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J'agis pour mon bien-être par Médoucine

La santé des femmes : nouvelles perspectives pour un bien-être global

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1h03 |11/03/2025
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Description

La santé des femmes : nouvelles perspectives pour un bien-être global 👩


Et si la santé des femmes était enfin mise au centre des priorités médicales ? Cette conférence met en lumière les inégalités persistantes dans la prise en charge des femmes et propose des solutions concrètes pour mieux répondre à leurs besoins spécifiques.


Des inégalités frappantes en santé : Les femmes attendent plus longtemps aux urgences, subissent des retards de diagnostic et sont souvent sous-représentées dans la recherche médicale.


Des maladies sous-évaluées : L’endométriose, la ménopause ou les douleurs menstruelles sont encore trop souvent minimisées, malgré leurs impacts majeurs sur la qualité de vie des femmes.


L'importance d'une approche globale : Une meilleure prise en charge passe par une écoute active, une compréhension des cycles hormonaux et des solutions adaptées, allant des traitements hormonaux aux approches naturelles.


Rétablir l’équilibre : Les gynécologues médicaux, les praticiens et les naturopathes jouent un rôle clé pour offrir des solutions préventives et personnalisées, tout en sensibilisant sur les impacts des cycles hormonaux et des transitions comme la ménopause.


Des solutions naturelles et efficaces : Les plantes, la gémothérapie et l'aromathérapie offrent des alternatives pour accompagner les cycles féminins, soulager les symptômes de la ménopause ou traiter des affections comme la cystite, en complément ou en remplacement des traitements médicaux.


Un appel à agir :
Collaborer entre professionnels de santé, intégrer les femmes dans les décisions et transmettre des connaissances pour accompagner chaque étape de leur vie : de la puberté à la ménopause. Une conférence engagée pour replacer la santé des femmes au cœur des priorités médicales.


  • Dr. Paule Nathan - Médecin endocrinologue et nutritionniste

  • Dr. Anne de Kervasdoué - Médecin gynécologue

  • Pascaline Lumbroso - Naturopathe et praticienne en shiatsu, spécialiste de la santé des femmes

  • Modératrice : Amal Dadolle - Experte en bien-être holistique, fondatrice de BloomingYou.fr


Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

Transcription

  • Speaker #0

    Je pense que j'ai introduit. Oui, vous avez. Et là, ça marche. C'est bizarre. Je suis quand même en train de avoir des ressources. Je suis en train de me faire un biais. Alors bonjour à toutes et à tous. Alors pour ceux qui n'étaient pas là avant, je suis Amal Dadol, fondatrice du site Ausha de CoreXprim, l'oublier.fr. Alors, aujourd'hui on va parler, ce soir on va parler d'un problème qui touche... La moitié de l'humanité est pourtant qui intéresse si peu la santé des femmes. Les femmes passent 25% de leur vie en mauvaise santé de plus que les hommes. Pas parce qu'elles sont plus fragiles, pas parce que la biologie l'a décidée, mais parce que la médecine n'a pas été pensée pour elles. Pendant des siècles, on a considéré que le corps masculin était la norme. La femme, un homme comme un autre, mais avec des cycles menstruels en prime. Résultat, 1% des investissements en recherche médicale concernent les maladies spécifiquement féminines, hors cancer. Une femme aux urgences, elle attend en moyenne 30 minutes de plus qu'un homme avant d'être prise en charge. Sans diagnostic, retardée de 4 ans en moyenne pour des maladies graves. Elle a par exemple 50% de plus de risque d'être mal diagnostiquée après une crise cardiaque. Sur l'endométriose, il faut attendre 7 ans pour un diagnostic, parfois même 13 ans pour certaines femmes. Et ce ne sont pas des hypothèses, ce sont des faits que je vous invite tous à aller vérifier. Alors pourquoi rien ne change ? Manque d'intérêt, manque de moyens, manque de volonté, peut-être un peu d'énorme. Alors une solution pourtant évidente, quand une femme est soignée par une médecin-femme, elle a de meilleures chances de survie et moins de risque de réadmission. Les médecins-femmes suivent mieux les protocoles et passent plus de temps avec leurs patientes. Alors 2025 marque les 10 ans de la journée internationale des femmes et des filles en science. Et pourtant, elles restent sous-représentées dans la recherche médicale et les carrières scientifiques. Alors avant de penser par les hommes produits des solutions pour les hommes, il est temps de changer les rêves. Ce soir, on va parler de tout ça avec des femmes, des femmes engagées sur ces questions. Docteur Paul Nathan, vous êtes endocrinologue et nutritionniste, spécialiste de l'alimentation consciente et holistique. Vous êtes l'auteur de nombreux articles scientifiques et d'ouvrages destinés au grand public. Vous donnez du sens à son alimentation, vous donnez du sens à sa vie. J'ai oublié, j'aime Bob. Et à travers votre travail, vous mettez en lumière l'impact de la nutrition sur la santé et le bien-être en prenant une approche globale et préventive. Vous êtes également très investi, vous œuvrez activement au sein d'associations dédiées à la défense des femmes. femmes et des en avant. Anne de Carvazou, vous êtes médecin, gynécologue et auteur de nombreux ouvrages, dont le plus récent, celui qui ne me fait ni entendre, La vie intime des femmes. A travers vos écrits et votre engagement, vous levez le goût sur les préjugés et d'amour qui entourent le corps féminin et la santé intime, afin de favoriser une meilleure compréhension et une meilleure prise en charge des spécificités féminines. Pascaline Lombrose, vous êtes naturopathe et praticienne en Shiatsu, spécialiste du bien-être féminin. Depuis plus de 15 ans, vous accompagnez les femmes dans une approche holistique de leur santé, en tenant compte de leur nature cyclique et de leurs besoins spécifiques. Votre engagement autour de... de la femme de la ménopause, initiée dès vos 40 ans, vous a conduit à transmettre un regard neuf et bienveillant sur cette transition. Vous êtes l'auteur de Ménopause Métamorfose. Vous invitez à redécouvrir cet état comme une transformation positive et puissante. Alors, ma première question, je l'adresse à vous, à tous les voisins. L'impact du patriarcat sur la prise en charge de la douleur gynécologique est réel. Tant est-il bien qu'elle génère de nombreux tabous en gynécologie, y compris entre les femmes. Comment vous l'observez-vous ? Alors, dans votre pratique, ce que j'observe, c'est que pendant des années, La douleur des règles est aussi majeure que nous, peut-être traité avec une certaine condescendance. On estimait que c'était normal d'avoir mal sur ses règles, comme veut mère, comme veut coromère, tout ça est normal. La femme souffre, comme elle souffre pendant l'appuissement, ou bien elle souffre pendant ses règles. Et donc il n'y avait aucune écoute de la part. Je ne sais pas si les femmes étaient mieux que les hommes, mais en tout cas, les hommes, c'est certain. Je pense que votre élection ou patriarcat vient de là. Et ce n'est que tout récemment, finalement, qu'on commence à se dire que la douleur des règles est le symptôme d'une éventuelle maladie, maladie ou affection. Alors, je voudrais vous préciser que ce n'est pas parce qu'on a mal dans ces règles que c'est une endométrie au même temps. Il y a des douleurs, des règles, qui ne sont pas du tout le signe d'une endométrie. Simplement, on y pense maintenant. Tout le monde y pense. Avant, on y pensait trop tard, quand la femme était en douleur, quand elle était stérile, quand elle avait vraiment des complications de la maladie. Donc voilà, le patriarcat, oui c'est vrai, je suis d'accord. Alors l'endométrie gauche, c'est en plus une maladie assez difficile, parce que le seul signe c'est la douleur. En fait, c'est une maladie douloureuse et personne n'assiste. à ce qui se passe. En réalité, c'est un reflux, c'est une fausse route. C'est un reflux des règles vers le haut. Au lieu de descendre dans le vagin, il y a du sang venant de la muqueuse utérieuse qui part dans les trompes et à travers les trompes, qui va vers les ovaires, dans le péritone et même ailleurs, même la plèvre. Le tube digestif. Et donc cette maladie... C'est en fait des greffes, des morceaux de muqueuses, partout dans le bas du corps. Et ça, on ne sait pas. Les femmes ont très mal, elles n'ont pas mal uniquement dans leur utérus. Elles ont mal à tous ces organes, parce que toutes ces greffes se mettent à saigner et à faire mal en même temps, notamment au moment des règles. Elles réagissent comme si c'était l'utérus. Voilà. Alors l'endométriose, c'est ça. Alors, on a, donc, ils utilisent bien sûr des couleurs. contre la douleur des règles, ça c'est bien, mais il faut traiter autre chose. Parce que dans l'endométriose, on l'appelle la maladie des 5D. C'est-à-dire, il y a dysménorrhée, qui est la douleur des règles, disparition et douleur pendant les rapports sexuels, notamment les fonds qui sont des douleurs profondes. Il y a une difficulté, il y a ce qui me dit, vous aimeriez les douleurs, les noms... il y a des douleurs au moment de la divination il y a des douleurs en urinant et au moment où l'on va à la scène donc ça fait des douleurs qui reviennent souvent donc c'est pour ça que c'est très important quand une femme commence à dire qu'elle a mal comment c'est vrai, de l'interroger d'autres douleurs, de savoir l'intensité et tout ça et avant on ne prêtait aucune mais avant, quand je dis avant, encore il y a 10 ans aucune attention moi j'ai eu la chance ... Il a été formé à Médital, à Saint-Vincent-Paul, en tant que spécialiste de l'endométriose, Jean Bélaïche. Donc lui, il connaissait tout sur l'endométriose, et donc il m'a formé, c'était une chance. Alors ce qu'il faut savoir, c'est que c'est une maladie chronique, évolutive, et très mystérieuse, parce qu'on ne sait pas pourquoi on l'a, il y a des raisons psychologiques qui sont issues, il y a des raisons génétiques, il y a des raisons alimentaires, enfin bref, il y a un ensemble de choses. Et donc, il faut bien la repérer. Alors, je vais oublier ce que je voulais dire. Donc, il faut bientôt s'en occuper. Et en fait, c'est une maladie qui est entraînée par les hormones, par les estrogènes. Tant qu'on a des estrogènes, la maladie est évolutive. Mais dès qu'on est ménopausé, elle s'arrête. Et dès qu'on est au sein... Elle s'arrête aussi parce que ce ne sont pas les ovaires qui travaillent, mais le placent. Oui, mais ce ne sont pas les ovaires qui travaillent. Dès que les ovaires sont au rebond, conclusion, il y a un traitement simple, hyper simple, surtout chez les hommes. C'est la pilule. La pilule va arrêter le fonctionnement des ovaires et va diminuer les règles. On apprend que le traitement continue. Oui, c'est un traitement simple qui déjà arrête. Or, en ce moment, il y a une espèce de prévention générale. les gens me disent je n'ai pas d'hormones je n'ai pas de pique-cocs vous risquez peut-être d'être stérile parce que si les petits morceaux du tucérus se baladent partout vous bougez vos troncs vous font gonfler vos oeuvres donc assez vite elles sont convaincues quand elles le souffrent et elles sont ressuscitées et puis il y a un tas d'autres traitements donc pour faire le diagnostic ... Quand elles sont très jeunes, c'est plus difficile parce qu'on ne leur fait pas des courants de type indienne, c'est leur jamais eu de rapport. Mais il y a l'IRM. maintenant il y a un test salivaire, ça c'est nouveau, il n'est pas encore remboursé, pas encore diffusé, mais ça c'est la grande nouveauté, donc un test salivaire, dans certains cas, et qui permet de faire le diagnostic de l'endométriose. Mais même sans diagnostic, c'est simple, le premier réflexe, c'est de bloquer les ovaires, en attribut ou autre chose, mais quelque chose qui bloque les ovaires, vous voyez, c'est pas compliqué. Et vous voyez, on croit, les femmes c'est bien, je leur dis. jusqu'à ce que vous ayez envie d'arriver. Et là, à ce moment-là, pour éviter que l'endométriose reprenne, reparte entre les deux, eh bien, elle peut être enceinte beaucoup plus facilement. Voilà, les grandes lignes. Alors après, je vous parle bien de vos questions, mais vous en avez d'autres. Oui, mais après, on peut aller effectivement sur les femmes, qui ont déjà eu des idées de la pilule, ou encore, ils reviennent sur la pilule. Voilà, ils cherchent des solutions. Et on a un rembantant, alors peut-être effectivement, Pascaline, pour répondre. aussi là-dessus, parce que je sais que tu vois pas mal un petit peu de ganglion. Moi, j'ai... Oui, ça marche. Moi, je ne suis pas du tout spécialisée dans l'endométriose. Il y a peu de femmes, finalement, qui n'aiment pas me voir. Mais en tout cas, l'hygiène de vie va aussi participer et améliorer sa vie. Moi, ma priorité, quand je vois des femmes qui se confondent, c'est vraiment de trouver une réponse pour ne plus se faire. Je pense que la douleur, la souffrance, ça vient aussi empirer le temps. Oui, c'est pour ça que j'aime travailler en partenariat aussi avec les médecins, que je garde un discours ouvert, de manière à ce que chacun puisse se sentir libre, de faire ce qui va être, en tout cas dans un vrai temps, ce qui va la soulager véritablement. Mais effectivement, l'hygiène de vie, on va en parler tout à l'heure avec Paul, l'alimentation, de pouvoir reprendre de l'exercice physique, de pouvoir travailler sur ses émotions, sur apprivoiser le stress au quotidien. Tout ça va participer à améliorer l'environnement de la femme. Moi, c'est une marante. Je suis d'accord. C'est essentiel, mais on peut en parler. Alors, j'aimerais vous passer la même pause maintenant. Au revoir. Alors, bien que la ménopause ne soit pas une maladie longue, elle entraîne quand même des modifications hormonales qui sont pas de doute sur les risques d'hypertension, de diabète et de maladies cardiovasculaires. Du coup, ma question s'adresse à vous, Moulin Adam. Quel est l'impact des cycles féminins de la puberté à la ménopause sur notre système hormonal et endocrinien ? L'impact des cycles féminins, je pense que c'est l'impact, puisque c'est la nature en fait. commence la puberté, la mélopause c'est une puberté à l'envers, modification de l'humeur et autres, il y a des variations effectivement, l'homme c'est la testostérone, tout ça, et toute sa vie, puis après il n'y a plus d'andropause, il conserve des raposes, l'androgène reste à un bon niveau, nous on varie. On varie en fonction de nos sites. Et il y a des femmes qui ont des variations beaucoup plus importantes que d'autres. Effectivement, avec des syndromes prémenstruels, ou des douleurs de règles, ou des sédiments plus importants. Alors, quel est cet impact ? Effectivement, il y a tout ce qui est... Et après, l'impact, c'est des modifications effectivement de l'humain. Je vais vous donner un exemple. C'est un exemple un peu caricatural. J'ai un monsieur comme ça qui est venu du centre de la France venir me voir. qu'il avait une femme qui faisait des tentatives de suicide, ces tentatives de suicide, on ne peut pas faire de psychothérapie dans ces cas-là, on peut rien faire. Donc en fait, il avait observé que c'était à peu près cyclique, mais personne ne l'écoutait. Donc il s'est dit, je vais prendre un endocrino. Il a pris le mot. m'a choisi parce qu'il a trouvé que l'arrondissement était pas mal. Parce que j'ai demandé pourquoi. Bref. Et en fait, elle se mettait en rhinopause. C'est-à-dire qu'elle avait une chute hormonale monstrueuse juste au moment des règles. Et c'était là, effectivement, elle faisait ses tentatives. Parce que j'ai fait faire des bilans monopoles pendant toute six mois en bassin. Pour excéder. J'ai bourré un peu d'hormones. Après, elle a pu faire une psychothérapie. Et puis, ça a paru. les choses qu'elle a vécues. Vous savez dans l'enfance si on prend une classe d'âge maintenant, on voit très bien qu'on a vécu des traumatismes et que dans tous ces problèmes de polémies, de soie, de dépression, il peut y avoir aussi des traumatismes qui ont été enfouis et qui ont été des bombes à retardement. Je vois ça pour des années de tiernité. Il faut savoir interroger ce qui s'est passé. Donc en fait, il y a une fluctuation qui est beaucoup plus importante chez d'autres, qu'on peut corriger effectivement par le fait du rédimension, qui peut influer, parce qu'effectivement, on peut avoir des petites résistances à l'insuline, un peu comme on a en fin de procès, si on a envie de sucrer avant les règles, des déprimes. Moi, ça m'est arrivé une seule fois, heureusement, une seule fois. J'étais avec mon ami, j'ai raté ma vie, j'ai raté ma vie, j'ai vu du noir. et ça a duré 10 secondes. Donc là, je sais ce que vous ressentez. Alors, je ne sais pas ce que vous ressentez. Mais je sais vraiment ce que peut ressentir une femme quand elle a un syndrome prémenstruel et quand elle a une chute d'hormones. Et ça, il faut remonter, effectivement, en expliquant avec les hormones et voir ce que l'on peut faire. Remonter l'estime de soi, parce que le problème de la femme, c'est qu'on ne se culpabilise pas. quoi qu'on fasse, on est toujours culpabilisé, on a un manque d'estime de soi et autres. Donc ça, il faut savoir expliquer comment fonctionne le climat hormonal, qu'est-ce que l'on peut faire. On a des examens que l'on peut faire, on a des examens de la distance à la semine, la musculation, des choses comme ça. Et là, on va venir travailler effectivement sur le... Voilà. Donc, je pense que c'est l'avis des femmes qui font que... C'est vrai que le fait qu'on ait des plaintes qui sont par rapport à nos humains, par rapport à nos vagues et autres... Donc on n'est souvent pas pris au sérieux. Et là, ce qu'on a montré en dépistage de maladies cardio-masculaires, c'est qu'effectivement, on n'a pas du tout les mêmes signes qu'une femme, on n'a pas les mêmes signes qu'un homme. C'est-à-dire qu'on peut très bien avoir des problèmes digestifs et qu'ils soient finalement un syndrome de menace au point de vue infarctus. Moi, ça m'est arrivé, ou une fatigue. Une fatigue, je vais vraiment faire très attention sur tout ce qui se passe ici. Une fatigue. on peut trouver un problème de coronaire, surtout qu'actuellement les femmes ne veulent pas de traitement, je parle de traitement tout le temps pour le cholestérol, mais il y a des gens qui se baladent avec 2 grammes de cholestérol LDL, qui ne veulent pas de traitement, et qui finalement ont les artères un peu bouchées. Maintenant les femmes aussi fument, elles ont pas du tout les mêmes signes cliniques. Moi je me suis fait avoir il y a longtemps, il y a 30 ans, en fait elle avait des signes digestifs, mais c'était un début de maladie chronique. Donc c'est pas du tout les mêmes signes, et puis on ne croit pas. Il faut arriver à croire quand une femme se plaint. Oui, c'est simple. Majestine, quand une femme prend un rendez-vous, elle attend trois mois, elle ne fait rien que dans la salle d'attente, elle a vu d'autres médecins et autres, il faut croire la personne qui est en face. Et surtout examiner. Moi, j'ai vu encore quelqu'un qui était en fibrillation auriculaire. C'est comme ça, il faut l'envoyer chez la cardio. Les téléconsultations, c'est énorme. On examine plus les personnes, on ne prend pas le temps. Le problème, c'est le temps médical dans toutes ces maladies. Je pense que toi, on a formé la Bénécole. Et c'est le temps, mais pas d'écouter de ce qui se passe, et de pouvoir mettre tout bout à bout, et de pouvoir aider, parce qu'en fait on est formé au CAIR, et c'est ça qu'on manque effectivement pour la femme. C'est la croix. Je vais vous donner l'exemple, le lévothyrox. On parle de lévothyrox. On a traité, je suis en le créneau, je suis en thyroïde, les patients, on les a traités. C'est vrai, je m'en souviens. Je m'en souviens. Et même dans les médias, les gens ont placé. Ça a été de mes patients d'hystérique. Moi, je les connais parce qu'ils sont fragiles quand même. Moi, j'ai des patients qui se sont pris des TGV à aller s'acheter des pilules quelque part en Suisse. D'autres qui ont subi. D'autres, moi, j'ai des femmes enceintes, la TSH augmentée avec des BV à l'intérieur. C'est-à-dire qu'en fait, on n'a pas cru les gens. On a balancé 3 millions de personnes. Alors, c'est un médicament féminin. Ça aurait été un médicament de mec, ça ne serait pas passé comme ça. Il y a eu un sartan, il y a eu un... Pour un médicament d'hypertension, pour reprendre le cancer, vous inquiétez pas qu'il a été rétretié. Et on a balancé 3 millions de personnes. Je ne savais pas qu'il y avait 3 millions de personnes qui prenaient des hormones thyroïdiennes. 3 millions de personnes, on les bascule sur un générique, puisque c'était un médicament modifié. Et à ce moment-là, vous pensez bien qu'il y a toujours un peu d'effets secondaires sur les médicaments, mais on les connaît. Non seulement il y a eu des effets secondaires, mais... en plus il y a eu ces médicaments à marge une croix donc il y a eu des personnes qui ont fait soit des hyperthyroïdies soit des dépôts et autres avec l'angoisse qui a eu plus de traitement puisqu'on nous a empêché de donner des gouttes des bébés parce qu'il fallait bien garder des hormones thyroïdiennes pour les bébés et donc ça a fait vraiment et ça on n'a pas cru les femmes et moi j'en veux beaucoup et d'ailleurs défaut d'information on n'était pas informés les médecins je suis désolée on ne savait pas on nous a nous est tombé dessus Et heureusement, moi j'ai un secrétaire téléphonique, des gens m'ont rappelé, et j'ai récupéré il n'y a pas longtemps, il n'y a pas si longtemps que ça, que j'ai pu récupérer des personnes du bout de la France où on ne voulait pas leur changer leur émotion. Ceci étant, je vous rassure, il y a beaucoup de personnes qui le supportent à Nouvelle-France. Moi, quand je récupère des personnes qui sont sous une nouvelle formule, moi je les laisse, etc. Mais cet exemple de l'évotirox, c'est pour vous montrer qu'on ne nous a pas cru. On n'a pas cru les femmes. Et ça, c'est fait quoi ? Parce qu'il a été montré qu'il y a eu beaucoup d'hospitalisations, il y a eu des arrêts de travail. Finalement, qu'est-ce qui s'est passé ? Comment s'appelait déjà l'actrice ? C'est Annie Le Perret. Qu'est-ce qui s'est passé ? Moi, je pense que ce qui s'est passé, elle avait sa pièce de théâtre, elle faisait faire jouer les assurances. Quand vous mettez un arrêt de travail, les salariés, je pense qu'elle avait un gros problème à l'aide du travail. Il y a eu des personnes qui ont eu du mal. Je pense que ça a joué sur le site de Crepes. Un peu comme les statines, il y a des personnes qui n'arrivaient plus à lancer après la CRU. On a montré qu'il y avait beaucoup plus de consultations, d'hospitalisations. Juste une petite question sur la société publique. On s'en fout d'histoire. Est-ce que c'était lié ? à un excipient différent, où la molécule était différente. C'est vrai que c'était d'une violence inusible. Moi, les femmes les plus équilibrées que je connaisse, qui étaient comme des folles, tellement elles ont mal supporté, et effectivement, il n'y avait aucune égoût dans leur vie, alors ça a changé. Et je voulais savoir, quelle est l'expression rationnelle ? Plusieurs. Il y a eu plusieurs. L'excipient ? Il y a eu un long, il y a eu un problème avec l'excipient. Il y a eu. On rappelle que l'évotirox était le seul où on ne devait pas donner de générique, parce qu'il y a eu un problème avec le générique de Manicol, ce qu'il y a trois mois. C'était le seul où on ne donnait pas de générique, effectivement. On a envie du même, mais après, moi, je ne sais pas. Il y a eu ça, il y a eu un autre, on me dit, l'effectueux. Il y a eu effectivement effet secondaire par rapport, effectivement, parce que c'est toujours la molécule de base qui est la même, l'évotirox. Et après, c'est l'excipient qui change. Oui, c'est ça. Donc effectivement, il y a des intolérances aux exécuences, c'est comme ça. Et puis surtout, il n'y avait pas l'équivalence. C'est-à-dire que tu bascules de l'un sur l'autre, et il y a eu une mauvaise étude sur l'équivalence de doses, en fait. Et on fait très attention, voilà. Une fois j'ai mis le dossier, effectivement, les gens sont bien en hyper, les autres en hypo, et c'est surtout aussi pour les parents-saintes, ou d'autres, les parents-saintes, les parents-saintes. Donc c'est pour vous montrer que les femmes, on nous... et sont très belles, les livres qui sont donnés. Le Comité national de femmes françaises l'année dernière, j'étais au Sénat, a fait toute sa journée sur, effectivement, la santé des femmes. Et c'est bien que cette journée soit faite aujourd'hui. Donc, il faut savoir se faire attendre et savoir qu'effectivement, les signes, ce ne sont pas tout à fait les mêmes. Il peut y avoir un ballonnement, j'ai trouvé sur les ballonnements à Domino, à la France des Auxerres, où quand même, il y a affaire, effectivement, c'est quand même que ça devienne des fatigues. Des fatigues où, c'est, on sait dire... ça peut être un petit conseil avec vous, il ne faut pas vous affoler il faut croire il faut être écroué avec le messia et savoir écouter écouter vous croire, écouter croire on est là pour vous venez il y a quelque chose qui va pas et on est là pour vous aider et je trouve que c'est important c'est important qu'il y ait effectivement un lien qui se passe les uns avec les autres Oui, il y a tout un sujet lié à l'information et à la désinformation, notamment sur les traitements hormonaux substitutifs, pour soulager les désagréments de la ménopause, qui peuvent aussi avoir des impacts et des conséquences majeures sur la santé de la femme. Je vous laisse dévoiler ce que vous dites. Pour le raccourci, dès que la femme n'a plus du tout d'estrogène, qui est l'hormone principale, il y a un certain nombre d'organes qui vont commencer à... mais dans tous les sens. Le premier, c'est le cerveau qui va être touché, mais ça va se manifester. Alors, c'est différent selon les femmes. Il y a des sueurs, des bouffées de chaleur, un manque de sommeil, une irritabilité ou une dépression. Il y a des femmes qui font des dépressions, comme la veille des règles, à cause de la chute des hormones. Mais ça va toucher aussi les muqueuses génitales qui vont devenir plus sèches. La sexualité n'aura plus d'intérêt. D'ailleurs, les femmes... me disent, je n'ai plus de bidon, je n'ai plus de bidon, mais qu'est-ce qui se passe ? etc. Ça va toucher ses artères, vous en avez fait l'abusion tout à l'heure, ce qui est un signe grave, parce que effectivement, le cholestérol, faute d'estrogène, le cholestérol va se décliner davantage sur les artères et les bidons. Donc il y a un certain nombre d'insertions sur la faute qu'on maîtrise totalement, parce qu'effectivement, on fait de la faute, tu l'as très bien dit, Mais il y a des normes dans le diagnostic, les normes c'est toujours trop tard. L'homme, on connaît l'actrice, l'ouvreuse, qui sert par là, etc. Tout le monde sait comment elle parle. Mais la femme, elle dira, j'ai un peu mal au bras, ou j'ai ça, j'ai ça. On lui donne une mammographie, pensant que c'est le sein. Je vous assure que ce n'est pas une blague. On n'y pense pas. Le cœur, c'est très important. Vous avez des os. Tout le monde, apparemment, s'en fiche des os. On ne sent rien. Mais vos os, dès que vous n'avez plus d'hormones, ils deviennent poreux et ça se manifeste beaucoup plus tard à la ménopause ah pas à la ménopause, plus tard, bien après à la ménopause et là ça se manifeste par soit des douleurs, soit surtout des fractures or on peut éviter les fractures donc voilà, vous avez un certain nombre d'une zone dans tout le corps qui sont touchées, les douleurs articulaires, enfin bref et ce traitement hormonal puisque je suis devenu presque une croisée de traitements en malade et des banques avant il ya 30 il ya 20 ans et 20 ans exactement avant l'étude fatidique 2002 est ce que tout est enfin plus la moitié des femmes mais nous posait prenait un traitement et elle était enchantée un nom était ravi et surtout beaucoup et puis il ya eu cette étude qui a dit il y a un peu plus d'accidents cardiovasculaires, donc il y a eu des femmes qui ont eu des embolies, des choses comme ça, et un tout petit peu plus de cancers du sein, mais pas tant que ça. Bref, il a suffi qu'on dise qu'il y avait plus d'accidents pour que tout s'arrête. Tout le monde a eu peur, il y a des patients qui jetaient leur traitement à la poubelle. Il y en a d'autres qui faisaient l'inverse, qui venaient me voir, donc je préfère vivre 5 ans ou moins, mais je ne veux pas que vous m'arrêtiez mon traitement. Je me souviens de ça. Cette phrase qui revenait dans le même, je veux continuer. Donc, pourquoi il y a eu ça ? C'est parce que cette étude a été faite, parce que les femmes reprochaient aux autorités de ne faire des études que sur les hommes et pour les hommes. Donc la demande était très forte, l'investissement était très important. Il fallait 10 000 femmes, je ne sais pas si vous le voyez, mais 10 000 femmes dans une étude, c'est énorme. C'était versus possible. Bon, certaines l'avaient, d'autres ne l'avaient. Donc, ils ont pris toutes les femmes qui se présentaient, c'était souvent les plus doux, les plus malades, etc. Donc elles avaient en moyenne 60-65 ans, c'est l'âge que l'on commence le traitement de la femme, elles étaient hyper tendues, les trois quarts étaient en surpoids ou obèses, ce qui n'est pas non plus forcément une bonne chose pour commencer un traitement de la femme. Elles étaient hyper tendues, elles avaient un du diabète, etc. C'était une femme qui n'était pas américaine, très enfance. Donc l'étude était biaisée. ça a été biaisé et on a généralisé, c'est un énorme malentendu, on a généralisé à tous les pays, et notamment à l'Europe et surtout la France, qui avaient inventé des hormones naturelles, l'estrogène c'était un équerre, le pétanéquet, l'iestrogène et la progestérone naturelle, le progestan, comme vous avez peut-être compris, comme dans le Mojotwi, aux femmes enceintes, etc. Et c'était des hormones, pas à partir de mer, mais des arbres. des hormones dans des entreprises, chimiques, mais micronisées, donc naturelles, et par voie cutanée, parce qu'il n'y a pas d'impact sur le canal, enfin, mauvais impact sur l'enveloppe. Donc si vous voulez, ce traitement à la française était beaucoup mieux que le traitement à l'américaine qui existait aussi en France. Et c'est seulement en vérifiant tout ça que tous les chercheurs ont dit à l'unanimité que les tubes étaient biaisés. Mais le problème, c'est que les gens sont bloqués. On est passé de plus de 50% de femmes traitées, et les biens, et les rôles, etc. à 10% seulement. Voilà. Alors, je vais enlever ça. Je suis toujours prête à expliquer tout ce que vous voulez, mais passez des heures à expliquer, tellement c'est important, parce que ça vous permet d'être complètement normal. Comme un homme qui continue sa vie, on vieillit, mais la ménopause, c'est une cassure quand même dans une vie. Il y en a qui disent qu'elles n'ont rien, elles peuvent s'adapter, mais elles n'ont pas rien, parce qu'elles ne savent pas où en sont leurs os, elles ne savent pas où en sont leurs artères, ça, elles ne surveillent pas. Et la sécheresse vient plus ou moins tôt, sécheresse des muqueuses. Donc, si vous voulez, tout le monde, tout le monde, après la ménopause, est trompé de façon plus ou moins désagréable. Donc, il ne faut pas se dire qu'il y en a qui se sortent. Non, il y en a qui veulent s'en sortir, alors elles c'est le même discours, ça sent bien. Ben voilà, vous sortiez lentement, alors pour les... Pascaline va nous dire qu'il y a d'autres moyens. Moi je parle parce que c'est très rapide, très simple. En 15 jours, vous êtes transformé, c'est pour ça. Dans une tête, il faut faire des efforts, il faut s'oublier son alimentation, il faut faire des exercices, c'est plus ou moins. Je voulais juste préciser comme un chiffre édifiant, parce que vous le connaissez déjà, les femmes... c'est plus de maladies cardiovasculaires que de cancer du sein. C'est vraiment important. Et il y a un professeur qui n'est pas là, qui est Chloé Meunier, qui nous tente avec le bustucar, qui est une élite, qui est activement pour les garages sauvages partout en France. Elle a été visitée par 5000 personnes en 2014. Et donc c'est vraiment important, parce que oui, les stigmes et les signes avant-courant d'un malaise cardiaque, on ne les connaît pas. Même la science ne les connaît peu. Il y a quelque chose de très simple. C'est effectivement, il y a beaucoup de personnes qui sont réticentes, et on sait pas même si elles sont hartées sur les statistiques. C'est que nous avons le score calcique. Et ça, c'est vraiment un outil pour faire un triage. Désolée, mais bon, la bonne chose. C'est-à-dire qu'on a vu, il y a des personnes qui ont observé que les personnes qui se baladent avec 3 grammes de cholestérol... et LDL. Alors HDL, vous dites que c'est le H2E et le L2. Donc, il y a des LDL, une épouse qui se dépose, qui sont très hauts, pas de complications dans les familles. Et puis, il y en a d'autres qui, effectivement, vont faire des complications. Donc, qu'est-ce qu'on fait maintenant ? Et je me souviens, j'ai quelques patients, là, dernièrement, surtout pas de traitement, je dis, OK, OK, pas de traitement, il y en a beaucoup aussi, les autres ne fumaient pas. On fait un score calci. sans injection, sous la nerf, sans injection, on vous met et clac ! Calcification des coronaires. Et ça c'est génial, je trouve ça formidable. Alors après on voit ça avec du cardiologue, etc. Parce que quand on a un problème de cholestérol, on vous fait juste des carotides, ça fait combien de sang ? C'est un score calcique, c'est tout simple. Et là on arrive à voir ce qu'il faut traiter, il y a des scores calciques à 0, il y en a à 40, etc. Moi j'arrive comme ça, plus ou moins, 700. On attend de lui dire qu'il n'est plus plus plus. Surtout que maintenant, ce qu'il faut savoir, c'est qu'à l'heure actuelle, je voyais un médecin qui travaillait dans le cardiologue, et on a fait énormément de progrès. On ne s'est pas fait de progrès en tant que chirurgie et autres, mais là, ça permet de prévenir, de prévenir l'événement que l'on va avoir. On ne va pas faire un intervalle, mais après, on va prévenir. le développement de ces plaques et on arrive à régresser et avec de l'exercice physique à refaire la circulation de l'intestin. Et ça c'est très très important et il ne faut pas avoir peur effectivement des traitements qu'on peut faire. Bonne nouvelle, les cardiologues acceptent les statiques de la lumière de la bouche, parce que maintenant vu que c'est instable sur les cholestérols, on arrive à avoir effectivement une hygiène de vie et autres qui permettent. Et puis un autre examen qui est important, moi je trouve que c'est surtout quand on est en facteur de risque de... de fractures dans la famille ou de stéoporose, les membres qui sont vincés, etc. c'est de faire une encephalite osseuse qui a beaucoup de carences en vitamine B et de l'âge. Vous avez vu que nous sommes en majorité des mauvais synthétiseurs de vitamine B. Bon, on vit dans nos drogues, certes, mais après vous avez des gens qui vivent au soleil ou des sportifs qui sont au soleil et on voit qu'ils ont quand même des mauvais synthétiseurs de vitamine B. Je pense que quand même, il faut fabriquer à partir du cholestérol, et quand même, il faut avoir le cholestérol, mais ça c'est une histoire. Donc on a ce couple de vitamines qui manque en fait. Il faut savoir en donner, je sais qu'avec des hormones thymidiennes, j'en donne régulièrement, pour protéger le dos. Et pourquoi pas faire un dépistage, puisqu'on sait que dans les 50 années, on nous pose effectivement... Il faut aussi en faire un dépistage. Voilà, faire un petit dépistage de densité osseuse, boire pour demander, et à ce moment-là de reboire. surtout que les abords classiques, ce n'est pas terriférique puisque tout le monde procéder comme une touche allergique et intolérante à la casinine. Donc tout le monde a enlevé, bien entendu, tous les protéines qui ont baissé, donc ont fragilisé d'autant de tronces. Voilà, donc il y a ces deux examens, je trouve que c'est important, mais le score classique, ceux qui ont des antisémiogarnes vasculaires dans la famille ou des cholestérols qui sont malades, je pense que c'est vraiment quelque chose de simple et je pense que c'est un outil pour toutes les femmes. Pour celles qui sont... On ne va pas le faire à tout le monde. Non, non, non, non. C'est vraiment pour essayer de voir qui est ce qu'on va traiter. Il y a une question là, si je vous en prie. C'est juste pour l'examen. C'est pas un principe. C'est une connaissance. Non, c'est un souvenir. Si vous avez des grosses machines, vous savez qu'il n'y a pas d'injection. C'est comme une densité osseuse, on vous met et on regarde si c'est du gruyère ou si c'est du ponte. Je trouve que quelqu'un qui fait un NL à 82 ou à 50 ans, vraiment c'est sauver la vie de quelqu'un et prévenir des complications. Est-ce que les femmes aujourd'hui sont bien suivies par leur gynécologue ? Parce que quand j'entends... Il y a presque moins de gynécologues, il y a un problème. Il y a plus de sages-femmes, mais dans le domaine de l'obstétrique, c'est très bien. Mais il y a toute la médecine à côté. Alors, ça va monter le nombre des gynécos, mais il faut savoir que pendant 17 ans, on a arrêté l'enseignement de la gynécologie médicale, parce que les obstétriciens voulaient être les seuls chefs. et elle tout seul. Or, ce n'est pas tout à fait pareil. C'est la chance en France, on a une seule pays où on a à voir à la fois des obstétriciens qui sont des accoucheurs et qui opèrent. Et puis, les gynécologues médicaux, eux, s'occupent de cette sorte de généralisme pour la femme qui est centrée sur la gynécologie, mais alors qui sont beaucoup plus à l'écoute, qui sont obsédés par l'idée d'opérer. Je vais vous donner un exemple. En France, seule, 7% des femmes ont perdu leur utérus, c'est-à-dire ont perdu. On les a opérées parce qu'il y avait un sémastat, parce qu'il y avait un homme, parce qu'il y avait une femme. En France, vous savez combien ? La moitié des femmes n'a plus d'utérus. La moitié. Pourquoi ? Parce que ce sont des chirurgiens, et un chirurgien, ce qu'il aime, c'est opérer. Donc, dès que vous saignez, pour un oui ou pour un non, il faut que vous ayez passé la quarantaine, vous avez déjà un enfant ou deux, et encore. C'est le cas. « Oh madame, vous allez tellement mieux, c'est fini, vous n'aurez plus de saignants, ça se tue, vous n'aurez plus rien, on enlève l'hypothérapie. » 50% des épisodes, et ce sont souvent des hommes. En France, les gynécologues, on dit que c'est tout. Et voilà, c'est tout. C'est le scandale avec les bêches, sur le colapsus, les bêches. Ah, c'est le TVP, les bandelettes. Les bandelettes, on va les faire ensemble. Oui, on va se parler des bandelettes, c'est tout. c'est un vrai problème parce que l'un repart de la continence urinaire c'est vrai que l'on t'a pas élu et la continence urinaire des formes parce qu'il ya deux types d'un continent sur une ère vous avez celle qui vient ça des fuites parce que vous pourrez vous tous et vous ça ça vient d'être à 100 points de venir et puis vous avez l'autre on appelle par urgenturie c'est à dire vous avez une très grande envie d'aller faire du pays vous vous dépêchez, mais le mal de la douille, vous n'arrivez pas à vous retenir à la fin. Ça, c'est intraféquence, et ce n'est pas tout à fait les mêmes causes, et ça se traite différemment. Notamment quand c'est une urgence, c'est une hyper-excitabilité de la vessie, et avec des médicaments, vous pouvez y arriver, plus une rééducation, kinésie, voilà, qui est un peu bon, mais enfin, qui est efficace, si elle est bien faite. En revanche, celle d'effort, la kinésie ne marche pas toujours, et souvent pas. On propose une intervention qui s'appelle une pose de bandelette. C'est un peu comme un joint, mais extérieur. Ça ne dure pas longtemps, ça paraît simple, et en fait c'est très compliqué. Donc il faut voir vraiment les meilleurs chargés, ceux qui connaissent tous les types de bandelettes, parce qu'il y a plein de sortes de bandelettes, il faut l'adapter à votre anatomie, à tout. c'est vraiment dépendant du médecin qui vous la pose. Parce que ce n'est pas un scandale de vous poser une branlette. Les femmes sont très contentes, elles sont en pleine tête, elles se disent, je ne peux pas recourir, je peux faire ci, je peux faire ça, je ne mets plus de protection, c'est quand même formidable. Quand ça se passe bien. Oui, quand ça se passe bien, vous allez verser. Mais là, il y a effectivement certaines parties, ça se passe pas mal, qui souffrent, attention, et tout, et tout. Donc là, il faut vraiment prendre son temps et choisir un chirurgien qui fait beaucoup ça. Le neurologue spécifique, c'est bien difficile. Donc là, vous pouvez payer ça, ça vaut le coup. Parce qu'ils sont très rares ceux qui ont peu d'accès. Le hôpital virus. Ah, voilà, ça c'est devenu une thème. En fait, il existe depuis toujours, mais il y en a de plus en plus. C'est la maladie sexuellement spécifique la plus fréquente. C'est-à-dire que 80% des gens sont atteints. à peu près. Alors, c'est un virus qui s'appelle le papillomavirus. Il y en a une centaine. Mais il y en a une bonne dizaine qui sont oncogènes. C'est-à-dire qu'ils peuvent provoquer un cancer du col de l'utérus, de l'anus, du pubis, du... Ah ! Le pénis, pardon, et dans la gorge. Et c'est le contact, c'est un contact avec soit la moucle, soit la gorge, etc., qui entraîne la présence du virus. Ce virus, il peut soit passer en touriste, il est là, mais il ne reste pas. Si vous ne fumez pas, si vous avez une vicenne, si vous avez une bonne défense immunitaire, chez les jeunes notamment, que vous êtes très jeunes, il disparaît. C'est pour ça que maintenant, ils nous demandent de faire des frottis à partir de 25 ans, non pas 18. Parce qu'entre 18 et 25, il y aurait presque 100% de femmes qui auraient ce virus. Mais Tomy part, ça ne sert à rien de lui faire peur, ça ne sert à rien d'opérer, ça ne sert à rien de faire des biopsies et des choses très compliquées qui sont passantes. Donc on dit, on attend 25 ans et puis là, on fait et on regarde. il faut faire très attention, la nouveauté, la grande nouveauté, c'est qu'avant, quand on faisait un frottis, c'est ça un étalement des cellules sur une lame, et on regardait la lame, et on voyait s'il y avait des cellules normales et pas normales. Donc on disait frottis comme ci, comme ça. Maintenant, c'est une nouveauté, ça c'est assez extraordinaire, c'est qu'on a le moyen, par biologie moléculaire, c'est pas du tout la même technique, c'est toujours un frottis même, mais biologie moléculaire, liquide, de trouver l'ADN. du virus, non seulement de découvrir l'ADN du virus, mais en plus de le numéroter. Alors on sait que le 16 et le 18, c'est les plus méchants. Si vous avez un 16 et un 18, là il faut faire attention, il faut le surveiller, il faut faire des examens, parce qu'il peut faire des dégâts et très vite. Il y en a d'autres qui évoluent lentement. Dans l'ensemble, ça évolue lentement, mais l'avantage de faire ce test HPV, c'est que s'il est là, on sait que vous avez un risque, surtout si c'est un 16 ou un 18. Donc, on oriente maintenant davantage les frottis. Avant, c'était très très cher de faire ça. Maintenant, il y en a un peu, ça valait une fortune, c'était pas remboursé. Maintenant, ça vaut le prix d'un frottis classique et c'est remboursé. Donc, c'est un privé, parce que, en plus, si vous n'avez pas le virus, on peut espacer les frottis. Sauf si vous avez eu 50 partenaires entre temps. Alors là, il faut changer. Pratiquement à chaque nouveau partenaire, il faut refaire le test, parce que le risque est de 80% des gens. Alors, bonne nouvelle, mauvaise nouvelle, c'était qu'en France, on était les derniers, les bons derniers pour le vaccin, parce qu'il existe une vaccination, c'est quand même préventif, le casier, à 100%, mais enfin, pour les formes graves, oui. Et en France, on était 20% seulement, il y a encore quelques années, à être vaccinés. Il fallait être vacciné jeune, mais les mères disaient, je ne veux pas. nous nous anticipons sur la sexualité de ma fille, c'est elle qui verra. C'était trop tard quand c'était la fille, c'était trop tard. Donc, maintenant, heureusement, grâce à la ministre de la Santé, Mme Buzyn, on a, elle a rendu le crédit obligatoire, et surtout elle l'a ouvert aux hommes. Et la nouveauté, c'est que maintenant, c'est fait dans les écoles. Donc, ça y est, on est en train de rattraper notre rôle. On sait que, en nouvelle... en australie et aux états unis ou ailleurs il y a beaucoup moins de cancer du col que chez nous en france nous on a encore en france alors que nous avons 0 3000 cas de cancer de l'utérus sachant que c'est un cancer qui tue une personne sur deux c'est un très mauvais cancer on peut le prévenir en faisant une vaccination il faut le vacciner en 14 jours voilà donc attention tout est organisé garçons et filles ce nouveau non plus les deux puissances je pense que quand elle est un peu il faut pas trop petit sauf pas qui qui porte le virus c'est assez simple et ensuite faire affronter un gouvernement vous pouvez voir chercher le fameux htv et on peut s'en sortir le site la question à deux minutes il y a une question une question peut-être profiter de nos intervenants. Alédie, je vous en prie. Oui, il faut bien compléter ce que vous avez dit. Oui, prise en charge, voilà, comment on va faire cette prise en charge, en complément de ce que vous avez dit. Alors, une nature ouverte, on ne prend pas un chômage, en fait, il n'y a pas d'inversant, il va se prendre un chômage, et on va aller chercher des informations dans le thème de la médecine. Voilà, la nuance est vraiment importante. Et moi, je conseille aux femmes, en fait, je leur dis, la ménopause, on sait qu'elle va arriver, elle va tomber dessus comme ça, du jour au lendemain. Donc, moi, j'invite déjà, dès l'âge de 40 ans, en fait, à adopter une meilleure hygiène de vie, que ce soit par l'assiette. Et aujourd'hui, il faut voir... Pour beaucoup de personnes, c'est très compliqué de bien se nourrir. C'est brûlé par énormément d'industrialisation, d'en venir à des choses simples, mais également de prendre ce temps de reconnexion avec son corps, que ce soit par le sport, que ce soit par des ressources comme la méditation par exemple. C'est revenir à soi, pour apprendre à mieux se connaître, se comprendre. Et pour moi, ce qui est important dans la prise en charge, dans l'accompagnement de la nourriture, c'est vraiment pour les femmes de connaître leur cycle menstruel. Il y en a beaucoup qui ne le connaissent pas, qui le subissent. Moi, j'invite à coopérer avec le cycle menstruel. Par exemple, les deux premières phases, souvent du cycle menstruel, la fin de pleine d'énergie, c'est ce qui est souvent aussi valorisé par la société. Et puis, les deux dernières phases, donc la phase prémenstruel et la phase menstruel, il y a cette supermonde où elles sont plus fatiguées. C'est moins bien valorisé. Il y a vraiment cette perte d'estime de soi parce qu'on a l'impression de ne pas être adéquate. Donc, de remettre aussi, de comprendre... ... même si on est fatigué, c'est normal pour le sens de l'emportement. Donc il y a tout un accompagnement de mieux connaître la personne, qu'elle se connaisse mieux, pour pouvoir, je dirais, arriver au moment de la myopause, quand les premiers quatre nuages du cycle menstruel arrivent, qu'elle ne s'étonne pas, qu'elle ne se voit pas étonnée en se disant qu'est-ce qui se passe, mais là d'avoir déjà mis en place des choses pour elle, et puis... effectivement d'aller dans le gynéco, de discuter avec, savoir s'il n'est pas au traitement ordonnal, et d'avoir cette possibilité, parce que quand on a un rythmochois, je n'ose pas faire souffrir des femmes qui sont bombées de symptômes, et en fait, ce n'est pas que je suis démunie, mais ça prendrait... je vais découper... ça prendrait beaucoup de temps d'inverser la tendance, et donc c'est vrai qu'il y en a qui vont vers un traitement ordonnal, pour un temps donné par exemple, plus longtemps, pourquoi pas, pour pouvoir passer ce cap et se dire qu'est-ce que je mets en place pour moi ? en ayant cet espace de respiration où je ne vais pas être submergée par tous ces symptômes et ne plus savoir vraiment ce qui se passe pour moi. Mais vous avez raison, c'est justement la première cause, c'est le moment où la femme a besoin d'une aide qui ne soit pas médicale. Ce qu'on ne donne pas de mémoire intervenue. C'est pour ça que moi, mon propos, c'est dès 40 ans, on s'intéresse à ce qui se passe pour soi. Quand on est une femme, et quand on sait que... Quand on est une femme, on sait que ça va arriver. Je veux dire, c'est inscrit dans notre vie. La ménopause n'est pas isolée du reste de notre vie, c'est un passage. Je trouve que l'accompagner au mieux, c'est de l'anticiper. Aussi, pour moi, la santé des femmes, c'est une question de transmission. Questionner sa mère, ses dents si on en a, ses soeurs. De savoir ce qui s'est passé pour elle, parce que je trouve que... encore aujourd'hui alors qu'il y a quand même beaucoup d'informations qui est faite sur le Ménopause, il y a des femmes qui arrivent terrorisées et démunies. Ça pour moi, c'est insupportable. Chaque femme mériterait d'avoir une information la plus large et la plus diversifiée possible. Moi, c'est ça qui est un but. Merci Pascaleine, Mme Pignat-Pin, on arrive à la fin de la vidéo. C'était une page ensemble. Merci Paul. Merci à tous d'avoir été avec nous pour votre écoute, vos questions, votre énergie. qui nous a nourris tout au long de cette journée. Merci à mes doucines pour nous avoir offert cette tribune. J'ai été enchantée, honorée, et puis même par la bienvenue, j'espère. Ciao, bienvenue à tous. Je suis très contente de faire une sortie à la fin de l'année. Je suis très contente de faire une sortie à la fin de l'année. Je suis en train de venir. Voilà, pour vous montrer qu'on est engagé dans cette situation. Et là, c'est moi, comme ils vont, c'est l'association de trois laboratoires que vous connaissez bien. C'est un homme, Herbalgem, PioFleural, c'est un laboratoire de vie essentiel, c'est un homme. Herbalgem, c'est la géométripe, c'est la férale. Et puis, vous avez Biofloral qui est un laboratoire d'élixir fluoro, de fluorobac. Et c'est à travers ces trois marques que nous, on va proposer une prise en charge globale de la femme de manière naturelle et efficace. Et pour ce cas, c'est important pour nous, et moi par exemple, je suis une femme, je suis pharmacien de formation, je suis thérapeute en complémentaire, c'est important d'accompagner les femmes et les femmes sont en souffrance et souvent n'ont pas de réponse, elles ne trouvent pas de réponse. c'est pour ça que la MSA, c'est vraiment important que vous soyez au courant, que vous pouvez les accompagner aussi avec des compléments alimentaires dans ces phases de transition où on ne veut pas nécessairement le vivre, on va chez la diététicienne, chez la nutritionniste, chez la nature, et que les hommes sont en place dans le protocole, parfois les compléments alimentaires vont vous aider à aider cette femme rapidement et scientifiquement. Et avec la recherche que je vous ai montrée, c'est notre expertise qui nous a donné là. Mais c'est surtout important pour nous, parce que l'INULA, on s'est engagé dans cette démarche LSE d'accompagner la santé de la femme et plus spécifiquement dans son engagement de la femme atteinte de l'enceinte. Pourquoi ? Parce qu'on a des solutions naturelles et on sait que l'aromathérapie, tout spécifiquement, démontre des belles preuves d'efficacité dans cet aménagement de la femme atteinte du cancer. Notre engagement à nous. Par rapport à notre expertise aromale, c'est de faire connaître qu'on peut venir, alors on fait une petite aparté sur le cancer, on n'en a pas parlé, mais on vient avec des types olfactifs de manière très très très simple, celui-là j'ai l'exemple, c'était les nausées, les vomissements, les douleurs du cancer, on a une belle expertise là-dedans, moi-même je donne un produit une journée en cancero pour tous les professionnels de la santé qui veulent maîtriser l'approche aromatique et de l'améliorement. de la santé, on accompagne énormément d'unités cancéreuses, de centres hospitaliers, de maisons d'accompagnement, parce que vous savez que le cancer est pris de plus en plus de manière globale avec la réflexion de vie et autres. Et donc nous, on accompagne énormément dans la mise en place de protocoles pour soulager les symptômes. Et les études se font, par exemple, sur l'antité ou sur la dosée. Voilà. Donc nous, on est à même avec les services qu'on a de pouvoir... accompagné dans la mise en place de protocoles et en participant à des projets de recherche. Un gros projet de recherche qui va être mis en place à l'hôpital de Caen pour une étude vraiment scientifique pour démontrer justement la pertinence parfois de gestes très simples dans une efficacité et dans des protocoles de santé. Le cancer c'est très médicalisé, il faut faire très attention. On vient proposer de la chromathérapie des huiles essentielles des spicophactifs. Ça fait parfois un peu... Mais le monde de la cancéro est spécialement ouvert à trouver des solutions. C'est les huiles essentielles qui ont commencé à faire partie du protocole de recommandation de différents organismes qui défendent ces choses. C'est important dans la santé de la femme, et on l'a bien entendu, la femme est gouvernée tout au long de sa vie par son niveau d'hormones, par ses hormones, on a beaucoup parlé des estrogènes, effectivement c'est eux qui vont. Peut-être qu'on est des femmes, mais c'est ces estrogènes aussi qui vont, malgré tout, nous amener à la spiritualité, à avoir un chemin de vie et tout. Donc, c'est vraiment quelque chose qui est très, très important. Et oui, on est victime aussi de ces fluctuations hormonales. Et c'est comment on va pouvoir appréhender justement bien toutes ces phases. C'est ce qui a été dit ici dans la conférence. Et comment nous, à travers des compléments alimentaires, on va pouvoir venir accompagner aussi ces différentes phases. Quand on comprend bien la physiologie, on sait venir avec des plantes et des bourgeons. Ça, c'est une observation chez Herbagem. Donc, c'est de la gémothérapie concentrée qu'on a désampolysée. Et ça, c'était très important dans le processus, c'est de rendre plus accessible à un plus grand nombre cette gémothérapie qui contient un peu d'alcool. On a trouvé un processus qui permet de garantir les polyphénols si importants dans cette gestion. de l'inflammation, de l'oxydation, de toutes ces maladies, en endométriose, dans le cancer aussi. Mais ce que je veux vous dire à travers ça, c'est qu'on a réussi à formuler de l'ingénuo, désalcoolisé, en génule végane. Et pourquoi je dis ça aussi ? Parce que c'est sans lactose, sans gluten, et qu'en général, toutes ces femmes qui ont aussi des problèmes hormonaux ont toutes ces intolérances. Et quand il y a des compléments alimentaires, il faut regarder qu'il n'y ait pas de lactose. pas de sucre et pôtre, et c'est toujours une galère. Donc voilà, on a voulu faire quelque chose de très simple. L'association de, en général dans la formule 3, le jouissement spécifique de la phase hormonale. plus un extrait de plan standardisé avec publication qui nous permet d'avoir des vraies allégations, de ressortir de vraies allégations qui font que la femme va voir que ça me convient, oui j'ai du SPM, oui j'ai 40 ans et ça commence à marcher et ne pas être acceptable pour moi. Ah oui, je suis en mélopause, c'est la catastrophe pour moi. j'ai besoin de relever mon taux hormonal. Donc on a des formules avec phyto-oestrogènes et des formules sans phyto-oestrogènes, en fonction, vous savez, bien des antécédents de cancer. Donc pour nous, cette gamme, c'est une phase d'épique, c'est un truc qui est très important, on répond à toutes les phases de la femme, et ça, c'est ce qui va nous permettre d'avoir notre humeur, excusez-moi de dire notre humeur constante, et de ne pas être une piste qui est chiante, quand ça va moins bien hormonalement. Et après, on a toutes nos solutions spécifiques pour les problématiques de la femme. La cystite, c'est très gênant, on nous fout de faire des antibiotiques, et on a des obésites fondues aussi, olébiotiques, santé urinaire, où on a fait des preuves de cicatricité versus la molécule de réservance. On a les mêmes résultats, et ça peut venir dans les pratiques thérapeutiques. Même le pharmacien peut commencer à faire des trônes urinaires, pour vérifier si l'antibiotique est nécessaire ou pas. Nous, on a une réponse avec les huiles essentielles, puisque vous savez que les huiles essentielles sont efficaces sur les bactéries, les germes, les champignons et les parasites. Et donc, on n'en rend plus pas ou plus, on ne va pas engendrer plus de risques. Voilà, je ne suis pas là pour vous faire un tour sur chaque formule, mais c'est de se dire que toute la période difficile des règles, même d'une jeune fille qui a 12 ans, on commence à avoir ses règles. La géomothérapie, le féminagème, ça permet de soulager les règles de manière très efficace, rapidement et naturellement. Voilà, donc n'oubliez pas que toutes ces formules naturelles existent et vous pouvez accompagner et du coup répondre aussi à la demande de personnes qui ne veulent pas des hormones, qui ne veulent pas des médicaments. Ça fait partie des demandes des jeunes femmes actuellement, des femmes plus adultes aussi. Voilà, donc c'était ce qu'on voulait terminer par vous dire après cette belle conférence. La femme, c'est quelque chose d'important, c'est quelque chose de sociétal, de content, de bon, de bien, de bon. En plus, médecin et hôte, c'est important que vous sachiez où aller chercher les belles solutions, l'intérêt. Et pour terminer, comme vous l'avez dit, pour partir de la main vide, mes collègues vont vous donner un élément de chantier urinaire. La formule CITIC, une capsule trois fois par jour, cinq jours. On vide la boîte en prenant le réflexe antibiotique. Et une petite brochure sur Gémocaps pour que vous ayez à disposition la base de l'infant. Voilà, je vous remercie pour votre attention. Merci.

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La santé des femmes : nouvelles perspectives pour un bien-être global 👩


Et si la santé des femmes était enfin mise au centre des priorités médicales ? Cette conférence met en lumière les inégalités persistantes dans la prise en charge des femmes et propose des solutions concrètes pour mieux répondre à leurs besoins spécifiques.


Des inégalités frappantes en santé : Les femmes attendent plus longtemps aux urgences, subissent des retards de diagnostic et sont souvent sous-représentées dans la recherche médicale.


Des maladies sous-évaluées : L’endométriose, la ménopause ou les douleurs menstruelles sont encore trop souvent minimisées, malgré leurs impacts majeurs sur la qualité de vie des femmes.


L'importance d'une approche globale : Une meilleure prise en charge passe par une écoute active, une compréhension des cycles hormonaux et des solutions adaptées, allant des traitements hormonaux aux approches naturelles.


Rétablir l’équilibre : Les gynécologues médicaux, les praticiens et les naturopathes jouent un rôle clé pour offrir des solutions préventives et personnalisées, tout en sensibilisant sur les impacts des cycles hormonaux et des transitions comme la ménopause.


Des solutions naturelles et efficaces : Les plantes, la gémothérapie et l'aromathérapie offrent des alternatives pour accompagner les cycles féminins, soulager les symptômes de la ménopause ou traiter des affections comme la cystite, en complément ou en remplacement des traitements médicaux.


Un appel à agir :
Collaborer entre professionnels de santé, intégrer les femmes dans les décisions et transmettre des connaissances pour accompagner chaque étape de leur vie : de la puberté à la ménopause. Une conférence engagée pour replacer la santé des femmes au cœur des priorités médicales.


  • Dr. Paule Nathan - Médecin endocrinologue et nutritionniste

  • Dr. Anne de Kervasdoué - Médecin gynécologue

  • Pascaline Lumbroso - Naturopathe et praticienne en shiatsu, spécialiste de la santé des femmes

  • Modératrice : Amal Dadolle - Experte en bien-être holistique, fondatrice de BloomingYou.fr


Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

Transcription

  • Speaker #0

    Je pense que j'ai introduit. Oui, vous avez. Et là, ça marche. C'est bizarre. Je suis quand même en train de avoir des ressources. Je suis en train de me faire un biais. Alors bonjour à toutes et à tous. Alors pour ceux qui n'étaient pas là avant, je suis Amal Dadol, fondatrice du site Ausha de CoreXprim, l'oublier.fr. Alors, aujourd'hui on va parler, ce soir on va parler d'un problème qui touche... La moitié de l'humanité est pourtant qui intéresse si peu la santé des femmes. Les femmes passent 25% de leur vie en mauvaise santé de plus que les hommes. Pas parce qu'elles sont plus fragiles, pas parce que la biologie l'a décidée, mais parce que la médecine n'a pas été pensée pour elles. Pendant des siècles, on a considéré que le corps masculin était la norme. La femme, un homme comme un autre, mais avec des cycles menstruels en prime. Résultat, 1% des investissements en recherche médicale concernent les maladies spécifiquement féminines, hors cancer. Une femme aux urgences, elle attend en moyenne 30 minutes de plus qu'un homme avant d'être prise en charge. Sans diagnostic, retardée de 4 ans en moyenne pour des maladies graves. Elle a par exemple 50% de plus de risque d'être mal diagnostiquée après une crise cardiaque. Sur l'endométriose, il faut attendre 7 ans pour un diagnostic, parfois même 13 ans pour certaines femmes. Et ce ne sont pas des hypothèses, ce sont des faits que je vous invite tous à aller vérifier. Alors pourquoi rien ne change ? Manque d'intérêt, manque de moyens, manque de volonté, peut-être un peu d'énorme. Alors une solution pourtant évidente, quand une femme est soignée par une médecin-femme, elle a de meilleures chances de survie et moins de risque de réadmission. Les médecins-femmes suivent mieux les protocoles et passent plus de temps avec leurs patientes. Alors 2025 marque les 10 ans de la journée internationale des femmes et des filles en science. Et pourtant, elles restent sous-représentées dans la recherche médicale et les carrières scientifiques. Alors avant de penser par les hommes produits des solutions pour les hommes, il est temps de changer les rêves. Ce soir, on va parler de tout ça avec des femmes, des femmes engagées sur ces questions. Docteur Paul Nathan, vous êtes endocrinologue et nutritionniste, spécialiste de l'alimentation consciente et holistique. Vous êtes l'auteur de nombreux articles scientifiques et d'ouvrages destinés au grand public. Vous donnez du sens à son alimentation, vous donnez du sens à sa vie. J'ai oublié, j'aime Bob. Et à travers votre travail, vous mettez en lumière l'impact de la nutrition sur la santé et le bien-être en prenant une approche globale et préventive. Vous êtes également très investi, vous œuvrez activement au sein d'associations dédiées à la défense des femmes. femmes et des en avant. Anne de Carvazou, vous êtes médecin, gynécologue et auteur de nombreux ouvrages, dont le plus récent, celui qui ne me fait ni entendre, La vie intime des femmes. A travers vos écrits et votre engagement, vous levez le goût sur les préjugés et d'amour qui entourent le corps féminin et la santé intime, afin de favoriser une meilleure compréhension et une meilleure prise en charge des spécificités féminines. Pascaline Lombrose, vous êtes naturopathe et praticienne en Shiatsu, spécialiste du bien-être féminin. Depuis plus de 15 ans, vous accompagnez les femmes dans une approche holistique de leur santé, en tenant compte de leur nature cyclique et de leurs besoins spécifiques. Votre engagement autour de... de la femme de la ménopause, initiée dès vos 40 ans, vous a conduit à transmettre un regard neuf et bienveillant sur cette transition. Vous êtes l'auteur de Ménopause Métamorfose. Vous invitez à redécouvrir cet état comme une transformation positive et puissante. Alors, ma première question, je l'adresse à vous, à tous les voisins. L'impact du patriarcat sur la prise en charge de la douleur gynécologique est réel. Tant est-il bien qu'elle génère de nombreux tabous en gynécologie, y compris entre les femmes. Comment vous l'observez-vous ? Alors, dans votre pratique, ce que j'observe, c'est que pendant des années, La douleur des règles est aussi majeure que nous, peut-être traité avec une certaine condescendance. On estimait que c'était normal d'avoir mal sur ses règles, comme veut mère, comme veut coromère, tout ça est normal. La femme souffre, comme elle souffre pendant l'appuissement, ou bien elle souffre pendant ses règles. Et donc il n'y avait aucune écoute de la part. Je ne sais pas si les femmes étaient mieux que les hommes, mais en tout cas, les hommes, c'est certain. Je pense que votre élection ou patriarcat vient de là. Et ce n'est que tout récemment, finalement, qu'on commence à se dire que la douleur des règles est le symptôme d'une éventuelle maladie, maladie ou affection. Alors, je voudrais vous préciser que ce n'est pas parce qu'on a mal dans ces règles que c'est une endométrie au même temps. Il y a des douleurs, des règles, qui ne sont pas du tout le signe d'une endométrie. Simplement, on y pense maintenant. Tout le monde y pense. Avant, on y pensait trop tard, quand la femme était en douleur, quand elle était stérile, quand elle avait vraiment des complications de la maladie. Donc voilà, le patriarcat, oui c'est vrai, je suis d'accord. Alors l'endométrie gauche, c'est en plus une maladie assez difficile, parce que le seul signe c'est la douleur. En fait, c'est une maladie douloureuse et personne n'assiste. à ce qui se passe. En réalité, c'est un reflux, c'est une fausse route. C'est un reflux des règles vers le haut. Au lieu de descendre dans le vagin, il y a du sang venant de la muqueuse utérieuse qui part dans les trompes et à travers les trompes, qui va vers les ovaires, dans le péritone et même ailleurs, même la plèvre. Le tube digestif. Et donc cette maladie... C'est en fait des greffes, des morceaux de muqueuses, partout dans le bas du corps. Et ça, on ne sait pas. Les femmes ont très mal, elles n'ont pas mal uniquement dans leur utérus. Elles ont mal à tous ces organes, parce que toutes ces greffes se mettent à saigner et à faire mal en même temps, notamment au moment des règles. Elles réagissent comme si c'était l'utérus. Voilà. Alors l'endométriose, c'est ça. Alors, on a, donc, ils utilisent bien sûr des couleurs. contre la douleur des règles, ça c'est bien, mais il faut traiter autre chose. Parce que dans l'endométriose, on l'appelle la maladie des 5D. C'est-à-dire, il y a dysménorrhée, qui est la douleur des règles, disparition et douleur pendant les rapports sexuels, notamment les fonds qui sont des douleurs profondes. Il y a une difficulté, il y a ce qui me dit, vous aimeriez les douleurs, les noms... il y a des douleurs au moment de la divination il y a des douleurs en urinant et au moment où l'on va à la scène donc ça fait des douleurs qui reviennent souvent donc c'est pour ça que c'est très important quand une femme commence à dire qu'elle a mal comment c'est vrai, de l'interroger d'autres douleurs, de savoir l'intensité et tout ça et avant on ne prêtait aucune mais avant, quand je dis avant, encore il y a 10 ans aucune attention moi j'ai eu la chance ... Il a été formé à Médital, à Saint-Vincent-Paul, en tant que spécialiste de l'endométriose, Jean Bélaïche. Donc lui, il connaissait tout sur l'endométriose, et donc il m'a formé, c'était une chance. Alors ce qu'il faut savoir, c'est que c'est une maladie chronique, évolutive, et très mystérieuse, parce qu'on ne sait pas pourquoi on l'a, il y a des raisons psychologiques qui sont issues, il y a des raisons génétiques, il y a des raisons alimentaires, enfin bref, il y a un ensemble de choses. Et donc, il faut bien la repérer. Alors, je vais oublier ce que je voulais dire. Donc, il faut bientôt s'en occuper. Et en fait, c'est une maladie qui est entraînée par les hormones, par les estrogènes. Tant qu'on a des estrogènes, la maladie est évolutive. Mais dès qu'on est ménopausé, elle s'arrête. Et dès qu'on est au sein... Elle s'arrête aussi parce que ce ne sont pas les ovaires qui travaillent, mais le placent. Oui, mais ce ne sont pas les ovaires qui travaillent. Dès que les ovaires sont au rebond, conclusion, il y a un traitement simple, hyper simple, surtout chez les hommes. C'est la pilule. La pilule va arrêter le fonctionnement des ovaires et va diminuer les règles. On apprend que le traitement continue. Oui, c'est un traitement simple qui déjà arrête. Or, en ce moment, il y a une espèce de prévention générale. les gens me disent je n'ai pas d'hormones je n'ai pas de pique-cocs vous risquez peut-être d'être stérile parce que si les petits morceaux du tucérus se baladent partout vous bougez vos troncs vous font gonfler vos oeuvres donc assez vite elles sont convaincues quand elles le souffrent et elles sont ressuscitées et puis il y a un tas d'autres traitements donc pour faire le diagnostic ... Quand elles sont très jeunes, c'est plus difficile parce qu'on ne leur fait pas des courants de type indienne, c'est leur jamais eu de rapport. Mais il y a l'IRM. maintenant il y a un test salivaire, ça c'est nouveau, il n'est pas encore remboursé, pas encore diffusé, mais ça c'est la grande nouveauté, donc un test salivaire, dans certains cas, et qui permet de faire le diagnostic de l'endométriose. Mais même sans diagnostic, c'est simple, le premier réflexe, c'est de bloquer les ovaires, en attribut ou autre chose, mais quelque chose qui bloque les ovaires, vous voyez, c'est pas compliqué. Et vous voyez, on croit, les femmes c'est bien, je leur dis. jusqu'à ce que vous ayez envie d'arriver. Et là, à ce moment-là, pour éviter que l'endométriose reprenne, reparte entre les deux, eh bien, elle peut être enceinte beaucoup plus facilement. Voilà, les grandes lignes. Alors après, je vous parle bien de vos questions, mais vous en avez d'autres. Oui, mais après, on peut aller effectivement sur les femmes, qui ont déjà eu des idées de la pilule, ou encore, ils reviennent sur la pilule. Voilà, ils cherchent des solutions. Et on a un rembantant, alors peut-être effectivement, Pascaline, pour répondre. aussi là-dessus, parce que je sais que tu vois pas mal un petit peu de ganglion. Moi, j'ai... Oui, ça marche. Moi, je ne suis pas du tout spécialisée dans l'endométriose. Il y a peu de femmes, finalement, qui n'aiment pas me voir. Mais en tout cas, l'hygiène de vie va aussi participer et améliorer sa vie. Moi, ma priorité, quand je vois des femmes qui se confondent, c'est vraiment de trouver une réponse pour ne plus se faire. Je pense que la douleur, la souffrance, ça vient aussi empirer le temps. Oui, c'est pour ça que j'aime travailler en partenariat aussi avec les médecins, que je garde un discours ouvert, de manière à ce que chacun puisse se sentir libre, de faire ce qui va être, en tout cas dans un vrai temps, ce qui va la soulager véritablement. Mais effectivement, l'hygiène de vie, on va en parler tout à l'heure avec Paul, l'alimentation, de pouvoir reprendre de l'exercice physique, de pouvoir travailler sur ses émotions, sur apprivoiser le stress au quotidien. Tout ça va participer à améliorer l'environnement de la femme. Moi, c'est une marante. Je suis d'accord. C'est essentiel, mais on peut en parler. Alors, j'aimerais vous passer la même pause maintenant. Au revoir. Alors, bien que la ménopause ne soit pas une maladie longue, elle entraîne quand même des modifications hormonales qui sont pas de doute sur les risques d'hypertension, de diabète et de maladies cardiovasculaires. Du coup, ma question s'adresse à vous, Moulin Adam. Quel est l'impact des cycles féminins de la puberté à la ménopause sur notre système hormonal et endocrinien ? L'impact des cycles féminins, je pense que c'est l'impact, puisque c'est la nature en fait. commence la puberté, la mélopause c'est une puberté à l'envers, modification de l'humeur et autres, il y a des variations effectivement, l'homme c'est la testostérone, tout ça, et toute sa vie, puis après il n'y a plus d'andropause, il conserve des raposes, l'androgène reste à un bon niveau, nous on varie. On varie en fonction de nos sites. Et il y a des femmes qui ont des variations beaucoup plus importantes que d'autres. Effectivement, avec des syndromes prémenstruels, ou des douleurs de règles, ou des sédiments plus importants. Alors, quel est cet impact ? Effectivement, il y a tout ce qui est... Et après, l'impact, c'est des modifications effectivement de l'humain. Je vais vous donner un exemple. C'est un exemple un peu caricatural. J'ai un monsieur comme ça qui est venu du centre de la France venir me voir. qu'il avait une femme qui faisait des tentatives de suicide, ces tentatives de suicide, on ne peut pas faire de psychothérapie dans ces cas-là, on peut rien faire. Donc en fait, il avait observé que c'était à peu près cyclique, mais personne ne l'écoutait. Donc il s'est dit, je vais prendre un endocrino. Il a pris le mot. m'a choisi parce qu'il a trouvé que l'arrondissement était pas mal. Parce que j'ai demandé pourquoi. Bref. Et en fait, elle se mettait en rhinopause. C'est-à-dire qu'elle avait une chute hormonale monstrueuse juste au moment des règles. Et c'était là, effectivement, elle faisait ses tentatives. Parce que j'ai fait faire des bilans monopoles pendant toute six mois en bassin. Pour excéder. J'ai bourré un peu d'hormones. Après, elle a pu faire une psychothérapie. Et puis, ça a paru. les choses qu'elle a vécues. Vous savez dans l'enfance si on prend une classe d'âge maintenant, on voit très bien qu'on a vécu des traumatismes et que dans tous ces problèmes de polémies, de soie, de dépression, il peut y avoir aussi des traumatismes qui ont été enfouis et qui ont été des bombes à retardement. Je vois ça pour des années de tiernité. Il faut savoir interroger ce qui s'est passé. Donc en fait, il y a une fluctuation qui est beaucoup plus importante chez d'autres, qu'on peut corriger effectivement par le fait du rédimension, qui peut influer, parce qu'effectivement, on peut avoir des petites résistances à l'insuline, un peu comme on a en fin de procès, si on a envie de sucrer avant les règles, des déprimes. Moi, ça m'est arrivé une seule fois, heureusement, une seule fois. J'étais avec mon ami, j'ai raté ma vie, j'ai raté ma vie, j'ai vu du noir. et ça a duré 10 secondes. Donc là, je sais ce que vous ressentez. Alors, je ne sais pas ce que vous ressentez. Mais je sais vraiment ce que peut ressentir une femme quand elle a un syndrome prémenstruel et quand elle a une chute d'hormones. Et ça, il faut remonter, effectivement, en expliquant avec les hormones et voir ce que l'on peut faire. Remonter l'estime de soi, parce que le problème de la femme, c'est qu'on ne se culpabilise pas. quoi qu'on fasse, on est toujours culpabilisé, on a un manque d'estime de soi et autres. Donc ça, il faut savoir expliquer comment fonctionne le climat hormonal, qu'est-ce que l'on peut faire. On a des examens que l'on peut faire, on a des examens de la distance à la semine, la musculation, des choses comme ça. Et là, on va venir travailler effectivement sur le... Voilà. Donc, je pense que c'est l'avis des femmes qui font que... C'est vrai que le fait qu'on ait des plaintes qui sont par rapport à nos humains, par rapport à nos vagues et autres... Donc on n'est souvent pas pris au sérieux. Et là, ce qu'on a montré en dépistage de maladies cardio-masculaires, c'est qu'effectivement, on n'a pas du tout les mêmes signes qu'une femme, on n'a pas les mêmes signes qu'un homme. C'est-à-dire qu'on peut très bien avoir des problèmes digestifs et qu'ils soient finalement un syndrome de menace au point de vue infarctus. Moi, ça m'est arrivé, ou une fatigue. Une fatigue, je vais vraiment faire très attention sur tout ce qui se passe ici. Une fatigue. on peut trouver un problème de coronaire, surtout qu'actuellement les femmes ne veulent pas de traitement, je parle de traitement tout le temps pour le cholestérol, mais il y a des gens qui se baladent avec 2 grammes de cholestérol LDL, qui ne veulent pas de traitement, et qui finalement ont les artères un peu bouchées. Maintenant les femmes aussi fument, elles ont pas du tout les mêmes signes cliniques. Moi je me suis fait avoir il y a longtemps, il y a 30 ans, en fait elle avait des signes digestifs, mais c'était un début de maladie chronique. Donc c'est pas du tout les mêmes signes, et puis on ne croit pas. Il faut arriver à croire quand une femme se plaint. Oui, c'est simple. Majestine, quand une femme prend un rendez-vous, elle attend trois mois, elle ne fait rien que dans la salle d'attente, elle a vu d'autres médecins et autres, il faut croire la personne qui est en face. Et surtout examiner. Moi, j'ai vu encore quelqu'un qui était en fibrillation auriculaire. C'est comme ça, il faut l'envoyer chez la cardio. Les téléconsultations, c'est énorme. On examine plus les personnes, on ne prend pas le temps. Le problème, c'est le temps médical dans toutes ces maladies. Je pense que toi, on a formé la Bénécole. Et c'est le temps, mais pas d'écouter de ce qui se passe, et de pouvoir mettre tout bout à bout, et de pouvoir aider, parce qu'en fait on est formé au CAIR, et c'est ça qu'on manque effectivement pour la femme. C'est la croix. Je vais vous donner l'exemple, le lévothyrox. On parle de lévothyrox. On a traité, je suis en le créneau, je suis en thyroïde, les patients, on les a traités. C'est vrai, je m'en souviens. Je m'en souviens. Et même dans les médias, les gens ont placé. Ça a été de mes patients d'hystérique. Moi, je les connais parce qu'ils sont fragiles quand même. Moi, j'ai des patients qui se sont pris des TGV à aller s'acheter des pilules quelque part en Suisse. D'autres qui ont subi. D'autres, moi, j'ai des femmes enceintes, la TSH augmentée avec des BV à l'intérieur. C'est-à-dire qu'en fait, on n'a pas cru les gens. On a balancé 3 millions de personnes. Alors, c'est un médicament féminin. Ça aurait été un médicament de mec, ça ne serait pas passé comme ça. Il y a eu un sartan, il y a eu un... Pour un médicament d'hypertension, pour reprendre le cancer, vous inquiétez pas qu'il a été rétretié. Et on a balancé 3 millions de personnes. Je ne savais pas qu'il y avait 3 millions de personnes qui prenaient des hormones thyroïdiennes. 3 millions de personnes, on les bascule sur un générique, puisque c'était un médicament modifié. Et à ce moment-là, vous pensez bien qu'il y a toujours un peu d'effets secondaires sur les médicaments, mais on les connaît. Non seulement il y a eu des effets secondaires, mais... en plus il y a eu ces médicaments à marge une croix donc il y a eu des personnes qui ont fait soit des hyperthyroïdies soit des dépôts et autres avec l'angoisse qui a eu plus de traitement puisqu'on nous a empêché de donner des gouttes des bébés parce qu'il fallait bien garder des hormones thyroïdiennes pour les bébés et donc ça a fait vraiment et ça on n'a pas cru les femmes et moi j'en veux beaucoup et d'ailleurs défaut d'information on n'était pas informés les médecins je suis désolée on ne savait pas on nous a nous est tombé dessus Et heureusement, moi j'ai un secrétaire téléphonique, des gens m'ont rappelé, et j'ai récupéré il n'y a pas longtemps, il n'y a pas si longtemps que ça, que j'ai pu récupérer des personnes du bout de la France où on ne voulait pas leur changer leur émotion. Ceci étant, je vous rassure, il y a beaucoup de personnes qui le supportent à Nouvelle-France. Moi, quand je récupère des personnes qui sont sous une nouvelle formule, moi je les laisse, etc. Mais cet exemple de l'évotirox, c'est pour vous montrer qu'on ne nous a pas cru. On n'a pas cru les femmes. Et ça, c'est fait quoi ? Parce qu'il a été montré qu'il y a eu beaucoup d'hospitalisations, il y a eu des arrêts de travail. Finalement, qu'est-ce qui s'est passé ? Comment s'appelait déjà l'actrice ? C'est Annie Le Perret. Qu'est-ce qui s'est passé ? Moi, je pense que ce qui s'est passé, elle avait sa pièce de théâtre, elle faisait faire jouer les assurances. Quand vous mettez un arrêt de travail, les salariés, je pense qu'elle avait un gros problème à l'aide du travail. Il y a eu des personnes qui ont eu du mal. Je pense que ça a joué sur le site de Crepes. Un peu comme les statines, il y a des personnes qui n'arrivaient plus à lancer après la CRU. On a montré qu'il y avait beaucoup plus de consultations, d'hospitalisations. Juste une petite question sur la société publique. On s'en fout d'histoire. Est-ce que c'était lié ? à un excipient différent, où la molécule était différente. C'est vrai que c'était d'une violence inusible. Moi, les femmes les plus équilibrées que je connaisse, qui étaient comme des folles, tellement elles ont mal supporté, et effectivement, il n'y avait aucune égoût dans leur vie, alors ça a changé. Et je voulais savoir, quelle est l'expression rationnelle ? Plusieurs. Il y a eu plusieurs. L'excipient ? Il y a eu un long, il y a eu un problème avec l'excipient. Il y a eu. On rappelle que l'évotirox était le seul où on ne devait pas donner de générique, parce qu'il y a eu un problème avec le générique de Manicol, ce qu'il y a trois mois. C'était le seul où on ne donnait pas de générique, effectivement. On a envie du même, mais après, moi, je ne sais pas. Il y a eu ça, il y a eu un autre, on me dit, l'effectueux. Il y a eu effectivement effet secondaire par rapport, effectivement, parce que c'est toujours la molécule de base qui est la même, l'évotirox. Et après, c'est l'excipient qui change. Oui, c'est ça. Donc effectivement, il y a des intolérances aux exécuences, c'est comme ça. Et puis surtout, il n'y avait pas l'équivalence. C'est-à-dire que tu bascules de l'un sur l'autre, et il y a eu une mauvaise étude sur l'équivalence de doses, en fait. Et on fait très attention, voilà. Une fois j'ai mis le dossier, effectivement, les gens sont bien en hyper, les autres en hypo, et c'est surtout aussi pour les parents-saintes, ou d'autres, les parents-saintes, les parents-saintes. Donc c'est pour vous montrer que les femmes, on nous... et sont très belles, les livres qui sont donnés. Le Comité national de femmes françaises l'année dernière, j'étais au Sénat, a fait toute sa journée sur, effectivement, la santé des femmes. Et c'est bien que cette journée soit faite aujourd'hui. Donc, il faut savoir se faire attendre et savoir qu'effectivement, les signes, ce ne sont pas tout à fait les mêmes. Il peut y avoir un ballonnement, j'ai trouvé sur les ballonnements à Domino, à la France des Auxerres, où quand même, il y a affaire, effectivement, c'est quand même que ça devienne des fatigues. Des fatigues où, c'est, on sait dire... ça peut être un petit conseil avec vous, il ne faut pas vous affoler il faut croire il faut être écroué avec le messia et savoir écouter écouter vous croire, écouter croire on est là pour vous venez il y a quelque chose qui va pas et on est là pour vous aider et je trouve que c'est important c'est important qu'il y ait effectivement un lien qui se passe les uns avec les autres Oui, il y a tout un sujet lié à l'information et à la désinformation, notamment sur les traitements hormonaux substitutifs, pour soulager les désagréments de la ménopause, qui peuvent aussi avoir des impacts et des conséquences majeures sur la santé de la femme. Je vous laisse dévoiler ce que vous dites. Pour le raccourci, dès que la femme n'a plus du tout d'estrogène, qui est l'hormone principale, il y a un certain nombre d'organes qui vont commencer à... mais dans tous les sens. Le premier, c'est le cerveau qui va être touché, mais ça va se manifester. Alors, c'est différent selon les femmes. Il y a des sueurs, des bouffées de chaleur, un manque de sommeil, une irritabilité ou une dépression. Il y a des femmes qui font des dépressions, comme la veille des règles, à cause de la chute des hormones. Mais ça va toucher aussi les muqueuses génitales qui vont devenir plus sèches. La sexualité n'aura plus d'intérêt. D'ailleurs, les femmes... me disent, je n'ai plus de bidon, je n'ai plus de bidon, mais qu'est-ce qui se passe ? etc. Ça va toucher ses artères, vous en avez fait l'abusion tout à l'heure, ce qui est un signe grave, parce que effectivement, le cholestérol, faute d'estrogène, le cholestérol va se décliner davantage sur les artères et les bidons. Donc il y a un certain nombre d'insertions sur la faute qu'on maîtrise totalement, parce qu'effectivement, on fait de la faute, tu l'as très bien dit, Mais il y a des normes dans le diagnostic, les normes c'est toujours trop tard. L'homme, on connaît l'actrice, l'ouvreuse, qui sert par là, etc. Tout le monde sait comment elle parle. Mais la femme, elle dira, j'ai un peu mal au bras, ou j'ai ça, j'ai ça. On lui donne une mammographie, pensant que c'est le sein. Je vous assure que ce n'est pas une blague. On n'y pense pas. Le cœur, c'est très important. Vous avez des os. Tout le monde, apparemment, s'en fiche des os. On ne sent rien. Mais vos os, dès que vous n'avez plus d'hormones, ils deviennent poreux et ça se manifeste beaucoup plus tard à la ménopause ah pas à la ménopause, plus tard, bien après à la ménopause et là ça se manifeste par soit des douleurs, soit surtout des fractures or on peut éviter les fractures donc voilà, vous avez un certain nombre d'une zone dans tout le corps qui sont touchées, les douleurs articulaires, enfin bref et ce traitement hormonal puisque je suis devenu presque une croisée de traitements en malade et des banques avant il ya 30 il ya 20 ans et 20 ans exactement avant l'étude fatidique 2002 est ce que tout est enfin plus la moitié des femmes mais nous posait prenait un traitement et elle était enchantée un nom était ravi et surtout beaucoup et puis il ya eu cette étude qui a dit il y a un peu plus d'accidents cardiovasculaires, donc il y a eu des femmes qui ont eu des embolies, des choses comme ça, et un tout petit peu plus de cancers du sein, mais pas tant que ça. Bref, il a suffi qu'on dise qu'il y avait plus d'accidents pour que tout s'arrête. Tout le monde a eu peur, il y a des patients qui jetaient leur traitement à la poubelle. Il y en a d'autres qui faisaient l'inverse, qui venaient me voir, donc je préfère vivre 5 ans ou moins, mais je ne veux pas que vous m'arrêtiez mon traitement. Je me souviens de ça. Cette phrase qui revenait dans le même, je veux continuer. Donc, pourquoi il y a eu ça ? C'est parce que cette étude a été faite, parce que les femmes reprochaient aux autorités de ne faire des études que sur les hommes et pour les hommes. Donc la demande était très forte, l'investissement était très important. Il fallait 10 000 femmes, je ne sais pas si vous le voyez, mais 10 000 femmes dans une étude, c'est énorme. C'était versus possible. Bon, certaines l'avaient, d'autres ne l'avaient. Donc, ils ont pris toutes les femmes qui se présentaient, c'était souvent les plus doux, les plus malades, etc. Donc elles avaient en moyenne 60-65 ans, c'est l'âge que l'on commence le traitement de la femme, elles étaient hyper tendues, les trois quarts étaient en surpoids ou obèses, ce qui n'est pas non plus forcément une bonne chose pour commencer un traitement de la femme. Elles étaient hyper tendues, elles avaient un du diabète, etc. C'était une femme qui n'était pas américaine, très enfance. Donc l'étude était biaisée. ça a été biaisé et on a généralisé, c'est un énorme malentendu, on a généralisé à tous les pays, et notamment à l'Europe et surtout la France, qui avaient inventé des hormones naturelles, l'estrogène c'était un équerre, le pétanéquet, l'iestrogène et la progestérone naturelle, le progestan, comme vous avez peut-être compris, comme dans le Mojotwi, aux femmes enceintes, etc. Et c'était des hormones, pas à partir de mer, mais des arbres. des hormones dans des entreprises, chimiques, mais micronisées, donc naturelles, et par voie cutanée, parce qu'il n'y a pas d'impact sur le canal, enfin, mauvais impact sur l'enveloppe. Donc si vous voulez, ce traitement à la française était beaucoup mieux que le traitement à l'américaine qui existait aussi en France. Et c'est seulement en vérifiant tout ça que tous les chercheurs ont dit à l'unanimité que les tubes étaient biaisés. Mais le problème, c'est que les gens sont bloqués. On est passé de plus de 50% de femmes traitées, et les biens, et les rôles, etc. à 10% seulement. Voilà. Alors, je vais enlever ça. Je suis toujours prête à expliquer tout ce que vous voulez, mais passez des heures à expliquer, tellement c'est important, parce que ça vous permet d'être complètement normal. Comme un homme qui continue sa vie, on vieillit, mais la ménopause, c'est une cassure quand même dans une vie. Il y en a qui disent qu'elles n'ont rien, elles peuvent s'adapter, mais elles n'ont pas rien, parce qu'elles ne savent pas où en sont leurs os, elles ne savent pas où en sont leurs artères, ça, elles ne surveillent pas. Et la sécheresse vient plus ou moins tôt, sécheresse des muqueuses. Donc, si vous voulez, tout le monde, tout le monde, après la ménopause, est trompé de façon plus ou moins désagréable. Donc, il ne faut pas se dire qu'il y en a qui se sortent. Non, il y en a qui veulent s'en sortir, alors elles c'est le même discours, ça sent bien. Ben voilà, vous sortiez lentement, alors pour les... Pascaline va nous dire qu'il y a d'autres moyens. Moi je parle parce que c'est très rapide, très simple. En 15 jours, vous êtes transformé, c'est pour ça. Dans une tête, il faut faire des efforts, il faut s'oublier son alimentation, il faut faire des exercices, c'est plus ou moins. Je voulais juste préciser comme un chiffre édifiant, parce que vous le connaissez déjà, les femmes... c'est plus de maladies cardiovasculaires que de cancer du sein. C'est vraiment important. Et il y a un professeur qui n'est pas là, qui est Chloé Meunier, qui nous tente avec le bustucar, qui est une élite, qui est activement pour les garages sauvages partout en France. Elle a été visitée par 5000 personnes en 2014. Et donc c'est vraiment important, parce que oui, les stigmes et les signes avant-courant d'un malaise cardiaque, on ne les connaît pas. Même la science ne les connaît peu. Il y a quelque chose de très simple. C'est effectivement, il y a beaucoup de personnes qui sont réticentes, et on sait pas même si elles sont hartées sur les statistiques. C'est que nous avons le score calcique. Et ça, c'est vraiment un outil pour faire un triage. Désolée, mais bon, la bonne chose. C'est-à-dire qu'on a vu, il y a des personnes qui ont observé que les personnes qui se baladent avec 3 grammes de cholestérol... et LDL. Alors HDL, vous dites que c'est le H2E et le L2. Donc, il y a des LDL, une épouse qui se dépose, qui sont très hauts, pas de complications dans les familles. Et puis, il y en a d'autres qui, effectivement, vont faire des complications. Donc, qu'est-ce qu'on fait maintenant ? Et je me souviens, j'ai quelques patients, là, dernièrement, surtout pas de traitement, je dis, OK, OK, pas de traitement, il y en a beaucoup aussi, les autres ne fumaient pas. On fait un score calci. sans injection, sous la nerf, sans injection, on vous met et clac ! Calcification des coronaires. Et ça c'est génial, je trouve ça formidable. Alors après on voit ça avec du cardiologue, etc. Parce que quand on a un problème de cholestérol, on vous fait juste des carotides, ça fait combien de sang ? C'est un score calcique, c'est tout simple. Et là on arrive à voir ce qu'il faut traiter, il y a des scores calciques à 0, il y en a à 40, etc. Moi j'arrive comme ça, plus ou moins, 700. On attend de lui dire qu'il n'est plus plus plus. Surtout que maintenant, ce qu'il faut savoir, c'est qu'à l'heure actuelle, je voyais un médecin qui travaillait dans le cardiologue, et on a fait énormément de progrès. On ne s'est pas fait de progrès en tant que chirurgie et autres, mais là, ça permet de prévenir, de prévenir l'événement que l'on va avoir. On ne va pas faire un intervalle, mais après, on va prévenir. le développement de ces plaques et on arrive à régresser et avec de l'exercice physique à refaire la circulation de l'intestin. Et ça c'est très très important et il ne faut pas avoir peur effectivement des traitements qu'on peut faire. Bonne nouvelle, les cardiologues acceptent les statiques de la lumière de la bouche, parce que maintenant vu que c'est instable sur les cholestérols, on arrive à avoir effectivement une hygiène de vie et autres qui permettent. Et puis un autre examen qui est important, moi je trouve que c'est surtout quand on est en facteur de risque de... de fractures dans la famille ou de stéoporose, les membres qui sont vincés, etc. c'est de faire une encephalite osseuse qui a beaucoup de carences en vitamine B et de l'âge. Vous avez vu que nous sommes en majorité des mauvais synthétiseurs de vitamine B. Bon, on vit dans nos drogues, certes, mais après vous avez des gens qui vivent au soleil ou des sportifs qui sont au soleil et on voit qu'ils ont quand même des mauvais synthétiseurs de vitamine B. Je pense que quand même, il faut fabriquer à partir du cholestérol, et quand même, il faut avoir le cholestérol, mais ça c'est une histoire. Donc on a ce couple de vitamines qui manque en fait. Il faut savoir en donner, je sais qu'avec des hormones thymidiennes, j'en donne régulièrement, pour protéger le dos. Et pourquoi pas faire un dépistage, puisqu'on sait que dans les 50 années, on nous pose effectivement... Il faut aussi en faire un dépistage. Voilà, faire un petit dépistage de densité osseuse, boire pour demander, et à ce moment-là de reboire. surtout que les abords classiques, ce n'est pas terriférique puisque tout le monde procéder comme une touche allergique et intolérante à la casinine. Donc tout le monde a enlevé, bien entendu, tous les protéines qui ont baissé, donc ont fragilisé d'autant de tronces. Voilà, donc il y a ces deux examens, je trouve que c'est important, mais le score classique, ceux qui ont des antisémiogarnes vasculaires dans la famille ou des cholestérols qui sont malades, je pense que c'est vraiment quelque chose de simple et je pense que c'est un outil pour toutes les femmes. Pour celles qui sont... On ne va pas le faire à tout le monde. Non, non, non, non. C'est vraiment pour essayer de voir qui est ce qu'on va traiter. Il y a une question là, si je vous en prie. C'est juste pour l'examen. C'est pas un principe. C'est une connaissance. Non, c'est un souvenir. Si vous avez des grosses machines, vous savez qu'il n'y a pas d'injection. C'est comme une densité osseuse, on vous met et on regarde si c'est du gruyère ou si c'est du ponte. Je trouve que quelqu'un qui fait un NL à 82 ou à 50 ans, vraiment c'est sauver la vie de quelqu'un et prévenir des complications. Est-ce que les femmes aujourd'hui sont bien suivies par leur gynécologue ? Parce que quand j'entends... Il y a presque moins de gynécologues, il y a un problème. Il y a plus de sages-femmes, mais dans le domaine de l'obstétrique, c'est très bien. Mais il y a toute la médecine à côté. Alors, ça va monter le nombre des gynécos, mais il faut savoir que pendant 17 ans, on a arrêté l'enseignement de la gynécologie médicale, parce que les obstétriciens voulaient être les seuls chefs. et elle tout seul. Or, ce n'est pas tout à fait pareil. C'est la chance en France, on a une seule pays où on a à voir à la fois des obstétriciens qui sont des accoucheurs et qui opèrent. Et puis, les gynécologues médicaux, eux, s'occupent de cette sorte de généralisme pour la femme qui est centrée sur la gynécologie, mais alors qui sont beaucoup plus à l'écoute, qui sont obsédés par l'idée d'opérer. Je vais vous donner un exemple. En France, seule, 7% des femmes ont perdu leur utérus, c'est-à-dire ont perdu. On les a opérées parce qu'il y avait un sémastat, parce qu'il y avait un homme, parce qu'il y avait une femme. En France, vous savez combien ? La moitié des femmes n'a plus d'utérus. La moitié. Pourquoi ? Parce que ce sont des chirurgiens, et un chirurgien, ce qu'il aime, c'est opérer. Donc, dès que vous saignez, pour un oui ou pour un non, il faut que vous ayez passé la quarantaine, vous avez déjà un enfant ou deux, et encore. C'est le cas. « Oh madame, vous allez tellement mieux, c'est fini, vous n'aurez plus de saignants, ça se tue, vous n'aurez plus rien, on enlève l'hypothérapie. » 50% des épisodes, et ce sont souvent des hommes. En France, les gynécologues, on dit que c'est tout. Et voilà, c'est tout. C'est le scandale avec les bêches, sur le colapsus, les bêches. Ah, c'est le TVP, les bandelettes. Les bandelettes, on va les faire ensemble. Oui, on va se parler des bandelettes, c'est tout. c'est un vrai problème parce que l'un repart de la continence urinaire c'est vrai que l'on t'a pas élu et la continence urinaire des formes parce qu'il ya deux types d'un continent sur une ère vous avez celle qui vient ça des fuites parce que vous pourrez vous tous et vous ça ça vient d'être à 100 points de venir et puis vous avez l'autre on appelle par urgenturie c'est à dire vous avez une très grande envie d'aller faire du pays vous vous dépêchez, mais le mal de la douille, vous n'arrivez pas à vous retenir à la fin. Ça, c'est intraféquence, et ce n'est pas tout à fait les mêmes causes, et ça se traite différemment. Notamment quand c'est une urgence, c'est une hyper-excitabilité de la vessie, et avec des médicaments, vous pouvez y arriver, plus une rééducation, kinésie, voilà, qui est un peu bon, mais enfin, qui est efficace, si elle est bien faite. En revanche, celle d'effort, la kinésie ne marche pas toujours, et souvent pas. On propose une intervention qui s'appelle une pose de bandelette. C'est un peu comme un joint, mais extérieur. Ça ne dure pas longtemps, ça paraît simple, et en fait c'est très compliqué. Donc il faut voir vraiment les meilleurs chargés, ceux qui connaissent tous les types de bandelettes, parce qu'il y a plein de sortes de bandelettes, il faut l'adapter à votre anatomie, à tout. c'est vraiment dépendant du médecin qui vous la pose. Parce que ce n'est pas un scandale de vous poser une branlette. Les femmes sont très contentes, elles sont en pleine tête, elles se disent, je ne peux pas recourir, je peux faire ci, je peux faire ça, je ne mets plus de protection, c'est quand même formidable. Quand ça se passe bien. Oui, quand ça se passe bien, vous allez verser. Mais là, il y a effectivement certaines parties, ça se passe pas mal, qui souffrent, attention, et tout, et tout. Donc là, il faut vraiment prendre son temps et choisir un chirurgien qui fait beaucoup ça. Le neurologue spécifique, c'est bien difficile. Donc là, vous pouvez payer ça, ça vaut le coup. Parce qu'ils sont très rares ceux qui ont peu d'accès. Le hôpital virus. Ah, voilà, ça c'est devenu une thème. En fait, il existe depuis toujours, mais il y en a de plus en plus. C'est la maladie sexuellement spécifique la plus fréquente. C'est-à-dire que 80% des gens sont atteints. à peu près. Alors, c'est un virus qui s'appelle le papillomavirus. Il y en a une centaine. Mais il y en a une bonne dizaine qui sont oncogènes. C'est-à-dire qu'ils peuvent provoquer un cancer du col de l'utérus, de l'anus, du pubis, du... Ah ! Le pénis, pardon, et dans la gorge. Et c'est le contact, c'est un contact avec soit la moucle, soit la gorge, etc., qui entraîne la présence du virus. Ce virus, il peut soit passer en touriste, il est là, mais il ne reste pas. Si vous ne fumez pas, si vous avez une vicenne, si vous avez une bonne défense immunitaire, chez les jeunes notamment, que vous êtes très jeunes, il disparaît. C'est pour ça que maintenant, ils nous demandent de faire des frottis à partir de 25 ans, non pas 18. Parce qu'entre 18 et 25, il y aurait presque 100% de femmes qui auraient ce virus. Mais Tomy part, ça ne sert à rien de lui faire peur, ça ne sert à rien d'opérer, ça ne sert à rien de faire des biopsies et des choses très compliquées qui sont passantes. Donc on dit, on attend 25 ans et puis là, on fait et on regarde. il faut faire très attention, la nouveauté, la grande nouveauté, c'est qu'avant, quand on faisait un frottis, c'est ça un étalement des cellules sur une lame, et on regardait la lame, et on voyait s'il y avait des cellules normales et pas normales. Donc on disait frottis comme ci, comme ça. Maintenant, c'est une nouveauté, ça c'est assez extraordinaire, c'est qu'on a le moyen, par biologie moléculaire, c'est pas du tout la même technique, c'est toujours un frottis même, mais biologie moléculaire, liquide, de trouver l'ADN. du virus, non seulement de découvrir l'ADN du virus, mais en plus de le numéroter. Alors on sait que le 16 et le 18, c'est les plus méchants. Si vous avez un 16 et un 18, là il faut faire attention, il faut le surveiller, il faut faire des examens, parce qu'il peut faire des dégâts et très vite. Il y en a d'autres qui évoluent lentement. Dans l'ensemble, ça évolue lentement, mais l'avantage de faire ce test HPV, c'est que s'il est là, on sait que vous avez un risque, surtout si c'est un 16 ou un 18. Donc, on oriente maintenant davantage les frottis. Avant, c'était très très cher de faire ça. Maintenant, il y en a un peu, ça valait une fortune, c'était pas remboursé. Maintenant, ça vaut le prix d'un frottis classique et c'est remboursé. Donc, c'est un privé, parce que, en plus, si vous n'avez pas le virus, on peut espacer les frottis. Sauf si vous avez eu 50 partenaires entre temps. Alors là, il faut changer. Pratiquement à chaque nouveau partenaire, il faut refaire le test, parce que le risque est de 80% des gens. Alors, bonne nouvelle, mauvaise nouvelle, c'était qu'en France, on était les derniers, les bons derniers pour le vaccin, parce qu'il existe une vaccination, c'est quand même préventif, le casier, à 100%, mais enfin, pour les formes graves, oui. Et en France, on était 20% seulement, il y a encore quelques années, à être vaccinés. Il fallait être vacciné jeune, mais les mères disaient, je ne veux pas. nous nous anticipons sur la sexualité de ma fille, c'est elle qui verra. C'était trop tard quand c'était la fille, c'était trop tard. Donc, maintenant, heureusement, grâce à la ministre de la Santé, Mme Buzyn, on a, elle a rendu le crédit obligatoire, et surtout elle l'a ouvert aux hommes. Et la nouveauté, c'est que maintenant, c'est fait dans les écoles. Donc, ça y est, on est en train de rattraper notre rôle. On sait que, en nouvelle... en australie et aux états unis ou ailleurs il y a beaucoup moins de cancer du col que chez nous en france nous on a encore en france alors que nous avons 0 3000 cas de cancer de l'utérus sachant que c'est un cancer qui tue une personne sur deux c'est un très mauvais cancer on peut le prévenir en faisant une vaccination il faut le vacciner en 14 jours voilà donc attention tout est organisé garçons et filles ce nouveau non plus les deux puissances je pense que quand elle est un peu il faut pas trop petit sauf pas qui qui porte le virus c'est assez simple et ensuite faire affronter un gouvernement vous pouvez voir chercher le fameux htv et on peut s'en sortir le site la question à deux minutes il y a une question une question peut-être profiter de nos intervenants. Alédie, je vous en prie. Oui, il faut bien compléter ce que vous avez dit. Oui, prise en charge, voilà, comment on va faire cette prise en charge, en complément de ce que vous avez dit. Alors, une nature ouverte, on ne prend pas un chômage, en fait, il n'y a pas d'inversant, il va se prendre un chômage, et on va aller chercher des informations dans le thème de la médecine. Voilà, la nuance est vraiment importante. Et moi, je conseille aux femmes, en fait, je leur dis, la ménopause, on sait qu'elle va arriver, elle va tomber dessus comme ça, du jour au lendemain. Donc, moi, j'invite déjà, dès l'âge de 40 ans, en fait, à adopter une meilleure hygiène de vie, que ce soit par l'assiette. Et aujourd'hui, il faut voir... Pour beaucoup de personnes, c'est très compliqué de bien se nourrir. C'est brûlé par énormément d'industrialisation, d'en venir à des choses simples, mais également de prendre ce temps de reconnexion avec son corps, que ce soit par le sport, que ce soit par des ressources comme la méditation par exemple. C'est revenir à soi, pour apprendre à mieux se connaître, se comprendre. Et pour moi, ce qui est important dans la prise en charge, dans l'accompagnement de la nourriture, c'est vraiment pour les femmes de connaître leur cycle menstruel. Il y en a beaucoup qui ne le connaissent pas, qui le subissent. Moi, j'invite à coopérer avec le cycle menstruel. Par exemple, les deux premières phases, souvent du cycle menstruel, la fin de pleine d'énergie, c'est ce qui est souvent aussi valorisé par la société. Et puis, les deux dernières phases, donc la phase prémenstruel et la phase menstruel, il y a cette supermonde où elles sont plus fatiguées. C'est moins bien valorisé. Il y a vraiment cette perte d'estime de soi parce qu'on a l'impression de ne pas être adéquate. Donc, de remettre aussi, de comprendre... ... même si on est fatigué, c'est normal pour le sens de l'emportement. Donc il y a tout un accompagnement de mieux connaître la personne, qu'elle se connaisse mieux, pour pouvoir, je dirais, arriver au moment de la myopause, quand les premiers quatre nuages du cycle menstruel arrivent, qu'elle ne s'étonne pas, qu'elle ne se voit pas étonnée en se disant qu'est-ce qui se passe, mais là d'avoir déjà mis en place des choses pour elle, et puis... effectivement d'aller dans le gynéco, de discuter avec, savoir s'il n'est pas au traitement ordonnal, et d'avoir cette possibilité, parce que quand on a un rythmochois, je n'ose pas faire souffrir des femmes qui sont bombées de symptômes, et en fait, ce n'est pas que je suis démunie, mais ça prendrait... je vais découper... ça prendrait beaucoup de temps d'inverser la tendance, et donc c'est vrai qu'il y en a qui vont vers un traitement ordonnal, pour un temps donné par exemple, plus longtemps, pourquoi pas, pour pouvoir passer ce cap et se dire qu'est-ce que je mets en place pour moi ? en ayant cet espace de respiration où je ne vais pas être submergée par tous ces symptômes et ne plus savoir vraiment ce qui se passe pour moi. Mais vous avez raison, c'est justement la première cause, c'est le moment où la femme a besoin d'une aide qui ne soit pas médicale. Ce qu'on ne donne pas de mémoire intervenue. C'est pour ça que moi, mon propos, c'est dès 40 ans, on s'intéresse à ce qui se passe pour soi. Quand on est une femme, et quand on sait que... Quand on est une femme, on sait que ça va arriver. Je veux dire, c'est inscrit dans notre vie. La ménopause n'est pas isolée du reste de notre vie, c'est un passage. Je trouve que l'accompagner au mieux, c'est de l'anticiper. Aussi, pour moi, la santé des femmes, c'est une question de transmission. Questionner sa mère, ses dents si on en a, ses soeurs. De savoir ce qui s'est passé pour elle, parce que je trouve que... encore aujourd'hui alors qu'il y a quand même beaucoup d'informations qui est faite sur le Ménopause, il y a des femmes qui arrivent terrorisées et démunies. Ça pour moi, c'est insupportable. Chaque femme mériterait d'avoir une information la plus large et la plus diversifiée possible. Moi, c'est ça qui est un but. Merci Pascaleine, Mme Pignat-Pin, on arrive à la fin de la vidéo. C'était une page ensemble. Merci Paul. Merci à tous d'avoir été avec nous pour votre écoute, vos questions, votre énergie. qui nous a nourris tout au long de cette journée. Merci à mes doucines pour nous avoir offert cette tribune. J'ai été enchantée, honorée, et puis même par la bienvenue, j'espère. Ciao, bienvenue à tous. Je suis très contente de faire une sortie à la fin de l'année. Je suis très contente de faire une sortie à la fin de l'année. Je suis en train de venir. Voilà, pour vous montrer qu'on est engagé dans cette situation. Et là, c'est moi, comme ils vont, c'est l'association de trois laboratoires que vous connaissez bien. C'est un homme, Herbalgem, PioFleural, c'est un laboratoire de vie essentiel, c'est un homme. Herbalgem, c'est la géométripe, c'est la férale. Et puis, vous avez Biofloral qui est un laboratoire d'élixir fluoro, de fluorobac. Et c'est à travers ces trois marques que nous, on va proposer une prise en charge globale de la femme de manière naturelle et efficace. Et pour ce cas, c'est important pour nous, et moi par exemple, je suis une femme, je suis pharmacien de formation, je suis thérapeute en complémentaire, c'est important d'accompagner les femmes et les femmes sont en souffrance et souvent n'ont pas de réponse, elles ne trouvent pas de réponse. c'est pour ça que la MSA, c'est vraiment important que vous soyez au courant, que vous pouvez les accompagner aussi avec des compléments alimentaires dans ces phases de transition où on ne veut pas nécessairement le vivre, on va chez la diététicienne, chez la nutritionniste, chez la nature, et que les hommes sont en place dans le protocole, parfois les compléments alimentaires vont vous aider à aider cette femme rapidement et scientifiquement. Et avec la recherche que je vous ai montrée, c'est notre expertise qui nous a donné là. Mais c'est surtout important pour nous, parce que l'INULA, on s'est engagé dans cette démarche LSE d'accompagner la santé de la femme et plus spécifiquement dans son engagement de la femme atteinte de l'enceinte. Pourquoi ? Parce qu'on a des solutions naturelles et on sait que l'aromathérapie, tout spécifiquement, démontre des belles preuves d'efficacité dans cet aménagement de la femme atteinte du cancer. Notre engagement à nous. Par rapport à notre expertise aromale, c'est de faire connaître qu'on peut venir, alors on fait une petite aparté sur le cancer, on n'en a pas parlé, mais on vient avec des types olfactifs de manière très très très simple, celui-là j'ai l'exemple, c'était les nausées, les vomissements, les douleurs du cancer, on a une belle expertise là-dedans, moi-même je donne un produit une journée en cancero pour tous les professionnels de la santé qui veulent maîtriser l'approche aromatique et de l'améliorement. de la santé, on accompagne énormément d'unités cancéreuses, de centres hospitaliers, de maisons d'accompagnement, parce que vous savez que le cancer est pris de plus en plus de manière globale avec la réflexion de vie et autres. Et donc nous, on accompagne énormément dans la mise en place de protocoles pour soulager les symptômes. Et les études se font, par exemple, sur l'antité ou sur la dosée. Voilà. Donc nous, on est à même avec les services qu'on a de pouvoir... accompagné dans la mise en place de protocoles et en participant à des projets de recherche. Un gros projet de recherche qui va être mis en place à l'hôpital de Caen pour une étude vraiment scientifique pour démontrer justement la pertinence parfois de gestes très simples dans une efficacité et dans des protocoles de santé. Le cancer c'est très médicalisé, il faut faire très attention. On vient proposer de la chromathérapie des huiles essentielles des spicophactifs. Ça fait parfois un peu... Mais le monde de la cancéro est spécialement ouvert à trouver des solutions. C'est les huiles essentielles qui ont commencé à faire partie du protocole de recommandation de différents organismes qui défendent ces choses. C'est important dans la santé de la femme, et on l'a bien entendu, la femme est gouvernée tout au long de sa vie par son niveau d'hormones, par ses hormones, on a beaucoup parlé des estrogènes, effectivement c'est eux qui vont. Peut-être qu'on est des femmes, mais c'est ces estrogènes aussi qui vont, malgré tout, nous amener à la spiritualité, à avoir un chemin de vie et tout. Donc, c'est vraiment quelque chose qui est très, très important. Et oui, on est victime aussi de ces fluctuations hormonales. Et c'est comment on va pouvoir appréhender justement bien toutes ces phases. C'est ce qui a été dit ici dans la conférence. Et comment nous, à travers des compléments alimentaires, on va pouvoir venir accompagner aussi ces différentes phases. Quand on comprend bien la physiologie, on sait venir avec des plantes et des bourgeons. Ça, c'est une observation chez Herbagem. Donc, c'est de la gémothérapie concentrée qu'on a désampolysée. Et ça, c'était très important dans le processus, c'est de rendre plus accessible à un plus grand nombre cette gémothérapie qui contient un peu d'alcool. On a trouvé un processus qui permet de garantir les polyphénols si importants dans cette gestion. de l'inflammation, de l'oxydation, de toutes ces maladies, en endométriose, dans le cancer aussi. Mais ce que je veux vous dire à travers ça, c'est qu'on a réussi à formuler de l'ingénuo, désalcoolisé, en génule végane. Et pourquoi je dis ça aussi ? Parce que c'est sans lactose, sans gluten, et qu'en général, toutes ces femmes qui ont aussi des problèmes hormonaux ont toutes ces intolérances. Et quand il y a des compléments alimentaires, il faut regarder qu'il n'y ait pas de lactose. pas de sucre et pôtre, et c'est toujours une galère. Donc voilà, on a voulu faire quelque chose de très simple. L'association de, en général dans la formule 3, le jouissement spécifique de la phase hormonale. plus un extrait de plan standardisé avec publication qui nous permet d'avoir des vraies allégations, de ressortir de vraies allégations qui font que la femme va voir que ça me convient, oui j'ai du SPM, oui j'ai 40 ans et ça commence à marcher et ne pas être acceptable pour moi. Ah oui, je suis en mélopause, c'est la catastrophe pour moi. j'ai besoin de relever mon taux hormonal. Donc on a des formules avec phyto-oestrogènes et des formules sans phyto-oestrogènes, en fonction, vous savez, bien des antécédents de cancer. Donc pour nous, cette gamme, c'est une phase d'épique, c'est un truc qui est très important, on répond à toutes les phases de la femme, et ça, c'est ce qui va nous permettre d'avoir notre humeur, excusez-moi de dire notre humeur constante, et de ne pas être une piste qui est chiante, quand ça va moins bien hormonalement. Et après, on a toutes nos solutions spécifiques pour les problématiques de la femme. La cystite, c'est très gênant, on nous fout de faire des antibiotiques, et on a des obésites fondues aussi, olébiotiques, santé urinaire, où on a fait des preuves de cicatricité versus la molécule de réservance. On a les mêmes résultats, et ça peut venir dans les pratiques thérapeutiques. Même le pharmacien peut commencer à faire des trônes urinaires, pour vérifier si l'antibiotique est nécessaire ou pas. Nous, on a une réponse avec les huiles essentielles, puisque vous savez que les huiles essentielles sont efficaces sur les bactéries, les germes, les champignons et les parasites. Et donc, on n'en rend plus pas ou plus, on ne va pas engendrer plus de risques. Voilà, je ne suis pas là pour vous faire un tour sur chaque formule, mais c'est de se dire que toute la période difficile des règles, même d'une jeune fille qui a 12 ans, on commence à avoir ses règles. La géomothérapie, le féminagème, ça permet de soulager les règles de manière très efficace, rapidement et naturellement. Voilà, donc n'oubliez pas que toutes ces formules naturelles existent et vous pouvez accompagner et du coup répondre aussi à la demande de personnes qui ne veulent pas des hormones, qui ne veulent pas des médicaments. Ça fait partie des demandes des jeunes femmes actuellement, des femmes plus adultes aussi. Voilà, donc c'était ce qu'on voulait terminer par vous dire après cette belle conférence. La femme, c'est quelque chose d'important, c'est quelque chose de sociétal, de content, de bon, de bien, de bon. En plus, médecin et hôte, c'est important que vous sachiez où aller chercher les belles solutions, l'intérêt. Et pour terminer, comme vous l'avez dit, pour partir de la main vide, mes collègues vont vous donner un élément de chantier urinaire. La formule CITIC, une capsule trois fois par jour, cinq jours. On vide la boîte en prenant le réflexe antibiotique. Et une petite brochure sur Gémocaps pour que vous ayez à disposition la base de l'infant. Voilà, je vous remercie pour votre attention. Merci.

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La santé des femmes : nouvelles perspectives pour un bien-être global 👩


Et si la santé des femmes était enfin mise au centre des priorités médicales ? Cette conférence met en lumière les inégalités persistantes dans la prise en charge des femmes et propose des solutions concrètes pour mieux répondre à leurs besoins spécifiques.


Des inégalités frappantes en santé : Les femmes attendent plus longtemps aux urgences, subissent des retards de diagnostic et sont souvent sous-représentées dans la recherche médicale.


Des maladies sous-évaluées : L’endométriose, la ménopause ou les douleurs menstruelles sont encore trop souvent minimisées, malgré leurs impacts majeurs sur la qualité de vie des femmes.


L'importance d'une approche globale : Une meilleure prise en charge passe par une écoute active, une compréhension des cycles hormonaux et des solutions adaptées, allant des traitements hormonaux aux approches naturelles.


Rétablir l’équilibre : Les gynécologues médicaux, les praticiens et les naturopathes jouent un rôle clé pour offrir des solutions préventives et personnalisées, tout en sensibilisant sur les impacts des cycles hormonaux et des transitions comme la ménopause.


Des solutions naturelles et efficaces : Les plantes, la gémothérapie et l'aromathérapie offrent des alternatives pour accompagner les cycles féminins, soulager les symptômes de la ménopause ou traiter des affections comme la cystite, en complément ou en remplacement des traitements médicaux.


Un appel à agir :
Collaborer entre professionnels de santé, intégrer les femmes dans les décisions et transmettre des connaissances pour accompagner chaque étape de leur vie : de la puberté à la ménopause. Une conférence engagée pour replacer la santé des femmes au cœur des priorités médicales.


  • Dr. Paule Nathan - Médecin endocrinologue et nutritionniste

  • Dr. Anne de Kervasdoué - Médecin gynécologue

  • Pascaline Lumbroso - Naturopathe et praticienne en shiatsu, spécialiste de la santé des femmes

  • Modératrice : Amal Dadolle - Experte en bien-être holistique, fondatrice de BloomingYou.fr


Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

Transcription

  • Speaker #0

    Je pense que j'ai introduit. Oui, vous avez. Et là, ça marche. C'est bizarre. Je suis quand même en train de avoir des ressources. Je suis en train de me faire un biais. Alors bonjour à toutes et à tous. Alors pour ceux qui n'étaient pas là avant, je suis Amal Dadol, fondatrice du site Ausha de CoreXprim, l'oublier.fr. Alors, aujourd'hui on va parler, ce soir on va parler d'un problème qui touche... La moitié de l'humanité est pourtant qui intéresse si peu la santé des femmes. Les femmes passent 25% de leur vie en mauvaise santé de plus que les hommes. Pas parce qu'elles sont plus fragiles, pas parce que la biologie l'a décidée, mais parce que la médecine n'a pas été pensée pour elles. Pendant des siècles, on a considéré que le corps masculin était la norme. La femme, un homme comme un autre, mais avec des cycles menstruels en prime. Résultat, 1% des investissements en recherche médicale concernent les maladies spécifiquement féminines, hors cancer. Une femme aux urgences, elle attend en moyenne 30 minutes de plus qu'un homme avant d'être prise en charge. Sans diagnostic, retardée de 4 ans en moyenne pour des maladies graves. Elle a par exemple 50% de plus de risque d'être mal diagnostiquée après une crise cardiaque. Sur l'endométriose, il faut attendre 7 ans pour un diagnostic, parfois même 13 ans pour certaines femmes. Et ce ne sont pas des hypothèses, ce sont des faits que je vous invite tous à aller vérifier. Alors pourquoi rien ne change ? Manque d'intérêt, manque de moyens, manque de volonté, peut-être un peu d'énorme. Alors une solution pourtant évidente, quand une femme est soignée par une médecin-femme, elle a de meilleures chances de survie et moins de risque de réadmission. Les médecins-femmes suivent mieux les protocoles et passent plus de temps avec leurs patientes. Alors 2025 marque les 10 ans de la journée internationale des femmes et des filles en science. Et pourtant, elles restent sous-représentées dans la recherche médicale et les carrières scientifiques. Alors avant de penser par les hommes produits des solutions pour les hommes, il est temps de changer les rêves. Ce soir, on va parler de tout ça avec des femmes, des femmes engagées sur ces questions. Docteur Paul Nathan, vous êtes endocrinologue et nutritionniste, spécialiste de l'alimentation consciente et holistique. Vous êtes l'auteur de nombreux articles scientifiques et d'ouvrages destinés au grand public. Vous donnez du sens à son alimentation, vous donnez du sens à sa vie. J'ai oublié, j'aime Bob. Et à travers votre travail, vous mettez en lumière l'impact de la nutrition sur la santé et le bien-être en prenant une approche globale et préventive. Vous êtes également très investi, vous œuvrez activement au sein d'associations dédiées à la défense des femmes. femmes et des en avant. Anne de Carvazou, vous êtes médecin, gynécologue et auteur de nombreux ouvrages, dont le plus récent, celui qui ne me fait ni entendre, La vie intime des femmes. A travers vos écrits et votre engagement, vous levez le goût sur les préjugés et d'amour qui entourent le corps féminin et la santé intime, afin de favoriser une meilleure compréhension et une meilleure prise en charge des spécificités féminines. Pascaline Lombrose, vous êtes naturopathe et praticienne en Shiatsu, spécialiste du bien-être féminin. Depuis plus de 15 ans, vous accompagnez les femmes dans une approche holistique de leur santé, en tenant compte de leur nature cyclique et de leurs besoins spécifiques. Votre engagement autour de... de la femme de la ménopause, initiée dès vos 40 ans, vous a conduit à transmettre un regard neuf et bienveillant sur cette transition. Vous êtes l'auteur de Ménopause Métamorfose. Vous invitez à redécouvrir cet état comme une transformation positive et puissante. Alors, ma première question, je l'adresse à vous, à tous les voisins. L'impact du patriarcat sur la prise en charge de la douleur gynécologique est réel. Tant est-il bien qu'elle génère de nombreux tabous en gynécologie, y compris entre les femmes. Comment vous l'observez-vous ? Alors, dans votre pratique, ce que j'observe, c'est que pendant des années, La douleur des règles est aussi majeure que nous, peut-être traité avec une certaine condescendance. On estimait que c'était normal d'avoir mal sur ses règles, comme veut mère, comme veut coromère, tout ça est normal. La femme souffre, comme elle souffre pendant l'appuissement, ou bien elle souffre pendant ses règles. Et donc il n'y avait aucune écoute de la part. Je ne sais pas si les femmes étaient mieux que les hommes, mais en tout cas, les hommes, c'est certain. Je pense que votre élection ou patriarcat vient de là. Et ce n'est que tout récemment, finalement, qu'on commence à se dire que la douleur des règles est le symptôme d'une éventuelle maladie, maladie ou affection. Alors, je voudrais vous préciser que ce n'est pas parce qu'on a mal dans ces règles que c'est une endométrie au même temps. Il y a des douleurs, des règles, qui ne sont pas du tout le signe d'une endométrie. Simplement, on y pense maintenant. Tout le monde y pense. Avant, on y pensait trop tard, quand la femme était en douleur, quand elle était stérile, quand elle avait vraiment des complications de la maladie. Donc voilà, le patriarcat, oui c'est vrai, je suis d'accord. Alors l'endométrie gauche, c'est en plus une maladie assez difficile, parce que le seul signe c'est la douleur. En fait, c'est une maladie douloureuse et personne n'assiste. à ce qui se passe. En réalité, c'est un reflux, c'est une fausse route. C'est un reflux des règles vers le haut. Au lieu de descendre dans le vagin, il y a du sang venant de la muqueuse utérieuse qui part dans les trompes et à travers les trompes, qui va vers les ovaires, dans le péritone et même ailleurs, même la plèvre. Le tube digestif. Et donc cette maladie... C'est en fait des greffes, des morceaux de muqueuses, partout dans le bas du corps. Et ça, on ne sait pas. Les femmes ont très mal, elles n'ont pas mal uniquement dans leur utérus. Elles ont mal à tous ces organes, parce que toutes ces greffes se mettent à saigner et à faire mal en même temps, notamment au moment des règles. Elles réagissent comme si c'était l'utérus. Voilà. Alors l'endométriose, c'est ça. Alors, on a, donc, ils utilisent bien sûr des couleurs. contre la douleur des règles, ça c'est bien, mais il faut traiter autre chose. Parce que dans l'endométriose, on l'appelle la maladie des 5D. C'est-à-dire, il y a dysménorrhée, qui est la douleur des règles, disparition et douleur pendant les rapports sexuels, notamment les fonds qui sont des douleurs profondes. Il y a une difficulté, il y a ce qui me dit, vous aimeriez les douleurs, les noms... il y a des douleurs au moment de la divination il y a des douleurs en urinant et au moment où l'on va à la scène donc ça fait des douleurs qui reviennent souvent donc c'est pour ça que c'est très important quand une femme commence à dire qu'elle a mal comment c'est vrai, de l'interroger d'autres douleurs, de savoir l'intensité et tout ça et avant on ne prêtait aucune mais avant, quand je dis avant, encore il y a 10 ans aucune attention moi j'ai eu la chance ... Il a été formé à Médital, à Saint-Vincent-Paul, en tant que spécialiste de l'endométriose, Jean Bélaïche. Donc lui, il connaissait tout sur l'endométriose, et donc il m'a formé, c'était une chance. Alors ce qu'il faut savoir, c'est que c'est une maladie chronique, évolutive, et très mystérieuse, parce qu'on ne sait pas pourquoi on l'a, il y a des raisons psychologiques qui sont issues, il y a des raisons génétiques, il y a des raisons alimentaires, enfin bref, il y a un ensemble de choses. Et donc, il faut bien la repérer. Alors, je vais oublier ce que je voulais dire. Donc, il faut bientôt s'en occuper. Et en fait, c'est une maladie qui est entraînée par les hormones, par les estrogènes. Tant qu'on a des estrogènes, la maladie est évolutive. Mais dès qu'on est ménopausé, elle s'arrête. Et dès qu'on est au sein... Elle s'arrête aussi parce que ce ne sont pas les ovaires qui travaillent, mais le placent. Oui, mais ce ne sont pas les ovaires qui travaillent. Dès que les ovaires sont au rebond, conclusion, il y a un traitement simple, hyper simple, surtout chez les hommes. C'est la pilule. La pilule va arrêter le fonctionnement des ovaires et va diminuer les règles. On apprend que le traitement continue. Oui, c'est un traitement simple qui déjà arrête. Or, en ce moment, il y a une espèce de prévention générale. les gens me disent je n'ai pas d'hormones je n'ai pas de pique-cocs vous risquez peut-être d'être stérile parce que si les petits morceaux du tucérus se baladent partout vous bougez vos troncs vous font gonfler vos oeuvres donc assez vite elles sont convaincues quand elles le souffrent et elles sont ressuscitées et puis il y a un tas d'autres traitements donc pour faire le diagnostic ... Quand elles sont très jeunes, c'est plus difficile parce qu'on ne leur fait pas des courants de type indienne, c'est leur jamais eu de rapport. Mais il y a l'IRM. maintenant il y a un test salivaire, ça c'est nouveau, il n'est pas encore remboursé, pas encore diffusé, mais ça c'est la grande nouveauté, donc un test salivaire, dans certains cas, et qui permet de faire le diagnostic de l'endométriose. Mais même sans diagnostic, c'est simple, le premier réflexe, c'est de bloquer les ovaires, en attribut ou autre chose, mais quelque chose qui bloque les ovaires, vous voyez, c'est pas compliqué. Et vous voyez, on croit, les femmes c'est bien, je leur dis. jusqu'à ce que vous ayez envie d'arriver. Et là, à ce moment-là, pour éviter que l'endométriose reprenne, reparte entre les deux, eh bien, elle peut être enceinte beaucoup plus facilement. Voilà, les grandes lignes. Alors après, je vous parle bien de vos questions, mais vous en avez d'autres. Oui, mais après, on peut aller effectivement sur les femmes, qui ont déjà eu des idées de la pilule, ou encore, ils reviennent sur la pilule. Voilà, ils cherchent des solutions. Et on a un rembantant, alors peut-être effectivement, Pascaline, pour répondre. aussi là-dessus, parce que je sais que tu vois pas mal un petit peu de ganglion. Moi, j'ai... Oui, ça marche. Moi, je ne suis pas du tout spécialisée dans l'endométriose. Il y a peu de femmes, finalement, qui n'aiment pas me voir. Mais en tout cas, l'hygiène de vie va aussi participer et améliorer sa vie. Moi, ma priorité, quand je vois des femmes qui se confondent, c'est vraiment de trouver une réponse pour ne plus se faire. Je pense que la douleur, la souffrance, ça vient aussi empirer le temps. Oui, c'est pour ça que j'aime travailler en partenariat aussi avec les médecins, que je garde un discours ouvert, de manière à ce que chacun puisse se sentir libre, de faire ce qui va être, en tout cas dans un vrai temps, ce qui va la soulager véritablement. Mais effectivement, l'hygiène de vie, on va en parler tout à l'heure avec Paul, l'alimentation, de pouvoir reprendre de l'exercice physique, de pouvoir travailler sur ses émotions, sur apprivoiser le stress au quotidien. Tout ça va participer à améliorer l'environnement de la femme. Moi, c'est une marante. Je suis d'accord. C'est essentiel, mais on peut en parler. Alors, j'aimerais vous passer la même pause maintenant. Au revoir. Alors, bien que la ménopause ne soit pas une maladie longue, elle entraîne quand même des modifications hormonales qui sont pas de doute sur les risques d'hypertension, de diabète et de maladies cardiovasculaires. Du coup, ma question s'adresse à vous, Moulin Adam. Quel est l'impact des cycles féminins de la puberté à la ménopause sur notre système hormonal et endocrinien ? L'impact des cycles féminins, je pense que c'est l'impact, puisque c'est la nature en fait. commence la puberté, la mélopause c'est une puberté à l'envers, modification de l'humeur et autres, il y a des variations effectivement, l'homme c'est la testostérone, tout ça, et toute sa vie, puis après il n'y a plus d'andropause, il conserve des raposes, l'androgène reste à un bon niveau, nous on varie. On varie en fonction de nos sites. Et il y a des femmes qui ont des variations beaucoup plus importantes que d'autres. Effectivement, avec des syndromes prémenstruels, ou des douleurs de règles, ou des sédiments plus importants. Alors, quel est cet impact ? Effectivement, il y a tout ce qui est... Et après, l'impact, c'est des modifications effectivement de l'humain. Je vais vous donner un exemple. C'est un exemple un peu caricatural. J'ai un monsieur comme ça qui est venu du centre de la France venir me voir. qu'il avait une femme qui faisait des tentatives de suicide, ces tentatives de suicide, on ne peut pas faire de psychothérapie dans ces cas-là, on peut rien faire. Donc en fait, il avait observé que c'était à peu près cyclique, mais personne ne l'écoutait. Donc il s'est dit, je vais prendre un endocrino. Il a pris le mot. m'a choisi parce qu'il a trouvé que l'arrondissement était pas mal. Parce que j'ai demandé pourquoi. Bref. Et en fait, elle se mettait en rhinopause. C'est-à-dire qu'elle avait une chute hormonale monstrueuse juste au moment des règles. Et c'était là, effectivement, elle faisait ses tentatives. Parce que j'ai fait faire des bilans monopoles pendant toute six mois en bassin. Pour excéder. J'ai bourré un peu d'hormones. Après, elle a pu faire une psychothérapie. Et puis, ça a paru. les choses qu'elle a vécues. Vous savez dans l'enfance si on prend une classe d'âge maintenant, on voit très bien qu'on a vécu des traumatismes et que dans tous ces problèmes de polémies, de soie, de dépression, il peut y avoir aussi des traumatismes qui ont été enfouis et qui ont été des bombes à retardement. Je vois ça pour des années de tiernité. Il faut savoir interroger ce qui s'est passé. Donc en fait, il y a une fluctuation qui est beaucoup plus importante chez d'autres, qu'on peut corriger effectivement par le fait du rédimension, qui peut influer, parce qu'effectivement, on peut avoir des petites résistances à l'insuline, un peu comme on a en fin de procès, si on a envie de sucrer avant les règles, des déprimes. Moi, ça m'est arrivé une seule fois, heureusement, une seule fois. J'étais avec mon ami, j'ai raté ma vie, j'ai raté ma vie, j'ai vu du noir. et ça a duré 10 secondes. Donc là, je sais ce que vous ressentez. Alors, je ne sais pas ce que vous ressentez. Mais je sais vraiment ce que peut ressentir une femme quand elle a un syndrome prémenstruel et quand elle a une chute d'hormones. Et ça, il faut remonter, effectivement, en expliquant avec les hormones et voir ce que l'on peut faire. Remonter l'estime de soi, parce que le problème de la femme, c'est qu'on ne se culpabilise pas. quoi qu'on fasse, on est toujours culpabilisé, on a un manque d'estime de soi et autres. Donc ça, il faut savoir expliquer comment fonctionne le climat hormonal, qu'est-ce que l'on peut faire. On a des examens que l'on peut faire, on a des examens de la distance à la semine, la musculation, des choses comme ça. Et là, on va venir travailler effectivement sur le... Voilà. Donc, je pense que c'est l'avis des femmes qui font que... C'est vrai que le fait qu'on ait des plaintes qui sont par rapport à nos humains, par rapport à nos vagues et autres... Donc on n'est souvent pas pris au sérieux. Et là, ce qu'on a montré en dépistage de maladies cardio-masculaires, c'est qu'effectivement, on n'a pas du tout les mêmes signes qu'une femme, on n'a pas les mêmes signes qu'un homme. C'est-à-dire qu'on peut très bien avoir des problèmes digestifs et qu'ils soient finalement un syndrome de menace au point de vue infarctus. Moi, ça m'est arrivé, ou une fatigue. Une fatigue, je vais vraiment faire très attention sur tout ce qui se passe ici. Une fatigue. on peut trouver un problème de coronaire, surtout qu'actuellement les femmes ne veulent pas de traitement, je parle de traitement tout le temps pour le cholestérol, mais il y a des gens qui se baladent avec 2 grammes de cholestérol LDL, qui ne veulent pas de traitement, et qui finalement ont les artères un peu bouchées. Maintenant les femmes aussi fument, elles ont pas du tout les mêmes signes cliniques. Moi je me suis fait avoir il y a longtemps, il y a 30 ans, en fait elle avait des signes digestifs, mais c'était un début de maladie chronique. Donc c'est pas du tout les mêmes signes, et puis on ne croit pas. Il faut arriver à croire quand une femme se plaint. Oui, c'est simple. Majestine, quand une femme prend un rendez-vous, elle attend trois mois, elle ne fait rien que dans la salle d'attente, elle a vu d'autres médecins et autres, il faut croire la personne qui est en face. Et surtout examiner. Moi, j'ai vu encore quelqu'un qui était en fibrillation auriculaire. C'est comme ça, il faut l'envoyer chez la cardio. Les téléconsultations, c'est énorme. On examine plus les personnes, on ne prend pas le temps. Le problème, c'est le temps médical dans toutes ces maladies. Je pense que toi, on a formé la Bénécole. Et c'est le temps, mais pas d'écouter de ce qui se passe, et de pouvoir mettre tout bout à bout, et de pouvoir aider, parce qu'en fait on est formé au CAIR, et c'est ça qu'on manque effectivement pour la femme. C'est la croix. Je vais vous donner l'exemple, le lévothyrox. On parle de lévothyrox. On a traité, je suis en le créneau, je suis en thyroïde, les patients, on les a traités. C'est vrai, je m'en souviens. Je m'en souviens. Et même dans les médias, les gens ont placé. Ça a été de mes patients d'hystérique. Moi, je les connais parce qu'ils sont fragiles quand même. Moi, j'ai des patients qui se sont pris des TGV à aller s'acheter des pilules quelque part en Suisse. D'autres qui ont subi. D'autres, moi, j'ai des femmes enceintes, la TSH augmentée avec des BV à l'intérieur. C'est-à-dire qu'en fait, on n'a pas cru les gens. On a balancé 3 millions de personnes. Alors, c'est un médicament féminin. Ça aurait été un médicament de mec, ça ne serait pas passé comme ça. Il y a eu un sartan, il y a eu un... Pour un médicament d'hypertension, pour reprendre le cancer, vous inquiétez pas qu'il a été rétretié. Et on a balancé 3 millions de personnes. Je ne savais pas qu'il y avait 3 millions de personnes qui prenaient des hormones thyroïdiennes. 3 millions de personnes, on les bascule sur un générique, puisque c'était un médicament modifié. Et à ce moment-là, vous pensez bien qu'il y a toujours un peu d'effets secondaires sur les médicaments, mais on les connaît. Non seulement il y a eu des effets secondaires, mais... en plus il y a eu ces médicaments à marge une croix donc il y a eu des personnes qui ont fait soit des hyperthyroïdies soit des dépôts et autres avec l'angoisse qui a eu plus de traitement puisqu'on nous a empêché de donner des gouttes des bébés parce qu'il fallait bien garder des hormones thyroïdiennes pour les bébés et donc ça a fait vraiment et ça on n'a pas cru les femmes et moi j'en veux beaucoup et d'ailleurs défaut d'information on n'était pas informés les médecins je suis désolée on ne savait pas on nous a nous est tombé dessus Et heureusement, moi j'ai un secrétaire téléphonique, des gens m'ont rappelé, et j'ai récupéré il n'y a pas longtemps, il n'y a pas si longtemps que ça, que j'ai pu récupérer des personnes du bout de la France où on ne voulait pas leur changer leur émotion. Ceci étant, je vous rassure, il y a beaucoup de personnes qui le supportent à Nouvelle-France. Moi, quand je récupère des personnes qui sont sous une nouvelle formule, moi je les laisse, etc. Mais cet exemple de l'évotirox, c'est pour vous montrer qu'on ne nous a pas cru. On n'a pas cru les femmes. Et ça, c'est fait quoi ? Parce qu'il a été montré qu'il y a eu beaucoup d'hospitalisations, il y a eu des arrêts de travail. Finalement, qu'est-ce qui s'est passé ? Comment s'appelait déjà l'actrice ? C'est Annie Le Perret. Qu'est-ce qui s'est passé ? Moi, je pense que ce qui s'est passé, elle avait sa pièce de théâtre, elle faisait faire jouer les assurances. Quand vous mettez un arrêt de travail, les salariés, je pense qu'elle avait un gros problème à l'aide du travail. Il y a eu des personnes qui ont eu du mal. Je pense que ça a joué sur le site de Crepes. Un peu comme les statines, il y a des personnes qui n'arrivaient plus à lancer après la CRU. On a montré qu'il y avait beaucoup plus de consultations, d'hospitalisations. Juste une petite question sur la société publique. On s'en fout d'histoire. Est-ce que c'était lié ? à un excipient différent, où la molécule était différente. C'est vrai que c'était d'une violence inusible. Moi, les femmes les plus équilibrées que je connaisse, qui étaient comme des folles, tellement elles ont mal supporté, et effectivement, il n'y avait aucune égoût dans leur vie, alors ça a changé. Et je voulais savoir, quelle est l'expression rationnelle ? Plusieurs. Il y a eu plusieurs. L'excipient ? Il y a eu un long, il y a eu un problème avec l'excipient. Il y a eu. On rappelle que l'évotirox était le seul où on ne devait pas donner de générique, parce qu'il y a eu un problème avec le générique de Manicol, ce qu'il y a trois mois. C'était le seul où on ne donnait pas de générique, effectivement. On a envie du même, mais après, moi, je ne sais pas. Il y a eu ça, il y a eu un autre, on me dit, l'effectueux. Il y a eu effectivement effet secondaire par rapport, effectivement, parce que c'est toujours la molécule de base qui est la même, l'évotirox. Et après, c'est l'excipient qui change. Oui, c'est ça. Donc effectivement, il y a des intolérances aux exécuences, c'est comme ça. Et puis surtout, il n'y avait pas l'équivalence. C'est-à-dire que tu bascules de l'un sur l'autre, et il y a eu une mauvaise étude sur l'équivalence de doses, en fait. Et on fait très attention, voilà. Une fois j'ai mis le dossier, effectivement, les gens sont bien en hyper, les autres en hypo, et c'est surtout aussi pour les parents-saintes, ou d'autres, les parents-saintes, les parents-saintes. Donc c'est pour vous montrer que les femmes, on nous... et sont très belles, les livres qui sont donnés. Le Comité national de femmes françaises l'année dernière, j'étais au Sénat, a fait toute sa journée sur, effectivement, la santé des femmes. Et c'est bien que cette journée soit faite aujourd'hui. Donc, il faut savoir se faire attendre et savoir qu'effectivement, les signes, ce ne sont pas tout à fait les mêmes. Il peut y avoir un ballonnement, j'ai trouvé sur les ballonnements à Domino, à la France des Auxerres, où quand même, il y a affaire, effectivement, c'est quand même que ça devienne des fatigues. Des fatigues où, c'est, on sait dire... ça peut être un petit conseil avec vous, il ne faut pas vous affoler il faut croire il faut être écroué avec le messia et savoir écouter écouter vous croire, écouter croire on est là pour vous venez il y a quelque chose qui va pas et on est là pour vous aider et je trouve que c'est important c'est important qu'il y ait effectivement un lien qui se passe les uns avec les autres Oui, il y a tout un sujet lié à l'information et à la désinformation, notamment sur les traitements hormonaux substitutifs, pour soulager les désagréments de la ménopause, qui peuvent aussi avoir des impacts et des conséquences majeures sur la santé de la femme. Je vous laisse dévoiler ce que vous dites. Pour le raccourci, dès que la femme n'a plus du tout d'estrogène, qui est l'hormone principale, il y a un certain nombre d'organes qui vont commencer à... mais dans tous les sens. Le premier, c'est le cerveau qui va être touché, mais ça va se manifester. Alors, c'est différent selon les femmes. Il y a des sueurs, des bouffées de chaleur, un manque de sommeil, une irritabilité ou une dépression. Il y a des femmes qui font des dépressions, comme la veille des règles, à cause de la chute des hormones. Mais ça va toucher aussi les muqueuses génitales qui vont devenir plus sèches. La sexualité n'aura plus d'intérêt. D'ailleurs, les femmes... me disent, je n'ai plus de bidon, je n'ai plus de bidon, mais qu'est-ce qui se passe ? etc. Ça va toucher ses artères, vous en avez fait l'abusion tout à l'heure, ce qui est un signe grave, parce que effectivement, le cholestérol, faute d'estrogène, le cholestérol va se décliner davantage sur les artères et les bidons. Donc il y a un certain nombre d'insertions sur la faute qu'on maîtrise totalement, parce qu'effectivement, on fait de la faute, tu l'as très bien dit, Mais il y a des normes dans le diagnostic, les normes c'est toujours trop tard. L'homme, on connaît l'actrice, l'ouvreuse, qui sert par là, etc. Tout le monde sait comment elle parle. Mais la femme, elle dira, j'ai un peu mal au bras, ou j'ai ça, j'ai ça. On lui donne une mammographie, pensant que c'est le sein. Je vous assure que ce n'est pas une blague. On n'y pense pas. Le cœur, c'est très important. Vous avez des os. Tout le monde, apparemment, s'en fiche des os. On ne sent rien. Mais vos os, dès que vous n'avez plus d'hormones, ils deviennent poreux et ça se manifeste beaucoup plus tard à la ménopause ah pas à la ménopause, plus tard, bien après à la ménopause et là ça se manifeste par soit des douleurs, soit surtout des fractures or on peut éviter les fractures donc voilà, vous avez un certain nombre d'une zone dans tout le corps qui sont touchées, les douleurs articulaires, enfin bref et ce traitement hormonal puisque je suis devenu presque une croisée de traitements en malade et des banques avant il ya 30 il ya 20 ans et 20 ans exactement avant l'étude fatidique 2002 est ce que tout est enfin plus la moitié des femmes mais nous posait prenait un traitement et elle était enchantée un nom était ravi et surtout beaucoup et puis il ya eu cette étude qui a dit il y a un peu plus d'accidents cardiovasculaires, donc il y a eu des femmes qui ont eu des embolies, des choses comme ça, et un tout petit peu plus de cancers du sein, mais pas tant que ça. Bref, il a suffi qu'on dise qu'il y avait plus d'accidents pour que tout s'arrête. Tout le monde a eu peur, il y a des patients qui jetaient leur traitement à la poubelle. Il y en a d'autres qui faisaient l'inverse, qui venaient me voir, donc je préfère vivre 5 ans ou moins, mais je ne veux pas que vous m'arrêtiez mon traitement. Je me souviens de ça. Cette phrase qui revenait dans le même, je veux continuer. Donc, pourquoi il y a eu ça ? C'est parce que cette étude a été faite, parce que les femmes reprochaient aux autorités de ne faire des études que sur les hommes et pour les hommes. Donc la demande était très forte, l'investissement était très important. Il fallait 10 000 femmes, je ne sais pas si vous le voyez, mais 10 000 femmes dans une étude, c'est énorme. C'était versus possible. Bon, certaines l'avaient, d'autres ne l'avaient. Donc, ils ont pris toutes les femmes qui se présentaient, c'était souvent les plus doux, les plus malades, etc. Donc elles avaient en moyenne 60-65 ans, c'est l'âge que l'on commence le traitement de la femme, elles étaient hyper tendues, les trois quarts étaient en surpoids ou obèses, ce qui n'est pas non plus forcément une bonne chose pour commencer un traitement de la femme. Elles étaient hyper tendues, elles avaient un du diabète, etc. C'était une femme qui n'était pas américaine, très enfance. Donc l'étude était biaisée. ça a été biaisé et on a généralisé, c'est un énorme malentendu, on a généralisé à tous les pays, et notamment à l'Europe et surtout la France, qui avaient inventé des hormones naturelles, l'estrogène c'était un équerre, le pétanéquet, l'iestrogène et la progestérone naturelle, le progestan, comme vous avez peut-être compris, comme dans le Mojotwi, aux femmes enceintes, etc. Et c'était des hormones, pas à partir de mer, mais des arbres. des hormones dans des entreprises, chimiques, mais micronisées, donc naturelles, et par voie cutanée, parce qu'il n'y a pas d'impact sur le canal, enfin, mauvais impact sur l'enveloppe. Donc si vous voulez, ce traitement à la française était beaucoup mieux que le traitement à l'américaine qui existait aussi en France. Et c'est seulement en vérifiant tout ça que tous les chercheurs ont dit à l'unanimité que les tubes étaient biaisés. Mais le problème, c'est que les gens sont bloqués. On est passé de plus de 50% de femmes traitées, et les biens, et les rôles, etc. à 10% seulement. Voilà. Alors, je vais enlever ça. Je suis toujours prête à expliquer tout ce que vous voulez, mais passez des heures à expliquer, tellement c'est important, parce que ça vous permet d'être complètement normal. Comme un homme qui continue sa vie, on vieillit, mais la ménopause, c'est une cassure quand même dans une vie. Il y en a qui disent qu'elles n'ont rien, elles peuvent s'adapter, mais elles n'ont pas rien, parce qu'elles ne savent pas où en sont leurs os, elles ne savent pas où en sont leurs artères, ça, elles ne surveillent pas. Et la sécheresse vient plus ou moins tôt, sécheresse des muqueuses. Donc, si vous voulez, tout le monde, tout le monde, après la ménopause, est trompé de façon plus ou moins désagréable. Donc, il ne faut pas se dire qu'il y en a qui se sortent. Non, il y en a qui veulent s'en sortir, alors elles c'est le même discours, ça sent bien. Ben voilà, vous sortiez lentement, alors pour les... Pascaline va nous dire qu'il y a d'autres moyens. Moi je parle parce que c'est très rapide, très simple. En 15 jours, vous êtes transformé, c'est pour ça. Dans une tête, il faut faire des efforts, il faut s'oublier son alimentation, il faut faire des exercices, c'est plus ou moins. Je voulais juste préciser comme un chiffre édifiant, parce que vous le connaissez déjà, les femmes... c'est plus de maladies cardiovasculaires que de cancer du sein. C'est vraiment important. Et il y a un professeur qui n'est pas là, qui est Chloé Meunier, qui nous tente avec le bustucar, qui est une élite, qui est activement pour les garages sauvages partout en France. Elle a été visitée par 5000 personnes en 2014. Et donc c'est vraiment important, parce que oui, les stigmes et les signes avant-courant d'un malaise cardiaque, on ne les connaît pas. Même la science ne les connaît peu. Il y a quelque chose de très simple. C'est effectivement, il y a beaucoup de personnes qui sont réticentes, et on sait pas même si elles sont hartées sur les statistiques. C'est que nous avons le score calcique. Et ça, c'est vraiment un outil pour faire un triage. Désolée, mais bon, la bonne chose. C'est-à-dire qu'on a vu, il y a des personnes qui ont observé que les personnes qui se baladent avec 3 grammes de cholestérol... et LDL. Alors HDL, vous dites que c'est le H2E et le L2. Donc, il y a des LDL, une épouse qui se dépose, qui sont très hauts, pas de complications dans les familles. Et puis, il y en a d'autres qui, effectivement, vont faire des complications. Donc, qu'est-ce qu'on fait maintenant ? Et je me souviens, j'ai quelques patients, là, dernièrement, surtout pas de traitement, je dis, OK, OK, pas de traitement, il y en a beaucoup aussi, les autres ne fumaient pas. On fait un score calci. sans injection, sous la nerf, sans injection, on vous met et clac ! Calcification des coronaires. Et ça c'est génial, je trouve ça formidable. Alors après on voit ça avec du cardiologue, etc. Parce que quand on a un problème de cholestérol, on vous fait juste des carotides, ça fait combien de sang ? C'est un score calcique, c'est tout simple. Et là on arrive à voir ce qu'il faut traiter, il y a des scores calciques à 0, il y en a à 40, etc. Moi j'arrive comme ça, plus ou moins, 700. On attend de lui dire qu'il n'est plus plus plus. Surtout que maintenant, ce qu'il faut savoir, c'est qu'à l'heure actuelle, je voyais un médecin qui travaillait dans le cardiologue, et on a fait énormément de progrès. On ne s'est pas fait de progrès en tant que chirurgie et autres, mais là, ça permet de prévenir, de prévenir l'événement que l'on va avoir. On ne va pas faire un intervalle, mais après, on va prévenir. le développement de ces plaques et on arrive à régresser et avec de l'exercice physique à refaire la circulation de l'intestin. Et ça c'est très très important et il ne faut pas avoir peur effectivement des traitements qu'on peut faire. Bonne nouvelle, les cardiologues acceptent les statiques de la lumière de la bouche, parce que maintenant vu que c'est instable sur les cholestérols, on arrive à avoir effectivement une hygiène de vie et autres qui permettent. Et puis un autre examen qui est important, moi je trouve que c'est surtout quand on est en facteur de risque de... de fractures dans la famille ou de stéoporose, les membres qui sont vincés, etc. c'est de faire une encephalite osseuse qui a beaucoup de carences en vitamine B et de l'âge. Vous avez vu que nous sommes en majorité des mauvais synthétiseurs de vitamine B. Bon, on vit dans nos drogues, certes, mais après vous avez des gens qui vivent au soleil ou des sportifs qui sont au soleil et on voit qu'ils ont quand même des mauvais synthétiseurs de vitamine B. Je pense que quand même, il faut fabriquer à partir du cholestérol, et quand même, il faut avoir le cholestérol, mais ça c'est une histoire. Donc on a ce couple de vitamines qui manque en fait. Il faut savoir en donner, je sais qu'avec des hormones thymidiennes, j'en donne régulièrement, pour protéger le dos. Et pourquoi pas faire un dépistage, puisqu'on sait que dans les 50 années, on nous pose effectivement... Il faut aussi en faire un dépistage. Voilà, faire un petit dépistage de densité osseuse, boire pour demander, et à ce moment-là de reboire. surtout que les abords classiques, ce n'est pas terriférique puisque tout le monde procéder comme une touche allergique et intolérante à la casinine. Donc tout le monde a enlevé, bien entendu, tous les protéines qui ont baissé, donc ont fragilisé d'autant de tronces. Voilà, donc il y a ces deux examens, je trouve que c'est important, mais le score classique, ceux qui ont des antisémiogarnes vasculaires dans la famille ou des cholestérols qui sont malades, je pense que c'est vraiment quelque chose de simple et je pense que c'est un outil pour toutes les femmes. Pour celles qui sont... On ne va pas le faire à tout le monde. Non, non, non, non. C'est vraiment pour essayer de voir qui est ce qu'on va traiter. Il y a une question là, si je vous en prie. C'est juste pour l'examen. C'est pas un principe. C'est une connaissance. Non, c'est un souvenir. Si vous avez des grosses machines, vous savez qu'il n'y a pas d'injection. C'est comme une densité osseuse, on vous met et on regarde si c'est du gruyère ou si c'est du ponte. Je trouve que quelqu'un qui fait un NL à 82 ou à 50 ans, vraiment c'est sauver la vie de quelqu'un et prévenir des complications. Est-ce que les femmes aujourd'hui sont bien suivies par leur gynécologue ? Parce que quand j'entends... Il y a presque moins de gynécologues, il y a un problème. Il y a plus de sages-femmes, mais dans le domaine de l'obstétrique, c'est très bien. Mais il y a toute la médecine à côté. Alors, ça va monter le nombre des gynécos, mais il faut savoir que pendant 17 ans, on a arrêté l'enseignement de la gynécologie médicale, parce que les obstétriciens voulaient être les seuls chefs. et elle tout seul. Or, ce n'est pas tout à fait pareil. C'est la chance en France, on a une seule pays où on a à voir à la fois des obstétriciens qui sont des accoucheurs et qui opèrent. Et puis, les gynécologues médicaux, eux, s'occupent de cette sorte de généralisme pour la femme qui est centrée sur la gynécologie, mais alors qui sont beaucoup plus à l'écoute, qui sont obsédés par l'idée d'opérer. Je vais vous donner un exemple. En France, seule, 7% des femmes ont perdu leur utérus, c'est-à-dire ont perdu. On les a opérées parce qu'il y avait un sémastat, parce qu'il y avait un homme, parce qu'il y avait une femme. En France, vous savez combien ? La moitié des femmes n'a plus d'utérus. La moitié. Pourquoi ? Parce que ce sont des chirurgiens, et un chirurgien, ce qu'il aime, c'est opérer. Donc, dès que vous saignez, pour un oui ou pour un non, il faut que vous ayez passé la quarantaine, vous avez déjà un enfant ou deux, et encore. C'est le cas. « Oh madame, vous allez tellement mieux, c'est fini, vous n'aurez plus de saignants, ça se tue, vous n'aurez plus rien, on enlève l'hypothérapie. » 50% des épisodes, et ce sont souvent des hommes. En France, les gynécologues, on dit que c'est tout. Et voilà, c'est tout. C'est le scandale avec les bêches, sur le colapsus, les bêches. Ah, c'est le TVP, les bandelettes. Les bandelettes, on va les faire ensemble. Oui, on va se parler des bandelettes, c'est tout. c'est un vrai problème parce que l'un repart de la continence urinaire c'est vrai que l'on t'a pas élu et la continence urinaire des formes parce qu'il ya deux types d'un continent sur une ère vous avez celle qui vient ça des fuites parce que vous pourrez vous tous et vous ça ça vient d'être à 100 points de venir et puis vous avez l'autre on appelle par urgenturie c'est à dire vous avez une très grande envie d'aller faire du pays vous vous dépêchez, mais le mal de la douille, vous n'arrivez pas à vous retenir à la fin. Ça, c'est intraféquence, et ce n'est pas tout à fait les mêmes causes, et ça se traite différemment. Notamment quand c'est une urgence, c'est une hyper-excitabilité de la vessie, et avec des médicaments, vous pouvez y arriver, plus une rééducation, kinésie, voilà, qui est un peu bon, mais enfin, qui est efficace, si elle est bien faite. En revanche, celle d'effort, la kinésie ne marche pas toujours, et souvent pas. On propose une intervention qui s'appelle une pose de bandelette. C'est un peu comme un joint, mais extérieur. Ça ne dure pas longtemps, ça paraît simple, et en fait c'est très compliqué. Donc il faut voir vraiment les meilleurs chargés, ceux qui connaissent tous les types de bandelettes, parce qu'il y a plein de sortes de bandelettes, il faut l'adapter à votre anatomie, à tout. c'est vraiment dépendant du médecin qui vous la pose. Parce que ce n'est pas un scandale de vous poser une branlette. Les femmes sont très contentes, elles sont en pleine tête, elles se disent, je ne peux pas recourir, je peux faire ci, je peux faire ça, je ne mets plus de protection, c'est quand même formidable. Quand ça se passe bien. Oui, quand ça se passe bien, vous allez verser. Mais là, il y a effectivement certaines parties, ça se passe pas mal, qui souffrent, attention, et tout, et tout. Donc là, il faut vraiment prendre son temps et choisir un chirurgien qui fait beaucoup ça. Le neurologue spécifique, c'est bien difficile. Donc là, vous pouvez payer ça, ça vaut le coup. Parce qu'ils sont très rares ceux qui ont peu d'accès. Le hôpital virus. Ah, voilà, ça c'est devenu une thème. En fait, il existe depuis toujours, mais il y en a de plus en plus. C'est la maladie sexuellement spécifique la plus fréquente. C'est-à-dire que 80% des gens sont atteints. à peu près. Alors, c'est un virus qui s'appelle le papillomavirus. Il y en a une centaine. Mais il y en a une bonne dizaine qui sont oncogènes. C'est-à-dire qu'ils peuvent provoquer un cancer du col de l'utérus, de l'anus, du pubis, du... Ah ! Le pénis, pardon, et dans la gorge. Et c'est le contact, c'est un contact avec soit la moucle, soit la gorge, etc., qui entraîne la présence du virus. Ce virus, il peut soit passer en touriste, il est là, mais il ne reste pas. Si vous ne fumez pas, si vous avez une vicenne, si vous avez une bonne défense immunitaire, chez les jeunes notamment, que vous êtes très jeunes, il disparaît. C'est pour ça que maintenant, ils nous demandent de faire des frottis à partir de 25 ans, non pas 18. Parce qu'entre 18 et 25, il y aurait presque 100% de femmes qui auraient ce virus. Mais Tomy part, ça ne sert à rien de lui faire peur, ça ne sert à rien d'opérer, ça ne sert à rien de faire des biopsies et des choses très compliquées qui sont passantes. Donc on dit, on attend 25 ans et puis là, on fait et on regarde. il faut faire très attention, la nouveauté, la grande nouveauté, c'est qu'avant, quand on faisait un frottis, c'est ça un étalement des cellules sur une lame, et on regardait la lame, et on voyait s'il y avait des cellules normales et pas normales. Donc on disait frottis comme ci, comme ça. Maintenant, c'est une nouveauté, ça c'est assez extraordinaire, c'est qu'on a le moyen, par biologie moléculaire, c'est pas du tout la même technique, c'est toujours un frottis même, mais biologie moléculaire, liquide, de trouver l'ADN. du virus, non seulement de découvrir l'ADN du virus, mais en plus de le numéroter. Alors on sait que le 16 et le 18, c'est les plus méchants. Si vous avez un 16 et un 18, là il faut faire attention, il faut le surveiller, il faut faire des examens, parce qu'il peut faire des dégâts et très vite. Il y en a d'autres qui évoluent lentement. Dans l'ensemble, ça évolue lentement, mais l'avantage de faire ce test HPV, c'est que s'il est là, on sait que vous avez un risque, surtout si c'est un 16 ou un 18. Donc, on oriente maintenant davantage les frottis. Avant, c'était très très cher de faire ça. Maintenant, il y en a un peu, ça valait une fortune, c'était pas remboursé. Maintenant, ça vaut le prix d'un frottis classique et c'est remboursé. Donc, c'est un privé, parce que, en plus, si vous n'avez pas le virus, on peut espacer les frottis. Sauf si vous avez eu 50 partenaires entre temps. Alors là, il faut changer. Pratiquement à chaque nouveau partenaire, il faut refaire le test, parce que le risque est de 80% des gens. Alors, bonne nouvelle, mauvaise nouvelle, c'était qu'en France, on était les derniers, les bons derniers pour le vaccin, parce qu'il existe une vaccination, c'est quand même préventif, le casier, à 100%, mais enfin, pour les formes graves, oui. Et en France, on était 20% seulement, il y a encore quelques années, à être vaccinés. Il fallait être vacciné jeune, mais les mères disaient, je ne veux pas. nous nous anticipons sur la sexualité de ma fille, c'est elle qui verra. C'était trop tard quand c'était la fille, c'était trop tard. Donc, maintenant, heureusement, grâce à la ministre de la Santé, Mme Buzyn, on a, elle a rendu le crédit obligatoire, et surtout elle l'a ouvert aux hommes. Et la nouveauté, c'est que maintenant, c'est fait dans les écoles. Donc, ça y est, on est en train de rattraper notre rôle. On sait que, en nouvelle... en australie et aux états unis ou ailleurs il y a beaucoup moins de cancer du col que chez nous en france nous on a encore en france alors que nous avons 0 3000 cas de cancer de l'utérus sachant que c'est un cancer qui tue une personne sur deux c'est un très mauvais cancer on peut le prévenir en faisant une vaccination il faut le vacciner en 14 jours voilà donc attention tout est organisé garçons et filles ce nouveau non plus les deux puissances je pense que quand elle est un peu il faut pas trop petit sauf pas qui qui porte le virus c'est assez simple et ensuite faire affronter un gouvernement vous pouvez voir chercher le fameux htv et on peut s'en sortir le site la question à deux minutes il y a une question une question peut-être profiter de nos intervenants. Alédie, je vous en prie. Oui, il faut bien compléter ce que vous avez dit. Oui, prise en charge, voilà, comment on va faire cette prise en charge, en complément de ce que vous avez dit. Alors, une nature ouverte, on ne prend pas un chômage, en fait, il n'y a pas d'inversant, il va se prendre un chômage, et on va aller chercher des informations dans le thème de la médecine. Voilà, la nuance est vraiment importante. Et moi, je conseille aux femmes, en fait, je leur dis, la ménopause, on sait qu'elle va arriver, elle va tomber dessus comme ça, du jour au lendemain. Donc, moi, j'invite déjà, dès l'âge de 40 ans, en fait, à adopter une meilleure hygiène de vie, que ce soit par l'assiette. Et aujourd'hui, il faut voir... Pour beaucoup de personnes, c'est très compliqué de bien se nourrir. C'est brûlé par énormément d'industrialisation, d'en venir à des choses simples, mais également de prendre ce temps de reconnexion avec son corps, que ce soit par le sport, que ce soit par des ressources comme la méditation par exemple. C'est revenir à soi, pour apprendre à mieux se connaître, se comprendre. Et pour moi, ce qui est important dans la prise en charge, dans l'accompagnement de la nourriture, c'est vraiment pour les femmes de connaître leur cycle menstruel. Il y en a beaucoup qui ne le connaissent pas, qui le subissent. Moi, j'invite à coopérer avec le cycle menstruel. Par exemple, les deux premières phases, souvent du cycle menstruel, la fin de pleine d'énergie, c'est ce qui est souvent aussi valorisé par la société. Et puis, les deux dernières phases, donc la phase prémenstruel et la phase menstruel, il y a cette supermonde où elles sont plus fatiguées. C'est moins bien valorisé. Il y a vraiment cette perte d'estime de soi parce qu'on a l'impression de ne pas être adéquate. Donc, de remettre aussi, de comprendre... ... même si on est fatigué, c'est normal pour le sens de l'emportement. Donc il y a tout un accompagnement de mieux connaître la personne, qu'elle se connaisse mieux, pour pouvoir, je dirais, arriver au moment de la myopause, quand les premiers quatre nuages du cycle menstruel arrivent, qu'elle ne s'étonne pas, qu'elle ne se voit pas étonnée en se disant qu'est-ce qui se passe, mais là d'avoir déjà mis en place des choses pour elle, et puis... effectivement d'aller dans le gynéco, de discuter avec, savoir s'il n'est pas au traitement ordonnal, et d'avoir cette possibilité, parce que quand on a un rythmochois, je n'ose pas faire souffrir des femmes qui sont bombées de symptômes, et en fait, ce n'est pas que je suis démunie, mais ça prendrait... je vais découper... ça prendrait beaucoup de temps d'inverser la tendance, et donc c'est vrai qu'il y en a qui vont vers un traitement ordonnal, pour un temps donné par exemple, plus longtemps, pourquoi pas, pour pouvoir passer ce cap et se dire qu'est-ce que je mets en place pour moi ? en ayant cet espace de respiration où je ne vais pas être submergée par tous ces symptômes et ne plus savoir vraiment ce qui se passe pour moi. Mais vous avez raison, c'est justement la première cause, c'est le moment où la femme a besoin d'une aide qui ne soit pas médicale. Ce qu'on ne donne pas de mémoire intervenue. C'est pour ça que moi, mon propos, c'est dès 40 ans, on s'intéresse à ce qui se passe pour soi. Quand on est une femme, et quand on sait que... Quand on est une femme, on sait que ça va arriver. Je veux dire, c'est inscrit dans notre vie. La ménopause n'est pas isolée du reste de notre vie, c'est un passage. Je trouve que l'accompagner au mieux, c'est de l'anticiper. Aussi, pour moi, la santé des femmes, c'est une question de transmission. Questionner sa mère, ses dents si on en a, ses soeurs. De savoir ce qui s'est passé pour elle, parce que je trouve que... encore aujourd'hui alors qu'il y a quand même beaucoup d'informations qui est faite sur le Ménopause, il y a des femmes qui arrivent terrorisées et démunies. Ça pour moi, c'est insupportable. Chaque femme mériterait d'avoir une information la plus large et la plus diversifiée possible. Moi, c'est ça qui est un but. Merci Pascaleine, Mme Pignat-Pin, on arrive à la fin de la vidéo. C'était une page ensemble. Merci Paul. Merci à tous d'avoir été avec nous pour votre écoute, vos questions, votre énergie. qui nous a nourris tout au long de cette journée. Merci à mes doucines pour nous avoir offert cette tribune. J'ai été enchantée, honorée, et puis même par la bienvenue, j'espère. Ciao, bienvenue à tous. Je suis très contente de faire une sortie à la fin de l'année. Je suis très contente de faire une sortie à la fin de l'année. Je suis en train de venir. Voilà, pour vous montrer qu'on est engagé dans cette situation. Et là, c'est moi, comme ils vont, c'est l'association de trois laboratoires que vous connaissez bien. C'est un homme, Herbalgem, PioFleural, c'est un laboratoire de vie essentiel, c'est un homme. Herbalgem, c'est la géométripe, c'est la férale. Et puis, vous avez Biofloral qui est un laboratoire d'élixir fluoro, de fluorobac. Et c'est à travers ces trois marques que nous, on va proposer une prise en charge globale de la femme de manière naturelle et efficace. Et pour ce cas, c'est important pour nous, et moi par exemple, je suis une femme, je suis pharmacien de formation, je suis thérapeute en complémentaire, c'est important d'accompagner les femmes et les femmes sont en souffrance et souvent n'ont pas de réponse, elles ne trouvent pas de réponse. c'est pour ça que la MSA, c'est vraiment important que vous soyez au courant, que vous pouvez les accompagner aussi avec des compléments alimentaires dans ces phases de transition où on ne veut pas nécessairement le vivre, on va chez la diététicienne, chez la nutritionniste, chez la nature, et que les hommes sont en place dans le protocole, parfois les compléments alimentaires vont vous aider à aider cette femme rapidement et scientifiquement. Et avec la recherche que je vous ai montrée, c'est notre expertise qui nous a donné là. Mais c'est surtout important pour nous, parce que l'INULA, on s'est engagé dans cette démarche LSE d'accompagner la santé de la femme et plus spécifiquement dans son engagement de la femme atteinte de l'enceinte. Pourquoi ? Parce qu'on a des solutions naturelles et on sait que l'aromathérapie, tout spécifiquement, démontre des belles preuves d'efficacité dans cet aménagement de la femme atteinte du cancer. Notre engagement à nous. Par rapport à notre expertise aromale, c'est de faire connaître qu'on peut venir, alors on fait une petite aparté sur le cancer, on n'en a pas parlé, mais on vient avec des types olfactifs de manière très très très simple, celui-là j'ai l'exemple, c'était les nausées, les vomissements, les douleurs du cancer, on a une belle expertise là-dedans, moi-même je donne un produit une journée en cancero pour tous les professionnels de la santé qui veulent maîtriser l'approche aromatique et de l'améliorement. de la santé, on accompagne énormément d'unités cancéreuses, de centres hospitaliers, de maisons d'accompagnement, parce que vous savez que le cancer est pris de plus en plus de manière globale avec la réflexion de vie et autres. Et donc nous, on accompagne énormément dans la mise en place de protocoles pour soulager les symptômes. Et les études se font, par exemple, sur l'antité ou sur la dosée. Voilà. Donc nous, on est à même avec les services qu'on a de pouvoir... accompagné dans la mise en place de protocoles et en participant à des projets de recherche. Un gros projet de recherche qui va être mis en place à l'hôpital de Caen pour une étude vraiment scientifique pour démontrer justement la pertinence parfois de gestes très simples dans une efficacité et dans des protocoles de santé. Le cancer c'est très médicalisé, il faut faire très attention. On vient proposer de la chromathérapie des huiles essentielles des spicophactifs. Ça fait parfois un peu... Mais le monde de la cancéro est spécialement ouvert à trouver des solutions. C'est les huiles essentielles qui ont commencé à faire partie du protocole de recommandation de différents organismes qui défendent ces choses. C'est important dans la santé de la femme, et on l'a bien entendu, la femme est gouvernée tout au long de sa vie par son niveau d'hormones, par ses hormones, on a beaucoup parlé des estrogènes, effectivement c'est eux qui vont. Peut-être qu'on est des femmes, mais c'est ces estrogènes aussi qui vont, malgré tout, nous amener à la spiritualité, à avoir un chemin de vie et tout. Donc, c'est vraiment quelque chose qui est très, très important. Et oui, on est victime aussi de ces fluctuations hormonales. Et c'est comment on va pouvoir appréhender justement bien toutes ces phases. C'est ce qui a été dit ici dans la conférence. Et comment nous, à travers des compléments alimentaires, on va pouvoir venir accompagner aussi ces différentes phases. Quand on comprend bien la physiologie, on sait venir avec des plantes et des bourgeons. Ça, c'est une observation chez Herbagem. Donc, c'est de la gémothérapie concentrée qu'on a désampolysée. Et ça, c'était très important dans le processus, c'est de rendre plus accessible à un plus grand nombre cette gémothérapie qui contient un peu d'alcool. On a trouvé un processus qui permet de garantir les polyphénols si importants dans cette gestion. de l'inflammation, de l'oxydation, de toutes ces maladies, en endométriose, dans le cancer aussi. Mais ce que je veux vous dire à travers ça, c'est qu'on a réussi à formuler de l'ingénuo, désalcoolisé, en génule végane. Et pourquoi je dis ça aussi ? Parce que c'est sans lactose, sans gluten, et qu'en général, toutes ces femmes qui ont aussi des problèmes hormonaux ont toutes ces intolérances. Et quand il y a des compléments alimentaires, il faut regarder qu'il n'y ait pas de lactose. pas de sucre et pôtre, et c'est toujours une galère. Donc voilà, on a voulu faire quelque chose de très simple. L'association de, en général dans la formule 3, le jouissement spécifique de la phase hormonale. plus un extrait de plan standardisé avec publication qui nous permet d'avoir des vraies allégations, de ressortir de vraies allégations qui font que la femme va voir que ça me convient, oui j'ai du SPM, oui j'ai 40 ans et ça commence à marcher et ne pas être acceptable pour moi. Ah oui, je suis en mélopause, c'est la catastrophe pour moi. j'ai besoin de relever mon taux hormonal. Donc on a des formules avec phyto-oestrogènes et des formules sans phyto-oestrogènes, en fonction, vous savez, bien des antécédents de cancer. Donc pour nous, cette gamme, c'est une phase d'épique, c'est un truc qui est très important, on répond à toutes les phases de la femme, et ça, c'est ce qui va nous permettre d'avoir notre humeur, excusez-moi de dire notre humeur constante, et de ne pas être une piste qui est chiante, quand ça va moins bien hormonalement. Et après, on a toutes nos solutions spécifiques pour les problématiques de la femme. La cystite, c'est très gênant, on nous fout de faire des antibiotiques, et on a des obésites fondues aussi, olébiotiques, santé urinaire, où on a fait des preuves de cicatricité versus la molécule de réservance. On a les mêmes résultats, et ça peut venir dans les pratiques thérapeutiques. Même le pharmacien peut commencer à faire des trônes urinaires, pour vérifier si l'antibiotique est nécessaire ou pas. Nous, on a une réponse avec les huiles essentielles, puisque vous savez que les huiles essentielles sont efficaces sur les bactéries, les germes, les champignons et les parasites. Et donc, on n'en rend plus pas ou plus, on ne va pas engendrer plus de risques. Voilà, je ne suis pas là pour vous faire un tour sur chaque formule, mais c'est de se dire que toute la période difficile des règles, même d'une jeune fille qui a 12 ans, on commence à avoir ses règles. La géomothérapie, le féminagème, ça permet de soulager les règles de manière très efficace, rapidement et naturellement. Voilà, donc n'oubliez pas que toutes ces formules naturelles existent et vous pouvez accompagner et du coup répondre aussi à la demande de personnes qui ne veulent pas des hormones, qui ne veulent pas des médicaments. Ça fait partie des demandes des jeunes femmes actuellement, des femmes plus adultes aussi. Voilà, donc c'était ce qu'on voulait terminer par vous dire après cette belle conférence. La femme, c'est quelque chose d'important, c'est quelque chose de sociétal, de content, de bon, de bien, de bon. En plus, médecin et hôte, c'est important que vous sachiez où aller chercher les belles solutions, l'intérêt. Et pour terminer, comme vous l'avez dit, pour partir de la main vide, mes collègues vont vous donner un élément de chantier urinaire. La formule CITIC, une capsule trois fois par jour, cinq jours. On vide la boîte en prenant le réflexe antibiotique. Et une petite brochure sur Gémocaps pour que vous ayez à disposition la base de l'infant. Voilà, je vous remercie pour votre attention. Merci.

Description

La santé des femmes : nouvelles perspectives pour un bien-être global 👩


Et si la santé des femmes était enfin mise au centre des priorités médicales ? Cette conférence met en lumière les inégalités persistantes dans la prise en charge des femmes et propose des solutions concrètes pour mieux répondre à leurs besoins spécifiques.


Des inégalités frappantes en santé : Les femmes attendent plus longtemps aux urgences, subissent des retards de diagnostic et sont souvent sous-représentées dans la recherche médicale.


Des maladies sous-évaluées : L’endométriose, la ménopause ou les douleurs menstruelles sont encore trop souvent minimisées, malgré leurs impacts majeurs sur la qualité de vie des femmes.


L'importance d'une approche globale : Une meilleure prise en charge passe par une écoute active, une compréhension des cycles hormonaux et des solutions adaptées, allant des traitements hormonaux aux approches naturelles.


Rétablir l’équilibre : Les gynécologues médicaux, les praticiens et les naturopathes jouent un rôle clé pour offrir des solutions préventives et personnalisées, tout en sensibilisant sur les impacts des cycles hormonaux et des transitions comme la ménopause.


Des solutions naturelles et efficaces : Les plantes, la gémothérapie et l'aromathérapie offrent des alternatives pour accompagner les cycles féminins, soulager les symptômes de la ménopause ou traiter des affections comme la cystite, en complément ou en remplacement des traitements médicaux.


Un appel à agir :
Collaborer entre professionnels de santé, intégrer les femmes dans les décisions et transmettre des connaissances pour accompagner chaque étape de leur vie : de la puberté à la ménopause. Une conférence engagée pour replacer la santé des femmes au cœur des priorités médicales.


  • Dr. Paule Nathan - Médecin endocrinologue et nutritionniste

  • Dr. Anne de Kervasdoué - Médecin gynécologue

  • Pascaline Lumbroso - Naturopathe et praticienne en shiatsu, spécialiste de la santé des femmes

  • Modératrice : Amal Dadolle - Experte en bien-être holistique, fondatrice de BloomingYou.fr


Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

Transcription

  • Speaker #0

    Je pense que j'ai introduit. Oui, vous avez. Et là, ça marche. C'est bizarre. Je suis quand même en train de avoir des ressources. Je suis en train de me faire un biais. Alors bonjour à toutes et à tous. Alors pour ceux qui n'étaient pas là avant, je suis Amal Dadol, fondatrice du site Ausha de CoreXprim, l'oublier.fr. Alors, aujourd'hui on va parler, ce soir on va parler d'un problème qui touche... La moitié de l'humanité est pourtant qui intéresse si peu la santé des femmes. Les femmes passent 25% de leur vie en mauvaise santé de plus que les hommes. Pas parce qu'elles sont plus fragiles, pas parce que la biologie l'a décidée, mais parce que la médecine n'a pas été pensée pour elles. Pendant des siècles, on a considéré que le corps masculin était la norme. La femme, un homme comme un autre, mais avec des cycles menstruels en prime. Résultat, 1% des investissements en recherche médicale concernent les maladies spécifiquement féminines, hors cancer. Une femme aux urgences, elle attend en moyenne 30 minutes de plus qu'un homme avant d'être prise en charge. Sans diagnostic, retardée de 4 ans en moyenne pour des maladies graves. Elle a par exemple 50% de plus de risque d'être mal diagnostiquée après une crise cardiaque. Sur l'endométriose, il faut attendre 7 ans pour un diagnostic, parfois même 13 ans pour certaines femmes. Et ce ne sont pas des hypothèses, ce sont des faits que je vous invite tous à aller vérifier. Alors pourquoi rien ne change ? Manque d'intérêt, manque de moyens, manque de volonté, peut-être un peu d'énorme. Alors une solution pourtant évidente, quand une femme est soignée par une médecin-femme, elle a de meilleures chances de survie et moins de risque de réadmission. Les médecins-femmes suivent mieux les protocoles et passent plus de temps avec leurs patientes. Alors 2025 marque les 10 ans de la journée internationale des femmes et des filles en science. Et pourtant, elles restent sous-représentées dans la recherche médicale et les carrières scientifiques. Alors avant de penser par les hommes produits des solutions pour les hommes, il est temps de changer les rêves. Ce soir, on va parler de tout ça avec des femmes, des femmes engagées sur ces questions. Docteur Paul Nathan, vous êtes endocrinologue et nutritionniste, spécialiste de l'alimentation consciente et holistique. Vous êtes l'auteur de nombreux articles scientifiques et d'ouvrages destinés au grand public. Vous donnez du sens à son alimentation, vous donnez du sens à sa vie. J'ai oublié, j'aime Bob. Et à travers votre travail, vous mettez en lumière l'impact de la nutrition sur la santé et le bien-être en prenant une approche globale et préventive. Vous êtes également très investi, vous œuvrez activement au sein d'associations dédiées à la défense des femmes. femmes et des en avant. Anne de Carvazou, vous êtes médecin, gynécologue et auteur de nombreux ouvrages, dont le plus récent, celui qui ne me fait ni entendre, La vie intime des femmes. A travers vos écrits et votre engagement, vous levez le goût sur les préjugés et d'amour qui entourent le corps féminin et la santé intime, afin de favoriser une meilleure compréhension et une meilleure prise en charge des spécificités féminines. Pascaline Lombrose, vous êtes naturopathe et praticienne en Shiatsu, spécialiste du bien-être féminin. Depuis plus de 15 ans, vous accompagnez les femmes dans une approche holistique de leur santé, en tenant compte de leur nature cyclique et de leurs besoins spécifiques. Votre engagement autour de... de la femme de la ménopause, initiée dès vos 40 ans, vous a conduit à transmettre un regard neuf et bienveillant sur cette transition. Vous êtes l'auteur de Ménopause Métamorfose. Vous invitez à redécouvrir cet état comme une transformation positive et puissante. Alors, ma première question, je l'adresse à vous, à tous les voisins. L'impact du patriarcat sur la prise en charge de la douleur gynécologique est réel. Tant est-il bien qu'elle génère de nombreux tabous en gynécologie, y compris entre les femmes. Comment vous l'observez-vous ? Alors, dans votre pratique, ce que j'observe, c'est que pendant des années, La douleur des règles est aussi majeure que nous, peut-être traité avec une certaine condescendance. On estimait que c'était normal d'avoir mal sur ses règles, comme veut mère, comme veut coromère, tout ça est normal. La femme souffre, comme elle souffre pendant l'appuissement, ou bien elle souffre pendant ses règles. Et donc il n'y avait aucune écoute de la part. Je ne sais pas si les femmes étaient mieux que les hommes, mais en tout cas, les hommes, c'est certain. Je pense que votre élection ou patriarcat vient de là. Et ce n'est que tout récemment, finalement, qu'on commence à se dire que la douleur des règles est le symptôme d'une éventuelle maladie, maladie ou affection. Alors, je voudrais vous préciser que ce n'est pas parce qu'on a mal dans ces règles que c'est une endométrie au même temps. Il y a des douleurs, des règles, qui ne sont pas du tout le signe d'une endométrie. Simplement, on y pense maintenant. Tout le monde y pense. Avant, on y pensait trop tard, quand la femme était en douleur, quand elle était stérile, quand elle avait vraiment des complications de la maladie. Donc voilà, le patriarcat, oui c'est vrai, je suis d'accord. Alors l'endométrie gauche, c'est en plus une maladie assez difficile, parce que le seul signe c'est la douleur. En fait, c'est une maladie douloureuse et personne n'assiste. à ce qui se passe. En réalité, c'est un reflux, c'est une fausse route. C'est un reflux des règles vers le haut. Au lieu de descendre dans le vagin, il y a du sang venant de la muqueuse utérieuse qui part dans les trompes et à travers les trompes, qui va vers les ovaires, dans le péritone et même ailleurs, même la plèvre. Le tube digestif. Et donc cette maladie... C'est en fait des greffes, des morceaux de muqueuses, partout dans le bas du corps. Et ça, on ne sait pas. Les femmes ont très mal, elles n'ont pas mal uniquement dans leur utérus. Elles ont mal à tous ces organes, parce que toutes ces greffes se mettent à saigner et à faire mal en même temps, notamment au moment des règles. Elles réagissent comme si c'était l'utérus. Voilà. Alors l'endométriose, c'est ça. Alors, on a, donc, ils utilisent bien sûr des couleurs. contre la douleur des règles, ça c'est bien, mais il faut traiter autre chose. Parce que dans l'endométriose, on l'appelle la maladie des 5D. C'est-à-dire, il y a dysménorrhée, qui est la douleur des règles, disparition et douleur pendant les rapports sexuels, notamment les fonds qui sont des douleurs profondes. Il y a une difficulté, il y a ce qui me dit, vous aimeriez les douleurs, les noms... il y a des douleurs au moment de la divination il y a des douleurs en urinant et au moment où l'on va à la scène donc ça fait des douleurs qui reviennent souvent donc c'est pour ça que c'est très important quand une femme commence à dire qu'elle a mal comment c'est vrai, de l'interroger d'autres douleurs, de savoir l'intensité et tout ça et avant on ne prêtait aucune mais avant, quand je dis avant, encore il y a 10 ans aucune attention moi j'ai eu la chance ... Il a été formé à Médital, à Saint-Vincent-Paul, en tant que spécialiste de l'endométriose, Jean Bélaïche. Donc lui, il connaissait tout sur l'endométriose, et donc il m'a formé, c'était une chance. Alors ce qu'il faut savoir, c'est que c'est une maladie chronique, évolutive, et très mystérieuse, parce qu'on ne sait pas pourquoi on l'a, il y a des raisons psychologiques qui sont issues, il y a des raisons génétiques, il y a des raisons alimentaires, enfin bref, il y a un ensemble de choses. Et donc, il faut bien la repérer. Alors, je vais oublier ce que je voulais dire. Donc, il faut bientôt s'en occuper. Et en fait, c'est une maladie qui est entraînée par les hormones, par les estrogènes. Tant qu'on a des estrogènes, la maladie est évolutive. Mais dès qu'on est ménopausé, elle s'arrête. Et dès qu'on est au sein... Elle s'arrête aussi parce que ce ne sont pas les ovaires qui travaillent, mais le placent. Oui, mais ce ne sont pas les ovaires qui travaillent. Dès que les ovaires sont au rebond, conclusion, il y a un traitement simple, hyper simple, surtout chez les hommes. C'est la pilule. La pilule va arrêter le fonctionnement des ovaires et va diminuer les règles. On apprend que le traitement continue. Oui, c'est un traitement simple qui déjà arrête. Or, en ce moment, il y a une espèce de prévention générale. les gens me disent je n'ai pas d'hormones je n'ai pas de pique-cocs vous risquez peut-être d'être stérile parce que si les petits morceaux du tucérus se baladent partout vous bougez vos troncs vous font gonfler vos oeuvres donc assez vite elles sont convaincues quand elles le souffrent et elles sont ressuscitées et puis il y a un tas d'autres traitements donc pour faire le diagnostic ... Quand elles sont très jeunes, c'est plus difficile parce qu'on ne leur fait pas des courants de type indienne, c'est leur jamais eu de rapport. Mais il y a l'IRM. maintenant il y a un test salivaire, ça c'est nouveau, il n'est pas encore remboursé, pas encore diffusé, mais ça c'est la grande nouveauté, donc un test salivaire, dans certains cas, et qui permet de faire le diagnostic de l'endométriose. Mais même sans diagnostic, c'est simple, le premier réflexe, c'est de bloquer les ovaires, en attribut ou autre chose, mais quelque chose qui bloque les ovaires, vous voyez, c'est pas compliqué. Et vous voyez, on croit, les femmes c'est bien, je leur dis. jusqu'à ce que vous ayez envie d'arriver. Et là, à ce moment-là, pour éviter que l'endométriose reprenne, reparte entre les deux, eh bien, elle peut être enceinte beaucoup plus facilement. Voilà, les grandes lignes. Alors après, je vous parle bien de vos questions, mais vous en avez d'autres. Oui, mais après, on peut aller effectivement sur les femmes, qui ont déjà eu des idées de la pilule, ou encore, ils reviennent sur la pilule. Voilà, ils cherchent des solutions. Et on a un rembantant, alors peut-être effectivement, Pascaline, pour répondre. aussi là-dessus, parce que je sais que tu vois pas mal un petit peu de ganglion. Moi, j'ai... Oui, ça marche. Moi, je ne suis pas du tout spécialisée dans l'endométriose. Il y a peu de femmes, finalement, qui n'aiment pas me voir. Mais en tout cas, l'hygiène de vie va aussi participer et améliorer sa vie. Moi, ma priorité, quand je vois des femmes qui se confondent, c'est vraiment de trouver une réponse pour ne plus se faire. Je pense que la douleur, la souffrance, ça vient aussi empirer le temps. Oui, c'est pour ça que j'aime travailler en partenariat aussi avec les médecins, que je garde un discours ouvert, de manière à ce que chacun puisse se sentir libre, de faire ce qui va être, en tout cas dans un vrai temps, ce qui va la soulager véritablement. Mais effectivement, l'hygiène de vie, on va en parler tout à l'heure avec Paul, l'alimentation, de pouvoir reprendre de l'exercice physique, de pouvoir travailler sur ses émotions, sur apprivoiser le stress au quotidien. Tout ça va participer à améliorer l'environnement de la femme. Moi, c'est une marante. Je suis d'accord. C'est essentiel, mais on peut en parler. Alors, j'aimerais vous passer la même pause maintenant. Au revoir. Alors, bien que la ménopause ne soit pas une maladie longue, elle entraîne quand même des modifications hormonales qui sont pas de doute sur les risques d'hypertension, de diabète et de maladies cardiovasculaires. Du coup, ma question s'adresse à vous, Moulin Adam. Quel est l'impact des cycles féminins de la puberté à la ménopause sur notre système hormonal et endocrinien ? L'impact des cycles féminins, je pense que c'est l'impact, puisque c'est la nature en fait. commence la puberté, la mélopause c'est une puberté à l'envers, modification de l'humeur et autres, il y a des variations effectivement, l'homme c'est la testostérone, tout ça, et toute sa vie, puis après il n'y a plus d'andropause, il conserve des raposes, l'androgène reste à un bon niveau, nous on varie. On varie en fonction de nos sites. Et il y a des femmes qui ont des variations beaucoup plus importantes que d'autres. Effectivement, avec des syndromes prémenstruels, ou des douleurs de règles, ou des sédiments plus importants. Alors, quel est cet impact ? Effectivement, il y a tout ce qui est... Et après, l'impact, c'est des modifications effectivement de l'humain. Je vais vous donner un exemple. C'est un exemple un peu caricatural. J'ai un monsieur comme ça qui est venu du centre de la France venir me voir. qu'il avait une femme qui faisait des tentatives de suicide, ces tentatives de suicide, on ne peut pas faire de psychothérapie dans ces cas-là, on peut rien faire. Donc en fait, il avait observé que c'était à peu près cyclique, mais personne ne l'écoutait. Donc il s'est dit, je vais prendre un endocrino. Il a pris le mot. m'a choisi parce qu'il a trouvé que l'arrondissement était pas mal. Parce que j'ai demandé pourquoi. Bref. Et en fait, elle se mettait en rhinopause. C'est-à-dire qu'elle avait une chute hormonale monstrueuse juste au moment des règles. Et c'était là, effectivement, elle faisait ses tentatives. Parce que j'ai fait faire des bilans monopoles pendant toute six mois en bassin. Pour excéder. J'ai bourré un peu d'hormones. Après, elle a pu faire une psychothérapie. Et puis, ça a paru. les choses qu'elle a vécues. Vous savez dans l'enfance si on prend une classe d'âge maintenant, on voit très bien qu'on a vécu des traumatismes et que dans tous ces problèmes de polémies, de soie, de dépression, il peut y avoir aussi des traumatismes qui ont été enfouis et qui ont été des bombes à retardement. Je vois ça pour des années de tiernité. Il faut savoir interroger ce qui s'est passé. Donc en fait, il y a une fluctuation qui est beaucoup plus importante chez d'autres, qu'on peut corriger effectivement par le fait du rédimension, qui peut influer, parce qu'effectivement, on peut avoir des petites résistances à l'insuline, un peu comme on a en fin de procès, si on a envie de sucrer avant les règles, des déprimes. Moi, ça m'est arrivé une seule fois, heureusement, une seule fois. J'étais avec mon ami, j'ai raté ma vie, j'ai raté ma vie, j'ai vu du noir. et ça a duré 10 secondes. Donc là, je sais ce que vous ressentez. Alors, je ne sais pas ce que vous ressentez. Mais je sais vraiment ce que peut ressentir une femme quand elle a un syndrome prémenstruel et quand elle a une chute d'hormones. Et ça, il faut remonter, effectivement, en expliquant avec les hormones et voir ce que l'on peut faire. Remonter l'estime de soi, parce que le problème de la femme, c'est qu'on ne se culpabilise pas. quoi qu'on fasse, on est toujours culpabilisé, on a un manque d'estime de soi et autres. Donc ça, il faut savoir expliquer comment fonctionne le climat hormonal, qu'est-ce que l'on peut faire. On a des examens que l'on peut faire, on a des examens de la distance à la semine, la musculation, des choses comme ça. Et là, on va venir travailler effectivement sur le... Voilà. Donc, je pense que c'est l'avis des femmes qui font que... C'est vrai que le fait qu'on ait des plaintes qui sont par rapport à nos humains, par rapport à nos vagues et autres... Donc on n'est souvent pas pris au sérieux. Et là, ce qu'on a montré en dépistage de maladies cardio-masculaires, c'est qu'effectivement, on n'a pas du tout les mêmes signes qu'une femme, on n'a pas les mêmes signes qu'un homme. C'est-à-dire qu'on peut très bien avoir des problèmes digestifs et qu'ils soient finalement un syndrome de menace au point de vue infarctus. Moi, ça m'est arrivé, ou une fatigue. Une fatigue, je vais vraiment faire très attention sur tout ce qui se passe ici. Une fatigue. on peut trouver un problème de coronaire, surtout qu'actuellement les femmes ne veulent pas de traitement, je parle de traitement tout le temps pour le cholestérol, mais il y a des gens qui se baladent avec 2 grammes de cholestérol LDL, qui ne veulent pas de traitement, et qui finalement ont les artères un peu bouchées. Maintenant les femmes aussi fument, elles ont pas du tout les mêmes signes cliniques. Moi je me suis fait avoir il y a longtemps, il y a 30 ans, en fait elle avait des signes digestifs, mais c'était un début de maladie chronique. Donc c'est pas du tout les mêmes signes, et puis on ne croit pas. Il faut arriver à croire quand une femme se plaint. Oui, c'est simple. Majestine, quand une femme prend un rendez-vous, elle attend trois mois, elle ne fait rien que dans la salle d'attente, elle a vu d'autres médecins et autres, il faut croire la personne qui est en face. Et surtout examiner. Moi, j'ai vu encore quelqu'un qui était en fibrillation auriculaire. C'est comme ça, il faut l'envoyer chez la cardio. Les téléconsultations, c'est énorme. On examine plus les personnes, on ne prend pas le temps. Le problème, c'est le temps médical dans toutes ces maladies. Je pense que toi, on a formé la Bénécole. Et c'est le temps, mais pas d'écouter de ce qui se passe, et de pouvoir mettre tout bout à bout, et de pouvoir aider, parce qu'en fait on est formé au CAIR, et c'est ça qu'on manque effectivement pour la femme. C'est la croix. Je vais vous donner l'exemple, le lévothyrox. On parle de lévothyrox. On a traité, je suis en le créneau, je suis en thyroïde, les patients, on les a traités. C'est vrai, je m'en souviens. Je m'en souviens. Et même dans les médias, les gens ont placé. Ça a été de mes patients d'hystérique. Moi, je les connais parce qu'ils sont fragiles quand même. Moi, j'ai des patients qui se sont pris des TGV à aller s'acheter des pilules quelque part en Suisse. D'autres qui ont subi. D'autres, moi, j'ai des femmes enceintes, la TSH augmentée avec des BV à l'intérieur. C'est-à-dire qu'en fait, on n'a pas cru les gens. On a balancé 3 millions de personnes. Alors, c'est un médicament féminin. Ça aurait été un médicament de mec, ça ne serait pas passé comme ça. Il y a eu un sartan, il y a eu un... Pour un médicament d'hypertension, pour reprendre le cancer, vous inquiétez pas qu'il a été rétretié. Et on a balancé 3 millions de personnes. Je ne savais pas qu'il y avait 3 millions de personnes qui prenaient des hormones thyroïdiennes. 3 millions de personnes, on les bascule sur un générique, puisque c'était un médicament modifié. Et à ce moment-là, vous pensez bien qu'il y a toujours un peu d'effets secondaires sur les médicaments, mais on les connaît. Non seulement il y a eu des effets secondaires, mais... en plus il y a eu ces médicaments à marge une croix donc il y a eu des personnes qui ont fait soit des hyperthyroïdies soit des dépôts et autres avec l'angoisse qui a eu plus de traitement puisqu'on nous a empêché de donner des gouttes des bébés parce qu'il fallait bien garder des hormones thyroïdiennes pour les bébés et donc ça a fait vraiment et ça on n'a pas cru les femmes et moi j'en veux beaucoup et d'ailleurs défaut d'information on n'était pas informés les médecins je suis désolée on ne savait pas on nous a nous est tombé dessus Et heureusement, moi j'ai un secrétaire téléphonique, des gens m'ont rappelé, et j'ai récupéré il n'y a pas longtemps, il n'y a pas si longtemps que ça, que j'ai pu récupérer des personnes du bout de la France où on ne voulait pas leur changer leur émotion. Ceci étant, je vous rassure, il y a beaucoup de personnes qui le supportent à Nouvelle-France. Moi, quand je récupère des personnes qui sont sous une nouvelle formule, moi je les laisse, etc. Mais cet exemple de l'évotirox, c'est pour vous montrer qu'on ne nous a pas cru. On n'a pas cru les femmes. Et ça, c'est fait quoi ? Parce qu'il a été montré qu'il y a eu beaucoup d'hospitalisations, il y a eu des arrêts de travail. Finalement, qu'est-ce qui s'est passé ? Comment s'appelait déjà l'actrice ? C'est Annie Le Perret. Qu'est-ce qui s'est passé ? Moi, je pense que ce qui s'est passé, elle avait sa pièce de théâtre, elle faisait faire jouer les assurances. Quand vous mettez un arrêt de travail, les salariés, je pense qu'elle avait un gros problème à l'aide du travail. Il y a eu des personnes qui ont eu du mal. Je pense que ça a joué sur le site de Crepes. Un peu comme les statines, il y a des personnes qui n'arrivaient plus à lancer après la CRU. On a montré qu'il y avait beaucoup plus de consultations, d'hospitalisations. Juste une petite question sur la société publique. On s'en fout d'histoire. Est-ce que c'était lié ? à un excipient différent, où la molécule était différente. C'est vrai que c'était d'une violence inusible. Moi, les femmes les plus équilibrées que je connaisse, qui étaient comme des folles, tellement elles ont mal supporté, et effectivement, il n'y avait aucune égoût dans leur vie, alors ça a changé. Et je voulais savoir, quelle est l'expression rationnelle ? Plusieurs. Il y a eu plusieurs. L'excipient ? Il y a eu un long, il y a eu un problème avec l'excipient. Il y a eu. On rappelle que l'évotirox était le seul où on ne devait pas donner de générique, parce qu'il y a eu un problème avec le générique de Manicol, ce qu'il y a trois mois. C'était le seul où on ne donnait pas de générique, effectivement. On a envie du même, mais après, moi, je ne sais pas. Il y a eu ça, il y a eu un autre, on me dit, l'effectueux. Il y a eu effectivement effet secondaire par rapport, effectivement, parce que c'est toujours la molécule de base qui est la même, l'évotirox. Et après, c'est l'excipient qui change. Oui, c'est ça. Donc effectivement, il y a des intolérances aux exécuences, c'est comme ça. Et puis surtout, il n'y avait pas l'équivalence. C'est-à-dire que tu bascules de l'un sur l'autre, et il y a eu une mauvaise étude sur l'équivalence de doses, en fait. Et on fait très attention, voilà. Une fois j'ai mis le dossier, effectivement, les gens sont bien en hyper, les autres en hypo, et c'est surtout aussi pour les parents-saintes, ou d'autres, les parents-saintes, les parents-saintes. Donc c'est pour vous montrer que les femmes, on nous... et sont très belles, les livres qui sont donnés. Le Comité national de femmes françaises l'année dernière, j'étais au Sénat, a fait toute sa journée sur, effectivement, la santé des femmes. Et c'est bien que cette journée soit faite aujourd'hui. Donc, il faut savoir se faire attendre et savoir qu'effectivement, les signes, ce ne sont pas tout à fait les mêmes. Il peut y avoir un ballonnement, j'ai trouvé sur les ballonnements à Domino, à la France des Auxerres, où quand même, il y a affaire, effectivement, c'est quand même que ça devienne des fatigues. Des fatigues où, c'est, on sait dire... ça peut être un petit conseil avec vous, il ne faut pas vous affoler il faut croire il faut être écroué avec le messia et savoir écouter écouter vous croire, écouter croire on est là pour vous venez il y a quelque chose qui va pas et on est là pour vous aider et je trouve que c'est important c'est important qu'il y ait effectivement un lien qui se passe les uns avec les autres Oui, il y a tout un sujet lié à l'information et à la désinformation, notamment sur les traitements hormonaux substitutifs, pour soulager les désagréments de la ménopause, qui peuvent aussi avoir des impacts et des conséquences majeures sur la santé de la femme. Je vous laisse dévoiler ce que vous dites. Pour le raccourci, dès que la femme n'a plus du tout d'estrogène, qui est l'hormone principale, il y a un certain nombre d'organes qui vont commencer à... mais dans tous les sens. Le premier, c'est le cerveau qui va être touché, mais ça va se manifester. Alors, c'est différent selon les femmes. Il y a des sueurs, des bouffées de chaleur, un manque de sommeil, une irritabilité ou une dépression. Il y a des femmes qui font des dépressions, comme la veille des règles, à cause de la chute des hormones. Mais ça va toucher aussi les muqueuses génitales qui vont devenir plus sèches. La sexualité n'aura plus d'intérêt. D'ailleurs, les femmes... me disent, je n'ai plus de bidon, je n'ai plus de bidon, mais qu'est-ce qui se passe ? etc. Ça va toucher ses artères, vous en avez fait l'abusion tout à l'heure, ce qui est un signe grave, parce que effectivement, le cholestérol, faute d'estrogène, le cholestérol va se décliner davantage sur les artères et les bidons. Donc il y a un certain nombre d'insertions sur la faute qu'on maîtrise totalement, parce qu'effectivement, on fait de la faute, tu l'as très bien dit, Mais il y a des normes dans le diagnostic, les normes c'est toujours trop tard. L'homme, on connaît l'actrice, l'ouvreuse, qui sert par là, etc. Tout le monde sait comment elle parle. Mais la femme, elle dira, j'ai un peu mal au bras, ou j'ai ça, j'ai ça. On lui donne une mammographie, pensant que c'est le sein. Je vous assure que ce n'est pas une blague. On n'y pense pas. Le cœur, c'est très important. Vous avez des os. Tout le monde, apparemment, s'en fiche des os. On ne sent rien. Mais vos os, dès que vous n'avez plus d'hormones, ils deviennent poreux et ça se manifeste beaucoup plus tard à la ménopause ah pas à la ménopause, plus tard, bien après à la ménopause et là ça se manifeste par soit des douleurs, soit surtout des fractures or on peut éviter les fractures donc voilà, vous avez un certain nombre d'une zone dans tout le corps qui sont touchées, les douleurs articulaires, enfin bref et ce traitement hormonal puisque je suis devenu presque une croisée de traitements en malade et des banques avant il ya 30 il ya 20 ans et 20 ans exactement avant l'étude fatidique 2002 est ce que tout est enfin plus la moitié des femmes mais nous posait prenait un traitement et elle était enchantée un nom était ravi et surtout beaucoup et puis il ya eu cette étude qui a dit il y a un peu plus d'accidents cardiovasculaires, donc il y a eu des femmes qui ont eu des embolies, des choses comme ça, et un tout petit peu plus de cancers du sein, mais pas tant que ça. Bref, il a suffi qu'on dise qu'il y avait plus d'accidents pour que tout s'arrête. Tout le monde a eu peur, il y a des patients qui jetaient leur traitement à la poubelle. Il y en a d'autres qui faisaient l'inverse, qui venaient me voir, donc je préfère vivre 5 ans ou moins, mais je ne veux pas que vous m'arrêtiez mon traitement. Je me souviens de ça. Cette phrase qui revenait dans le même, je veux continuer. Donc, pourquoi il y a eu ça ? C'est parce que cette étude a été faite, parce que les femmes reprochaient aux autorités de ne faire des études que sur les hommes et pour les hommes. Donc la demande était très forte, l'investissement était très important. Il fallait 10 000 femmes, je ne sais pas si vous le voyez, mais 10 000 femmes dans une étude, c'est énorme. C'était versus possible. Bon, certaines l'avaient, d'autres ne l'avaient. Donc, ils ont pris toutes les femmes qui se présentaient, c'était souvent les plus doux, les plus malades, etc. Donc elles avaient en moyenne 60-65 ans, c'est l'âge que l'on commence le traitement de la femme, elles étaient hyper tendues, les trois quarts étaient en surpoids ou obèses, ce qui n'est pas non plus forcément une bonne chose pour commencer un traitement de la femme. Elles étaient hyper tendues, elles avaient un du diabète, etc. C'était une femme qui n'était pas américaine, très enfance. Donc l'étude était biaisée. ça a été biaisé et on a généralisé, c'est un énorme malentendu, on a généralisé à tous les pays, et notamment à l'Europe et surtout la France, qui avaient inventé des hormones naturelles, l'estrogène c'était un équerre, le pétanéquet, l'iestrogène et la progestérone naturelle, le progestan, comme vous avez peut-être compris, comme dans le Mojotwi, aux femmes enceintes, etc. Et c'était des hormones, pas à partir de mer, mais des arbres. des hormones dans des entreprises, chimiques, mais micronisées, donc naturelles, et par voie cutanée, parce qu'il n'y a pas d'impact sur le canal, enfin, mauvais impact sur l'enveloppe. Donc si vous voulez, ce traitement à la française était beaucoup mieux que le traitement à l'américaine qui existait aussi en France. Et c'est seulement en vérifiant tout ça que tous les chercheurs ont dit à l'unanimité que les tubes étaient biaisés. Mais le problème, c'est que les gens sont bloqués. On est passé de plus de 50% de femmes traitées, et les biens, et les rôles, etc. à 10% seulement. Voilà. Alors, je vais enlever ça. Je suis toujours prête à expliquer tout ce que vous voulez, mais passez des heures à expliquer, tellement c'est important, parce que ça vous permet d'être complètement normal. Comme un homme qui continue sa vie, on vieillit, mais la ménopause, c'est une cassure quand même dans une vie. Il y en a qui disent qu'elles n'ont rien, elles peuvent s'adapter, mais elles n'ont pas rien, parce qu'elles ne savent pas où en sont leurs os, elles ne savent pas où en sont leurs artères, ça, elles ne surveillent pas. Et la sécheresse vient plus ou moins tôt, sécheresse des muqueuses. Donc, si vous voulez, tout le monde, tout le monde, après la ménopause, est trompé de façon plus ou moins désagréable. Donc, il ne faut pas se dire qu'il y en a qui se sortent. Non, il y en a qui veulent s'en sortir, alors elles c'est le même discours, ça sent bien. Ben voilà, vous sortiez lentement, alors pour les... Pascaline va nous dire qu'il y a d'autres moyens. Moi je parle parce que c'est très rapide, très simple. En 15 jours, vous êtes transformé, c'est pour ça. Dans une tête, il faut faire des efforts, il faut s'oublier son alimentation, il faut faire des exercices, c'est plus ou moins. Je voulais juste préciser comme un chiffre édifiant, parce que vous le connaissez déjà, les femmes... c'est plus de maladies cardiovasculaires que de cancer du sein. C'est vraiment important. Et il y a un professeur qui n'est pas là, qui est Chloé Meunier, qui nous tente avec le bustucar, qui est une élite, qui est activement pour les garages sauvages partout en France. Elle a été visitée par 5000 personnes en 2014. Et donc c'est vraiment important, parce que oui, les stigmes et les signes avant-courant d'un malaise cardiaque, on ne les connaît pas. Même la science ne les connaît peu. Il y a quelque chose de très simple. C'est effectivement, il y a beaucoup de personnes qui sont réticentes, et on sait pas même si elles sont hartées sur les statistiques. C'est que nous avons le score calcique. Et ça, c'est vraiment un outil pour faire un triage. Désolée, mais bon, la bonne chose. C'est-à-dire qu'on a vu, il y a des personnes qui ont observé que les personnes qui se baladent avec 3 grammes de cholestérol... et LDL. Alors HDL, vous dites que c'est le H2E et le L2. Donc, il y a des LDL, une épouse qui se dépose, qui sont très hauts, pas de complications dans les familles. Et puis, il y en a d'autres qui, effectivement, vont faire des complications. Donc, qu'est-ce qu'on fait maintenant ? Et je me souviens, j'ai quelques patients, là, dernièrement, surtout pas de traitement, je dis, OK, OK, pas de traitement, il y en a beaucoup aussi, les autres ne fumaient pas. On fait un score calci. sans injection, sous la nerf, sans injection, on vous met et clac ! Calcification des coronaires. Et ça c'est génial, je trouve ça formidable. Alors après on voit ça avec du cardiologue, etc. Parce que quand on a un problème de cholestérol, on vous fait juste des carotides, ça fait combien de sang ? C'est un score calcique, c'est tout simple. Et là on arrive à voir ce qu'il faut traiter, il y a des scores calciques à 0, il y en a à 40, etc. Moi j'arrive comme ça, plus ou moins, 700. On attend de lui dire qu'il n'est plus plus plus. Surtout que maintenant, ce qu'il faut savoir, c'est qu'à l'heure actuelle, je voyais un médecin qui travaillait dans le cardiologue, et on a fait énormément de progrès. On ne s'est pas fait de progrès en tant que chirurgie et autres, mais là, ça permet de prévenir, de prévenir l'événement que l'on va avoir. On ne va pas faire un intervalle, mais après, on va prévenir. le développement de ces plaques et on arrive à régresser et avec de l'exercice physique à refaire la circulation de l'intestin. Et ça c'est très très important et il ne faut pas avoir peur effectivement des traitements qu'on peut faire. Bonne nouvelle, les cardiologues acceptent les statiques de la lumière de la bouche, parce que maintenant vu que c'est instable sur les cholestérols, on arrive à avoir effectivement une hygiène de vie et autres qui permettent. Et puis un autre examen qui est important, moi je trouve que c'est surtout quand on est en facteur de risque de... de fractures dans la famille ou de stéoporose, les membres qui sont vincés, etc. c'est de faire une encephalite osseuse qui a beaucoup de carences en vitamine B et de l'âge. Vous avez vu que nous sommes en majorité des mauvais synthétiseurs de vitamine B. Bon, on vit dans nos drogues, certes, mais après vous avez des gens qui vivent au soleil ou des sportifs qui sont au soleil et on voit qu'ils ont quand même des mauvais synthétiseurs de vitamine B. Je pense que quand même, il faut fabriquer à partir du cholestérol, et quand même, il faut avoir le cholestérol, mais ça c'est une histoire. Donc on a ce couple de vitamines qui manque en fait. Il faut savoir en donner, je sais qu'avec des hormones thymidiennes, j'en donne régulièrement, pour protéger le dos. Et pourquoi pas faire un dépistage, puisqu'on sait que dans les 50 années, on nous pose effectivement... Il faut aussi en faire un dépistage. Voilà, faire un petit dépistage de densité osseuse, boire pour demander, et à ce moment-là de reboire. surtout que les abords classiques, ce n'est pas terriférique puisque tout le monde procéder comme une touche allergique et intolérante à la casinine. Donc tout le monde a enlevé, bien entendu, tous les protéines qui ont baissé, donc ont fragilisé d'autant de tronces. Voilà, donc il y a ces deux examens, je trouve que c'est important, mais le score classique, ceux qui ont des antisémiogarnes vasculaires dans la famille ou des cholestérols qui sont malades, je pense que c'est vraiment quelque chose de simple et je pense que c'est un outil pour toutes les femmes. Pour celles qui sont... On ne va pas le faire à tout le monde. Non, non, non, non. C'est vraiment pour essayer de voir qui est ce qu'on va traiter. Il y a une question là, si je vous en prie. C'est juste pour l'examen. C'est pas un principe. C'est une connaissance. Non, c'est un souvenir. Si vous avez des grosses machines, vous savez qu'il n'y a pas d'injection. C'est comme une densité osseuse, on vous met et on regarde si c'est du gruyère ou si c'est du ponte. Je trouve que quelqu'un qui fait un NL à 82 ou à 50 ans, vraiment c'est sauver la vie de quelqu'un et prévenir des complications. Est-ce que les femmes aujourd'hui sont bien suivies par leur gynécologue ? Parce que quand j'entends... Il y a presque moins de gynécologues, il y a un problème. Il y a plus de sages-femmes, mais dans le domaine de l'obstétrique, c'est très bien. Mais il y a toute la médecine à côté. Alors, ça va monter le nombre des gynécos, mais il faut savoir que pendant 17 ans, on a arrêté l'enseignement de la gynécologie médicale, parce que les obstétriciens voulaient être les seuls chefs. et elle tout seul. Or, ce n'est pas tout à fait pareil. C'est la chance en France, on a une seule pays où on a à voir à la fois des obstétriciens qui sont des accoucheurs et qui opèrent. Et puis, les gynécologues médicaux, eux, s'occupent de cette sorte de généralisme pour la femme qui est centrée sur la gynécologie, mais alors qui sont beaucoup plus à l'écoute, qui sont obsédés par l'idée d'opérer. Je vais vous donner un exemple. En France, seule, 7% des femmes ont perdu leur utérus, c'est-à-dire ont perdu. On les a opérées parce qu'il y avait un sémastat, parce qu'il y avait un homme, parce qu'il y avait une femme. En France, vous savez combien ? La moitié des femmes n'a plus d'utérus. La moitié. Pourquoi ? Parce que ce sont des chirurgiens, et un chirurgien, ce qu'il aime, c'est opérer. Donc, dès que vous saignez, pour un oui ou pour un non, il faut que vous ayez passé la quarantaine, vous avez déjà un enfant ou deux, et encore. C'est le cas. « Oh madame, vous allez tellement mieux, c'est fini, vous n'aurez plus de saignants, ça se tue, vous n'aurez plus rien, on enlève l'hypothérapie. » 50% des épisodes, et ce sont souvent des hommes. En France, les gynécologues, on dit que c'est tout. Et voilà, c'est tout. C'est le scandale avec les bêches, sur le colapsus, les bêches. Ah, c'est le TVP, les bandelettes. Les bandelettes, on va les faire ensemble. Oui, on va se parler des bandelettes, c'est tout. c'est un vrai problème parce que l'un repart de la continence urinaire c'est vrai que l'on t'a pas élu et la continence urinaire des formes parce qu'il ya deux types d'un continent sur une ère vous avez celle qui vient ça des fuites parce que vous pourrez vous tous et vous ça ça vient d'être à 100 points de venir et puis vous avez l'autre on appelle par urgenturie c'est à dire vous avez une très grande envie d'aller faire du pays vous vous dépêchez, mais le mal de la douille, vous n'arrivez pas à vous retenir à la fin. Ça, c'est intraféquence, et ce n'est pas tout à fait les mêmes causes, et ça se traite différemment. Notamment quand c'est une urgence, c'est une hyper-excitabilité de la vessie, et avec des médicaments, vous pouvez y arriver, plus une rééducation, kinésie, voilà, qui est un peu bon, mais enfin, qui est efficace, si elle est bien faite. En revanche, celle d'effort, la kinésie ne marche pas toujours, et souvent pas. On propose une intervention qui s'appelle une pose de bandelette. C'est un peu comme un joint, mais extérieur. Ça ne dure pas longtemps, ça paraît simple, et en fait c'est très compliqué. Donc il faut voir vraiment les meilleurs chargés, ceux qui connaissent tous les types de bandelettes, parce qu'il y a plein de sortes de bandelettes, il faut l'adapter à votre anatomie, à tout. c'est vraiment dépendant du médecin qui vous la pose. Parce que ce n'est pas un scandale de vous poser une branlette. Les femmes sont très contentes, elles sont en pleine tête, elles se disent, je ne peux pas recourir, je peux faire ci, je peux faire ça, je ne mets plus de protection, c'est quand même formidable. Quand ça se passe bien. Oui, quand ça se passe bien, vous allez verser. Mais là, il y a effectivement certaines parties, ça se passe pas mal, qui souffrent, attention, et tout, et tout. Donc là, il faut vraiment prendre son temps et choisir un chirurgien qui fait beaucoup ça. Le neurologue spécifique, c'est bien difficile. Donc là, vous pouvez payer ça, ça vaut le coup. Parce qu'ils sont très rares ceux qui ont peu d'accès. Le hôpital virus. Ah, voilà, ça c'est devenu une thème. En fait, il existe depuis toujours, mais il y en a de plus en plus. C'est la maladie sexuellement spécifique la plus fréquente. C'est-à-dire que 80% des gens sont atteints. à peu près. Alors, c'est un virus qui s'appelle le papillomavirus. Il y en a une centaine. Mais il y en a une bonne dizaine qui sont oncogènes. C'est-à-dire qu'ils peuvent provoquer un cancer du col de l'utérus, de l'anus, du pubis, du... Ah ! Le pénis, pardon, et dans la gorge. Et c'est le contact, c'est un contact avec soit la moucle, soit la gorge, etc., qui entraîne la présence du virus. Ce virus, il peut soit passer en touriste, il est là, mais il ne reste pas. Si vous ne fumez pas, si vous avez une vicenne, si vous avez une bonne défense immunitaire, chez les jeunes notamment, que vous êtes très jeunes, il disparaît. C'est pour ça que maintenant, ils nous demandent de faire des frottis à partir de 25 ans, non pas 18. Parce qu'entre 18 et 25, il y aurait presque 100% de femmes qui auraient ce virus. Mais Tomy part, ça ne sert à rien de lui faire peur, ça ne sert à rien d'opérer, ça ne sert à rien de faire des biopsies et des choses très compliquées qui sont passantes. Donc on dit, on attend 25 ans et puis là, on fait et on regarde. il faut faire très attention, la nouveauté, la grande nouveauté, c'est qu'avant, quand on faisait un frottis, c'est ça un étalement des cellules sur une lame, et on regardait la lame, et on voyait s'il y avait des cellules normales et pas normales. Donc on disait frottis comme ci, comme ça. Maintenant, c'est une nouveauté, ça c'est assez extraordinaire, c'est qu'on a le moyen, par biologie moléculaire, c'est pas du tout la même technique, c'est toujours un frottis même, mais biologie moléculaire, liquide, de trouver l'ADN. du virus, non seulement de découvrir l'ADN du virus, mais en plus de le numéroter. Alors on sait que le 16 et le 18, c'est les plus méchants. Si vous avez un 16 et un 18, là il faut faire attention, il faut le surveiller, il faut faire des examens, parce qu'il peut faire des dégâts et très vite. Il y en a d'autres qui évoluent lentement. Dans l'ensemble, ça évolue lentement, mais l'avantage de faire ce test HPV, c'est que s'il est là, on sait que vous avez un risque, surtout si c'est un 16 ou un 18. Donc, on oriente maintenant davantage les frottis. Avant, c'était très très cher de faire ça. Maintenant, il y en a un peu, ça valait une fortune, c'était pas remboursé. Maintenant, ça vaut le prix d'un frottis classique et c'est remboursé. Donc, c'est un privé, parce que, en plus, si vous n'avez pas le virus, on peut espacer les frottis. Sauf si vous avez eu 50 partenaires entre temps. Alors là, il faut changer. Pratiquement à chaque nouveau partenaire, il faut refaire le test, parce que le risque est de 80% des gens. Alors, bonne nouvelle, mauvaise nouvelle, c'était qu'en France, on était les derniers, les bons derniers pour le vaccin, parce qu'il existe une vaccination, c'est quand même préventif, le casier, à 100%, mais enfin, pour les formes graves, oui. Et en France, on était 20% seulement, il y a encore quelques années, à être vaccinés. Il fallait être vacciné jeune, mais les mères disaient, je ne veux pas. nous nous anticipons sur la sexualité de ma fille, c'est elle qui verra. C'était trop tard quand c'était la fille, c'était trop tard. Donc, maintenant, heureusement, grâce à la ministre de la Santé, Mme Buzyn, on a, elle a rendu le crédit obligatoire, et surtout elle l'a ouvert aux hommes. Et la nouveauté, c'est que maintenant, c'est fait dans les écoles. Donc, ça y est, on est en train de rattraper notre rôle. On sait que, en nouvelle... en australie et aux états unis ou ailleurs il y a beaucoup moins de cancer du col que chez nous en france nous on a encore en france alors que nous avons 0 3000 cas de cancer de l'utérus sachant que c'est un cancer qui tue une personne sur deux c'est un très mauvais cancer on peut le prévenir en faisant une vaccination il faut le vacciner en 14 jours voilà donc attention tout est organisé garçons et filles ce nouveau non plus les deux puissances je pense que quand elle est un peu il faut pas trop petit sauf pas qui qui porte le virus c'est assez simple et ensuite faire affronter un gouvernement vous pouvez voir chercher le fameux htv et on peut s'en sortir le site la question à deux minutes il y a une question une question peut-être profiter de nos intervenants. Alédie, je vous en prie. Oui, il faut bien compléter ce que vous avez dit. Oui, prise en charge, voilà, comment on va faire cette prise en charge, en complément de ce que vous avez dit. Alors, une nature ouverte, on ne prend pas un chômage, en fait, il n'y a pas d'inversant, il va se prendre un chômage, et on va aller chercher des informations dans le thème de la médecine. Voilà, la nuance est vraiment importante. Et moi, je conseille aux femmes, en fait, je leur dis, la ménopause, on sait qu'elle va arriver, elle va tomber dessus comme ça, du jour au lendemain. Donc, moi, j'invite déjà, dès l'âge de 40 ans, en fait, à adopter une meilleure hygiène de vie, que ce soit par l'assiette. Et aujourd'hui, il faut voir... Pour beaucoup de personnes, c'est très compliqué de bien se nourrir. C'est brûlé par énormément d'industrialisation, d'en venir à des choses simples, mais également de prendre ce temps de reconnexion avec son corps, que ce soit par le sport, que ce soit par des ressources comme la méditation par exemple. C'est revenir à soi, pour apprendre à mieux se connaître, se comprendre. Et pour moi, ce qui est important dans la prise en charge, dans l'accompagnement de la nourriture, c'est vraiment pour les femmes de connaître leur cycle menstruel. Il y en a beaucoup qui ne le connaissent pas, qui le subissent. Moi, j'invite à coopérer avec le cycle menstruel. Par exemple, les deux premières phases, souvent du cycle menstruel, la fin de pleine d'énergie, c'est ce qui est souvent aussi valorisé par la société. Et puis, les deux dernières phases, donc la phase prémenstruel et la phase menstruel, il y a cette supermonde où elles sont plus fatiguées. C'est moins bien valorisé. Il y a vraiment cette perte d'estime de soi parce qu'on a l'impression de ne pas être adéquate. Donc, de remettre aussi, de comprendre... ... même si on est fatigué, c'est normal pour le sens de l'emportement. Donc il y a tout un accompagnement de mieux connaître la personne, qu'elle se connaisse mieux, pour pouvoir, je dirais, arriver au moment de la myopause, quand les premiers quatre nuages du cycle menstruel arrivent, qu'elle ne s'étonne pas, qu'elle ne se voit pas étonnée en se disant qu'est-ce qui se passe, mais là d'avoir déjà mis en place des choses pour elle, et puis... effectivement d'aller dans le gynéco, de discuter avec, savoir s'il n'est pas au traitement ordonnal, et d'avoir cette possibilité, parce que quand on a un rythmochois, je n'ose pas faire souffrir des femmes qui sont bombées de symptômes, et en fait, ce n'est pas que je suis démunie, mais ça prendrait... je vais découper... ça prendrait beaucoup de temps d'inverser la tendance, et donc c'est vrai qu'il y en a qui vont vers un traitement ordonnal, pour un temps donné par exemple, plus longtemps, pourquoi pas, pour pouvoir passer ce cap et se dire qu'est-ce que je mets en place pour moi ? en ayant cet espace de respiration où je ne vais pas être submergée par tous ces symptômes et ne plus savoir vraiment ce qui se passe pour moi. Mais vous avez raison, c'est justement la première cause, c'est le moment où la femme a besoin d'une aide qui ne soit pas médicale. Ce qu'on ne donne pas de mémoire intervenue. C'est pour ça que moi, mon propos, c'est dès 40 ans, on s'intéresse à ce qui se passe pour soi. Quand on est une femme, et quand on sait que... Quand on est une femme, on sait que ça va arriver. Je veux dire, c'est inscrit dans notre vie. La ménopause n'est pas isolée du reste de notre vie, c'est un passage. Je trouve que l'accompagner au mieux, c'est de l'anticiper. Aussi, pour moi, la santé des femmes, c'est une question de transmission. Questionner sa mère, ses dents si on en a, ses soeurs. De savoir ce qui s'est passé pour elle, parce que je trouve que... encore aujourd'hui alors qu'il y a quand même beaucoup d'informations qui est faite sur le Ménopause, il y a des femmes qui arrivent terrorisées et démunies. Ça pour moi, c'est insupportable. Chaque femme mériterait d'avoir une information la plus large et la plus diversifiée possible. Moi, c'est ça qui est un but. Merci Pascaleine, Mme Pignat-Pin, on arrive à la fin de la vidéo. C'était une page ensemble. Merci Paul. Merci à tous d'avoir été avec nous pour votre écoute, vos questions, votre énergie. qui nous a nourris tout au long de cette journée. Merci à mes doucines pour nous avoir offert cette tribune. J'ai été enchantée, honorée, et puis même par la bienvenue, j'espère. Ciao, bienvenue à tous. Je suis très contente de faire une sortie à la fin de l'année. Je suis très contente de faire une sortie à la fin de l'année. Je suis en train de venir. Voilà, pour vous montrer qu'on est engagé dans cette situation. Et là, c'est moi, comme ils vont, c'est l'association de trois laboratoires que vous connaissez bien. C'est un homme, Herbalgem, PioFleural, c'est un laboratoire de vie essentiel, c'est un homme. Herbalgem, c'est la géométripe, c'est la férale. Et puis, vous avez Biofloral qui est un laboratoire d'élixir fluoro, de fluorobac. Et c'est à travers ces trois marques que nous, on va proposer une prise en charge globale de la femme de manière naturelle et efficace. Et pour ce cas, c'est important pour nous, et moi par exemple, je suis une femme, je suis pharmacien de formation, je suis thérapeute en complémentaire, c'est important d'accompagner les femmes et les femmes sont en souffrance et souvent n'ont pas de réponse, elles ne trouvent pas de réponse. c'est pour ça que la MSA, c'est vraiment important que vous soyez au courant, que vous pouvez les accompagner aussi avec des compléments alimentaires dans ces phases de transition où on ne veut pas nécessairement le vivre, on va chez la diététicienne, chez la nutritionniste, chez la nature, et que les hommes sont en place dans le protocole, parfois les compléments alimentaires vont vous aider à aider cette femme rapidement et scientifiquement. Et avec la recherche que je vous ai montrée, c'est notre expertise qui nous a donné là. Mais c'est surtout important pour nous, parce que l'INULA, on s'est engagé dans cette démarche LSE d'accompagner la santé de la femme et plus spécifiquement dans son engagement de la femme atteinte de l'enceinte. Pourquoi ? Parce qu'on a des solutions naturelles et on sait que l'aromathérapie, tout spécifiquement, démontre des belles preuves d'efficacité dans cet aménagement de la femme atteinte du cancer. Notre engagement à nous. Par rapport à notre expertise aromale, c'est de faire connaître qu'on peut venir, alors on fait une petite aparté sur le cancer, on n'en a pas parlé, mais on vient avec des types olfactifs de manière très très très simple, celui-là j'ai l'exemple, c'était les nausées, les vomissements, les douleurs du cancer, on a une belle expertise là-dedans, moi-même je donne un produit une journée en cancero pour tous les professionnels de la santé qui veulent maîtriser l'approche aromatique et de l'améliorement. de la santé, on accompagne énormément d'unités cancéreuses, de centres hospitaliers, de maisons d'accompagnement, parce que vous savez que le cancer est pris de plus en plus de manière globale avec la réflexion de vie et autres. Et donc nous, on accompagne énormément dans la mise en place de protocoles pour soulager les symptômes. Et les études se font, par exemple, sur l'antité ou sur la dosée. Voilà. Donc nous, on est à même avec les services qu'on a de pouvoir... accompagné dans la mise en place de protocoles et en participant à des projets de recherche. Un gros projet de recherche qui va être mis en place à l'hôpital de Caen pour une étude vraiment scientifique pour démontrer justement la pertinence parfois de gestes très simples dans une efficacité et dans des protocoles de santé. Le cancer c'est très médicalisé, il faut faire très attention. On vient proposer de la chromathérapie des huiles essentielles des spicophactifs. Ça fait parfois un peu... Mais le monde de la cancéro est spécialement ouvert à trouver des solutions. C'est les huiles essentielles qui ont commencé à faire partie du protocole de recommandation de différents organismes qui défendent ces choses. C'est important dans la santé de la femme, et on l'a bien entendu, la femme est gouvernée tout au long de sa vie par son niveau d'hormones, par ses hormones, on a beaucoup parlé des estrogènes, effectivement c'est eux qui vont. Peut-être qu'on est des femmes, mais c'est ces estrogènes aussi qui vont, malgré tout, nous amener à la spiritualité, à avoir un chemin de vie et tout. Donc, c'est vraiment quelque chose qui est très, très important. Et oui, on est victime aussi de ces fluctuations hormonales. Et c'est comment on va pouvoir appréhender justement bien toutes ces phases. C'est ce qui a été dit ici dans la conférence. Et comment nous, à travers des compléments alimentaires, on va pouvoir venir accompagner aussi ces différentes phases. Quand on comprend bien la physiologie, on sait venir avec des plantes et des bourgeons. Ça, c'est une observation chez Herbagem. Donc, c'est de la gémothérapie concentrée qu'on a désampolysée. Et ça, c'était très important dans le processus, c'est de rendre plus accessible à un plus grand nombre cette gémothérapie qui contient un peu d'alcool. On a trouvé un processus qui permet de garantir les polyphénols si importants dans cette gestion. de l'inflammation, de l'oxydation, de toutes ces maladies, en endométriose, dans le cancer aussi. Mais ce que je veux vous dire à travers ça, c'est qu'on a réussi à formuler de l'ingénuo, désalcoolisé, en génule végane. Et pourquoi je dis ça aussi ? Parce que c'est sans lactose, sans gluten, et qu'en général, toutes ces femmes qui ont aussi des problèmes hormonaux ont toutes ces intolérances. Et quand il y a des compléments alimentaires, il faut regarder qu'il n'y ait pas de lactose. pas de sucre et pôtre, et c'est toujours une galère. Donc voilà, on a voulu faire quelque chose de très simple. L'association de, en général dans la formule 3, le jouissement spécifique de la phase hormonale. plus un extrait de plan standardisé avec publication qui nous permet d'avoir des vraies allégations, de ressortir de vraies allégations qui font que la femme va voir que ça me convient, oui j'ai du SPM, oui j'ai 40 ans et ça commence à marcher et ne pas être acceptable pour moi. Ah oui, je suis en mélopause, c'est la catastrophe pour moi. j'ai besoin de relever mon taux hormonal. Donc on a des formules avec phyto-oestrogènes et des formules sans phyto-oestrogènes, en fonction, vous savez, bien des antécédents de cancer. Donc pour nous, cette gamme, c'est une phase d'épique, c'est un truc qui est très important, on répond à toutes les phases de la femme, et ça, c'est ce qui va nous permettre d'avoir notre humeur, excusez-moi de dire notre humeur constante, et de ne pas être une piste qui est chiante, quand ça va moins bien hormonalement. Et après, on a toutes nos solutions spécifiques pour les problématiques de la femme. La cystite, c'est très gênant, on nous fout de faire des antibiotiques, et on a des obésites fondues aussi, olébiotiques, santé urinaire, où on a fait des preuves de cicatricité versus la molécule de réservance. On a les mêmes résultats, et ça peut venir dans les pratiques thérapeutiques. Même le pharmacien peut commencer à faire des trônes urinaires, pour vérifier si l'antibiotique est nécessaire ou pas. Nous, on a une réponse avec les huiles essentielles, puisque vous savez que les huiles essentielles sont efficaces sur les bactéries, les germes, les champignons et les parasites. Et donc, on n'en rend plus pas ou plus, on ne va pas engendrer plus de risques. Voilà, je ne suis pas là pour vous faire un tour sur chaque formule, mais c'est de se dire que toute la période difficile des règles, même d'une jeune fille qui a 12 ans, on commence à avoir ses règles. La géomothérapie, le féminagème, ça permet de soulager les règles de manière très efficace, rapidement et naturellement. Voilà, donc n'oubliez pas que toutes ces formules naturelles existent et vous pouvez accompagner et du coup répondre aussi à la demande de personnes qui ne veulent pas des hormones, qui ne veulent pas des médicaments. Ça fait partie des demandes des jeunes femmes actuellement, des femmes plus adultes aussi. Voilà, donc c'était ce qu'on voulait terminer par vous dire après cette belle conférence. La femme, c'est quelque chose d'important, c'est quelque chose de sociétal, de content, de bon, de bien, de bon. En plus, médecin et hôte, c'est important que vous sachiez où aller chercher les belles solutions, l'intérêt. Et pour terminer, comme vous l'avez dit, pour partir de la main vide, mes collègues vont vous donner un élément de chantier urinaire. La formule CITIC, une capsule trois fois par jour, cinq jours. On vide la boîte en prenant le réflexe antibiotique. Et une petite brochure sur Gémocaps pour que vous ayez à disposition la base de l'infant. Voilà, je vous remercie pour votre attention. Merci.

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