Speaker #0C'est comme avoir une coche business dans votre poche, prête à vous donner le petit coup de pouce ou le botage de fesses dont vous avez besoin. Alors, installez-vous confortablement et c'est parti pour l'épisode du jour. Lorsque j'ai créé cet épisode de podcast, j'ai réfléchi à deux choses. La première, c'est la question que je me suis posée. Quelles sont les cinq leçons qui pourraient servir, qui pourraient aider des personnes qui sont au début de leur activité ou alors en phase de croissance ? Cinq leçons que moi, personnellement, j'aurais aimé entendre. au début de mon activité, quand je me suis lancée. Et cinq leçons qui serviraient à toute personne qui, aujourd'hui, souhaiterait développer un business en 2025. Et ensuite, la deuxième chose à laquelle j'ai pensé, c'est quelles sont les cinq leçons que j'aimerais partager avec des entrepreneurs beaucoup plus aguerris, qui sont là depuis plus longtemps, et qui auraient aimé qu'on leur transmette ces leçons pour ne pas avoir à vivre les erreurs, les situations, à faire les conneries que j'ai pu faire, et qui les aideraient à vivre l'entrepreneuriat avec plus d'efficacité, plus... de sérénité aussi. Et c'est un peu comme ça que j'ai construit cet épisode parce que pour moi, la période juin-juillet est toujours une période un petit peu particulière avec The Beboost. Ça marque mon année d'entrepreneuriat. Je me suis lancée en freelance au mois de juin 2014, donc ça fait maintenant 11 ans. Donc ça fait 11 ans que je suis entrepreneur et The Beboost a vu le jour en juillet 2018. Donc ça fait maintenant 7 ans, 7 années, dont 6 à temps plein. Donc juin-juillet, c'est un peu mon entrepreneurialiversaire, si je puis dire ça comme ça. et aujourd'hui je voulais vous partager les leçons que j'en retire, les leçons que je donnerai à la Aline de 2014 si elle devait se relancer aujourd'hui, mais aussi les leçons que j'aimerais partager avec tous les entrepreneurs en leur disant « faites pas les mêmes conneries que moi, voilà la leçon qu'il faut retenir, je vous épargne tout le reste » . Donc, commençons avec les cinq leçons que j'adresse à des personnes qui sont en train de se développer ou qui veulent se développer en 2025, leçons qui m'auraient aidé à gagner tellement de temps si je m'étais lancée en ayant ça en tête à l'époque. Il y a deux grandes compétences que vous pouvez slash devez apprendre quand vous êtes entrepreneur, qui sont les compétences qui vont tout guider et dont tout va découler, que ce soit votre chiffre d'affaires, votre niveau de réussite, votre niveau de bonheur, etc. La première de ces compétences, c'est tout ce qui est marketing et communication. Je sais que ce n'est pas sexy, mais c'est vraiment les compétences qui vous aident à vous vendre. Si vous savez vous marketer, si vous savez communiquer, vous n'aurez pas de soucis pour trouver des clients. C'est triste à dire, mais en 2025, faire du bon boulot, c'est secondaire. parce que... vos clients ne peuvent pas savoir que vous faites du bon travail avant de travailler avec vous. Le problème, c'est que s'ils ne décident pas de travailler avec vous, ils ne pourront jamais le savoir. Donc, juste dire je suis trop fort dans mon domaine, je suis trop fort dans ce que je fais, c'est important, bien évidemment. Mais en fait, ça ne suffit pas à vendre. Ça ne suffit plus à vendre. Donc, marketing et communication, première grosse, grosse compétence à avoir quand on est entrepreneur et qu'on veut se développer. Ça ne sert à rien d'essayer de l'éviter. Vous allez y passer au bout d'un moment. Deuxième compétence à avoir, c'est... tout ce qui est autour du mindset et plus particulièrement de la posture. Confiance en soi, écoute active, professionnalisme, avoir un capital sympathie. Vraiment, aujourd'hui, c'est devenu indispensable. Et je pense que tout entrepreneur qui débute devrait, un, suivre une grosse formation en marketing slash business. Ça peut être la BSB Academy, donc mon programme à moi, ou une toute autre formation. Et deux, faire un coaching ou une thérapie. C'est comme vous voulez et en fonction de ce dont vous avez besoin. Mais faire un coaching, un accompagnement sur toutes les questions de ... confiance en soi, de posture, de mindset, de leadership, parce qu'en fait, ça va vous débloquer énormément, énormément de choses. Donc, première leçon, deux compétences à développer le plus vite possible et sur lesquelles tout miser. Un, marketing, communication. Et deux, tout ce qui est posture, mindset, etc. Deuxième leçon que je donnerai à la Aline de 2014, si elle devait se relancer en 2025, c'est de développer un média. Développer un média, c'est le meilleur moyen de développer une autorité et une expertise. extrêmement rapidement sur votre marché, vous rendre visible, attirer des clients, attirer des opportunités. Et aujourd'hui, toutes les entreprises, petites ou grosses, ont un média, prennent la parole sur les réseaux sociaux. Ce que j'appelle un média, ça peut être une chaîne YouTube, ça peut être un podcast, ça peut être un blog, ça peut être juste avoir des réseaux sociaux sur lesquels vous êtes particulièrement actifs. Mais aujourd'hui, être un freelance sous-marin et essayer de tout faire sauf communiquer en pensant que les clients arrivent par la prospection, par le bouche-à-oreille, ça va fonctionner. pendant un temps, mais quitte de si un jour, tout s'écroule, si un jour, vous perdez tout. Avoir un média, pour moi, c'est un investissement, c'est la construction d'un capital dans votre entreprise. Ce qui fait que quand vous avez un média, quand vous avez une plateforme, même un réseau social, sur laquelle vous vous exprimez, vous ne partirez jamais de zéro. Même si demain, vous perdez tous vos clients, même si demain, vous pivotez, même si demain, vous changez de carrière, vous ne recommencerez plus jamais de votre vie à zéro. Et c'est trop important. Donc, pas besoin d'être... partout, pas besoin de tout faire, pas besoin d'ouvrir podcast, blog, chaîne YouTube de tout faire, tout faire, tout faire. Ça ne fonctionne pas. Par contre, choisir une plateforme, un format, un médium, se développer dessus, biais d'autorité, biais d'expertise, visibilité, plus de clients, capital business, 100% je recommande. Et je sais qu'aujourd'hui, le podcast Je peux pas, j'ai business, qui est un de mes médias, j'ai aussi le compte Instagram, j'ai la chaîne YouTube, mais c'est surtout le podcast Je peux pas, j'ai business. Ça a eu un effet boule de neige incroyable, déjà pour... m'aider à trouver des clients en premier lieu. Mais même au-delà de ça, ça m'a aidé à décrocher des opportunités, à contacter des personnes auxquelles je n'aurais jamais eu accès en temps normal, à pouvoir collaborer, à décrocher d'autres opportunités, d'autres moyens de monétiser aussi mon expertise, mon savoir-faire autrement que juste en faisant du coaching business, en faisant des conférences, en faisant des interventions, en faisant du sponsoring. Et aujourd'hui, le podcast Je peux pas, j'ai business est quasiment un business à l'intérieur du business et c'est un média qui représente aujourd'hui une partie du capital de l'entreprise The Beboost. Troisième leçon que je pouvais vous partager, c'est le positionnement et votre niche sont absolument primordiaux. Pareil, je sais que c'est le discours que vous n'avez pas envie d'entendre, que vous en avez marre d'entendre ou vous êtes un peu hésitant par rapport à ça, en mode est-ce qu'il faut vraiment se nicher, est-ce qu'il faut vraiment se positionner, etc. La réponse est oui, mais vraiment, mille fois oui. Ne passez pas outre cet exercice, ne le prenez pas à la légère et surtout, surtout, surtout, ne tombez pas dans le piège d'être soit trop large, soit trop niché. Donc, positionnement et niche, c'est vraiment les exercices sur lesquels ça vaut le coup de passer un maximum de temps. Parce que c'est là où vous allez trouver le marché qui vous fait kiffer, le marché où il y a un besoin, le marché où il y a de l'argent, le marché où il y a des clients qui ont envie d'acheter chez vous. Ça vaut le coup et c'est aussi comme ça que vous allez pouvoir vous différencier. Et pour tous ceux d'entre vous qui se disent, bah oui, mais du coup, comment je fais Aline ? Donne-moi une méthodologie. J'ai enregistré un épisode de podcast qui s'appelle littéralement « La méthode pour définir son positionnement » . une bonne fois pour toutes. C'est l'épisode 211 de ce podcast. Il faudra scroller un petit peu en arrière, mais je vous mettrai le lien dans la description de cet épisode. Quatrième conseil, vous êtes votre premier client. Avec votre business, vous êtes votre premier client et quand vous ne le comprenez pas, c'est l'autoroute directe vers l'épuisement, le burn-out, la perte de sens, etc. Dites-vous que quand vous lancez votre business, vous avez déjà un client. C'est vous. Qu'est-ce que ça veut dire ? Ça veut dire qu'il est nécessaire que vous preniez du temps pour vous, aussi bien du temps pro que du temps perso. Aussi bien du temps pour vous en tant que chef d'entreprise que du temps pour votre business. Prendre du temps pour vous en tant que chef d'entreprise, c'est gestion de votre énergie, de votre sommeil, équilibre pro-perso, développement de vos compétences, que ce soit des compétences plutôt mindset, donc des soft skills, que des compétences hard skills, donc des savoir-faire, continuer à vous former, etc. Il faut consacrer du temps à ça. Et c'est aussi consacrer du temps à votre business, des temps pour bosser sur votre stratégie, des temps pour... vous développez des temps pour créer du contenu, vous êtes votre premier client. Il faut qu'il y ait un créneau dans votre agenda, réservé pour le développement de vous et de votre entreprise, quelle que soit votre phase de croissance, que vous soyez grand débutant ou alors que vous soyez là d'implémenter depuis beaucoup plus longtemps. Encore une fois, je le disais tout à l'heure, c'est pour moi votre capital business que vous développez depuis le premier jour de votre entreprise et plus vous allez investir en ce capital business, plus vous allez construire quelque chose de solide et que si un jour vous avez... besoin ou envie de repartir de zéro, ce ne sera jamais un vrai départ à zéro. Et ensuite, j'arrive à ma cinquième leçon. Les cinq leçons pas débutantes parce que ce serait un terme un petit peu dénigrant mais en tout cas cinq leçons pour tous les entrepreneurs. Celle-ci, elle va piquer, je pense, des égaux, mais c'est une offre. Suffit pour commencer. Vous n'avez pas besoin d'avoir plusieurs offres. Vous n'avez pas besoin de développer plein de choses en simultané. Vous n'avez pas besoin d'avoir 50 000 packages, solutions, etc. Et en fait, si je regarde mon propre parcours, j'ai généré aujourd'hui plus de 5 millions d'euros en 6 ans avec The Beboos, 6 ans que j'y travaille à temps plein. Et très honnêtement, c'est à 90% via une seule offre qui est la BS Back Amy. Vous avez besoin uniquement d'une seule offre que vous allez développer ce qu'elle est encore et encore et encore. Et attention, une seule offre veut dire aussi potentiellement plusieurs packages. Quelqu'un qui serait aujourd'hui rédacteur web, il peut avoir plusieurs offres de rédaction. Mais il n'y a pas de la rédaction web et du SEO et du machin-ci et du community management, etc. Parce que là, en fait, vous vous éparpillez. Commencez avec une seule offre que vous pouvez, encore une fois, décliner en plusieurs packages. et encore, pas obligé, mais si vous le souhaitez, et itérer, itérer, itérer, parce que c'est comme ça que vous allez créer de la croissance. C'est comme ça que vous allez vous positionner aussi. C'est comme ça qu'on va vous recommander. VS, commencez à s'éparpiller, à vouloir créer plein d'offres différentes. Et je vais même aller encore plus loin dans mon analyse. Quand je vois des personnes qui se mettent à créer plein, plein, plein d'offres différentes, souvent, c'est parce que leur offre principale ou leur première offre ne fonctionne pas. Et que plutôt que de se dire, est-ce que c'est parce que mon offre n'est pas adaptée à un marché ? Ou alors est-ce que c'est parce que mon marketing, ma communication n'est pas suffisamment bon ? C'est des personnes qui disent « Ah mais je vais créer une autre offre et une autre offre, comme ça je vais avoir un écosystème, comme ça si ce truc-là ça ne marche pas, je mets le truc sur le tapis, je n'ai pas besoin de me poser la question de pourquoi ça ne marche pas et je passe directement à autre chose. » Sauf que bien souvent, l'autre chose, on a le même résultat, parce que soit c'est qu'on n'a pas capté les besoins de son marché, mais auquel cas, même créer une nouvelle offre, ça ne veut pas dire que ça va mieux fonctionner. Soit qu'on sait pas se vendre, pas se marketer, et auquel cas, on a beau créer toutes les offres du monde, Toujours pas les marketer correctement. Une seule offre, ça suffit largement pour commencer, pour faire sa croissance, pour faire du chiffre d'affaires. Et il est beaucoup plus intéressant d'aller itérer sur cette offre jusqu'à soit comprendre ce qui fonctionne vraiment, soit comprendre pourquoi ça ne fonctionne pas et auquel cas, effectivement, on peut la faire pivoter. Et c'est là qu'on a la vraie croissance. OK, et à présent, passons aux cinq leçons un petit peu plus avancées, qui sont les leçons que j'ai apprises peut-être ces deux, trois dernières années et où je me dis si je pouvais éviter à des entrepreneurs... comme moi, de passer par les épreuves, les challenges, les conneries que j'ai faites aussi pour pouvoir en retirer ces leçons-là. Alors je vous offre ce raccourci avec grand plaisir. Notre sixième leçon, c'est oui, le marché devient plus difficile. Oui, bien sûr, le marché devient plus difficile. Il faut qu'à un moment, quelqu'un le dise. Alors oui, bien sûr, il faut se renouveler. Oui, bien sûr, il y aura toujours des opportunités. Je suis d'accord avec tous ces discours. Mais le fait est que le marché devient de plus en plus difficile. Parce qu'il y a de plus en plus de monde. Parce que les audiences, toutes audiences confondues, sont de plus en plus éduquées, de plus en plus expertes, ce qui veut dire qu'elles se lassent plus vite et qu'elles sont plus exigeantes. Donc forcément, c'est plus difficile après de vendre. On a des avancées technologiques comme l'IA qui rebattent totalement les cartes, qui vont faire, je pense, sauter certains métiers et qui vont aussi nous obliger à repenser notre manière de travailler. On a aussi aujourd'hui une situation économique qui est loin d'être simple, avec un climat qui est assez anxiogène, les gens ont peur, ne dépensent plus pareil, etc. Pourquoi je vous dis tout ça ? C'est parce qu'au bout d'un moment, oui, le marché se complexifie, mais c'est normal. Si on regarde d'un point de vue historique, géopolitique, etc., un petit peu tout ce qui s'est passé ces 100 ou 200 dernières années, en fait, il y a toujours eu des crises, il y a toujours eu des événements politiques, des événements économiques qui ont fait que le marché était tantôt en hausse, tantôt en chute, il y a toujours eu des challenges. En fait, l'idée, ce n'est pas de se dire non, le marché n'est pas en crise, c'est juste qu'il faut savoir se vendre et se différencier. Non, mais il n'y a pas que ça. Mais le fait de savoir, c'est aussi de se questionner, OK, comment est-ce que je gère mon business en période de croissance, quand tout va bien, en période faste ? Et comment est-ce que je gère mon business en période de crise ? Parce qu'on ne gère pas un même business, on ne communique pas pareil, on ne fait pas le même marketing, la même innovation, le même accompagnement client, qu'on soit en période faste, où tout va bien, où tout se vend, et où en période de crise. Donc, regardons la réalité en face et adaptons-nous. Le marché est de plus en plus difficile, mais ça ne veut pas dire que vous ne pouvez pas vendre. Chaque jour, on voit des entrepreneurs qui explosent, des entreprises qui cartonnent. même dans la période actuelle, ce qui est bien la preuve que c'est toujours possible de vendre. Je ne suis pas en train de vous dire si vous ne vendez pas, ce n'est pas votre faute, mes pauvres petits choux. Non, pas du tout. Par contre, je suis en train de dire, regardons la réalité en face. Pour moi, cette fameuse réalité, c'est qu'aujourd'hui, vos compétences upfront, c'est-à-dire toutes les compétences que vous allez devoir déployer avant qu'on achète chez vous, deviennent plus importantes que vos compétences métier ou vos compétences... back front ou front end, il n'y a pas de mauve vocabulaire pour ça. En tout cas, les compétences que vous devez déployer avant que les gens achètent chez vous sont aujourd'hui primordiales. C'est le marketing, c'est la communication, c'est la visibilité, c'est votre personal branding, tout ce qui va faire que les gens vont acheter chez vous. techniquement parlant, c'est la seule chose qu'ils vont voir de vous avant d'embarquer dans votre univers, avant d'acheter votre offre, votre produit, votre prestation, etc. Donc soignez encore plus ces compétences-là, c'est comme ça que vous allez tenir le coup dans des périodes un petit peu plus compliquées, plutôt que de se dire je vais tout miser sur mon expérience client Ausha ou mon expérience client post-accompagnement ou alors mon expertise métier. Bien sûr qu'il faut continuer à se former, mais à choisir, je préférerais... aujourd'hui que vous vous formiez sur marketing, vente, communication, visibilité plutôt que sur une nouvelle technique ou plutôt que sur comment est-ce que je peaufine mon expérience client une fois qu'il a terminé mon accompagnement après trois mois passés ensemble. C'est important mais est-ce que c'est la priorité en ce moment ? Je vous laisse trancher. J'arrive à ma septième leçon. Pareil, celle-ci elle va peut-être piquer certaines personnes mais à un moment il faut le dire parce que moi c'est un truc qui m'a beaucoup déculpabilisé. Les autres ne sont jamais jamais aussi successful aussi, avec autant de réussite, de succès, que vous voulez bien le croire. S'il y a un truc que j'ai appris ces six dernières années, j'ai rencontré énormément d'entrepreneurs, des personnes que j'admirais et que j'admire toujours aussi d'ailleurs. Et en fait, à chaque fois, quand on parle avec ces personnes, déjà on se rend compte que ce sont des êtres humains comme n'importe lequel d'entre nous, mais surtout, en fait, il y a toujours des explications. Dans le sens où il y a des gens qui disent « Ouais, là j'ai fait un mois à 100 000 euros. » Et en fait, quand tu parles avec lui, on se rend compte que c'est juste qu'il a fait un lancement qui lui a rapporté 100 000 euros dans le mois, mais que derrière il va devoir délivrer pendant 6 mois, et que finalement ces 100 000 euros sont lissés sur 6 mois. C'est pas comme s'il faisait 100 000 euros tous les mois. Ou des personnes qui ont dit, ouais j'ai été publié dans tel magazine, et en fait on se rend compte qu'il a payé pour cette publication parce que c'est du public postage. Et encore une fois, le but de mon propos c'est pas de pointer du doigt certaines pratiques parce que ces gens ont raison de faire ça. Je répète, ces gens ont raison de faire ça, c'est le but du marketing, c'est le but du game. C'est le but de se mettre en avant et de construire son personal branding et sa marque sur les réseaux sociaux. Donc, c'est OK de faire ça à partir du moment où on ne ment pas. L'idée, ce n'est pas de mentir, bien évidemment, mais moi, je respecte toutes les pratiques marketing à partir du moment où les personnes sont honnêtes et à partir du moment où ça leur ressemble. Par contre, pourquoi est-ce que je vous souligne ça ? C'est parce qu'en fait, on ne connaît jamais 100% de la vérité. Il y a des personnes qui disent « Ouais, je me suis pris un congé sabbatique de six mois. » Mais en fait, quand on... parle avec elle, on se rend compte que c'est parce que les parents ont donné un peu d'argent, qui ont permis de faire ça, mais c'est absolument pas la trésorerie de l'entreprise qui a permis de financer ça. Et que l'entreprise n'est pas forcément en si bonne situation financière que ça. Et en fait, quand on va creuser, il y a toujours des explications, et c'est jamais aussi beau que ça en a l'air. Et n'oublions pas que sur les réseaux tout particulièrement, déjà, chacun d'entre nous joue le jeu du marketing et c'est ok, encore une fois, moi je suis pour ça. Mais c'est surtout, en fait, on ne me présente qu'une partie de la vérité, parce que dans un post, il y a une limite de caractère. Dans un carousel, on peut mettre 20 photos. Et qu'évidemment, on ne peut pas être exhaustif et tout dire. Et il y a plein de choses où je me dis, même moi, je vous dis plein de choses. Je vous transmets beaucoup de choses sur les réseaux sociaux. Je suis assez transparente dans ma communication. En tout cas, j'essaye de l'être. Mais en fait, il y a plein de choses que vous ne connaissez pas de moi, que ce soit dans ma vie pro, dans ma vie perso, dans tous les petits instants que je vis dans mon business. Et donc, c'est des pièces du puzzle que vous n'avez pas. et que du coup vous créez dans votre tête en vous disant peut-être que la vie d'Aline allait comme ça, peut-être que la vie d'Aline allait comme ça. Et ça pourrait vous surprendre si vous étiez assis là en ce moment à côté de moi de la réalité du terrain, de vraiment ce qui se passe. Et vous vous dites, ah ouais, je ne pensais pas qu'elle était comme ça ou alors, ah ouais, je ne pensais pas que son quotidien ressemblait à ça. Parce qu'encore une fois, on projette et ce qu'on ne connaît pas, on le complète avec des projections personnelles qu'on a. Donc, pourquoi je suis en train de vous faire ce laïus et je suis en train de partir dans tous les sens, c'est vraiment pour vous dire attention et vous allez très vite vous en rendre compte. On projette toujours beaucoup sur les personnes qu'on admire, mais la vérité, elle n'est jamais celle qu'on s'imagine. Apprenez pas à douter de tout, mais apprenez à ne pas mettre les gens trop vite sur un piédestal, parce que déjà, il n'y a pas de raison. Tous les êtres humains sont égaux. Mais c'est surtout, vous allez comprendre qu'en fait, la vérité a de multiples facettes et que bien souvent, on ne veut bien nous en vendre qu'une ou deux. Encore une fois, c'est du marketing, c'est OK, mais il y a beaucoup de choses qu'on ignore et qu'on ne nous dit pas. Donc, ne mettez pas trop les gens sur un piédestal. J'en arrive à ma huitième leçon. Celle-ci, elle me concerne aussi tout particulièrement. Après les derniers mois que j'ai traversés, c'est ne craignez pas les périodes de down. Hier, j'étais en live avec les étudiants de la BSB Academy. En ce moment, je suis en live avec eux tous les soirs. Et il y a l'une d'entre elles qui partageait le fait qu'elle se sentait vraiment down en ce moment. Elle disait, mais Aline, est-ce que tu as des astuces, des stratégies pour pas que ça se sente sur les réseaux sociaux parce que je dois communiquer ? comment je peux faire pour aller mieux, etc. Et en fait, je lui partageais que les périodes de donne, il ne faut pas les craindre parce que tout le monde en a, ça fait partie de la vie, ça fait partie du business. On a tous des périodes de creux. Ça peut être des petites périodes de creux ou alors pendant quelques jours ou quelques semaines, à la limite, on ne se sent pas très bien, comme des très grosses remises en question qui peuvent durer plusieurs semaines ou plusieurs mois, qui sont particulièrement inconfortables. Mais ça fait partie de la vie. Des périodes où on perd du sens, C'est des périodes où... On se pose 50 000 questions, des périodes où on a du mal à poster sur les réseaux sociaux, des périodes où on a un énorme syndrome de l'imposteur, des périodes où des tâches qui avant nous faisaient plaisir, finalement ne nous font plus du tout envie, où on a tendance à vouloir tout envoyer balader. Et mon conseil là-dessus, c'est 1. C'est normal. lâchez prise et deux, ne cherchez pas à résister, ne cherchez pas à vous auto-flageller par rapport à ça, ne cherchez pas non plus à tout cacher parce que plus vous allez fuir, ignorer, résister à ça, plus ça va être dur de traverser ces périodes-là. Ce sont des périodes normales. Tout le monde, absolument tout le monde en traverse, vous allez en traverser. Si vous êtes en train d'en traverser une, ça va s'améliorer et il y en aura d'autres. Si vous n'en avez pas encore traversé parce que vous êtes au tout début de votre activité, que vous êtes encore... porté par ce beau momentum, profitez, mais ça vous arrivera un jour aussi. Bref, les périodes de down, ça arrive à tout le monde. Et ça va se refléter aussi sur vos bilans comptables. Il y a des années qui vont être moins bonnes que d'autres. Par exemple, pour moi, l'année 2024, c'est la première fois où mon bilan comptable avait un chiffre d'affaires inférieur aux années précédentes. J'ai toujours été en hypercroissance et là, un petit peu moins. Pas beaucoup, mais un petit peu moins. Mais c'est normal. Citez-moi une seule entreprise sur cette planète qui... tout au long de son existence, n'a jamais connu d'année un petit peu plus challengeante avec une baisse de chiffre d'affaires. Quand vous regardez toutes les grosses boîtes, même celles qui sont en bourse aujourd'hui, il y a toujours eu des années où les bilans étaient un peu moins positifs ou en tout cas pas en croissance par rapport aux bilans des années précédentes. Mais c'est normal. Et je pense vraiment que ces périodes down sont avant tout des signaux. Des signaux qu'il faut changer, s'ajuster. Soit parce que nous on change, soit parce que notre business change, soit parce que notre marché se lâche. La société dans laquelle on évolue change. Et donc, n'essayons pas de mettre ça sous le tapis, n'essayons pas de nous auto-flageller en disant « Oh là là, je suis down, ça ne va pas du tout, il faut que je retrouve du pep sur les réseaux sociaux, etc. » Juste, regardons la chose avec objectivité et curiosité, en nous demandant « Ok, c'est le signal de quoi ? Qu'est-ce qui est en train de m'arriver ? Qu'est-ce que j'ai besoin de changer, d'optimiser, d'ajuster, d'arrêter, de commencer, etc. » J'en arrive à ma neuvième leçon. Cette leçon m'a pris... deux ans de travail, j'espère que vous, elle vous en prendra un petit peu moins, mais c'est d'apprendre à détacher votre identité du business. Quand on commence, on est notre business. On mange, on boit, on respire notre business. Quand ça fonctionne, on est au top, on se dit qu'on est trop fort. Quand au contraire, ça ne fonctionne pas, on se dit qu'on est que des merdes, que c'est à cause de nous, qu'on est trop nul, qu'on aurait pu faire mieux, etc. Et c'est bien, parce que c'est l'énergie qui nous porte, c'est l'énergie qui nous aide à aller au-delà, en fait, et qui nous aide à... à se soulever des montagnes et à travailler et à donner tout ce qu'on a et avoir des résultats au final. Mais en fait, très vite, si on n'apprend pas à détacher notre identité de celle du business, on va se retrouver embarqué dans des tourbillons, des montagnes russes. J'ai un petit peu cette image de quand on va se baigner dans la mer et qu'on est emporté par un rouleau où là, on se sent complètement impuissant, balotté et on se dit mais quand est-ce que ça s'arrête ? Quand est-ce que ça s'arrête ? Et c'est un petit peu ça. Vous êtes votre business parce que vous l'avez créé, que vous le gérez, que vous le managez au quotidien, mais vous êtes aussi l'ancrage au sein de votre business. Et si vous vous laissez baloter par les vagues, par les tourmillons, les rouleaux de votre business sans pouvoir être au contraire le port d'ancrage que vous êtes censé être, alors c'est là où émotionnellement, physiquement, en termes d'énergie, et là je parle évidemment burn-out, etc., c'est là en fait que ça va commencer à devenir dangereux. Apprenez à détacher votre identité de votre business. Vous n'êtes pas votre business. Quand votre business va mal, ça ne veut pas dire que vous êtes un mauvais être humain, un mauvais entrepreneur ou que vous ne savez pas faire, vous avez fait mal les choses. Et à contrario, quand votre business va bien, ça ne veut pas dire que vous êtes tout puissant, que vous êtes trop un bel être humain de ouf qui est assuré. Vous avez le droit de vous saucer, bien évidemment, mais apprenez à détacher les résultats de ce que ça veut dire de vous. Ce n'est pas parce que votre business ne va pas bien, ne décolle pas, ne fonctionne plus, fonctionne moins. qu'un client n'est pas content, que ça veut dire que vous êtes un mauvais être humain, que vous êtes incapable, inutile ou indigne d'exister sur cette planète. Et le contraire est également vrai. Et j'en arrive à ma dixième leçon, qui est une leçon que j'adore, parce que je pense que ça a été une de mes prises de conscience de l'année dernière. Et depuis vraiment, elle me tourne en tête. Je l'adore. Je ne sais pas si on a le droit d'adorer une leçon, mais en tout cas, je l'adore. Cette leçon, c'est que les croyances qui vous font avancer au chapitre 1 sont celles qui vous entravent au chapitre 2. Les croyances qui vous font avancer au chapitre 1 sont celles qui vous entravent au chapitre 2. Par exemple, quand on se lance en business, on a souvent cette croyance de « je peux tout faire tout seul » . Et en fait, c'est vrai et c'est trop bien. Parce que le fait de vous raconter ça, vous allez vous challenger à tout faire. Et Dieu sait qu'en entrepreneuriat, on a plein de casquettes différentes. On doit faire l'administratif, on doit faire la vente, on doit délivrer, on doit faire notre prestation, on doit faire le marketing, on doit faire la communication, on doit faire notre mindset, etc. Et plus on croit qu'on peut tout faire tout seul, plus on a cette énergie qui nous drive et qui fait qu'on va tout faire tout seul. Donc ça, c'est le chapitre 1. Mais quand on arrive au chapitre 2, là où notre business explose, grandit, croit, commence à avoir un beau succès, est-ce que c'est toujours aussi positif de se raconter qu'on peut tout faire tout seul ? Absolument pas, parce que c'est le moment où on a besoin de déléguer, de faire confiance, de détacher notre identité de notre business pour se dire, mon business, ce n'est plus que moi. Maintenant, c'est une équipe et sans cette équipe, le business ne pourrait pas fonctionner. C'est une prise de conscience aussi que j'ai faite à titre personnel avec The Beboost, c'est qu'aujourd'hui, The Beboost ne pourrait pas exister sans mon équipe. Et c'est OK. The Beboost, ce n'est pas que Aline. Aujourd'hui, c'est toute une équipe. Il y a Lou, il y a Alexia, il y a Lucie, il y a Alexandra. Il y a plein de personnes qui bossent dans les coulisses quotidiennement. pour permettre au business de tourner comme il tourne. Je serais incapable, humainement, de le faire tourner toute seule aujourd'hui. Et c'est OK. Ça fait peur, c'est un peu vertigineux, mais c'est complètement OK. Autre exemple de croyance qui, à la fois, pousse et ensuite entrave, c'est, par exemple, il faut que je dise oui à toutes les opportunités. Parce que quand on est au début de notre entreprise, dire oui à toutes les opportunités, c'est lancer plein de spaghettis et voir ce qui colle au mur, voir là où ça débouche. C'est dire oui à des épisodes de podcast, c'est dire oui à des événements de networking, c'est dire oui à des collaborations, c'est tester plein de choses. Et c'est ça en fait qui fait que ça va fonctionner, parce qu'on aura dit oui à beaucoup de choses. Sauf qu'ensuite, quand on arrive dans notre chapitre 2, que notre business fonctionne, qu'on a plein de clients, qu'on a plein de demandes, qu'on a plutôt des problématiques de structuration, de croissance, de préservation de soi en tant que chef d'entreprise, est-ce que vraiment dire oui à toutes les opportunités, c'est le meilleur conseil pour la suite ? En fait, non, pas du tout. C'est même au contraire une croyance. qui pourrait nous entraver si on se sent obligé de dire oui à tout et à tout le monde. C'est des fuites d'énergie qui sont énormes au sein de notre business. Troisième exemple de croyances qui font avancer au chapitre 1, mais entravent au chapitre 2, c'est le « il faut travailler dur et ça va marcher » . Pareil, c'est ce qu'on disait tout à l'heure. Bien sûr que travailler dur au début, ça va créer un momentum de dingue dans votre business. Vous allez avoir une énergie de ouf et ça va générer des résultats. En tout cas, beaucoup plus rapidement. que quelqu'un qui va y aller tout doucement. Si au début de mon activité, je bosse deux heures par semaine sur mon activité ou si j'en bosse 60, j'aurai pas du tout, du tout les mêmes résultats. Par contre, encore une fois, on voit bien qu'au chapitre 2 de mon activité entrepreneuriale, de mon aventure, c'est une croyance qui va plus me desservir qu'autre chose. Et enfin, dernier exemple, mes clients doivent être tous satisfaits. Quand je suis au chapitre 1 de mon activité entrepreneuriale, oui, mes clients doivent tous être satisfaits. Le 100% de taux de satisfaction de mes clients, ... doit forcément être visé, parce que c'est là où je m'améliore. C'est aussi ces personnes-là qui vont être mes prescripteurs, qui vont me recommander, qui vont parler de moi autour d'eux, qui vont me laisser les avis. Et plus je vise le 100% de satisfaction, plus je suis sûre de me challenger et de devenir excellent dans ce que je fais. Mais quand je commence à avoir des centaines, des milliers de clients, pour les gens comme moi qui commercialisent des formations en ligne et autres, si vraiment je suis en train d'essayer d'avoir tous mes clients 100% satisfaits, en fait, c'est David contre Goliath. C'est une tâche complètement impossible. Et si je commence à me raccrocher aux moindres clients insatisfaits et à m'autoflageler pour ça, en fait, je ne sortirai plus rien. Je ne ferai plus rien avec The Beboost parce que j'arrive à des niveaux d'échelle où du haut de mes 13 000 et plus clients accompagnés, tout le monde ne peut pas être satisfait à 100%. Et ça, ça a été extrêmement dur à vivre pour moi. Mais à force de travail sur moi, de coaching, d'objectivité aussi sur la situation, maintenant, j'arrive à comprendre qu'en fait, il y a des gens qui ne seront pas 100% satisfaits. Et c'est OK. Ça ne veut pas dire que je ne fais pas tout ce que je peux pour m'améliorer, me challenger, prendre en considération les feedbacks, les retours constructifs qu'on peut me faire. Bien sûr, je suis dans une démarche d'amélioration continue, mais vouloir plaire à tout le monde, c'est impossible dès lors qu'on touche un certain nombre de personnes. Donc voilà, les amis, pour ces premières 10 leçons. Il nous en reste une dernière parce que je vous ai promis 11 leçons. Pareil, cette dernière leçon est un peu clivante, slash controversée. Mais j'y crois dur comme fer. La onzième leçon, c'est que tout n'a pas besoin d'avoir du sens pour être utile. Vous n'êtes pas obligé de trouver du sens dans tout. Au début, on veut, quand on se lance, tout comprendre, tout justifier. Chaque action, chaque investissement, chaque pivot. On intellectualise tout. On veut que chaque étape du chemin soit hyper alignée, qu'elle ait un sens, qu'il y ait une direction, qu'elle s'inscrive dans un espèce de plan général. de l'univers où on voit clair quel est le point A, B, C, D, E, F, et toutes les petites étapes entre chaque point. Mais la vérité, c'est qu'en fait, en entrepreneuriat... La plupart des choses ne prennent sens qu'après coup. On fait des choses, des projets, des offres, des expériences, et il n'y a que deux ou trois ans après qu'on se dit « Ah ouais, en fait, si je n'avais pas fait ce truc-là, je n'en serais pas là aujourd'hui. » Mais quand on est au pied du mur, qu'on est devant cette opportunité, ce challenge, cette offre, cette situation, il n'y a aucun moyen qu'on voit en quoi ça va nous servir ou nous doit servir. L'exemple le plus simple pour illustrer ça, c'est tous les contenus que parfois vous pouvez poster en vous disant « ça ne fonctionnera pas » , et finalement, c'est des contenus qui fonctionnent très bien. Si vous essayez dès le début d'avoir une énorme logique dans tous les contenus, que chaque contenu fasse super sens et s'emboîte tel un puzzle géant que vous êtes en train de reconstituer, en fait, vous ne publiez rien. Et pareil, si vous aviez parlé à Aline de fin 2022 en lui demandant « Mais quel est ton plus gros échec entrepreneurial ? » Je vous aurais répondu « C'est le séminaire que je viens de lancer, sur lequel j'ai fait un trou dans ma trésorerie de 60 000 euros, parce qu'il y a eu des imprévus, ma gestion des dépenses était peut-être aussi moins précise, on va dire. » Moins précise qu'elle peut l'être aujourd'hui. Et je vivais ça comme un énorme échec. J'avais même fait des épisodes de podcast sur la question. Alors qu'aujourd'hui, presque trois ans après ça, je me suis dit, déjà, c'était une année où j'ai largement dépassé le million. Et finalement, mon bénéfice était énorme cette année-là, malgré ce trou des 60 000 euros dans ma trésorerie. Mais en plus de ça, c'était le premier séminaire qui a donné lieu à la deuxième édition, qui va donner lieu aujourd'hui à la troisième édition, en octobre 2025. D'ailleurs, il nous reste des places. Je vous mettrai le lien dans la description si vous voulez venir. Et en fait, c'était la première pierre posée d'une série de séminaires qui est juste extraordinaire pour moi en tant qu'aventure humaine, mais aussi en termes d'images de marques, pour mon business, pour mes clients à plein d'égards aussi. Et aujourd'hui, je vois le sens. Aujourd'hui, je n'ai plus aucun regret, alors qu'avant, je m'étais tellement flageolée quand j'avais vu ce déficit que j'avais créé au sein de mon business. Je m'en souviens encore. Et aujourd'hui, j'ai envie de faire un câlin à la ligne de 2021 en me disant, mais en fait, tu viens de faire un coup de maître. franchement bien joué tu le vois pas encore mais t'inquiète pas tout fera sens donc tout n'a pas besoin d'avoir du sens la matin tout de suite pour être utile et c'est ok qu'il y ait des choses que vous fassiez sans avoir forcément de stratégie ou de logique derrière et puis c'est ok qu'il y ait des choses où vous voyez pas l'intérêt aujourd'hui mais finalement après coup vous direz bah si j'avais pas vécu telle petite étape telle petite transformation travailler pour tel projet avec tel type de clients vécu tel challenge bah en fait aujourd'hui je ne serai pas là où j'en suis aujourd'hui l'alignement ne se trouve pas toujours en amont, mais il se révèle souvent dans l'action par la suite. Voilà les amis sur les 11 leçons que j'avais envie de vous partager dans cet épisode de podcast. Hâte de savoir laquelle vous a le plus plu. Merci de m'avoir écouté jusqu'au bout. Et à vous tous, je vous souhaite une merveilleuse journée, soirée, après-midi, nuit, où que vous soyez. Et je vous dis à très vite dans un prochain épisode. Bye tout le monde ! Merci.