tu changes d'avis, tu peux ajuster, tu peux changer de chemin, c'est complètement OK. J'ai vécu ça justement au mois de janvier quand je suis arrivée en Espagne avec plein d'attentes, comme je le racontais dans l'épisode précédent. Et je me mettais en fait une pression de malade en mode « Oh my God, est-ce que je me vois vraiment ici ? Est-ce que c'est vraiment là que je veux déménager ? » peut-être que je dois aller ailleurs. Et en fait, j'ai juste respiré un bon coup en me rappelant que ce que je veux, c'est vivre cette expérience, mais que ce n'est pas pour autant que je suis bloquée ici pour le restant de mes jours. Et j'ai l'impression que mon mental se dit, non, mais en fait, on ne peut pas, parce que peut-être que ce n'est pas la bonne solution, peut-être qu'il y a mieux, etc. Donc, je me suis vraiment souvenu que si un jour, je ressens que ce n'est plus aligné pour moi ou que ça ne me convient pas, je peux tout simplement choisir de partir ailleurs. J'aime bien cette expression qui dit, si quelque chose ne te convient pas, bouge, tu n'es pas un arbre. Donc tu vois, j'ai vite compris que dans la vie, si je teste pas les choses, en fait, je saurais pas si ça me correspond ou non. D'où l'importance d'oser. Parce qu'au final, qu'est-ce qui est le plus risqué ? Est-ce que c'est de tester quelque chose et se rendre compte qu'on peut modifier son chemin, réajuster, clarifier ce qu'on veut, ou alors rester immobile et ne jamais savoir ce qui aurait été réellement possible et tout simplement vivre ? D'ailleurs, j'aime trop imager ça avec la métaphore du jeu vidéo. Dans un jeu vidéo... Si tu restes immobile, il ne se passe rien. On est d'accord. Tu peux rester là, figé, à contempler le décor, mais tu ne progresses pas en fait. Pour avancer, tu n'as pas le choix que de jouer, appuyer sur les boutons, faire des actions. Et en jouant, oui, parfois tu vas perdre des vies, parfois tu vas devoir recommencer un niveau, tu vas devoir tout recommencer. Mais à chaque partie, quoi qu'il en soit, tu vas apprendre, tu vas progresser, tu vas aller plus loin. Tu ne recommences jamais en fait à zéro. La vie, c'est exactement pareil. Et... Et j'aime trop d'ailleurs cette phrase qui dit c'est en te plantant que tu finis par pousser. Donc l'idée c'est vraiment que tu reprennes les commandes de ta vie, que tu oses jouer. Pour terminer cet épisode avec un maximum de valeur, j'aimerais te partager un truc super puissant que j'ai lu dans un livre l'autre jour. Imagine que tu es à la fin de ta vie. C'est ton dernier jour sur Terre. Tes réalisations sont l'histoire ancienne. T'as plus le temps de rien faire, plus le temps pour évoluer ou poursuivre des objectifs. Imagine-toi, t'es peut-être installé dans un fauteuil confortable, ou peut-être avec tes cannes ou ton rollator. Et maintenant imagine que dans l'espace où tu es, dans la pièce, ou qu'importe, entre la version de toi qui a osé, qui a tout donné, qui a vécu à fond, cette personne que tu aurais pu devenir, qui a exploité tout son potentiel. Sans grande surprise, tu as le sentiment de... connaître cette personne depuis toujours et tu te sens complètement à l'aise face à elle. Vous commencez à bavarder un peu, suffisamment pour avoir une idée de ce à quoi ressemble la version idéale de toi-même, son état d'esprit, ses réussites, ses contributions et son niveau d'épanouissement. Vraiment, cette version de toi, elle a vécu son existence à fond. Elle a donné tout ce qu'elle avait, elle en a récolté les fruits. Et elles se sont vraiment fières, profondément reconnaissantes, en paix. La question à te poser maintenant, c'est sur la base de la trajectoire que tu suis actuellement. Est-ce que tu estimes que ces deux versions de toi-même sont plutôt similaires ou alors aux antipodes l'une de l'autre ? Je sais que c'est une question difficile, mais si tu es honnête avec toi-même, c'est un excellent moyen d'évaluer si tu es en train de vivre ta vie complètement, pleinement. aligné à tes valeurs ou si tu es en train de suivre un chemin qui n'est pas le tien et de passer à côté de ta vie. Je pense que l'une des choses les plus tristes est de vivre ton existence en sachant que tu te donnes pas les moyens pour réaliser tes rêves, en sachant que tu fais pas tout ce qui est en ton pouvoir pour être épanoui et je pense que la plupart d'entre nous malheureusement tombent dans ce piège. Et ce que j'aimerais te rappeler avec cet épisode c'est qu'on n'a qu'une seule vie et ce serait vraiment trop dommage de la vivre à moitié. juste parce qu'on a peur et surtout parce qu'on laisse ces peurs nous dominer. Tu veux changer de job ? Fais-le. Tu veux partir voyager ? Pars. Tu veux te lancer dans un projet qui te tient à cœur ? Ose. Il n'y a pas de bon moment. Le bon moment, c'est celui que tu choisis. Et si tu as besoin d'être accompagné sur ce chemin, n'oublie pas que tu n'es pas seul et que tu as le droit de t'entourer. J'espère que cet épisode t'aura plu. Si tu l'écoutes sur Spotify ou Apple Podcast, n'hésite pas à mettre un... Petit commentaire juste en dessous, je me ferai un énorme plaisir de te lire. Je te fais plein de gros bisous et je te dis à la semaine prochaine pour un tout nouvel épisode du podcast Grandiose. Merci d'avoir écouté cet épisode. Pour encore plus de contenu ou pour interagir avec moi, rejoins-moi sur les réseaux sociaux. 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