Speaker #0C'est comme avoir une coche business dans votre poche, prête à vous donner le petit coup de pouce ou le Ausha de fesses dont vous avez besoin. Alors, installez-vous confortablement et c'est parti pour l'épisode du jour. Et le voilà tout, c'est bien vu dans ce nouvel épisode Ausha de fesses. Je me barre à moitié parce que j'avais commencé à enregistrer cet épisode de podcast avec beaucoup trop d'entrain, jusqu'à ce que je me rende compte qu'en fait mon micro n'était pas branché. Donc voilà, même après des centaines d'épisodes de podcast, ça m'arrive encore et je pense que ça m'arrivera toujours. Donc aujourd'hui, on va aller tacler une... croyance business, une croyance que j'ai eue et qui est remontée récemment via un message que j'ai reçu sur Instagram. J'avais déjà abordé un petit peu ce sujet en 2023 et je me suis rendu compte qu'il était toujours d'actualité et que ça valait le coup de remettre une couche là-dessus, surtout que j'ai plein de nouvelles données à vous partager, de nouveaux angles de vue, de nouvelles pistes de réflexion aussi parce que notre société bouge. J'ai progressé aussi en tant que coach business et on va dire que les choses se sont encore un peu plus complexifiées, heureusement ou malheureusement. On va parler de... ce ressenti que vous pouvez peut-être avoir de vous dire « En fait, j'ai tellement peur que mon business se casse la gueule que du coup, j'ai besoin d'en faire toujours plus. » Et rien que là, j'imagine que je sais, vous savez, vous savez que je sais qu'il y a un problème et que ça ne fonctionne pas comme ça. Mais entre ce que notre tête, notre cerveau logique nous dit et ce que notre inconscient émotionnel ressent, parfois, il y a un énorme gap. Et ce n'est pas parce qu'on sait un truc dans notre tête que ça veut dire qu'on l'a intégré en termes d'émotionnel, de peur, etc. Et je sais que dans le business, j'ai des moments où j'en ai fait beaucoup et ça n'a pas fonctionné. Et du coup, j'avais le sentiment de devoir en faire encore plus. Il y a des lancements où je n'ai pas atteint les résultats que je souhaitais. Je me suis flagellée après en disant, j'aurais dû en faire plus. J'ai des moments aussi où j'en ai fait beaucoup et ça a très bien fonctionné. Et du coup, je me dis, pourquoi changer une équipe qui gagne ? Je vais continuer à en faire beaucoup. Je sais qu'il y a un ou deux ans, j'avais créé énormément de ressources gratuites disponibles en téléchargement qui accompagnaient mes épisodes de podcast. J'en avais créé peut-être entre 15. 20 dans l'année et ça avait tellement bien marché en termes de croissance de la liste email que je me dis, cool, j'en crée encore plus. Sauf que vous voyez bien le souci avec ça, c'est qu'à force de vouloir faire la course au plus, on arrive très rapidement aux limites de l'être humain en termes d'énergie, de motivation, de créativité, de disponibilité parce que les journées n'ont que 24 heures et on aimerait aussi, s'il vous plaît, avoir une vie en dehors du business et oui, c'est moi qui le dis. Et donc, on arrive dans un vrai cercle vicieux. Où on se dit, si mon business fonctionne, je dois en faire plus pour maintenir cette réussite. Et si mon business ne fonctionne pas, c'est que je n'en fais pas assez, donc je dois en faire plus, quoi qu'il arrive. Et la question que j'ai envie de soulever avec vous aujourd'hui, c'est du coup, comment on fait par rapport à cette croyance-là ? Et surtout, comment est-ce qu'on vise la qualité plutôt que la quantité ? Parce que vous vous doutez bien que ça va être un des éléments qu'on va explorer ensemble. Mais dans un monde où, sociétalement parlant, avec les réseaux sociaux, la création de contenu, la concurrence, etc., clairement, on a l'impression que les deux sont tout aussi importants. la qualité et la quantité. Et là, je prends l'exemple évident qui sont les réseaux sociaux. Aujourd'hui, on nous dit, oui, il faut la qualité plutôt que la quantité. Mais on voit bien que si on crée une vidéo YouTube tous les deux mois, parce qu'on a passé du temps à faire de la qualité, à moins d'avoir une très grosse chaîne et déjà une expertise reconnue et une audience présente, il y a très peu de chances que notre chaîne YouTube décolle avec seulement une vidéo tous les deux mois. Pareil sur Instagram, si on passe énormément de temps ou alors qu'on se concentre sur la qualité de ce qu'on poste, mais qu'on poste une fois tous les 15 jours, est-ce que ça suffit à faire décoller le compte Instagram ? aux yeux de l'algorithme, mais aussi aux yeux d'une audience qui en veut toujours plus, pas sûr non plus. Donc, comment est-ce qu'on concilie les deux ? Quels sont les bons réflexes à avoir ? Et surtout, pourquoi est-ce qu'on a cette illusion du toujours plus qui nous grignote au fur et à mesure ? En tout cas, peut-être pas vous, mais moi, je sais que ça a fait partie des choses qui m'ont pas mal bouffé la vie. Et du coup, dans cet épisode de podcast, j'ai envie en premier qu'on aille creuser ensemble cette illusion du toujours plus et qu'on déconstruise ça. Et ensuite, vous proposer quelques pistes, quelques stratégies pour avoir plus de discernement et pouvoir manier aussi bien. le toujours plus que le toujours mieux. Sans vous brûler au passage, bien évidemment. Donc, taclons un petit peu cette illusion du toujours plus. Dans le « je dois faire toujours plus soit pour maintenir mes résultats, soit pour compenser des résultats qui ne sont pas ceux que j'espérais » , il y a plusieurs pièges. Le premier piège, pour moi, c'est le piège de l'hyperactivité. Pas dans le sens médical du terme, en mode hyperactif, etc., mais plutôt dans le sens... quand je suis toujours occupée, ça me donne l'illusion qu'en fait que j'avance, que je fais des choses. Et je peux très bien pédaler dans la semoule, brasser de l'air, soulever beaucoup de poussière, tourner en rond, bref, faire de très grands mouvements pour aucun résultat, mais comme je suis en mouvement... Ça me rassure parce que je me dis que je suis en train de faire quelque chose. C'est typiquement ce qu'on appelle aussi de la procrastination active, où on procrastine une tâche ou des choses qu'on n'a pas envie de faire, mais comme on fait d'autres choses à la place, on a cette illusion qu'on est quand même occupé, donc ça, on va dire, atténue notre sentiment de culpabilité derrière. Donc pour moi, ce piège de l'hyperactivité, c'est une des raisons numéro une qui fait qu'on a l'impression de devoir en faire toujours plus, toujours plus, toujours plus dans le business, que ça fonctionne ou que ça ne fonctionne pas. VS, regardez ce qui marche vraiment. Donc ça, c'est la première chose. Le second piège, c'est un mix entre peur de l'échec et syndrome de l'imposteur. Ce qui fait qu'on a l'impression de devoir en faire toujours plus. Encore une fois, quelque chose fonctionne ou ne fonctionne pas. C'est parce qu'on a peur que ça ne fonctionne pas ou plus. Donc on a peur un petit peu de la déchéance. On a peur de se casser la gueule. Et surtout aussi, on a un petit peu ce syndrome de l'imposteur. C'est comme si on devait continuellement prouver qu'on méritait ce qui nous arrive. Et là, je parle plutôt à ceux dont le business commence à bien fonctionner ou fonctionne déjà bien, mais qui sont... encore engrainé dans cette course à toujours plus, toujours plus. C'est comme si on devait constamment, jour après jour, reprouver qu'on méritait notre place, qu'on méritait nos résultats, alors qu'en fait, on n'a rien à prouver du tout, étant donné que les résultats, on les a déjà eus, c'est qu'il y a une bonne raison, et surtout que tout le monde s'en fout, littéralement. Donc en fait, dans notre système de croyance, on essaye juste de se prouver à nous-mêmes que, oui, on mérite les résultats qu'on a parce qu'on travaille beaucoup. Et ça, ça peut clairement venir de l'éducation. Moi, je sais que, d'un point de vue personnel, J'ai eu la chance extraordinaire d'avoir un père entrepreneur, mais le côté un peu plus sombre de ça, le revers de la médaille, c'est que c'est quelqu'un qui m'a éduquée en me disant qu'il faut travailler beaucoup pour réussir et pour gagner de l'argent. Et que du coup, réussir et gagner de l'argent en travaillant moins, même après cinq ans d'entrepreneuriat où je me suis tuée à la tâche, mais ne serait-ce que l'idée de me reposer et de bosser moins et de profiter de tout le travail et de l'effet cumulé que j'ai créé jusqu'ici, ça me génère beaucoup de résistance parce que j'ai cette croyance profondément ancrée en moi. que si je le fais, alors je me repose sur mes lauriers, je me repose sur mes acquis, et que finalement, je vais devoir soit recommencer à bosser encore plus fort pour rattraper le temps perdu, soit me prendre un mur. Et enfin, troisième composant de cette illusion du toujours plus, c'est ce que j'appelle l'effet cumulé trompeur. Une des raisons qui fait qu'on a l'impression de devoir en faire toujours plus, c'est la comparaison qu'on peut avoir à d'autres personnes, tout particulièrement via les réseaux sociaux. Par exemple, si vous voulez réussir en business, et que vous vous... comparer à des personnes qui ont réussi dans votre industrie, dans votre marché, dans votre thématique, etc. Peut-être qu'aujourd'hui, ces personnes, elles ont un podcast, elles ont 3-4 ressources gratuites différentes et elles utilisent ça pour alimenter une newsletter et construire leur base email, puis après, elles ont créé, en plus de leur service, des petites formations en ligne ou peut-être qu'elles vendent des templates, etc. Ces personnes-là font beaucoup de choses. Et peut-être que vous, quand vous vous lancez, quand vous commencez ou même quand vous voulez juste grandir avec votre business, vous vous dites « Moi aussi, je dois faire tout ça, en fait. » Si pour elles, ça marche parce qu'elles font tout ça, alors je dois faire la même chose. Sauf que c'est prendre le problème à l'envers, puisque c'est parce que ça marche qu'elle a pu faire tout ça. Et c'est ce que j'appelle l'effet cumulé. C'est quand on a quelque chose qui fonctionne et qu'on arrive à le systématiser dans notre business, c'est-à-dire à créer des systèmes, des process, des habitudes qui font que ça nous prend moins de temps, on se libère du temps supplémentaire où on peut aller faire autre chose. Exemple numéro un, si un prestataire de service a une offre qui fonctionne très bien, que cette offre est systémisée parce que les clients viennent avec son contenu gratuit, il a ses habitudes de publication. Il a ses templates d'onboarding client, etc. Et au final, il a du temps libre qui s'est libéré. Peut-être qu'il a utilisé ce temps libre pour mettre en place des templates Notion, créer quelque chose d'autre, avoir un nouveau canal de communication. Donc, c'est parce que ça a fonctionné qu'il a eu ce temps de faire plus et pas parce qu'il a fait plus ou beaucoup que ça a fonctionné. Donc, attention à la manière dont vous analysez les choses et dites-vous que si ça fonctionne pour ces personnes-là, c'est parce qu'elles sont l'effet cumulé d'une action, et puis une deuxième, et puis une troisième, mais pas toutes en même temps. Donc, ne comparez pas votre chapitre 3 au chapitre 42 de quelqu'un d'autre. C'est le meilleur moyen de se sentir submergé et de surtout tomber dans le piège du « je dois faire tout ça pour avoir les mêmes résultats » . Ok, donc là, on a un petit peu creusé cette croyance, cette illusion du toujours plus. J'aimerais à présent passer en mode conseil et en mode solution. Si je devais avoir une métaphore qui résume ce que je m'apprête à vous dire, imaginez que vous êtes des jardiniers et que vous avez un jardin. Votre jardin, c'est votre business et dedans, vous faites pousser des plantes. Les plantes, ce sont vos stratégies et celles-ci vous rapportent des fruits. Vouloir faire toujours plus de tout, c'est comme vous faire rentrer dans la tête qu'il faut arroser toutes vos plantes avec 10 litres Ausha jour tout en continuant à en planter de nouvelles. Sauf qu'on sait bien que quand on jardine, il y a des plantes qui ont besoin d'être arrosées une fois par semaine, il y a des plantes qui ont besoin d'un peu plus d'attention, il y a des plantes qui ont besoin de plus de lumière, plus d'ombre, qu'on s'en occupe, qu'on s'en occupe pas, etc. Et donc à vouloir trop faire, un, vous vous épuisez complètement et surtout vous ne voyez aucun résultat parce que si vous noyez une plante qui n'a pas besoin d'autant d'eau, celle-ci va pourrir et ne jamais donner de fruits, alors qu'il aurait suffi de la laisser un petit peu tranquille pour pouvoir en récolter les fruits plus tard. Donc, à vouloir faire toujours plus, des fois, on en fait littéralement trop. Donc mon premier conseil pour vous déjà, c'est de choisir vos combats. Vous ne pouvez pas tout faire. Vous ne pouvez pas à la fois avoir un podcast, une chaîne YouTube, être sur TikTok, Instagram, les shorts YouTube, recycler LinkedIn, faire des masterclass, des templates, des prestations de service, du coaching. Vous ne pouvez pas tout faire. Ce n'est pas possible. Donc l'idée, c'est de se dire, choisissez vos combats. Et vous pouvez faire beaucoup, mais sur un seul combat ou deux combats. N'essayez pas de parler de tout. N'essayez pas de parler à tout le monde. N'essayez pas de tout faire. N'essayez pas d'être partout. Choisissez vos combats. Et pour ça, ça va faire appel à deux qualités très importantes pour un entrepreneur. La première, c'est la stratégie. Et la seconde, c'est le discernement. Je pense que c'est vraiment les deux mots-clés qui sont la réponse à cette question de « j'ai l'impression de devoir toujours en faire plus, sinon ça va se casser la gueule » . Réponse, stratégie et discernement. Sujet numéro 2, c'est repenser la relation qualité-quantité. En fait, moi, pour être totalement honnête avec vous, je n'aime pas du tout l'expression Oui, il faut privilégier la qualité à la quantité, blablabla. En fait, je n'aime pas du tout cette expression parce que je la trouve incomplète, je la trouve dangereuse et je la trouve pas du tout pertinente dans la société dans laquelle on est aujourd'hui, tout particulièrement lorsqu'on l'applique à la création de contenu. En fait, il ne s'agit pas de faire moins, mais mieux. Parce qu'en fait, si vous faites moins de choses et que vous faites très bien, mais pas les bonnes choses, ça ne va pas fonctionner pour autant. Donc pour moi, il y a une dimension manquante qui est la dimension de la pertinence. En fait, il ne faut pas faire beaucoup de tout. Il faut faire. moins de tout, mais faire plus de ce qui fonctionne. Encore une fois, si vous faites de la qualité à fond les ballons, mais sur un truc qui ne fonctionne pas, ça ne va pas plus fonctionner. Et donc là, vous allez me dire « Oui, mais j'ai fait la qualité plutôt que la quantité, ça n'a pas fonctionné. » Oui, parce que tu ne t'es pas concentré sur les bonnes actions, les bons axes de développement. Donc, on a cette dimension de pertinence et d'efficacité encore plus que de qualité. Donc, l'idée pour vous... Pour rendre ça très actionnable, c'est de vous dire quelles sont les actions qui ont vraiment de l'impact dans votre business, qui génèrent vraiment des résultats, et de pouvoir faire plus de ce qui fonctionne vraiment. Donc c'est la fameuse règle du 20-80. Les fameux 80% des résultats qui viennent des 20% des actions qu'on met en place. L'idée, c'est d'identifier ces 20% d'actions et de rajouter la dimension de pertinence à ce fameux mantra de faire de la qualité plutôt que de la quantité. Et là, vous allez me dire, mais oui, mais Aline, du coup, comment est-ce que j'identifie ? ces fameux 20-80, comment est-ce que j'identifie ces 20% d'actions qui me ramènent 80% de mes résultats ? Regardez vos données, analysez vos statistiques. Quels sont les 20% de vos offres qui vous rapportent 80% des clients ? Quels sont les 20% de vos contenus sur votre réseau social favori qui vous rapportent 80% des vues, des commentaires, des engagements, etc. ? Quels sont les 20% de choses que vous faites au quotidien qui ont vraiment fait avancer votre business ? Bref, analysez à l'aide de vos données, de vos datas, de vos statistiques et vous pouvez aussi vous... vous poser la question pour vous, de manière introspective, quels sont les 20% d'actions écologiques pour moi qui m'ont apporté 80% de mon épanouissement professionnel ? Ça, ça peut être très intéressant aussi à analyser. Voilà le message que je voulais vous transmettre pour aujourd'hui. Déjà, pour tous ceux qui ont l'impression de devoir toujours en faire plus et sinon ça va se casser la gueule, on a déconstruit un petit peu cette croyance, on l'a comparée à un jardin qu'on chercherait à beaucoup trop arroser tout le temps. Et surtout, je vous ai livré ma piste, mon conseil numéro un pour moi, c'est ce triangle qualité. quantité, pertinence, à analyser, à s'approprier pour faire plus des bonnes choses pour nous, en y concentrant de la qualité parce qu'on se rappelle, on choisit ses combats. Avant de vous quitter, j'ai deux questions pour vous, des questions que vous pourrez utiliser dans votre journaling, ou vous pouvez vous les poser là comme ça, maintenant, dans votre tête, en écoutant cet épisode de podcast. La première, c'est quelle est l'action que vous continuez à faire dans votre business aujourd'hui, uniquement par peur que tout s'écroule si vous arrêtez ? Quelle est l'action que vous continuez à faire dans votre business aujourd'hui, uniquement par peur que tout s'écroule si vous arrêtez ? Et la seconde question, c'est si vous deviez choisir les trois actions les plus impactantes pour votre business, quelles seraient-elles ? Si vous deviez choisir les trois actions les plus impactantes pour votre business, quelles seraient-elles ? Très bonne question, au pluriel, à se poser pour identifier c'est quoi votre 20-80 à vous, et surtout là où vous pouvez avoir cette croyance de faire toujours plus, plus, plus, plus, plus, sans accepter de parfois devoir... et laguer d'anciennes choses que vous pouviez faire et qui finalement ne sont plus vraiment nécessaires pour continuer à faire grossir votre business. Mais que vous vous y raccrochez parce que vous vous dites c'est pour ça que ça a marché avant, il faut absolument que je continue à le faire aujourd'hui. Voilà, c'est tout pour moi aujourd'hui. Merci de m'avoir écouté jusqu'au bout. N'oubliez pas, si ce n'est pas encore fait, de laisser une note et un commentaire sur le podcast. Ça l'aide énormément à se développer. Ça m'encourage aussi à passer toujours plus de temps pour chercher des invités, vous construire des épisodes de qualité. Un grand merci à tous ceux qui prennent le temps et la peine de le faire. Et à vous tous, je vous souhaite une merveilleuse journée, soirée, après-midi, nuit, où que vous soyez. Et je vous dis à très vite dans un prochain épisode. Bye tout le monde !