- Speaker #0
Inclusivement Votre, c'est le podcast qui envisage la culture d'entreprise comme un pilier stratégique du développement des organisations, avec un prisme diversité, équité et inclusion. Je m'appelle Laura Drian-Court et je suis l'hôte de ce podcast créé et produit par Projet Adelphité, l'agence de conseil et stratégie en diversité, équité et inclusion. qui propose une approche multidimensionnelle pour mettre ce sujet au cœur de la performance des organisations. Nous conseillons les entreprises pour construire une stratégie diversité, équité, inclusion, avec un maximum d'impact et sans s'épuiser. Que ce soit culture d'entreprise, audit, recrutement, évaluation, promotion. Gris salarial ou encore sensibilisation, nous proposons un accompagnement de A à Z. Je vous souhaite la bienvenue dans ce nouvel épisode d'Inclusivement Votre. Bienvenue dans cette quatrième et dernière mini-série de la saison 4 d'Inclusivement Votre. Pour les trois prochains épisodes, nous accueillons Maud Grenier. Maud est experte et entrepreneuse RH. Elle accompagne les RH dans leurs stratégies, notamment sur leur prise de parole sur LinkedIn, et elle s'exprime souvent sur les thématiques LGBTQIA+. Dans ce premier épisode, elle partage avec nous son parcours et comment les voyages l'ont aidée à se découvrir en tant que femme lesbienne. Bonjour Maud.
- Speaker #1
Bonjour Laura.
- Speaker #2
Comment ça va ?
- Speaker #1
Ça va plutôt bien, content d'être à Paris.
- Speaker #2
Super, moi je suis ravie de t'accueillir dans ce nouvel épisode d'Inclusivement Votre. Merci beaucoup d'avoir accepté mon invitation et pour commencer, je te propose de te présenter ainsi que ton activité.
- Speaker #1
Moi c'est Maud, je suis experte et entrepreneuse RH. Je viens du sud-ouest de la France, d'un tout petit village entre Cognac et Angoulême. J'ai plutôt grandi... à la campagne. Et tu vois, vers 14 ans, j'ai réalisé que j'aimais les femmes, que j'étais attirée par les femmes. Et dans mon environnement assez rural, je te fais pas dire, tu dois comprendre, que c'était pas si simple de m'émanciper, sachant que mes parents avaient un peu ce cycle pour moi. Enfant, mari, maison, rester à 10 minutes de ses parents. Et donc c'est vrai qu'à 18 ans, j'ai dû prendre une décision un peu radicale. Et donc si j'avais envie de sortir de cette égoïsme, L'écosystème, c'était de m'émanciper. M'émanciper, moi, je l'ai fait grâce au voyage. Et notamment un voyage qui a un peu changé ma vie, c'était Miami, où je suis allée nourrir des lémuriens en fin de vie. Et c'est là où je me suis dit, il y a un monde extraordinaire qui t'attend. Et à l'époque, c'était dur de partir. C'était il y a 20 ans. Non, il y a 20 ans, je l'exagère, il y a 15 ans. Il y a 15 ans, je me vieillis. Je me vieillis un peu trop. Et à l'époque, tu vois, j'ai dû faire un prêt, j'ai dû trouver des financements. Ce n'était pas simple de partir comme ça.
- Speaker #2
En fait, c'était déjà un projet entrepreneurial, d'une certaine façon.
- Speaker #1
En fait, c'est ce que je dis maintenant. C'était vraiment... À l'époque, tu vois, quand j'avais quoi ? J'avais 20 ans, quelque chose comme ça. Tu ne te rends pas forcément compte, en fait, de toutes les démarches que tu fais. Mais en effet, je suis allée... J'ai préparé un dossier, je suis allée à la banque. pitcher mon dossier pour avoir un prêt et pour me payer en fait l'avion, ma famille d'accueil et tous les frais sur place. Donc c'était assez chouette. J'étais plutôt une adolescente paumée, tu vois, je n'avais pas forcément... Toi, tu as des jeunes, je trouve ça génial, ils savent ce qu'ils veulent faire, ils ont une vocation. Moi, je t'avoue, ma seule envie à la base, c'était de m'amuser, tu vois. Les études, je n'étais pas très très forte, tu vois, à l'école. Et donc je me suis dit, mais Maud, qu'est-ce que tu vas faire en fait de ta vie ? Et c'est là où je me suis dit, bon bah... J'ai envie de découvrir le monde, j'ai une envie d'aider, d'accompagner les autres. Je me suis dit, je vais faire de l'humanitaire. Et donc, je m'engage. Et finalement, pour X ou Yra Crézon, je n'ai pas pu trouver. C'était assez compliqué. C'est comme ça, en fait, que je suis rentrée un peu dans la marmite des RH. Moi, je suis un pur produit des RH. J'ai trouvé un apprentissage, notamment dans un grand groupe qui est Safran. Et ça m'a permis, malgré tout, de nourrir mes ambitions de voyage. Je suis partie. En Falange, je suis partie en Moldavie, c'est là où j'ai rencontré ma femme. On a vécu dans plusieurs capitales, donc ça m'a permis quand même de nourrir cette ambition que j'avais. et surtout de m'assumer en tant que femme lesbienne. Et notamment Londres m'a énormément aidée. Je suis arrivée à Londres, personne ne te regarde, tout le monde fait sa vie, il y avait des puns. Je me suis dit, waouh, et puis t'arrives dans le métro, dans le tube londonien. Il faut vraiment le vivre pour vraiment comprendre. J'avais 23 ans, donc j'étais au bon moment, au bon endroit. À ce moment-là, je n'avais pas forcément d'ambition entrepreneuriale, j'avais juste l'ambition de me trouver moi en tant que femme lesbienne, d'assumer mon couple. d'être qui j'ai envie d'être et de m'amuser. C'était vraiment le bon moment de m'amuser. Après, j'ai suivi, j'étais en recrutement. J'ai eu quand même une expérience entrepreneuriale, puisque à l'époque, je m'étais dit, quand je suis partie à Miami, c'est trop dur, ce n'est pas possible, il n'y avait pas de plateforme, etc. J'ai créé une Tunchimapper, qui était une plateforme de mise en relation entre des étudiants et des entreprises. J'ai fait ça pendant deux ans. Ça a plutôt bien marché. Et après, j'avais plus des ambitions. J'avais envie d'investir, j'avais envie d'autre chose. Je suis retournée au salariat dans une agence en robotique. C'est là où j'ai rencontré une entreprise, une startup parisienne, qui a vraiment changé aussi ma vie. Quand je prends du recul aujourd'hui, j'ai beaucoup de gratitude, notamment pour mon CEO qui s'appelait Clément, parce qu'il m'a fait confiance. Je ne sortais pas de l'écosystème startup. J'avais une expertise en robotique, mais il m'a donné ma chance avec aussi le CTO Aurélien. Pendant deux ans, je les ai accompagnés. Ils avaient levé 3 millions d'euros. On est passé de 15 à 80. Ils m'ont fait confiance, ils m'ont donné des responsabilités en RH. Il y avait en tech des problématiques autour de l'attractivité des femmes. On était à 11% quand je suis partie, on était à 25%. Donc, on a mis en place une grille salariale transparente. Donc, on a fait des choses vraiment chouettes. Et après, j'avais envie d'un scale un peu plus grand. Je suis allée dans une fintech où on est passé de 50 à 350 en tant que RH. Pas mal de sujets. Tu vois, c'est une fintech pour les pays émergents. Donc, on avait des hubs. Au Nigeria, en Inde, il y avait beaucoup de sujets d'internationalisation, de culture, d'entreprise. Et voilà, au bout d'un an, un an et demi, c'était le Covid. Je pense que pendant le Covid, beaucoup de personnes se sont... dit mais qu'est-ce que j'ai envie de faire de ma vie aussi ? Donc dix ans après, tu vois, j'ai eu une crise de qu'est-ce que j'ai envie de faire de ma vie ? Et je me suis dit, j'ai envie de mieux contrôler mon temps, mieux contrôler ma parole, de pouvoir dire ma vérité et de vivre où je voulais. Donc aujourd'hui, tu vois, je vis à Lisbonne et c'est pour ça que l'entrepreneuriat à ce moment-là était la meilleure façon possible. Et tu vois, j'ai démarré... Dans ma zone de confort dans le recrutement, en 2022, j'ai une introspection sur qui est la mode dans 10 ans. Qu'est-ce que, voilà, il faut que je prépare aujourd'hui qui j'ai envie d'être dans 10 ans. Et c'est pour ça que, notamment aujourd'hui, j'ai deux activités. Une première activité qui va être autour d'une communauté qui s'appelle Worldmaker. C'est d'aller accompagner les pros DRH à se lancer et accélérer leur activité pour créer une vie qui leur ressemble en termes de liberté et autres. Et le deuxième, c'est autour, bien sûr... Des ressources humaines toujours, où là je vais plutôt aller accompagner sur le sujet qu'on va aborder aujourd'hui, donc sur l'emploi et l'advocatie, et aussi sur les problématiques RH en entreprise, notamment autour de la diversité et inclusion, mais aussi sur la grille salariale, sur toutes les problématiques qu'une entreprise peut rencontrer.
- Speaker #2
Tu as parlé de culture d'entreprise, en sous-jacent, il y a les questions de diversité et d'inclusion. Moi, j'ai envie de connaître tes définitions. Oui, ok.
- Speaker #1
Préparée, j'ai préparé. Donc,
- Speaker #2
en quelques mots, comment toi, tu définirais la diversité et l'inclusion ?
- Speaker #1
C'est vraiment deux termes différents. La diversité, c'est ce qui est lié à la personne. C'est-à-dire que ça peut être une éventuelle qualité, de caractéristiques. Notamment, on peut parler de diversité fonctionnelle. Donc là, on va parler d'handicap. on va avoir la diversité culturelle. Donc là, c'est notamment, tu vois, aujourd'hui, j'accompagne une start-up où on recrute des talents du monde entier, ou même quand j'étais dans mon autre start-up. Donc, c'est aussi comment intégrer ces personnes de cultures différentes. Tu vas avoir la diversité linguistique, sexuelle. Donc, LGBT, c'est la diversité sur laquelle moi, je représente. Et l'inclusion, c'est vraiment lié à la collectivité. C'est comment, en fait, une entreprise va pouvoir... promouvoir en fait la diversité de chacun dans un groupe. Et donc c'est comme ça que je définis la diversité propre à une personne et l'inclusion qui est propre à la collectivité.
- Speaker #0
Ça a du sens.
- Speaker #1
Ça a du sens, totalement.
- Speaker #2
Vu qu'on parle de collectivité, ça donne besoin pour la définition suivante. C'est en quelques mots, comment toi tu définirais la culture d'entreprise ?
- Speaker #1
Moi, je me suis toujours inspirée, tu vois, aujourd'hui, on a la chance d'avoir des entreprises avec des cultures fortes. Moi, j'aime beaucoup les entreprises avec des cultures fortes. Pourquoi ? Parce que ça permet d'attirer davantage des talents qui se sentent attirés par les valeurs, les fondateurs ou les fondatrices. Je trouve que ça permet d'attirer ou de repousser les personnes. qui ne se sentent pas en accord avec la culture d'entreprise. Et j'aime bien la définition de Jean-Charles Samuelian, qui est le CEO aujourd'hui d'Allan, qui est une des startups que, notamment sur tous les sujets de santé, il dit, voilà, je prends ma définition, donc c'est la culture et les suivants des différentes briques de cet habitat professionnel commun qu'est l'entreprise. Elle est une construction ouverte, évolutive, vivante. dont les fondations doivent être solides et visibles, comprises, partagées. Ces fondations, ce sont les valeurs de notre culture d'entreprise. C'est grâce à elles que le paradoxe dont nous parlions peut être résolu et que l'entreprise peut avancer d'un seul mouvement vers l'excellence et le bien-être, la performance et la responsabilité. Je trouvais que c'était une belle façon de définir la culture d'entreprise dans son livre qui est Healthy Business, que je conseille. Il décrit vraiment la culture d'Allenweb.
- Speaker #2
Super intéressant, effectivement ça a complètement du sens nous chez Projet d'Avité on dit beaucoup et c'est l'objet de ce podcast aussi c'est la culture d'entreprise en tant que pilier stratégique des organisations et je trouve que ça se ressent vachement dans la définition que tu nous donnes du fondateur du CEO d'Alan, de le ciment pour avoir de la performance, du bien-être et donc ça veut dire que ton ciment s'il n'est pas bien fait tes briques elles ne peuvent pas tenir en fait Exactement,
- Speaker #1
pour moi c'est vraiment les briques de la maison C'est ces fondements qui sont crucials pour tous salariés aussi dans l'entreprise. Ça me paraît compliqué d'aller chercher les talents de demain en tout cas et surtout avec cette génération qui a envie de plus de sens, plus de responsabilité sociétale. Donc il faut vraiment aujourd'hui construire des cultures d'entreprise qui soient fortes et radicales.
- Speaker #2
Entièrement d'accord et ça m'amène superbement bien à ma question suivante.
- Speaker #1
On est trop fortes.
- Speaker #2
Comment culture d'entreprise, diversité et inclusion s'articulent avec ton activité ?
- Speaker #1
Moi, je suis LGBT+, donc je suis une femme lesbienne. Et aujourd'hui, il faut savoir qu'il y a trois femmes lesbiennes sur quatre qui sont invisibles au travail. Déjà, moi, ça, c'est une grosse injustice, c'est une grande injustice que je vis, que j'ai vécue aussi en entreprise. Et donc, quand on vit en tout cas une diversité en entreprise, on se sent, et c'est un sentiment qui est bizarre, que... Une personne qui ne connaît pas ce que c'est la diversité ne peut pas comprendre en fait. Et tu vois, une fois c'était une conférence, une RH qui dit mais nous on aime tout le monde, je ne comprends pas pourquoi on fait tout un pataquet sur la diversité et l'inclusion. Et en fait je pense qu'il faut vraiment aller comprendre, parler à des personnes qui vivent cette diversité au quotidien, parce qu'en fait on se met un masque. On a peur. Moi, je suis restée dans le closet plus de 20 ans. J'ai mis notamment le closet professionnel. J'avais fait mon coming out perso plus jeune, mais professionnel, c'était il y a deux ans. Et en fait, les entreprises, il faut qu'elles comprennent que dans la vie perso, on vit des choses, on ressent des choses, on a des émotions. Et qu'en entreprise, il faut vraiment créer un environnement qui soit sain. qui promeut la diversité pour que ces personnes-là se sentent elles-mêmes en entreprise, qu'elles ne se brident pas. Et parce que si elles se brident, ça va brider leur créativité, brider leur performance. Et donc aujourd'hui, moi, j'ai mon objectif, avec notamment les activités de conseil que je fais, j'ai envie de grandir, tu vois, je me sens encore assez jeune dans ces sujets-là, d'aller accompagner, tu vois, d'aller porter la parole, en tout cas LGBT+, dans les entreprises, pour que... Ces trois femmes lesbiennes sur quatre n'aient plus honte de dire je suis une femme lesbienne Pourquoi c'est important ? Parce qu'elles vont, notamment ces femmes invisibles, ne pas dire que leur partenaire est une femme. Donc elles peuvent notamment, si leur conjointe est enceinte, ne pas prendre le congé de second parent. Elles vont notamment... pour les after-work, pas invité, notamment aux soirées de Noël, où souvent on invite la famille, etc., sur les cadeaux, pas invité leur partenaire, parce qu'elle ne l'est pas assumée, en tout cas, aux yeux de ses collègues. Et donc, ça crée tout un environnement un peu néfaste, un peu toxique. Et quand j'avais fait mon coming-out, tu vois, professionnel sur LinkedIn, j'ai eu un témoignage... Poignant, ça m'avait vraiment envie de donner de pleurer. En fait, c'était une femme lesbienne qui était en campagne. Donc en campagne, encore, c'est deux fois plus dur. Qui était vraiment dans un univers BTP, machiste, etc. Et qui le vivait très mal, en fait. Parce que des remarques machistes, un peu homophobes, sexistes. Et donc, ça crée ces environnements qui brident, en tout cas, l'individualité. Et l'objectif, c'est aussi d'être soi-même en entreprise. pour être performant, pour se sentir bien. Et pour moi, aujourd'hui, l'entreprise doit être moteur sur ces sujets-là.
- Speaker #2
Totalement. Et déjà, une pratique qui est super simple à mettre en place, c'est d'avoir le réflexe, plutôt que de dire à une femme, par exemple, est-ce que tu as un mari ou un copain ou un chéri ? D'utiliser donc un masculin automatique, d'utiliser des formulations plus neutres. Si, par exemple, on voit une alliance de Ah, va t'es mariée juste de poser Depuis combien de temps ? et donc... en utilisant une formulation neutre où tu es en couple on m'avait posé cette question que j'avais beaucoup aimé c'était est-ce que tu as quelqu'un qui participe à ton bonheur dans ta vie c'est très mignon j'avais trouvé ça la personne elle savait que j'étais bi donc elle avait fait attention je trouvais ça très délicat,
- Speaker #1
très beau et voilà par exemple c'est une formulation qu'on peut réutiliser ou tu vois au lieu de dire moi je dis la personne est-ce qu'il y a une personne ? c'est toujours de me demander aussi le consentement de l'autre et ça je pense que c'est pour tout et à un moment donné c'est de poser la question si elle n'est pas dérangée parce que c'est des sujets persos j'ai mis beaucoup de temps à vouloir parler de ma vie perso parce que finalement bon ça nous appartient, c'est notre joyau. Et des fois, on n'a pas forcément, ça fait peut-être une semaine, deux semaines qu'on est arrivé dans l'entreprise et des gens nous posent des questions perso et des fois, c'est juste parler d'autres choses. Il y a tellement d'autres sujets super intéressants que nos vies perso en entreprise.
- Speaker #2
Totalement.
- Speaker #0
Se découvrir et se connaître sans avoir de modèle est un enjeu pour énormément de personnes à l'enfance et à l'adolescence. Cela inclut notamment les personnes LGBTQIA+, les personnes adoptées et les personnes handicapées.
- Speaker #2
Mais aussi plus largement,
- Speaker #0
les femmes et les hommes qui grandissent avec des représentations étroites de ce qu'est être un homme ou être une femme. J'entends beaucoup de témoignages de personnes qui, comme Maud, ont pu découvrir qui elles étaient grâce au voyage. Est-ce le fait de s'échapper du quotidien ? de pouvoir s'inventer ou se réinventer, ou tout simplement que la France a encore beaucoup à faire pour être un cadre épanouissant pour les personnes minorisées. Sans doute un peu des deux. Se connaître, c'est aussi connaître ses valeurs, que ce soit pour les personnes ou les entreprises. Et dans le deuxième épisode, Maud nous présente le lien entre valeurs explicites et un bon recrutement. À la semaine prochaine ! Trois éléments à la fin de cet épisode. Tout d'abord, j'espère que tu as passé un bon moment avec nous. Cet épisode a été proposé par Projet Adelphité, agence de conseil et stratégie en diversité, équité et inclusion. Tu peux nous contacter pour conseiller ton entreprise sur ces sujets à contact.projet.adelfité.com Ensuite, Inclusivement Votre revient tous les mardis matins. Tu peux retrouver les précédents épisodes sur toutes les plateformes d'écoute, mais aussi sur le site www.projet.adelfité.com ainsi que sur la page LinkedIn et Instagram de Projet Adafité. Enfin, tous tes likes, partages, commentaires sur toutes les plateformes d'écoute ainsi que tes 5 étoiles sur Apple Podcast soutiennent notre travail. A mardi prochain pour un nouvel épisode d'Inclusivement Votre.