Speaker #0Hello, bienvenue dans Imprévu, le podcast qui te fait découvrir les dessous de l'entrepreneuriat. On raconte ici des parcours d'entrepreneurs, le mien, celui des autres, ces chemins qui peuvent parfois te sembler tout tracés mais qui en réalité sont semés d'embûches. Parce que l'imprévu fait partie de notre quotidien, il est temps de valoriser notre capacité à transformer les obstacles en opportunités. Je m'appelle Alexandre Roux, je suis entrepreneur depuis plus de 10 ans et fondatrice de l'Académie 100K. L'accélérateur dédié aux femmes entrepreneurs. On se retrouve un lundi sur deux pour entrer dans l'intimité de ceux qui inspirent, qui marquent l'histoire à leur façon et qui face à l'imprévu n'abandonnent jamais. C'est la rentrée du podcast et je l'annonce tout de suite, ça va être un épisode 100% business qui est prévu parce que la plupart des entrepreneurs reprennent le chemin du travail, tout comme moi, avec l'objectif de mettre un gros coup d'accélérateur aussi pour amorcer, pour réenclencher sa croissance tout simplement parce que pour la plupart des entrepreneurs, il y a une sorte de coup d'arrêt pendant l'été car leur activité souvent dépend uniquement de leur temps et de leur énergie. C'est ce qui s'est passé pour moi pendant plusieurs années. Et clairement, il y a des choses à mettre en place pour éviter ça. Ça a d'ailleurs été mon focus cette année, car si vous me suivez, si vous m'écoutez déjà sur le podcast, vous avez entendu ces problèmes de santé qui sont venus mettre un coup d'arrêt dans mon activité en début d'année. J'ai ressenti clairement un impact direct sur mon business, parce que je me rendais compte que tout tournait autour de moi, de ma disponibilité, de mon énergie. Et après ce début d'année plutôt chaotique, je me suis dit qu'il fallait vraiment que je sorte de ça, que je mette tout en place pour que mon business ne ne dépende plus à 100% de mon niveau d'énergie et sincèrement, franchement, ça fait du bien de sentir que notre business continue à tourner, qu'on continue à attirer des clients, même quand on n'est pas 100% disponible finalement, même quand on ralentit notre rythme sur les réseaux, même quand on ralentit nos actions aussi physiques. Et là, j'ai enregistré mes plus grosses progressions de chiffre d'affaires sur ces dernières semaines alors qu'on est en pleine période estivale. Comme quoi, on a toujours beaucoup de croyances à déconstruire. On a toujours un plafond de verre au-dessus de nous. J'ai vraiment évolué avec cette croyance que l'été, le business était mort, qu'il ne pouvait rien se passer. Et sincèrement, j'ai vu que ça pouvait se passer complètement différemment. Je suis assez surprise encore des résultats que j'ai réussi à obtenir ces derniers temps. Mais encore une fois, c'est un autre sujet. Ce n'était pas le sujet de cet épisode de podcast. Dans cet épisode, je voulais revenir sur les dessous d'une entreprise à 100K. parce que j'ai eu beaucoup de questions en message privé sur Instagram, notamment suite à la publication d'un réel dans la tendance bref que j'avais déjà publié il y a quelques semaines et que j'ai republié récemment, où j'explique avoir fait 100 000 euros de chiffre d'affaires sur la première année de lancement de l'Académie 100K. Et du coup, je voulais vraiment vous partager ici tout ce que j'ai mis en place, tout ce qu'on doit mettre en place et comment l'amorcer. C'est ce que j'enseigne à mes clientes, je les guide vraiment pour obtenir ces résultats-là. Sachant que si tu vises 40, 50, 60, 80K de chiffre d'affaires, pour moi c'est la même chose. D'ailleurs si tu arrives à faire 60, 70, 80, tu peux faire 100. Là à mon sens c'est juste une question de volume, de structuration ou d'adaptation de ton modèle. Mais on a déjà une grosse étape de fait. Et puis même en dessous de ça, même quand tu fais déjà 40 000 euros de chiffre d'affaires, c'est que tu commences à être reconnu sur ton marché, que tu sais convertir tes clients, que tu sais livrer tes prestats. Et donc c'est une grosse part du job. Et après, l'enjeu, c'est de se dire, OK, comment je passe au niveau supérieur ? Encore une fois, il faut casser un plafond de verre et puis mettre en place de nouvelles actions, de nouveaux outils dans son business. Mais c'est totalement possible d'aller chercher ce niveau de chiffre d'affaires. Si tu n'es pas encore sur ce niveau-là de chiffre d'affaires, je ne veux absolument pas que tu te sentes dévalorisé. Il y a plein de facteurs qui peuvent l'expliquer. Ça peut être que tu viens de lancer ton activité. Ça peut être que tu n'as pas encore réussi à fédérer une communauté autour de toi. C'est peut-être aussi lié à ton modèle économique et tes prix aujourd'hui qui ne sont pas en adéquation avec les objectifs que tu vises. Mais quoi qu'il en soit, il n'y a aucun jugement. On démarre tous par là. Et tout ce que je vais expliquer, quoi qu'il en soit, peu importe où tu en es, tu peux atteindre cet objectif si tu décides de mettre en place les actions pour et que tu t'autorises à croire que c'est réellement possible. Donc cet épisode de podcast, il est pour toi aussi. Je vais vraiment aborder la méthode pour aller chercher 104 chiffres d'affaires. et encore une fois, peu importe de où tu en es. aujourd'hui. Ça me tenait à cœur d'aborder ce sujet-là maintenant parce qu'il reste un peu plus de 4 mois avant la fin de l'année et en 4 mois tout est encore possible. Moi, j'ai vécu des moments business où pour le coup les choses s'accéléraient mais en très très très peu de temps et on sous-estime ce qu'on est capable de faire. 4 mois c'est quand même 120 jours, c'est énorme. On a la capacité vraiment de mettre en place beaucoup de choses même en n'y dédiant que peu de temps par jour mais un pas de plus tous les jours et on arrive très rapidement non ? à des choses qui sont incroyables, il faut prendre conscience de l'impact des actions cumulées. L'effet cumulé est juste assez dingue. Mais encore une fois, il faut se concentrer vraiment sur les bonnes actions. Et puis, ce que je dois dire et ce que je dois rajouter aussi, c'est que la réalité d'aujourd'hui n'est pas celle de demain. Même si aujourd'hui, tu galères dans ton business, ou alors tu as un niveau de chiffre d'affaires qui te convient, mais tu sens que tu es en burn-out parce que clairement, tu y passes tout ton temps, toute ton énergie. Je veux juste rappeler que les choses peuvent changer et que tout peut changer très vite à partir du moment où on décide que les choses doivent changer. Quand on structure son entreprise, quand on s'appuie sur les bons systèmes, on peut accélérer vraiment très rapidement. Et ce n'est pas toujours une question de temps. Alors bien sûr que pour certaines choses, du coup, il va falloir du temps, notamment quand on commence à mettre des actions massives en place, à approcher différents prospects. le temps que ces prospects deviennent mûrs et passent à l'action eux aussi et fassent appel à vous. Parfois, il peut se passer du temps, mais plus vite on va semer des graines, plus vite ça va germer. Et plus on va multiplier les opportunités, plus on a de chances que les choses s'accélèrent rapidement. Ce que je vais te partager aujourd'hui dans cet épisode de podcast, c'est ce que j'applique moi-même. J'ai un business qui est aussi entre 15 et 20 000 euros par mois pour te donner un ordre d'idée. Mais aussi ce que j'enseigne à mes clientes de l'Académie 100K. qui ont pour objectif d'atteindre ces fameux 100 000 euros de chiffre d'affaires. Tout le monde n'a pas cet objectif de chiffre d'affaires et c'est ok. Chacun a son niveau de chiffre d'affaires. Chacun va définir son offre aussi en fonction de ses objectifs. Tout ça, c'est ok. Mais ça n'empêche qu'il faut quand même suivre la même méthode. Alors déjà, on va parler des 100K. Ces fameux 100K, pourquoi ce chiffre et qu'est-ce que ça représente ? Alors j'ai fait des petits calculs. Je vais essayer de rendre le truc le plus digeste possible parce que le but, ce n'est pas que ce soit compliqué. Mais pour une société type SARL, Société à Responsabilité Limitée, voici comment on pourrait décomposer ces 100 000 euros de chiffre d'affaires. Déjà, 100 000 euros de chiffre d'affaires par an, ça fait environ 8 500 euros de chiffre d'affaires par mois. Sur ces 8 500 euros de chiffre d'affaires, une entreprise de prestat de service dépense environ 1 500 à 2 000 euros par mois en charges courantes, si on veut être un petit peu large. Et là-dedans, je compte tout ce qui est logiciel, fourniture, assurance, frais bancaires. restaurant, déplacement, un peu de publicité, éventuellement de la sous-facturation d'un bureau qui est chez toi ou le paiement d'un espèce de coworking par exemple. Donc on a une enveloppe entre 1500 et 2000. Moi aujourd'hui je suis sur un niveau de charge courante à 2000 euros par mois. On peut rajouter une ligne de prêt entre 500 et 1000 euros par mois pour le développement de ton entreprise ou pour l'achat de matériel ou voiture de société par exemple. Encore une fois je donne une fourchette. Ce qui veut dire qu'on est déjà à environ entre 2500 et 3000 euros par mois de charge. Donc ça veut dire qu'il reste 5500 euros de disponibles. Si je reprends les 8500 euros de chiffre d'affaires par mois, si on enlève ce montant de charge, il reste 5500 euros par mois de disponibilité. Sachant que je conseille de mettre de côté environ 10% de son chiffre d'affaires par mois pour constituer un solde de trésorerie confortable. Sachant qu'à terme, l'idéal, c'est d'aller chercher trois mois de chiffre d'affaires d'avance pour pouvoir anticiper les imprévus, les baisses d'activité ou les problèmes de santé, par exemple. Mais clairement, c'est ce qui peut nous permettre de tenir dans ces périodes qui sont challengeantes et ne pas avoir trop de soucis à se faire. On s'en fait déjà bien assez. Donc, le fait d'avoir un socle de trésorerie va nous permettre de pouvoir gérer tous ces imprévus. Donc, concrètement, si on enlève ça, on est déjà plus qu'à 4500 euros de disponibilité. sur les 8500 euros de chiffre d'affaires généré. Si on est en SARL, on aura 43% de cotisation sociale sur le salaire qu'on choisit de se verser. Donc si tu décides de te verser 3000 euros de rémunération par exemple, on aura environ 1300 euros de cotisation à payer. Donc 4300 euros de charges qui vont être liées à la rémunération. Les 3000 de rémunération plus les 1300 de cotisation, on est bien à 4300 euros de charges liées à la rémunération. J'espère que tu arrives à me suivre, que c'est quand même du geste. L'objectif, ce n'est pas de te perdre, c'est juste de décomposer et que tu comprennes vraiment ce qui se cache derrière 100 000 euros de chiffre d'affaires. Donc, si je résume... Pour 8500 euros de chiffre d'affaires, on a 3000 euros de rémunération, 1300 euros de cotisation, 2000 euros de charges courantes, 1000 euros de lignes de prêt pour financer ton développement matériel, etc. 1000 euros de trésor. Donc concrètement, on ne peut pas dire qu'aujourd'hui, avoir un objectif de 100 000 euros de chiffre d'affaires par an, c'est complètement déconnant et c'est avoir des objectifs de dingue. C'est juste décider d'avoir une entreprise qui tourne, qui a la capacité de continuer à financer son développement. et rémunérer son dirigeant à sa juste valeur, sa dirigeante en l'occurrence située une femme. Ça c'est important vraiment de l'avoir en tête parce que souvent j'entends des personnes me dire « mais 100 000 euros de chiffre d'affaires, non je ne vise pas du tout ça » . Et attention parce que quand on est en micro, on n'a pas du tout aussi les mêmes réflexes et les mêmes calculs. Le mode de cotisation ne fonctionne pas du tout de la même façon. En micro, on va appliquer un taux de cotisation sur ton chiffre d'affaires, alors qu'en SARL, EURL, etc., on applique un pourcentage de cotisation sur la rémunération seulement que tu t'es versé et pas sur l'ensemble de ton chiffre d'affaires. Et aussi, je parlais des charges courantes, notamment tout à l'heure, etc. Mais même en micro-entreprise, on a finalement les mêmes obligations. Et le nombre de micros que je vois, en fait, payer des choses qui sont pour le développement de leur business en perso, alors je dis ça, je sais qu'en micro, comme pro, comme perso, on ne voit pas trop la différence finalement. Moi, ce que je conseille, même pour les micros, c'est vraiment d'avoir un compte bancaire dédié à l'entreprise, un compte bancaire dédié à son compte personnel. Et d'ailleurs, il est très facile de demander à sa banque de créer une deuxième ligne de compte, finalement, dans le même compte, mais une deuxième ligne de compte, pour pouvoir gérer la partie pro. C'est important de pouvoir avoir le plus de clarté possible pour ça. Parce qu'on prend sa voiture personnelle et puis du coup, on ne se refacture jamais les frais. Et puis, du coup, on va manger au resto, ceci, cela. Enfin, voilà, tout ça pour dire que finalement, la visibilité qu'on a sur les dépenses réelles de notre entreprise, elle est un petit peu biaisée quand on est en micro. Donc, l'idée, c'était vraiment que tu arrives à comprendre là, avec cet exemple, que j'ai essayé de faire le plus simple possible, mais qui, je pense, à l'écoute, reste malgré tout plutôt difficile à écouter et pas forcément hyper digeste. Mais encore une fois, l'idée, c'est que tu arrives à comprendre comment se répartit ton chiffre d'affaires ensuite. Maintenant qu'on a compris pourquoi c'était important de viser cet objectif des 100 000 euros de chiffre d'affaires, est-ce que tu pouvais espérer comme rémunération en organisant bien, on va dire, tes dépenses au sein de ton entreprise ? La question d'après, c'est comment on atteint ce chiffre d'affaires ? Et là, je vais vraiment te partager, sans filtre, full valeur, c'était vraiment l'objectif de cet épisode, les trois étapes pour y arriver. La première, et ce que j'enseigne à toutes mes clientes de l'Académie 100K, c'est de partir de son mindset, de son état d'esprit. Beaucoup d'entrepreneurs n'arrivent pas à atteindre ces niveaux de chiffre d'affaires parce que c'est clairement l'esprit qui bloque encore. On a un nombre incalculable de croyances limitantes, on a un plafond de verre au-dessus de nous qui nous empêche de croire, de voir que c'est possible pour nous. C'est facile de voir chez les autres que c'est possible, mais on a l'impression qu'avec notre entreprise et nos compétences, on ne peut pas atteindre ce niveau de chiffre d'affaires. Mais malgré tout, c'est beaucoup plus simple qu'on veut le croire. Ça demande vraiment un énorme effort, encore une fois, de déconstruction et de se dire que c'est complètement possible de travailler vraiment sur la confiance qu'on a en soi, sur notre légitimité, sur notre posture de chef d'entreprise, pour pouvoir viser plus haut, pour pouvoir passer à l'étape d'après, pour pouvoir passer au niveau supérieur. Ça demande aussi de clarifier son positionnement. On doit vraiment être très à l'aise dans nos baskets, on doit prendre conscience de notre valeur. Et encore une fois, je sais que ce n'est pas quelque chose de facile. En revanche, c'est quelque chose de possible. Tout est possible. Le mindset, ça va être 80% de ta réussite dans ton entreprise. Il faut vraiment en avoir conscience. Sans le bon état d'esprit, sans la bonne posture entrepreneuriale, tu n'atteindras pas les objectifs que tu t'es fixé. Et tout entrepreneur a un plafond de verre. Je tiens à le dire, moi aujourd'hui, j'ai encore un plafond de verre au-dessus de moi. Sinon, j'aurais déjà une entreprise qui génère plusieurs millions d'euros. Et ce n'est pas le cas aujourd'hui. Mais on passe les étapes, les unes après les autres. On déconstruit son plafond de verre. Petit à petit, chacun à notre rythme aussi. Maintenant, ça ne va pas se faire tout seul. Il faut en avoir conscience aussi. Il faut vraiment travailler sur le sujet. Il faut accepter de sortir de sa zone de confort, d'aller travailler des choses qui sont inconfortables pour nous. Mais sincèrement, ce que je peux dire, c'est que le jeu en vaut la chandelle. Vraiment, mille fois. Donc, ça va être selon moi vraiment la première étape sur laquelle il va falloir que tu te focuses. Et d'ailleurs, toutes les entrepreneuses qui intègrent l'Académie 100K, travail obligatoirement leur mindset en rentrant dans l'académie. D'ailleurs, c'est un travail de longue haleine. On y travaille pendant six mois. On a tous des croyances personnelles, des passés, des manques de confiance aussi sur certains points qui nous sont propres et on a besoin de les déconstruire les uns après les autres. En revanche, quand on arrive vraiment à rentrer dans cette posture de chef d'entreprise, à quitter ce « je suis une petite entrepreneur » , à « je suis chef d'entreprise, je prends conscience de ma valeur, je prends conscience » . de l'impact que je peux créer autour de moi et je m'autorise à voir plus grand, les résultats sont juste incroyables. Et souvent, déjà en changeant cette variable, il se passe vraiment, vraiment beaucoup de choses. Donc ne néglige pas l'importance de ton mindset, de ton état d'esprit dans le développement de ton entreprise. Maintenant, bien sûr que le mindset ne suffit pas. Je dis toujours que c'est 80% d'état d'esprit, 20% de stratégie, mais les deux sont indispensables et indissociables surtout. L'étape d'après, c'est de travailler sur la structuration de ton entreprise, de reprendre les fondations, de vérifier que tout est bien au clair, que ton entreprise est rentable et peut passer au niveau d'après. On se retrouve souvent confrontés à des modèles économiques qui ne permettent pas une accélération. On est sur des modèles économiques, par exemple, qui dépendent 100% de notre temps, où on est déjà à saturation. Dans ce cas-là, il faut déconstruire des choses pour reconstruire sur des bases beaucoup plus solides. Et encore une fois, c'est quelque chose qui est inconfortable de déconstruire ce qu'on a construit, mais à un moment, quand on souhaite passer au niveau d'après, c'est forcément une étape qui est nécessaire. Ça est la rentabilité de ton entreprise. Si tu savais le nombre de femmes entrepreneurs que je vois dévaloriser leurs prestations, qui n'arrivent pas à prendre conscience de leurs valeurs, qui n'arrivent pas du tout à facturer leurs clients en conséquence, et qui du coup... auraient suffisamment de clients, suffisamment de prestations aujourd'hui pour déjà mettre un bon coup d'accélérateur dans leur business, mais qu'ils ne se l'autorisent pas tout simplement. Donc là, je vais refaire le lien, le pont avec le mindset. Mais là, tant qu'on ne prend pas conscience véritablement de sa valeur, c'est sûr que c'est difficile de faire ce pas d'augmenter ses tarifs. Mais augmenter ses tarifs, ça ne se fait pas sans méthode aussi. C'est important de comprendre exactement comment on établit ses tarifs. Qu'est-ce qui se cache aussi, là encore une fois, un peu à l'image de ce qu'on a pu faire tout à l'heure sur décomposer les 100K, mais décomposer chacune de ses prestations et prendre conscience de ce qu'il y a derrière chaque heure de travail, chaque minute de travail investie pour son client. Ensuite, ce que je peux aborder, c'est ton travail autour de ton offre. Toutes mes clientes rentrent dans l'académie 100K aussi pour construire leur offre signature. Aujourd'hui, elles ont des business qui tournent plus ou moins selon les profils. et selon leur historique, on va dire, leur antériorité dans l'entrepreneuriat. Mais la plupart ont des offres un peu par-ci, par-là, qui n'ont pas forcément de lien, de cohérence, et du coup, des offres qui sont plutôt low-ticket ou mid-ticket, donc sur des prix bas à moyen, mais pas vraiment une offre d'accompagnement, une offre de prestation de service, à la hauteur de ce qu'elles sont capables de donner. Donc, une question aussi que je pose toujours, c'est, OK, ta cible aujourd'hui, elle a besoin de ça. sa fracture ouverte, qu'elle vise, qu'il l'empêche d'avancer, qu'il y a une vraie difficulté pour elle aujourd'hui, qu'est-ce que c'est ? Et s'il n'y a aucune objection de prix, de je vais travailler avec toi, pas avec toi, etc., s'il n'y a aucune objection, qu'est-ce que tu es capable de lui proposer ? Ou plus, qu'est-ce que tu peux faire de mieux pour elle ? Et c'est comme ça qu'on commence à construire son offre signature. C'est comme ça qu'on arrive aussi à retrouver de l'alignement, à retrouver de la rentabilité, parce que vraiment, on ne se met plus de barrière, on s'autorise à voir beaucoup plus grand. Et c'est ça qui va te permettre de faire la différence sur ton marché aussi. C'est de ne pas faire ce que font tous les autres, c'est de faire ce que les autres ne font pas. C'est de toi te dire, je sais qu'il y a une personne aujourd'hui. qui a besoin de moi, qui a besoin de tout ce que je sais, de tout ce que je connais et je suis capable de lui délivrer, je suis capable de guider cette personne-là. Créer ton offre signature, c'est vraiment ce qui va te permettre de construire un modèle économique qui soutient le développement de ton entreprise. Et au-delà de ça, quand on crée son offre aussi, on réfléchit au format de son offre, à comment est-ce qu'on délivre aujourd'hui. Moi, je tiens toujours à l'individuel. D'ailleurs, dans l'Académie 100K, je continue à avoir des appels individuels avec mes clientes. Je trouve que c'est précieux. On a tout un tas d'outils aujourd'hui pour réduire le temps qu'on passe sur nos prestations. On va parler d'automatisation, on va parler d'accompagnement de groupe, on va parler de support de formation en ligne. Encore une fois, ça ne veut pas dire qu'il faut développer une formation en ligne et plus mettre d'individuels derrière. Ça ne veut pas dire qu'il ne faut faire plus que de l'accompagnement de groupe et ne rien mettre d'autre derrière, mais on peut faire jouer tous ces formats ensemble. On peut réussir à gagner du temps et réussir à multiplier notre impact en ajustant vraiment notre modèle. Après, selon les métiers, ce n'est pas toujours possible, mais chaque cas est différent et on prend chaque cas individuellement pour choisir où est-ce qu'aujourd'hui il y a une possibilité de gagner du temps. Qu'est-ce qui n'est pas encore mis en place dans tes process qui te permettent Merci. De gagner du temps et donc du coup de multiplier ton impact et d'avoir plus de clients aujourd'hui. Encore une fois, ce n'est pas toujours une question d'avoir plus de clients. Parfois, quand on fait les ajustements dont j'ai parlé plus tôt, on n'a pas besoin d'augmenter son volume de clients. Mais encore une fois, chaque cas est différent. Et aussi, la structuration du parcours client est importante aussi. Comme je le disais tout à l'heure, je vois beaucoup d'entrepreneuses qui ont une offre par-ci, par-là, etc. Mais des offres qui ne fonctionnent pas nécessairement ensemble, qui même parfois se marchent un peu l'une sur l'autre. L'idée, c'est vraiment de créer un écosystème d'offres qui permet de favoriser la fidélisation et l'achat récurrent de nos clients. Le fait qu'ils puissent faire appel à nous également par d'autres moyens. Donc ça, c'était vraiment la deuxième étape sur la structuration, les fondations, la rentabilité de ton entreprise. Une fois que ça, c'est bien clair, bien pertinent, bien percutant, on peut aller travailler sur les stratégies de marketing et d'acquisition. J'insiste sur le fait que c'est obligatoire de passer par ces étapes de renforcement de son modèle, de son offre, de sa structuration, de sa posture, avant d'accélérer avec les outils marketing, parce qu'en général, il y a déjà beaucoup, beaucoup de choses qui se passent. quand on est en train de restructurer son business. Et là, effectivement, un business qui est solide, qui a un modèle qui tient la route, une rentabilité qui est avérée, on peut aller déployer des stratégies d'acquisition, des stratégies marketing pour accélérer. Et là, ça va passer évidemment par ta communication sur les réseaux. Aujourd'hui, je ne peux rien dire d'autre qu'il faut utiliser les réseaux sociaux. Pour accélérer la croissance de son entreprise, les réseaux sociaux, LinkedIn, Instagram notamment, c'est les deux que je connais et que je maîtrise plutôt bien, sont une belle ouverture pour aller capter des nouveaux prospects, pour aller renforcer la confiance que tes clients ont déjà en toi, pour aller réchauffer progressivement des prospects, faire du nurturing. Tout ça, c'est vraiment hyper important, hyper puissant, mais il faut encore une fois l'intégrer, même si je sais que ce n'est pas forcément simple et évident. Même si ça peut paraître inconfortable, plus on utilise, plus on fait, plus on publie, plus c'est facile. C'est vraiment l'action de sortir de sa zone de confort et de se dire « Ok, aujourd'hui j'ai une vraie stratégie qui est établie sur les réseaux sociaux, je sais exactement quand communiquer, comment communiquer, comment créer de l'impact. » Une fois que tout ça est bien posé, que la stratégie est bien posée, ça devient beaucoup plus facile de le faire. Ce que je dis tout le temps aussi aux entrepreneurs que j'accompagne, c'est que les réseaux sociaux, c'est pas... uniquement pour aller capter des nouveaux prospects. Je le disais juste avant, c'est aussi pour continuer à établir le lien avec tes clients ou aller réchauffer progressivement des prospects. Ça, c'est un outil qui est puissant et on a tendance à sous-estimer, à se dire que je fais juste des réseaux sociaux pour continuer à essayer de capter des prospects et puis du coup, je m'étonne que ça ne marche pas trop. Mais encore une fois, il y a vraiment beaucoup de réflexion, de stratégie et d'ouverture d'esprit à avoir par rapport aux réseaux sociaux. Et je sais aussi que c'est souvent une étape difficile à passer, notamment quand je préconise d'incarner sa marque, de faire plus de personal branding, d'ajouter son authenticité, sa vulnérabilité, parler avec des mots vrais et justes. Ça, c'est difficile à faire, mais quand on est focus sur son message et non pas sur son image, ça change énormément de choses dans sa communication. Ne communique pas pour ce que les gens vont penser de toi, de est-ce que tes cheveux sont bien coiffés, de est-ce que Tu te sens belle quand tu te regardes, etc. Je comprends que c'est dur et sincèrement, j'ai fait un réel d'ailleurs sur ce sujet il y a quelques semaines, ça a été hyper dur pour moi et je crois que ça a été ma plus grosse sortie de zone de confort de montrer, d'oser me montrer. Et finalement, sincèrement, ça m'a permis de travailler énormément sur moi. Au début, je ne supportais pas me voir, m'écouter. C'était vraiment un calvaire pour moi. Et puis, j'ai arrêté de regarder chaque détail. Et encore une fois, je me suis vraiment focus sur mon message, sur le contenu, sur ce que j'avais à transmettre et non pas sur l'image et ce que je percevais de moi en plus. Parce que ce qu'on perçoit de soi-même et ce que les autres perçoivent de nous, c'est franchement vraiment différent. Et ça m'a vraiment aidée à renforcer ma confiance, même si encore une fois, parfois je publie des choses, je me dis bon allez, j'arrête de regarder, j'appuie sur publier parce que là, ça ne me va pas. On n'est pas là pour faire les top modèles sur Instagram et sur LinkedIn, en tout cas pas quand on parle de business. On est là pour parler vrai, pour parler authentique, pour montrer qui on est et ce qu'on fait. Et voilà, c'est tout. Et en fait, il n'y a pas à aller chercher midi à 14h. Les réseaux sociaux représentent quand même une stratégie importante aujourd'hui dans le développement, dans le déploiement d'une marque, d'une entreprise, d'un entrepreneur. Ce n'est pas moi qui dirais le contraire. Pour le coup, j'ai 12 ans d'expérience entrepreneuriale maintenant. Pendant 8-9 ans, j'ai fonctionné sans les réseaux sociaux. Je n'avais pas besoin de ça. Et puis, je pourrais encore développer des business où je m'appuie vraiment sur mon réseau professionnel, sur des rencontres, des networking, etc. Moi personnellement ça ne me convenait plus, j'avais plus envie de ça, j'ai voulu tester autre chose. Aujourd'hui j'ai 100% de mes clients qui viennent par les réseaux sociaux parce que même dans le cas de recommandations... de mes clientes à d'autres, parce que ça, ça joue énormément aussi aujourd'hui dans le développement de mon business. J'ai énormément de recommandations parce que des clientes satisfaites, c'est chouette, mais si derrière, je n'étais pas présente sur les réseaux sociaux et que quand une de mes clientes allait faire une recommandation, la personne en face n'avait trop rien à se rattacher, qu'elle ne pouvait pas voir qui je suis, voir ce que je fais, écouter un épisode de podcast, etc. Je n'aurais pas du tout la même croissance dans mon entreprise aujourd'hui. Encore une fois, c'est vraiment hyper important et hyper puissant. Et puis, au-delà de ça, il n'y a pas que les réseaux sociaux. Il y a toute une stratégie de visibilité à mettre en place, une cohérence dans sa visibilité. Ça, c'est hyper important aussi de l'avoir en tête. Sur Internet, aujourd'hui, on peut nous trouver de plein de façons différentes. Il faut veiller à ce que tout soit hyper cohérent et fluide. Je ne pourrais pas aborder ce sujet-là vraiment en détail, en totalité, dans cet épisode de podcast aujourd'hui, parce qu'il y aurait vraiment beaucoup trop à dire. Mais au-delà de ça... Il y a aussi la mise en place d'un tunnel fluide, simple et fluide pour attirer des clients prêts à s'engager. Aujourd'hui, il faut être en capacité de laisser une porte ouverte simple à des clients, de faire notre connaissance, de comprendre qui on est, ce qu'on fait et comment est-ce qu'on peut les aider. Et pour ça, rien de mieux que de mettre en place des systèmes automatisés. Par exemple, une petite vidéo de présentation qui va déjà dans le détail de qui tu es, de ce que tu fais. de comment est-ce que tu travailles avec tes clients ou aller même encore plus loin avec une masterclass ou un webinaire. Ça, c'est des choses qui sont plutôt simples à mettre en place. Encore une fois, simple ne veut pas dire que ce n'est pas difficile dans le sens de sortir de zone de confort, mais c'est des choses qui sont plutôt simples à mettre en place et qui sont hyper efficaces et puissantes dans un business. Aujourd'hui, si mon business a aussi bien tourné cet été, c'est que je continue à avoir des appels qui se réservaient pour ma reprise. Et que je n'avais pas à continuer à me focus sur des actions constantes. En fait, tout cet écosystème, toutes ces stratégies marketing que j'ai pu mettre en place, travaillent pour moi et indépendamment du fait que je sois en train de travailler à l'instant T. Et ça, c'est hyper important, hyper puissant à comprendre. Et j'aurais tellement, tellement, tellement aimé comprendre ça il y a quelques années. Pour d'autres de mes business d'ailleurs, et avec la lecture que j'en ai aujourd'hui, je me dis, purée, mais... Je repense à Ausha, une des startups que j'ai développées en 2019, revendue en 2021 à un grand groupe. Une belle startup qu'on a vendue pour quasi 500 000 euros. Cette startup-là, je me dis, mais si j'avais eu conscience de tout ce que j'étais capable de mettre en place en termes de marketing, je serais allée beaucoup plus loin. Cette boîte, je l'ai vraiment développée juste sur la force du réseau et de la recommandation, mais à la fin, c'est épuisant. Parce qu'on fait sans cesse la même chose, des actions, des actions, des actions pour aller chercher des clients. Et on a l'impression de ne plus passer de temps finalement sur notre cœur de métier. Et en plus, souvent, ça devient une réalité. On passe beaucoup plus de temps à chercher des clients qu'à produire. Et en général, ce n'est pas pour ça qu'on lance sa boîte. En général, on lance son entreprise parce qu'on est expert dans un domaine et qu'on veut faire de la prestat service. Et en tout cas, je parle pour les solopreneurs, solopreneurs, solopreneuses. et puis du coup en fait on se retrouve avec cette charge-là qu'on n'avait pas envisagée et qui ne nous convient pas parce qu'on n'a pas envie de faire du commercial alors qu'encore une fois, c'est la base. L'essence même d'une entreprise, c'est de faire du chiffre d'affaires, clairement. Donc, il faut aussi en avoir conscience. Donc, voilà, il y aura toujours du commercial à faire. Tu devras toujours faire de la relation client, de la vente, de l'acquisition. Mais tu peux mettre en place des systèmes qui vont soutenir ça et qui vont te permettre d'être beaucoup plus... d'alléger finalement dans tout ce que tu vas mettre en place dans ta prospection. Tout simplement automatiser ta prospection. Et au-delà de ça, je parle d'automatisation, mais donc je rebondis là-dessus. Il y a beaucoup de choses aujourd'hui que tu continues à faire manuellement dans ton entreprise que tu peux automatiser et gagner encore une fois beaucoup de temps. Aujourd'hui, j'ai un business qui ne tourne pas tout seul, parce que du coup, je suis présente pour mes clientes de l'académie, mais pour tout le reste, pour le coup, j'ai automatisé tout ce que je pouvais automatiser. Aujourd'hui, je peux me permettre de travailler 25 heures par semaine, ne pas être tout le temps dans ce stress de « là, je ne vais pas pouvoir prendre une demi-journée pour les enfants » ou « là, ma fille est malade, c'est la catastrophe » . Et ça, c'est vraiment un équilibre que je cherchais. C'est quelque chose que je défends aussi beaucoup, cette recherche d'équilibre pro-perso. Si on monte une boîte, ce n'est pas pour travailler deux fois plus et gagner deux fois moins que quand on était salarié, même si je sais que pour la plupart, c'est le cas, surtout au début, mais même parfois au bout de plusieurs années. Je vois tous les jours des femmes entrepreneurs qui me contactent et qui sont dans ce cas-là. Et c'était aussi ma volonté avec l'Académie 100K, c'est d'aider ces femmes à prendre conscience de leurs valeurs, d'oser voir plus loin sans qu'elles sacrifient ce qu'elles ont de plus cher, c'est-à-dire leur temps, leur équilibre, leur vie de famille. J'aurais juste aimé avoir conscience de ça plus tôt. Maintenant, la vie fait que je devais en prendre conscience là, il y a quelques années, et mettre en place le système pour, mais... parfois c'est dur d'être dans cet imaginaire que oui, je suis sûre qu'une autre réalité est possible, je suis sûre que mon business peut moins dépendre de mon temps, je suis sûre que je peux conserver le même niveau de chiffre d'affaires, parce que pour moi c'était clairement une question. Je ne veux pas faire de concession sur mon chiffre d'affaires, donc sur ma rémunération, mais je veux me libérer plus de temps et je ne suis plus ok avec le fait de travailler de 9h à 18h, d'aller chercher les enfants, de faire tout ce qu'il y a à faire, puis de reprendre l'ordinateur à 19h30, 20h. plus 20h30 même jusqu'à 23h parce qu'en fait je suis à la bourre et puis le fait de me dire je ne peux pas prendre de vacances parce qu'en fait je n'ai pas le temps et puis on finit par péter un plomb et finir en burn-out comme je l'ai déjà fait auparavant donc ce n'est pas le but on est là pour créer une entreprise au service de sa vie et pas l'inverse je serais capable de refaire un podcast juste sur ce sujet donc ce n'est pas l'idée, je ne vais pas épiloguer sur ce sujet là pendant 107 ans je pense que tu auras compris aussi et ce que je défends et pourquoi je le défends. Et encore une fois, les choses peuvent être beaucoup plus faciles, c'est juste qu'il faut apprendre à se concentrer sur les bonnes actions, à mettre en place les bons systèmes, et ensuite profiter de tout ce travail de fond de notre vie, tout simplement. J'essaie de te donner vraiment un maximum de valeur, un maximum de prise de conscience et de choses à aller regarder, challenger dans ton business aujourd'hui, pour que tu vois ce qu'il est possible de faire et comment accélérer. Si toutefois tu n'as envie de pas, on s'est seul d'être soutenu dans toutes ces étapes et d'avoir toute la méthode pour et mon accompagnement surtout pour pouvoir le faire et passer ces étapes, n'hésite pas à prendre un appel avec moi directement sur le site de l'Académie 100K, academy100k.com. Je me ferai un plaisir de pouvoir échanger avec toi déjà, en discuter, savoir où tu en es aujourd'hui dans ton entreprise, ce qui bloque et voir quelles sont les prochaines étapes pour toi tout simplement pour accélérer dans la croissance de ton entreprise. Sur ce, je te souhaite une belle rentrée, un petit peu en amont. Je ne sais pas si tu es encore en vacances ou si tu as déjà repris le chemin du travail. En tout cas, je te souhaite une belle rentrée. Je te souhaite qu'elle soit sereine. Je te souhaite de ne pas repartir dans cette effervescence et puis vraiment de t'accorder des temps où tu travailles sur ton entreprise et pas dans ton entreprise. C'est ce qui te permettra vraiment d'accélérer. Et je te retrouve dans 15 jours pour un nouvel épisode inspirant. Si tu as aimé cet épisode, n'hésite pas à le partager autour de toi ou sur les réseaux sociaux. Et pour ne pas louper les prochains épisodes du podcast, tu peux t'abonner dès maintenant sur ta plateforme d'écoute préférée. D'ailleurs, si tu m'écoutes sur Spotify ou Apple Podcast, tu peux me laisser un avis 5 étoiles, ça m'aidera énormément pour remonter dans les résultats de recherche et faire connaître le podcast au plus grand nombre. En attendant, je te souhaite une très belle journée et je te retrouve dans 15 jours pour un nouvel épisode inspirant.