La Sophrologie authentique : La Méthode Caycedo, ses applications et sa validation scientifique cover
J'agis pour mon bien-être par Médoucine

La Sophrologie authentique : La Méthode Caycedo, ses applications et sa validation scientifique

1h00 |11/03/2025
Play

Description

La sophrologie authentique : découvrez la Méthode Caycedo et ses multiples bienfaits 🌟


Et si vous pouviez harmoniser votre corps et votre esprit grâce à une méthode scientifiquement validée ? Cette conférence explore la sophrologie authentique, et plus particulièrement la Méthode Caycedo, une approche globale du bien-être qui allie relaxation, concentration et conscience de soi.


Qu’est-ce que la Méthode Caycedo ? Plongez dans l’univers de la sophrologie authentique, ses principes fondamentaux et ses techniques, conçues pour renforcer l’équilibre entre le corps et l’esprit.


Les applications concrètes de la sophrologie : Gestion du stress, amélioration du sommeil, renforcement de la confiance en soi, préparation mentale aux défis du quotidien… Découvrez comment cette méthode peut transformer votre bien-être.


Une méthode validée scientifiquement : Apprenez comment des études et recherches ont démontré l’efficacité de la Méthode Caycedo, notamment dans les domaines de la santé, de l’éducation et de la prévention.


Un complément idéal aux pratiques de santé conventionnelles : Comment la sophrologie peut être intégrée dans les parcours de soin pour une prise en charge globale et personnalisée.


Une conférence inspirante et enrichissante pour découvrir une approche reconnue, accessible et puissante, au service de votre équilibre intérieur et de votre bien-être au quotidien ! 🌿


  • Dr. Natalia Caycedo - Psychiatre, présidente de Sofrocay


Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

Transcription

  • Speaker #0

    Bon, je vais vous voir partout. Ici, on n'a pas de piscine. Bonjour Mesdames et Messieurs, c'est un plaisir d'être ici avec vous. Je remercie l'organisation de m'avoir invitée. Pour moi, ce sont des moments uniques. En sophrologie, nous parlons de vivance, d'expérience. Et maintenant, ce que nous sommes en train de faire, c'est vivre une vivance. Donc l'objectif aujourd'hui, dans cette heure-là, quand ils m'ont dit, vous savez, une heure, pour moi c'était le... C'est plus compliqué d'une heure expliquer ce qu'est la sophrologie. Mais ce que nous allons faire pendant ce temps-là, c'est aller surtout au concept le plus important. Mais nous allons faire ensemble une pratique. Parce que c'est avec la vivance que nous comprenons beaucoup plus ce qu'est la sophrologie kayserienne. Permettez-moi de me présenter. Voilà. Je suis Natalia Caicedo, je suis médecin psychiatre, fille du professeur Alfonso Caicedo, le créateur de la sophrologie. Je fais le doctorat en médecine et aussi le diplôme universitaire de neurophysiologie ici à Paris, à la Salle Pétrière, et de neuropsychologie à Caen. Je travaille aussi comme professeure de thérapie de famille à Barcelone. l'Université internationale de Catalogne. Et maintenant, je suis présidente de Sofrocai et aussi du Conseil scientifique de la sophrologie. Je vous laisse, Fatima, faire le travail. Donc, nous allons, pendant ce temps-là, d'un côté, expliquer ce que c'est la sophrologie, et de l'autre côté, nous allons parler de l'origine. de la sophrologie, quelle est son histoire. Nous allons parler de la méthode Caïcédo à travers une pratique. Nous allons aussi parler des recherches et les recherches qui se mènent dans l'actualité et nous allons parler des applications et de l'Institut Caïcédo France. Allons-nous commencer par ce que c'est la sophrologie. Je voudrais bien commencer par, nous pouvons aller au suivant. Un parallélisme que j'aime beaucoup est par rapport à Gaudi. Vous connaissez bien sûr notre cher architecte à Barcelone, Anthony Gaudi, qui a développé toute la conception de la Sagrada Familia, les parcs, il y a pas mal de bâtiments en Barcelone qui sont de lui. Il y a une personne qui lui a demandé en quoi consiste votre originalité, parce qu'on était en train de parler, ça fait beaucoup de temps, une personne qui commence... à proposer les formes de la nature, le mouvement de la nature dans son architecture. Alors, les personnes qui lui demandaient « En quoi consiste votre originalité ? » Il a répondu « Mon originalité consiste en aller aux origines. » C'était une très bonne question parce que véritablement, il était allé aux origines de la nature et c'est à partir de ces origines qu'il a créé son originalité. les origines. Pourquoi cette introduction ? Parce qu'il y a des personnes qui demandent en quoi consiste l'originalité de la sophrologie. Alors ici, bien sûr, la réponse pourrait être la même par rapport à notre cher Gaudi. L'originalité consiste en aller aux origines. Donc, allons-nous parler des origines de la sophrologie. Tout a commencé quand... Mon père était très jeune, un jeune médecin, un jeune psychiatre, qui était à côté de ces malades mentaux. Et comme jeune psychiatre, il voyait les problèmes de la conscience. Il voyait comment les malades mentaux... Dans cette époque-là, il n'y avait pas beaucoup de traitements. Il y avait les électrochocs, où il devait donc faire les électrochocs. Il y avait les comas insuliniques, il y avait... et en pharmacie, la chlore promassine, il y avait l'hypnose, il y avait la psychoanalyse, la psychothérapie, mais il n'y avait pas beaucoup de plus. Et il avait des grands maîtres dans ses études de médecine. Nous voyons ici qu'il était à côté de son grand professeur Juan José López Ibor, grand chef de psychiatrie de l'époque, qui était très connu au niveau international. Pour mon père, il était un petit peu comme un second père. Il lui a très bien accueilli. accompagné dans ses cours de l'apprentissage de la médecine, surtout de la psychiatrie. Il y avait aussi Viktor Frankl, c'est un grand psychiatre que peut-être vous connaissez tous, par rapport à la logothérapie, c'est cette personne qui a vécu dans les champs de concentration et qui a fondé la logothérapie après. Mon père a connu Viktor Frankl, il lui a accompagné pas mal de fois quand il venait à... J'ai visité Madrid, lui a parlé par rapport à ses expériences dans les champs de concentration, lui a parlé du sens de la vie. Il y avait aussi Pedro Leinenthalgo, qui est le chef de l'histoire de la médecine, qui l'a introduit sur les Grecs. Et tous ces questionnements, toutes ces expériences, tous ces rencontres lui ont commencé à donner de l'inquiétude par rapport à la conscience. C'est-à-dire, il a dit... Avec toutes ces expériences, avec cette constatation de la maladie mentale, qu'est-ce que c'est la conscience ? Il n'y avait pas une science qui étudiait la conscience. Il n'y avait même pas plus d'une heure d'études de la conscience dans la médecine et la psychiatrie. Alors il a proposé à son maître Lopecibor, est-ce que je pourrais créer une science qui étudie la conscience ? Alors il a dit... D'accord, allez-y. Nous allons chercher, disait, sur les mots des Grecs et sur ces études qu'il lui avait montrées d'une façon indirecte, Pedro Leinenthal sur les karmides, que c'est les charmites qu'avait écrits Platon qui parlaient sur le concept de sophro-syné. C'était des concepts qui restaient dans le fond de sa conscience, il disait, mais sos, sos, ça veut dire équilibre. Fren, ça veut dire conscience, logos, études. Nous allons créer cette nouvelle parole avec le nom de sophrologie. Les personnes qui croient que le mot sophrologie existait avant de mon père, non, c'est lui qui a proposé le nom et c'est lui qui a proposé aussi l'objectif, c'est-à-dire créer une science dont l'objectif soit l'étude de la conscience. Mais pas seulement l'étude de la conscience qui était déjà un grand challenge, mais aussi... Comment pouvoir faire pour développer l'équilibre ? L'équilibre de la conscience chez mes patients, c'était l'objectif initial. Donc, il a... Oui, nous allons passer à la suivante, venez-moi. La grande question était, comment étudier la conscience ? Parce que l'idée, elle était très intéressante. S'il y a un, je ne sais pas, un cardiologue qui veut étudier le cœur, c'est beaucoup plus facile, parce que c'est quelque chose de... Solide, c'est un système que nous pouvons voir, que nous pouvons étudier. Mais étudier la conscience, c'était un grand défi. Parce que comment étudier la conscience ? Il fallait chercher une méthode. C'est comme ça qu'il a commencé à chercher les différentes méthodes d'études de la conscience. Il y avait dans cette époque-là un grand médecin, psychiatre, qui travaillait sur une méthode de recherche. de la conscience qu'elle était toute nouvelle dans la psychiatrie, elle était très connue dans la philosophie, mais dans la psychiatrie était nouvelle, qui s'appelle la phénoménologie. Il habitait en Suisse, à Kreuzlingen, dans le sanatorium Velvue, et là, il a dit à son cher professeur Lopéthibor, est-ce que vous croyez que ça valait la peine d'aller voir Binsbanger, qu'il était âgé, c'était son dernier disciple, si on peut le dire comme ça, Il a dit oui, profitez, parce que c'est une recherche de la conscience que Binsbanger travaille très bien du point de vue de la psychiatrie. Il a appris ce que c'était la phénoménologie. Et si nous parlons de mots-clés de la phénoménologie, même si c'est beaucoup plus que ça que je vais dire, parce que nous avons seulement une heure, les mots-clés c'est savoir, mettre entre parenthèses, ses propres connaissances pour étudier l'objet. Sans interprétation, sans juger, sans conditionnement. C'est-à-dire, ce qu'il faisait Binsbanger avec ces malades mentaux, c'était s'approcher à eux. les connaître, mais sans aucune interprétation, sans aucun jugement. Essayer de les reconnaître tels qu'ils sont. C'était très intéressant pour mon père d'étudier la phénoménologie en psychiatrie, mais il disait, il me manque quand même de la pratique, il me manque quand même quelque chose qui soit pratico-pratique pour aider à développer l'équilibre de la conscience des patients, des malades mentaux. Et c'est pour cela que, dans ce moment-là, Il était marié avec ma mère et ma mère faisait des exercices de yoga les matinées. Et mon père regarde à ma mère et dit « ça pourrait être intéressant » . Et il dit à Winsbanger « qu'est-ce que vous pensez de cette discipline de yoga, la discipline orientale ? » Et il croyait que Winsbanger allait lui dire « écoutez, ça c'est pas médical » . Et non, non, non, tout à fait le contraire. Winsbanger était un phénoménologue. qui n'avait pas de préjugés, des jugements, il disait, écoutez, docteur Caicedo, si j'aurais votre âge, j'irais en Orient, mais pas pendant une ou deux semaines, j'irais faire un stage, j'irais faire de la vivance, j'irais faire de l'expérience avec eux et connaître ces doutes que vous savez comment ils font pour connaître sa propre conscience. Donc, il a dit, d'accord, j'y vais. Alors, il est allé Ce n'était pas facile dans cette époque-là. Maintenant, nous avons tous les guides nécessaires pour y aller, mais nous sommes en train de parler des années 1964. Il est allé chercher où est-ce qu'il pouvait trouver des personnes qui lui apprennent du yoga. Il a commencé à contacter les grands yogis des différents ashrams les plus connus de l'Inde dans cette époque-là, Rishikesh, Bombay, dans le sud, etc. Il a commencé à... Faire une expérience, une vivance phénoménologique, donc vivre avec eux, comprendre ce qu'ils font, expérimenter, mais toujours avec une attitude très médicale et très respectueuse. C'est-à-dire pas comme un adepte oriental, mais comme un médecin qui étudie ce qu'ils font. Alors il est allé vivre avec un yogi, il est allé vivre aussi avec les personnes qui pratiquent. Le bouddhisme tibétain, vous voyez ici mon père avec les Dalai Lama à Dharamsala, parce que au Tibet on ne pouvait pas y aller à cette époque-là. Il est allé aussi vivre comment font les personnes qui pratiquent les scènes japonais. Et après deux années d'expérimentation, il a décidé de retourner à Barcelone comme médecin qui commence à proposer des nouvelles. méthode. Nous allons passer à la suivante. Il est nommé professeur de psychiatrie à la faculté de médecine de Barcelone. Il commence à faire ses expérimentations par rapport à tout ce qu'il avait appris pendant ces deux années à Norian. Il commence à faire des expérimentations qui sont très intéressantes. Je vais vous parler maintenant des détails de l'expérimentation. Et en même temps qu'on voyait, la sophrologie c'est une science qui étudie la conscience, c'est-à-dire qu'il y a cette partie théorique et il y a d'autre côté la partie pratique. Donc, du point de vue de la théorie, il commence à postuler la première hypothèse, le premier modèle sur la conscience quand il revient d'Orient. Et c'est celle-ci que nous voyons ici. Ça s'appelle les possibilités existentielles de l'être dans lesquelles nous parlons où nous voyons qu'il y a différents états de conscience. Il y a, jusqu'à maintenant, l'état de conscience normale au Seine. Il y a la conscience pathologique ou malade. Et jusqu'à ce moment, c'était conçu qu'on pourrait être ou bien ou mal, c'est-à-dire ou avec santé ou avec maladie. Mais il n'y avait pas une conception qu'on pouvait être très bien. Il a vu les personnes qui pratiquaient un orient, soit le yoga, le bouddhisme, le Seine, il disait que ces personnes ont un état de conscience qui est travaillé. Et il a dit, peut-être, c'est un domaine qui n'est pas exclusif des orientaux, mais nous pouvons tous y accéder. Avec un travail, avec un entraînement, on pourrait avoir un état de conscience plus sérant, plus positif. Il a décidé de donner le nom de conscience sophronique. Après, il a parlé des niveaux de conscience. Il a vu comment ce niveau qui se trouve entre la veille et le sommeil, que nous allons vivre, et sûrement vous l'avez déjà vécu plusieurs fois, c'est un niveau qui aide à mettre, entre parenthèses, le monde extérieur, se centrer sur soi, et grâce à la pratique, grâce à la répétition, commencer à se connaître chaque fois mieux. Donc, les états et les niveaux de conscience étaient sa première hypothèse. Nous allons donc continuer par rapport à comment. Nous voyons que la théorie et la pratique sont toujours très... très lié, parce que bien sûr, cette hypothèse était très intéressante, mais comment faire pour y accéder petit à petit à cet état de conscience plus sérant, plus positif, plus travaillé. Il a commencé à créer une méthode qui, au commencement, n'avait pas de nom. Il a commencé à se réunir avec ses collègues médecins, parce que la sophrologie, au commencement, était exclusivement pour les médecins psychiatres. Il commençait à faire... des techniques inspirées du yoga, mais très occidentalisées. C'est intéressant comment dans le yoga, j'ai trouvé une partie qu'en psychiatrie nous n'avons pas. Nous sommes en train de parler des années 66, 67, 68, 70, et c'est le corps. Maintenant, bien sûr, ça fait partie de la thérapie, mais dans ces années-là, la psychiatrie était seulement psycho. thérapie, donc le corps était le grand oublié. Quand il s'est réunissé avec ses collègues médecins, il commençait à faire des exercices pour sentir plus le corps, inspiré du yoga, même si la sophrologie est apolitique et confessionnelle. C'était surtout ce côté beaucoup plus de constatation que le corps est très important, sentir son corps. Après qu'il avait fait ce travail avec ses collègues médecins, Il a commencé à faire des adaptations pour les patients. Il a vu que c'était positif. Donc il a créé les premiers degrés de ce qu'il a nommé la relaxation dynamique. Parce qu'il n'était pas seulement relaxation, mais il y avait la présence de la dynamicité du corps. Après, il a continué avec l'esprit. Il a commencé à dire, oui, c'est bien de sentir son corps, mais c'est aussi très important de savoir gérer ses pensées. Comment faire ? C'est toujours cette question très... d'un point de vue plus de recherche, comment faire pour que les malades mentaux puissent avoir conscience de ces pensées et gérer petit à petit ces pensées. Donc il a fait des adaptations du bouddhisme tibétain, mais très occidentalisé, pour savoir prendre conscience de ces pensées et avoir de plus en plus cette connaissance de la dimension mentale. Il a continué avec le troisième degré de la relaxation dynamique de Kaiseido, était de connaître plus sa propre dimension affective. Toutes les émotions, les sentiments, plutôt inspirés du scène japonais. Alors nous voyons là comment il crée, petit à petit, chacun des dégrés. Là, nous sommes dans l'époque, comme professeur de psychiatrie à la faculté de médecine de Barcelone. Et après, il voyage en Colombie et il commence à constater d'autres réalités. En Colombie, il commence à faire des adaptations. Nous voyons comment la sophrologie était au commencement exclusivement dans le domaine de la psychiatrie. Après, elle commence à s'ouvrir dans le domaine des sciences médicales, soit aussi les soins infirmières, soit aussi la kinésithérapie. Mais quand il va en Sud-Amérique et qu'il constate les grands besoins de cette technique dans la société, il commence à adapter les techniques dans les différents secteurs. Nous voyons ici comment, avec les étudiants de sophrologie, mon père allait dans les différents endroits où c'était souhaitable de pratiquer la sophro. D'un côté, nous voyons ici avec les personnes qui étaient en train d'apprendre des métiers. D'un autre côté, nous voyons ici avec les gamines de la rue, les jeunes enfants qui habitent dans la rue. allait dormir dans un endroit qui était donné par un prêtre, le padre Javier de Nicolo. Et ce qu'il faisait aussi, très souvent, c'était d'inhaler de l'essence ou de la colle pour pouvoir s'endormir, parce que c'était somnifère. Mon père, avec ses étudiants, leur proposait des techniques pour dormir. Leur proposait des techniques, d'abord, avec prise de conscience du corps, donc des techniques dans lesquelles, pour... gérer cette tension qu'ils avaient accumulée pendant toute la journée, leur proposer de sauter, de sauter, de sauter, de sauter plusieurs fois pour sentir le corps, et après pouvoir s'allonger, sentir le corps, et petit à petit tomber dans le sommeil. Il lui a un de ses gamines, dans le moment dans lequel il était en train de sauter, toujours avec son esprit de recherche, mon père lui demande « Et toi, pourquoi tu fais ça ? » Alors, il était en train de sauter, il était très bien dans sa pratique, elle lui dit « Écoute-moi, laisse-moi tranquille » . Lui, il était en train de sauter et mon père lui demande encore une autre fois. Et toi, pourquoi tu fais ça ? » Et le gamin lui répond « Laisse-moi tranquille ! » Une troisième fois, mon père lui dit « Mais écoute, pourquoi tu fais ça ? » Elle lui répond « Parce que je ne me sens pas un animal. » C'est-à-dire, je me sens une personne. Et c'était pour lui comme une constatation de dire est-ce que les valeurs, se sentir qu'on a de la valeur, c'est très important. Pas seulement pour les gamines, mais pour tous. C'est comme ça qu'il a commencé à développer le quatrième degré de la relaxation dynamique qui se centre sur la vivance des valeurs. Comment sentir que je suis une valeur ? C'est-à-dire que c'est quelque chose qui paraît idéal, mais c'est quelque chose qui est véritablement réel. Ce n'est pas seulement une idée, mais c'est en fait le fait d'être soit une valeur. Nous continuons, il retourne ici en Europe. Elle continue sa recherche avec d'autres degrés de la relaxation dynamique, celles que nous appelons dans le cycle radical, des degrés qui sont beaucoup plus profonds, qui arrivent véritablement à la profondeur de la conscience, dans laquelle l'objectif c'est connaître sa propre conscience, développer une capacité qui est très importante pour la sophrologie, qui est la contemplation, savoir contempler, parce que le fait de savoir contempler, Comme dirait Platon, arrive à l'essence de l'objet contemplé. C'est une attitude qui est très phénoménologique. Percevoir que c'est la propre énergie, la propre force, la propre résilience, sentir que c'est l'individualité, que je suis original, je suis unique dans le monde, ce sont les degrés les plus profonds qui préparent à le prochain cycle, le cycle existentiel, qui est déjà... existentiel, c'est-à-dire l'objectif c'est pas rester avec cette beauté de connaissance de soi-même mais de l'exporter à l'existence, de se sentir bien avec les autres, la co-existence grâce à la vivance de la liberté de la responsabilité de la dignité. Nous nous voyons comme ça, il a retouché pendant plus de 60 ans sa méthode et que Maintenant, nous nous trouvons avec une méthode complète qui consiste à 12 degrés de la relaxation dynamique de KIC. Nous voyons ici, il y a le cycle fondamental avec les premiers 4 degrés. Dans la pratique, l'objectif final, c'est d'apprendre à répondre à cette question de comment suis-je, c'est-à-dire comment suis-je tant de personnes qui arrivent à la consultation qui te demandent. et moi comment je suis ? Est-ce que je peux faire un test ? Non, l'objectif c'est que tu apprennes à te connaître toi-même. Dans le cycle radical, une question encore plus profonde, c'est qui suis-je ? Et dans le cycle existentiel, la réponse c'est quelle est l'essence de ma vie ? Combien de personnes, même dans les adultes, cherchent et quelle est l'essence de ma vie ? Donc, avoir cette réponse qui vient de la profondeur de soi, c'est la meilleure réponse. Maintenant, nous allons faire une synthèse de ces premiers quatre degrés pour les comprendre de plus en plus et surtout après pour les amener à la pratique, à la vivance. Nous voyons comment avec cette méthode de recherche, que c'est la méthode phénoménologique, ce qui faisait Binsbanger dans l'époque, c'était donc faire phénomène avec ses patients pour leur connaître mieux. Mais ce qui est original dans la sophrologie, c'est faire phénomène. Avoir une rencontre avec soi-même pour se connaître plus. C'est-à-dire la rencontre, c'est avec nous-mêmes, mais d'une façon méthodologique, c'est-à-dire d'une façon pédagogique. Comment je peux faire pour me connaître mieux ? Donc ici, l'objectif, c'est d'avoir cette rencontre avec notre propre corps, avec notre propre esprit, avec nos émotions, toutes ces dimensions affectives, avec nos propres valeurs. Comment faire pour cela ? Comment c'est la méthode ? Le processus est le suivant. Toutes les techniques de la relaxation dynamique de Caicedo ont une structure qui est très claire dans ce processus de connaissance personnelle. Nous commençons toujours par une sophronisation de base qui nous amène à ce niveau de conscience dans lequel nous mettons entre parenthèses le monde extérieur et nous centrons notre attention sur nous-mêmes. Après, dépendant du degré, Il y a ce que nous appelons une stratégie. Une stratégie éventuelle qui va faire que cette partie que nous allons étudier de nous-mêmes va être très présente. Ici, par exemple, cette stratégie c'est bouger le corps, faire des mouvements dans le corps pour faire phénomène, pour avoir une rencontre avec notre corps. Mais il y a les autres stratégies. Il y a les stratégies qui font activer l'esprit, les émotions, les valeurs. la conscience, etc. Donc ici, nous voyons que l'estratégie est une stratégie du premier degré. Après, il y a une pause d'intégration qui est très importante. Pourquoi ? Parce que, comme disait mon père, ce ne sont pas des exercices de gymnastique. L'important, c'est que dans le moment dans lequel on s'assoit, on va développer les sensos-perceptions, la capacité de se sentir, de se percevoir de plus en plus avec cette attitude phénoménologique. Comme si c'était la première fois, sans préjugés, sans conditionnements, toujours se laisser surprendre par le phénomène de la rencontre avec nous-mêmes. Mais ça ne finit pas là-bas. Quand nous avons fini de faire la pratique, il y a un moment qui est très important qui s'appelle la phénodescription. Et c'est la description du phénomène. C'est-à-dire, ce que nous faisons, c'est passer du côté qui est purement vivantiel, qui est purement expérimentiel, expérimental, un côté plus cognitif, c'est-à-dire cette vivance, nous allons la traduire en paroles, et le fait de les écrire nous aide à renforcer la vivance et la revivre autrement, d'une façon plus cognitive. Et à la fin, il y a cette rencontre avec le sophrologue, avec laquelle nous allons donc partager notre vivance. Ça s'appelle le moment de l'analyse de la vivance. Ce n'est pas que le sophrologue. va faire une psychoanalyse, mais plutôt il va écouter la vivance, il va guider l'entraînement du sophrologue par rapport à ses propres vivances. Nous voyons que tous les processus, depuis les premiers jusqu'à les douzièmes, ont cette structure. Allons-nous maintenant voir, et nous allons nous centrer sur ces premiers cycles et comment nous les faisons. Nous allons commencer par la dimension. corporelle. Comment nous faisons pour faire phénomène avec notre propre corps et comment nous faisons avec cette attitude d'un côté phénoménologique mais de l'autre côté beaucoup plus sophrologique. Quand nous avons activé le corps, quand nous avons fait des mouvements de notre corps, des tensions, que nous allons les faire tout de suite dans la pratique, Il y a un moment dans la pause dans laquelle nous nous asseyons que nous développons cette capacité de sentir, de sentir notre corps. Combien de patients qui arrivent à la consultation qui me disent, après un grand stress de sa vie, qui disent, écoutez, j'écoutais jamais mon corps. J'étais toujours sur l'action. Il fallait que je puisse donner les résultats à mon travail. Oui, quelquefois j'avais la tête qui... J'avais mal à la tête, quelques fois j'avais des problèmes au niveau intestinal, ou quelques fois j'avais des somatisations, mais je ne les écoutais pas. Et j'ai continué, j'ai continué, jusqu'à maintenant que, voilà, j'ai un arrêt du travail à cause des maladies liées au stress chronique. Donc, l'effet de savoir écouter le propre corps, c'est une des caractéristiques de la sophrologie. Savoir s'écouter. De cette façon qu'avec la pratique, la personne dit... écoutez, maintenant, il faut que j'arrête, écoutez, maintenant, il faut que j'aille dormir, écoutez. Mais ce n'est pas seulement écouter le corps, mais aussi, et que je dirais, c'est une des caractéristiques de la sophrologie, c'est la somatisation positive. C'est-à-dire, je l'écoute, mais j'apprends aussi à somatiser le positif. Et ça, c'est aussi une beauté, l'action positive qui caractérise la sophrologie. Je l'écoute, mais j'apprends aussi à somatiser la paix, le bien-être, les sentiments. Bonheur petit à petit. Et je suis sujet, petit à petit, comme ça, de mon propre corps. La même chose avec l'esprit. Il y a d'autres techniques qui nous aident à activer l'esprit. Et ça passe la même chose dans la conscience naturelle. Comme il y a des personnes aussi qui arrivent à la consultation, ou pas, ce n'est pas nécessaire d'aller au psychiatre pour dire « Je l'ai pensé, qui n'arrête pas, je suis toujours préoccupée à cause de ça qui va venir, ou je suis en train de donner des tours par rapport à cette idée que c'est difficile de l'enlever. » de ma tête. Donc, première, c'est un acte phénoménologique, prendre conscience de mes pensées, m'y connaître par rapport à mes pensées. Et deuxième, être sujet petit à petit grâce à un entraînement de mes pensées qui peuvent être aussi positifs et proactifs. C'est-à-dire, je peux aussi faire quelque chose. Ce n'est pas seulement que ça me dérange, mais aussi je peux faire quelque chose pour orienter, pour diriger mes pensées d'un point de vue positif. Et après, nous continuons par le troisième degré avec la dimension affective, que c'est exactement la même chose. Quand il y a des personnes qui arrivent à la consultation et je leur demande « Et comment vas-tu ? Comment ça va ? » Ils disent « Écoutez, ça ne va pas bien. » Et je leur demande « Mais qu'est-ce qui se passe ? Je ne me sens pas bien. » « Mais qu'est-ce qui se passe exactement ? » Et c'est aussi quelquefois difficile même d'exprimer les émotions. C'est quelquefois aussi difficile de dire, écoutez, je me sens irritable la matinée puisque je n'ai pas bien dormi, mais après j'ai un sentiment de rage parce que j'ai parlé avec ma fille qui m'a... Après, avec mon chef, j'étais tout à fait... avec un sentiment de colère. Donc, prendre conscience de ces mouvements affectifs qui se trouvent dans notre vie quotidienne, c'est l'objectif de ce troisième degré. Mais pas seulement prendre conscience, mais aussi le somatiser. positivement. Comment je peux faire pour faire émerger de moi des sensations, des sentiments positifs ? Ce sont des stratégies que nous allons aussi voir, même si c'est court, aujourd'hui dans la pratique. Et à la fin, le quatrième degré avec les valeurs, encore plus compliqué. Quand mon père se demandait comment faire pour qu'on puisse prendre conscience de que je suis une valeur. Il a commencé à développer le quatrième degré de la relaxation dynamique. Il est venu ici à Paris, à la Domus Medica. Il a présenté le quatrième degré à ses collègues médecins. Et à la fin de cette présentation, il y avait un collègue qui lui disait « Je ne comprends pas du tout. Comment nous pouvons corporaliser, c'est-à-dire comment nous pouvons somatiser l'effet d'être valeur ? » Il a dit « Écoutez, c'est une réponse très saine. » Entraînez-vous et nous allons parler d'ici à quelques temps. Et c'était bien fait. Il a commencé à s'entraîner et après un temps il a dit écoutez docteur Caicedo, maintenant je comprends ce que c'est se sentir précieux, sentir que je suis une valeur, je suis de la valeur. Je peux aussi développer les valeurs qui se trouvent en moi. Parce que ce n'est pas qu'en sophrologie nous allons ajouter des capacités qui ne se sont pas en soi. J'aime beaucoup le mot découvrir, dévoiler, parce que tout est en soi. Le fait, c'est le dévoiler, l'amener au moment présent, parce que nous sommes tous une valeur. Alors, avec cette introduction, j'ai proposé surtout la pratique, parce que c'est la pratique qui laisse une vivance, qui laisse une expérience, qui après nous allons nous rappeler, peut-être, de tous les concepts que nous avons partagés maintenant. Nous allons nous rappeler d'ici à quelques jours, semaines, mois, mais la pratique, c'est celle-ci qui nous laisse une véritable trace. J'expliquais en quoi consiste. Ce que nous allons faire, c'est donc faire un extrait du premier degré avec une sophronisation des bases, des bouts. Nous allons nous relaxer de la tête aux pieds en position debout. Donc les personnes qui ne se sont jamais... D'abord, je vais l'expliquer, après nous allons le faire ensemble. Alors, les personnes qui ne se sont jamais... Donc relaxer en position debout, c'est très facile, c'est-à-dire avec les jambes légèrement écartées, les épaules légèrement en arrière, une prise de conscience de la forme de notre corps en étant debout, c'est-à-dire une prise de conscience de nous-mêmes en position debout. Mais pas seulement ça, ce que nous allons faire ce sont des mouvements pour activer la présence du corps. Et alors nous allons faire une activation du côté droit de notre corps. Nous allons appuyer le poids de notre corps vers la jambe droite. Nous allons lever le bras droit à la verticale. Nous allons fermer le poids. Nous allons inspirer. Faire une rétention, une tension agréable de la moitié droite de notre corps. Et après, nous expulsions et les bras reviennent à sa position initiale. C'est une stratégie pour sentir plus la présence de la moitié droite de notre corps. La même chose, nous allons faire avec le côté gauche. Nous allons déplacer les bras Ausha la verticale. Inspiration, rétention, tension. Expulsion, relax, convoyer. Ce sont des exercices très simples. Si vous avez mal au dos, à la nuque, à l'épaule, donc ou pas faire l'exercice ou le faire plus doucement, bien sûr, c'est tout à fait adaptable à notre réalité objective. Et à la fin, nous allons le faire avec les deux bras, une tension de tous les corps, expulsion, relax. Et après, le plus important, c'est le moment dans lequel nous nous asseyons. Parce que plus que dans l'activation, c'est dans le moment de la pause. où nous allons laisser la sensoperception, c'est-à-dire nous allons laisser que ces sensations de la présence de notre corps soient de plus en plus conscientes, la présence de notre corps dans la conscience. Qu'est-ce que j'ai activé ? Comment je vais devenir de plus en plus avec une perception fine de la présence de mon corps ? Et dans ce moment-là, nous allons vivre au moment d'inspirer l'air des... sensations, sentiments positifs qui vont se renforcer avec les suivants exercices que nous allons extraire de la deuxième degré de la relaxation dynamique, que c'est la présence de l'esprit. Comment nous allons le faire ? Pour être avec ce niveau de conscience un petit peu plus haut, nous allons changer de posture et nous allons nous asseoir dans la moitié de la chaise. Dans cette posture, le système réticulaire activateur s'active on a la tendance d'être beaucoup plus attentif, plus que si on serait très confortable dans la chaise, à la fin de la journée, si on a la tendance de diminuer le niveau de l'attention. Cette posture nous aide à monter le niveau de notre attention. Et dans cette posture, nous allons nous projeter vers notre futur positif réel. Par exemple, l'été, si vous aimez bien. ou à la fin de l'année, si vous savez bien, ou les prochaines vacances, ou quand vous voulez. C'est-à-dire, chacun de soi, nous allons choisir un moment que nous aimons bien de notre vie réelle. Et c'est important de dire de notre vie réelle, parce que je n'avais pas dit à une patiente, elle s'imaginait au Bahamas en train de... Je dis non, non, non, non, non. Ce n'est pas nécessaire d'aller au Bahamas pour être heureux. Nous allons nous imaginer dans notre vie réelle, ou tout seul, ou en compagnie de cette recherche. Très bien, j'aime beaucoup me balader sur la plage, parfait. Non, non, j'aime beaucoup être dans la salle de séjour de ma maison avec mes enfants. Très bien, chacun de soi avec sa propre réalité. Très bien, alors nous sommes dans le futur. Et là, nous allons donc, une fois que nous avons somatisé, faire une pause phonique en posture de deuxième degré pour intégrer cette vivance. Et nous allons donc finir. Donc nous voyons corps, esprit, somatisation, pose pour vivre cette expérience. Je vous invite maintenant à les vivre et nous allons nous placer en position debout, s'il vous plaît. nous nous plaçons en position debout avec les jambes légèrement écartées les épaules légèrement en arrière nous fermons les yeux et

  • Speaker #1

    avec les yeux fermés le corps relaxé conscience de la forme de notre visage et de notre tête en train de se relaxer la forme de notre nuque et notre cou sans tension nous relâchons les épaules les bras les avant-bras les mains à agréable présence des mains et à chaque inspiration. Sentiment de tranquillité, nous relâchons le thorax, le dos, d'aout en bas et nous prenons conscience de notre respiration douce, calme, au niveau abdominal. À chaque inspiration, agréable dilatation de notre abdomen. À chaque expiration, l'abdomen revient à sa position initiale. Sensation de tranquillité. La forme.

  • Speaker #0

    De la moitié inférieure de notre corps,

  • Speaker #1

    les bas ventres, les jambes, les pieds. En train de se relaxer en position verticale. Présence de notre corps dans la posture. Et avec cette agréable présence,

  • Speaker #0

    nous allons l'activer. Nous appuyons le poids de notre corps vers la jambe droite et avec la respiration libre, nous lèvons le bras à la verticale, nous fermons le poids, nous inspirons, rétention, tension de toute la moitié droite de notre corps, expulsion, relax, en prenant conscience de notre mouvement,

  • Speaker #1

    le bras revient à sa position initiale, présence. de la moitié droite de notre corps. Nous déplaçons le poids de notre corps vers la jambe gauche et avec la respiration libre,

  • Speaker #0

    nous lèvons le bras à la verticale, nous fermons le poids, nous s'inspirons. Rétention, tension agréable de la moitié gauche.

  • Speaker #1

    Expulsion,

  • Speaker #0

    relax, doucement,

  • Speaker #1

    le bras revient à sa position initiale. Présence de la moitié gauche de notre corps.

  • Speaker #0

    Et nous centrons le poids au centre.

  • Speaker #1

    Et avec la respiration libre,

  • Speaker #0

    nous lèvons les deux bras à la verticale, nous fermons les poings, nous inspirons. Rétention de tension de tout notre corps, un peu plus. Expulsion, relax, doucement les bras reviennent à leur position initiale.

  • Speaker #1

    Et nous pouvons nous asseoir. ce sont les moments les plus importants les moments pour nos sensations pour nos perceptions toutes les sensations sont les bienvenues agréables présences de notre corps Et à chaque inspiration, nous laissons que les sentiments d'équilibre, des bien-être s'installent à nous. À chaque inspiration, agréable présence. Et pour renforcer cette présence, quelques moments pour prendre conscience de notre esprit.

  • Speaker #0

    Et pour l'activer,

  • Speaker #1

    nous allons changer de posture. Nous allons nous asseoir dans la moitié de la chaise,

  • Speaker #0

    avec les pieds bien plantés sur le sol, les mains sur les cuisses,

  • Speaker #1

    conscients de la forme de notre corps dans la posture. Le niveau de notre attention augmente. Et nous allons nous projeter. un moment positif de notre vie quand nous voulons une semaine un mois plusieurs mois quand nous voulons nous nous situons dans un endroit que nous aimons bien ou seuls ou en compagnie de cette recherche, en train de vivre un moment positif de notre vie, où nous sommes conscients, nous sommes conscients de nous-mêmes, Et nous nous sentons bien avec nous-mêmes, avec notre corps, avec notre esprit sérant. Et à chaque inspiration douce, sentiment de bonheur vital. de vivre ces moments consciemment dans ces circonstances agréables sentiments sentiments qui vont continuer à nous accompagner nous prenons conscience du moment présent relax relaxation en posture en appuyant le dos sur le dossier de la chaise quelques moments pour intégrer cette vivance de la présence de notre corps La présence de notre esprit qui se projette vers notre futur et à chaque inspiration, sentiment de paix, de bonheur vital. Nous allons laisser ce sentiment nous accompagner pendant le reste de la journée. Et avec cette agréable perception, nous allons nous préparer pour finir la séance.

  • Speaker #0

    Nous activons la confiance en nous-mêmes, l'harmonie corps-esprit.

  • Speaker #1

    Et l'espoir.

  • Speaker #0

    pour notre vie pleine de sens. Nous terminons en respirant profondément plusieurs fois, faisant quelques mouvements au niveau des orteils,

  • Speaker #1

    des mains, du visage, et en nous étirant librement.

  • Speaker #0

    D'abord doucement, après, avec un peu plus d'intensité, et toute notre corporalité. Nous donnons le temps nécessaire pour une complète récupération finale. Et maintenant, quand nous voulons, nous pouvons ouvrir les yeux. Et maintenant, normalement, on aurait donné le temps pour une phénoménalisation. pour la fin de la journée, si vous avez le temps d'en écrire, parce que cette description est très importante. Mais je voudrais finir avec quelques considérations avant les questions, dans lesquelles, après la fin de la description, comme on disait, il y a ce moment de sophroanalyse de la vivance qui est fait par un sophrologue, une sophrologue, qui va demander comment c'est passé. Quelles seraient les caractéristiques ? du sophrologue. D'abord, d'avoir vécu toute la méthode. C'est-à-dire, le sophrologue a vécu un cher même la méthode dans sa totalité. Donc, le sophrologue va avoir la capacité de regarder, contempler le sophronisant avec tout son être, avec ses valeurs. Il va avoir cette attitude positive, proactive, qui va faire la capacité d'écoute de ce que le sophronisant est en train de dire. Il va aussi lui proposer, par exemple, dans cette technique, si le sophronisant lui dit écoutez, c'était difficile d'être relaxé en position debout. Alors il va lui dire, écoutez, vous pouvez faire la pratique en position assise d'ici à la semaine prochaine quand nous allons nous voir. Peut-être la semaine prochaine quand il retourne, il dit, écoutez, pour moi, m'imaginer dans le futur était très, très difficile à cause de... Alors le sophologue va dire, bon, je adapte, j'écoute et je vais proposer de toutes ces plus de 60 techniques que je connais, celles qui sont à votre mesure. Donc c'est l'art de s'adapter à la personne et pas la personne à la méthode. C'est-à-dire que la méthode est faite pour la personne. Nous allons continuer. Deux mots sur la science. Nous allons parler surtout sur la pratique, mais deux mots sur le côté scientifique de la sophrologie. Nous allons continuer. Bien sûr, nous faisons de la recherche. Nous faisons de la recherche que nous appelons qualitatif et quantitatif. Qualitatif, c'est l'étude des phénomènes de description. C'est la plus importante. est la plus difficile. Il y a une personne qui coordonne cette recherche qui est justement ici dans cette salle, Jacques Aurillon, de Sofro-Locaïcidien, co-directeur de l'école en Belgique, dans laquelle nous avons fait un groupe de recherche qualitative pour étudier comment sont l'efficacité des phénomènes d'inscription par rapport à beaucoup de personnes. Parce que d'un côté, nous faisons la recherche avec nous-mêmes, mais de l'autre côté, nous étudions. beaucoup de fenêtres de description pour voir où se trouvent les commandes dénominateurs dans la même technique. Et l'autre, c'est la recherche quantitative que nous menons aussi avec des études expérimentales. Donc, c'est à la base du Conseil scientifique de la sophrologie dont la mission, c'est de réunir plusieurs personnes. Nous avons maintenant 20 membres qui sont des médecins, mais aussi des professeurs de philosophie, des chercheurs, avec lesquels Et ce que nous faisons, c'est faire de la recherche scientifique pour démontrer l'efficacité de la sophrologie. Nous allons montrer maintenant deux études que nous avons faites, même s'il y a beaucoup plus d'autres. Nous allons passer à l'autre transparence. Il y a ici une des études que nous avons faites avec l'Université autonome de Barcelone qui démontre l'efficacité de la sophrologie par rapport à des personnes qui ont des problèmes d'insomnie chronique. Donc, ce que nous avons fait, c'est prendre un groupe qui fait la sophrologie. et les recommandations de l'hygiène du sommeil par rapport à notre groupe qui fait seulement les recommandations de l'hygiène du sommeil. Et ce que nous avons démontré, c'est que si nous voyons ici, à gauche, c'est le groupe contrôle, c'est-à-dire ceux qui n'ont pas fait la sophrologie. À droite, c'est le groupe intervention avec la sophrologie. Donc, les problèmes de sommeil étaient améliorés, pas seulement à la fin de ces cinq semaines d'intervention, mais aussi trois à six mois après, étaient encore mieux et mieux. Ça veut dire que la vivance laisse beaucoup plus de traces que les recommandations théoriques. Si les personnes pratiquent, elles continuent à avoir une amélioration de leur qualité de sommeil. La même chose avec un autre groupe que nous avons fait avec un taux d'anxiété qui était très élevé. Nous avons pris ces personnes, une étude que nous appelons prospective, randomisé, contrôlé, dans laquelle il y avait des personnes qui faisaient des stratégies par rapport à la gestion du stress. et l'autre groupe qui fait la sophrologie. Nous avons fait des mesures par rapport aux résultats et nous pouvons voir, grosso modo, ici nous voyons le groupe sophrologie de couleur bleue, avec les différents tests que nous avons faits pour mesurer le taux de l'état d'âme, le taux d'anxiété. Ça s'appelle le STI et le HAD. Nous pouvons voir comment tantôt dans l'échelle d'anxiété comme de dépression, la chaîne de STI, la sophrologie, les personnes qui pratiquaient la sophrologie ont une différence significative par rapport au niveau de l'incité, par rapport à l'amélioration de l'état d'âme que les personnes qui pratiquaient pas la sophrologie. Ce sont des travails qui sont publics que vous pouvez chercher dans les différentes publications que nous avons faites. Et bien sûr, la recherche continue, il y a pas mal de publications que vous pouvez trouver dans le comité scientifique de la sophrologie facile à avoir accès. Pour finir, donc, nous pouvons dire que la méthode qu'a été faite. Merci. Elle est basée sur la phénoménologie, comme vous avez vu, c'est la méthode de recherche de la conscience. Elle utilise des techniques qui ont à voir avec le corps, l'esprit, bien sûr, le tout que nous sommes. L'importance des vivances, c'est-à-dire toujours quand il y a un rendez-vous avec un sophrologue ou avec un groupe, il y a toujours la pratique, la vivance, c'est ce qui transforme, la répétition. L'adaptabilité, c'est-à-dire c'est la méthode qui s'adapte à la personne. Il y a des techniques très courtes pour des personnes qui n'ont pas beaucoup de temps à la pratique. Il y a des techniques qui sont très longues. Quelquefois, quand nous faisons le master, nous nous réunissons avec des personnes qui pratiquent quelquefois plus d'une demi-heure ou quelquefois plus d'une heure. C'est un luxe de le faire. Et bien sûr, nous pouvons faire l'application au niveau individuel ou en groupe, comme nous faisons de le faire maintenant. Les caractéristiques, c'est psychocorporel. Nous prenons conscience du temps, passé, présent, futur. et bien sûr la conscience axiologique, axios en grec, ça veut dire valeur. Les valeurs sont très importantes pour la sophrologie. Les applications, donc il y a des applications. Si au commencement la sophrologie était seulement pour le corps psychiatrique après médical, maintenant nous voyons des applications dans le sport, dans l'éducation, dans la santé, dans l'entreprise, dans le social. Mais pour cela, nous voyons que, si, nous allons passer, il y a... Un Sofrocaille, maintenant, un mouvement énorme. Il y a plus de 7000 personnes qui ont obtenu le master, plus de 1500 étudiants en formation toutes les années, 1000 membres actifs, 40 écoles de formation sur les trois continents, plus de 100 formateurs et tuteurs qui accompagnent les élèves chaque année 200 nouveaux Sofrocailles cédés. Nous avons développé les éditions Sofrocailles pour connaître la sophrologie. tous, mais aussi pour les personnes qui apprennent le master, mais aussi pour les enfants. Une collection qui est dédiée à la prise de conscience des émotions dans la jeunesse. Et nous sommes toujours en formation permanente. Ici, c'était un des congrès que nous sommes. Cette année, nous serons dans le septième congrès mondial de la sophrologie qui va fêter les 65 ans dès le commencement de la sophrologie. Nous sommes toujours des invités exceptionnels. Marcel Ruffaut, Frédéric Lenoir, Christophe André, Charles Pépin, Nicole Cattelin, etc. Mais si vous avez des doutes, parce que le temps est très court, je vais vous présenter Nelly Sebon. Elle est sophrologue caïcédienne, elle est orthophoniste, elle est la directrice de l'Institut Caïcédo France, dans lequel il y a ici une section à Paris, mais dans d'autres villes de France. qui sera ici toute la journée pour répondre à vos questions, en cas où c'est nécessaire. Bon, maintenant, je crois que j'ai accompli le temps. Et si vous avez des questions, si vous avez des suggestions, si vous avez des commentaires, avec beaucoup de plaisir, nous sommes ici maintenant. Et sinon, pendant toute la journée, vous allez avoir Nelly pour vos questions. D'accord, une question.

  • Speaker #2

    Merci beaucoup, ce n'était pas une question, c'était comme, moi j'ai été certifiée du coup par cette école. que je voulais vraiment en 2011. Et donc, du coup, c'est pour moi cette école qui venait de la base et des origines. Et je voulais vraiment avoir une école qui soit la plus ancrée vraiment dans la vie populaire et dans la vraie vie et dans la vraie vivance. Et donc, voilà, je suis ravie d'avoir été certifiée par cette école. Merci beaucoup.

  • Speaker #0

    Merci à vous. Bon, une autre question. Bien sûr, je suis habituée à l'horaire espagnol. Normalement, on aurait mal à manger un peu plus tard, mais je crois que vous avez faim. Donc, nous serons ici aussi pendant le repas et avec beaucoup de plaisir. Les personnes qui veulent aussi parler avec moi, ce moment sera un plaisir. Sinon, bien sûr, avec Nelly pendant toute la journée. Donc, merci à vous. Bon appétit et à tout de suite. Bonjour. and that's when we get to the point where we can see these people. So we need to have a vision of not just a small house, but a small house that's more of a map. And that's when we do it. So we need to have a vision of what we're doing.

Share

Embed

You may also like