312. Vendre à son audience grâce aux challenges avec Aurélie Gauthey cover
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J'peux Pas J'ai Business par TheBBoost

312. Vendre à son audience grâce aux challenges avec Aurélie Gauthey

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1h02 |24/02/2025
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J'peux Pas J'ai Business par TheBBoost

312. Vendre à son audience grâce aux challenges avec Aurélie Gauthey

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Description

Vous rêvez d'attirer plus de clients tout en créant une vraie connexion avec votre audience ? Découvrez le pouvoir des challenges, ces événements en ligne qui permettent de transformer des inconnus en clients fidèles en seulement 5 jours !


Dans cet épisode je reçois Aurélie, experte en challenges marketing.


Au programme :


➡️ Les chiffres clés et taux de conversion réalistes d'un challenge

➡️ Comment structurer votre challenge sur 5 jours pour maximiser l'engagement

➡️ Le secret pour faire la transition entre le contenu gratuit et votre offre payante

➡️ Les erreurs à éviter absolument quand on débute

➡️ L'importance des prises de conscience vs le contenu purement pratique


Bonus : Découvrez l'astuce du "live préambulatoire" qui va booster vos ventes et l'approche innovante du "Pass VIP" pendant le challenge.


Que vous soyez coach, formateur ou entrepreneur dans l'accompagnement, cet épisode vous donnera toutes les clés pour créer un challenge qui convertit, tout en restant aligné avec vos valeurs.


PS : "Je suis une putain d'opportunité" - la phrase à vous répéter avant de présenter votre offre ! 🎯


✨ Épisodes recommandés :




✨ Retrouvez Aurélie Gauthey  :




✨ Chapitres :

0:42 - Présentation d'Aurélie Gauthey, coach pour entrepreneur

6:29 - Qu’est-ce qu’un challenge ?

9:16 - À quel business ça s’adresse

10:06 - Les avantages des challenges en ligne

12:20 - À partir de quelle taille d’audience peut-on organiser un challenge ?

19:12 - Les chiffres de référence d’un “bon” challenge

33:56 - Que contient un challenge ?

47:26 - Comment vendre et faire la transition entre le gratuit et le payant ?

1:00:10 - Conclusion

🎙️ N'oubliez pas de vous abonner pour ne manquer aucun épisode. Et si cet épisode vous plaît, n'hésitez pas à laisser une note et un commentaire sur Apple Podcast, Spotify ou votre plateforme d'écoute ! Cela aide le podcast à atterrir dans les oreilles de plus d’entrepreneurs (et à me booster à continuer à produire de nouveaux épisodes).

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Retrouvez les shownotes de ce podcast

En savoir plus sur la BSB Académie, mon accompagnement business 

[Quiz] Quel type d’entrepreneur êtes-vous ? 

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Transcription

  • Speaker #0

    Si vous vous posez des questions comme comment trouver plus de clients et faire décoller mon business, comment vendre mes services sans me sentir trop pushy, comment être plus visible sur les réseaux sociaux, alors vous êtes au bon endroit. Bienvenue dans le podcast Je peux pas j'ai business. Je m'appelle Aline, je suis coach business diplômée depuis 2019 et ce podcast a été créé pour vous, pour vous aider à développer le business de vos rêves, un épisode à la fois. C'est comme avoir une coche business dans votre poche, prête à vous donner le petit coup de pouce ou le Ausha de fesses dont vous avez besoin. Alors, installez-vous confortablement et c'est parti pour l'épisode du jour. Hello Rémi, bienvenue sur le podcast Je peux pas, j'ai business. Comment est-ce que tu vas aujourd'hui ?

  • Speaker #1

    Je vais hyper bien, je suis trop impatiente.

  • Speaker #0

    Bonne humeur, je suis dans un super bon mood. Moi, je ne suis pas trop de la fin de journée, je suis plutôt du matin. Mais j'avoue que de te voir et de commencer à papoter, ça m'a énergisé. Je suis on fire. Pour commencer, j'entame toujours avec un petit portrait chinois de mes invités. Ça casse un peu les présentations standards. Et c'est l'occasion aussi de faire des découvertes. Est-ce que tu connais le concept ? Oui,

  • Speaker #1

    tu vas me poser des questions et je ne dois pas réfléchir.

  • Speaker #0

    Et tu dois répondre au tac au tac. C'est exactement ça. Aurélie, quel est un livre que tu as adoré récemment ?

  • Speaker #1

    Comment se faire des amis.

  • Speaker #0

    Relecture ou première lecture ?

  • Speaker #1

    Première lecture.

  • Speaker #0

    Oh waouh ! J'aimerais des fois oublier que je l'ai déjà lu pour pouvoir le relire une première fois, tellement il a changé ma vie. Une citation qui t'accompagne au quotidien ?

  • Speaker #1

    J'hésite entre « manger son caca » , donc c'est une citation de moi qui peut un peu faire peur au premier abord mais qui a beaucoup de signification.

  • Speaker #0

    Je pense qu'on va avoir besoin qu'on étaye un petit peu, et bien juste qu'on laisse les spectateurs et les auditeurs avec ça.

  • Speaker #1

    Est-ce que tu veux que je l'étaye maintenant ?

  • Speaker #0

    Bien sûr.

  • Speaker #1

    « Manger son caca » , c'est une phrase que je dis parce que je me rends compte qu'il y a beaucoup de personnes qui vont se faire aider du coaching, de la psychanalyse, de la thérapie, pendant des milliers d'années sur une problématique. Et je me suis rendu compte, avec toutes mes blessures de vie, qu'aller manger son caca, c'est vraiment la solution pour sortir d'une situation dramatique, problématique, récurrente. Parce qu'on espère toujours que quelqu'un de l'extérieur va nous apporter la réponse. Alors qu'aller manger son caca, c'est... En fait, cette situation, ça va faire mal, mais tu vas aller le faire tous les jours. Et à force d'aller te confronter à ce qui te blesse... Petit à petit tu vas retrouver un nouveau toi, un nouveau fonctionnement. Donc c'est aller manger son caca. Donc quand on me dit « Oh non mais moi j'ose pas me rendre visible parce que toute ma famille m'a jugé toute ma vie ! » Va manger ton caca. C'est bon. Ça fait 20 ans que tu dis que tu oses pas te rendre visible, tu mets des pièces dans la machine. Arrête de mettre des pièces en faisant la petite victime. Je l'ai fait aussi, c'est pour ça que je me permets. Mais en disant « J'y vais en fait » . Sinon ça ne changera pas.

  • Speaker #0

    Une formulation un peu putatière, mais pour dire qu'il faut se responsabiliser aussi sur sa capacité à passer à l'action malgré la vie qui cabosse. Et parce que la vie cabosse tout le monde aussi, il faut le dire.

  • Speaker #1

    C'est ça. Je l'aime. C'est y aller. C'est y aller véritablement. C'est le moment difficile, mais on se confronte à la vie et on arrête de la regarder, de dire j'ai eu des prises de conscience, j'ai compris que ma famille... Vas-y.

  • Speaker #0

    Oui, c'est bien de faire les prises de conscience, mais il faut en faire quelque chose aussi derrière.

  • Speaker #1

    Exact.

  • Speaker #0

    J'aime. Allons manger notre caca. Le dernier achat dont tu es la plus heureuse et ces magnifiques fauteuils ne comptent pas vu qu'ils ne sont pas encore débité de ton compte en banque. C'est une petite blagounette parce qu'en fait on a eu toutes les deux des gros coups de coeur sur les fauteuils du studio dans lequel on enregistre. Donc je pense qu'on va les enquêter en ligne après.

  • Speaker #1

    Nager avec les dauphins en Égypte, ma plus belle expérience de vie.

  • Speaker #0

    C'était il y a longtemps ?

  • Speaker #1

    Il y a deux ans et je n'ai jamais ressenti quelque chose dans mon corps. Je pensais être déconnectée de certaines choses. Et ça, ça s'explique même pas. J'arrivais même pas en rentrant à faire un live pour dire ce que j'ai vécu dans tout mon être en rencontrant les dauphins en nature.

  • Speaker #0

    Une expérience transcendante,

  • Speaker #1

    transformante, humaine. Tu reviens à toi, tu n'as rien. Je n'étais pas à Pimpé, j'étais sur un bateau avec dix personnes dans la nature pendant une semaine et tu reviens à ta nature première. Et ça, ça m'a...

  • Speaker #0

    C'est beau, c'est fou, ça donne envie.

  • Speaker #1

    Je t'ai vu dans ton regard, tu t'es dit, donne-moi l'adresse, comment on y va ? Comment on y va ?

  • Speaker #0

    Quatrième question, une application dont tu ne pourrais pas te passer sur ordi ou sur téléphone.

  • Speaker #1

    Blooc.

  • Speaker #0

    Oh ! Qu'est-ce que c'est ?

  • Speaker #1

    Je ne sais pas si tu as connu cette maladie d'aller tripoter ton téléphone 50 fois par jour alors que tu n'as pas à tripoter ton téléphone. Tu es en train d'envoyer un email et tu prends le téléphone et tu regardes quelque chose. Tu continues, tu prends le téléphone alors que tu n'as rien à y foutre. Donc, à bloc, je choisis de bloquer mes applications. Donc, mon équipe ne peut pas me contacter, je ne peux pas les contacter. Moi, je travaille lundi, mardi, mercredi. Donc, les jeudis, vendredis, samedis, dimanches, c'est bloqué. On n'est pas chirurgien cardiaque, il n'y a personne qui va mourir sur le billard, les gars, je suis absente.

  • Speaker #0

    Donc ça te bloque l'accès à l'application, les notifications, tout, et même toi tu ne peux pas y aller.

  • Speaker #1

    Ouais, et tu choisis les applications que tu peux bloquer, les heures, les jours, c'est vraiment du bidouillage. Attention, petite note aux personnes qui vont nous écouter, un jour c'était bloqué et j'ai fait un live Instagram. Et j'ai oublié que ça se bloquait à une certaine heure après l'approche déjeuner.

  • Speaker #0

    Et ça a été un live,

  • Speaker #1

    ça m'a coupé mon live.

  • Speaker #0

    Est-ce que c'est le genre d'application où tu peux très vite la contourner, c'est-à-dire aller la redésactiver dans tes réglages entre quelques secondes si à un moment il y a une urgence ? Ou c'est vraiment une fois que c'est bloqué, c'est bloqué et même toi tu ne peux plus rien y faire ?

  • Speaker #1

    Tu peux aller la débloquer, ça te prend cinq minutes, mais tu peux la débloquer, c'est assez facile. Mais il y en a d'autres, effectivement, en faisant des recherches où apparemment tu ne peux pas. Mais là, ça m'a mis des angoisses. Je me suis dit, on va commencer tout de suite. Donc, je suis passée de perdre 15 ans de ma vie sur mon téléphone, apparemment. Il te donne les années que tu perds.

  • Speaker #0

    Je pense qu'il ne faut pas du tout que j'aille checker ce qui se passe du côté du monde d'années perdues. Ça ferait peur.

  • Speaker #1

    Oui, moi j'ai eu peur.

  • Speaker #0

    Dernière question pour toi. Quel est le plus beau compliment qu'on puisse te faire ?

  • Speaker #1

    Que j'ai changé des vies.

  • Speaker #0

    On te l'a déjà dit ?

  • Speaker #1

    On me l'a déjà dit. Et ça, ça te... Tu sais, ça me tient dans les moments difficiles parce qu'on pense que quand on réussit, tout va bien. Sauf qu'on oublie de demander à des personnes qui réussissent comment elles vont véritablement en tant que femmes. Et ça, ça me touche souvent parce qu'on se dit... « Oui, mais toi, ça va, t'as toujours le sourire. » Ben non, ça va pas toujours. Voilà, je sais pas pourquoi je suis partie là-dessus, tu verras. Je fais souvent ce genre de choses, puis après, je reviens à la réalité. Donc, qu'on me dise que j'ai changé la vie de quelqu'un, ça me touche.

  • Speaker #0

    C'est le compliment qui te touche le plus. On va parler des challenges. donc technique marketing je n'ai jamais fait de challenge de ma vie bien sûr que j'en ai consommé j'étais cliente je connais la technique marketing mais le but aujourd'hui c'est qu'on décortique un petit peu ça toutes les deux et j'aimerais qu'on rende cet épisode le plus actionnable possible pour l'audience pour qu'on puisse avoir une véritable appréhension de ce qu'est un challenge quelles sont les grandes étapes comment ça s'articule pour qu'un auditeur ou une auditrice puisse se projeter c'est-à-dire est-ce que c'est une technique que je pourrais appliquer dans mon business que c'est quelque chose qui me plairait etc ok très bien j'ai plein de questions pour toi la première c'est Est-ce que tu peux nous expliquer, c'est quoi un challenge ? Comment ça se passe ? Comment ça se décompose ? Et si tu as des exemples pour illustrer ça, ça serait top.

  • Speaker #1

    De façon humaine, et on va en parler. On fait de la promotion sur les réseaux sociaux, gratuits, payants, à vous de voir, on en rediscutera. On propose un challenge. Un challenge, c'est la possibilité d'être en live pendant trois jours, cinq jours ou plus pour certains. Il y en a qui le font en live, il y en a qui le font en enregistré, parce qu'en fait... Tous les modèles existent. On peut prendre un modèle, ça c'est important qu'on le dise. Et de ce modèle, s'il y a des bouts qui ne vous plaisent pas, par exemple, « Ah oui, mais moi Aurélie, tu sais, j'aime pas envoyer des e-mails. » Ben, on fait des e-mails vidéo. Ou alors, on envoie des WhatsApp. En fait, d'un modèle, vous pouvez créer, tricoter autour pour créer votre propre modèle. Ça, c'est hyper important. Et donc, pendant cinq jours, on va être en direct pour transmettre des connaissances et pour, je vais insister là-dessus, apporter des prises de conscience. Ça, c'est une erreur dont on parlera. apporter des prises de conscience, connecter humainement à sa communauté pour qu'à la fin de ces cinq jours, on va prendre l'exemple de mon modèle, on puisse proposer notre offre de service et avoir des clients. Voilà un petit peu comment ça se passe, la base d'un challenge. Et un challenge, là où c'est intéressant, c'est que personnellement, ce que j'ai fait pour le modeler à ma façon de coacher, c'est qu'on peut tous permettre. Moi, quand je suis en direct, il y a une partie formation. Et à un moment donné, je dis OK, je prends des personnes dans le public, au hasard, on me pose des questions, je capte qu'il y a des nœuds à certains endroits, je fais venir les personnes avec moi sur Zoom et je les coach devant tout le monde. Et ça, c'est un tip, ce que je peux donner, c'est quoi de mieux que de voir l'exercice en direct se faire et se dire mais attends, mais moi aussi, je veux qu'elle me coach. T'as vu ce qu'elle vient de dire à la fille ? Et vu que leur communauté ou notre communauté en général se ressemblent tous, ont tous les mêmes problématiques, quand tu coaches quelqu'un en direct, tout le monde se dit... Ça me parle tellement !

  • Speaker #0

    Parce que tu bénéficies du coaching de quelqu'un d'autre, parce que ça résonne en toi, il y a un truc qui vibre.

  • Speaker #1

    Il y a un effet miroir.

  • Speaker #0

    Il y a un effet miroir qui se crée, effectivement. Ok, donc en fait c'est un événement en ligne, sur plusieurs jours, dans lequel tu vas donner de la connaissance, de la formation, faire prendre des prises de conscience, j'ai entendu que c'était important, et à la fin tu vas vendre quelque chose, c'est ça ?

  • Speaker #1

    Exactement.

  • Speaker #0

    Est-ce que tu pourrais nous donner un exemple peut-être d'une de tes élèves ou femmes accompagnées, même en... anonymisant son prénom, mais de business auquel ça peut s'appliquer. Et est-ce qu'il y a des business auxquels ça ne s'applique pas, ce système de vente ?

  • Speaker #1

    Ça peut s'appliquer, en tout cas pour ma part, c'est spécifiquement des entrepreneurs qui sont dans l'accompagnement humain ou animal ou énergétique ou prestation de service.

  • Speaker #0

    Donc tout ce qui est coach ?

  • Speaker #1

    C'est ça, coach, thérapeute, psychologue, coach love, format de vie en architecture.

  • Speaker #0

    Donc très infoprenariat au final.

  • Speaker #1

    Infoprenariat, oui. Ça s'applique à tous ces modèles et ça s'applique aussi qu'on vende du groupe ou de l'individuel. Parce que parfois, on me dit, mais moi, je vends des séances individuelles. Je n'ai pas besoin de faire un challenge. Ben si, en fait. Alors si c'est OK, on va partir là-dessus, à cet endroit-là. Je ne sais pas si c'est le bon moment, mais l'avantage d'un challenge, c'est qu'on rassemble, par exemple, 10, 20, 30, 100, 2000 personnes en même temps qui vont nous suivre pendant cinq jours. Ça veut dire que toutes les prises de conscience, les démonstrations, les témoignages clientes, tout ce qu'on se donne, c'est 100 en même temps. Et à la fin, on propose l'offre à 100 en même temps. Et en fait, c'est un gain de temps, je trouve, un énorme, que de faire du one-to-one avec des appels. Moi-même, au bout de deux ans, je me disais, putain, il va falloir que je leur répète comment je travaille, qui je suis, comment je coach. Et ça me plombait de faire des appels pour expliquer ça. Donc je me suis dit, mais les challenges, c'est le mieux. Tout le monde est en direct, il y a l'effet de groupe, l'effet de groupe, de soutien, les filles sont hyper excitées, ben oui, et tu les fais passer à l'action avec des exercices pratiques où à la fin elles se disent mais attends, j'ai goûté un échantillon de nez pour impacter pendant 5 jours, je veux ou je veux pas et c'est ok, mais je veux, rien que de ce que j'ai vu ça, imagine ce qu'elle va me faire en payant quoi, donc c'est ça un peu le modèle.

  • Speaker #0

    Donc en fait c'est vraiment faire expérimenter ton coaching, ton accompagnement. ou quelle que soit la chose que tu incarnes en tant qu'entrepreneur. Faire expérimenter à tes futurs clients potentiels la pleine puissance de ce que tu proposes. Pendant cinq jours. Et à la fin, de dire, maintenant c'est le moment, si vous voulez aller plus loin ou continuer cette expérience, rejoignez-moi dans mon coaching, mon accompagnement, ma thérapie, mon coaching de groupe, ma formation, ou quoi que ce soit.

  • Speaker #1

    C'est ça. Et ce qui est intéressant à cet endroit-là, quand tu as dit, à un moment donné, tu proposes ton offre, nous ce qu'on fait, c'est semer des graines tout le long. Parce que quand on va parler de nos clientes, quand on va parler des résultats qu'elles obtiennent, quand on va donner des exemples, quand on va coacher, en fait, on sème des graines en disant « Oui, ça, on l'apprend dans notre académie. » « Oui, ça, on s'appuie toujours en rappelant notre choix. » Voilà, c'est ça. On n'arrive pas… Hey ! On a ça à ventre ! On n'arrive pas comme un cheveu sur la soupe. Elles savent qu'il y a une offre à la fin. Ce n'est pas quelque chose à cacher, c'est OK. Et à partir du moment… moment où on donne de la grande valeur pendant une semaine. T'es là quand on présente, c'est cool, tu veux pas être là parce que pour toi, t'as eu assez de gratuit et ça te suffit, c'est OK aussi, en fait.

  • Speaker #0

    Très bien. On a dit à qui ça s'adressait, j'aimerais bien, avant qu'on rentre dans la technique de qui, quoi ou comment, comment vendre, quel type de contenu, comment faire la différence entre le gratuit, le payant, etc. Avant ça, pour qui est-ce que le challenge n'est pas ? Question subsidiaire à ça, c'est est-ce qu'il y a une taille d'audience minimale avec laquelle on peut se dire là, c'est OK de faire un challenge, ou si on est en dessous de cette taille d'audience, On peut se dire, bon, il vaut mieux d'abord que je me concentre sur le fait de développer mon audience, et après, je peux lancer un challenge. Parce que je t'entendais parler de challenge de 10 personnes. Est-ce qu'on peut le faire avec 10 personnes ?

  • Speaker #1

    Je dirais qu'il faut quand même... Alors, ça dépend combien vous voulez vendre d'offres, en réalité, parce que souvent, on me dit, oui, mais moi, j'ai que 15 personnes qui me suivent. Mais ma chérie, il te faut une bonne personne pour vendre une offre. Donc, c'est OK. Donc, il y a un minimum, parce qu'il y a des chiffres, on rentrera peut-être plus tard dedans. vous avez, et là je dis complètement au hasard, là tout de suite à cet instant, mais si, on va essayer de coller à la réalité, s'il y a 100 personnes qui s'inscrivent, il y en a à peu près 50 qui vont rejoindre le groupe parce que là, moi je le fais dans un groupe Facebook, où quand les personnes s'inscrivent, elles doivent rejoindre le groupe. Donc il y en a la moitié qui rejoignent. Toutes les autres se perdent dans les méandres des e-mails ou je ne sais où. Et dans les 50 qui rejoignent, on peut repartir à peu près sur la moitié qui vont venir participer au direct.

  • Speaker #0

    Ok, donc un quart des inscrits qui ne participent pas direct.

  • Speaker #1

    Si c'est du froid, si c'est des personnes qui viennent d'une publicité, plus la communauté qui vous suit est chaude, plus il y a de personnes qui vous connaissent, qui sont vraiment attachées à vous, à vos valeurs, à votre personnalité, plus elles seront présentes. De la publicité, les gens se disent, je ne la connais pas, je ne sais pas d'où elle sort, il y a plein de challenges, donc il y en a moins qui viennent. Donc sur les 25 qui restent, à peu près 10 peuvent prendre un appel, pour celles qui font des appels, et on peut compter, si vous avez une bonne offre irrésistible, qu'à peu près 8 personnes. 7-8 personnes vont acheter votre offre.

  • Speaker #0

    C'est un taux de closing énorme, 77-80%.

  • Speaker #1

    Alors ?

  • Speaker #0

    Parce que si tu me dis 10 personnes prennent un appel et 7 ou 8 achètent, ça fait du coup 70% de conversion au bas mot. C'est énorme.

  • Speaker #1

    C'est pour ça que j'ai précisé deux choses. Un, s'il y a une offre irrésistible.

  • Speaker #0

    Ok.

  • Speaker #1

    Très clairement, parce qu'il y en a plein qui pensent avoir une offre irrésistible. Elle n'est pas irrésistible. Et c'est vrai que moi, j'ai une chance ou une malchance. C'est qu'aujourd'hui, c'est pour ça que souvent on m'invite pour parler des challenges. Je vends en direct, sans closeur, une offre à 4000 euros de pub. Et les mecs qui font ma pub sont choqués, me disent « Mais attends, on a les chiffres, tu closes 80-90% du proie en direct » . Mais il y a des astuces qu'on va te donner ici, dans la communauté.

  • Speaker #0

    On aime les astuces qui nous aident à faire un meilleur taux de conversion. Ce que je retiens quand même de ce que tu es en train de nous dire, c'est que pour 100 personnes inscrites initialement, tu en closes 7 ou 8 et avec un taux de closing extraordinaire, donc tu nous donneras tes astuces, mais que je veux aussi dédramatiser ça auprès des gens qui nous écoutent, un taux de closing standard, quand c'est le créateur, le fondateur qui close, on est plus au taux d'entour des 60%. Donc 6 personnes si on a 10 appels. Donc il faut quand même 100 personnes inscrites pour 8 personnes. closés qui ont payé. Et là, on est sur quelque chose d'exceptionnel.

  • Speaker #1

    Oui. Et après, ça dépend des personnes. Moi, j'ai des clientes, elles cartonnent, elles font même mieux que ça, elles signent quasiment tout le monde. J'en ai d'autres qui feront zéro parce que ne comparez pas votre chapitre 1 à mon chapitre 24. Ça fait 8 ans que je suis mentor business, j'en suis à mon 18e challenge. Donc, il y a de la bouteille. Il y a de la bouteille, quoi. Donc, on ne compare pas. La seule chose que je vous dirais de comparer, c'est de tester une première fois. D'améliorer et vous retester et vous prenez vos chiffres à vous parce que vous avez tout le temps vous comparer à la voisine, elle n'a pas la même thématique, elle n'a pas le même nombre d'années, elle n'a pas la même facilité, elle n'a pas les mêmes tarifs. Quand j'en vois qui disent oui mais elle, elle a vendu 200 offres. elle a vendu 200 offres à 30 euros. Tu en as vendu 3000 euros.

  • Speaker #0

    Ouais, il faut faire les calculs. C'est bien de le dire. Donc, est-ce qu'il y a une taille d'audience ? Parlons en termes d'Instagram. À partir de combien d'abonnés Instagram, je peux vouloir lancer mon challenge ? Par exemple, si j'ai 300 abonnés sur Insta, est-ce que ça vaut le coup ? Ou est-ce qu'il vaut mieux que j'attende d'en avoir 500 ?

  • Speaker #1

    Moi, j'attendrai jamais. T'attendrai jamais. Je crois qu'il y a une phrase que c'est toi qui dis, mais que j'ai écrite dans mon livre, c'est anti-perfectionnite aiguë. Il faut que j'attende d'avoir ça. Il faut que j'attende d'avoir ma page de vente. Il faut que j'attende d'avoir 400 abonnés. Vas-y maintenant, fais le test. C'est pas quand tu seras Beyoncé que tu auras 10 000 abonnés que tu te diras, allez, je me lance. Elle a commencé par des petites scènes. Moi, j'ai des clientes des fois qui ont... 20 inscrits, mais je leur dis, mais vas-y à fond les ballons, tu vas avoir plein de problèmes techniques. Non, parce que, hein, on est d'accord.

  • Speaker #0

    Autant s'entraîner auprès d'un petit poule plutôt que de se vautrer devant 100 personnes.

  • Speaker #1

    On a besoin d'être à l'aise, comme toi, t'enregistres des podcasts, tu t'es pas... À un moment donné, on se lance et on sent bien que nos premiers épisodes sont pas les mêmes que les derniers au niveau de la voix, au niveau de l'aisance. Là, c'est pareil. Donc je leur dis, allez-y, même si vous faites deux ventes, vous avez des vidéos pour vos réseaux, vous avez pris de l'aisance. Vous avez peut-être connecté mentalement, émotionnellement avec des personnes qui n'ont pas acheté tout de suite, mais qui achèteront dans 1, 2, 3, 4 challenges. Donc, il n'y a que des bénéfices de le faire maintenant, même si on a 100 abonnés, j'ai envie de dire, même 300, même si on en a 100. Mais moi, j'irai à fond, mais j'irai à fond. Ma première conférence, j'allume la caméra, j'avais 60 inscrits et j'étais paniquée. Je me dis, oh là là, 60, comment je vais gérer ? Et là, ça s'allume et je vois 3, le chiffre 3 en bas sur Zoom. Je me dis, c'est quoi ça ? Et moi, ça se voit sur mon visage, donc je commence à me décomposer. Je me dis, pourquoi il y a 3 personnes ? Et je suis là, je cherche, je cherche, je regarde les noms discrètement pendant que je discute. Puis là, je me dis, merde, il y en a une que je connais, il y en a un autre, c'est un pote. Mais c'est qui la troisième ? En plus, Zoom coupe parce que c'est...

  • Speaker #0

    Limité aux 45 minutes.

  • Speaker #1

    Je ne sais pas, tu étais allée comme une vraie bourrine en disant, on y veut les gars, on n'a peur de rien, 40 minutes. Et là, je vois un décompte 5, 4 et je me dis... J'ai pas fait mon offre. Et là, ça m'a coupé dessus. Ah non, mais je suis vraiment...

  • Speaker #0

    Merci de le raconter. Et merci de dédramatiser ça. Parce que je pense qu'il y a tellement de personnes à qui ça arrive, ce genre de bug technique, et qui se sentent tellement honteux après, ensuite, en se disant oh là là, je suis qu'une merde, j'avais pas pensé à ça. Mais en fait, ça arrive à tout le monde, c'est juste qu'on n'en parle pas, quoi.

  • Speaker #1

    Mais oui, et moi, je l'assume. Et après, c'est la fin qui est drôle. C'est quand je dis à tout le monde, mais je comprends pas, il y avait trois personnes, mais c'est qui la troisième ? Ça se trouve, c'est une potentielle cliente. Et quelqu'un me dit, mais non, c'était toi. Et là,

  • Speaker #0

    je me dis, comment ça,

  • Speaker #1

    c'était moi ? Elle me dit, bah oui, sur Zoom. Tu comptes comme participant ?

  • Speaker #0

    Oh non.

  • Speaker #1

    Mon monde intérieur s'est effondré jusqu'au sous-sol. Et là, j'ai dit, OK. D'où l'importance de connaître les chiffres. Si je connaissais mes chiffres, je saurais combien il y aurait de personnes en direct. Donc toutes celles qui ont peur en disant, parce qu'on me l'a déjà fait, j'ai déjà 50 inscrits. Tu sais les gestes de stop. Oui, mais tu en as 50 inscrits, mais il y en a peut-être 10 qui vont venir. Cool. Donc c'est important de le dire, parce que des fois, il y en a qui s'arrêtent à 10 et il y aura une personne, et elles vont me dire, mais il n'y avait qu'une personne. C'est normal.

  • Speaker #0

    C'est toujours trop ou toujours pas assez, on n'est jamais content.

  • Speaker #1

    C'est ça, le problème de l'humain.

  • Speaker #0

    J'ai très envie qu'on continue sur ce côté chiffre, parce que je fais partie de ces personnes qui aiment chiffrer à chaque fois, donner des moyennes, parce que je trouve qu'avoir un référentiel quand on crée un premier challenge, ça aide beaucoup. Comme par exemple, moi, je suis plutôt de la team webinaire, et en fait, personne ne me disait, un taux de show-up moyen, c'est 30%. Et donc moi, avec mes 60% sur mon premier webinaire, Alors en fait, c'était juste génial. Donc, quels sont les grands chiffres qui te montrent qu'un challenge performe bien ? Ou alors que tu es sur la bonne voie ? dont les auditeurs pourraient se servir comme un peu référentiel de leur côté.

  • Speaker #1

    Là, je vais parler sur un trafic froid, parce que c'est ce que je connais, moi, qui vient de pub.

  • Speaker #0

    Donc, froid, c'est des gens qui ne te connaissent pas, qui n'ont jamais entendu parler de toi, qui voient passer une pub ou un repartage de story ou un truc comme ça.

  • Speaker #1

    Voilà, avec toutes les insultes qui vont avec sous les pubs. C'est ça, quand vous faites une pub.

  • Speaker #0

    Les insultes, c'est normal.

  • Speaker #1

    C'est normal, on adore. Allez-y, continuez. Ça me coûte moins cher, après, sur la pub.

  • Speaker #0

    Mais c'est ça, en fait. Les gens qui t'insultent, les gens qui commentent, même si c'est pour t'insulter. font baisser tes coûts tarifaires et publicitaires. Ça, il faut le savoir. Mais oui,

  • Speaker #1

    c'est pour ça que moi, je le dis à celui qui gère ma pub. Une fois, je lui ai dit, il me dit, oh là là, mais tu te fais insulter tout le long. Il y avait au moins 300 insultes sur la vidéo. Je lui ai dit, combien elles nous coûtent ? Il me dit 6 euros au lieu de 10. Vas-y, accélère. Je lui ai dit, il m'a dit,

  • Speaker #0

    mais continue à m'insulter.

  • Speaker #1

    Continuez. Bon, revenons à nos chiffres. Froid, c'est plus difficile. Donc, bien entendu que vous pouvez augmenter facilement si c'est des gens qui vous suivent déjà sur votre communauté depuis un petit moment. La première chose qu'on regarde, c'est la page d'inscription. Moi, j'emploie des mots très simples. Page d'inscription. Là, moi, je suis contente quand je suis à 20-25%.

  • Speaker #0

    De conversion.

  • Speaker #1

    De conversion. De personnes qui vont regarder cette page, qui vont s'inscrire et qui vont entrer dans mon tunnel. 25%, je suis contente.

  • Speaker #0

    Donc, sur 100 personnes qui voient ta page de capture, 25 qui s'inscrivent, la sortent email et valident.

  • Speaker #1

    Exactement. Trop bien. Bien entendu, on le redit, quand c'est du chaud, peut-être qu'il y en a qui vont monter à 40, 50% parce que les personnes vous connaissent, elles connaissent votre qualité. Donc là, elles y vont, elles s'inscrivent. Ensuite, ce qu'on regarde, on regarde la deuxième chose. Moi, j'aime bien regarder. Alors, il y a énormément de choses. On peut regarder le nombre de personnes qui rejoignent le groupe. En fait, il faut imaginer comme une frise, comme un tunnel. Et à chaque endroit, on met un petit arrêt. On se dit là, est-ce que j'ai 25% ? Oui, je suis bien. Non, je ne suis pas bien. OK, je vais regarder ma page d'inscription. C'est qu'elle a un problème. Deuxième étape, le nombre de personnes qui rejoignent le groupe. Quand ils arrivent sur ma page de confirmation, il y a un bouton qui leur permet de faire rejoindre le groupe. Là, il y aura les lives. Quand je suis à 40, 50%, la moitié qui rejoignent, pareil, je suis contente. Ne vous perdez pas dans les pourcentages de pacotille, comme on dit. Oui,

  • Speaker #0

    on n'est pas entre 43 ou

  • Speaker #1

    51. J'en ai parfois qui me disent, attends, je retouche tout parce que je suis à 50, mais moi, je veux être à 52. Enfin, à un moment donné, ce n'est pas là où il faut mettre le 20-80. Donc, quand vous êtes dans ces environs-là, c'est bien. Ensuite, sur le nombre de personnes qui sont dans le groupe, on regarde le nombre de présents au live. Sur 100 personnes qui sont dans le groupe, tu peux en avoir, allez, je vais dire 40 qui sont en train de regarder le live.

  • Speaker #0

    Donc 40%. De show-up au live.

  • Speaker #1

    C'est ça. OK. Si vous savez les tenir en haleine pendant plusieurs jours, parce que je précise qu'il est normal que vous ayez une chute. Moi, je fais, par exemple, du lundi au vendredi. Le jeudi, vendredi, c'est toujours deux jours où, je ne sais pas, au lieu de 50 personnes, on va descendre à 35, à peu près. 30-35.

  • Speaker #0

    J'ai vu des challenges qui duraient trois jours, d'autres sept. Est-ce que tu as une durée, toi, avec tous tes tests, que tu recommanderais ?

  • Speaker #1

    Quelqu'un qui est vraiment expérimenté, qui sait présenter son offre, qui a l'habitude, qui est reconnu, qui a beaucoup d'autorité sur le marché, trois jours seraient suffisants. Cinq jours, moi je le fais parce que je parle trop et parce que ça me va et c'est construit comme ça depuis 15 challenges. Et ça te convient bien ? J'ai pas envie de changer, la flemme. Raison suffisante,

  • Speaker #0

    valable. C'est ça.

  • Speaker #1

    Et sept jours, je trouve ça long et surtout, s'il vous plaît, ne faites pas des 21 jours. J'en vois sur 21 jours, sur un mois, en fait, les gens sont épuisés, vous n'avez plus leur attention. La vie, elle continue en dehors du challenge. Donc, dès que ça dure trop longtemps, vous perdez tout l'effet « waouh » de « j'ai une date de fin dans cinq jours » . Je sais que je mets ma vie en off, parce que vraiment, c'est ça, les participantes, souvent, elles me disent « mais j'ai pas dormi de la nuit, j'ai pris plein de notes, je suis excitée » . Elles sont dans un état, mais heureusement que ça ne dure pas trois semaines. Parce que là, les offintos de France m'appellent et me disent « Madame, qu'est-ce que vous leur avez fait ? » Donc,

  • Speaker #0

    cinq jours, c'est une bonne... durée pour se challenger peut-être sur une première fois elle avait pas compris mon jeu de mots et j'ai eu à mort ok donc c'est bien de garder sur une durée de 4-5 jours pour en tout cas tester une première fois ce format de challenge oui Très bien, donc je reviens aux chiffres parce que j'ai commencé à digresser. Donc tu parlais de 40% de show-up par rapport au nombre de personnes inscrites dans le groupe. Donc si j'ai 100 personnes dans mon groupe, d'ailleurs on n'a pas précisé si ça devait être un groupe Facebook ou autre, mais on va voir. Facebook,

  • Speaker #1

    on peut faire n'importe où. Il y en a qui veulent faire sur Telegram parce qu'elles ne veulent pas de Facebook. sur WhatsApp. Ne vous fermez pas au comment, en fait. Ça qu'il faut qu'on fasse comprendre.

  • Speaker #0

    Et toi, tu le fais sur Facebook ?

  • Speaker #1

    Moi, je le fais sur Facebook parce que je suis là. Moi, je suis un dinosaure. Je suis là depuis huit ans. Facebook, c'était ma vie avant. Tout le monde dit que c'est fini, mais moi, c'était ma vie. En fait, arrêtez parfois. Ça, c'est un conseil général de vous fermer dans le... comment je fais ça ?

  • Speaker #0

    C'est plutôt comment t'as envie de faire ça.

  • Speaker #1

    Et c'est ça, on oublie de partir d'une source de kiff, de plaisir, à quoi ça ressemblerait si ça me ressemblait dans mon énergie, ma façon d'être, pour que ça parte de soi. Et là, c'est puissant. Le comment, c'est la broutille d'après. Est-ce que je dois avoir 5 pages à ma page de vente ou 4 ? Est-ce que ma vidéo doit faire 10 minutes ou 20 minutes ? En fait, tu peux être impactante en une phrase.

  • Speaker #0

    Je retiens quand même qu'on doit avoir un espace communautaire parce qu'il y a la partie communauté, échange avec les participants. Et un espace où tu peux passer en live. Donc, ça peut être deux outils séparés. Ça peut être un seul et même endroit. D'où le groupe Facebook qui est quand même très pratique pour ça. Mais c'est quand même ces deux piliers qui doivent être présents.

  • Speaker #1

    Oui, parce que la communauté, c'est la puissance qui va faire que je donne un tips à cet endroit-là. C'est quand les personnes m'en achètent en direct. J'ai mon équipe qui est dans le chat et on est là. Félicitations Stéphanie, félicitations Julie. Et en fait, tout le monde a cette, j'allais dire, vibration. Tout le monde a cette énergie qui monte en flèche. Tout le monde se dit, moi, je veux faire partie du truc. Ça m'a excitée pendant quatre jours. Voilà, tu as compris.

  • Speaker #0

    OK, très bien. Pour finir sur les chiffres, 40% de show-up viennent à mon live. Je suis sur Facebook, je vis ma meilleure vie. J'avais 100 inscrits, j'ai 40 personnes qui sont là. Si tu me dis que c'est normal que peut-être j'ai 40 personnes le lundi et que le jeudi et le vendredi, elles soient 30,

  • Speaker #1

    28 à peu près. C'est normal.

  • Speaker #0

    C'est normal parce que la vie, les imprévus, etc. Certaines, j'imagine, rattrapent aussi les replays. Je vais présenter mon offre. On en parlera juste après de comment. Combien de ventes est-ce que je peux espérer avoir en moyenne quand je débute sur 28 personnes, par exemple ?

  • Speaker #1

    Tu n'as pas un chiffron, là ? Tu m'as donné 28, toi.

  • Speaker #0

    Alors, sur 10 personnes.

  • Speaker #1

    Sur 10 personnes ? Là, ça va dépendre. Est-ce que tu as une offre à 50 euros ou une offre à 3 000 euros ? Donc là, j'ai un peu de mal à répondre à ça.

  • Speaker #0

    On se fait des changes pour les offres à 50 euros ?

  • Speaker #1

    Il y a des personnes qui le font parce qu'en fait, encore une fois, ça leur permet d'éviter d'être en call toute la journée et de rassembler tout le monde en même temps. Donc quand il y en a qui commencent, elles testent un peu tout, elles goûtent à tout. Donc oui, on va dire sur une offre à 1 000 euros. Si c'est ton premier challenge, déjà, honnêtement, si t'en fais deux, je vais être bas exprès. Si t'en fais déjà deux, honnêtement, sois contente. Moi, le premier, je t'ai dit, j'avais fait zéro vente et c'est OK, quoi. Mais déjà deux, oui, c'est déjà bien. 1000 euros, deux personnes, tu vas en convertir d'autres plus tard. Ça qu'il ne faut pas oublier. Il ne faut jamais être déçu de ce que vous faites parce que vous pouvez le réutiliser.

  • Speaker #0

    Bien sûr,

  • Speaker #1

    capitaliser. C'est ça, les autres personnes qu'on suivit. Moi, à mon dernier challenge, j'ai eu plusieurs personnes qui étaient dans ma liste mail depuis 2021. Elles ont acheté en janvier 2024. Et ça augmente de plus en plus. Je pense que tu t'en rends compte aussi. Oui,

  • Speaker #0

    pareil. Moi, j'ai un taux de transfo de deux ans, deux ans et demi aussi parfois.

  • Speaker #1

    Avant, on disait que c'était trois, six mois. Il y a peut-être quatre ans de ça. On était sur du trois, six. Et là, on rallonge, on rallonge, on rallonge. Beaucoup de demandes, beaucoup d'offres. Les gens ont peur. Donc, c'est normal. Donc, continuez à entretenir. Hyper important de le préciser dans les tips. C'est comme si vous alliez à un date, ça c'est un sujet que j'adore et tu le sais, vous alliez à un date, ça se passe hyper bien, et là vous ne donnez plus aucune nouvelle. C'est un peu comme votre liste e-mail. Vous faites une conférence, vous envoyez un e-book, un lit de maniettes, peu importe. Puis derrière, vous dites, personne ne parle avec moi. Mais oui, mais tu n'en vois rien. Là, c'est pareil, vous avez fait un challenge. Vous les avez chauffés, vous les avez connectés humainement, vous avez passé des super moments avec. Continuez à entretenir régulièrement cette relation pour que les personnes ne vous oublient pas et aient envie de passer à l'action avec vous.

  • Speaker #0

    Donc c'est à la fois, j'imagine, déjà la partie de tous les e-mails, les séquences de vente. Ausha. Plus après ça, continuer à envoyer des newsletters toutes les semaines ou tous les 15 jours à minima pour continuer à entretenir cette relation, délivrer de la valeur, etc.

  • Speaker #1

    C'est ça, il faut le voir. Exactement, c'est le bon mot, comme une relation. Dans une relation avec une copine, on ne lui envoie pas un message un jour et on ne disparaît pas pendant deux ans et puis d'un coup, je ne t'ai pas dit, j'ai une nouvelle offre. Et puis on me dit, je ne comprends pas, elles ne savent plus qui je suis. Oui, ça fait deux ans que tu as disparu. Entretenez la relation et imaginez dans votre tête, pour que ce soit plus simple, c'est comme si je parlais à une amie. Allez-y, transmettez qui vous êtes, parlez de vous, parlez de votre histoire, parlez de comment vous pouvez l'accompagner. Donc, entretenez tout le long une relation humaine.

  • Speaker #0

    C'est hyper intéressant. Et ce que j'aime aussi dans ce que tu nous as dit, c'est que même en donnant des pourcentages de conversion, des chiffres qui sont des chiffres moyens, qui sont les chiffres normaux du marché, on se rend compte quand même qu'il faudrait y aller si je veux faire 10 ventes, ce qui n'est pas énorme, parce qu'il y a plein de personnes qui se disent « Ma première offre, ma première formation ou mon premier accompagnement, je voudrais faire une dizaine de ventes. » Ça ne nous semble pas énorme, mais il faut quand même... beaucoup d'inscrits pour arriver à faire cette divente. Et ce serait illusoire de penser que si j'ai 100 inscrits, je vais faire 40 ventes. Oui. Ou alors,

  • Speaker #1

    vous êtes ex-fine du perfecting. Voilà. Ou alors, vous avez une offre à 10 euros et c'est OK.

  • Speaker #0

    C'est rarement le cas.

  • Speaker #1

    C'est rarement le cas.

  • Speaker #0

    Non, mais c'est très intéressant parce que je pense que ça met les gens aussi face à une réalité où parfois, on me dit souvent, tu vends beaucoup pendant la BSB Academy parce que je fais parfois des promotions avec 500 personnes. Oui, mais sur 500 personnes, j'en avais... 15 000 inscrits à mon webinaire. Et j'en ai converti 500, donc c'est tout aussi des histoires d'échelle. Et c'est pour ça que c'est important que tu le redises et que tu le redises et que tu le redises. Quand on a un business, on s'appelle des chefs d'entreprise. On ne s'appelle pas une auto-entrepreneur, une thérapeute, une psy. On est aussi une chef d'entreprise, une chef d'entreprise. C'est comme un pilote d'avion, il a un tableau de bord. Si l'avion, il commence à chuter, il se dit, j'appuie où ? Il n'est pas là en train de se dire, celui-là ou celui-là ? Non mais c'est vrai, il y a beaucoup de personnes qui arrivent, qui ne connaissent pas les chiffres, rien que ça. Et qui disent... Mon challenge n'a pas marché, j'arrête. Ok, attends, tu sais quoi ? Juste pour le kiff, viens me le montrer. Et là, je vois dans le tunnel qu'on vient d'expliquer où il y a un trou. Et là, je dis, ok, là, il y a un problème. C'est à cet endroit-là qu'on va venir réparer. Soyez des pilotes d'avion. On est des chefs d'entreprise. C'est important de le dire. On ne joue pas à la marrelle. On ne joue pas aux devinettes. Et quand vous avez les chiffres auprès de professionnels, que ce soit Aline ou d'autres personnes... Là, vous pouvez vous dire ça, ça va, ça, ça va pas, ça, ça va. Et vous pouvez manager votre propre jeu plutôt que de subir en disant ça va pas. Je jette le bébé, l'eau du bain et tout ce qui va avec quoi.

  • Speaker #1

    Mais tu vois, je défends les auditeurs. Il y a tellement peu de personnes qui partagent ces chiffres que des fois, c'est très compliqué. Quand tu te lances, que tu veux vendre, que ce soit via un webinaire, via un challenge, via des emails, tu ne sais pas c'est quoi la normalité, les chiffres globaux, le taux de conversion d'un email de vente, etc. Si personne te dit c'est 3, 4 %, toi, quand tu fais 5 %, tu peux penser que c'est de la merde. Alors qu'en fait, c'est génial. Et donc, merci de partager ces chiffres. C'est ça, mon message.

  • Speaker #0

    Il ne faut pas avoir peur d'aller voir des personnes. Souvent, on a peur de nous envoyer des messages, mais des vrais messages. Mais moi, quelqu'un qui me dit écoute, c'est quoi ? Je prends une séance avec toi si c'est possible pendant une heure. Et je veux que tu me dises c'est quoi les chiffres ou je veux que tu me dises ça ou je veux que tu me dises comment toi, tu l'as vécu émotionnellement. Faites-le, trouvez un ou une mentor. Allez poser des vraies questions et ne vous dites pas, comme tu as dit, je suis une merde, ça ne marche pas pour moi, les autres sont meilleurs. Non, les autres, ça fait 18 fois qu'elles le font. C'est ça.

  • Speaker #1

    Et puis, si ça se trouve, juste, on est doué et c'est que dans la tête, on s'était imaginé des standards ou des chiffres qui ne sont pas du tout la réalité du marché.

  • Speaker #0

    Merci. Tu as parlé d'un truc hyper important, les leviers de facilitation. Je ne sais pas si ça se dit. On invente levier de facilité. Tout ça pour dire quoi ? En fait, n'essayez pas de vouloir ressembler à une autre personne dans son modèle de vente. Moi, je me suis beaucoup comparée et je me souviens qu'une fois, je suis allée dans un mastermind et je regardais une autre fille et je me disais, « Elle a une communauté de ouf. Moi, je n'ai pas une grosse communauté. » Et je l'enviais et je sentais que je l'enviais au fond de moi en me disant, « Mais comment elle fait ? Pourquoi moi, je n'y arrive pas ? » Et là, la comparaison et tout ça, j'étais à fond dedans. Et à un moment donné, pendant la pause, on sort dehors et je la vois effondrée de dos. Je vois bien qu'elle est là comme ça. Je me dis, « Mais... » Je vais y aller, je ne vais pas la laisser. Je lui demande si c'est OK que je vienne vers elle. Et dans la discussion, elle me dit, je suis dégoûtée, il y a ça qui ne va pas, ça qui ne va pas. Elle dit, regarde comme toi, tu as fait plus de 3 millions avec tes challenges. Et là, je me suis pris une gifle monumentale de me comparer à une personne en me disant, mais elle, elle a une communauté de ouf et moi, je suis nulle. Je me suis dit ça pendant deux jours. Et elle me regardait en me disant, et l'autre, elle fait des challenges à plusieurs millions et moi, je suis nulle. Et là, je lui ai dit, c'est fou. Mais tu sais quoi, j'étais en train de me comparer à toi. Et on s'est regardé. On s'est pris dans les bras, on a chialé comme des merdasses pendant 8 demi-heures de se dire qu'en fait, on s'autoflagellait avec nous-mêmes dans nos tripes. Elle, elle faisait ça sur moi, moi, je faisais ça sur elle. Et ce jour-là, elle m'a fait comprendre qu'il y a des choses qui ne sont pas notre truc. Et si moi, ce n'est pas mon truc de créer des posts tous les jours parce que je ne peux pas et c'est en train de me faire avoir des vertiges et des hauts-le-coeur de créer des posts tous les jours. Par contre, tu me mets en live, tu me fais coacher n'importe qui pendant des milliers d'heures. J'adore ça. trouvez vos leviers facilitateurs. S'il y en a, c'est les emails. Faites de la vente par email. Vous aimez les challenges, coacher des gens en direct, être dans l'humain, être authentique. Vous pouvez rire, vous pouvez faire tout ce que vous voulez dans un challenge. Faites des challenges. Donc, trouvez vos leviers et vous arrêterez de vous comparer. C'est hyper important. Oui,

  • Speaker #1

    tu peux louer les forces, les choses qui paraissent faciles, en fait.

  • Speaker #0

    Parce qu'on se dit, Aline, elle récite super bien dans les webinaires. Mais si ce n'est pas ton truc ? Ça se trouve, ce n'est pas ton truc. Donc, tu vas essayer de copier Aline ? Non, pourquoi on arrête ça ?

  • Speaker #1

    Justement, sur la partie purement contenu, qu'est-ce qu'on met dans son challenge ? Je veux bien que tu nous donnes ton exemple à toi, qu'est-ce que tu vends à la fin ? On va partir de ça, décris-nous ton offre. Et ensuite, décris-nous le contenu du challenge jour par jour, si tu acceptes de partager. Et pourquoi est-ce que tu as choisi de mettre ce contenu-là ? Ce que j'aimerais bien qu'on explique aux spectateurs et aux auditeurs, c'est qu'est-ce qu'on est censé mettre en termes de contenu pendant ces cinq jours ? Comment faire la différence entre trop de contenu passé, le contenu gratuit, le contenu payant ? Enfin, je sais que c'est une question qui va popper dans les commentaires.

  • Speaker #0

    Oui, mais là, tu m'excites, tu m'as tout donné d'un coup, il faut que tu me recadres après, d'accord ? Vas-y, vas-y. Alors, l'offre. Pour ce challenge-là, je vends l'Académie des entrepreneurs d'impact. C'est une académie dans laquelle j'apprends à des entrepreneurs de A à Z à développer un business au service de leur vie. On passe par la vision, le client idéal, l'offre irrésistible, c'est important de le préciser, les réseaux sociaux et apprendre à faire des conférences ou des challenges. Ça, c'est la boucle que j'apprends dans mon programme. Eh bien, j'ai basé le challenge là-dessus. Un challenge, vous devez le baser sur une des plus grandes problématiques de votre client idéal. Donc, vous choisissez la plus grande problématique. Ça vous fait votre promesse ou votre titre de challenge. Mon titre de challenge, c'est attirer deux fois plus de clients sans vous vendre.

  • Speaker #1

    Promesse irrésistible.

  • Speaker #0

    Et là, pendant cinq jours, je répète, je vais donner des prises de conscience sur... C'est quoi une offre irrésistible et les erreurs à ne pas commettre ou à l'inverse qu'il faut mettre dedans ? Il y a une journée sur c'est quoi les modèles de vente et qu'est-ce qu'on peut faire comme modèle de vente ? Et nous, j'explique le challenge parce qu'on est déjà expérimenté là-dessus. On a une journée sur les appels. Faut-il faire des appels ? Oui ? Non ? Pourquoi ? À quel niveau ? Quand est-ce que c'est utile ou pas utile ? On a une journée sur les 15 erreurs. Quand on veut être femme, entrepreneur et vivre de son business, et il y a la journée pyramide de la visibilité, comment on travaille sa visibilité, gratuit, payant, pourquoi, dans quel cas. Et quand vous regardez un petit peu ce que je vous ai présenté, c'est l'académie, pilier par pilier un peu.

  • Speaker #1

    Presque module par module en fait.

  • Speaker #0

    Presque module par module, donc vous pouvez suivre le même modèle en disant, bah tiens, voilà mon offre, si je la découpais en 5 jours, 5 piliers, à quoi ça ressemblerait ? Et j'ai basé mon challenge là-dessus. J'ai oublié, j'ai un live la veille qui n'est pas compté dans les 5 jours. Ce live-là, pour moi, c'est le plus important.

  • Speaker #1

    La veille, donc avant que le challenge commence ?

  • Speaker #0

    Avant que le challenge commence. Moi, le dimanche soir, je fais un live.

  • Speaker #1

    En mode rentrée, préparation ?

  • Speaker #0

    Je me demande si ça se trouve, si je ne ferais pas que celui-là. Donc là, j'abuse un peu. On pourrait déjà vendre des offres, tu vois. Parce que celui-là, en fait, je raconte mon histoire. Je raconte que j'ai connu la rue à 17 ans. C'est là que j'ai eu ma mission de vie avec ma maman qui n'avait pas d'argent pour qu'on puisse être logée. Et j'explique que la liberté financière des femmes, moi, c'est ce qui me touche depuis que j'ai 17 ans. J'explique quand j'ai connu la rue, le rejet de groupe des femmes, quand j'ai connu l'abandon, quand j'ai connu des deuils traumatiques. En fait, j'ai eu une succession, et c'est important que je vous explique ça, j'ai eu une succession de trop de ma vie où je me suis dit, mais comment c'est possible ? Qu'un seul être humain, on lui ait donné tout ça. Je crois que j'ai eu toutes les blessures de l'âme, tout ce qu'il existe, on m'a tout mis sur le dos. On s'est dit, elle, là, on va la choisir, elle va payer. Et en fait, j'ai compris quelque chose, c'est que c'est par l'expérience que j'ai vécue dans ma chair, dans mon émotionnel, qu'aujourd'hui je suis en capacité d'accompagner ces thérapeutes, ces coachs, ces formatrices qui connectent avec moi par mon histoire. Et en fait, le dimanche soir, et c'est la chose que les trois quarts des entrepreneurs oublient, on en parle, mais il y en a peu qui osent le faire, c'est que moi, dès le premier soir, j'y vais. Voilà qui j'ai été. Voilà ce qu'on m'a fait, voilà ce que j'ai subi dans mon corps, dans mon âme, voilà la femme que j'ai été, voilà celle que je suis aujourd'hui avec mon équipe, le business, le succès. Donc on a le parcours et c'est là où il y a tout qui se fait. Parce qu'en fait il y a des femmes qui vont se dire mais moi je me reconnais, moi aussi j'ai la blessure du rejet, moi aussi on m'a humiliée à l'école ou moi aussi j'ai connu la rue. Et tu verrais à quel point c'est puissant d'oser être dans sa vulnérabilité. leur dis, vous savez, je ne vais pas vous dire que des belles choses sur moi, parce que franchement, je suis juste un être humain, il n'y a pas que du beau. Mais en fait, j'ai envie que vous sachiez qui est-ce que vous allez écouter pendant une semaine. Parce qu'il y a plein de gens sur les réseaux, tout le monde donne son avis. Pourquoi vous m'écouteriez-moi ? Voilà qui je suis. Si vous sentez que je suis un humain, on va dire, qui vous donne envie de connecter humainement, je vais être là pour ça, parce que toute la semaine, je vais venir vous mettre des putains de coups de pied au cul. Vous avez besoin qu'on ait un lien les deux. Et là, ça connecte. Et là, je vends à ce moment-là aussi, pour celles qui ont un livre, c'est là aussi où je dis, voilà, j'ai un livre. Habituellement, on ne peut pas passer par moi. Il est sur Amazon. Mais là, pendant le challenge, j'en ai 200 à la maison. Donc, si vous voulez, vous pouvez l'avoir. Et en fait... J'ai toute leur attention. Parce qu'on est dans l'humain. Et c'est ça qui connecte. Et les gens oublient, osent pas parler d'eux, se disent « Mais attends, je vais faire pleurer dans les chiomières, je leur dis c'est pas ça. » Oui,

  • Speaker #1

    ou alors il y a le « qui suis-je pour parler de moi ? Je ne suis personne. »

  • Speaker #0

    C'est ça.

  • Speaker #1

    Pourquoi les gens s'intéresseraient à moi et à mon parcours ?

  • Speaker #0

    Ouais. Alors qu'en réalité, dès que vous faites une conférence, un challenge, un live, peu importe ce que vous faites... Allez-y dans qui vous êtes. C'est l'humain qui touche parce qu'en vrai des coachs business comme moi, il y en a un milliard par jour qui naissent. Depuis huit ans, j'en ai vu des milliers de passer. Pourquoi on choisit Aurélie ? Pourquoi on choisit Aline ? Parce qu'on a des personnalités, parce qu'on a une histoire, parce qu'on a une connexion humaine, parce qu'on a une façon de coacher. Moi, des fois, on me dit je te paye parce que je veux que tu me botte le cul. Ah putain,

  • Speaker #1

    mais viens de moi. J'adore les foutages de fesses.

  • Speaker #0

    Non mais voilà, n'ayez pas peur. Vraiment, ça me tient à cœur d'en parler. N'ayez pas peur de parler de votre histoire. Parce que toutes celles que vous êtes aujourd'hui, si Aline, elle fait ce métier, si elle accompagne des gens, il y a une raison. Si j'accompagne des gens, il y a une raison. Si je me bats tous les jours pour incarner la liberté, c'est parce que j'ai été esclave et emprisonnée de ma propre vie, en fait. Et ça me tient à cœur. Donc, je ne développe pas que des business. Vous voyez, il y a un message et trouvez votre message. Qu'est-ce qu'il y a derrière la mission de la liberté financière des femmes ? Je ne développe pas que de l'argent business. J'apprends à mes clientes par amour pour moi. Je me fais respecter. J'apprends à mes clientes à oser être libre, oser, ne plus avoir peur du regard, du rejet, du jugement. Et je libère des femmes où parfois on se dit « putain je suis venue pour une page de vente et je repars » ou « ça va mieux dans mon couple » ou « parce qu'on libère des conditionnements » et moi je pense aux petites filles après, je vais hyper loin mais j'ai une mission tellement grande. Puis n'oubliez pas quand vous parlez de vous, quand vous parlez de vos valeurs, de vos convictions, moi quand j'en parle sur mes réseaux, je me dis « j'ai une tribune ouverte où j'ai la parole » . Moi, j'ai la parole. J'étais celle qui était, moins que rien, une serpillère qu'on marchait dessus. Aujourd'hui, j'allume un micro, on m'écoute. Putain, c'est ouf.

  • Speaker #1

    C'est beau ce que tu dis.

  • Speaker #0

    C'est vrai.

  • Speaker #1

    C'est hyper inspirant. Et je pense que tout le monde a besoin de se trouver sa tribune. Tu le dis très, très bien. Les challenges sont un moyen aussi de faire ça. Et j'aime beaucoup cette astuce du live, presque qui est un préambule au challenge, qui est ce moyen de créer la connexion et de dire, effectivement, pourquoi est-ce que vous allez m'écouter ? pendant 5 jours, voilà ce qu'on va traverser ensemble, voilà ce qui va se passer, voilà ma personnalité, voilà mon style d'accompagnement. Et là, les gens peuvent aussi décider de, oui, je m'engage, parce que ce que j'entends résonne, vibre, me plaît. Ou alors, non, c'est pas pour moi, mais j'imagine qu'il doit y en avoir très peu quand même.

  • Speaker #0

    C'est pour ça que moi, je leur dis directement, je vous dis tout, je vous dis comment ça va se passer. Vous allez voir, je vais être hyper cash. Quand je vais en choisir pour les coacher, vous allez voir que je coupe direct, je coupe la parole, je t'arrête, j'ai l'idée, je sais où je veux t'emmener, j'ai des phrases qui popent dans ma tête. C'est pas par impolitesse, c'est que j'ai une connexion où il faut que ça sorte tout de suite. J'explique tout dès le début et je leur dis « âme sensible,

  • Speaker #1

    quittez le live,

  • Speaker #0

    partez, faites ça » . C'est comme sur Instagram, les gens qui critiquent « faites juste ça » , il y a quelqu'un d'autre de l'autre côté. C'est pareil.

  • Speaker #1

    Et en termes de contenu pendant le challenge, il y a ce premier live. Ensuite, chaque jour, tu vas explorer un des piliers de ta formation. Après, ça fait totalement sens. Pendant ces piliers-là, est-ce que c'est purement théorique ? Combien de temps ça dure ? Et est-ce qu'il y a des exercices pratiques ?

  • Speaker #0

    Alors, je suis une mauvaise élève parce que moi mes lives ils durent deux heures.

  • Speaker #1

    Ok, par jour ?

  • Speaker #0

    Par jour.

  • Speaker #1

    Au lieu de ?

  • Speaker #0

    Une heure, ça serait très bien.

  • Speaker #1

    Le standard c'est une heure ?

  • Speaker #0

    Une heure c'est bien. A l'intérieur c'est très théorique, pratique, il y a de tout. Il y a un mélange où je montre... Les erreurs, ce qu'il est possible de faire, des prises de conscience. Je montre des études de cas. Je prends des personnes à qui je dis qui a une offre. On va aller regarder ensemble devant tout le monde. Donc, il y a un partage d'écran où on regarde l'offre. J'analyse, j'explique ce qui ne va pas. Des études de cas en direct. direct. Une heure, c'est bien. Deux heures, c'est long. Deux heures, il faut avoir l'habitude. Il faut tenir les gens en haleine, il faut leur donner envie.

  • Speaker #1

    Il faut aller énergier aussi pendant deux heures.

  • Speaker #0

    Je pense qu'on est des sportifs de haut niveau. Pas physiquement. Je déteste le sport. Quand on est chef d'entreprise, on est sportif de haut niveau. Et moi, je conseille à tout le monde, si c'est possible, quand vous faites un challenge, une conférence, un webinaire, peu importe quoi, moi, mon agenda, il est vidé. Ça veut dire, j'allume la caméra, Je laisse mon équipe gérer le avant, le après, les coulisses. Je n'ai pas la capacité mentale de pouvoir faire des coachings avant, pendant, après. Et moi, quand je me connecte à quelqu'un, ça me puise énormément d'énergie. Parce que, on va le préciser, je ne sais pas si ça va faire trop d'infos, mais après mon live, moi, je vends un accès à 57 euros. Alors, ce n'est pas obligé que ce soit 57. Je vends un accès à un groupe VIP. C'est des personnes qui s'inscrivent, qui payent. Elles peuvent accéder au challenge gratuit pendant toute la semaine, mais elles viennent l'après-midi avec moi pendant une heure. Là, on a un groupe. Moi, sur 150 présentes, je prends des chiffres qui me reviennent en tête. J'en ai peut-être 50 ou 60 qui vont acheter le pass VIP. Et on a nos 80 % facilement cachettes qui sont dans le pass VIP.

  • Speaker #1

    Donc, en fait, c'est un challenge gratuit, mais avec un upsell. sur une expérience premium pendant la semaine du challenge, qui sont ces après-midi avec toi. Et après, à la fin, effectivement, tu vends à tout le monde, VIP ou pas, ton offre.

  • Speaker #0

    Exact.

  • Speaker #1

    C'est vrai que c'est une stratégie qui est un peu plus avancée. Peut-être qu'en premier challenge, on pourrait quand même conseiller de faire juste le challenge gratuit, la vente à la fin. Ne commencez pas à vouloir faire des upsells de partout.

  • Speaker #0

    En fait, plus vous faites simple, plus ça fonctionnera. Parce que nous, on complexifie avec le temps, parce qu'on est habitué.

  • Speaker #1

    Et l'expérience, bien sûr.

  • Speaker #0

    Voilà, simple. Un petit groupe Facebook, vous allez vous mettre en live sur le groupe, on commence doucement, on ne veut pas aller trop loin, mais c'est important d'en parler pour celles qui font déjà des challenges. Et pour faire comprendre qu'il y a des gens qui sont prêts à investir, et ces personnes-là, on en a vraiment 8 sur 10 cachettes, parce qu'elles ont été prêtes à sortir la carte. Et on sait qu'elles, il faut les chouchouter encore plus, parce que je me dis, et je vais être très honnête, même moi, je me dis, il faut vraiment m'allécher, même pour 57 euros, pour que je sorte la carte sans la connaître. Donc c'est le fait qu'on aille coacher. et que je connecte humainement le soir 1 et que je revende encore le premier jour officiel du lundi, où les gens se disent, et c'est là où il y a beaucoup de ventes du VIP, qui se disent « Oh ! Elle va répondre à toutes nos questions ! » Donc n'hésitez pas à créer votre modèle et à... Si vous pouvez, coacher, prendre des personnes en direct avec vous. Mais ça, encore une fois, j'ai fait ça au bout du troisième. J'ai attendu d'être à l'aise avec la caméra, d'être à l'aise avec ma formation, avant de dire on y va, je coache. Mais c'est attesté, c'est pas mal. Et donc l'intérieur, prise de conscience. Et je les amène à, nous c'est 15h, mais tous les jours à 15h, il y a un petit poste avec un exercice. Par exemple, aujourd'hui, tu vas me pitcher ton offre. Aujourd'hui, le jour de l'offre, je choisis un exercice qui correspond au jour de ce qu'elles ont appris et on leur demande de passer à l'action. J'ai des ambassadrices, c'est des anciennes clientes qui ont réussi dans l'académie, qu'on aime particulièrement parce qu'elles sont vraiment ambassadrices. On leur a proposé de venir conseiller, accompagner, donc elles répondent à tous les commentaires, à tous les exercices, ça prend beaucoup de temps. Et on fait ça chaque jour et j'ouvre les ventes le jeudi dans mon cas.

  • Speaker #1

    Je me permets de poser la question, j'aime beaucoup ce système d'ambassadrice. Est-ce que c'est des personnes que tu rémunères ou est-ce que ce sont juste ambassadrices bénévoles ?

  • Speaker #0

    Je suis beaucoup dans le « deux » , le « donner, recevoir » . Donc elles sont payées sur leur semaine de présence, plus des commissions. Quand il y a eu des discussions profondes avec des personnes qui avaient besoin, elles les ont accompagnées en privé toute la semaine, elles ont des commissions à ce moment-là.

  • Speaker #1

    C'est beau. Je trouve ça cool de faire ça parce qu'il y a beaucoup de personnes qui mettent en place des systèmes d'ambassadeurs, de personnes qui… ont suivi le programme, qui viennent dans le challenge ou dans le webinaire pour en parler, etc. Mais c'est des personnes qui ne sont pas payées. Et autant, je peux comprendre quand on n'a pas forcément la marge pour le faire, autant, moi je sais que tous mes mentors aussi sont rémunérés parce que ça reste du travail et parce que ça contribue à générer un chiffre d'affaires pour ta boîte.

  • Speaker #0

    Moi, c'est ce que je dis souvent des fois quand on me dit... Je pars à côté, mais ça va répondre à ça quand on me dit mais des fois, tu n'es pas fatigué quand tu as des équipes de 8 ou 10 personnes. Moi, je ne voulais pas du tout être manager, ce n'est pas mon truc. Je voulais être coach et je me retrouve chef d'entreprise, manager. À cet endroit-là, j'ai envie de dire, repensez toujours à votre mission. La mission est plus grande que ce qu'on fait. Et moi, c'est la liberté des femmes. Donc, quand je paye 10 salaires, j'oublie le management qui me fait chier.

  • Speaker #1

    Tu donnes de la liberté financière.

  • Speaker #0

    Je donne de la liberté financière. Ce n'est pas juste les clientes, c'est aussi mon équipe. Et là, dans ce cas-là, pour moi, quelqu'un qui ne pourrait pas rémunérer, en tout cas, c'est ce qui m'est venu comme ça à chaud, c'est qu'on ne peut pas rémunérer quelqu'un qui vous dit, mais t'inquiète. Et ça, on me le dit tout le temps, mais t'inquiète. Moi, je ne demande rien, je te recommande avec plaisir. Je dis, en fait, ce n'est pas juste pour moi. À un moment donné, tu vois, j'aurai ce truc de dette par rapport à quelqu'un et ça, je ne peux pas. Mais si vous ne pouvez pas les payer, offrez-lui un soin. Si vous faites des soins, si vous faites de la thérapie, du coaching, une copine à vous. Trouvez dans tous les cas, même si c'est envoyer une carte. Moi, pour moi, on doit toujours trouver quelque chose pour remercier la personne et pas se dire, c'est gratuit, tu as raison. Oui, non.

  • Speaker #1

    Et du coup, j'ai une dernière question pour toi qui, je pense, est celle qui brûle les lèvres des auditeurs, des spectateurs. C'est OK, je donne de la valeur, je fais tester mon expertise, j'accompagne, les gens sont en taquette, etc. Mais du coup, comment est-ce que je vends à la fin ? C'est quoi le secret pour faire déjà la transition entre ce contenu gratuit où tout le monde est content et la vente ? Comment est-ce que j'en parle ? Comment est-ce que je mène mon offre ? Comment est-ce que je le fais de manière à être la plus sûre possible de convertir ? Est-ce que tu as des conseils, des bonnes pratiques à nous recommander ?

  • Speaker #0

    Alors ? Il y a deux endroits. Il y a un endroit où je vais certainement vous décevoir et l'autre où vous allez vous dire c'est ok. Là où je vais décevoir, c'est qu'on imagine qu'il faut mettre en place tout un truc pour dire que là c'était le gratuit, mais là ça va être le payant. Calmons-nous. Il faut simplement, en tout cas c'est ce que je fais, je sème des graines, comme j'ai dit tout à l'heure, tout le long. Un petit peu tous les jours, quand je coach, quand j'accompagne, quand quelqu'un me dit « oui mais comment je fais pour… » Je lui dis « écoute, si tu as envie d'aller plus loin, voilà déjà un tips. » sache que dans l'académie, on apprend à nos clientes comment avoir une offre irrésistible. Donc, je sème des graines, je fais comprendre qu'on a une offre et même quasiment dès le deuxième jour, j'explique que je vais présenter le jeudi. Je dis voilà, jeudi, je vais vous présenter en début de live l'académie et le mastermind, parce qu'on a deux niveaux. Je vais vous présenter mes accompagnements en début de live. En fait, je ne fais aucune transition. C'est clair, c'est posé. Oui,

  • Speaker #1

    il y a un contrat de la suite toute la semaine où ils savent que ça va arriver à un moment.

  • Speaker #0

    Aujourd'hui, je pense que les gens sont habitués. Oui. Si, j'en parle peut-être aussi le dimanche, mais ce n'est pas quelque chose où je me suis mis vraiment... Il faut absolument que je leur dise qu'à la fin, je vais leur présenter mon offre.

  • Speaker #1

    Oui, il n'y a pas de coups de trafalgar, de coups de magie à inventer, de stratégie, de « Oup, oup, oup, je fais passer l'information » .

  • Speaker #0

    Et en plus, je leur mets des témoignages de clients, donc je leur montre que c'est possible. Je leur dis qu'on apprend ça, et de toute façon, je vous en parlerai jeudi. Donc quasiment tous les jours, elles savent que si elles se connectent à 12h30 le jeudi, ça sera la présentation de comment travailler avec nous. Je pense quand même, je voudrais ajouter quelque chose. Si vous êtes à l'aise avec ça, ce n'est plus un sujet en fait. Ce n'est pas un sujet. Moi, je suis en amour avec la vente. Je vais expliquer pour ça à certaines personnes. Être en amour avec la vente, c'est de comprendre qu'à un moment donné, il y a des personnes qui souffrent ou qui ont une problématique, qui ne savent pas comment s'en sortir. Pourquoi ça devrait être le diable de venir leur proposer une solution ? Moi j'explique toujours, je n'apprends pas dans mes programmes, et parfois ça peut choquer, objection, contre-objection, tout ce qu'on apprend pour la vente, il n'y a pas de module là-dessus. Moi j'ai un module, être en amour avec la vente, c'est à quel point j'aime ma clientèle. dans ce qu'elle a vécu, dans celle qu'elle est, dans ce qu'elle veut transmettre, dans ce qu'elle veut créer pour le monde, pour lui dire, mais attends, tu sais que j'ai une offre de folie qui pourrait te correspondre. Et moi, je leur dis toujours, mettez-vous comme si vous étiez en élection présidentielle. C'est ton élection. que t'es là en train de te dire, je ne sais pas si je veux leur en parler. Et l'énergie que vous avez, c'est pas sur la transition, mais ça joue. Vous êtes là pendant une semaine à donner du gratuit. Ouais, ouais. Vous arrivez au moment de la vente. Alors, j'avais quelque chose à vous présenter. Et là, votre énergie, elle est plombée. Le corps, il fait ça, il se recroqueville. Parce que vous y allez, dans votre tête, c'est comme si je suis une voleuse, je vais vendre quelque chose, je vais arnaquer les gens.

  • Speaker #1

    Je vous ai roulé dans la farine pendant toute la semaine pour vous laisser. voulaient faire à l'envers alors qu'il n'y a pas du tout ça.

  • Speaker #0

    Eh bien, la transition, ça va être ça. C'est que moi, j'avais une problématique, c'est que je n'osais pas aller dans les événements d'entrepreneurs. Quand on m'invitait pour être sur scène, j'ai ma cape sur scène, je suis hyper à l'aise, on ne peut plus m'arrêter. Quand on me disait, non mais viens, on t'invite en VIP pour que tu sois dans la salle, c'est une horreur. Je frôle les murs, je me cache dans les toilettes, j'ai une hypersensibilité et j'ai une gêne d'être dans du public. Bref. Et quand je disais aller manger son caca, C'est qu'il y a quelques mois, on m'a dit, viens, je fais un événement, je te veux, il y aura 300 entrepreneurs. Je suis allée manger mon caca, je me suis dit, ça me fait peur, mais j'y vais. Et c'est ça que je veux que vous reteniez dans ma phrase. J'y suis allée en me disant, je suis une putain d'opportunité pour les gens qui vont me rencontrer.

  • Speaker #1

    Oh, c'est beau ça, j'aime bien.

  • Speaker #0

    Je te jure, je te jure. opportunités de dingue. Alors que d'habitude, j'y allais en disant, ouais, mais moi, tu sais, souvent, je suis rejetée dans les groupes de femmes parce que je suis trop sensible, trop grande gueule, trop voyante, trop, trop, plein de choses. Et indirectement, malgré que j'ai confiance en moi, j'étais toute petite quand j'arrivais à des événements et je me cachais. Pourquoi on se cache ? Là, vous présentez votre offre, tu es une putain d'opportunité pour la personne qui a une souffrance et qui se dit je ne sais pas comment faire. Et si tu as assez bien travaillé ton offre, tu es capable de lui montrer en quoi tu es une putain d'opportunité comparée à d'autres concurrents sur certains points. Et moi, j'y vais en me disant, ayez cette image quand vous présentez votre offre, donc déjà, êtes convaincu. Être convaincu, c'est être convaincante. Connaître votre offre. Savoir c'est quoi, alors ça, ça me semble fou, mais plein de fois, on me dit je ne sais pas, c'est quoi votre différence avec les concurrents ? Comment vous pouvez être assumé, assuré, kiffer votre offre si vous dites, ouais, mais les autres sont meilleurs. Ils font quoi les autres ? Ah ben, je ne sais pas, je ne suis pas allé voir. comparez-vous sur ce qui est comparable. Moi, je peux, point A, point B, point C, montrer en quoi on a créé une expérience VIP et dire, si ça, ça te correspond, c'est OK. Et imaginez-vous avec un plateau, avec un cadeau dessus ou dans votre main, en disant, moi, je leur dis comme ça, je leur dis, écoutez, je vais vous présenter mon offre. Aujourd'hui, j'ai ça à vous offrir. Celle qu'ils le prennent, c'est OK. Si vous sentez que c'est le bon moment, de toute façon, il n'y a pas de bon moment. Et celle qu'ils ne le prennent pas, c'est OK aussi. Et quand vous y allez avec un détachement de dire « je ne suis pas une vendeuse qui vais forcer » , tout... toute votre énergie, votre corporel, votre posture, tout va changer. Donc dites-vous, je suis une putain d'opportunité pour ces gens-là.

  • Speaker #1

    C'est bon, on va se faire tatouer la phrase de quelque part. J'arrive à la fin de mes questions. Peut-être une qui est un petit peu plus rigolote, alors ça dépend le sens de l'humour qu'on peut avoir. Quelles sont, toi, peut-être les deux, trois erreurs les plus courantes que tu vois chez quelqu'un qui fait un challenge pour, on va dire, la première fois ? L'idée, c'est qu'on puisse évidemment faire de la prévention là-dessus, c'est ça ? N'allons pas sur ce terrain-là.

  • Speaker #0

    OK. La première des choses, c'est d'avoir une promesse, un titre. On peut l'appeler promesse, titre de votre challenge généraliste. Que ce soit une conférence, un webinaire, un challenge, c'est valable pour tout. Venez pendant cinq jours pour découvrir votre potentiel. Potentiel de quoi ?

  • Speaker #1

    C'est trop vague.

  • Speaker #0

    Trop vague. Venez pendant 5 jours prendre confiance en vous. Alors, tu peux avoir confiance pour séduire un mec dans la rue, tu peux vouloir avoir confiance pour monter sur scène et être conférencière, tu peux vouloir avoir confiance pour faire une interview avec Aline, on n'a pas tous les mêmes... envies. Donc plus vous restez bateau, alors vous allez être contente. Elles vont attirer plein de monde, puis à la fin se dire « Mais je comprends pas, il n'y a pas de vente ! » Parce qu'entre les personnes que vous avez attirées et qui sont comme ça, et votre offre qui est normalement plus spécialisée... c'est normal que ça ne matche pas. C'est comme si vous disiez, je veux plein d'hommes dans la salle. Ah bah mince, il n'y en a aucun qui me plaît. Oui,

  • Speaker #1

    soyons spécifiques. J'aime beaucoup la comparaison.

  • Speaker #0

    Donc je dirais ça, avoir un titre spécifique, parce qu'il faut aligner vos planètes, il faut aligner votre message. Si je fais une conférence pour dire, je vais aider les femmes à perdre du poids après une grossesse, Il faut que les jours soient basés là-dessus et que l'offre soit là pour aider les femmes à prendre des poids, à prendre une recette. Il faut qu'il y ait un fil rouge, un alignement des planètes. C'est pour ça, plus vous êtes généraliste, plus il y a du monde qui vient. Mais les gens viennent en se disant, bon, on va voir, je suis là, j'ai vu le mot confiance en soi, j'arrive. Mais vous perdez votre temps en faisant ça. Donc ça, c'est la première erreur. La deuxième, ça rejoint une question que tu as posée, que j'aime beaucoup, donner. Alors, je m'explique. Moi, je donne sans aucune limite. Ça, c'est ma conviction. C'est que, déjà, en deux heures, si en trois heures de live, je donnais tout, les six, neuf mois de mon programme, ça se saurait. Il n'y aurait pas neuf mois de programme. Donc déjà, ce n'est pas possible que vous donniez tout. Donnez de la qualité parce que plus vous savez de la qualité, plus ils vont se dire « mais c'est incroyable, j'ai vécu cinq jours, j'ai eu énormément de prise de conscience, de passage à l'action, j'ai osé faire des choses que je n'osais pas depuis des années » . Ça matchera. Et puis quelqu'un, il y en a d'autres par contre qui vont se dire, et c'est là où il y a l'erreur. Je vais donner un exemple, on va rester sur la confiance en soi. Quelqu'un va faire un challenge là-dessus, puis il va dire, bon les premiers jours, vous osez toutes mettre une veste de couleur. Ah bah super, vous avez mis une veste de couleur. Deuxième jour, vous osez aller aborder quelqu'un dans la rue. Ça, ça ne marche pas. Parce que les personnes vont sortir en se disant... en disant, ah ben c'était sympa, j'ai fait des trucs. Aucune prise de conscience réelle et profonde. Et les personnes vont se dire, bon c'était sympa, mais pas à la hauteur de vouloir acheter un programme. Et vont se dire, ah ben elle m'a tout donné. Alors que moi je viens, et je vais vous donner un exemple plus concret, parce que c'est des entrepreneurs, elles vont comprendre. Je viens donner des réelles prises de conscience. C'est-à-dire, si par exemple, on parle des réseaux sociaux et de la visibilité. Je ne vais pas, par exemple, dire toute la journée, pendant mon live, voilà comment on fait un post de A à Z, voilà comment on fait un réel de A à Z, voilà comment on communique de A à Z. Je ne dis pas tout ce qu'il y a dans mon programme. Ça, oui. Par contre, je viens leur expliquer, avec des études de cas et en montrant des comptes, pourquoi ça ne fonctionne pas. Je viens leur expliquer que poster tous les jours, mais poster sans aucune stratégie, franchement, arrête. Gagne du temps, arrête. Et je viens donner des prises de conscience de « Mais je comprends pas, c'est toujours les mêmes personnes qui likent mes posts. » Bah oui, mais tu te rends visible sur ton compte, mais tu vas pas chercher de la visibilité à l'extérieur, donc tu restes toujours avec les mêmes 100 abonnés et les mêmes 10 personnes qui vont liker ton post. Donc j'apporte des prises de conscience pour que les personnes se disent « Oh putain, mais j'ai... »

  • Speaker #1

    Ils commencent à comprendre les mécanismes qui se jouent et qui font qu'ils mangent pas encore leur caca.

  • Speaker #0

    Je sens que tu as aimé ça. On va donner un dernier exemple sur le poids. Comme ça, on sort du business. Par exemple, quelqu'un qui veut aider les femmes à perdre du poids pourrait faire un premier jour les prises de conscience sur les problématiques émotionnelles, les cinq raisons émotionnelles qui font que tu n'arrives pas à perdre ton poids malgré le sport et malgré des repas équilibrés. Et quand elle va venir expliquer qu'en fait, t'as beau manger tous les légumes verts que tu veux, mais si toi, émotionnellement, t'as des poids, t'as vécu ça, tu manges émotionnellement pour remonter en énergie ou parce que tu vas hyper mal, il y a plein de raisons émotionnelles. Là, les personnes vont se dire...

  • Speaker #1

    Putain mais ouais T'as besoin de les aider vraiment à comprendre les mécanismes Qui se jouent en eux et qui les empêchent d'avancer Vers la direction qu'ils ont envie d'atteindre

  • Speaker #0

    Et quand ils comprennent les mécanismes Les raisons, les croyances que t'as Qui t'empêchent de réussir et quand ils comprennent Tous ces éléments ils se disent Bah ouais mais je fais comment

  • Speaker #1

    Et là t'arrives avec la solution Donc générer des prises de conscience Ça s'applique à tous les métiers ?

  • Speaker #0

    Bah faudrait avoir des spécificités

  • Speaker #1

    Je suis éducatrice canon je vends des formations en ligne sur l'éducation canine j'en ai c'est quoi les piliers du challenge ? qu'est-ce que je fais pendant mes 3-4 jours gratuits ?

  • Speaker #0

    pourquoi ton chien il fait pipi sur ta moquette à chaque fois que tu t'en vas pour aller au travail ? donc il donne des prises de conscience mais il ne dit pas comment faire pour que le chien arrête Elle dit pourquoi émotionnellement le chien le fait et dévore ta banquette et ton super truc tout doux quand tu t'en vas. Et là, ils se disent mais oui, c'est vrai que mon chien, je l'ai eu dans telle situation. Ou c'est vrai que moi, en ce moment, je suis stressée parce que ça va mal dans mon couple. Donc, je vois bien que mon chien, il est stressé depuis que moi, je vais mal. Donc, les gens comprennent leurs cailloux, leurs lacunes, leurs blessures, leurs failles. Et à la fin, ils se disent. En fait, c'est plus simple, une fois que tu as compris pourquoi, de te dire je veux le comment parce que j'ai compris pourquoi.

  • Speaker #1

    Est-ce qu'on peut caricaturer en disant que dans le gratuit du challenge, tu donnes le pourquoi et dans le payant, ensuite, ton offre, tu donnes le comment ? Oui. Ok, très simple.

  • Speaker #0

    Mais tu peux quand même. donné, moi je donne quand même du comment en montrant des études de cas, et là j'y vais vraiment comme une vraie coach, comme une vraie cliente, en disant ça on enlève pour ça, ça on enlève pour ça, mais même quand je fais ça, c'est un échantillon de tout ce qu'il y a dans le programme, donc en vrai... Puis encore une fois, est-ce qu'on a envie de mettre notre énergie sur des personnes qui vont pas acheter concrètement Taline, mais dire moi je veux bouffer tout le gratuit d'Aurélie ou d'Aline, c'est ok, si c'est son fonctionnement de je veux être une femme forte, je veux me débrouiller seule, je veux pas payer quelqu'un pour m'en sortir, prends tout. Oui,

  • Speaker #1

    fais ta vie. De toute façon, tu ne payeras pas. Voilà.

  • Speaker #0

    Et on ne met pas notre énergie là-dessus. On met l'énergie sur celles qui ont besoin de prise de conscience, d'avancer. Et puis là, on donne tout.

  • Speaker #1

    J'adore. Trop bien. Merci Aurélie. C'était hyper clair. J'ai particulièrement apprécié que tu partages ton propre challenge, comment tu as décortiqué ton tunnel de vente, y compris avec les astuces plus avancées d'upsell, de live préambulatoire, on va l'appeler comme ça. Merci de le partage des chiffres aussi, parce que vraiment, encore une fois, je me souviens quand je me suis lancée dans les webinaires, impossible de trouver c'était quoi un bon taux de show up, un bon taux de conversion sur un email de vente, etc. Et en fait, c'est quand j'ai eu ces chiffres au bout du deuxième ou troisième gros lancement que je faisais que j'ai pu vraiment me comparer à la moyenne du marché. Mais sinon, c'était hyper opaque. Donc, merci de contribuer à rendre ça plus clair.

  • Speaker #0

    Avec plaisir. C'était super. Merci à toi. Puis, tu as su m'interviewer, me driver, me diriger. J'adore.

  • Speaker #1

    Écoute, c'était une partie de plaisir. Je n'ai pas eu l'impression de faire quoi que ce soit. Et merci de ton temps encore.

  • Speaker #0

    Merci, merci.

  • Speaker #1

    Pour toutes les personnes qui souhaiteraient déjà en savoir plus sur ton accompagnement, parce que je t'avoue que même moi, je suis vendue là. J'ai envie de signer. qui voudraient travailler avec toi, en savoir plus sur ce que tu proposes. T'as un livre aussi, c'est un moment promo. Fais-nous la promo de tout ce qui te semble important à ce stade-là.

  • Speaker #0

    Pour faire très simple, parce qu'on ne va pas prendre 10 minutes là-dessus, j'ai différents niveaux d'accompagnement. Pour développer un business, c'est l'académie. J'ai un mastermind également qui permet aux personnes, aux entrepreneurs qui ont déjà du business, qui ont empilé des couches d'idées, de stratégies. Elles se sentent alourdies, elles ont réussi à faire leurs premiers 3, 5, 10 000 euros par mois, mais là, elles sentent que... Il faut qu'on m'allège, donc on vient alléger, remettre du kiff. Moi je veux leur donner une vie orgasmique parce que c'est des femmes qui ont beaucoup donné pour les autres, pour leur business. Donc on vient développer ce business-là et j'ai les challengeuses d'impact qui apprend à faire des challenges comme j'en fais. Et le livre Né pour impacter qui est sur mon histoire de vie et plein d'autres thématiques comme la perfection. Comme arrêter d'avoir des putains de croyances qui vous limitent, comme ouvrez-vous à l'abondance, comme jeter le syndrome de la sauveuse à la poubelle.

  • Speaker #1

    Ça va parler à beaucoup. Livre très bien que j'ai à la maison, que j'ai lu. Tu me l'avais offert à la sortie, je l'avais adoré.

  • Speaker #0

    Merci, merci, merci. Merci à toi en tout cas pour l'interview.

  • Speaker #1

    C'était trop chouette. Merci.

  • Speaker #0

    Et à très vite.

Chapters

  • Présentation d'Aurélie GAUTHEY, coach pour entrepreneur

    00:42

  • Qu’est-ce qu’un challenge ?

    06:29

  • À quel business ça s’adresse

    09:16

  • Les avantages des challenges en ligne

    10:06

  • À partir de quelle taille d’audience peut-on organiser un challenge ?

    12:20

  • Les chiffres de référence d’un “bon” challenge

    19:12

  • Que contient un challenge ?

    33:56

  • Comment vendre et faire la transition entre le gratuit et le payant ?

    47:26

  • Conclusion

    01:00:11

Description

Vous rêvez d'attirer plus de clients tout en créant une vraie connexion avec votre audience ? Découvrez le pouvoir des challenges, ces événements en ligne qui permettent de transformer des inconnus en clients fidèles en seulement 5 jours !


Dans cet épisode je reçois Aurélie, experte en challenges marketing.


Au programme :


➡️ Les chiffres clés et taux de conversion réalistes d'un challenge

➡️ Comment structurer votre challenge sur 5 jours pour maximiser l'engagement

➡️ Le secret pour faire la transition entre le contenu gratuit et votre offre payante

➡️ Les erreurs à éviter absolument quand on débute

➡️ L'importance des prises de conscience vs le contenu purement pratique


Bonus : Découvrez l'astuce du "live préambulatoire" qui va booster vos ventes et l'approche innovante du "Pass VIP" pendant le challenge.


Que vous soyez coach, formateur ou entrepreneur dans l'accompagnement, cet épisode vous donnera toutes les clés pour créer un challenge qui convertit, tout en restant aligné avec vos valeurs.


PS : "Je suis une putain d'opportunité" - la phrase à vous répéter avant de présenter votre offre ! 🎯


✨ Épisodes recommandés :




✨ Retrouvez Aurélie Gauthey  :




✨ Chapitres :

0:42 - Présentation d'Aurélie Gauthey, coach pour entrepreneur

6:29 - Qu’est-ce qu’un challenge ?

9:16 - À quel business ça s’adresse

10:06 - Les avantages des challenges en ligne

12:20 - À partir de quelle taille d’audience peut-on organiser un challenge ?

19:12 - Les chiffres de référence d’un “bon” challenge

33:56 - Que contient un challenge ?

47:26 - Comment vendre et faire la transition entre le gratuit et le payant ?

1:00:10 - Conclusion

🎙️ N'oubliez pas de vous abonner pour ne manquer aucun épisode. Et si cet épisode vous plaît, n'hésitez pas à laisser une note et un commentaire sur Apple Podcast, Spotify ou votre plateforme d'écoute ! Cela aide le podcast à atterrir dans les oreilles de plus d’entrepreneurs (et à me booster à continuer à produire de nouveaux épisodes).

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Transcription

  • Speaker #0

    Si vous vous posez des questions comme comment trouver plus de clients et faire décoller mon business, comment vendre mes services sans me sentir trop pushy, comment être plus visible sur les réseaux sociaux, alors vous êtes au bon endroit. Bienvenue dans le podcast Je peux pas j'ai business. Je m'appelle Aline, je suis coach business diplômée depuis 2019 et ce podcast a été créé pour vous, pour vous aider à développer le business de vos rêves, un épisode à la fois. C'est comme avoir une coche business dans votre poche, prête à vous donner le petit coup de pouce ou le Ausha de fesses dont vous avez besoin. Alors, installez-vous confortablement et c'est parti pour l'épisode du jour. Hello Rémi, bienvenue sur le podcast Je peux pas, j'ai business. Comment est-ce que tu vas aujourd'hui ?

  • Speaker #1

    Je vais hyper bien, je suis trop impatiente.

  • Speaker #0

    Bonne humeur, je suis dans un super bon mood. Moi, je ne suis pas trop de la fin de journée, je suis plutôt du matin. Mais j'avoue que de te voir et de commencer à papoter, ça m'a énergisé. Je suis on fire. Pour commencer, j'entame toujours avec un petit portrait chinois de mes invités. Ça casse un peu les présentations standards. Et c'est l'occasion aussi de faire des découvertes. Est-ce que tu connais le concept ? Oui,

  • Speaker #1

    tu vas me poser des questions et je ne dois pas réfléchir.

  • Speaker #0

    Et tu dois répondre au tac au tac. C'est exactement ça. Aurélie, quel est un livre que tu as adoré récemment ?

  • Speaker #1

    Comment se faire des amis.

  • Speaker #0

    Relecture ou première lecture ?

  • Speaker #1

    Première lecture.

  • Speaker #0

    Oh waouh ! J'aimerais des fois oublier que je l'ai déjà lu pour pouvoir le relire une première fois, tellement il a changé ma vie. Une citation qui t'accompagne au quotidien ?

  • Speaker #1

    J'hésite entre « manger son caca » , donc c'est une citation de moi qui peut un peu faire peur au premier abord mais qui a beaucoup de signification.

  • Speaker #0

    Je pense qu'on va avoir besoin qu'on étaye un petit peu, et bien juste qu'on laisse les spectateurs et les auditeurs avec ça.

  • Speaker #1

    Est-ce que tu veux que je l'étaye maintenant ?

  • Speaker #0

    Bien sûr.

  • Speaker #1

    « Manger son caca » , c'est une phrase que je dis parce que je me rends compte qu'il y a beaucoup de personnes qui vont se faire aider du coaching, de la psychanalyse, de la thérapie, pendant des milliers d'années sur une problématique. Et je me suis rendu compte, avec toutes mes blessures de vie, qu'aller manger son caca, c'est vraiment la solution pour sortir d'une situation dramatique, problématique, récurrente. Parce qu'on espère toujours que quelqu'un de l'extérieur va nous apporter la réponse. Alors qu'aller manger son caca, c'est... En fait, cette situation, ça va faire mal, mais tu vas aller le faire tous les jours. Et à force d'aller te confronter à ce qui te blesse... Petit à petit tu vas retrouver un nouveau toi, un nouveau fonctionnement. Donc c'est aller manger son caca. Donc quand on me dit « Oh non mais moi j'ose pas me rendre visible parce que toute ma famille m'a jugé toute ma vie ! » Va manger ton caca. C'est bon. Ça fait 20 ans que tu dis que tu oses pas te rendre visible, tu mets des pièces dans la machine. Arrête de mettre des pièces en faisant la petite victime. Je l'ai fait aussi, c'est pour ça que je me permets. Mais en disant « J'y vais en fait » . Sinon ça ne changera pas.

  • Speaker #0

    Une formulation un peu putatière, mais pour dire qu'il faut se responsabiliser aussi sur sa capacité à passer à l'action malgré la vie qui cabosse. Et parce que la vie cabosse tout le monde aussi, il faut le dire.

  • Speaker #1

    C'est ça. Je l'aime. C'est y aller. C'est y aller véritablement. C'est le moment difficile, mais on se confronte à la vie et on arrête de la regarder, de dire j'ai eu des prises de conscience, j'ai compris que ma famille... Vas-y.

  • Speaker #0

    Oui, c'est bien de faire les prises de conscience, mais il faut en faire quelque chose aussi derrière.

  • Speaker #1

    Exact.

  • Speaker #0

    J'aime. Allons manger notre caca. Le dernier achat dont tu es la plus heureuse et ces magnifiques fauteuils ne comptent pas vu qu'ils ne sont pas encore débité de ton compte en banque. C'est une petite blagounette parce qu'en fait on a eu toutes les deux des gros coups de coeur sur les fauteuils du studio dans lequel on enregistre. Donc je pense qu'on va les enquêter en ligne après.

  • Speaker #1

    Nager avec les dauphins en Égypte, ma plus belle expérience de vie.

  • Speaker #0

    C'était il y a longtemps ?

  • Speaker #1

    Il y a deux ans et je n'ai jamais ressenti quelque chose dans mon corps. Je pensais être déconnectée de certaines choses. Et ça, ça s'explique même pas. J'arrivais même pas en rentrant à faire un live pour dire ce que j'ai vécu dans tout mon être en rencontrant les dauphins en nature.

  • Speaker #0

    Une expérience transcendante,

  • Speaker #1

    transformante, humaine. Tu reviens à toi, tu n'as rien. Je n'étais pas à Pimpé, j'étais sur un bateau avec dix personnes dans la nature pendant une semaine et tu reviens à ta nature première. Et ça, ça m'a...

  • Speaker #0

    C'est beau, c'est fou, ça donne envie.

  • Speaker #1

    Je t'ai vu dans ton regard, tu t'es dit, donne-moi l'adresse, comment on y va ? Comment on y va ?

  • Speaker #0

    Quatrième question, une application dont tu ne pourrais pas te passer sur ordi ou sur téléphone.

  • Speaker #1

    Blooc.

  • Speaker #0

    Oh ! Qu'est-ce que c'est ?

  • Speaker #1

    Je ne sais pas si tu as connu cette maladie d'aller tripoter ton téléphone 50 fois par jour alors que tu n'as pas à tripoter ton téléphone. Tu es en train d'envoyer un email et tu prends le téléphone et tu regardes quelque chose. Tu continues, tu prends le téléphone alors que tu n'as rien à y foutre. Donc, à bloc, je choisis de bloquer mes applications. Donc, mon équipe ne peut pas me contacter, je ne peux pas les contacter. Moi, je travaille lundi, mardi, mercredi. Donc, les jeudis, vendredis, samedis, dimanches, c'est bloqué. On n'est pas chirurgien cardiaque, il n'y a personne qui va mourir sur le billard, les gars, je suis absente.

  • Speaker #0

    Donc ça te bloque l'accès à l'application, les notifications, tout, et même toi tu ne peux pas y aller.

  • Speaker #1

    Ouais, et tu choisis les applications que tu peux bloquer, les heures, les jours, c'est vraiment du bidouillage. Attention, petite note aux personnes qui vont nous écouter, un jour c'était bloqué et j'ai fait un live Instagram. Et j'ai oublié que ça se bloquait à une certaine heure après l'approche déjeuner.

  • Speaker #0

    Et ça a été un live,

  • Speaker #1

    ça m'a coupé mon live.

  • Speaker #0

    Est-ce que c'est le genre d'application où tu peux très vite la contourner, c'est-à-dire aller la redésactiver dans tes réglages entre quelques secondes si à un moment il y a une urgence ? Ou c'est vraiment une fois que c'est bloqué, c'est bloqué et même toi tu ne peux plus rien y faire ?

  • Speaker #1

    Tu peux aller la débloquer, ça te prend cinq minutes, mais tu peux la débloquer, c'est assez facile. Mais il y en a d'autres, effectivement, en faisant des recherches où apparemment tu ne peux pas. Mais là, ça m'a mis des angoisses. Je me suis dit, on va commencer tout de suite. Donc, je suis passée de perdre 15 ans de ma vie sur mon téléphone, apparemment. Il te donne les années que tu perds.

  • Speaker #0

    Je pense qu'il ne faut pas du tout que j'aille checker ce qui se passe du côté du monde d'années perdues. Ça ferait peur.

  • Speaker #1

    Oui, moi j'ai eu peur.

  • Speaker #0

    Dernière question pour toi. Quel est le plus beau compliment qu'on puisse te faire ?

  • Speaker #1

    Que j'ai changé des vies.

  • Speaker #0

    On te l'a déjà dit ?

  • Speaker #1

    On me l'a déjà dit. Et ça, ça te... Tu sais, ça me tient dans les moments difficiles parce qu'on pense que quand on réussit, tout va bien. Sauf qu'on oublie de demander à des personnes qui réussissent comment elles vont véritablement en tant que femmes. Et ça, ça me touche souvent parce qu'on se dit... « Oui, mais toi, ça va, t'as toujours le sourire. » Ben non, ça va pas toujours. Voilà, je sais pas pourquoi je suis partie là-dessus, tu verras. Je fais souvent ce genre de choses, puis après, je reviens à la réalité. Donc, qu'on me dise que j'ai changé la vie de quelqu'un, ça me touche.

  • Speaker #0

    C'est le compliment qui te touche le plus. On va parler des challenges. donc technique marketing je n'ai jamais fait de challenge de ma vie bien sûr que j'en ai consommé j'étais cliente je connais la technique marketing mais le but aujourd'hui c'est qu'on décortique un petit peu ça toutes les deux et j'aimerais qu'on rende cet épisode le plus actionnable possible pour l'audience pour qu'on puisse avoir une véritable appréhension de ce qu'est un challenge quelles sont les grandes étapes comment ça s'articule pour qu'un auditeur ou une auditrice puisse se projeter c'est-à-dire est-ce que c'est une technique que je pourrais appliquer dans mon business que c'est quelque chose qui me plairait etc ok très bien j'ai plein de questions pour toi la première c'est Est-ce que tu peux nous expliquer, c'est quoi un challenge ? Comment ça se passe ? Comment ça se décompose ? Et si tu as des exemples pour illustrer ça, ça serait top.

  • Speaker #1

    De façon humaine, et on va en parler. On fait de la promotion sur les réseaux sociaux, gratuits, payants, à vous de voir, on en rediscutera. On propose un challenge. Un challenge, c'est la possibilité d'être en live pendant trois jours, cinq jours ou plus pour certains. Il y en a qui le font en live, il y en a qui le font en enregistré, parce qu'en fait... Tous les modèles existent. On peut prendre un modèle, ça c'est important qu'on le dise. Et de ce modèle, s'il y a des bouts qui ne vous plaisent pas, par exemple, « Ah oui, mais moi Aurélie, tu sais, j'aime pas envoyer des e-mails. » Ben, on fait des e-mails vidéo. Ou alors, on envoie des WhatsApp. En fait, d'un modèle, vous pouvez créer, tricoter autour pour créer votre propre modèle. Ça, c'est hyper important. Et donc, pendant cinq jours, on va être en direct pour transmettre des connaissances et pour, je vais insister là-dessus, apporter des prises de conscience. Ça, c'est une erreur dont on parlera. apporter des prises de conscience, connecter humainement à sa communauté pour qu'à la fin de ces cinq jours, on va prendre l'exemple de mon modèle, on puisse proposer notre offre de service et avoir des clients. Voilà un petit peu comment ça se passe, la base d'un challenge. Et un challenge, là où c'est intéressant, c'est que personnellement, ce que j'ai fait pour le modeler à ma façon de coacher, c'est qu'on peut tous permettre. Moi, quand je suis en direct, il y a une partie formation. Et à un moment donné, je dis OK, je prends des personnes dans le public, au hasard, on me pose des questions, je capte qu'il y a des nœuds à certains endroits, je fais venir les personnes avec moi sur Zoom et je les coach devant tout le monde. Et ça, c'est un tip, ce que je peux donner, c'est quoi de mieux que de voir l'exercice en direct se faire et se dire mais attends, mais moi aussi, je veux qu'elle me coach. T'as vu ce qu'elle vient de dire à la fille ? Et vu que leur communauté ou notre communauté en général se ressemblent tous, ont tous les mêmes problématiques, quand tu coaches quelqu'un en direct, tout le monde se dit... Ça me parle tellement !

  • Speaker #0

    Parce que tu bénéficies du coaching de quelqu'un d'autre, parce que ça résonne en toi, il y a un truc qui vibre.

  • Speaker #1

    Il y a un effet miroir.

  • Speaker #0

    Il y a un effet miroir qui se crée, effectivement. Ok, donc en fait c'est un événement en ligne, sur plusieurs jours, dans lequel tu vas donner de la connaissance, de la formation, faire prendre des prises de conscience, j'ai entendu que c'était important, et à la fin tu vas vendre quelque chose, c'est ça ?

  • Speaker #1

    Exactement.

  • Speaker #0

    Est-ce que tu pourrais nous donner un exemple peut-être d'une de tes élèves ou femmes accompagnées, même en... anonymisant son prénom, mais de business auquel ça peut s'appliquer. Et est-ce qu'il y a des business auxquels ça ne s'applique pas, ce système de vente ?

  • Speaker #1

    Ça peut s'appliquer, en tout cas pour ma part, c'est spécifiquement des entrepreneurs qui sont dans l'accompagnement humain ou animal ou énergétique ou prestation de service.

  • Speaker #0

    Donc tout ce qui est coach ?

  • Speaker #1

    C'est ça, coach, thérapeute, psychologue, coach love, format de vie en architecture.

  • Speaker #0

    Donc très infoprenariat au final.

  • Speaker #1

    Infoprenariat, oui. Ça s'applique à tous ces modèles et ça s'applique aussi qu'on vende du groupe ou de l'individuel. Parce que parfois, on me dit, mais moi, je vends des séances individuelles. Je n'ai pas besoin de faire un challenge. Ben si, en fait. Alors si c'est OK, on va partir là-dessus, à cet endroit-là. Je ne sais pas si c'est le bon moment, mais l'avantage d'un challenge, c'est qu'on rassemble, par exemple, 10, 20, 30, 100, 2000 personnes en même temps qui vont nous suivre pendant cinq jours. Ça veut dire que toutes les prises de conscience, les démonstrations, les témoignages clientes, tout ce qu'on se donne, c'est 100 en même temps. Et à la fin, on propose l'offre à 100 en même temps. Et en fait, c'est un gain de temps, je trouve, un énorme, que de faire du one-to-one avec des appels. Moi-même, au bout de deux ans, je me disais, putain, il va falloir que je leur répète comment je travaille, qui je suis, comment je coach. Et ça me plombait de faire des appels pour expliquer ça. Donc je me suis dit, mais les challenges, c'est le mieux. Tout le monde est en direct, il y a l'effet de groupe, l'effet de groupe, de soutien, les filles sont hyper excitées, ben oui, et tu les fais passer à l'action avec des exercices pratiques où à la fin elles se disent mais attends, j'ai goûté un échantillon de nez pour impacter pendant 5 jours, je veux ou je veux pas et c'est ok, mais je veux, rien que de ce que j'ai vu ça, imagine ce qu'elle va me faire en payant quoi, donc c'est ça un peu le modèle.

  • Speaker #0

    Donc en fait c'est vraiment faire expérimenter ton coaching, ton accompagnement. ou quelle que soit la chose que tu incarnes en tant qu'entrepreneur. Faire expérimenter à tes futurs clients potentiels la pleine puissance de ce que tu proposes. Pendant cinq jours. Et à la fin, de dire, maintenant c'est le moment, si vous voulez aller plus loin ou continuer cette expérience, rejoignez-moi dans mon coaching, mon accompagnement, ma thérapie, mon coaching de groupe, ma formation, ou quoi que ce soit.

  • Speaker #1

    C'est ça. Et ce qui est intéressant à cet endroit-là, quand tu as dit, à un moment donné, tu proposes ton offre, nous ce qu'on fait, c'est semer des graines tout le long. Parce que quand on va parler de nos clientes, quand on va parler des résultats qu'elles obtiennent, quand on va donner des exemples, quand on va coacher, en fait, on sème des graines en disant « Oui, ça, on l'apprend dans notre académie. » « Oui, ça, on s'appuie toujours en rappelant notre choix. » Voilà, c'est ça. On n'arrive pas… Hey ! On a ça à ventre ! On n'arrive pas comme un cheveu sur la soupe. Elles savent qu'il y a une offre à la fin. Ce n'est pas quelque chose à cacher, c'est OK. Et à partir du moment… moment où on donne de la grande valeur pendant une semaine. T'es là quand on présente, c'est cool, tu veux pas être là parce que pour toi, t'as eu assez de gratuit et ça te suffit, c'est OK aussi, en fait.

  • Speaker #0

    Très bien. On a dit à qui ça s'adressait, j'aimerais bien, avant qu'on rentre dans la technique de qui, quoi ou comment, comment vendre, quel type de contenu, comment faire la différence entre le gratuit, le payant, etc. Avant ça, pour qui est-ce que le challenge n'est pas ? Question subsidiaire à ça, c'est est-ce qu'il y a une taille d'audience minimale avec laquelle on peut se dire là, c'est OK de faire un challenge, ou si on est en dessous de cette taille d'audience, On peut se dire, bon, il vaut mieux d'abord que je me concentre sur le fait de développer mon audience, et après, je peux lancer un challenge. Parce que je t'entendais parler de challenge de 10 personnes. Est-ce qu'on peut le faire avec 10 personnes ?

  • Speaker #1

    Je dirais qu'il faut quand même... Alors, ça dépend combien vous voulez vendre d'offres, en réalité, parce que souvent, on me dit, oui, mais moi, j'ai que 15 personnes qui me suivent. Mais ma chérie, il te faut une bonne personne pour vendre une offre. Donc, c'est OK. Donc, il y a un minimum, parce qu'il y a des chiffres, on rentrera peut-être plus tard dedans. vous avez, et là je dis complètement au hasard, là tout de suite à cet instant, mais si, on va essayer de coller à la réalité, s'il y a 100 personnes qui s'inscrivent, il y en a à peu près 50 qui vont rejoindre le groupe parce que là, moi je le fais dans un groupe Facebook, où quand les personnes s'inscrivent, elles doivent rejoindre le groupe. Donc il y en a la moitié qui rejoignent. Toutes les autres se perdent dans les méandres des e-mails ou je ne sais où. Et dans les 50 qui rejoignent, on peut repartir à peu près sur la moitié qui vont venir participer au direct.

  • Speaker #0

    Ok, donc un quart des inscrits qui ne participent pas direct.

  • Speaker #1

    Si c'est du froid, si c'est des personnes qui viennent d'une publicité, plus la communauté qui vous suit est chaude, plus il y a de personnes qui vous connaissent, qui sont vraiment attachées à vous, à vos valeurs, à votre personnalité, plus elles seront présentes. De la publicité, les gens se disent, je ne la connais pas, je ne sais pas d'où elle sort, il y a plein de challenges, donc il y en a moins qui viennent. Donc sur les 25 qui restent, à peu près 10 peuvent prendre un appel, pour celles qui font des appels, et on peut compter, si vous avez une bonne offre irrésistible, qu'à peu près 8 personnes. 7-8 personnes vont acheter votre offre.

  • Speaker #0

    C'est un taux de closing énorme, 77-80%.

  • Speaker #1

    Alors ?

  • Speaker #0

    Parce que si tu me dis 10 personnes prennent un appel et 7 ou 8 achètent, ça fait du coup 70% de conversion au bas mot. C'est énorme.

  • Speaker #1

    C'est pour ça que j'ai précisé deux choses. Un, s'il y a une offre irrésistible.

  • Speaker #0

    Ok.

  • Speaker #1

    Très clairement, parce qu'il y en a plein qui pensent avoir une offre irrésistible. Elle n'est pas irrésistible. Et c'est vrai que moi, j'ai une chance ou une malchance. C'est qu'aujourd'hui, c'est pour ça que souvent on m'invite pour parler des challenges. Je vends en direct, sans closeur, une offre à 4000 euros de pub. Et les mecs qui font ma pub sont choqués, me disent « Mais attends, on a les chiffres, tu closes 80-90% du proie en direct » . Mais il y a des astuces qu'on va te donner ici, dans la communauté.

  • Speaker #0

    On aime les astuces qui nous aident à faire un meilleur taux de conversion. Ce que je retiens quand même de ce que tu es en train de nous dire, c'est que pour 100 personnes inscrites initialement, tu en closes 7 ou 8 et avec un taux de closing extraordinaire, donc tu nous donneras tes astuces, mais que je veux aussi dédramatiser ça auprès des gens qui nous écoutent, un taux de closing standard, quand c'est le créateur, le fondateur qui close, on est plus au taux d'entour des 60%. Donc 6 personnes si on a 10 appels. Donc il faut quand même 100 personnes inscrites pour 8 personnes. closés qui ont payé. Et là, on est sur quelque chose d'exceptionnel.

  • Speaker #1

    Oui. Et après, ça dépend des personnes. Moi, j'ai des clientes, elles cartonnent, elles font même mieux que ça, elles signent quasiment tout le monde. J'en ai d'autres qui feront zéro parce que ne comparez pas votre chapitre 1 à mon chapitre 24. Ça fait 8 ans que je suis mentor business, j'en suis à mon 18e challenge. Donc, il y a de la bouteille. Il y a de la bouteille, quoi. Donc, on ne compare pas. La seule chose que je vous dirais de comparer, c'est de tester une première fois. D'améliorer et vous retester et vous prenez vos chiffres à vous parce que vous avez tout le temps vous comparer à la voisine, elle n'a pas la même thématique, elle n'a pas le même nombre d'années, elle n'a pas la même facilité, elle n'a pas les mêmes tarifs. Quand j'en vois qui disent oui mais elle, elle a vendu 200 offres. elle a vendu 200 offres à 30 euros. Tu en as vendu 3000 euros.

  • Speaker #0

    Ouais, il faut faire les calculs. C'est bien de le dire. Donc, est-ce qu'il y a une taille d'audience ? Parlons en termes d'Instagram. À partir de combien d'abonnés Instagram, je peux vouloir lancer mon challenge ? Par exemple, si j'ai 300 abonnés sur Insta, est-ce que ça vaut le coup ? Ou est-ce qu'il vaut mieux que j'attende d'en avoir 500 ?

  • Speaker #1

    Moi, j'attendrai jamais. T'attendrai jamais. Je crois qu'il y a une phrase que c'est toi qui dis, mais que j'ai écrite dans mon livre, c'est anti-perfectionnite aiguë. Il faut que j'attende d'avoir ça. Il faut que j'attende d'avoir ma page de vente. Il faut que j'attende d'avoir 400 abonnés. Vas-y maintenant, fais le test. C'est pas quand tu seras Beyoncé que tu auras 10 000 abonnés que tu te diras, allez, je me lance. Elle a commencé par des petites scènes. Moi, j'ai des clientes des fois qui ont... 20 inscrits, mais je leur dis, mais vas-y à fond les ballons, tu vas avoir plein de problèmes techniques. Non, parce que, hein, on est d'accord.

  • Speaker #0

    Autant s'entraîner auprès d'un petit poule plutôt que de se vautrer devant 100 personnes.

  • Speaker #1

    On a besoin d'être à l'aise, comme toi, t'enregistres des podcasts, tu t'es pas... À un moment donné, on se lance et on sent bien que nos premiers épisodes sont pas les mêmes que les derniers au niveau de la voix, au niveau de l'aisance. Là, c'est pareil. Donc je leur dis, allez-y, même si vous faites deux ventes, vous avez des vidéos pour vos réseaux, vous avez pris de l'aisance. Vous avez peut-être connecté mentalement, émotionnellement avec des personnes qui n'ont pas acheté tout de suite, mais qui achèteront dans 1, 2, 3, 4 challenges. Donc, il n'y a que des bénéfices de le faire maintenant, même si on a 100 abonnés, j'ai envie de dire, même 300, même si on en a 100. Mais moi, j'irai à fond, mais j'irai à fond. Ma première conférence, j'allume la caméra, j'avais 60 inscrits et j'étais paniquée. Je me dis, oh là là, 60, comment je vais gérer ? Et là, ça s'allume et je vois 3, le chiffre 3 en bas sur Zoom. Je me dis, c'est quoi ça ? Et moi, ça se voit sur mon visage, donc je commence à me décomposer. Je me dis, pourquoi il y a 3 personnes ? Et je suis là, je cherche, je cherche, je regarde les noms discrètement pendant que je discute. Puis là, je me dis, merde, il y en a une que je connais, il y en a un autre, c'est un pote. Mais c'est qui la troisième ? En plus, Zoom coupe parce que c'est...

  • Speaker #0

    Limité aux 45 minutes.

  • Speaker #1

    Je ne sais pas, tu étais allée comme une vraie bourrine en disant, on y veut les gars, on n'a peur de rien, 40 minutes. Et là, je vois un décompte 5, 4 et je me dis... J'ai pas fait mon offre. Et là, ça m'a coupé dessus. Ah non, mais je suis vraiment...

  • Speaker #0

    Merci de le raconter. Et merci de dédramatiser ça. Parce que je pense qu'il y a tellement de personnes à qui ça arrive, ce genre de bug technique, et qui se sentent tellement honteux après, ensuite, en se disant oh là là, je suis qu'une merde, j'avais pas pensé à ça. Mais en fait, ça arrive à tout le monde, c'est juste qu'on n'en parle pas, quoi.

  • Speaker #1

    Mais oui, et moi, je l'assume. Et après, c'est la fin qui est drôle. C'est quand je dis à tout le monde, mais je comprends pas, il y avait trois personnes, mais c'est qui la troisième ? Ça se trouve, c'est une potentielle cliente. Et quelqu'un me dit, mais non, c'était toi. Et là,

  • Speaker #0

    je me dis, comment ça,

  • Speaker #1

    c'était moi ? Elle me dit, bah oui, sur Zoom. Tu comptes comme participant ?

  • Speaker #0

    Oh non.

  • Speaker #1

    Mon monde intérieur s'est effondré jusqu'au sous-sol. Et là, j'ai dit, OK. D'où l'importance de connaître les chiffres. Si je connaissais mes chiffres, je saurais combien il y aurait de personnes en direct. Donc toutes celles qui ont peur en disant, parce qu'on me l'a déjà fait, j'ai déjà 50 inscrits. Tu sais les gestes de stop. Oui, mais tu en as 50 inscrits, mais il y en a peut-être 10 qui vont venir. Cool. Donc c'est important de le dire, parce que des fois, il y en a qui s'arrêtent à 10 et il y aura une personne, et elles vont me dire, mais il n'y avait qu'une personne. C'est normal.

  • Speaker #0

    C'est toujours trop ou toujours pas assez, on n'est jamais content.

  • Speaker #1

    C'est ça, le problème de l'humain.

  • Speaker #0

    J'ai très envie qu'on continue sur ce côté chiffre, parce que je fais partie de ces personnes qui aiment chiffrer à chaque fois, donner des moyennes, parce que je trouve qu'avoir un référentiel quand on crée un premier challenge, ça aide beaucoup. Comme par exemple, moi, je suis plutôt de la team webinaire, et en fait, personne ne me disait, un taux de show-up moyen, c'est 30%. Et donc moi, avec mes 60% sur mon premier webinaire, Alors en fait, c'était juste génial. Donc, quels sont les grands chiffres qui te montrent qu'un challenge performe bien ? Ou alors que tu es sur la bonne voie ? dont les auditeurs pourraient se servir comme un peu référentiel de leur côté.

  • Speaker #1

    Là, je vais parler sur un trafic froid, parce que c'est ce que je connais, moi, qui vient de pub.

  • Speaker #0

    Donc, froid, c'est des gens qui ne te connaissent pas, qui n'ont jamais entendu parler de toi, qui voient passer une pub ou un repartage de story ou un truc comme ça.

  • Speaker #1

    Voilà, avec toutes les insultes qui vont avec sous les pubs. C'est ça, quand vous faites une pub.

  • Speaker #0

    Les insultes, c'est normal.

  • Speaker #1

    C'est normal, on adore. Allez-y, continuez. Ça me coûte moins cher, après, sur la pub.

  • Speaker #0

    Mais c'est ça, en fait. Les gens qui t'insultent, les gens qui commentent, même si c'est pour t'insulter. font baisser tes coûts tarifaires et publicitaires. Ça, il faut le savoir. Mais oui,

  • Speaker #1

    c'est pour ça que moi, je le dis à celui qui gère ma pub. Une fois, je lui ai dit, il me dit, oh là là, mais tu te fais insulter tout le long. Il y avait au moins 300 insultes sur la vidéo. Je lui ai dit, combien elles nous coûtent ? Il me dit 6 euros au lieu de 10. Vas-y, accélère. Je lui ai dit, il m'a dit,

  • Speaker #0

    mais continue à m'insulter.

  • Speaker #1

    Continuez. Bon, revenons à nos chiffres. Froid, c'est plus difficile. Donc, bien entendu que vous pouvez augmenter facilement si c'est des gens qui vous suivent déjà sur votre communauté depuis un petit moment. La première chose qu'on regarde, c'est la page d'inscription. Moi, j'emploie des mots très simples. Page d'inscription. Là, moi, je suis contente quand je suis à 20-25%.

  • Speaker #0

    De conversion.

  • Speaker #1

    De conversion. De personnes qui vont regarder cette page, qui vont s'inscrire et qui vont entrer dans mon tunnel. 25%, je suis contente.

  • Speaker #0

    Donc, sur 100 personnes qui voient ta page de capture, 25 qui s'inscrivent, la sortent email et valident.

  • Speaker #1

    Exactement. Trop bien. Bien entendu, on le redit, quand c'est du chaud, peut-être qu'il y en a qui vont monter à 40, 50% parce que les personnes vous connaissent, elles connaissent votre qualité. Donc là, elles y vont, elles s'inscrivent. Ensuite, ce qu'on regarde, on regarde la deuxième chose. Moi, j'aime bien regarder. Alors, il y a énormément de choses. On peut regarder le nombre de personnes qui rejoignent le groupe. En fait, il faut imaginer comme une frise, comme un tunnel. Et à chaque endroit, on met un petit arrêt. On se dit là, est-ce que j'ai 25% ? Oui, je suis bien. Non, je ne suis pas bien. OK, je vais regarder ma page d'inscription. C'est qu'elle a un problème. Deuxième étape, le nombre de personnes qui rejoignent le groupe. Quand ils arrivent sur ma page de confirmation, il y a un bouton qui leur permet de faire rejoindre le groupe. Là, il y aura les lives. Quand je suis à 40, 50%, la moitié qui rejoignent, pareil, je suis contente. Ne vous perdez pas dans les pourcentages de pacotille, comme on dit. Oui,

  • Speaker #0

    on n'est pas entre 43 ou

  • Speaker #1

    51. J'en ai parfois qui me disent, attends, je retouche tout parce que je suis à 50, mais moi, je veux être à 52. Enfin, à un moment donné, ce n'est pas là où il faut mettre le 20-80. Donc, quand vous êtes dans ces environs-là, c'est bien. Ensuite, sur le nombre de personnes qui sont dans le groupe, on regarde le nombre de présents au live. Sur 100 personnes qui sont dans le groupe, tu peux en avoir, allez, je vais dire 40 qui sont en train de regarder le live.

  • Speaker #0

    Donc 40%. De show-up au live.

  • Speaker #1

    C'est ça. OK. Si vous savez les tenir en haleine pendant plusieurs jours, parce que je précise qu'il est normal que vous ayez une chute. Moi, je fais, par exemple, du lundi au vendredi. Le jeudi, vendredi, c'est toujours deux jours où, je ne sais pas, au lieu de 50 personnes, on va descendre à 35, à peu près. 30-35.

  • Speaker #0

    J'ai vu des challenges qui duraient trois jours, d'autres sept. Est-ce que tu as une durée, toi, avec tous tes tests, que tu recommanderais ?

  • Speaker #1

    Quelqu'un qui est vraiment expérimenté, qui sait présenter son offre, qui a l'habitude, qui est reconnu, qui a beaucoup d'autorité sur le marché, trois jours seraient suffisants. Cinq jours, moi je le fais parce que je parle trop et parce que ça me va et c'est construit comme ça depuis 15 challenges. Et ça te convient bien ? J'ai pas envie de changer, la flemme. Raison suffisante,

  • Speaker #0

    valable. C'est ça.

  • Speaker #1

    Et sept jours, je trouve ça long et surtout, s'il vous plaît, ne faites pas des 21 jours. J'en vois sur 21 jours, sur un mois, en fait, les gens sont épuisés, vous n'avez plus leur attention. La vie, elle continue en dehors du challenge. Donc, dès que ça dure trop longtemps, vous perdez tout l'effet « waouh » de « j'ai une date de fin dans cinq jours » . Je sais que je mets ma vie en off, parce que vraiment, c'est ça, les participantes, souvent, elles me disent « mais j'ai pas dormi de la nuit, j'ai pris plein de notes, je suis excitée » . Elles sont dans un état, mais heureusement que ça ne dure pas trois semaines. Parce que là, les offintos de France m'appellent et me disent « Madame, qu'est-ce que vous leur avez fait ? » Donc,

  • Speaker #0

    cinq jours, c'est une bonne... durée pour se challenger peut-être sur une première fois elle avait pas compris mon jeu de mots et j'ai eu à mort ok donc c'est bien de garder sur une durée de 4-5 jours pour en tout cas tester une première fois ce format de challenge oui Très bien, donc je reviens aux chiffres parce que j'ai commencé à digresser. Donc tu parlais de 40% de show-up par rapport au nombre de personnes inscrites dans le groupe. Donc si j'ai 100 personnes dans mon groupe, d'ailleurs on n'a pas précisé si ça devait être un groupe Facebook ou autre, mais on va voir. Facebook,

  • Speaker #1

    on peut faire n'importe où. Il y en a qui veulent faire sur Telegram parce qu'elles ne veulent pas de Facebook. sur WhatsApp. Ne vous fermez pas au comment, en fait. Ça qu'il faut qu'on fasse comprendre.

  • Speaker #0

    Et toi, tu le fais sur Facebook ?

  • Speaker #1

    Moi, je le fais sur Facebook parce que je suis là. Moi, je suis un dinosaure. Je suis là depuis huit ans. Facebook, c'était ma vie avant. Tout le monde dit que c'est fini, mais moi, c'était ma vie. En fait, arrêtez parfois. Ça, c'est un conseil général de vous fermer dans le... comment je fais ça ?

  • Speaker #0

    C'est plutôt comment t'as envie de faire ça.

  • Speaker #1

    Et c'est ça, on oublie de partir d'une source de kiff, de plaisir, à quoi ça ressemblerait si ça me ressemblait dans mon énergie, ma façon d'être, pour que ça parte de soi. Et là, c'est puissant. Le comment, c'est la broutille d'après. Est-ce que je dois avoir 5 pages à ma page de vente ou 4 ? Est-ce que ma vidéo doit faire 10 minutes ou 20 minutes ? En fait, tu peux être impactante en une phrase.

  • Speaker #0

    Je retiens quand même qu'on doit avoir un espace communautaire parce qu'il y a la partie communauté, échange avec les participants. Et un espace où tu peux passer en live. Donc, ça peut être deux outils séparés. Ça peut être un seul et même endroit. D'où le groupe Facebook qui est quand même très pratique pour ça. Mais c'est quand même ces deux piliers qui doivent être présents.

  • Speaker #1

    Oui, parce que la communauté, c'est la puissance qui va faire que je donne un tips à cet endroit-là. C'est quand les personnes m'en achètent en direct. J'ai mon équipe qui est dans le chat et on est là. Félicitations Stéphanie, félicitations Julie. Et en fait, tout le monde a cette, j'allais dire, vibration. Tout le monde a cette énergie qui monte en flèche. Tout le monde se dit, moi, je veux faire partie du truc. Ça m'a excitée pendant quatre jours. Voilà, tu as compris.

  • Speaker #0

    OK, très bien. Pour finir sur les chiffres, 40% de show-up viennent à mon live. Je suis sur Facebook, je vis ma meilleure vie. J'avais 100 inscrits, j'ai 40 personnes qui sont là. Si tu me dis que c'est normal que peut-être j'ai 40 personnes le lundi et que le jeudi et le vendredi, elles soient 30,

  • Speaker #1

    28 à peu près. C'est normal.

  • Speaker #0

    C'est normal parce que la vie, les imprévus, etc. Certaines, j'imagine, rattrapent aussi les replays. Je vais présenter mon offre. On en parlera juste après de comment. Combien de ventes est-ce que je peux espérer avoir en moyenne quand je débute sur 28 personnes, par exemple ?

  • Speaker #1

    Tu n'as pas un chiffron, là ? Tu m'as donné 28, toi.

  • Speaker #0

    Alors, sur 10 personnes.

  • Speaker #1

    Sur 10 personnes ? Là, ça va dépendre. Est-ce que tu as une offre à 50 euros ou une offre à 3 000 euros ? Donc là, j'ai un peu de mal à répondre à ça.

  • Speaker #0

    On se fait des changes pour les offres à 50 euros ?

  • Speaker #1

    Il y a des personnes qui le font parce qu'en fait, encore une fois, ça leur permet d'éviter d'être en call toute la journée et de rassembler tout le monde en même temps. Donc quand il y en a qui commencent, elles testent un peu tout, elles goûtent à tout. Donc oui, on va dire sur une offre à 1 000 euros. Si c'est ton premier challenge, déjà, honnêtement, si t'en fais deux, je vais être bas exprès. Si t'en fais déjà deux, honnêtement, sois contente. Moi, le premier, je t'ai dit, j'avais fait zéro vente et c'est OK, quoi. Mais déjà deux, oui, c'est déjà bien. 1000 euros, deux personnes, tu vas en convertir d'autres plus tard. Ça qu'il ne faut pas oublier. Il ne faut jamais être déçu de ce que vous faites parce que vous pouvez le réutiliser.

  • Speaker #0

    Bien sûr,

  • Speaker #1

    capitaliser. C'est ça, les autres personnes qu'on suivit. Moi, à mon dernier challenge, j'ai eu plusieurs personnes qui étaient dans ma liste mail depuis 2021. Elles ont acheté en janvier 2024. Et ça augmente de plus en plus. Je pense que tu t'en rends compte aussi. Oui,

  • Speaker #0

    pareil. Moi, j'ai un taux de transfo de deux ans, deux ans et demi aussi parfois.

  • Speaker #1

    Avant, on disait que c'était trois, six mois. Il y a peut-être quatre ans de ça. On était sur du trois, six. Et là, on rallonge, on rallonge, on rallonge. Beaucoup de demandes, beaucoup d'offres. Les gens ont peur. Donc, c'est normal. Donc, continuez à entretenir. Hyper important de le préciser dans les tips. C'est comme si vous alliez à un date, ça c'est un sujet que j'adore et tu le sais, vous alliez à un date, ça se passe hyper bien, et là vous ne donnez plus aucune nouvelle. C'est un peu comme votre liste e-mail. Vous faites une conférence, vous envoyez un e-book, un lit de maniettes, peu importe. Puis derrière, vous dites, personne ne parle avec moi. Mais oui, mais tu n'en vois rien. Là, c'est pareil, vous avez fait un challenge. Vous les avez chauffés, vous les avez connectés humainement, vous avez passé des super moments avec. Continuez à entretenir régulièrement cette relation pour que les personnes ne vous oublient pas et aient envie de passer à l'action avec vous.

  • Speaker #0

    Donc c'est à la fois, j'imagine, déjà la partie de tous les e-mails, les séquences de vente. Ausha. Plus après ça, continuer à envoyer des newsletters toutes les semaines ou tous les 15 jours à minima pour continuer à entretenir cette relation, délivrer de la valeur, etc.

  • Speaker #1

    C'est ça, il faut le voir. Exactement, c'est le bon mot, comme une relation. Dans une relation avec une copine, on ne lui envoie pas un message un jour et on ne disparaît pas pendant deux ans et puis d'un coup, je ne t'ai pas dit, j'ai une nouvelle offre. Et puis on me dit, je ne comprends pas, elles ne savent plus qui je suis. Oui, ça fait deux ans que tu as disparu. Entretenez la relation et imaginez dans votre tête, pour que ce soit plus simple, c'est comme si je parlais à une amie. Allez-y, transmettez qui vous êtes, parlez de vous, parlez de votre histoire, parlez de comment vous pouvez l'accompagner. Donc, entretenez tout le long une relation humaine.

  • Speaker #0

    C'est hyper intéressant. Et ce que j'aime aussi dans ce que tu nous as dit, c'est que même en donnant des pourcentages de conversion, des chiffres qui sont des chiffres moyens, qui sont les chiffres normaux du marché, on se rend compte quand même qu'il faudrait y aller si je veux faire 10 ventes, ce qui n'est pas énorme, parce qu'il y a plein de personnes qui se disent « Ma première offre, ma première formation ou mon premier accompagnement, je voudrais faire une dizaine de ventes. » Ça ne nous semble pas énorme, mais il faut quand même... beaucoup d'inscrits pour arriver à faire cette divente. Et ce serait illusoire de penser que si j'ai 100 inscrits, je vais faire 40 ventes. Oui. Ou alors,

  • Speaker #1

    vous êtes ex-fine du perfecting. Voilà. Ou alors, vous avez une offre à 10 euros et c'est OK.

  • Speaker #0

    C'est rarement le cas.

  • Speaker #1

    C'est rarement le cas.

  • Speaker #0

    Non, mais c'est très intéressant parce que je pense que ça met les gens aussi face à une réalité où parfois, on me dit souvent, tu vends beaucoup pendant la BSB Academy parce que je fais parfois des promotions avec 500 personnes. Oui, mais sur 500 personnes, j'en avais... 15 000 inscrits à mon webinaire. Et j'en ai converti 500, donc c'est tout aussi des histoires d'échelle. Et c'est pour ça que c'est important que tu le redises et que tu le redises et que tu le redises. Quand on a un business, on s'appelle des chefs d'entreprise. On ne s'appelle pas une auto-entrepreneur, une thérapeute, une psy. On est aussi une chef d'entreprise, une chef d'entreprise. C'est comme un pilote d'avion, il a un tableau de bord. Si l'avion, il commence à chuter, il se dit, j'appuie où ? Il n'est pas là en train de se dire, celui-là ou celui-là ? Non mais c'est vrai, il y a beaucoup de personnes qui arrivent, qui ne connaissent pas les chiffres, rien que ça. Et qui disent... Mon challenge n'a pas marché, j'arrête. Ok, attends, tu sais quoi ? Juste pour le kiff, viens me le montrer. Et là, je vois dans le tunnel qu'on vient d'expliquer où il y a un trou. Et là, je dis, ok, là, il y a un problème. C'est à cet endroit-là qu'on va venir réparer. Soyez des pilotes d'avion. On est des chefs d'entreprise. C'est important de le dire. On ne joue pas à la marrelle. On ne joue pas aux devinettes. Et quand vous avez les chiffres auprès de professionnels, que ce soit Aline ou d'autres personnes... Là, vous pouvez vous dire ça, ça va, ça, ça va pas, ça, ça va. Et vous pouvez manager votre propre jeu plutôt que de subir en disant ça va pas. Je jette le bébé, l'eau du bain et tout ce qui va avec quoi.

  • Speaker #1

    Mais tu vois, je défends les auditeurs. Il y a tellement peu de personnes qui partagent ces chiffres que des fois, c'est très compliqué. Quand tu te lances, que tu veux vendre, que ce soit via un webinaire, via un challenge, via des emails, tu ne sais pas c'est quoi la normalité, les chiffres globaux, le taux de conversion d'un email de vente, etc. Si personne te dit c'est 3, 4 %, toi, quand tu fais 5 %, tu peux penser que c'est de la merde. Alors qu'en fait, c'est génial. Et donc, merci de partager ces chiffres. C'est ça, mon message.

  • Speaker #0

    Il ne faut pas avoir peur d'aller voir des personnes. Souvent, on a peur de nous envoyer des messages, mais des vrais messages. Mais moi, quelqu'un qui me dit écoute, c'est quoi ? Je prends une séance avec toi si c'est possible pendant une heure. Et je veux que tu me dises c'est quoi les chiffres ou je veux que tu me dises ça ou je veux que tu me dises comment toi, tu l'as vécu émotionnellement. Faites-le, trouvez un ou une mentor. Allez poser des vraies questions et ne vous dites pas, comme tu as dit, je suis une merde, ça ne marche pas pour moi, les autres sont meilleurs. Non, les autres, ça fait 18 fois qu'elles le font. C'est ça.

  • Speaker #1

    Et puis, si ça se trouve, juste, on est doué et c'est que dans la tête, on s'était imaginé des standards ou des chiffres qui ne sont pas du tout la réalité du marché.

  • Speaker #0

    Merci. Tu as parlé d'un truc hyper important, les leviers de facilitation. Je ne sais pas si ça se dit. On invente levier de facilité. Tout ça pour dire quoi ? En fait, n'essayez pas de vouloir ressembler à une autre personne dans son modèle de vente. Moi, je me suis beaucoup comparée et je me souviens qu'une fois, je suis allée dans un mastermind et je regardais une autre fille et je me disais, « Elle a une communauté de ouf. Moi, je n'ai pas une grosse communauté. » Et je l'enviais et je sentais que je l'enviais au fond de moi en me disant, « Mais comment elle fait ? Pourquoi moi, je n'y arrive pas ? » Et là, la comparaison et tout ça, j'étais à fond dedans. Et à un moment donné, pendant la pause, on sort dehors et je la vois effondrée de dos. Je vois bien qu'elle est là comme ça. Je me dis, « Mais... » Je vais y aller, je ne vais pas la laisser. Je lui demande si c'est OK que je vienne vers elle. Et dans la discussion, elle me dit, je suis dégoûtée, il y a ça qui ne va pas, ça qui ne va pas. Elle dit, regarde comme toi, tu as fait plus de 3 millions avec tes challenges. Et là, je me suis pris une gifle monumentale de me comparer à une personne en me disant, mais elle, elle a une communauté de ouf et moi, je suis nulle. Je me suis dit ça pendant deux jours. Et elle me regardait en me disant, et l'autre, elle fait des challenges à plusieurs millions et moi, je suis nulle. Et là, je lui ai dit, c'est fou. Mais tu sais quoi, j'étais en train de me comparer à toi. Et on s'est regardé. On s'est pris dans les bras, on a chialé comme des merdasses pendant 8 demi-heures de se dire qu'en fait, on s'autoflagellait avec nous-mêmes dans nos tripes. Elle, elle faisait ça sur moi, moi, je faisais ça sur elle. Et ce jour-là, elle m'a fait comprendre qu'il y a des choses qui ne sont pas notre truc. Et si moi, ce n'est pas mon truc de créer des posts tous les jours parce que je ne peux pas et c'est en train de me faire avoir des vertiges et des hauts-le-coeur de créer des posts tous les jours. Par contre, tu me mets en live, tu me fais coacher n'importe qui pendant des milliers d'heures. J'adore ça. trouvez vos leviers facilitateurs. S'il y en a, c'est les emails. Faites de la vente par email. Vous aimez les challenges, coacher des gens en direct, être dans l'humain, être authentique. Vous pouvez rire, vous pouvez faire tout ce que vous voulez dans un challenge. Faites des challenges. Donc, trouvez vos leviers et vous arrêterez de vous comparer. C'est hyper important. Oui,

  • Speaker #1

    tu peux louer les forces, les choses qui paraissent faciles, en fait.

  • Speaker #0

    Parce qu'on se dit, Aline, elle récite super bien dans les webinaires. Mais si ce n'est pas ton truc ? Ça se trouve, ce n'est pas ton truc. Donc, tu vas essayer de copier Aline ? Non, pourquoi on arrête ça ?

  • Speaker #1

    Justement, sur la partie purement contenu, qu'est-ce qu'on met dans son challenge ? Je veux bien que tu nous donnes ton exemple à toi, qu'est-ce que tu vends à la fin ? On va partir de ça, décris-nous ton offre. Et ensuite, décris-nous le contenu du challenge jour par jour, si tu acceptes de partager. Et pourquoi est-ce que tu as choisi de mettre ce contenu-là ? Ce que j'aimerais bien qu'on explique aux spectateurs et aux auditeurs, c'est qu'est-ce qu'on est censé mettre en termes de contenu pendant ces cinq jours ? Comment faire la différence entre trop de contenu passé, le contenu gratuit, le contenu payant ? Enfin, je sais que c'est une question qui va popper dans les commentaires.

  • Speaker #0

    Oui, mais là, tu m'excites, tu m'as tout donné d'un coup, il faut que tu me recadres après, d'accord ? Vas-y, vas-y. Alors, l'offre. Pour ce challenge-là, je vends l'Académie des entrepreneurs d'impact. C'est une académie dans laquelle j'apprends à des entrepreneurs de A à Z à développer un business au service de leur vie. On passe par la vision, le client idéal, l'offre irrésistible, c'est important de le préciser, les réseaux sociaux et apprendre à faire des conférences ou des challenges. Ça, c'est la boucle que j'apprends dans mon programme. Eh bien, j'ai basé le challenge là-dessus. Un challenge, vous devez le baser sur une des plus grandes problématiques de votre client idéal. Donc, vous choisissez la plus grande problématique. Ça vous fait votre promesse ou votre titre de challenge. Mon titre de challenge, c'est attirer deux fois plus de clients sans vous vendre.

  • Speaker #1

    Promesse irrésistible.

  • Speaker #0

    Et là, pendant cinq jours, je répète, je vais donner des prises de conscience sur... C'est quoi une offre irrésistible et les erreurs à ne pas commettre ou à l'inverse qu'il faut mettre dedans ? Il y a une journée sur c'est quoi les modèles de vente et qu'est-ce qu'on peut faire comme modèle de vente ? Et nous, j'explique le challenge parce qu'on est déjà expérimenté là-dessus. On a une journée sur les appels. Faut-il faire des appels ? Oui ? Non ? Pourquoi ? À quel niveau ? Quand est-ce que c'est utile ou pas utile ? On a une journée sur les 15 erreurs. Quand on veut être femme, entrepreneur et vivre de son business, et il y a la journée pyramide de la visibilité, comment on travaille sa visibilité, gratuit, payant, pourquoi, dans quel cas. Et quand vous regardez un petit peu ce que je vous ai présenté, c'est l'académie, pilier par pilier un peu.

  • Speaker #1

    Presque module par module en fait.

  • Speaker #0

    Presque module par module, donc vous pouvez suivre le même modèle en disant, bah tiens, voilà mon offre, si je la découpais en 5 jours, 5 piliers, à quoi ça ressemblerait ? Et j'ai basé mon challenge là-dessus. J'ai oublié, j'ai un live la veille qui n'est pas compté dans les 5 jours. Ce live-là, pour moi, c'est le plus important.

  • Speaker #1

    La veille, donc avant que le challenge commence ?

  • Speaker #0

    Avant que le challenge commence. Moi, le dimanche soir, je fais un live.

  • Speaker #1

    En mode rentrée, préparation ?

  • Speaker #0

    Je me demande si ça se trouve, si je ne ferais pas que celui-là. Donc là, j'abuse un peu. On pourrait déjà vendre des offres, tu vois. Parce que celui-là, en fait, je raconte mon histoire. Je raconte que j'ai connu la rue à 17 ans. C'est là que j'ai eu ma mission de vie avec ma maman qui n'avait pas d'argent pour qu'on puisse être logée. Et j'explique que la liberté financière des femmes, moi, c'est ce qui me touche depuis que j'ai 17 ans. J'explique quand j'ai connu la rue, le rejet de groupe des femmes, quand j'ai connu l'abandon, quand j'ai connu des deuils traumatiques. En fait, j'ai eu une succession, et c'est important que je vous explique ça, j'ai eu une succession de trop de ma vie où je me suis dit, mais comment c'est possible ? Qu'un seul être humain, on lui ait donné tout ça. Je crois que j'ai eu toutes les blessures de l'âme, tout ce qu'il existe, on m'a tout mis sur le dos. On s'est dit, elle, là, on va la choisir, elle va payer. Et en fait, j'ai compris quelque chose, c'est que c'est par l'expérience que j'ai vécue dans ma chair, dans mon émotionnel, qu'aujourd'hui je suis en capacité d'accompagner ces thérapeutes, ces coachs, ces formatrices qui connectent avec moi par mon histoire. Et en fait, le dimanche soir, et c'est la chose que les trois quarts des entrepreneurs oublient, on en parle, mais il y en a peu qui osent le faire, c'est que moi, dès le premier soir, j'y vais. Voilà qui j'ai été. Voilà ce qu'on m'a fait, voilà ce que j'ai subi dans mon corps, dans mon âme, voilà la femme que j'ai été, voilà celle que je suis aujourd'hui avec mon équipe, le business, le succès. Donc on a le parcours et c'est là où il y a tout qui se fait. Parce qu'en fait il y a des femmes qui vont se dire mais moi je me reconnais, moi aussi j'ai la blessure du rejet, moi aussi on m'a humiliée à l'école ou moi aussi j'ai connu la rue. Et tu verrais à quel point c'est puissant d'oser être dans sa vulnérabilité. leur dis, vous savez, je ne vais pas vous dire que des belles choses sur moi, parce que franchement, je suis juste un être humain, il n'y a pas que du beau. Mais en fait, j'ai envie que vous sachiez qui est-ce que vous allez écouter pendant une semaine. Parce qu'il y a plein de gens sur les réseaux, tout le monde donne son avis. Pourquoi vous m'écouteriez-moi ? Voilà qui je suis. Si vous sentez que je suis un humain, on va dire, qui vous donne envie de connecter humainement, je vais être là pour ça, parce que toute la semaine, je vais venir vous mettre des putains de coups de pied au cul. Vous avez besoin qu'on ait un lien les deux. Et là, ça connecte. Et là, je vends à ce moment-là aussi, pour celles qui ont un livre, c'est là aussi où je dis, voilà, j'ai un livre. Habituellement, on ne peut pas passer par moi. Il est sur Amazon. Mais là, pendant le challenge, j'en ai 200 à la maison. Donc, si vous voulez, vous pouvez l'avoir. Et en fait... J'ai toute leur attention. Parce qu'on est dans l'humain. Et c'est ça qui connecte. Et les gens oublient, osent pas parler d'eux, se disent « Mais attends, je vais faire pleurer dans les chiomières, je leur dis c'est pas ça. » Oui,

  • Speaker #1

    ou alors il y a le « qui suis-je pour parler de moi ? Je ne suis personne. »

  • Speaker #0

    C'est ça.

  • Speaker #1

    Pourquoi les gens s'intéresseraient à moi et à mon parcours ?

  • Speaker #0

    Ouais. Alors qu'en réalité, dès que vous faites une conférence, un challenge, un live, peu importe ce que vous faites... Allez-y dans qui vous êtes. C'est l'humain qui touche parce qu'en vrai des coachs business comme moi, il y en a un milliard par jour qui naissent. Depuis huit ans, j'en ai vu des milliers de passer. Pourquoi on choisit Aurélie ? Pourquoi on choisit Aline ? Parce qu'on a des personnalités, parce qu'on a une histoire, parce qu'on a une connexion humaine, parce qu'on a une façon de coacher. Moi, des fois, on me dit je te paye parce que je veux que tu me botte le cul. Ah putain,

  • Speaker #1

    mais viens de moi. J'adore les foutages de fesses.

  • Speaker #0

    Non mais voilà, n'ayez pas peur. Vraiment, ça me tient à cœur d'en parler. N'ayez pas peur de parler de votre histoire. Parce que toutes celles que vous êtes aujourd'hui, si Aline, elle fait ce métier, si elle accompagne des gens, il y a une raison. Si j'accompagne des gens, il y a une raison. Si je me bats tous les jours pour incarner la liberté, c'est parce que j'ai été esclave et emprisonnée de ma propre vie, en fait. Et ça me tient à cœur. Donc, je ne développe pas que des business. Vous voyez, il y a un message et trouvez votre message. Qu'est-ce qu'il y a derrière la mission de la liberté financière des femmes ? Je ne développe pas que de l'argent business. J'apprends à mes clientes par amour pour moi. Je me fais respecter. J'apprends à mes clientes à oser être libre, oser, ne plus avoir peur du regard, du rejet, du jugement. Et je libère des femmes où parfois on se dit « putain je suis venue pour une page de vente et je repars » ou « ça va mieux dans mon couple » ou « parce qu'on libère des conditionnements » et moi je pense aux petites filles après, je vais hyper loin mais j'ai une mission tellement grande. Puis n'oubliez pas quand vous parlez de vous, quand vous parlez de vos valeurs, de vos convictions, moi quand j'en parle sur mes réseaux, je me dis « j'ai une tribune ouverte où j'ai la parole » . Moi, j'ai la parole. J'étais celle qui était, moins que rien, une serpillère qu'on marchait dessus. Aujourd'hui, j'allume un micro, on m'écoute. Putain, c'est ouf.

  • Speaker #1

    C'est beau ce que tu dis.

  • Speaker #0

    C'est vrai.

  • Speaker #1

    C'est hyper inspirant. Et je pense que tout le monde a besoin de se trouver sa tribune. Tu le dis très, très bien. Les challenges sont un moyen aussi de faire ça. Et j'aime beaucoup cette astuce du live, presque qui est un préambule au challenge, qui est ce moyen de créer la connexion et de dire, effectivement, pourquoi est-ce que vous allez m'écouter ? pendant 5 jours, voilà ce qu'on va traverser ensemble, voilà ce qui va se passer, voilà ma personnalité, voilà mon style d'accompagnement. Et là, les gens peuvent aussi décider de, oui, je m'engage, parce que ce que j'entends résonne, vibre, me plaît. Ou alors, non, c'est pas pour moi, mais j'imagine qu'il doit y en avoir très peu quand même.

  • Speaker #0

    C'est pour ça que moi, je leur dis directement, je vous dis tout, je vous dis comment ça va se passer. Vous allez voir, je vais être hyper cash. Quand je vais en choisir pour les coacher, vous allez voir que je coupe direct, je coupe la parole, je t'arrête, j'ai l'idée, je sais où je veux t'emmener, j'ai des phrases qui popent dans ma tête. C'est pas par impolitesse, c'est que j'ai une connexion où il faut que ça sorte tout de suite. J'explique tout dès le début et je leur dis « âme sensible,

  • Speaker #1

    quittez le live,

  • Speaker #0

    partez, faites ça » . C'est comme sur Instagram, les gens qui critiquent « faites juste ça » , il y a quelqu'un d'autre de l'autre côté. C'est pareil.

  • Speaker #1

    Et en termes de contenu pendant le challenge, il y a ce premier live. Ensuite, chaque jour, tu vas explorer un des piliers de ta formation. Après, ça fait totalement sens. Pendant ces piliers-là, est-ce que c'est purement théorique ? Combien de temps ça dure ? Et est-ce qu'il y a des exercices pratiques ?

  • Speaker #0

    Alors, je suis une mauvaise élève parce que moi mes lives ils durent deux heures.

  • Speaker #1

    Ok, par jour ?

  • Speaker #0

    Par jour.

  • Speaker #1

    Au lieu de ?

  • Speaker #0

    Une heure, ça serait très bien.

  • Speaker #1

    Le standard c'est une heure ?

  • Speaker #0

    Une heure c'est bien. A l'intérieur c'est très théorique, pratique, il y a de tout. Il y a un mélange où je montre... Les erreurs, ce qu'il est possible de faire, des prises de conscience. Je montre des études de cas. Je prends des personnes à qui je dis qui a une offre. On va aller regarder ensemble devant tout le monde. Donc, il y a un partage d'écran où on regarde l'offre. J'analyse, j'explique ce qui ne va pas. Des études de cas en direct. direct. Une heure, c'est bien. Deux heures, c'est long. Deux heures, il faut avoir l'habitude. Il faut tenir les gens en haleine, il faut leur donner envie.

  • Speaker #1

    Il faut aller énergier aussi pendant deux heures.

  • Speaker #0

    Je pense qu'on est des sportifs de haut niveau. Pas physiquement. Je déteste le sport. Quand on est chef d'entreprise, on est sportif de haut niveau. Et moi, je conseille à tout le monde, si c'est possible, quand vous faites un challenge, une conférence, un webinaire, peu importe quoi, moi, mon agenda, il est vidé. Ça veut dire, j'allume la caméra, Je laisse mon équipe gérer le avant, le après, les coulisses. Je n'ai pas la capacité mentale de pouvoir faire des coachings avant, pendant, après. Et moi, quand je me connecte à quelqu'un, ça me puise énormément d'énergie. Parce que, on va le préciser, je ne sais pas si ça va faire trop d'infos, mais après mon live, moi, je vends un accès à 57 euros. Alors, ce n'est pas obligé que ce soit 57. Je vends un accès à un groupe VIP. C'est des personnes qui s'inscrivent, qui payent. Elles peuvent accéder au challenge gratuit pendant toute la semaine, mais elles viennent l'après-midi avec moi pendant une heure. Là, on a un groupe. Moi, sur 150 présentes, je prends des chiffres qui me reviennent en tête. J'en ai peut-être 50 ou 60 qui vont acheter le pass VIP. Et on a nos 80 % facilement cachettes qui sont dans le pass VIP.

  • Speaker #1

    Donc, en fait, c'est un challenge gratuit, mais avec un upsell. sur une expérience premium pendant la semaine du challenge, qui sont ces après-midi avec toi. Et après, à la fin, effectivement, tu vends à tout le monde, VIP ou pas, ton offre.

  • Speaker #0

    Exact.

  • Speaker #1

    C'est vrai que c'est une stratégie qui est un peu plus avancée. Peut-être qu'en premier challenge, on pourrait quand même conseiller de faire juste le challenge gratuit, la vente à la fin. Ne commencez pas à vouloir faire des upsells de partout.

  • Speaker #0

    En fait, plus vous faites simple, plus ça fonctionnera. Parce que nous, on complexifie avec le temps, parce qu'on est habitué.

  • Speaker #1

    Et l'expérience, bien sûr.

  • Speaker #0

    Voilà, simple. Un petit groupe Facebook, vous allez vous mettre en live sur le groupe, on commence doucement, on ne veut pas aller trop loin, mais c'est important d'en parler pour celles qui font déjà des challenges. Et pour faire comprendre qu'il y a des gens qui sont prêts à investir, et ces personnes-là, on en a vraiment 8 sur 10 cachettes, parce qu'elles ont été prêtes à sortir la carte. Et on sait qu'elles, il faut les chouchouter encore plus, parce que je me dis, et je vais être très honnête, même moi, je me dis, il faut vraiment m'allécher, même pour 57 euros, pour que je sorte la carte sans la connaître. Donc c'est le fait qu'on aille coacher. et que je connecte humainement le soir 1 et que je revende encore le premier jour officiel du lundi, où les gens se disent, et c'est là où il y a beaucoup de ventes du VIP, qui se disent « Oh ! Elle va répondre à toutes nos questions ! » Donc n'hésitez pas à créer votre modèle et à... Si vous pouvez, coacher, prendre des personnes en direct avec vous. Mais ça, encore une fois, j'ai fait ça au bout du troisième. J'ai attendu d'être à l'aise avec la caméra, d'être à l'aise avec ma formation, avant de dire on y va, je coache. Mais c'est attesté, c'est pas mal. Et donc l'intérieur, prise de conscience. Et je les amène à, nous c'est 15h, mais tous les jours à 15h, il y a un petit poste avec un exercice. Par exemple, aujourd'hui, tu vas me pitcher ton offre. Aujourd'hui, le jour de l'offre, je choisis un exercice qui correspond au jour de ce qu'elles ont appris et on leur demande de passer à l'action. J'ai des ambassadrices, c'est des anciennes clientes qui ont réussi dans l'académie, qu'on aime particulièrement parce qu'elles sont vraiment ambassadrices. On leur a proposé de venir conseiller, accompagner, donc elles répondent à tous les commentaires, à tous les exercices, ça prend beaucoup de temps. Et on fait ça chaque jour et j'ouvre les ventes le jeudi dans mon cas.

  • Speaker #1

    Je me permets de poser la question, j'aime beaucoup ce système d'ambassadrice. Est-ce que c'est des personnes que tu rémunères ou est-ce que ce sont juste ambassadrices bénévoles ?

  • Speaker #0

    Je suis beaucoup dans le « deux » , le « donner, recevoir » . Donc elles sont payées sur leur semaine de présence, plus des commissions. Quand il y a eu des discussions profondes avec des personnes qui avaient besoin, elles les ont accompagnées en privé toute la semaine, elles ont des commissions à ce moment-là.

  • Speaker #1

    C'est beau. Je trouve ça cool de faire ça parce qu'il y a beaucoup de personnes qui mettent en place des systèmes d'ambassadeurs, de personnes qui… ont suivi le programme, qui viennent dans le challenge ou dans le webinaire pour en parler, etc. Mais c'est des personnes qui ne sont pas payées. Et autant, je peux comprendre quand on n'a pas forcément la marge pour le faire, autant, moi je sais que tous mes mentors aussi sont rémunérés parce que ça reste du travail et parce que ça contribue à générer un chiffre d'affaires pour ta boîte.

  • Speaker #0

    Moi, c'est ce que je dis souvent des fois quand on me dit... Je pars à côté, mais ça va répondre à ça quand on me dit mais des fois, tu n'es pas fatigué quand tu as des équipes de 8 ou 10 personnes. Moi, je ne voulais pas du tout être manager, ce n'est pas mon truc. Je voulais être coach et je me retrouve chef d'entreprise, manager. À cet endroit-là, j'ai envie de dire, repensez toujours à votre mission. La mission est plus grande que ce qu'on fait. Et moi, c'est la liberté des femmes. Donc, quand je paye 10 salaires, j'oublie le management qui me fait chier.

  • Speaker #1

    Tu donnes de la liberté financière.

  • Speaker #0

    Je donne de la liberté financière. Ce n'est pas juste les clientes, c'est aussi mon équipe. Et là, dans ce cas-là, pour moi, quelqu'un qui ne pourrait pas rémunérer, en tout cas, c'est ce qui m'est venu comme ça à chaud, c'est qu'on ne peut pas rémunérer quelqu'un qui vous dit, mais t'inquiète. Et ça, on me le dit tout le temps, mais t'inquiète. Moi, je ne demande rien, je te recommande avec plaisir. Je dis, en fait, ce n'est pas juste pour moi. À un moment donné, tu vois, j'aurai ce truc de dette par rapport à quelqu'un et ça, je ne peux pas. Mais si vous ne pouvez pas les payer, offrez-lui un soin. Si vous faites des soins, si vous faites de la thérapie, du coaching, une copine à vous. Trouvez dans tous les cas, même si c'est envoyer une carte. Moi, pour moi, on doit toujours trouver quelque chose pour remercier la personne et pas se dire, c'est gratuit, tu as raison. Oui, non.

  • Speaker #1

    Et du coup, j'ai une dernière question pour toi qui, je pense, est celle qui brûle les lèvres des auditeurs, des spectateurs. C'est OK, je donne de la valeur, je fais tester mon expertise, j'accompagne, les gens sont en taquette, etc. Mais du coup, comment est-ce que je vends à la fin ? C'est quoi le secret pour faire déjà la transition entre ce contenu gratuit où tout le monde est content et la vente ? Comment est-ce que j'en parle ? Comment est-ce que je mène mon offre ? Comment est-ce que je le fais de manière à être la plus sûre possible de convertir ? Est-ce que tu as des conseils, des bonnes pratiques à nous recommander ?

  • Speaker #0

    Alors ? Il y a deux endroits. Il y a un endroit où je vais certainement vous décevoir et l'autre où vous allez vous dire c'est ok. Là où je vais décevoir, c'est qu'on imagine qu'il faut mettre en place tout un truc pour dire que là c'était le gratuit, mais là ça va être le payant. Calmons-nous. Il faut simplement, en tout cas c'est ce que je fais, je sème des graines, comme j'ai dit tout à l'heure, tout le long. Un petit peu tous les jours, quand je coach, quand j'accompagne, quand quelqu'un me dit « oui mais comment je fais pour… » Je lui dis « écoute, si tu as envie d'aller plus loin, voilà déjà un tips. » sache que dans l'académie, on apprend à nos clientes comment avoir une offre irrésistible. Donc, je sème des graines, je fais comprendre qu'on a une offre et même quasiment dès le deuxième jour, j'explique que je vais présenter le jeudi. Je dis voilà, jeudi, je vais vous présenter en début de live l'académie et le mastermind, parce qu'on a deux niveaux. Je vais vous présenter mes accompagnements en début de live. En fait, je ne fais aucune transition. C'est clair, c'est posé. Oui,

  • Speaker #1

    il y a un contrat de la suite toute la semaine où ils savent que ça va arriver à un moment.

  • Speaker #0

    Aujourd'hui, je pense que les gens sont habitués. Oui. Si, j'en parle peut-être aussi le dimanche, mais ce n'est pas quelque chose où je me suis mis vraiment... Il faut absolument que je leur dise qu'à la fin, je vais leur présenter mon offre.

  • Speaker #1

    Oui, il n'y a pas de coups de trafalgar, de coups de magie à inventer, de stratégie, de « Oup, oup, oup, je fais passer l'information » .

  • Speaker #0

    Et en plus, je leur mets des témoignages de clients, donc je leur montre que c'est possible. Je leur dis qu'on apprend ça, et de toute façon, je vous en parlerai jeudi. Donc quasiment tous les jours, elles savent que si elles se connectent à 12h30 le jeudi, ça sera la présentation de comment travailler avec nous. Je pense quand même, je voudrais ajouter quelque chose. Si vous êtes à l'aise avec ça, ce n'est plus un sujet en fait. Ce n'est pas un sujet. Moi, je suis en amour avec la vente. Je vais expliquer pour ça à certaines personnes. Être en amour avec la vente, c'est de comprendre qu'à un moment donné, il y a des personnes qui souffrent ou qui ont une problématique, qui ne savent pas comment s'en sortir. Pourquoi ça devrait être le diable de venir leur proposer une solution ? Moi j'explique toujours, je n'apprends pas dans mes programmes, et parfois ça peut choquer, objection, contre-objection, tout ce qu'on apprend pour la vente, il n'y a pas de module là-dessus. Moi j'ai un module, être en amour avec la vente, c'est à quel point j'aime ma clientèle. dans ce qu'elle a vécu, dans celle qu'elle est, dans ce qu'elle veut transmettre, dans ce qu'elle veut créer pour le monde, pour lui dire, mais attends, tu sais que j'ai une offre de folie qui pourrait te correspondre. Et moi, je leur dis toujours, mettez-vous comme si vous étiez en élection présidentielle. C'est ton élection. que t'es là en train de te dire, je ne sais pas si je veux leur en parler. Et l'énergie que vous avez, c'est pas sur la transition, mais ça joue. Vous êtes là pendant une semaine à donner du gratuit. Ouais, ouais. Vous arrivez au moment de la vente. Alors, j'avais quelque chose à vous présenter. Et là, votre énergie, elle est plombée. Le corps, il fait ça, il se recroqueville. Parce que vous y allez, dans votre tête, c'est comme si je suis une voleuse, je vais vendre quelque chose, je vais arnaquer les gens.

  • Speaker #1

    Je vous ai roulé dans la farine pendant toute la semaine pour vous laisser. voulaient faire à l'envers alors qu'il n'y a pas du tout ça.

  • Speaker #0

    Eh bien, la transition, ça va être ça. C'est que moi, j'avais une problématique, c'est que je n'osais pas aller dans les événements d'entrepreneurs. Quand on m'invitait pour être sur scène, j'ai ma cape sur scène, je suis hyper à l'aise, on ne peut plus m'arrêter. Quand on me disait, non mais viens, on t'invite en VIP pour que tu sois dans la salle, c'est une horreur. Je frôle les murs, je me cache dans les toilettes, j'ai une hypersensibilité et j'ai une gêne d'être dans du public. Bref. Et quand je disais aller manger son caca, C'est qu'il y a quelques mois, on m'a dit, viens, je fais un événement, je te veux, il y aura 300 entrepreneurs. Je suis allée manger mon caca, je me suis dit, ça me fait peur, mais j'y vais. Et c'est ça que je veux que vous reteniez dans ma phrase. J'y suis allée en me disant, je suis une putain d'opportunité pour les gens qui vont me rencontrer.

  • Speaker #1

    Oh, c'est beau ça, j'aime bien.

  • Speaker #0

    Je te jure, je te jure. opportunités de dingue. Alors que d'habitude, j'y allais en disant, ouais, mais moi, tu sais, souvent, je suis rejetée dans les groupes de femmes parce que je suis trop sensible, trop grande gueule, trop voyante, trop, trop, plein de choses. Et indirectement, malgré que j'ai confiance en moi, j'étais toute petite quand j'arrivais à des événements et je me cachais. Pourquoi on se cache ? Là, vous présentez votre offre, tu es une putain d'opportunité pour la personne qui a une souffrance et qui se dit je ne sais pas comment faire. Et si tu as assez bien travaillé ton offre, tu es capable de lui montrer en quoi tu es une putain d'opportunité comparée à d'autres concurrents sur certains points. Et moi, j'y vais en me disant, ayez cette image quand vous présentez votre offre, donc déjà, êtes convaincu. Être convaincu, c'est être convaincante. Connaître votre offre. Savoir c'est quoi, alors ça, ça me semble fou, mais plein de fois, on me dit je ne sais pas, c'est quoi votre différence avec les concurrents ? Comment vous pouvez être assumé, assuré, kiffer votre offre si vous dites, ouais, mais les autres sont meilleurs. Ils font quoi les autres ? Ah ben, je ne sais pas, je ne suis pas allé voir. comparez-vous sur ce qui est comparable. Moi, je peux, point A, point B, point C, montrer en quoi on a créé une expérience VIP et dire, si ça, ça te correspond, c'est OK. Et imaginez-vous avec un plateau, avec un cadeau dessus ou dans votre main, en disant, moi, je leur dis comme ça, je leur dis, écoutez, je vais vous présenter mon offre. Aujourd'hui, j'ai ça à vous offrir. Celle qu'ils le prennent, c'est OK. Si vous sentez que c'est le bon moment, de toute façon, il n'y a pas de bon moment. Et celle qu'ils ne le prennent pas, c'est OK aussi. Et quand vous y allez avec un détachement de dire « je ne suis pas une vendeuse qui vais forcer » , tout... toute votre énergie, votre corporel, votre posture, tout va changer. Donc dites-vous, je suis une putain d'opportunité pour ces gens-là.

  • Speaker #1

    C'est bon, on va se faire tatouer la phrase de quelque part. J'arrive à la fin de mes questions. Peut-être une qui est un petit peu plus rigolote, alors ça dépend le sens de l'humour qu'on peut avoir. Quelles sont, toi, peut-être les deux, trois erreurs les plus courantes que tu vois chez quelqu'un qui fait un challenge pour, on va dire, la première fois ? L'idée, c'est qu'on puisse évidemment faire de la prévention là-dessus, c'est ça ? N'allons pas sur ce terrain-là.

  • Speaker #0

    OK. La première des choses, c'est d'avoir une promesse, un titre. On peut l'appeler promesse, titre de votre challenge généraliste. Que ce soit une conférence, un webinaire, un challenge, c'est valable pour tout. Venez pendant cinq jours pour découvrir votre potentiel. Potentiel de quoi ?

  • Speaker #1

    C'est trop vague.

  • Speaker #0

    Trop vague. Venez pendant 5 jours prendre confiance en vous. Alors, tu peux avoir confiance pour séduire un mec dans la rue, tu peux vouloir avoir confiance pour monter sur scène et être conférencière, tu peux vouloir avoir confiance pour faire une interview avec Aline, on n'a pas tous les mêmes... envies. Donc plus vous restez bateau, alors vous allez être contente. Elles vont attirer plein de monde, puis à la fin se dire « Mais je comprends pas, il n'y a pas de vente ! » Parce qu'entre les personnes que vous avez attirées et qui sont comme ça, et votre offre qui est normalement plus spécialisée... c'est normal que ça ne matche pas. C'est comme si vous disiez, je veux plein d'hommes dans la salle. Ah bah mince, il n'y en a aucun qui me plaît. Oui,

  • Speaker #1

    soyons spécifiques. J'aime beaucoup la comparaison.

  • Speaker #0

    Donc je dirais ça, avoir un titre spécifique, parce qu'il faut aligner vos planètes, il faut aligner votre message. Si je fais une conférence pour dire, je vais aider les femmes à perdre du poids après une grossesse, Il faut que les jours soient basés là-dessus et que l'offre soit là pour aider les femmes à prendre des poids, à prendre une recette. Il faut qu'il y ait un fil rouge, un alignement des planètes. C'est pour ça, plus vous êtes généraliste, plus il y a du monde qui vient. Mais les gens viennent en se disant, bon, on va voir, je suis là, j'ai vu le mot confiance en soi, j'arrive. Mais vous perdez votre temps en faisant ça. Donc ça, c'est la première erreur. La deuxième, ça rejoint une question que tu as posée, que j'aime beaucoup, donner. Alors, je m'explique. Moi, je donne sans aucune limite. Ça, c'est ma conviction. C'est que, déjà, en deux heures, si en trois heures de live, je donnais tout, les six, neuf mois de mon programme, ça se saurait. Il n'y aurait pas neuf mois de programme. Donc déjà, ce n'est pas possible que vous donniez tout. Donnez de la qualité parce que plus vous savez de la qualité, plus ils vont se dire « mais c'est incroyable, j'ai vécu cinq jours, j'ai eu énormément de prise de conscience, de passage à l'action, j'ai osé faire des choses que je n'osais pas depuis des années » . Ça matchera. Et puis quelqu'un, il y en a d'autres par contre qui vont se dire, et c'est là où il y a l'erreur. Je vais donner un exemple, on va rester sur la confiance en soi. Quelqu'un va faire un challenge là-dessus, puis il va dire, bon les premiers jours, vous osez toutes mettre une veste de couleur. Ah bah super, vous avez mis une veste de couleur. Deuxième jour, vous osez aller aborder quelqu'un dans la rue. Ça, ça ne marche pas. Parce que les personnes vont sortir en se disant... en disant, ah ben c'était sympa, j'ai fait des trucs. Aucune prise de conscience réelle et profonde. Et les personnes vont se dire, bon c'était sympa, mais pas à la hauteur de vouloir acheter un programme. Et vont se dire, ah ben elle m'a tout donné. Alors que moi je viens, et je vais vous donner un exemple plus concret, parce que c'est des entrepreneurs, elles vont comprendre. Je viens donner des réelles prises de conscience. C'est-à-dire, si par exemple, on parle des réseaux sociaux et de la visibilité. Je ne vais pas, par exemple, dire toute la journée, pendant mon live, voilà comment on fait un post de A à Z, voilà comment on fait un réel de A à Z, voilà comment on communique de A à Z. Je ne dis pas tout ce qu'il y a dans mon programme. Ça, oui. Par contre, je viens leur expliquer, avec des études de cas et en montrant des comptes, pourquoi ça ne fonctionne pas. Je viens leur expliquer que poster tous les jours, mais poster sans aucune stratégie, franchement, arrête. Gagne du temps, arrête. Et je viens donner des prises de conscience de « Mais je comprends pas, c'est toujours les mêmes personnes qui likent mes posts. » Bah oui, mais tu te rends visible sur ton compte, mais tu vas pas chercher de la visibilité à l'extérieur, donc tu restes toujours avec les mêmes 100 abonnés et les mêmes 10 personnes qui vont liker ton post. Donc j'apporte des prises de conscience pour que les personnes se disent « Oh putain, mais j'ai... »

  • Speaker #1

    Ils commencent à comprendre les mécanismes qui se jouent et qui font qu'ils mangent pas encore leur caca.

  • Speaker #0

    Je sens que tu as aimé ça. On va donner un dernier exemple sur le poids. Comme ça, on sort du business. Par exemple, quelqu'un qui veut aider les femmes à perdre du poids pourrait faire un premier jour les prises de conscience sur les problématiques émotionnelles, les cinq raisons émotionnelles qui font que tu n'arrives pas à perdre ton poids malgré le sport et malgré des repas équilibrés. Et quand elle va venir expliquer qu'en fait, t'as beau manger tous les légumes verts que tu veux, mais si toi, émotionnellement, t'as des poids, t'as vécu ça, tu manges émotionnellement pour remonter en énergie ou parce que tu vas hyper mal, il y a plein de raisons émotionnelles. Là, les personnes vont se dire...

  • Speaker #1

    Putain mais ouais T'as besoin de les aider vraiment à comprendre les mécanismes Qui se jouent en eux et qui les empêchent d'avancer Vers la direction qu'ils ont envie d'atteindre

  • Speaker #0

    Et quand ils comprennent les mécanismes Les raisons, les croyances que t'as Qui t'empêchent de réussir et quand ils comprennent Tous ces éléments ils se disent Bah ouais mais je fais comment

  • Speaker #1

    Et là t'arrives avec la solution Donc générer des prises de conscience Ça s'applique à tous les métiers ?

  • Speaker #0

    Bah faudrait avoir des spécificités

  • Speaker #1

    Je suis éducatrice canon je vends des formations en ligne sur l'éducation canine j'en ai c'est quoi les piliers du challenge ? qu'est-ce que je fais pendant mes 3-4 jours gratuits ?

  • Speaker #0

    pourquoi ton chien il fait pipi sur ta moquette à chaque fois que tu t'en vas pour aller au travail ? donc il donne des prises de conscience mais il ne dit pas comment faire pour que le chien arrête Elle dit pourquoi émotionnellement le chien le fait et dévore ta banquette et ton super truc tout doux quand tu t'en vas. Et là, ils se disent mais oui, c'est vrai que mon chien, je l'ai eu dans telle situation. Ou c'est vrai que moi, en ce moment, je suis stressée parce que ça va mal dans mon couple. Donc, je vois bien que mon chien, il est stressé depuis que moi, je vais mal. Donc, les gens comprennent leurs cailloux, leurs lacunes, leurs blessures, leurs failles. Et à la fin, ils se disent. En fait, c'est plus simple, une fois que tu as compris pourquoi, de te dire je veux le comment parce que j'ai compris pourquoi.

  • Speaker #1

    Est-ce qu'on peut caricaturer en disant que dans le gratuit du challenge, tu donnes le pourquoi et dans le payant, ensuite, ton offre, tu donnes le comment ? Oui. Ok, très simple.

  • Speaker #0

    Mais tu peux quand même. donné, moi je donne quand même du comment en montrant des études de cas, et là j'y vais vraiment comme une vraie coach, comme une vraie cliente, en disant ça on enlève pour ça, ça on enlève pour ça, mais même quand je fais ça, c'est un échantillon de tout ce qu'il y a dans le programme, donc en vrai... Puis encore une fois, est-ce qu'on a envie de mettre notre énergie sur des personnes qui vont pas acheter concrètement Taline, mais dire moi je veux bouffer tout le gratuit d'Aurélie ou d'Aline, c'est ok, si c'est son fonctionnement de je veux être une femme forte, je veux me débrouiller seule, je veux pas payer quelqu'un pour m'en sortir, prends tout. Oui,

  • Speaker #1

    fais ta vie. De toute façon, tu ne payeras pas. Voilà.

  • Speaker #0

    Et on ne met pas notre énergie là-dessus. On met l'énergie sur celles qui ont besoin de prise de conscience, d'avancer. Et puis là, on donne tout.

  • Speaker #1

    J'adore. Trop bien. Merci Aurélie. C'était hyper clair. J'ai particulièrement apprécié que tu partages ton propre challenge, comment tu as décortiqué ton tunnel de vente, y compris avec les astuces plus avancées d'upsell, de live préambulatoire, on va l'appeler comme ça. Merci de le partage des chiffres aussi, parce que vraiment, encore une fois, je me souviens quand je me suis lancée dans les webinaires, impossible de trouver c'était quoi un bon taux de show up, un bon taux de conversion sur un email de vente, etc. Et en fait, c'est quand j'ai eu ces chiffres au bout du deuxième ou troisième gros lancement que je faisais que j'ai pu vraiment me comparer à la moyenne du marché. Mais sinon, c'était hyper opaque. Donc, merci de contribuer à rendre ça plus clair.

  • Speaker #0

    Avec plaisir. C'était super. Merci à toi. Puis, tu as su m'interviewer, me driver, me diriger. J'adore.

  • Speaker #1

    Écoute, c'était une partie de plaisir. Je n'ai pas eu l'impression de faire quoi que ce soit. Et merci de ton temps encore.

  • Speaker #0

    Merci, merci.

  • Speaker #1

    Pour toutes les personnes qui souhaiteraient déjà en savoir plus sur ton accompagnement, parce que je t'avoue que même moi, je suis vendue là. J'ai envie de signer. qui voudraient travailler avec toi, en savoir plus sur ce que tu proposes. T'as un livre aussi, c'est un moment promo. Fais-nous la promo de tout ce qui te semble important à ce stade-là.

  • Speaker #0

    Pour faire très simple, parce qu'on ne va pas prendre 10 minutes là-dessus, j'ai différents niveaux d'accompagnement. Pour développer un business, c'est l'académie. J'ai un mastermind également qui permet aux personnes, aux entrepreneurs qui ont déjà du business, qui ont empilé des couches d'idées, de stratégies. Elles se sentent alourdies, elles ont réussi à faire leurs premiers 3, 5, 10 000 euros par mois, mais là, elles sentent que... Il faut qu'on m'allège, donc on vient alléger, remettre du kiff. Moi je veux leur donner une vie orgasmique parce que c'est des femmes qui ont beaucoup donné pour les autres, pour leur business. Donc on vient développer ce business-là et j'ai les challengeuses d'impact qui apprend à faire des challenges comme j'en fais. Et le livre Né pour impacter qui est sur mon histoire de vie et plein d'autres thématiques comme la perfection. Comme arrêter d'avoir des putains de croyances qui vous limitent, comme ouvrez-vous à l'abondance, comme jeter le syndrome de la sauveuse à la poubelle.

  • Speaker #1

    Ça va parler à beaucoup. Livre très bien que j'ai à la maison, que j'ai lu. Tu me l'avais offert à la sortie, je l'avais adoré.

  • Speaker #0

    Merci, merci, merci. Merci à toi en tout cas pour l'interview.

  • Speaker #1

    C'était trop chouette. Merci.

  • Speaker #0

    Et à très vite.

Chapters

  • Présentation d'Aurélie GAUTHEY, coach pour entrepreneur

    00:42

  • Qu’est-ce qu’un challenge ?

    06:29

  • À quel business ça s’adresse

    09:16

  • Les avantages des challenges en ligne

    10:06

  • À partir de quelle taille d’audience peut-on organiser un challenge ?

    12:20

  • Les chiffres de référence d’un “bon” challenge

    19:12

  • Que contient un challenge ?

    33:56

  • Comment vendre et faire la transition entre le gratuit et le payant ?

    47:26

  • Conclusion

    01:00:11

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Description

Vous rêvez d'attirer plus de clients tout en créant une vraie connexion avec votre audience ? Découvrez le pouvoir des challenges, ces événements en ligne qui permettent de transformer des inconnus en clients fidèles en seulement 5 jours !


Dans cet épisode je reçois Aurélie, experte en challenges marketing.


Au programme :


➡️ Les chiffres clés et taux de conversion réalistes d'un challenge

➡️ Comment structurer votre challenge sur 5 jours pour maximiser l'engagement

➡️ Le secret pour faire la transition entre le contenu gratuit et votre offre payante

➡️ Les erreurs à éviter absolument quand on débute

➡️ L'importance des prises de conscience vs le contenu purement pratique


Bonus : Découvrez l'astuce du "live préambulatoire" qui va booster vos ventes et l'approche innovante du "Pass VIP" pendant le challenge.


Que vous soyez coach, formateur ou entrepreneur dans l'accompagnement, cet épisode vous donnera toutes les clés pour créer un challenge qui convertit, tout en restant aligné avec vos valeurs.


PS : "Je suis une putain d'opportunité" - la phrase à vous répéter avant de présenter votre offre ! 🎯


✨ Épisodes recommandés :




✨ Retrouvez Aurélie Gauthey  :




✨ Chapitres :

0:42 - Présentation d'Aurélie Gauthey, coach pour entrepreneur

6:29 - Qu’est-ce qu’un challenge ?

9:16 - À quel business ça s’adresse

10:06 - Les avantages des challenges en ligne

12:20 - À partir de quelle taille d’audience peut-on organiser un challenge ?

19:12 - Les chiffres de référence d’un “bon” challenge

33:56 - Que contient un challenge ?

47:26 - Comment vendre et faire la transition entre le gratuit et le payant ?

1:00:10 - Conclusion

🎙️ N'oubliez pas de vous abonner pour ne manquer aucun épisode. Et si cet épisode vous plaît, n'hésitez pas à laisser une note et un commentaire sur Apple Podcast, Spotify ou votre plateforme d'écoute ! Cela aide le podcast à atterrir dans les oreilles de plus d’entrepreneurs (et à me booster à continuer à produire de nouveaux épisodes).

—————————————

Retrouvez les shownotes de ce podcast

En savoir plus sur la BSB Académie, mon accompagnement business 

[Quiz] Quel type d’entrepreneur êtes-vous ? 

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Transcription

  • Speaker #0

    Si vous vous posez des questions comme comment trouver plus de clients et faire décoller mon business, comment vendre mes services sans me sentir trop pushy, comment être plus visible sur les réseaux sociaux, alors vous êtes au bon endroit. Bienvenue dans le podcast Je peux pas j'ai business. Je m'appelle Aline, je suis coach business diplômée depuis 2019 et ce podcast a été créé pour vous, pour vous aider à développer le business de vos rêves, un épisode à la fois. C'est comme avoir une coche business dans votre poche, prête à vous donner le petit coup de pouce ou le Ausha de fesses dont vous avez besoin. Alors, installez-vous confortablement et c'est parti pour l'épisode du jour. Hello Rémi, bienvenue sur le podcast Je peux pas, j'ai business. Comment est-ce que tu vas aujourd'hui ?

  • Speaker #1

    Je vais hyper bien, je suis trop impatiente.

  • Speaker #0

    Bonne humeur, je suis dans un super bon mood. Moi, je ne suis pas trop de la fin de journée, je suis plutôt du matin. Mais j'avoue que de te voir et de commencer à papoter, ça m'a énergisé. Je suis on fire. Pour commencer, j'entame toujours avec un petit portrait chinois de mes invités. Ça casse un peu les présentations standards. Et c'est l'occasion aussi de faire des découvertes. Est-ce que tu connais le concept ? Oui,

  • Speaker #1

    tu vas me poser des questions et je ne dois pas réfléchir.

  • Speaker #0

    Et tu dois répondre au tac au tac. C'est exactement ça. Aurélie, quel est un livre que tu as adoré récemment ?

  • Speaker #1

    Comment se faire des amis.

  • Speaker #0

    Relecture ou première lecture ?

  • Speaker #1

    Première lecture.

  • Speaker #0

    Oh waouh ! J'aimerais des fois oublier que je l'ai déjà lu pour pouvoir le relire une première fois, tellement il a changé ma vie. Une citation qui t'accompagne au quotidien ?

  • Speaker #1

    J'hésite entre « manger son caca » , donc c'est une citation de moi qui peut un peu faire peur au premier abord mais qui a beaucoup de signification.

  • Speaker #0

    Je pense qu'on va avoir besoin qu'on étaye un petit peu, et bien juste qu'on laisse les spectateurs et les auditeurs avec ça.

  • Speaker #1

    Est-ce que tu veux que je l'étaye maintenant ?

  • Speaker #0

    Bien sûr.

  • Speaker #1

    « Manger son caca » , c'est une phrase que je dis parce que je me rends compte qu'il y a beaucoup de personnes qui vont se faire aider du coaching, de la psychanalyse, de la thérapie, pendant des milliers d'années sur une problématique. Et je me suis rendu compte, avec toutes mes blessures de vie, qu'aller manger son caca, c'est vraiment la solution pour sortir d'une situation dramatique, problématique, récurrente. Parce qu'on espère toujours que quelqu'un de l'extérieur va nous apporter la réponse. Alors qu'aller manger son caca, c'est... En fait, cette situation, ça va faire mal, mais tu vas aller le faire tous les jours. Et à force d'aller te confronter à ce qui te blesse... Petit à petit tu vas retrouver un nouveau toi, un nouveau fonctionnement. Donc c'est aller manger son caca. Donc quand on me dit « Oh non mais moi j'ose pas me rendre visible parce que toute ma famille m'a jugé toute ma vie ! » Va manger ton caca. C'est bon. Ça fait 20 ans que tu dis que tu oses pas te rendre visible, tu mets des pièces dans la machine. Arrête de mettre des pièces en faisant la petite victime. Je l'ai fait aussi, c'est pour ça que je me permets. Mais en disant « J'y vais en fait » . Sinon ça ne changera pas.

  • Speaker #0

    Une formulation un peu putatière, mais pour dire qu'il faut se responsabiliser aussi sur sa capacité à passer à l'action malgré la vie qui cabosse. Et parce que la vie cabosse tout le monde aussi, il faut le dire.

  • Speaker #1

    C'est ça. Je l'aime. C'est y aller. C'est y aller véritablement. C'est le moment difficile, mais on se confronte à la vie et on arrête de la regarder, de dire j'ai eu des prises de conscience, j'ai compris que ma famille... Vas-y.

  • Speaker #0

    Oui, c'est bien de faire les prises de conscience, mais il faut en faire quelque chose aussi derrière.

  • Speaker #1

    Exact.

  • Speaker #0

    J'aime. Allons manger notre caca. Le dernier achat dont tu es la plus heureuse et ces magnifiques fauteuils ne comptent pas vu qu'ils ne sont pas encore débité de ton compte en banque. C'est une petite blagounette parce qu'en fait on a eu toutes les deux des gros coups de coeur sur les fauteuils du studio dans lequel on enregistre. Donc je pense qu'on va les enquêter en ligne après.

  • Speaker #1

    Nager avec les dauphins en Égypte, ma plus belle expérience de vie.

  • Speaker #0

    C'était il y a longtemps ?

  • Speaker #1

    Il y a deux ans et je n'ai jamais ressenti quelque chose dans mon corps. Je pensais être déconnectée de certaines choses. Et ça, ça s'explique même pas. J'arrivais même pas en rentrant à faire un live pour dire ce que j'ai vécu dans tout mon être en rencontrant les dauphins en nature.

  • Speaker #0

    Une expérience transcendante,

  • Speaker #1

    transformante, humaine. Tu reviens à toi, tu n'as rien. Je n'étais pas à Pimpé, j'étais sur un bateau avec dix personnes dans la nature pendant une semaine et tu reviens à ta nature première. Et ça, ça m'a...

  • Speaker #0

    C'est beau, c'est fou, ça donne envie.

  • Speaker #1

    Je t'ai vu dans ton regard, tu t'es dit, donne-moi l'adresse, comment on y va ? Comment on y va ?

  • Speaker #0

    Quatrième question, une application dont tu ne pourrais pas te passer sur ordi ou sur téléphone.

  • Speaker #1

    Blooc.

  • Speaker #0

    Oh ! Qu'est-ce que c'est ?

  • Speaker #1

    Je ne sais pas si tu as connu cette maladie d'aller tripoter ton téléphone 50 fois par jour alors que tu n'as pas à tripoter ton téléphone. Tu es en train d'envoyer un email et tu prends le téléphone et tu regardes quelque chose. Tu continues, tu prends le téléphone alors que tu n'as rien à y foutre. Donc, à bloc, je choisis de bloquer mes applications. Donc, mon équipe ne peut pas me contacter, je ne peux pas les contacter. Moi, je travaille lundi, mardi, mercredi. Donc, les jeudis, vendredis, samedis, dimanches, c'est bloqué. On n'est pas chirurgien cardiaque, il n'y a personne qui va mourir sur le billard, les gars, je suis absente.

  • Speaker #0

    Donc ça te bloque l'accès à l'application, les notifications, tout, et même toi tu ne peux pas y aller.

  • Speaker #1

    Ouais, et tu choisis les applications que tu peux bloquer, les heures, les jours, c'est vraiment du bidouillage. Attention, petite note aux personnes qui vont nous écouter, un jour c'était bloqué et j'ai fait un live Instagram. Et j'ai oublié que ça se bloquait à une certaine heure après l'approche déjeuner.

  • Speaker #0

    Et ça a été un live,

  • Speaker #1

    ça m'a coupé mon live.

  • Speaker #0

    Est-ce que c'est le genre d'application où tu peux très vite la contourner, c'est-à-dire aller la redésactiver dans tes réglages entre quelques secondes si à un moment il y a une urgence ? Ou c'est vraiment une fois que c'est bloqué, c'est bloqué et même toi tu ne peux plus rien y faire ?

  • Speaker #1

    Tu peux aller la débloquer, ça te prend cinq minutes, mais tu peux la débloquer, c'est assez facile. Mais il y en a d'autres, effectivement, en faisant des recherches où apparemment tu ne peux pas. Mais là, ça m'a mis des angoisses. Je me suis dit, on va commencer tout de suite. Donc, je suis passée de perdre 15 ans de ma vie sur mon téléphone, apparemment. Il te donne les années que tu perds.

  • Speaker #0

    Je pense qu'il ne faut pas du tout que j'aille checker ce qui se passe du côté du monde d'années perdues. Ça ferait peur.

  • Speaker #1

    Oui, moi j'ai eu peur.

  • Speaker #0

    Dernière question pour toi. Quel est le plus beau compliment qu'on puisse te faire ?

  • Speaker #1

    Que j'ai changé des vies.

  • Speaker #0

    On te l'a déjà dit ?

  • Speaker #1

    On me l'a déjà dit. Et ça, ça te... Tu sais, ça me tient dans les moments difficiles parce qu'on pense que quand on réussit, tout va bien. Sauf qu'on oublie de demander à des personnes qui réussissent comment elles vont véritablement en tant que femmes. Et ça, ça me touche souvent parce qu'on se dit... « Oui, mais toi, ça va, t'as toujours le sourire. » Ben non, ça va pas toujours. Voilà, je sais pas pourquoi je suis partie là-dessus, tu verras. Je fais souvent ce genre de choses, puis après, je reviens à la réalité. Donc, qu'on me dise que j'ai changé la vie de quelqu'un, ça me touche.

  • Speaker #0

    C'est le compliment qui te touche le plus. On va parler des challenges. donc technique marketing je n'ai jamais fait de challenge de ma vie bien sûr que j'en ai consommé j'étais cliente je connais la technique marketing mais le but aujourd'hui c'est qu'on décortique un petit peu ça toutes les deux et j'aimerais qu'on rende cet épisode le plus actionnable possible pour l'audience pour qu'on puisse avoir une véritable appréhension de ce qu'est un challenge quelles sont les grandes étapes comment ça s'articule pour qu'un auditeur ou une auditrice puisse se projeter c'est-à-dire est-ce que c'est une technique que je pourrais appliquer dans mon business que c'est quelque chose qui me plairait etc ok très bien j'ai plein de questions pour toi la première c'est Est-ce que tu peux nous expliquer, c'est quoi un challenge ? Comment ça se passe ? Comment ça se décompose ? Et si tu as des exemples pour illustrer ça, ça serait top.

  • Speaker #1

    De façon humaine, et on va en parler. On fait de la promotion sur les réseaux sociaux, gratuits, payants, à vous de voir, on en rediscutera. On propose un challenge. Un challenge, c'est la possibilité d'être en live pendant trois jours, cinq jours ou plus pour certains. Il y en a qui le font en live, il y en a qui le font en enregistré, parce qu'en fait... Tous les modèles existent. On peut prendre un modèle, ça c'est important qu'on le dise. Et de ce modèle, s'il y a des bouts qui ne vous plaisent pas, par exemple, « Ah oui, mais moi Aurélie, tu sais, j'aime pas envoyer des e-mails. » Ben, on fait des e-mails vidéo. Ou alors, on envoie des WhatsApp. En fait, d'un modèle, vous pouvez créer, tricoter autour pour créer votre propre modèle. Ça, c'est hyper important. Et donc, pendant cinq jours, on va être en direct pour transmettre des connaissances et pour, je vais insister là-dessus, apporter des prises de conscience. Ça, c'est une erreur dont on parlera. apporter des prises de conscience, connecter humainement à sa communauté pour qu'à la fin de ces cinq jours, on va prendre l'exemple de mon modèle, on puisse proposer notre offre de service et avoir des clients. Voilà un petit peu comment ça se passe, la base d'un challenge. Et un challenge, là où c'est intéressant, c'est que personnellement, ce que j'ai fait pour le modeler à ma façon de coacher, c'est qu'on peut tous permettre. Moi, quand je suis en direct, il y a une partie formation. Et à un moment donné, je dis OK, je prends des personnes dans le public, au hasard, on me pose des questions, je capte qu'il y a des nœuds à certains endroits, je fais venir les personnes avec moi sur Zoom et je les coach devant tout le monde. Et ça, c'est un tip, ce que je peux donner, c'est quoi de mieux que de voir l'exercice en direct se faire et se dire mais attends, mais moi aussi, je veux qu'elle me coach. T'as vu ce qu'elle vient de dire à la fille ? Et vu que leur communauté ou notre communauté en général se ressemblent tous, ont tous les mêmes problématiques, quand tu coaches quelqu'un en direct, tout le monde se dit... Ça me parle tellement !

  • Speaker #0

    Parce que tu bénéficies du coaching de quelqu'un d'autre, parce que ça résonne en toi, il y a un truc qui vibre.

  • Speaker #1

    Il y a un effet miroir.

  • Speaker #0

    Il y a un effet miroir qui se crée, effectivement. Ok, donc en fait c'est un événement en ligne, sur plusieurs jours, dans lequel tu vas donner de la connaissance, de la formation, faire prendre des prises de conscience, j'ai entendu que c'était important, et à la fin tu vas vendre quelque chose, c'est ça ?

  • Speaker #1

    Exactement.

  • Speaker #0

    Est-ce que tu pourrais nous donner un exemple peut-être d'une de tes élèves ou femmes accompagnées, même en... anonymisant son prénom, mais de business auquel ça peut s'appliquer. Et est-ce qu'il y a des business auxquels ça ne s'applique pas, ce système de vente ?

  • Speaker #1

    Ça peut s'appliquer, en tout cas pour ma part, c'est spécifiquement des entrepreneurs qui sont dans l'accompagnement humain ou animal ou énergétique ou prestation de service.

  • Speaker #0

    Donc tout ce qui est coach ?

  • Speaker #1

    C'est ça, coach, thérapeute, psychologue, coach love, format de vie en architecture.

  • Speaker #0

    Donc très infoprenariat au final.

  • Speaker #1

    Infoprenariat, oui. Ça s'applique à tous ces modèles et ça s'applique aussi qu'on vende du groupe ou de l'individuel. Parce que parfois, on me dit, mais moi, je vends des séances individuelles. Je n'ai pas besoin de faire un challenge. Ben si, en fait. Alors si c'est OK, on va partir là-dessus, à cet endroit-là. Je ne sais pas si c'est le bon moment, mais l'avantage d'un challenge, c'est qu'on rassemble, par exemple, 10, 20, 30, 100, 2000 personnes en même temps qui vont nous suivre pendant cinq jours. Ça veut dire que toutes les prises de conscience, les démonstrations, les témoignages clientes, tout ce qu'on se donne, c'est 100 en même temps. Et à la fin, on propose l'offre à 100 en même temps. Et en fait, c'est un gain de temps, je trouve, un énorme, que de faire du one-to-one avec des appels. Moi-même, au bout de deux ans, je me disais, putain, il va falloir que je leur répète comment je travaille, qui je suis, comment je coach. Et ça me plombait de faire des appels pour expliquer ça. Donc je me suis dit, mais les challenges, c'est le mieux. Tout le monde est en direct, il y a l'effet de groupe, l'effet de groupe, de soutien, les filles sont hyper excitées, ben oui, et tu les fais passer à l'action avec des exercices pratiques où à la fin elles se disent mais attends, j'ai goûté un échantillon de nez pour impacter pendant 5 jours, je veux ou je veux pas et c'est ok, mais je veux, rien que de ce que j'ai vu ça, imagine ce qu'elle va me faire en payant quoi, donc c'est ça un peu le modèle.

  • Speaker #0

    Donc en fait c'est vraiment faire expérimenter ton coaching, ton accompagnement. ou quelle que soit la chose que tu incarnes en tant qu'entrepreneur. Faire expérimenter à tes futurs clients potentiels la pleine puissance de ce que tu proposes. Pendant cinq jours. Et à la fin, de dire, maintenant c'est le moment, si vous voulez aller plus loin ou continuer cette expérience, rejoignez-moi dans mon coaching, mon accompagnement, ma thérapie, mon coaching de groupe, ma formation, ou quoi que ce soit.

  • Speaker #1

    C'est ça. Et ce qui est intéressant à cet endroit-là, quand tu as dit, à un moment donné, tu proposes ton offre, nous ce qu'on fait, c'est semer des graines tout le long. Parce que quand on va parler de nos clientes, quand on va parler des résultats qu'elles obtiennent, quand on va donner des exemples, quand on va coacher, en fait, on sème des graines en disant « Oui, ça, on l'apprend dans notre académie. » « Oui, ça, on s'appuie toujours en rappelant notre choix. » Voilà, c'est ça. On n'arrive pas… Hey ! On a ça à ventre ! On n'arrive pas comme un cheveu sur la soupe. Elles savent qu'il y a une offre à la fin. Ce n'est pas quelque chose à cacher, c'est OK. Et à partir du moment… moment où on donne de la grande valeur pendant une semaine. T'es là quand on présente, c'est cool, tu veux pas être là parce que pour toi, t'as eu assez de gratuit et ça te suffit, c'est OK aussi, en fait.

  • Speaker #0

    Très bien. On a dit à qui ça s'adressait, j'aimerais bien, avant qu'on rentre dans la technique de qui, quoi ou comment, comment vendre, quel type de contenu, comment faire la différence entre le gratuit, le payant, etc. Avant ça, pour qui est-ce que le challenge n'est pas ? Question subsidiaire à ça, c'est est-ce qu'il y a une taille d'audience minimale avec laquelle on peut se dire là, c'est OK de faire un challenge, ou si on est en dessous de cette taille d'audience, On peut se dire, bon, il vaut mieux d'abord que je me concentre sur le fait de développer mon audience, et après, je peux lancer un challenge. Parce que je t'entendais parler de challenge de 10 personnes. Est-ce qu'on peut le faire avec 10 personnes ?

  • Speaker #1

    Je dirais qu'il faut quand même... Alors, ça dépend combien vous voulez vendre d'offres, en réalité, parce que souvent, on me dit, oui, mais moi, j'ai que 15 personnes qui me suivent. Mais ma chérie, il te faut une bonne personne pour vendre une offre. Donc, c'est OK. Donc, il y a un minimum, parce qu'il y a des chiffres, on rentrera peut-être plus tard dedans. vous avez, et là je dis complètement au hasard, là tout de suite à cet instant, mais si, on va essayer de coller à la réalité, s'il y a 100 personnes qui s'inscrivent, il y en a à peu près 50 qui vont rejoindre le groupe parce que là, moi je le fais dans un groupe Facebook, où quand les personnes s'inscrivent, elles doivent rejoindre le groupe. Donc il y en a la moitié qui rejoignent. Toutes les autres se perdent dans les méandres des e-mails ou je ne sais où. Et dans les 50 qui rejoignent, on peut repartir à peu près sur la moitié qui vont venir participer au direct.

  • Speaker #0

    Ok, donc un quart des inscrits qui ne participent pas direct.

  • Speaker #1

    Si c'est du froid, si c'est des personnes qui viennent d'une publicité, plus la communauté qui vous suit est chaude, plus il y a de personnes qui vous connaissent, qui sont vraiment attachées à vous, à vos valeurs, à votre personnalité, plus elles seront présentes. De la publicité, les gens se disent, je ne la connais pas, je ne sais pas d'où elle sort, il y a plein de challenges, donc il y en a moins qui viennent. Donc sur les 25 qui restent, à peu près 10 peuvent prendre un appel, pour celles qui font des appels, et on peut compter, si vous avez une bonne offre irrésistible, qu'à peu près 8 personnes. 7-8 personnes vont acheter votre offre.

  • Speaker #0

    C'est un taux de closing énorme, 77-80%.

  • Speaker #1

    Alors ?

  • Speaker #0

    Parce que si tu me dis 10 personnes prennent un appel et 7 ou 8 achètent, ça fait du coup 70% de conversion au bas mot. C'est énorme.

  • Speaker #1

    C'est pour ça que j'ai précisé deux choses. Un, s'il y a une offre irrésistible.

  • Speaker #0

    Ok.

  • Speaker #1

    Très clairement, parce qu'il y en a plein qui pensent avoir une offre irrésistible. Elle n'est pas irrésistible. Et c'est vrai que moi, j'ai une chance ou une malchance. C'est qu'aujourd'hui, c'est pour ça que souvent on m'invite pour parler des challenges. Je vends en direct, sans closeur, une offre à 4000 euros de pub. Et les mecs qui font ma pub sont choqués, me disent « Mais attends, on a les chiffres, tu closes 80-90% du proie en direct » . Mais il y a des astuces qu'on va te donner ici, dans la communauté.

  • Speaker #0

    On aime les astuces qui nous aident à faire un meilleur taux de conversion. Ce que je retiens quand même de ce que tu es en train de nous dire, c'est que pour 100 personnes inscrites initialement, tu en closes 7 ou 8 et avec un taux de closing extraordinaire, donc tu nous donneras tes astuces, mais que je veux aussi dédramatiser ça auprès des gens qui nous écoutent, un taux de closing standard, quand c'est le créateur, le fondateur qui close, on est plus au taux d'entour des 60%. Donc 6 personnes si on a 10 appels. Donc il faut quand même 100 personnes inscrites pour 8 personnes. closés qui ont payé. Et là, on est sur quelque chose d'exceptionnel.

  • Speaker #1

    Oui. Et après, ça dépend des personnes. Moi, j'ai des clientes, elles cartonnent, elles font même mieux que ça, elles signent quasiment tout le monde. J'en ai d'autres qui feront zéro parce que ne comparez pas votre chapitre 1 à mon chapitre 24. Ça fait 8 ans que je suis mentor business, j'en suis à mon 18e challenge. Donc, il y a de la bouteille. Il y a de la bouteille, quoi. Donc, on ne compare pas. La seule chose que je vous dirais de comparer, c'est de tester une première fois. D'améliorer et vous retester et vous prenez vos chiffres à vous parce que vous avez tout le temps vous comparer à la voisine, elle n'a pas la même thématique, elle n'a pas le même nombre d'années, elle n'a pas la même facilité, elle n'a pas les mêmes tarifs. Quand j'en vois qui disent oui mais elle, elle a vendu 200 offres. elle a vendu 200 offres à 30 euros. Tu en as vendu 3000 euros.

  • Speaker #0

    Ouais, il faut faire les calculs. C'est bien de le dire. Donc, est-ce qu'il y a une taille d'audience ? Parlons en termes d'Instagram. À partir de combien d'abonnés Instagram, je peux vouloir lancer mon challenge ? Par exemple, si j'ai 300 abonnés sur Insta, est-ce que ça vaut le coup ? Ou est-ce qu'il vaut mieux que j'attende d'en avoir 500 ?

  • Speaker #1

    Moi, j'attendrai jamais. T'attendrai jamais. Je crois qu'il y a une phrase que c'est toi qui dis, mais que j'ai écrite dans mon livre, c'est anti-perfectionnite aiguë. Il faut que j'attende d'avoir ça. Il faut que j'attende d'avoir ma page de vente. Il faut que j'attende d'avoir 400 abonnés. Vas-y maintenant, fais le test. C'est pas quand tu seras Beyoncé que tu auras 10 000 abonnés que tu te diras, allez, je me lance. Elle a commencé par des petites scènes. Moi, j'ai des clientes des fois qui ont... 20 inscrits, mais je leur dis, mais vas-y à fond les ballons, tu vas avoir plein de problèmes techniques. Non, parce que, hein, on est d'accord.

  • Speaker #0

    Autant s'entraîner auprès d'un petit poule plutôt que de se vautrer devant 100 personnes.

  • Speaker #1

    On a besoin d'être à l'aise, comme toi, t'enregistres des podcasts, tu t'es pas... À un moment donné, on se lance et on sent bien que nos premiers épisodes sont pas les mêmes que les derniers au niveau de la voix, au niveau de l'aisance. Là, c'est pareil. Donc je leur dis, allez-y, même si vous faites deux ventes, vous avez des vidéos pour vos réseaux, vous avez pris de l'aisance. Vous avez peut-être connecté mentalement, émotionnellement avec des personnes qui n'ont pas acheté tout de suite, mais qui achèteront dans 1, 2, 3, 4 challenges. Donc, il n'y a que des bénéfices de le faire maintenant, même si on a 100 abonnés, j'ai envie de dire, même 300, même si on en a 100. Mais moi, j'irai à fond, mais j'irai à fond. Ma première conférence, j'allume la caméra, j'avais 60 inscrits et j'étais paniquée. Je me dis, oh là là, 60, comment je vais gérer ? Et là, ça s'allume et je vois 3, le chiffre 3 en bas sur Zoom. Je me dis, c'est quoi ça ? Et moi, ça se voit sur mon visage, donc je commence à me décomposer. Je me dis, pourquoi il y a 3 personnes ? Et je suis là, je cherche, je cherche, je regarde les noms discrètement pendant que je discute. Puis là, je me dis, merde, il y en a une que je connais, il y en a un autre, c'est un pote. Mais c'est qui la troisième ? En plus, Zoom coupe parce que c'est...

  • Speaker #0

    Limité aux 45 minutes.

  • Speaker #1

    Je ne sais pas, tu étais allée comme une vraie bourrine en disant, on y veut les gars, on n'a peur de rien, 40 minutes. Et là, je vois un décompte 5, 4 et je me dis... J'ai pas fait mon offre. Et là, ça m'a coupé dessus. Ah non, mais je suis vraiment...

  • Speaker #0

    Merci de le raconter. Et merci de dédramatiser ça. Parce que je pense qu'il y a tellement de personnes à qui ça arrive, ce genre de bug technique, et qui se sentent tellement honteux après, ensuite, en se disant oh là là, je suis qu'une merde, j'avais pas pensé à ça. Mais en fait, ça arrive à tout le monde, c'est juste qu'on n'en parle pas, quoi.

  • Speaker #1

    Mais oui, et moi, je l'assume. Et après, c'est la fin qui est drôle. C'est quand je dis à tout le monde, mais je comprends pas, il y avait trois personnes, mais c'est qui la troisième ? Ça se trouve, c'est une potentielle cliente. Et quelqu'un me dit, mais non, c'était toi. Et là,

  • Speaker #0

    je me dis, comment ça,

  • Speaker #1

    c'était moi ? Elle me dit, bah oui, sur Zoom. Tu comptes comme participant ?

  • Speaker #0

    Oh non.

  • Speaker #1

    Mon monde intérieur s'est effondré jusqu'au sous-sol. Et là, j'ai dit, OK. D'où l'importance de connaître les chiffres. Si je connaissais mes chiffres, je saurais combien il y aurait de personnes en direct. Donc toutes celles qui ont peur en disant, parce qu'on me l'a déjà fait, j'ai déjà 50 inscrits. Tu sais les gestes de stop. Oui, mais tu en as 50 inscrits, mais il y en a peut-être 10 qui vont venir. Cool. Donc c'est important de le dire, parce que des fois, il y en a qui s'arrêtent à 10 et il y aura une personne, et elles vont me dire, mais il n'y avait qu'une personne. C'est normal.

  • Speaker #0

    C'est toujours trop ou toujours pas assez, on n'est jamais content.

  • Speaker #1

    C'est ça, le problème de l'humain.

  • Speaker #0

    J'ai très envie qu'on continue sur ce côté chiffre, parce que je fais partie de ces personnes qui aiment chiffrer à chaque fois, donner des moyennes, parce que je trouve qu'avoir un référentiel quand on crée un premier challenge, ça aide beaucoup. Comme par exemple, moi, je suis plutôt de la team webinaire, et en fait, personne ne me disait, un taux de show-up moyen, c'est 30%. Et donc moi, avec mes 60% sur mon premier webinaire, Alors en fait, c'était juste génial. Donc, quels sont les grands chiffres qui te montrent qu'un challenge performe bien ? Ou alors que tu es sur la bonne voie ? dont les auditeurs pourraient se servir comme un peu référentiel de leur côté.

  • Speaker #1

    Là, je vais parler sur un trafic froid, parce que c'est ce que je connais, moi, qui vient de pub.

  • Speaker #0

    Donc, froid, c'est des gens qui ne te connaissent pas, qui n'ont jamais entendu parler de toi, qui voient passer une pub ou un repartage de story ou un truc comme ça.

  • Speaker #1

    Voilà, avec toutes les insultes qui vont avec sous les pubs. C'est ça, quand vous faites une pub.

  • Speaker #0

    Les insultes, c'est normal.

  • Speaker #1

    C'est normal, on adore. Allez-y, continuez. Ça me coûte moins cher, après, sur la pub.

  • Speaker #0

    Mais c'est ça, en fait. Les gens qui t'insultent, les gens qui commentent, même si c'est pour t'insulter. font baisser tes coûts tarifaires et publicitaires. Ça, il faut le savoir. Mais oui,

  • Speaker #1

    c'est pour ça que moi, je le dis à celui qui gère ma pub. Une fois, je lui ai dit, il me dit, oh là là, mais tu te fais insulter tout le long. Il y avait au moins 300 insultes sur la vidéo. Je lui ai dit, combien elles nous coûtent ? Il me dit 6 euros au lieu de 10. Vas-y, accélère. Je lui ai dit, il m'a dit,

  • Speaker #0

    mais continue à m'insulter.

  • Speaker #1

    Continuez. Bon, revenons à nos chiffres. Froid, c'est plus difficile. Donc, bien entendu que vous pouvez augmenter facilement si c'est des gens qui vous suivent déjà sur votre communauté depuis un petit moment. La première chose qu'on regarde, c'est la page d'inscription. Moi, j'emploie des mots très simples. Page d'inscription. Là, moi, je suis contente quand je suis à 20-25%.

  • Speaker #0

    De conversion.

  • Speaker #1

    De conversion. De personnes qui vont regarder cette page, qui vont s'inscrire et qui vont entrer dans mon tunnel. 25%, je suis contente.

  • Speaker #0

    Donc, sur 100 personnes qui voient ta page de capture, 25 qui s'inscrivent, la sortent email et valident.

  • Speaker #1

    Exactement. Trop bien. Bien entendu, on le redit, quand c'est du chaud, peut-être qu'il y en a qui vont monter à 40, 50% parce que les personnes vous connaissent, elles connaissent votre qualité. Donc là, elles y vont, elles s'inscrivent. Ensuite, ce qu'on regarde, on regarde la deuxième chose. Moi, j'aime bien regarder. Alors, il y a énormément de choses. On peut regarder le nombre de personnes qui rejoignent le groupe. En fait, il faut imaginer comme une frise, comme un tunnel. Et à chaque endroit, on met un petit arrêt. On se dit là, est-ce que j'ai 25% ? Oui, je suis bien. Non, je ne suis pas bien. OK, je vais regarder ma page d'inscription. C'est qu'elle a un problème. Deuxième étape, le nombre de personnes qui rejoignent le groupe. Quand ils arrivent sur ma page de confirmation, il y a un bouton qui leur permet de faire rejoindre le groupe. Là, il y aura les lives. Quand je suis à 40, 50%, la moitié qui rejoignent, pareil, je suis contente. Ne vous perdez pas dans les pourcentages de pacotille, comme on dit. Oui,

  • Speaker #0

    on n'est pas entre 43 ou

  • Speaker #1

    51. J'en ai parfois qui me disent, attends, je retouche tout parce que je suis à 50, mais moi, je veux être à 52. Enfin, à un moment donné, ce n'est pas là où il faut mettre le 20-80. Donc, quand vous êtes dans ces environs-là, c'est bien. Ensuite, sur le nombre de personnes qui sont dans le groupe, on regarde le nombre de présents au live. Sur 100 personnes qui sont dans le groupe, tu peux en avoir, allez, je vais dire 40 qui sont en train de regarder le live.

  • Speaker #0

    Donc 40%. De show-up au live.

  • Speaker #1

    C'est ça. OK. Si vous savez les tenir en haleine pendant plusieurs jours, parce que je précise qu'il est normal que vous ayez une chute. Moi, je fais, par exemple, du lundi au vendredi. Le jeudi, vendredi, c'est toujours deux jours où, je ne sais pas, au lieu de 50 personnes, on va descendre à 35, à peu près. 30-35.

  • Speaker #0

    J'ai vu des challenges qui duraient trois jours, d'autres sept. Est-ce que tu as une durée, toi, avec tous tes tests, que tu recommanderais ?

  • Speaker #1

    Quelqu'un qui est vraiment expérimenté, qui sait présenter son offre, qui a l'habitude, qui est reconnu, qui a beaucoup d'autorité sur le marché, trois jours seraient suffisants. Cinq jours, moi je le fais parce que je parle trop et parce que ça me va et c'est construit comme ça depuis 15 challenges. Et ça te convient bien ? J'ai pas envie de changer, la flemme. Raison suffisante,

  • Speaker #0

    valable. C'est ça.

  • Speaker #1

    Et sept jours, je trouve ça long et surtout, s'il vous plaît, ne faites pas des 21 jours. J'en vois sur 21 jours, sur un mois, en fait, les gens sont épuisés, vous n'avez plus leur attention. La vie, elle continue en dehors du challenge. Donc, dès que ça dure trop longtemps, vous perdez tout l'effet « waouh » de « j'ai une date de fin dans cinq jours » . Je sais que je mets ma vie en off, parce que vraiment, c'est ça, les participantes, souvent, elles me disent « mais j'ai pas dormi de la nuit, j'ai pris plein de notes, je suis excitée » . Elles sont dans un état, mais heureusement que ça ne dure pas trois semaines. Parce que là, les offintos de France m'appellent et me disent « Madame, qu'est-ce que vous leur avez fait ? » Donc,

  • Speaker #0

    cinq jours, c'est une bonne... durée pour se challenger peut-être sur une première fois elle avait pas compris mon jeu de mots et j'ai eu à mort ok donc c'est bien de garder sur une durée de 4-5 jours pour en tout cas tester une première fois ce format de challenge oui Très bien, donc je reviens aux chiffres parce que j'ai commencé à digresser. Donc tu parlais de 40% de show-up par rapport au nombre de personnes inscrites dans le groupe. Donc si j'ai 100 personnes dans mon groupe, d'ailleurs on n'a pas précisé si ça devait être un groupe Facebook ou autre, mais on va voir. Facebook,

  • Speaker #1

    on peut faire n'importe où. Il y en a qui veulent faire sur Telegram parce qu'elles ne veulent pas de Facebook. sur WhatsApp. Ne vous fermez pas au comment, en fait. Ça qu'il faut qu'on fasse comprendre.

  • Speaker #0

    Et toi, tu le fais sur Facebook ?

  • Speaker #1

    Moi, je le fais sur Facebook parce que je suis là. Moi, je suis un dinosaure. Je suis là depuis huit ans. Facebook, c'était ma vie avant. Tout le monde dit que c'est fini, mais moi, c'était ma vie. En fait, arrêtez parfois. Ça, c'est un conseil général de vous fermer dans le... comment je fais ça ?

  • Speaker #0

    C'est plutôt comment t'as envie de faire ça.

  • Speaker #1

    Et c'est ça, on oublie de partir d'une source de kiff, de plaisir, à quoi ça ressemblerait si ça me ressemblait dans mon énergie, ma façon d'être, pour que ça parte de soi. Et là, c'est puissant. Le comment, c'est la broutille d'après. Est-ce que je dois avoir 5 pages à ma page de vente ou 4 ? Est-ce que ma vidéo doit faire 10 minutes ou 20 minutes ? En fait, tu peux être impactante en une phrase.

  • Speaker #0

    Je retiens quand même qu'on doit avoir un espace communautaire parce qu'il y a la partie communauté, échange avec les participants. Et un espace où tu peux passer en live. Donc, ça peut être deux outils séparés. Ça peut être un seul et même endroit. D'où le groupe Facebook qui est quand même très pratique pour ça. Mais c'est quand même ces deux piliers qui doivent être présents.

  • Speaker #1

    Oui, parce que la communauté, c'est la puissance qui va faire que je donne un tips à cet endroit-là. C'est quand les personnes m'en achètent en direct. J'ai mon équipe qui est dans le chat et on est là. Félicitations Stéphanie, félicitations Julie. Et en fait, tout le monde a cette, j'allais dire, vibration. Tout le monde a cette énergie qui monte en flèche. Tout le monde se dit, moi, je veux faire partie du truc. Ça m'a excitée pendant quatre jours. Voilà, tu as compris.

  • Speaker #0

    OK, très bien. Pour finir sur les chiffres, 40% de show-up viennent à mon live. Je suis sur Facebook, je vis ma meilleure vie. J'avais 100 inscrits, j'ai 40 personnes qui sont là. Si tu me dis que c'est normal que peut-être j'ai 40 personnes le lundi et que le jeudi et le vendredi, elles soient 30,

  • Speaker #1

    28 à peu près. C'est normal.

  • Speaker #0

    C'est normal parce que la vie, les imprévus, etc. Certaines, j'imagine, rattrapent aussi les replays. Je vais présenter mon offre. On en parlera juste après de comment. Combien de ventes est-ce que je peux espérer avoir en moyenne quand je débute sur 28 personnes, par exemple ?

  • Speaker #1

    Tu n'as pas un chiffron, là ? Tu m'as donné 28, toi.

  • Speaker #0

    Alors, sur 10 personnes.

  • Speaker #1

    Sur 10 personnes ? Là, ça va dépendre. Est-ce que tu as une offre à 50 euros ou une offre à 3 000 euros ? Donc là, j'ai un peu de mal à répondre à ça.

  • Speaker #0

    On se fait des changes pour les offres à 50 euros ?

  • Speaker #1

    Il y a des personnes qui le font parce qu'en fait, encore une fois, ça leur permet d'éviter d'être en call toute la journée et de rassembler tout le monde en même temps. Donc quand il y en a qui commencent, elles testent un peu tout, elles goûtent à tout. Donc oui, on va dire sur une offre à 1 000 euros. Si c'est ton premier challenge, déjà, honnêtement, si t'en fais deux, je vais être bas exprès. Si t'en fais déjà deux, honnêtement, sois contente. Moi, le premier, je t'ai dit, j'avais fait zéro vente et c'est OK, quoi. Mais déjà deux, oui, c'est déjà bien. 1000 euros, deux personnes, tu vas en convertir d'autres plus tard. Ça qu'il ne faut pas oublier. Il ne faut jamais être déçu de ce que vous faites parce que vous pouvez le réutiliser.

  • Speaker #0

    Bien sûr,

  • Speaker #1

    capitaliser. C'est ça, les autres personnes qu'on suivit. Moi, à mon dernier challenge, j'ai eu plusieurs personnes qui étaient dans ma liste mail depuis 2021. Elles ont acheté en janvier 2024. Et ça augmente de plus en plus. Je pense que tu t'en rends compte aussi. Oui,

  • Speaker #0

    pareil. Moi, j'ai un taux de transfo de deux ans, deux ans et demi aussi parfois.

  • Speaker #1

    Avant, on disait que c'était trois, six mois. Il y a peut-être quatre ans de ça. On était sur du trois, six. Et là, on rallonge, on rallonge, on rallonge. Beaucoup de demandes, beaucoup d'offres. Les gens ont peur. Donc, c'est normal. Donc, continuez à entretenir. Hyper important de le préciser dans les tips. C'est comme si vous alliez à un date, ça c'est un sujet que j'adore et tu le sais, vous alliez à un date, ça se passe hyper bien, et là vous ne donnez plus aucune nouvelle. C'est un peu comme votre liste e-mail. Vous faites une conférence, vous envoyez un e-book, un lit de maniettes, peu importe. Puis derrière, vous dites, personne ne parle avec moi. Mais oui, mais tu n'en vois rien. Là, c'est pareil, vous avez fait un challenge. Vous les avez chauffés, vous les avez connectés humainement, vous avez passé des super moments avec. Continuez à entretenir régulièrement cette relation pour que les personnes ne vous oublient pas et aient envie de passer à l'action avec vous.

  • Speaker #0

    Donc c'est à la fois, j'imagine, déjà la partie de tous les e-mails, les séquences de vente. Ausha. Plus après ça, continuer à envoyer des newsletters toutes les semaines ou tous les 15 jours à minima pour continuer à entretenir cette relation, délivrer de la valeur, etc.

  • Speaker #1

    C'est ça, il faut le voir. Exactement, c'est le bon mot, comme une relation. Dans une relation avec une copine, on ne lui envoie pas un message un jour et on ne disparaît pas pendant deux ans et puis d'un coup, je ne t'ai pas dit, j'ai une nouvelle offre. Et puis on me dit, je ne comprends pas, elles ne savent plus qui je suis. Oui, ça fait deux ans que tu as disparu. Entretenez la relation et imaginez dans votre tête, pour que ce soit plus simple, c'est comme si je parlais à une amie. Allez-y, transmettez qui vous êtes, parlez de vous, parlez de votre histoire, parlez de comment vous pouvez l'accompagner. Donc, entretenez tout le long une relation humaine.

  • Speaker #0

    C'est hyper intéressant. Et ce que j'aime aussi dans ce que tu nous as dit, c'est que même en donnant des pourcentages de conversion, des chiffres qui sont des chiffres moyens, qui sont les chiffres normaux du marché, on se rend compte quand même qu'il faudrait y aller si je veux faire 10 ventes, ce qui n'est pas énorme, parce qu'il y a plein de personnes qui se disent « Ma première offre, ma première formation ou mon premier accompagnement, je voudrais faire une dizaine de ventes. » Ça ne nous semble pas énorme, mais il faut quand même... beaucoup d'inscrits pour arriver à faire cette divente. Et ce serait illusoire de penser que si j'ai 100 inscrits, je vais faire 40 ventes. Oui. Ou alors,

  • Speaker #1

    vous êtes ex-fine du perfecting. Voilà. Ou alors, vous avez une offre à 10 euros et c'est OK.

  • Speaker #0

    C'est rarement le cas.

  • Speaker #1

    C'est rarement le cas.

  • Speaker #0

    Non, mais c'est très intéressant parce que je pense que ça met les gens aussi face à une réalité où parfois, on me dit souvent, tu vends beaucoup pendant la BSB Academy parce que je fais parfois des promotions avec 500 personnes. Oui, mais sur 500 personnes, j'en avais... 15 000 inscrits à mon webinaire. Et j'en ai converti 500, donc c'est tout aussi des histoires d'échelle. Et c'est pour ça que c'est important que tu le redises et que tu le redises et que tu le redises. Quand on a un business, on s'appelle des chefs d'entreprise. On ne s'appelle pas une auto-entrepreneur, une thérapeute, une psy. On est aussi une chef d'entreprise, une chef d'entreprise. C'est comme un pilote d'avion, il a un tableau de bord. Si l'avion, il commence à chuter, il se dit, j'appuie où ? Il n'est pas là en train de se dire, celui-là ou celui-là ? Non mais c'est vrai, il y a beaucoup de personnes qui arrivent, qui ne connaissent pas les chiffres, rien que ça. Et qui disent... Mon challenge n'a pas marché, j'arrête. Ok, attends, tu sais quoi ? Juste pour le kiff, viens me le montrer. Et là, je vois dans le tunnel qu'on vient d'expliquer où il y a un trou. Et là, je dis, ok, là, il y a un problème. C'est à cet endroit-là qu'on va venir réparer. Soyez des pilotes d'avion. On est des chefs d'entreprise. C'est important de le dire. On ne joue pas à la marrelle. On ne joue pas aux devinettes. Et quand vous avez les chiffres auprès de professionnels, que ce soit Aline ou d'autres personnes... Là, vous pouvez vous dire ça, ça va, ça, ça va pas, ça, ça va. Et vous pouvez manager votre propre jeu plutôt que de subir en disant ça va pas. Je jette le bébé, l'eau du bain et tout ce qui va avec quoi.

  • Speaker #1

    Mais tu vois, je défends les auditeurs. Il y a tellement peu de personnes qui partagent ces chiffres que des fois, c'est très compliqué. Quand tu te lances, que tu veux vendre, que ce soit via un webinaire, via un challenge, via des emails, tu ne sais pas c'est quoi la normalité, les chiffres globaux, le taux de conversion d'un email de vente, etc. Si personne te dit c'est 3, 4 %, toi, quand tu fais 5 %, tu peux penser que c'est de la merde. Alors qu'en fait, c'est génial. Et donc, merci de partager ces chiffres. C'est ça, mon message.

  • Speaker #0

    Il ne faut pas avoir peur d'aller voir des personnes. Souvent, on a peur de nous envoyer des messages, mais des vrais messages. Mais moi, quelqu'un qui me dit écoute, c'est quoi ? Je prends une séance avec toi si c'est possible pendant une heure. Et je veux que tu me dises c'est quoi les chiffres ou je veux que tu me dises ça ou je veux que tu me dises comment toi, tu l'as vécu émotionnellement. Faites-le, trouvez un ou une mentor. Allez poser des vraies questions et ne vous dites pas, comme tu as dit, je suis une merde, ça ne marche pas pour moi, les autres sont meilleurs. Non, les autres, ça fait 18 fois qu'elles le font. C'est ça.

  • Speaker #1

    Et puis, si ça se trouve, juste, on est doué et c'est que dans la tête, on s'était imaginé des standards ou des chiffres qui ne sont pas du tout la réalité du marché.

  • Speaker #0

    Merci. Tu as parlé d'un truc hyper important, les leviers de facilitation. Je ne sais pas si ça se dit. On invente levier de facilité. Tout ça pour dire quoi ? En fait, n'essayez pas de vouloir ressembler à une autre personne dans son modèle de vente. Moi, je me suis beaucoup comparée et je me souviens qu'une fois, je suis allée dans un mastermind et je regardais une autre fille et je me disais, « Elle a une communauté de ouf. Moi, je n'ai pas une grosse communauté. » Et je l'enviais et je sentais que je l'enviais au fond de moi en me disant, « Mais comment elle fait ? Pourquoi moi, je n'y arrive pas ? » Et là, la comparaison et tout ça, j'étais à fond dedans. Et à un moment donné, pendant la pause, on sort dehors et je la vois effondrée de dos. Je vois bien qu'elle est là comme ça. Je me dis, « Mais... » Je vais y aller, je ne vais pas la laisser. Je lui demande si c'est OK que je vienne vers elle. Et dans la discussion, elle me dit, je suis dégoûtée, il y a ça qui ne va pas, ça qui ne va pas. Elle dit, regarde comme toi, tu as fait plus de 3 millions avec tes challenges. Et là, je me suis pris une gifle monumentale de me comparer à une personne en me disant, mais elle, elle a une communauté de ouf et moi, je suis nulle. Je me suis dit ça pendant deux jours. Et elle me regardait en me disant, et l'autre, elle fait des challenges à plusieurs millions et moi, je suis nulle. Et là, je lui ai dit, c'est fou. Mais tu sais quoi, j'étais en train de me comparer à toi. Et on s'est regardé. On s'est pris dans les bras, on a chialé comme des merdasses pendant 8 demi-heures de se dire qu'en fait, on s'autoflagellait avec nous-mêmes dans nos tripes. Elle, elle faisait ça sur moi, moi, je faisais ça sur elle. Et ce jour-là, elle m'a fait comprendre qu'il y a des choses qui ne sont pas notre truc. Et si moi, ce n'est pas mon truc de créer des posts tous les jours parce que je ne peux pas et c'est en train de me faire avoir des vertiges et des hauts-le-coeur de créer des posts tous les jours. Par contre, tu me mets en live, tu me fais coacher n'importe qui pendant des milliers d'heures. J'adore ça. trouvez vos leviers facilitateurs. S'il y en a, c'est les emails. Faites de la vente par email. Vous aimez les challenges, coacher des gens en direct, être dans l'humain, être authentique. Vous pouvez rire, vous pouvez faire tout ce que vous voulez dans un challenge. Faites des challenges. Donc, trouvez vos leviers et vous arrêterez de vous comparer. C'est hyper important. Oui,

  • Speaker #1

    tu peux louer les forces, les choses qui paraissent faciles, en fait.

  • Speaker #0

    Parce qu'on se dit, Aline, elle récite super bien dans les webinaires. Mais si ce n'est pas ton truc ? Ça se trouve, ce n'est pas ton truc. Donc, tu vas essayer de copier Aline ? Non, pourquoi on arrête ça ?

  • Speaker #1

    Justement, sur la partie purement contenu, qu'est-ce qu'on met dans son challenge ? Je veux bien que tu nous donnes ton exemple à toi, qu'est-ce que tu vends à la fin ? On va partir de ça, décris-nous ton offre. Et ensuite, décris-nous le contenu du challenge jour par jour, si tu acceptes de partager. Et pourquoi est-ce que tu as choisi de mettre ce contenu-là ? Ce que j'aimerais bien qu'on explique aux spectateurs et aux auditeurs, c'est qu'est-ce qu'on est censé mettre en termes de contenu pendant ces cinq jours ? Comment faire la différence entre trop de contenu passé, le contenu gratuit, le contenu payant ? Enfin, je sais que c'est une question qui va popper dans les commentaires.

  • Speaker #0

    Oui, mais là, tu m'excites, tu m'as tout donné d'un coup, il faut que tu me recadres après, d'accord ? Vas-y, vas-y. Alors, l'offre. Pour ce challenge-là, je vends l'Académie des entrepreneurs d'impact. C'est une académie dans laquelle j'apprends à des entrepreneurs de A à Z à développer un business au service de leur vie. On passe par la vision, le client idéal, l'offre irrésistible, c'est important de le préciser, les réseaux sociaux et apprendre à faire des conférences ou des challenges. Ça, c'est la boucle que j'apprends dans mon programme. Eh bien, j'ai basé le challenge là-dessus. Un challenge, vous devez le baser sur une des plus grandes problématiques de votre client idéal. Donc, vous choisissez la plus grande problématique. Ça vous fait votre promesse ou votre titre de challenge. Mon titre de challenge, c'est attirer deux fois plus de clients sans vous vendre.

  • Speaker #1

    Promesse irrésistible.

  • Speaker #0

    Et là, pendant cinq jours, je répète, je vais donner des prises de conscience sur... C'est quoi une offre irrésistible et les erreurs à ne pas commettre ou à l'inverse qu'il faut mettre dedans ? Il y a une journée sur c'est quoi les modèles de vente et qu'est-ce qu'on peut faire comme modèle de vente ? Et nous, j'explique le challenge parce qu'on est déjà expérimenté là-dessus. On a une journée sur les appels. Faut-il faire des appels ? Oui ? Non ? Pourquoi ? À quel niveau ? Quand est-ce que c'est utile ou pas utile ? On a une journée sur les 15 erreurs. Quand on veut être femme, entrepreneur et vivre de son business, et il y a la journée pyramide de la visibilité, comment on travaille sa visibilité, gratuit, payant, pourquoi, dans quel cas. Et quand vous regardez un petit peu ce que je vous ai présenté, c'est l'académie, pilier par pilier un peu.

  • Speaker #1

    Presque module par module en fait.

  • Speaker #0

    Presque module par module, donc vous pouvez suivre le même modèle en disant, bah tiens, voilà mon offre, si je la découpais en 5 jours, 5 piliers, à quoi ça ressemblerait ? Et j'ai basé mon challenge là-dessus. J'ai oublié, j'ai un live la veille qui n'est pas compté dans les 5 jours. Ce live-là, pour moi, c'est le plus important.

  • Speaker #1

    La veille, donc avant que le challenge commence ?

  • Speaker #0

    Avant que le challenge commence. Moi, le dimanche soir, je fais un live.

  • Speaker #1

    En mode rentrée, préparation ?

  • Speaker #0

    Je me demande si ça se trouve, si je ne ferais pas que celui-là. Donc là, j'abuse un peu. On pourrait déjà vendre des offres, tu vois. Parce que celui-là, en fait, je raconte mon histoire. Je raconte que j'ai connu la rue à 17 ans. C'est là que j'ai eu ma mission de vie avec ma maman qui n'avait pas d'argent pour qu'on puisse être logée. Et j'explique que la liberté financière des femmes, moi, c'est ce qui me touche depuis que j'ai 17 ans. J'explique quand j'ai connu la rue, le rejet de groupe des femmes, quand j'ai connu l'abandon, quand j'ai connu des deuils traumatiques. En fait, j'ai eu une succession, et c'est important que je vous explique ça, j'ai eu une succession de trop de ma vie où je me suis dit, mais comment c'est possible ? Qu'un seul être humain, on lui ait donné tout ça. Je crois que j'ai eu toutes les blessures de l'âme, tout ce qu'il existe, on m'a tout mis sur le dos. On s'est dit, elle, là, on va la choisir, elle va payer. Et en fait, j'ai compris quelque chose, c'est que c'est par l'expérience que j'ai vécue dans ma chair, dans mon émotionnel, qu'aujourd'hui je suis en capacité d'accompagner ces thérapeutes, ces coachs, ces formatrices qui connectent avec moi par mon histoire. Et en fait, le dimanche soir, et c'est la chose que les trois quarts des entrepreneurs oublient, on en parle, mais il y en a peu qui osent le faire, c'est que moi, dès le premier soir, j'y vais. Voilà qui j'ai été. Voilà ce qu'on m'a fait, voilà ce que j'ai subi dans mon corps, dans mon âme, voilà la femme que j'ai été, voilà celle que je suis aujourd'hui avec mon équipe, le business, le succès. Donc on a le parcours et c'est là où il y a tout qui se fait. Parce qu'en fait il y a des femmes qui vont se dire mais moi je me reconnais, moi aussi j'ai la blessure du rejet, moi aussi on m'a humiliée à l'école ou moi aussi j'ai connu la rue. Et tu verrais à quel point c'est puissant d'oser être dans sa vulnérabilité. leur dis, vous savez, je ne vais pas vous dire que des belles choses sur moi, parce que franchement, je suis juste un être humain, il n'y a pas que du beau. Mais en fait, j'ai envie que vous sachiez qui est-ce que vous allez écouter pendant une semaine. Parce qu'il y a plein de gens sur les réseaux, tout le monde donne son avis. Pourquoi vous m'écouteriez-moi ? Voilà qui je suis. Si vous sentez que je suis un humain, on va dire, qui vous donne envie de connecter humainement, je vais être là pour ça, parce que toute la semaine, je vais venir vous mettre des putains de coups de pied au cul. Vous avez besoin qu'on ait un lien les deux. Et là, ça connecte. Et là, je vends à ce moment-là aussi, pour celles qui ont un livre, c'est là aussi où je dis, voilà, j'ai un livre. Habituellement, on ne peut pas passer par moi. Il est sur Amazon. Mais là, pendant le challenge, j'en ai 200 à la maison. Donc, si vous voulez, vous pouvez l'avoir. Et en fait... J'ai toute leur attention. Parce qu'on est dans l'humain. Et c'est ça qui connecte. Et les gens oublient, osent pas parler d'eux, se disent « Mais attends, je vais faire pleurer dans les chiomières, je leur dis c'est pas ça. » Oui,

  • Speaker #1

    ou alors il y a le « qui suis-je pour parler de moi ? Je ne suis personne. »

  • Speaker #0

    C'est ça.

  • Speaker #1

    Pourquoi les gens s'intéresseraient à moi et à mon parcours ?

  • Speaker #0

    Ouais. Alors qu'en réalité, dès que vous faites une conférence, un challenge, un live, peu importe ce que vous faites... Allez-y dans qui vous êtes. C'est l'humain qui touche parce qu'en vrai des coachs business comme moi, il y en a un milliard par jour qui naissent. Depuis huit ans, j'en ai vu des milliers de passer. Pourquoi on choisit Aurélie ? Pourquoi on choisit Aline ? Parce qu'on a des personnalités, parce qu'on a une histoire, parce qu'on a une connexion humaine, parce qu'on a une façon de coacher. Moi, des fois, on me dit je te paye parce que je veux que tu me botte le cul. Ah putain,

  • Speaker #1

    mais viens de moi. J'adore les foutages de fesses.

  • Speaker #0

    Non mais voilà, n'ayez pas peur. Vraiment, ça me tient à cœur d'en parler. N'ayez pas peur de parler de votre histoire. Parce que toutes celles que vous êtes aujourd'hui, si Aline, elle fait ce métier, si elle accompagne des gens, il y a une raison. Si j'accompagne des gens, il y a une raison. Si je me bats tous les jours pour incarner la liberté, c'est parce que j'ai été esclave et emprisonnée de ma propre vie, en fait. Et ça me tient à cœur. Donc, je ne développe pas que des business. Vous voyez, il y a un message et trouvez votre message. Qu'est-ce qu'il y a derrière la mission de la liberté financière des femmes ? Je ne développe pas que de l'argent business. J'apprends à mes clientes par amour pour moi. Je me fais respecter. J'apprends à mes clientes à oser être libre, oser, ne plus avoir peur du regard, du rejet, du jugement. Et je libère des femmes où parfois on se dit « putain je suis venue pour une page de vente et je repars » ou « ça va mieux dans mon couple » ou « parce qu'on libère des conditionnements » et moi je pense aux petites filles après, je vais hyper loin mais j'ai une mission tellement grande. Puis n'oubliez pas quand vous parlez de vous, quand vous parlez de vos valeurs, de vos convictions, moi quand j'en parle sur mes réseaux, je me dis « j'ai une tribune ouverte où j'ai la parole » . Moi, j'ai la parole. J'étais celle qui était, moins que rien, une serpillère qu'on marchait dessus. Aujourd'hui, j'allume un micro, on m'écoute. Putain, c'est ouf.

  • Speaker #1

    C'est beau ce que tu dis.

  • Speaker #0

    C'est vrai.

  • Speaker #1

    C'est hyper inspirant. Et je pense que tout le monde a besoin de se trouver sa tribune. Tu le dis très, très bien. Les challenges sont un moyen aussi de faire ça. Et j'aime beaucoup cette astuce du live, presque qui est un préambule au challenge, qui est ce moyen de créer la connexion et de dire, effectivement, pourquoi est-ce que vous allez m'écouter ? pendant 5 jours, voilà ce qu'on va traverser ensemble, voilà ce qui va se passer, voilà ma personnalité, voilà mon style d'accompagnement. Et là, les gens peuvent aussi décider de, oui, je m'engage, parce que ce que j'entends résonne, vibre, me plaît. Ou alors, non, c'est pas pour moi, mais j'imagine qu'il doit y en avoir très peu quand même.

  • Speaker #0

    C'est pour ça que moi, je leur dis directement, je vous dis tout, je vous dis comment ça va se passer. Vous allez voir, je vais être hyper cash. Quand je vais en choisir pour les coacher, vous allez voir que je coupe direct, je coupe la parole, je t'arrête, j'ai l'idée, je sais où je veux t'emmener, j'ai des phrases qui popent dans ma tête. C'est pas par impolitesse, c'est que j'ai une connexion où il faut que ça sorte tout de suite. J'explique tout dès le début et je leur dis « âme sensible,

  • Speaker #1

    quittez le live,

  • Speaker #0

    partez, faites ça » . C'est comme sur Instagram, les gens qui critiquent « faites juste ça » , il y a quelqu'un d'autre de l'autre côté. C'est pareil.

  • Speaker #1

    Et en termes de contenu pendant le challenge, il y a ce premier live. Ensuite, chaque jour, tu vas explorer un des piliers de ta formation. Après, ça fait totalement sens. Pendant ces piliers-là, est-ce que c'est purement théorique ? Combien de temps ça dure ? Et est-ce qu'il y a des exercices pratiques ?

  • Speaker #0

    Alors, je suis une mauvaise élève parce que moi mes lives ils durent deux heures.

  • Speaker #1

    Ok, par jour ?

  • Speaker #0

    Par jour.

  • Speaker #1

    Au lieu de ?

  • Speaker #0

    Une heure, ça serait très bien.

  • Speaker #1

    Le standard c'est une heure ?

  • Speaker #0

    Une heure c'est bien. A l'intérieur c'est très théorique, pratique, il y a de tout. Il y a un mélange où je montre... Les erreurs, ce qu'il est possible de faire, des prises de conscience. Je montre des études de cas. Je prends des personnes à qui je dis qui a une offre. On va aller regarder ensemble devant tout le monde. Donc, il y a un partage d'écran où on regarde l'offre. J'analyse, j'explique ce qui ne va pas. Des études de cas en direct. direct. Une heure, c'est bien. Deux heures, c'est long. Deux heures, il faut avoir l'habitude. Il faut tenir les gens en haleine, il faut leur donner envie.

  • Speaker #1

    Il faut aller énergier aussi pendant deux heures.

  • Speaker #0

    Je pense qu'on est des sportifs de haut niveau. Pas physiquement. Je déteste le sport. Quand on est chef d'entreprise, on est sportif de haut niveau. Et moi, je conseille à tout le monde, si c'est possible, quand vous faites un challenge, une conférence, un webinaire, peu importe quoi, moi, mon agenda, il est vidé. Ça veut dire, j'allume la caméra, Je laisse mon équipe gérer le avant, le après, les coulisses. Je n'ai pas la capacité mentale de pouvoir faire des coachings avant, pendant, après. Et moi, quand je me connecte à quelqu'un, ça me puise énormément d'énergie. Parce que, on va le préciser, je ne sais pas si ça va faire trop d'infos, mais après mon live, moi, je vends un accès à 57 euros. Alors, ce n'est pas obligé que ce soit 57. Je vends un accès à un groupe VIP. C'est des personnes qui s'inscrivent, qui payent. Elles peuvent accéder au challenge gratuit pendant toute la semaine, mais elles viennent l'après-midi avec moi pendant une heure. Là, on a un groupe. Moi, sur 150 présentes, je prends des chiffres qui me reviennent en tête. J'en ai peut-être 50 ou 60 qui vont acheter le pass VIP. Et on a nos 80 % facilement cachettes qui sont dans le pass VIP.

  • Speaker #1

    Donc, en fait, c'est un challenge gratuit, mais avec un upsell. sur une expérience premium pendant la semaine du challenge, qui sont ces après-midi avec toi. Et après, à la fin, effectivement, tu vends à tout le monde, VIP ou pas, ton offre.

  • Speaker #0

    Exact.

  • Speaker #1

    C'est vrai que c'est une stratégie qui est un peu plus avancée. Peut-être qu'en premier challenge, on pourrait quand même conseiller de faire juste le challenge gratuit, la vente à la fin. Ne commencez pas à vouloir faire des upsells de partout.

  • Speaker #0

    En fait, plus vous faites simple, plus ça fonctionnera. Parce que nous, on complexifie avec le temps, parce qu'on est habitué.

  • Speaker #1

    Et l'expérience, bien sûr.

  • Speaker #0

    Voilà, simple. Un petit groupe Facebook, vous allez vous mettre en live sur le groupe, on commence doucement, on ne veut pas aller trop loin, mais c'est important d'en parler pour celles qui font déjà des challenges. Et pour faire comprendre qu'il y a des gens qui sont prêts à investir, et ces personnes-là, on en a vraiment 8 sur 10 cachettes, parce qu'elles ont été prêtes à sortir la carte. Et on sait qu'elles, il faut les chouchouter encore plus, parce que je me dis, et je vais être très honnête, même moi, je me dis, il faut vraiment m'allécher, même pour 57 euros, pour que je sorte la carte sans la connaître. Donc c'est le fait qu'on aille coacher. et que je connecte humainement le soir 1 et que je revende encore le premier jour officiel du lundi, où les gens se disent, et c'est là où il y a beaucoup de ventes du VIP, qui se disent « Oh ! Elle va répondre à toutes nos questions ! » Donc n'hésitez pas à créer votre modèle et à... Si vous pouvez, coacher, prendre des personnes en direct avec vous. Mais ça, encore une fois, j'ai fait ça au bout du troisième. J'ai attendu d'être à l'aise avec la caméra, d'être à l'aise avec ma formation, avant de dire on y va, je coache. Mais c'est attesté, c'est pas mal. Et donc l'intérieur, prise de conscience. Et je les amène à, nous c'est 15h, mais tous les jours à 15h, il y a un petit poste avec un exercice. Par exemple, aujourd'hui, tu vas me pitcher ton offre. Aujourd'hui, le jour de l'offre, je choisis un exercice qui correspond au jour de ce qu'elles ont appris et on leur demande de passer à l'action. J'ai des ambassadrices, c'est des anciennes clientes qui ont réussi dans l'académie, qu'on aime particulièrement parce qu'elles sont vraiment ambassadrices. On leur a proposé de venir conseiller, accompagner, donc elles répondent à tous les commentaires, à tous les exercices, ça prend beaucoup de temps. Et on fait ça chaque jour et j'ouvre les ventes le jeudi dans mon cas.

  • Speaker #1

    Je me permets de poser la question, j'aime beaucoup ce système d'ambassadrice. Est-ce que c'est des personnes que tu rémunères ou est-ce que ce sont juste ambassadrices bénévoles ?

  • Speaker #0

    Je suis beaucoup dans le « deux » , le « donner, recevoir » . Donc elles sont payées sur leur semaine de présence, plus des commissions. Quand il y a eu des discussions profondes avec des personnes qui avaient besoin, elles les ont accompagnées en privé toute la semaine, elles ont des commissions à ce moment-là.

  • Speaker #1

    C'est beau. Je trouve ça cool de faire ça parce qu'il y a beaucoup de personnes qui mettent en place des systèmes d'ambassadeurs, de personnes qui… ont suivi le programme, qui viennent dans le challenge ou dans le webinaire pour en parler, etc. Mais c'est des personnes qui ne sont pas payées. Et autant, je peux comprendre quand on n'a pas forcément la marge pour le faire, autant, moi je sais que tous mes mentors aussi sont rémunérés parce que ça reste du travail et parce que ça contribue à générer un chiffre d'affaires pour ta boîte.

  • Speaker #0

    Moi, c'est ce que je dis souvent des fois quand on me dit... Je pars à côté, mais ça va répondre à ça quand on me dit mais des fois, tu n'es pas fatigué quand tu as des équipes de 8 ou 10 personnes. Moi, je ne voulais pas du tout être manager, ce n'est pas mon truc. Je voulais être coach et je me retrouve chef d'entreprise, manager. À cet endroit-là, j'ai envie de dire, repensez toujours à votre mission. La mission est plus grande que ce qu'on fait. Et moi, c'est la liberté des femmes. Donc, quand je paye 10 salaires, j'oublie le management qui me fait chier.

  • Speaker #1

    Tu donnes de la liberté financière.

  • Speaker #0

    Je donne de la liberté financière. Ce n'est pas juste les clientes, c'est aussi mon équipe. Et là, dans ce cas-là, pour moi, quelqu'un qui ne pourrait pas rémunérer, en tout cas, c'est ce qui m'est venu comme ça à chaud, c'est qu'on ne peut pas rémunérer quelqu'un qui vous dit, mais t'inquiète. Et ça, on me le dit tout le temps, mais t'inquiète. Moi, je ne demande rien, je te recommande avec plaisir. Je dis, en fait, ce n'est pas juste pour moi. À un moment donné, tu vois, j'aurai ce truc de dette par rapport à quelqu'un et ça, je ne peux pas. Mais si vous ne pouvez pas les payer, offrez-lui un soin. Si vous faites des soins, si vous faites de la thérapie, du coaching, une copine à vous. Trouvez dans tous les cas, même si c'est envoyer une carte. Moi, pour moi, on doit toujours trouver quelque chose pour remercier la personne et pas se dire, c'est gratuit, tu as raison. Oui, non.

  • Speaker #1

    Et du coup, j'ai une dernière question pour toi qui, je pense, est celle qui brûle les lèvres des auditeurs, des spectateurs. C'est OK, je donne de la valeur, je fais tester mon expertise, j'accompagne, les gens sont en taquette, etc. Mais du coup, comment est-ce que je vends à la fin ? C'est quoi le secret pour faire déjà la transition entre ce contenu gratuit où tout le monde est content et la vente ? Comment est-ce que j'en parle ? Comment est-ce que je mène mon offre ? Comment est-ce que je le fais de manière à être la plus sûre possible de convertir ? Est-ce que tu as des conseils, des bonnes pratiques à nous recommander ?

  • Speaker #0

    Alors ? Il y a deux endroits. Il y a un endroit où je vais certainement vous décevoir et l'autre où vous allez vous dire c'est ok. Là où je vais décevoir, c'est qu'on imagine qu'il faut mettre en place tout un truc pour dire que là c'était le gratuit, mais là ça va être le payant. Calmons-nous. Il faut simplement, en tout cas c'est ce que je fais, je sème des graines, comme j'ai dit tout à l'heure, tout le long. Un petit peu tous les jours, quand je coach, quand j'accompagne, quand quelqu'un me dit « oui mais comment je fais pour… » Je lui dis « écoute, si tu as envie d'aller plus loin, voilà déjà un tips. » sache que dans l'académie, on apprend à nos clientes comment avoir une offre irrésistible. Donc, je sème des graines, je fais comprendre qu'on a une offre et même quasiment dès le deuxième jour, j'explique que je vais présenter le jeudi. Je dis voilà, jeudi, je vais vous présenter en début de live l'académie et le mastermind, parce qu'on a deux niveaux. Je vais vous présenter mes accompagnements en début de live. En fait, je ne fais aucune transition. C'est clair, c'est posé. Oui,

  • Speaker #1

    il y a un contrat de la suite toute la semaine où ils savent que ça va arriver à un moment.

  • Speaker #0

    Aujourd'hui, je pense que les gens sont habitués. Oui. Si, j'en parle peut-être aussi le dimanche, mais ce n'est pas quelque chose où je me suis mis vraiment... Il faut absolument que je leur dise qu'à la fin, je vais leur présenter mon offre.

  • Speaker #1

    Oui, il n'y a pas de coups de trafalgar, de coups de magie à inventer, de stratégie, de « Oup, oup, oup, je fais passer l'information » .

  • Speaker #0

    Et en plus, je leur mets des témoignages de clients, donc je leur montre que c'est possible. Je leur dis qu'on apprend ça, et de toute façon, je vous en parlerai jeudi. Donc quasiment tous les jours, elles savent que si elles se connectent à 12h30 le jeudi, ça sera la présentation de comment travailler avec nous. Je pense quand même, je voudrais ajouter quelque chose. Si vous êtes à l'aise avec ça, ce n'est plus un sujet en fait. Ce n'est pas un sujet. Moi, je suis en amour avec la vente. Je vais expliquer pour ça à certaines personnes. Être en amour avec la vente, c'est de comprendre qu'à un moment donné, il y a des personnes qui souffrent ou qui ont une problématique, qui ne savent pas comment s'en sortir. Pourquoi ça devrait être le diable de venir leur proposer une solution ? Moi j'explique toujours, je n'apprends pas dans mes programmes, et parfois ça peut choquer, objection, contre-objection, tout ce qu'on apprend pour la vente, il n'y a pas de module là-dessus. Moi j'ai un module, être en amour avec la vente, c'est à quel point j'aime ma clientèle. dans ce qu'elle a vécu, dans celle qu'elle est, dans ce qu'elle veut transmettre, dans ce qu'elle veut créer pour le monde, pour lui dire, mais attends, tu sais que j'ai une offre de folie qui pourrait te correspondre. Et moi, je leur dis toujours, mettez-vous comme si vous étiez en élection présidentielle. C'est ton élection. que t'es là en train de te dire, je ne sais pas si je veux leur en parler. Et l'énergie que vous avez, c'est pas sur la transition, mais ça joue. Vous êtes là pendant une semaine à donner du gratuit. Ouais, ouais. Vous arrivez au moment de la vente. Alors, j'avais quelque chose à vous présenter. Et là, votre énergie, elle est plombée. Le corps, il fait ça, il se recroqueville. Parce que vous y allez, dans votre tête, c'est comme si je suis une voleuse, je vais vendre quelque chose, je vais arnaquer les gens.

  • Speaker #1

    Je vous ai roulé dans la farine pendant toute la semaine pour vous laisser. voulaient faire à l'envers alors qu'il n'y a pas du tout ça.

  • Speaker #0

    Eh bien, la transition, ça va être ça. C'est que moi, j'avais une problématique, c'est que je n'osais pas aller dans les événements d'entrepreneurs. Quand on m'invitait pour être sur scène, j'ai ma cape sur scène, je suis hyper à l'aise, on ne peut plus m'arrêter. Quand on me disait, non mais viens, on t'invite en VIP pour que tu sois dans la salle, c'est une horreur. Je frôle les murs, je me cache dans les toilettes, j'ai une hypersensibilité et j'ai une gêne d'être dans du public. Bref. Et quand je disais aller manger son caca, C'est qu'il y a quelques mois, on m'a dit, viens, je fais un événement, je te veux, il y aura 300 entrepreneurs. Je suis allée manger mon caca, je me suis dit, ça me fait peur, mais j'y vais. Et c'est ça que je veux que vous reteniez dans ma phrase. J'y suis allée en me disant, je suis une putain d'opportunité pour les gens qui vont me rencontrer.

  • Speaker #1

    Oh, c'est beau ça, j'aime bien.

  • Speaker #0

    Je te jure, je te jure. opportunités de dingue. Alors que d'habitude, j'y allais en disant, ouais, mais moi, tu sais, souvent, je suis rejetée dans les groupes de femmes parce que je suis trop sensible, trop grande gueule, trop voyante, trop, trop, plein de choses. Et indirectement, malgré que j'ai confiance en moi, j'étais toute petite quand j'arrivais à des événements et je me cachais. Pourquoi on se cache ? Là, vous présentez votre offre, tu es une putain d'opportunité pour la personne qui a une souffrance et qui se dit je ne sais pas comment faire. Et si tu as assez bien travaillé ton offre, tu es capable de lui montrer en quoi tu es une putain d'opportunité comparée à d'autres concurrents sur certains points. Et moi, j'y vais en me disant, ayez cette image quand vous présentez votre offre, donc déjà, êtes convaincu. Être convaincu, c'est être convaincante. Connaître votre offre. Savoir c'est quoi, alors ça, ça me semble fou, mais plein de fois, on me dit je ne sais pas, c'est quoi votre différence avec les concurrents ? Comment vous pouvez être assumé, assuré, kiffer votre offre si vous dites, ouais, mais les autres sont meilleurs. Ils font quoi les autres ? Ah ben, je ne sais pas, je ne suis pas allé voir. comparez-vous sur ce qui est comparable. Moi, je peux, point A, point B, point C, montrer en quoi on a créé une expérience VIP et dire, si ça, ça te correspond, c'est OK. Et imaginez-vous avec un plateau, avec un cadeau dessus ou dans votre main, en disant, moi, je leur dis comme ça, je leur dis, écoutez, je vais vous présenter mon offre. Aujourd'hui, j'ai ça à vous offrir. Celle qu'ils le prennent, c'est OK. Si vous sentez que c'est le bon moment, de toute façon, il n'y a pas de bon moment. Et celle qu'ils ne le prennent pas, c'est OK aussi. Et quand vous y allez avec un détachement de dire « je ne suis pas une vendeuse qui vais forcer » , tout... toute votre énergie, votre corporel, votre posture, tout va changer. Donc dites-vous, je suis une putain d'opportunité pour ces gens-là.

  • Speaker #1

    C'est bon, on va se faire tatouer la phrase de quelque part. J'arrive à la fin de mes questions. Peut-être une qui est un petit peu plus rigolote, alors ça dépend le sens de l'humour qu'on peut avoir. Quelles sont, toi, peut-être les deux, trois erreurs les plus courantes que tu vois chez quelqu'un qui fait un challenge pour, on va dire, la première fois ? L'idée, c'est qu'on puisse évidemment faire de la prévention là-dessus, c'est ça ? N'allons pas sur ce terrain-là.

  • Speaker #0

    OK. La première des choses, c'est d'avoir une promesse, un titre. On peut l'appeler promesse, titre de votre challenge généraliste. Que ce soit une conférence, un webinaire, un challenge, c'est valable pour tout. Venez pendant cinq jours pour découvrir votre potentiel. Potentiel de quoi ?

  • Speaker #1

    C'est trop vague.

  • Speaker #0

    Trop vague. Venez pendant 5 jours prendre confiance en vous. Alors, tu peux avoir confiance pour séduire un mec dans la rue, tu peux vouloir avoir confiance pour monter sur scène et être conférencière, tu peux vouloir avoir confiance pour faire une interview avec Aline, on n'a pas tous les mêmes... envies. Donc plus vous restez bateau, alors vous allez être contente. Elles vont attirer plein de monde, puis à la fin se dire « Mais je comprends pas, il n'y a pas de vente ! » Parce qu'entre les personnes que vous avez attirées et qui sont comme ça, et votre offre qui est normalement plus spécialisée... c'est normal que ça ne matche pas. C'est comme si vous disiez, je veux plein d'hommes dans la salle. Ah bah mince, il n'y en a aucun qui me plaît. Oui,

  • Speaker #1

    soyons spécifiques. J'aime beaucoup la comparaison.

  • Speaker #0

    Donc je dirais ça, avoir un titre spécifique, parce qu'il faut aligner vos planètes, il faut aligner votre message. Si je fais une conférence pour dire, je vais aider les femmes à perdre du poids après une grossesse, Il faut que les jours soient basés là-dessus et que l'offre soit là pour aider les femmes à prendre des poids, à prendre une recette. Il faut qu'il y ait un fil rouge, un alignement des planètes. C'est pour ça, plus vous êtes généraliste, plus il y a du monde qui vient. Mais les gens viennent en se disant, bon, on va voir, je suis là, j'ai vu le mot confiance en soi, j'arrive. Mais vous perdez votre temps en faisant ça. Donc ça, c'est la première erreur. La deuxième, ça rejoint une question que tu as posée, que j'aime beaucoup, donner. Alors, je m'explique. Moi, je donne sans aucune limite. Ça, c'est ma conviction. C'est que, déjà, en deux heures, si en trois heures de live, je donnais tout, les six, neuf mois de mon programme, ça se saurait. Il n'y aurait pas neuf mois de programme. Donc déjà, ce n'est pas possible que vous donniez tout. Donnez de la qualité parce que plus vous savez de la qualité, plus ils vont se dire « mais c'est incroyable, j'ai vécu cinq jours, j'ai eu énormément de prise de conscience, de passage à l'action, j'ai osé faire des choses que je n'osais pas depuis des années » . Ça matchera. Et puis quelqu'un, il y en a d'autres par contre qui vont se dire, et c'est là où il y a l'erreur. Je vais donner un exemple, on va rester sur la confiance en soi. Quelqu'un va faire un challenge là-dessus, puis il va dire, bon les premiers jours, vous osez toutes mettre une veste de couleur. Ah bah super, vous avez mis une veste de couleur. Deuxième jour, vous osez aller aborder quelqu'un dans la rue. Ça, ça ne marche pas. Parce que les personnes vont sortir en se disant... en disant, ah ben c'était sympa, j'ai fait des trucs. Aucune prise de conscience réelle et profonde. Et les personnes vont se dire, bon c'était sympa, mais pas à la hauteur de vouloir acheter un programme. Et vont se dire, ah ben elle m'a tout donné. Alors que moi je viens, et je vais vous donner un exemple plus concret, parce que c'est des entrepreneurs, elles vont comprendre. Je viens donner des réelles prises de conscience. C'est-à-dire, si par exemple, on parle des réseaux sociaux et de la visibilité. Je ne vais pas, par exemple, dire toute la journée, pendant mon live, voilà comment on fait un post de A à Z, voilà comment on fait un réel de A à Z, voilà comment on communique de A à Z. Je ne dis pas tout ce qu'il y a dans mon programme. Ça, oui. Par contre, je viens leur expliquer, avec des études de cas et en montrant des comptes, pourquoi ça ne fonctionne pas. Je viens leur expliquer que poster tous les jours, mais poster sans aucune stratégie, franchement, arrête. Gagne du temps, arrête. Et je viens donner des prises de conscience de « Mais je comprends pas, c'est toujours les mêmes personnes qui likent mes posts. » Bah oui, mais tu te rends visible sur ton compte, mais tu vas pas chercher de la visibilité à l'extérieur, donc tu restes toujours avec les mêmes 100 abonnés et les mêmes 10 personnes qui vont liker ton post. Donc j'apporte des prises de conscience pour que les personnes se disent « Oh putain, mais j'ai... »

  • Speaker #1

    Ils commencent à comprendre les mécanismes qui se jouent et qui font qu'ils mangent pas encore leur caca.

  • Speaker #0

    Je sens que tu as aimé ça. On va donner un dernier exemple sur le poids. Comme ça, on sort du business. Par exemple, quelqu'un qui veut aider les femmes à perdre du poids pourrait faire un premier jour les prises de conscience sur les problématiques émotionnelles, les cinq raisons émotionnelles qui font que tu n'arrives pas à perdre ton poids malgré le sport et malgré des repas équilibrés. Et quand elle va venir expliquer qu'en fait, t'as beau manger tous les légumes verts que tu veux, mais si toi, émotionnellement, t'as des poids, t'as vécu ça, tu manges émotionnellement pour remonter en énergie ou parce que tu vas hyper mal, il y a plein de raisons émotionnelles. Là, les personnes vont se dire...

  • Speaker #1

    Putain mais ouais T'as besoin de les aider vraiment à comprendre les mécanismes Qui se jouent en eux et qui les empêchent d'avancer Vers la direction qu'ils ont envie d'atteindre

  • Speaker #0

    Et quand ils comprennent les mécanismes Les raisons, les croyances que t'as Qui t'empêchent de réussir et quand ils comprennent Tous ces éléments ils se disent Bah ouais mais je fais comment

  • Speaker #1

    Et là t'arrives avec la solution Donc générer des prises de conscience Ça s'applique à tous les métiers ?

  • Speaker #0

    Bah faudrait avoir des spécificités

  • Speaker #1

    Je suis éducatrice canon je vends des formations en ligne sur l'éducation canine j'en ai c'est quoi les piliers du challenge ? qu'est-ce que je fais pendant mes 3-4 jours gratuits ?

  • Speaker #0

    pourquoi ton chien il fait pipi sur ta moquette à chaque fois que tu t'en vas pour aller au travail ? donc il donne des prises de conscience mais il ne dit pas comment faire pour que le chien arrête Elle dit pourquoi émotionnellement le chien le fait et dévore ta banquette et ton super truc tout doux quand tu t'en vas. Et là, ils se disent mais oui, c'est vrai que mon chien, je l'ai eu dans telle situation. Ou c'est vrai que moi, en ce moment, je suis stressée parce que ça va mal dans mon couple. Donc, je vois bien que mon chien, il est stressé depuis que moi, je vais mal. Donc, les gens comprennent leurs cailloux, leurs lacunes, leurs blessures, leurs failles. Et à la fin, ils se disent. En fait, c'est plus simple, une fois que tu as compris pourquoi, de te dire je veux le comment parce que j'ai compris pourquoi.

  • Speaker #1

    Est-ce qu'on peut caricaturer en disant que dans le gratuit du challenge, tu donnes le pourquoi et dans le payant, ensuite, ton offre, tu donnes le comment ? Oui. Ok, très simple.

  • Speaker #0

    Mais tu peux quand même. donné, moi je donne quand même du comment en montrant des études de cas, et là j'y vais vraiment comme une vraie coach, comme une vraie cliente, en disant ça on enlève pour ça, ça on enlève pour ça, mais même quand je fais ça, c'est un échantillon de tout ce qu'il y a dans le programme, donc en vrai... Puis encore une fois, est-ce qu'on a envie de mettre notre énergie sur des personnes qui vont pas acheter concrètement Taline, mais dire moi je veux bouffer tout le gratuit d'Aurélie ou d'Aline, c'est ok, si c'est son fonctionnement de je veux être une femme forte, je veux me débrouiller seule, je veux pas payer quelqu'un pour m'en sortir, prends tout. Oui,

  • Speaker #1

    fais ta vie. De toute façon, tu ne payeras pas. Voilà.

  • Speaker #0

    Et on ne met pas notre énergie là-dessus. On met l'énergie sur celles qui ont besoin de prise de conscience, d'avancer. Et puis là, on donne tout.

  • Speaker #1

    J'adore. Trop bien. Merci Aurélie. C'était hyper clair. J'ai particulièrement apprécié que tu partages ton propre challenge, comment tu as décortiqué ton tunnel de vente, y compris avec les astuces plus avancées d'upsell, de live préambulatoire, on va l'appeler comme ça. Merci de le partage des chiffres aussi, parce que vraiment, encore une fois, je me souviens quand je me suis lancée dans les webinaires, impossible de trouver c'était quoi un bon taux de show up, un bon taux de conversion sur un email de vente, etc. Et en fait, c'est quand j'ai eu ces chiffres au bout du deuxième ou troisième gros lancement que je faisais que j'ai pu vraiment me comparer à la moyenne du marché. Mais sinon, c'était hyper opaque. Donc, merci de contribuer à rendre ça plus clair.

  • Speaker #0

    Avec plaisir. C'était super. Merci à toi. Puis, tu as su m'interviewer, me driver, me diriger. J'adore.

  • Speaker #1

    Écoute, c'était une partie de plaisir. Je n'ai pas eu l'impression de faire quoi que ce soit. Et merci de ton temps encore.

  • Speaker #0

    Merci, merci.

  • Speaker #1

    Pour toutes les personnes qui souhaiteraient déjà en savoir plus sur ton accompagnement, parce que je t'avoue que même moi, je suis vendue là. J'ai envie de signer. qui voudraient travailler avec toi, en savoir plus sur ce que tu proposes. T'as un livre aussi, c'est un moment promo. Fais-nous la promo de tout ce qui te semble important à ce stade-là.

  • Speaker #0

    Pour faire très simple, parce qu'on ne va pas prendre 10 minutes là-dessus, j'ai différents niveaux d'accompagnement. Pour développer un business, c'est l'académie. J'ai un mastermind également qui permet aux personnes, aux entrepreneurs qui ont déjà du business, qui ont empilé des couches d'idées, de stratégies. Elles se sentent alourdies, elles ont réussi à faire leurs premiers 3, 5, 10 000 euros par mois, mais là, elles sentent que... Il faut qu'on m'allège, donc on vient alléger, remettre du kiff. Moi je veux leur donner une vie orgasmique parce que c'est des femmes qui ont beaucoup donné pour les autres, pour leur business. Donc on vient développer ce business-là et j'ai les challengeuses d'impact qui apprend à faire des challenges comme j'en fais. Et le livre Né pour impacter qui est sur mon histoire de vie et plein d'autres thématiques comme la perfection. Comme arrêter d'avoir des putains de croyances qui vous limitent, comme ouvrez-vous à l'abondance, comme jeter le syndrome de la sauveuse à la poubelle.

  • Speaker #1

    Ça va parler à beaucoup. Livre très bien que j'ai à la maison, que j'ai lu. Tu me l'avais offert à la sortie, je l'avais adoré.

  • Speaker #0

    Merci, merci, merci. Merci à toi en tout cas pour l'interview.

  • Speaker #1

    C'était trop chouette. Merci.

  • Speaker #0

    Et à très vite.

Chapters

  • Présentation d'Aurélie GAUTHEY, coach pour entrepreneur

    00:42

  • Qu’est-ce qu’un challenge ?

    06:29

  • À quel business ça s’adresse

    09:16

  • Les avantages des challenges en ligne

    10:06

  • À partir de quelle taille d’audience peut-on organiser un challenge ?

    12:20

  • Les chiffres de référence d’un “bon” challenge

    19:12

  • Que contient un challenge ?

    33:56

  • Comment vendre et faire la transition entre le gratuit et le payant ?

    47:26

  • Conclusion

    01:00:11

Description

Vous rêvez d'attirer plus de clients tout en créant une vraie connexion avec votre audience ? Découvrez le pouvoir des challenges, ces événements en ligne qui permettent de transformer des inconnus en clients fidèles en seulement 5 jours !


Dans cet épisode je reçois Aurélie, experte en challenges marketing.


Au programme :


➡️ Les chiffres clés et taux de conversion réalistes d'un challenge

➡️ Comment structurer votre challenge sur 5 jours pour maximiser l'engagement

➡️ Le secret pour faire la transition entre le contenu gratuit et votre offre payante

➡️ Les erreurs à éviter absolument quand on débute

➡️ L'importance des prises de conscience vs le contenu purement pratique


Bonus : Découvrez l'astuce du "live préambulatoire" qui va booster vos ventes et l'approche innovante du "Pass VIP" pendant le challenge.


Que vous soyez coach, formateur ou entrepreneur dans l'accompagnement, cet épisode vous donnera toutes les clés pour créer un challenge qui convertit, tout en restant aligné avec vos valeurs.


PS : "Je suis une putain d'opportunité" - la phrase à vous répéter avant de présenter votre offre ! 🎯


✨ Épisodes recommandés :




✨ Retrouvez Aurélie Gauthey  :




✨ Chapitres :

0:42 - Présentation d'Aurélie Gauthey, coach pour entrepreneur

6:29 - Qu’est-ce qu’un challenge ?

9:16 - À quel business ça s’adresse

10:06 - Les avantages des challenges en ligne

12:20 - À partir de quelle taille d’audience peut-on organiser un challenge ?

19:12 - Les chiffres de référence d’un “bon” challenge

33:56 - Que contient un challenge ?

47:26 - Comment vendre et faire la transition entre le gratuit et le payant ?

1:00:10 - Conclusion

🎙️ N'oubliez pas de vous abonner pour ne manquer aucun épisode. Et si cet épisode vous plaît, n'hésitez pas à laisser une note et un commentaire sur Apple Podcast, Spotify ou votre plateforme d'écoute ! Cela aide le podcast à atterrir dans les oreilles de plus d’entrepreneurs (et à me booster à continuer à produire de nouveaux épisodes).

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Transcription

  • Speaker #0

    Si vous vous posez des questions comme comment trouver plus de clients et faire décoller mon business, comment vendre mes services sans me sentir trop pushy, comment être plus visible sur les réseaux sociaux, alors vous êtes au bon endroit. Bienvenue dans le podcast Je peux pas j'ai business. Je m'appelle Aline, je suis coach business diplômée depuis 2019 et ce podcast a été créé pour vous, pour vous aider à développer le business de vos rêves, un épisode à la fois. C'est comme avoir une coche business dans votre poche, prête à vous donner le petit coup de pouce ou le Ausha de fesses dont vous avez besoin. Alors, installez-vous confortablement et c'est parti pour l'épisode du jour. Hello Rémi, bienvenue sur le podcast Je peux pas, j'ai business. Comment est-ce que tu vas aujourd'hui ?

  • Speaker #1

    Je vais hyper bien, je suis trop impatiente.

  • Speaker #0

    Bonne humeur, je suis dans un super bon mood. Moi, je ne suis pas trop de la fin de journée, je suis plutôt du matin. Mais j'avoue que de te voir et de commencer à papoter, ça m'a énergisé. Je suis on fire. Pour commencer, j'entame toujours avec un petit portrait chinois de mes invités. Ça casse un peu les présentations standards. Et c'est l'occasion aussi de faire des découvertes. Est-ce que tu connais le concept ? Oui,

  • Speaker #1

    tu vas me poser des questions et je ne dois pas réfléchir.

  • Speaker #0

    Et tu dois répondre au tac au tac. C'est exactement ça. Aurélie, quel est un livre que tu as adoré récemment ?

  • Speaker #1

    Comment se faire des amis.

  • Speaker #0

    Relecture ou première lecture ?

  • Speaker #1

    Première lecture.

  • Speaker #0

    Oh waouh ! J'aimerais des fois oublier que je l'ai déjà lu pour pouvoir le relire une première fois, tellement il a changé ma vie. Une citation qui t'accompagne au quotidien ?

  • Speaker #1

    J'hésite entre « manger son caca » , donc c'est une citation de moi qui peut un peu faire peur au premier abord mais qui a beaucoup de signification.

  • Speaker #0

    Je pense qu'on va avoir besoin qu'on étaye un petit peu, et bien juste qu'on laisse les spectateurs et les auditeurs avec ça.

  • Speaker #1

    Est-ce que tu veux que je l'étaye maintenant ?

  • Speaker #0

    Bien sûr.

  • Speaker #1

    « Manger son caca » , c'est une phrase que je dis parce que je me rends compte qu'il y a beaucoup de personnes qui vont se faire aider du coaching, de la psychanalyse, de la thérapie, pendant des milliers d'années sur une problématique. Et je me suis rendu compte, avec toutes mes blessures de vie, qu'aller manger son caca, c'est vraiment la solution pour sortir d'une situation dramatique, problématique, récurrente. Parce qu'on espère toujours que quelqu'un de l'extérieur va nous apporter la réponse. Alors qu'aller manger son caca, c'est... En fait, cette situation, ça va faire mal, mais tu vas aller le faire tous les jours. Et à force d'aller te confronter à ce qui te blesse... Petit à petit tu vas retrouver un nouveau toi, un nouveau fonctionnement. Donc c'est aller manger son caca. Donc quand on me dit « Oh non mais moi j'ose pas me rendre visible parce que toute ma famille m'a jugé toute ma vie ! » Va manger ton caca. C'est bon. Ça fait 20 ans que tu dis que tu oses pas te rendre visible, tu mets des pièces dans la machine. Arrête de mettre des pièces en faisant la petite victime. Je l'ai fait aussi, c'est pour ça que je me permets. Mais en disant « J'y vais en fait » . Sinon ça ne changera pas.

  • Speaker #0

    Une formulation un peu putatière, mais pour dire qu'il faut se responsabiliser aussi sur sa capacité à passer à l'action malgré la vie qui cabosse. Et parce que la vie cabosse tout le monde aussi, il faut le dire.

  • Speaker #1

    C'est ça. Je l'aime. C'est y aller. C'est y aller véritablement. C'est le moment difficile, mais on se confronte à la vie et on arrête de la regarder, de dire j'ai eu des prises de conscience, j'ai compris que ma famille... Vas-y.

  • Speaker #0

    Oui, c'est bien de faire les prises de conscience, mais il faut en faire quelque chose aussi derrière.

  • Speaker #1

    Exact.

  • Speaker #0

    J'aime. Allons manger notre caca. Le dernier achat dont tu es la plus heureuse et ces magnifiques fauteuils ne comptent pas vu qu'ils ne sont pas encore débité de ton compte en banque. C'est une petite blagounette parce qu'en fait on a eu toutes les deux des gros coups de coeur sur les fauteuils du studio dans lequel on enregistre. Donc je pense qu'on va les enquêter en ligne après.

  • Speaker #1

    Nager avec les dauphins en Égypte, ma plus belle expérience de vie.

  • Speaker #0

    C'était il y a longtemps ?

  • Speaker #1

    Il y a deux ans et je n'ai jamais ressenti quelque chose dans mon corps. Je pensais être déconnectée de certaines choses. Et ça, ça s'explique même pas. J'arrivais même pas en rentrant à faire un live pour dire ce que j'ai vécu dans tout mon être en rencontrant les dauphins en nature.

  • Speaker #0

    Une expérience transcendante,

  • Speaker #1

    transformante, humaine. Tu reviens à toi, tu n'as rien. Je n'étais pas à Pimpé, j'étais sur un bateau avec dix personnes dans la nature pendant une semaine et tu reviens à ta nature première. Et ça, ça m'a...

  • Speaker #0

    C'est beau, c'est fou, ça donne envie.

  • Speaker #1

    Je t'ai vu dans ton regard, tu t'es dit, donne-moi l'adresse, comment on y va ? Comment on y va ?

  • Speaker #0

    Quatrième question, une application dont tu ne pourrais pas te passer sur ordi ou sur téléphone.

  • Speaker #1

    Blooc.

  • Speaker #0

    Oh ! Qu'est-ce que c'est ?

  • Speaker #1

    Je ne sais pas si tu as connu cette maladie d'aller tripoter ton téléphone 50 fois par jour alors que tu n'as pas à tripoter ton téléphone. Tu es en train d'envoyer un email et tu prends le téléphone et tu regardes quelque chose. Tu continues, tu prends le téléphone alors que tu n'as rien à y foutre. Donc, à bloc, je choisis de bloquer mes applications. Donc, mon équipe ne peut pas me contacter, je ne peux pas les contacter. Moi, je travaille lundi, mardi, mercredi. Donc, les jeudis, vendredis, samedis, dimanches, c'est bloqué. On n'est pas chirurgien cardiaque, il n'y a personne qui va mourir sur le billard, les gars, je suis absente.

  • Speaker #0

    Donc ça te bloque l'accès à l'application, les notifications, tout, et même toi tu ne peux pas y aller.

  • Speaker #1

    Ouais, et tu choisis les applications que tu peux bloquer, les heures, les jours, c'est vraiment du bidouillage. Attention, petite note aux personnes qui vont nous écouter, un jour c'était bloqué et j'ai fait un live Instagram. Et j'ai oublié que ça se bloquait à une certaine heure après l'approche déjeuner.

  • Speaker #0

    Et ça a été un live,

  • Speaker #1

    ça m'a coupé mon live.

  • Speaker #0

    Est-ce que c'est le genre d'application où tu peux très vite la contourner, c'est-à-dire aller la redésactiver dans tes réglages entre quelques secondes si à un moment il y a une urgence ? Ou c'est vraiment une fois que c'est bloqué, c'est bloqué et même toi tu ne peux plus rien y faire ?

  • Speaker #1

    Tu peux aller la débloquer, ça te prend cinq minutes, mais tu peux la débloquer, c'est assez facile. Mais il y en a d'autres, effectivement, en faisant des recherches où apparemment tu ne peux pas. Mais là, ça m'a mis des angoisses. Je me suis dit, on va commencer tout de suite. Donc, je suis passée de perdre 15 ans de ma vie sur mon téléphone, apparemment. Il te donne les années que tu perds.

  • Speaker #0

    Je pense qu'il ne faut pas du tout que j'aille checker ce qui se passe du côté du monde d'années perdues. Ça ferait peur.

  • Speaker #1

    Oui, moi j'ai eu peur.

  • Speaker #0

    Dernière question pour toi. Quel est le plus beau compliment qu'on puisse te faire ?

  • Speaker #1

    Que j'ai changé des vies.

  • Speaker #0

    On te l'a déjà dit ?

  • Speaker #1

    On me l'a déjà dit. Et ça, ça te... Tu sais, ça me tient dans les moments difficiles parce qu'on pense que quand on réussit, tout va bien. Sauf qu'on oublie de demander à des personnes qui réussissent comment elles vont véritablement en tant que femmes. Et ça, ça me touche souvent parce qu'on se dit... « Oui, mais toi, ça va, t'as toujours le sourire. » Ben non, ça va pas toujours. Voilà, je sais pas pourquoi je suis partie là-dessus, tu verras. Je fais souvent ce genre de choses, puis après, je reviens à la réalité. Donc, qu'on me dise que j'ai changé la vie de quelqu'un, ça me touche.

  • Speaker #0

    C'est le compliment qui te touche le plus. On va parler des challenges. donc technique marketing je n'ai jamais fait de challenge de ma vie bien sûr que j'en ai consommé j'étais cliente je connais la technique marketing mais le but aujourd'hui c'est qu'on décortique un petit peu ça toutes les deux et j'aimerais qu'on rende cet épisode le plus actionnable possible pour l'audience pour qu'on puisse avoir une véritable appréhension de ce qu'est un challenge quelles sont les grandes étapes comment ça s'articule pour qu'un auditeur ou une auditrice puisse se projeter c'est-à-dire est-ce que c'est une technique que je pourrais appliquer dans mon business que c'est quelque chose qui me plairait etc ok très bien j'ai plein de questions pour toi la première c'est Est-ce que tu peux nous expliquer, c'est quoi un challenge ? Comment ça se passe ? Comment ça se décompose ? Et si tu as des exemples pour illustrer ça, ça serait top.

  • Speaker #1

    De façon humaine, et on va en parler. On fait de la promotion sur les réseaux sociaux, gratuits, payants, à vous de voir, on en rediscutera. On propose un challenge. Un challenge, c'est la possibilité d'être en live pendant trois jours, cinq jours ou plus pour certains. Il y en a qui le font en live, il y en a qui le font en enregistré, parce qu'en fait... Tous les modèles existent. On peut prendre un modèle, ça c'est important qu'on le dise. Et de ce modèle, s'il y a des bouts qui ne vous plaisent pas, par exemple, « Ah oui, mais moi Aurélie, tu sais, j'aime pas envoyer des e-mails. » Ben, on fait des e-mails vidéo. Ou alors, on envoie des WhatsApp. En fait, d'un modèle, vous pouvez créer, tricoter autour pour créer votre propre modèle. Ça, c'est hyper important. Et donc, pendant cinq jours, on va être en direct pour transmettre des connaissances et pour, je vais insister là-dessus, apporter des prises de conscience. Ça, c'est une erreur dont on parlera. apporter des prises de conscience, connecter humainement à sa communauté pour qu'à la fin de ces cinq jours, on va prendre l'exemple de mon modèle, on puisse proposer notre offre de service et avoir des clients. Voilà un petit peu comment ça se passe, la base d'un challenge. Et un challenge, là où c'est intéressant, c'est que personnellement, ce que j'ai fait pour le modeler à ma façon de coacher, c'est qu'on peut tous permettre. Moi, quand je suis en direct, il y a une partie formation. Et à un moment donné, je dis OK, je prends des personnes dans le public, au hasard, on me pose des questions, je capte qu'il y a des nœuds à certains endroits, je fais venir les personnes avec moi sur Zoom et je les coach devant tout le monde. Et ça, c'est un tip, ce que je peux donner, c'est quoi de mieux que de voir l'exercice en direct se faire et se dire mais attends, mais moi aussi, je veux qu'elle me coach. T'as vu ce qu'elle vient de dire à la fille ? Et vu que leur communauté ou notre communauté en général se ressemblent tous, ont tous les mêmes problématiques, quand tu coaches quelqu'un en direct, tout le monde se dit... Ça me parle tellement !

  • Speaker #0

    Parce que tu bénéficies du coaching de quelqu'un d'autre, parce que ça résonne en toi, il y a un truc qui vibre.

  • Speaker #1

    Il y a un effet miroir.

  • Speaker #0

    Il y a un effet miroir qui se crée, effectivement. Ok, donc en fait c'est un événement en ligne, sur plusieurs jours, dans lequel tu vas donner de la connaissance, de la formation, faire prendre des prises de conscience, j'ai entendu que c'était important, et à la fin tu vas vendre quelque chose, c'est ça ?

  • Speaker #1

    Exactement.

  • Speaker #0

    Est-ce que tu pourrais nous donner un exemple peut-être d'une de tes élèves ou femmes accompagnées, même en... anonymisant son prénom, mais de business auquel ça peut s'appliquer. Et est-ce qu'il y a des business auxquels ça ne s'applique pas, ce système de vente ?

  • Speaker #1

    Ça peut s'appliquer, en tout cas pour ma part, c'est spécifiquement des entrepreneurs qui sont dans l'accompagnement humain ou animal ou énergétique ou prestation de service.

  • Speaker #0

    Donc tout ce qui est coach ?

  • Speaker #1

    C'est ça, coach, thérapeute, psychologue, coach love, format de vie en architecture.

  • Speaker #0

    Donc très infoprenariat au final.

  • Speaker #1

    Infoprenariat, oui. Ça s'applique à tous ces modèles et ça s'applique aussi qu'on vende du groupe ou de l'individuel. Parce que parfois, on me dit, mais moi, je vends des séances individuelles. Je n'ai pas besoin de faire un challenge. Ben si, en fait. Alors si c'est OK, on va partir là-dessus, à cet endroit-là. Je ne sais pas si c'est le bon moment, mais l'avantage d'un challenge, c'est qu'on rassemble, par exemple, 10, 20, 30, 100, 2000 personnes en même temps qui vont nous suivre pendant cinq jours. Ça veut dire que toutes les prises de conscience, les démonstrations, les témoignages clientes, tout ce qu'on se donne, c'est 100 en même temps. Et à la fin, on propose l'offre à 100 en même temps. Et en fait, c'est un gain de temps, je trouve, un énorme, que de faire du one-to-one avec des appels. Moi-même, au bout de deux ans, je me disais, putain, il va falloir que je leur répète comment je travaille, qui je suis, comment je coach. Et ça me plombait de faire des appels pour expliquer ça. Donc je me suis dit, mais les challenges, c'est le mieux. Tout le monde est en direct, il y a l'effet de groupe, l'effet de groupe, de soutien, les filles sont hyper excitées, ben oui, et tu les fais passer à l'action avec des exercices pratiques où à la fin elles se disent mais attends, j'ai goûté un échantillon de nez pour impacter pendant 5 jours, je veux ou je veux pas et c'est ok, mais je veux, rien que de ce que j'ai vu ça, imagine ce qu'elle va me faire en payant quoi, donc c'est ça un peu le modèle.

  • Speaker #0

    Donc en fait c'est vraiment faire expérimenter ton coaching, ton accompagnement. ou quelle que soit la chose que tu incarnes en tant qu'entrepreneur. Faire expérimenter à tes futurs clients potentiels la pleine puissance de ce que tu proposes. Pendant cinq jours. Et à la fin, de dire, maintenant c'est le moment, si vous voulez aller plus loin ou continuer cette expérience, rejoignez-moi dans mon coaching, mon accompagnement, ma thérapie, mon coaching de groupe, ma formation, ou quoi que ce soit.

  • Speaker #1

    C'est ça. Et ce qui est intéressant à cet endroit-là, quand tu as dit, à un moment donné, tu proposes ton offre, nous ce qu'on fait, c'est semer des graines tout le long. Parce que quand on va parler de nos clientes, quand on va parler des résultats qu'elles obtiennent, quand on va donner des exemples, quand on va coacher, en fait, on sème des graines en disant « Oui, ça, on l'apprend dans notre académie. » « Oui, ça, on s'appuie toujours en rappelant notre choix. » Voilà, c'est ça. On n'arrive pas… Hey ! On a ça à ventre ! On n'arrive pas comme un cheveu sur la soupe. Elles savent qu'il y a une offre à la fin. Ce n'est pas quelque chose à cacher, c'est OK. Et à partir du moment… moment où on donne de la grande valeur pendant une semaine. T'es là quand on présente, c'est cool, tu veux pas être là parce que pour toi, t'as eu assez de gratuit et ça te suffit, c'est OK aussi, en fait.

  • Speaker #0

    Très bien. On a dit à qui ça s'adressait, j'aimerais bien, avant qu'on rentre dans la technique de qui, quoi ou comment, comment vendre, quel type de contenu, comment faire la différence entre le gratuit, le payant, etc. Avant ça, pour qui est-ce que le challenge n'est pas ? Question subsidiaire à ça, c'est est-ce qu'il y a une taille d'audience minimale avec laquelle on peut se dire là, c'est OK de faire un challenge, ou si on est en dessous de cette taille d'audience, On peut se dire, bon, il vaut mieux d'abord que je me concentre sur le fait de développer mon audience, et après, je peux lancer un challenge. Parce que je t'entendais parler de challenge de 10 personnes. Est-ce qu'on peut le faire avec 10 personnes ?

  • Speaker #1

    Je dirais qu'il faut quand même... Alors, ça dépend combien vous voulez vendre d'offres, en réalité, parce que souvent, on me dit, oui, mais moi, j'ai que 15 personnes qui me suivent. Mais ma chérie, il te faut une bonne personne pour vendre une offre. Donc, c'est OK. Donc, il y a un minimum, parce qu'il y a des chiffres, on rentrera peut-être plus tard dedans. vous avez, et là je dis complètement au hasard, là tout de suite à cet instant, mais si, on va essayer de coller à la réalité, s'il y a 100 personnes qui s'inscrivent, il y en a à peu près 50 qui vont rejoindre le groupe parce que là, moi je le fais dans un groupe Facebook, où quand les personnes s'inscrivent, elles doivent rejoindre le groupe. Donc il y en a la moitié qui rejoignent. Toutes les autres se perdent dans les méandres des e-mails ou je ne sais où. Et dans les 50 qui rejoignent, on peut repartir à peu près sur la moitié qui vont venir participer au direct.

  • Speaker #0

    Ok, donc un quart des inscrits qui ne participent pas direct.

  • Speaker #1

    Si c'est du froid, si c'est des personnes qui viennent d'une publicité, plus la communauté qui vous suit est chaude, plus il y a de personnes qui vous connaissent, qui sont vraiment attachées à vous, à vos valeurs, à votre personnalité, plus elles seront présentes. De la publicité, les gens se disent, je ne la connais pas, je ne sais pas d'où elle sort, il y a plein de challenges, donc il y en a moins qui viennent. Donc sur les 25 qui restent, à peu près 10 peuvent prendre un appel, pour celles qui font des appels, et on peut compter, si vous avez une bonne offre irrésistible, qu'à peu près 8 personnes. 7-8 personnes vont acheter votre offre.

  • Speaker #0

    C'est un taux de closing énorme, 77-80%.

  • Speaker #1

    Alors ?

  • Speaker #0

    Parce que si tu me dis 10 personnes prennent un appel et 7 ou 8 achètent, ça fait du coup 70% de conversion au bas mot. C'est énorme.

  • Speaker #1

    C'est pour ça que j'ai précisé deux choses. Un, s'il y a une offre irrésistible.

  • Speaker #0

    Ok.

  • Speaker #1

    Très clairement, parce qu'il y en a plein qui pensent avoir une offre irrésistible. Elle n'est pas irrésistible. Et c'est vrai que moi, j'ai une chance ou une malchance. C'est qu'aujourd'hui, c'est pour ça que souvent on m'invite pour parler des challenges. Je vends en direct, sans closeur, une offre à 4000 euros de pub. Et les mecs qui font ma pub sont choqués, me disent « Mais attends, on a les chiffres, tu closes 80-90% du proie en direct » . Mais il y a des astuces qu'on va te donner ici, dans la communauté.

  • Speaker #0

    On aime les astuces qui nous aident à faire un meilleur taux de conversion. Ce que je retiens quand même de ce que tu es en train de nous dire, c'est que pour 100 personnes inscrites initialement, tu en closes 7 ou 8 et avec un taux de closing extraordinaire, donc tu nous donneras tes astuces, mais que je veux aussi dédramatiser ça auprès des gens qui nous écoutent, un taux de closing standard, quand c'est le créateur, le fondateur qui close, on est plus au taux d'entour des 60%. Donc 6 personnes si on a 10 appels. Donc il faut quand même 100 personnes inscrites pour 8 personnes. closés qui ont payé. Et là, on est sur quelque chose d'exceptionnel.

  • Speaker #1

    Oui. Et après, ça dépend des personnes. Moi, j'ai des clientes, elles cartonnent, elles font même mieux que ça, elles signent quasiment tout le monde. J'en ai d'autres qui feront zéro parce que ne comparez pas votre chapitre 1 à mon chapitre 24. Ça fait 8 ans que je suis mentor business, j'en suis à mon 18e challenge. Donc, il y a de la bouteille. Il y a de la bouteille, quoi. Donc, on ne compare pas. La seule chose que je vous dirais de comparer, c'est de tester une première fois. D'améliorer et vous retester et vous prenez vos chiffres à vous parce que vous avez tout le temps vous comparer à la voisine, elle n'a pas la même thématique, elle n'a pas le même nombre d'années, elle n'a pas la même facilité, elle n'a pas les mêmes tarifs. Quand j'en vois qui disent oui mais elle, elle a vendu 200 offres. elle a vendu 200 offres à 30 euros. Tu en as vendu 3000 euros.

  • Speaker #0

    Ouais, il faut faire les calculs. C'est bien de le dire. Donc, est-ce qu'il y a une taille d'audience ? Parlons en termes d'Instagram. À partir de combien d'abonnés Instagram, je peux vouloir lancer mon challenge ? Par exemple, si j'ai 300 abonnés sur Insta, est-ce que ça vaut le coup ? Ou est-ce qu'il vaut mieux que j'attende d'en avoir 500 ?

  • Speaker #1

    Moi, j'attendrai jamais. T'attendrai jamais. Je crois qu'il y a une phrase que c'est toi qui dis, mais que j'ai écrite dans mon livre, c'est anti-perfectionnite aiguë. Il faut que j'attende d'avoir ça. Il faut que j'attende d'avoir ma page de vente. Il faut que j'attende d'avoir 400 abonnés. Vas-y maintenant, fais le test. C'est pas quand tu seras Beyoncé que tu auras 10 000 abonnés que tu te diras, allez, je me lance. Elle a commencé par des petites scènes. Moi, j'ai des clientes des fois qui ont... 20 inscrits, mais je leur dis, mais vas-y à fond les ballons, tu vas avoir plein de problèmes techniques. Non, parce que, hein, on est d'accord.

  • Speaker #0

    Autant s'entraîner auprès d'un petit poule plutôt que de se vautrer devant 100 personnes.

  • Speaker #1

    On a besoin d'être à l'aise, comme toi, t'enregistres des podcasts, tu t'es pas... À un moment donné, on se lance et on sent bien que nos premiers épisodes sont pas les mêmes que les derniers au niveau de la voix, au niveau de l'aisance. Là, c'est pareil. Donc je leur dis, allez-y, même si vous faites deux ventes, vous avez des vidéos pour vos réseaux, vous avez pris de l'aisance. Vous avez peut-être connecté mentalement, émotionnellement avec des personnes qui n'ont pas acheté tout de suite, mais qui achèteront dans 1, 2, 3, 4 challenges. Donc, il n'y a que des bénéfices de le faire maintenant, même si on a 100 abonnés, j'ai envie de dire, même 300, même si on en a 100. Mais moi, j'irai à fond, mais j'irai à fond. Ma première conférence, j'allume la caméra, j'avais 60 inscrits et j'étais paniquée. Je me dis, oh là là, 60, comment je vais gérer ? Et là, ça s'allume et je vois 3, le chiffre 3 en bas sur Zoom. Je me dis, c'est quoi ça ? Et moi, ça se voit sur mon visage, donc je commence à me décomposer. Je me dis, pourquoi il y a 3 personnes ? Et je suis là, je cherche, je cherche, je regarde les noms discrètement pendant que je discute. Puis là, je me dis, merde, il y en a une que je connais, il y en a un autre, c'est un pote. Mais c'est qui la troisième ? En plus, Zoom coupe parce que c'est...

  • Speaker #0

    Limité aux 45 minutes.

  • Speaker #1

    Je ne sais pas, tu étais allée comme une vraie bourrine en disant, on y veut les gars, on n'a peur de rien, 40 minutes. Et là, je vois un décompte 5, 4 et je me dis... J'ai pas fait mon offre. Et là, ça m'a coupé dessus. Ah non, mais je suis vraiment...

  • Speaker #0

    Merci de le raconter. Et merci de dédramatiser ça. Parce que je pense qu'il y a tellement de personnes à qui ça arrive, ce genre de bug technique, et qui se sentent tellement honteux après, ensuite, en se disant oh là là, je suis qu'une merde, j'avais pas pensé à ça. Mais en fait, ça arrive à tout le monde, c'est juste qu'on n'en parle pas, quoi.

  • Speaker #1

    Mais oui, et moi, je l'assume. Et après, c'est la fin qui est drôle. C'est quand je dis à tout le monde, mais je comprends pas, il y avait trois personnes, mais c'est qui la troisième ? Ça se trouve, c'est une potentielle cliente. Et quelqu'un me dit, mais non, c'était toi. Et là,

  • Speaker #0

    je me dis, comment ça,

  • Speaker #1

    c'était moi ? Elle me dit, bah oui, sur Zoom. Tu comptes comme participant ?

  • Speaker #0

    Oh non.

  • Speaker #1

    Mon monde intérieur s'est effondré jusqu'au sous-sol. Et là, j'ai dit, OK. D'où l'importance de connaître les chiffres. Si je connaissais mes chiffres, je saurais combien il y aurait de personnes en direct. Donc toutes celles qui ont peur en disant, parce qu'on me l'a déjà fait, j'ai déjà 50 inscrits. Tu sais les gestes de stop. Oui, mais tu en as 50 inscrits, mais il y en a peut-être 10 qui vont venir. Cool. Donc c'est important de le dire, parce que des fois, il y en a qui s'arrêtent à 10 et il y aura une personne, et elles vont me dire, mais il n'y avait qu'une personne. C'est normal.

  • Speaker #0

    C'est toujours trop ou toujours pas assez, on n'est jamais content.

  • Speaker #1

    C'est ça, le problème de l'humain.

  • Speaker #0

    J'ai très envie qu'on continue sur ce côté chiffre, parce que je fais partie de ces personnes qui aiment chiffrer à chaque fois, donner des moyennes, parce que je trouve qu'avoir un référentiel quand on crée un premier challenge, ça aide beaucoup. Comme par exemple, moi, je suis plutôt de la team webinaire, et en fait, personne ne me disait, un taux de show-up moyen, c'est 30%. Et donc moi, avec mes 60% sur mon premier webinaire, Alors en fait, c'était juste génial. Donc, quels sont les grands chiffres qui te montrent qu'un challenge performe bien ? Ou alors que tu es sur la bonne voie ? dont les auditeurs pourraient se servir comme un peu référentiel de leur côté.

  • Speaker #1

    Là, je vais parler sur un trafic froid, parce que c'est ce que je connais, moi, qui vient de pub.

  • Speaker #0

    Donc, froid, c'est des gens qui ne te connaissent pas, qui n'ont jamais entendu parler de toi, qui voient passer une pub ou un repartage de story ou un truc comme ça.

  • Speaker #1

    Voilà, avec toutes les insultes qui vont avec sous les pubs. C'est ça, quand vous faites une pub.

  • Speaker #0

    Les insultes, c'est normal.

  • Speaker #1

    C'est normal, on adore. Allez-y, continuez. Ça me coûte moins cher, après, sur la pub.

  • Speaker #0

    Mais c'est ça, en fait. Les gens qui t'insultent, les gens qui commentent, même si c'est pour t'insulter. font baisser tes coûts tarifaires et publicitaires. Ça, il faut le savoir. Mais oui,

  • Speaker #1

    c'est pour ça que moi, je le dis à celui qui gère ma pub. Une fois, je lui ai dit, il me dit, oh là là, mais tu te fais insulter tout le long. Il y avait au moins 300 insultes sur la vidéo. Je lui ai dit, combien elles nous coûtent ? Il me dit 6 euros au lieu de 10. Vas-y, accélère. Je lui ai dit, il m'a dit,

  • Speaker #0

    mais continue à m'insulter.

  • Speaker #1

    Continuez. Bon, revenons à nos chiffres. Froid, c'est plus difficile. Donc, bien entendu que vous pouvez augmenter facilement si c'est des gens qui vous suivent déjà sur votre communauté depuis un petit moment. La première chose qu'on regarde, c'est la page d'inscription. Moi, j'emploie des mots très simples. Page d'inscription. Là, moi, je suis contente quand je suis à 20-25%.

  • Speaker #0

    De conversion.

  • Speaker #1

    De conversion. De personnes qui vont regarder cette page, qui vont s'inscrire et qui vont entrer dans mon tunnel. 25%, je suis contente.

  • Speaker #0

    Donc, sur 100 personnes qui voient ta page de capture, 25 qui s'inscrivent, la sortent email et valident.

  • Speaker #1

    Exactement. Trop bien. Bien entendu, on le redit, quand c'est du chaud, peut-être qu'il y en a qui vont monter à 40, 50% parce que les personnes vous connaissent, elles connaissent votre qualité. Donc là, elles y vont, elles s'inscrivent. Ensuite, ce qu'on regarde, on regarde la deuxième chose. Moi, j'aime bien regarder. Alors, il y a énormément de choses. On peut regarder le nombre de personnes qui rejoignent le groupe. En fait, il faut imaginer comme une frise, comme un tunnel. Et à chaque endroit, on met un petit arrêt. On se dit là, est-ce que j'ai 25% ? Oui, je suis bien. Non, je ne suis pas bien. OK, je vais regarder ma page d'inscription. C'est qu'elle a un problème. Deuxième étape, le nombre de personnes qui rejoignent le groupe. Quand ils arrivent sur ma page de confirmation, il y a un bouton qui leur permet de faire rejoindre le groupe. Là, il y aura les lives. Quand je suis à 40, 50%, la moitié qui rejoignent, pareil, je suis contente. Ne vous perdez pas dans les pourcentages de pacotille, comme on dit. Oui,

  • Speaker #0

    on n'est pas entre 43 ou

  • Speaker #1

    51. J'en ai parfois qui me disent, attends, je retouche tout parce que je suis à 50, mais moi, je veux être à 52. Enfin, à un moment donné, ce n'est pas là où il faut mettre le 20-80. Donc, quand vous êtes dans ces environs-là, c'est bien. Ensuite, sur le nombre de personnes qui sont dans le groupe, on regarde le nombre de présents au live. Sur 100 personnes qui sont dans le groupe, tu peux en avoir, allez, je vais dire 40 qui sont en train de regarder le live.

  • Speaker #0

    Donc 40%. De show-up au live.

  • Speaker #1

    C'est ça. OK. Si vous savez les tenir en haleine pendant plusieurs jours, parce que je précise qu'il est normal que vous ayez une chute. Moi, je fais, par exemple, du lundi au vendredi. Le jeudi, vendredi, c'est toujours deux jours où, je ne sais pas, au lieu de 50 personnes, on va descendre à 35, à peu près. 30-35.

  • Speaker #0

    J'ai vu des challenges qui duraient trois jours, d'autres sept. Est-ce que tu as une durée, toi, avec tous tes tests, que tu recommanderais ?

  • Speaker #1

    Quelqu'un qui est vraiment expérimenté, qui sait présenter son offre, qui a l'habitude, qui est reconnu, qui a beaucoup d'autorité sur le marché, trois jours seraient suffisants. Cinq jours, moi je le fais parce que je parle trop et parce que ça me va et c'est construit comme ça depuis 15 challenges. Et ça te convient bien ? J'ai pas envie de changer, la flemme. Raison suffisante,

  • Speaker #0

    valable. C'est ça.

  • Speaker #1

    Et sept jours, je trouve ça long et surtout, s'il vous plaît, ne faites pas des 21 jours. J'en vois sur 21 jours, sur un mois, en fait, les gens sont épuisés, vous n'avez plus leur attention. La vie, elle continue en dehors du challenge. Donc, dès que ça dure trop longtemps, vous perdez tout l'effet « waouh » de « j'ai une date de fin dans cinq jours » . Je sais que je mets ma vie en off, parce que vraiment, c'est ça, les participantes, souvent, elles me disent « mais j'ai pas dormi de la nuit, j'ai pris plein de notes, je suis excitée » . Elles sont dans un état, mais heureusement que ça ne dure pas trois semaines. Parce que là, les offintos de France m'appellent et me disent « Madame, qu'est-ce que vous leur avez fait ? » Donc,

  • Speaker #0

    cinq jours, c'est une bonne... durée pour se challenger peut-être sur une première fois elle avait pas compris mon jeu de mots et j'ai eu à mort ok donc c'est bien de garder sur une durée de 4-5 jours pour en tout cas tester une première fois ce format de challenge oui Très bien, donc je reviens aux chiffres parce que j'ai commencé à digresser. Donc tu parlais de 40% de show-up par rapport au nombre de personnes inscrites dans le groupe. Donc si j'ai 100 personnes dans mon groupe, d'ailleurs on n'a pas précisé si ça devait être un groupe Facebook ou autre, mais on va voir. Facebook,

  • Speaker #1

    on peut faire n'importe où. Il y en a qui veulent faire sur Telegram parce qu'elles ne veulent pas de Facebook. sur WhatsApp. Ne vous fermez pas au comment, en fait. Ça qu'il faut qu'on fasse comprendre.

  • Speaker #0

    Et toi, tu le fais sur Facebook ?

  • Speaker #1

    Moi, je le fais sur Facebook parce que je suis là. Moi, je suis un dinosaure. Je suis là depuis huit ans. Facebook, c'était ma vie avant. Tout le monde dit que c'est fini, mais moi, c'était ma vie. En fait, arrêtez parfois. Ça, c'est un conseil général de vous fermer dans le... comment je fais ça ?

  • Speaker #0

    C'est plutôt comment t'as envie de faire ça.

  • Speaker #1

    Et c'est ça, on oublie de partir d'une source de kiff, de plaisir, à quoi ça ressemblerait si ça me ressemblait dans mon énergie, ma façon d'être, pour que ça parte de soi. Et là, c'est puissant. Le comment, c'est la broutille d'après. Est-ce que je dois avoir 5 pages à ma page de vente ou 4 ? Est-ce que ma vidéo doit faire 10 minutes ou 20 minutes ? En fait, tu peux être impactante en une phrase.

  • Speaker #0

    Je retiens quand même qu'on doit avoir un espace communautaire parce qu'il y a la partie communauté, échange avec les participants. Et un espace où tu peux passer en live. Donc, ça peut être deux outils séparés. Ça peut être un seul et même endroit. D'où le groupe Facebook qui est quand même très pratique pour ça. Mais c'est quand même ces deux piliers qui doivent être présents.

  • Speaker #1

    Oui, parce que la communauté, c'est la puissance qui va faire que je donne un tips à cet endroit-là. C'est quand les personnes m'en achètent en direct. J'ai mon équipe qui est dans le chat et on est là. Félicitations Stéphanie, félicitations Julie. Et en fait, tout le monde a cette, j'allais dire, vibration. Tout le monde a cette énergie qui monte en flèche. Tout le monde se dit, moi, je veux faire partie du truc. Ça m'a excitée pendant quatre jours. Voilà, tu as compris.

  • Speaker #0

    OK, très bien. Pour finir sur les chiffres, 40% de show-up viennent à mon live. Je suis sur Facebook, je vis ma meilleure vie. J'avais 100 inscrits, j'ai 40 personnes qui sont là. Si tu me dis que c'est normal que peut-être j'ai 40 personnes le lundi et que le jeudi et le vendredi, elles soient 30,

  • Speaker #1

    28 à peu près. C'est normal.

  • Speaker #0

    C'est normal parce que la vie, les imprévus, etc. Certaines, j'imagine, rattrapent aussi les replays. Je vais présenter mon offre. On en parlera juste après de comment. Combien de ventes est-ce que je peux espérer avoir en moyenne quand je débute sur 28 personnes, par exemple ?

  • Speaker #1

    Tu n'as pas un chiffron, là ? Tu m'as donné 28, toi.

  • Speaker #0

    Alors, sur 10 personnes.

  • Speaker #1

    Sur 10 personnes ? Là, ça va dépendre. Est-ce que tu as une offre à 50 euros ou une offre à 3 000 euros ? Donc là, j'ai un peu de mal à répondre à ça.

  • Speaker #0

    On se fait des changes pour les offres à 50 euros ?

  • Speaker #1

    Il y a des personnes qui le font parce qu'en fait, encore une fois, ça leur permet d'éviter d'être en call toute la journée et de rassembler tout le monde en même temps. Donc quand il y en a qui commencent, elles testent un peu tout, elles goûtent à tout. Donc oui, on va dire sur une offre à 1 000 euros. Si c'est ton premier challenge, déjà, honnêtement, si t'en fais deux, je vais être bas exprès. Si t'en fais déjà deux, honnêtement, sois contente. Moi, le premier, je t'ai dit, j'avais fait zéro vente et c'est OK, quoi. Mais déjà deux, oui, c'est déjà bien. 1000 euros, deux personnes, tu vas en convertir d'autres plus tard. Ça qu'il ne faut pas oublier. Il ne faut jamais être déçu de ce que vous faites parce que vous pouvez le réutiliser.

  • Speaker #0

    Bien sûr,

  • Speaker #1

    capitaliser. C'est ça, les autres personnes qu'on suivit. Moi, à mon dernier challenge, j'ai eu plusieurs personnes qui étaient dans ma liste mail depuis 2021. Elles ont acheté en janvier 2024. Et ça augmente de plus en plus. Je pense que tu t'en rends compte aussi. Oui,

  • Speaker #0

    pareil. Moi, j'ai un taux de transfo de deux ans, deux ans et demi aussi parfois.

  • Speaker #1

    Avant, on disait que c'était trois, six mois. Il y a peut-être quatre ans de ça. On était sur du trois, six. Et là, on rallonge, on rallonge, on rallonge. Beaucoup de demandes, beaucoup d'offres. Les gens ont peur. Donc, c'est normal. Donc, continuez à entretenir. Hyper important de le préciser dans les tips. C'est comme si vous alliez à un date, ça c'est un sujet que j'adore et tu le sais, vous alliez à un date, ça se passe hyper bien, et là vous ne donnez plus aucune nouvelle. C'est un peu comme votre liste e-mail. Vous faites une conférence, vous envoyez un e-book, un lit de maniettes, peu importe. Puis derrière, vous dites, personne ne parle avec moi. Mais oui, mais tu n'en vois rien. Là, c'est pareil, vous avez fait un challenge. Vous les avez chauffés, vous les avez connectés humainement, vous avez passé des super moments avec. Continuez à entretenir régulièrement cette relation pour que les personnes ne vous oublient pas et aient envie de passer à l'action avec vous.

  • Speaker #0

    Donc c'est à la fois, j'imagine, déjà la partie de tous les e-mails, les séquences de vente. Ausha. Plus après ça, continuer à envoyer des newsletters toutes les semaines ou tous les 15 jours à minima pour continuer à entretenir cette relation, délivrer de la valeur, etc.

  • Speaker #1

    C'est ça, il faut le voir. Exactement, c'est le bon mot, comme une relation. Dans une relation avec une copine, on ne lui envoie pas un message un jour et on ne disparaît pas pendant deux ans et puis d'un coup, je ne t'ai pas dit, j'ai une nouvelle offre. Et puis on me dit, je ne comprends pas, elles ne savent plus qui je suis. Oui, ça fait deux ans que tu as disparu. Entretenez la relation et imaginez dans votre tête, pour que ce soit plus simple, c'est comme si je parlais à une amie. Allez-y, transmettez qui vous êtes, parlez de vous, parlez de votre histoire, parlez de comment vous pouvez l'accompagner. Donc, entretenez tout le long une relation humaine.

  • Speaker #0

    C'est hyper intéressant. Et ce que j'aime aussi dans ce que tu nous as dit, c'est que même en donnant des pourcentages de conversion, des chiffres qui sont des chiffres moyens, qui sont les chiffres normaux du marché, on se rend compte quand même qu'il faudrait y aller si je veux faire 10 ventes, ce qui n'est pas énorme, parce qu'il y a plein de personnes qui se disent « Ma première offre, ma première formation ou mon premier accompagnement, je voudrais faire une dizaine de ventes. » Ça ne nous semble pas énorme, mais il faut quand même... beaucoup d'inscrits pour arriver à faire cette divente. Et ce serait illusoire de penser que si j'ai 100 inscrits, je vais faire 40 ventes. Oui. Ou alors,

  • Speaker #1

    vous êtes ex-fine du perfecting. Voilà. Ou alors, vous avez une offre à 10 euros et c'est OK.

  • Speaker #0

    C'est rarement le cas.

  • Speaker #1

    C'est rarement le cas.

  • Speaker #0

    Non, mais c'est très intéressant parce que je pense que ça met les gens aussi face à une réalité où parfois, on me dit souvent, tu vends beaucoup pendant la BSB Academy parce que je fais parfois des promotions avec 500 personnes. Oui, mais sur 500 personnes, j'en avais... 15 000 inscrits à mon webinaire. Et j'en ai converti 500, donc c'est tout aussi des histoires d'échelle. Et c'est pour ça que c'est important que tu le redises et que tu le redises et que tu le redises. Quand on a un business, on s'appelle des chefs d'entreprise. On ne s'appelle pas une auto-entrepreneur, une thérapeute, une psy. On est aussi une chef d'entreprise, une chef d'entreprise. C'est comme un pilote d'avion, il a un tableau de bord. Si l'avion, il commence à chuter, il se dit, j'appuie où ? Il n'est pas là en train de se dire, celui-là ou celui-là ? Non mais c'est vrai, il y a beaucoup de personnes qui arrivent, qui ne connaissent pas les chiffres, rien que ça. Et qui disent... Mon challenge n'a pas marché, j'arrête. Ok, attends, tu sais quoi ? Juste pour le kiff, viens me le montrer. Et là, je vois dans le tunnel qu'on vient d'expliquer où il y a un trou. Et là, je dis, ok, là, il y a un problème. C'est à cet endroit-là qu'on va venir réparer. Soyez des pilotes d'avion. On est des chefs d'entreprise. C'est important de le dire. On ne joue pas à la marrelle. On ne joue pas aux devinettes. Et quand vous avez les chiffres auprès de professionnels, que ce soit Aline ou d'autres personnes... Là, vous pouvez vous dire ça, ça va, ça, ça va pas, ça, ça va. Et vous pouvez manager votre propre jeu plutôt que de subir en disant ça va pas. Je jette le bébé, l'eau du bain et tout ce qui va avec quoi.

  • Speaker #1

    Mais tu vois, je défends les auditeurs. Il y a tellement peu de personnes qui partagent ces chiffres que des fois, c'est très compliqué. Quand tu te lances, que tu veux vendre, que ce soit via un webinaire, via un challenge, via des emails, tu ne sais pas c'est quoi la normalité, les chiffres globaux, le taux de conversion d'un email de vente, etc. Si personne te dit c'est 3, 4 %, toi, quand tu fais 5 %, tu peux penser que c'est de la merde. Alors qu'en fait, c'est génial. Et donc, merci de partager ces chiffres. C'est ça, mon message.

  • Speaker #0

    Il ne faut pas avoir peur d'aller voir des personnes. Souvent, on a peur de nous envoyer des messages, mais des vrais messages. Mais moi, quelqu'un qui me dit écoute, c'est quoi ? Je prends une séance avec toi si c'est possible pendant une heure. Et je veux que tu me dises c'est quoi les chiffres ou je veux que tu me dises ça ou je veux que tu me dises comment toi, tu l'as vécu émotionnellement. Faites-le, trouvez un ou une mentor. Allez poser des vraies questions et ne vous dites pas, comme tu as dit, je suis une merde, ça ne marche pas pour moi, les autres sont meilleurs. Non, les autres, ça fait 18 fois qu'elles le font. C'est ça.

  • Speaker #1

    Et puis, si ça se trouve, juste, on est doué et c'est que dans la tête, on s'était imaginé des standards ou des chiffres qui ne sont pas du tout la réalité du marché.

  • Speaker #0

    Merci. Tu as parlé d'un truc hyper important, les leviers de facilitation. Je ne sais pas si ça se dit. On invente levier de facilité. Tout ça pour dire quoi ? En fait, n'essayez pas de vouloir ressembler à une autre personne dans son modèle de vente. Moi, je me suis beaucoup comparée et je me souviens qu'une fois, je suis allée dans un mastermind et je regardais une autre fille et je me disais, « Elle a une communauté de ouf. Moi, je n'ai pas une grosse communauté. » Et je l'enviais et je sentais que je l'enviais au fond de moi en me disant, « Mais comment elle fait ? Pourquoi moi, je n'y arrive pas ? » Et là, la comparaison et tout ça, j'étais à fond dedans. Et à un moment donné, pendant la pause, on sort dehors et je la vois effondrée de dos. Je vois bien qu'elle est là comme ça. Je me dis, « Mais... » Je vais y aller, je ne vais pas la laisser. Je lui demande si c'est OK que je vienne vers elle. Et dans la discussion, elle me dit, je suis dégoûtée, il y a ça qui ne va pas, ça qui ne va pas. Elle dit, regarde comme toi, tu as fait plus de 3 millions avec tes challenges. Et là, je me suis pris une gifle monumentale de me comparer à une personne en me disant, mais elle, elle a une communauté de ouf et moi, je suis nulle. Je me suis dit ça pendant deux jours. Et elle me regardait en me disant, et l'autre, elle fait des challenges à plusieurs millions et moi, je suis nulle. Et là, je lui ai dit, c'est fou. Mais tu sais quoi, j'étais en train de me comparer à toi. Et on s'est regardé. On s'est pris dans les bras, on a chialé comme des merdasses pendant 8 demi-heures de se dire qu'en fait, on s'autoflagellait avec nous-mêmes dans nos tripes. Elle, elle faisait ça sur moi, moi, je faisais ça sur elle. Et ce jour-là, elle m'a fait comprendre qu'il y a des choses qui ne sont pas notre truc. Et si moi, ce n'est pas mon truc de créer des posts tous les jours parce que je ne peux pas et c'est en train de me faire avoir des vertiges et des hauts-le-coeur de créer des posts tous les jours. Par contre, tu me mets en live, tu me fais coacher n'importe qui pendant des milliers d'heures. J'adore ça. trouvez vos leviers facilitateurs. S'il y en a, c'est les emails. Faites de la vente par email. Vous aimez les challenges, coacher des gens en direct, être dans l'humain, être authentique. Vous pouvez rire, vous pouvez faire tout ce que vous voulez dans un challenge. Faites des challenges. Donc, trouvez vos leviers et vous arrêterez de vous comparer. C'est hyper important. Oui,

  • Speaker #1

    tu peux louer les forces, les choses qui paraissent faciles, en fait.

  • Speaker #0

    Parce qu'on se dit, Aline, elle récite super bien dans les webinaires. Mais si ce n'est pas ton truc ? Ça se trouve, ce n'est pas ton truc. Donc, tu vas essayer de copier Aline ? Non, pourquoi on arrête ça ?

  • Speaker #1

    Justement, sur la partie purement contenu, qu'est-ce qu'on met dans son challenge ? Je veux bien que tu nous donnes ton exemple à toi, qu'est-ce que tu vends à la fin ? On va partir de ça, décris-nous ton offre. Et ensuite, décris-nous le contenu du challenge jour par jour, si tu acceptes de partager. Et pourquoi est-ce que tu as choisi de mettre ce contenu-là ? Ce que j'aimerais bien qu'on explique aux spectateurs et aux auditeurs, c'est qu'est-ce qu'on est censé mettre en termes de contenu pendant ces cinq jours ? Comment faire la différence entre trop de contenu passé, le contenu gratuit, le contenu payant ? Enfin, je sais que c'est une question qui va popper dans les commentaires.

  • Speaker #0

    Oui, mais là, tu m'excites, tu m'as tout donné d'un coup, il faut que tu me recadres après, d'accord ? Vas-y, vas-y. Alors, l'offre. Pour ce challenge-là, je vends l'Académie des entrepreneurs d'impact. C'est une académie dans laquelle j'apprends à des entrepreneurs de A à Z à développer un business au service de leur vie. On passe par la vision, le client idéal, l'offre irrésistible, c'est important de le préciser, les réseaux sociaux et apprendre à faire des conférences ou des challenges. Ça, c'est la boucle que j'apprends dans mon programme. Eh bien, j'ai basé le challenge là-dessus. Un challenge, vous devez le baser sur une des plus grandes problématiques de votre client idéal. Donc, vous choisissez la plus grande problématique. Ça vous fait votre promesse ou votre titre de challenge. Mon titre de challenge, c'est attirer deux fois plus de clients sans vous vendre.

  • Speaker #1

    Promesse irrésistible.

  • Speaker #0

    Et là, pendant cinq jours, je répète, je vais donner des prises de conscience sur... C'est quoi une offre irrésistible et les erreurs à ne pas commettre ou à l'inverse qu'il faut mettre dedans ? Il y a une journée sur c'est quoi les modèles de vente et qu'est-ce qu'on peut faire comme modèle de vente ? Et nous, j'explique le challenge parce qu'on est déjà expérimenté là-dessus. On a une journée sur les appels. Faut-il faire des appels ? Oui ? Non ? Pourquoi ? À quel niveau ? Quand est-ce que c'est utile ou pas utile ? On a une journée sur les 15 erreurs. Quand on veut être femme, entrepreneur et vivre de son business, et il y a la journée pyramide de la visibilité, comment on travaille sa visibilité, gratuit, payant, pourquoi, dans quel cas. Et quand vous regardez un petit peu ce que je vous ai présenté, c'est l'académie, pilier par pilier un peu.

  • Speaker #1

    Presque module par module en fait.

  • Speaker #0

    Presque module par module, donc vous pouvez suivre le même modèle en disant, bah tiens, voilà mon offre, si je la découpais en 5 jours, 5 piliers, à quoi ça ressemblerait ? Et j'ai basé mon challenge là-dessus. J'ai oublié, j'ai un live la veille qui n'est pas compté dans les 5 jours. Ce live-là, pour moi, c'est le plus important.

  • Speaker #1

    La veille, donc avant que le challenge commence ?

  • Speaker #0

    Avant que le challenge commence. Moi, le dimanche soir, je fais un live.

  • Speaker #1

    En mode rentrée, préparation ?

  • Speaker #0

    Je me demande si ça se trouve, si je ne ferais pas que celui-là. Donc là, j'abuse un peu. On pourrait déjà vendre des offres, tu vois. Parce que celui-là, en fait, je raconte mon histoire. Je raconte que j'ai connu la rue à 17 ans. C'est là que j'ai eu ma mission de vie avec ma maman qui n'avait pas d'argent pour qu'on puisse être logée. Et j'explique que la liberté financière des femmes, moi, c'est ce qui me touche depuis que j'ai 17 ans. J'explique quand j'ai connu la rue, le rejet de groupe des femmes, quand j'ai connu l'abandon, quand j'ai connu des deuils traumatiques. En fait, j'ai eu une succession, et c'est important que je vous explique ça, j'ai eu une succession de trop de ma vie où je me suis dit, mais comment c'est possible ? Qu'un seul être humain, on lui ait donné tout ça. Je crois que j'ai eu toutes les blessures de l'âme, tout ce qu'il existe, on m'a tout mis sur le dos. On s'est dit, elle, là, on va la choisir, elle va payer. Et en fait, j'ai compris quelque chose, c'est que c'est par l'expérience que j'ai vécue dans ma chair, dans mon émotionnel, qu'aujourd'hui je suis en capacité d'accompagner ces thérapeutes, ces coachs, ces formatrices qui connectent avec moi par mon histoire. Et en fait, le dimanche soir, et c'est la chose que les trois quarts des entrepreneurs oublient, on en parle, mais il y en a peu qui osent le faire, c'est que moi, dès le premier soir, j'y vais. Voilà qui j'ai été. Voilà ce qu'on m'a fait, voilà ce que j'ai subi dans mon corps, dans mon âme, voilà la femme que j'ai été, voilà celle que je suis aujourd'hui avec mon équipe, le business, le succès. Donc on a le parcours et c'est là où il y a tout qui se fait. Parce qu'en fait il y a des femmes qui vont se dire mais moi je me reconnais, moi aussi j'ai la blessure du rejet, moi aussi on m'a humiliée à l'école ou moi aussi j'ai connu la rue. Et tu verrais à quel point c'est puissant d'oser être dans sa vulnérabilité. leur dis, vous savez, je ne vais pas vous dire que des belles choses sur moi, parce que franchement, je suis juste un être humain, il n'y a pas que du beau. Mais en fait, j'ai envie que vous sachiez qui est-ce que vous allez écouter pendant une semaine. Parce qu'il y a plein de gens sur les réseaux, tout le monde donne son avis. Pourquoi vous m'écouteriez-moi ? Voilà qui je suis. Si vous sentez que je suis un humain, on va dire, qui vous donne envie de connecter humainement, je vais être là pour ça, parce que toute la semaine, je vais venir vous mettre des putains de coups de pied au cul. Vous avez besoin qu'on ait un lien les deux. Et là, ça connecte. Et là, je vends à ce moment-là aussi, pour celles qui ont un livre, c'est là aussi où je dis, voilà, j'ai un livre. Habituellement, on ne peut pas passer par moi. Il est sur Amazon. Mais là, pendant le challenge, j'en ai 200 à la maison. Donc, si vous voulez, vous pouvez l'avoir. Et en fait... J'ai toute leur attention. Parce qu'on est dans l'humain. Et c'est ça qui connecte. Et les gens oublient, osent pas parler d'eux, se disent « Mais attends, je vais faire pleurer dans les chiomières, je leur dis c'est pas ça. » Oui,

  • Speaker #1

    ou alors il y a le « qui suis-je pour parler de moi ? Je ne suis personne. »

  • Speaker #0

    C'est ça.

  • Speaker #1

    Pourquoi les gens s'intéresseraient à moi et à mon parcours ?

  • Speaker #0

    Ouais. Alors qu'en réalité, dès que vous faites une conférence, un challenge, un live, peu importe ce que vous faites... Allez-y dans qui vous êtes. C'est l'humain qui touche parce qu'en vrai des coachs business comme moi, il y en a un milliard par jour qui naissent. Depuis huit ans, j'en ai vu des milliers de passer. Pourquoi on choisit Aurélie ? Pourquoi on choisit Aline ? Parce qu'on a des personnalités, parce qu'on a une histoire, parce qu'on a une connexion humaine, parce qu'on a une façon de coacher. Moi, des fois, on me dit je te paye parce que je veux que tu me botte le cul. Ah putain,

  • Speaker #1

    mais viens de moi. J'adore les foutages de fesses.

  • Speaker #0

    Non mais voilà, n'ayez pas peur. Vraiment, ça me tient à cœur d'en parler. N'ayez pas peur de parler de votre histoire. Parce que toutes celles que vous êtes aujourd'hui, si Aline, elle fait ce métier, si elle accompagne des gens, il y a une raison. Si j'accompagne des gens, il y a une raison. Si je me bats tous les jours pour incarner la liberté, c'est parce que j'ai été esclave et emprisonnée de ma propre vie, en fait. Et ça me tient à cœur. Donc, je ne développe pas que des business. Vous voyez, il y a un message et trouvez votre message. Qu'est-ce qu'il y a derrière la mission de la liberté financière des femmes ? Je ne développe pas que de l'argent business. J'apprends à mes clientes par amour pour moi. Je me fais respecter. J'apprends à mes clientes à oser être libre, oser, ne plus avoir peur du regard, du rejet, du jugement. Et je libère des femmes où parfois on se dit « putain je suis venue pour une page de vente et je repars » ou « ça va mieux dans mon couple » ou « parce qu'on libère des conditionnements » et moi je pense aux petites filles après, je vais hyper loin mais j'ai une mission tellement grande. Puis n'oubliez pas quand vous parlez de vous, quand vous parlez de vos valeurs, de vos convictions, moi quand j'en parle sur mes réseaux, je me dis « j'ai une tribune ouverte où j'ai la parole » . Moi, j'ai la parole. J'étais celle qui était, moins que rien, une serpillère qu'on marchait dessus. Aujourd'hui, j'allume un micro, on m'écoute. Putain, c'est ouf.

  • Speaker #1

    C'est beau ce que tu dis.

  • Speaker #0

    C'est vrai.

  • Speaker #1

    C'est hyper inspirant. Et je pense que tout le monde a besoin de se trouver sa tribune. Tu le dis très, très bien. Les challenges sont un moyen aussi de faire ça. Et j'aime beaucoup cette astuce du live, presque qui est un préambule au challenge, qui est ce moyen de créer la connexion et de dire, effectivement, pourquoi est-ce que vous allez m'écouter ? pendant 5 jours, voilà ce qu'on va traverser ensemble, voilà ce qui va se passer, voilà ma personnalité, voilà mon style d'accompagnement. Et là, les gens peuvent aussi décider de, oui, je m'engage, parce que ce que j'entends résonne, vibre, me plaît. Ou alors, non, c'est pas pour moi, mais j'imagine qu'il doit y en avoir très peu quand même.

  • Speaker #0

    C'est pour ça que moi, je leur dis directement, je vous dis tout, je vous dis comment ça va se passer. Vous allez voir, je vais être hyper cash. Quand je vais en choisir pour les coacher, vous allez voir que je coupe direct, je coupe la parole, je t'arrête, j'ai l'idée, je sais où je veux t'emmener, j'ai des phrases qui popent dans ma tête. C'est pas par impolitesse, c'est que j'ai une connexion où il faut que ça sorte tout de suite. J'explique tout dès le début et je leur dis « âme sensible,

  • Speaker #1

    quittez le live,

  • Speaker #0

    partez, faites ça » . C'est comme sur Instagram, les gens qui critiquent « faites juste ça » , il y a quelqu'un d'autre de l'autre côté. C'est pareil.

  • Speaker #1

    Et en termes de contenu pendant le challenge, il y a ce premier live. Ensuite, chaque jour, tu vas explorer un des piliers de ta formation. Après, ça fait totalement sens. Pendant ces piliers-là, est-ce que c'est purement théorique ? Combien de temps ça dure ? Et est-ce qu'il y a des exercices pratiques ?

  • Speaker #0

    Alors, je suis une mauvaise élève parce que moi mes lives ils durent deux heures.

  • Speaker #1

    Ok, par jour ?

  • Speaker #0

    Par jour.

  • Speaker #1

    Au lieu de ?

  • Speaker #0

    Une heure, ça serait très bien.

  • Speaker #1

    Le standard c'est une heure ?

  • Speaker #0

    Une heure c'est bien. A l'intérieur c'est très théorique, pratique, il y a de tout. Il y a un mélange où je montre... Les erreurs, ce qu'il est possible de faire, des prises de conscience. Je montre des études de cas. Je prends des personnes à qui je dis qui a une offre. On va aller regarder ensemble devant tout le monde. Donc, il y a un partage d'écran où on regarde l'offre. J'analyse, j'explique ce qui ne va pas. Des études de cas en direct. direct. Une heure, c'est bien. Deux heures, c'est long. Deux heures, il faut avoir l'habitude. Il faut tenir les gens en haleine, il faut leur donner envie.

  • Speaker #1

    Il faut aller énergier aussi pendant deux heures.

  • Speaker #0

    Je pense qu'on est des sportifs de haut niveau. Pas physiquement. Je déteste le sport. Quand on est chef d'entreprise, on est sportif de haut niveau. Et moi, je conseille à tout le monde, si c'est possible, quand vous faites un challenge, une conférence, un webinaire, peu importe quoi, moi, mon agenda, il est vidé. Ça veut dire, j'allume la caméra, Je laisse mon équipe gérer le avant, le après, les coulisses. Je n'ai pas la capacité mentale de pouvoir faire des coachings avant, pendant, après. Et moi, quand je me connecte à quelqu'un, ça me puise énormément d'énergie. Parce que, on va le préciser, je ne sais pas si ça va faire trop d'infos, mais après mon live, moi, je vends un accès à 57 euros. Alors, ce n'est pas obligé que ce soit 57. Je vends un accès à un groupe VIP. C'est des personnes qui s'inscrivent, qui payent. Elles peuvent accéder au challenge gratuit pendant toute la semaine, mais elles viennent l'après-midi avec moi pendant une heure. Là, on a un groupe. Moi, sur 150 présentes, je prends des chiffres qui me reviennent en tête. J'en ai peut-être 50 ou 60 qui vont acheter le pass VIP. Et on a nos 80 % facilement cachettes qui sont dans le pass VIP.

  • Speaker #1

    Donc, en fait, c'est un challenge gratuit, mais avec un upsell. sur une expérience premium pendant la semaine du challenge, qui sont ces après-midi avec toi. Et après, à la fin, effectivement, tu vends à tout le monde, VIP ou pas, ton offre.

  • Speaker #0

    Exact.

  • Speaker #1

    C'est vrai que c'est une stratégie qui est un peu plus avancée. Peut-être qu'en premier challenge, on pourrait quand même conseiller de faire juste le challenge gratuit, la vente à la fin. Ne commencez pas à vouloir faire des upsells de partout.

  • Speaker #0

    En fait, plus vous faites simple, plus ça fonctionnera. Parce que nous, on complexifie avec le temps, parce qu'on est habitué.

  • Speaker #1

    Et l'expérience, bien sûr.

  • Speaker #0

    Voilà, simple. Un petit groupe Facebook, vous allez vous mettre en live sur le groupe, on commence doucement, on ne veut pas aller trop loin, mais c'est important d'en parler pour celles qui font déjà des challenges. Et pour faire comprendre qu'il y a des gens qui sont prêts à investir, et ces personnes-là, on en a vraiment 8 sur 10 cachettes, parce qu'elles ont été prêtes à sortir la carte. Et on sait qu'elles, il faut les chouchouter encore plus, parce que je me dis, et je vais être très honnête, même moi, je me dis, il faut vraiment m'allécher, même pour 57 euros, pour que je sorte la carte sans la connaître. Donc c'est le fait qu'on aille coacher. et que je connecte humainement le soir 1 et que je revende encore le premier jour officiel du lundi, où les gens se disent, et c'est là où il y a beaucoup de ventes du VIP, qui se disent « Oh ! Elle va répondre à toutes nos questions ! » Donc n'hésitez pas à créer votre modèle et à... Si vous pouvez, coacher, prendre des personnes en direct avec vous. Mais ça, encore une fois, j'ai fait ça au bout du troisième. J'ai attendu d'être à l'aise avec la caméra, d'être à l'aise avec ma formation, avant de dire on y va, je coache. Mais c'est attesté, c'est pas mal. Et donc l'intérieur, prise de conscience. Et je les amène à, nous c'est 15h, mais tous les jours à 15h, il y a un petit poste avec un exercice. Par exemple, aujourd'hui, tu vas me pitcher ton offre. Aujourd'hui, le jour de l'offre, je choisis un exercice qui correspond au jour de ce qu'elles ont appris et on leur demande de passer à l'action. J'ai des ambassadrices, c'est des anciennes clientes qui ont réussi dans l'académie, qu'on aime particulièrement parce qu'elles sont vraiment ambassadrices. On leur a proposé de venir conseiller, accompagner, donc elles répondent à tous les commentaires, à tous les exercices, ça prend beaucoup de temps. Et on fait ça chaque jour et j'ouvre les ventes le jeudi dans mon cas.

  • Speaker #1

    Je me permets de poser la question, j'aime beaucoup ce système d'ambassadrice. Est-ce que c'est des personnes que tu rémunères ou est-ce que ce sont juste ambassadrices bénévoles ?

  • Speaker #0

    Je suis beaucoup dans le « deux » , le « donner, recevoir » . Donc elles sont payées sur leur semaine de présence, plus des commissions. Quand il y a eu des discussions profondes avec des personnes qui avaient besoin, elles les ont accompagnées en privé toute la semaine, elles ont des commissions à ce moment-là.

  • Speaker #1

    C'est beau. Je trouve ça cool de faire ça parce qu'il y a beaucoup de personnes qui mettent en place des systèmes d'ambassadeurs, de personnes qui… ont suivi le programme, qui viennent dans le challenge ou dans le webinaire pour en parler, etc. Mais c'est des personnes qui ne sont pas payées. Et autant, je peux comprendre quand on n'a pas forcément la marge pour le faire, autant, moi je sais que tous mes mentors aussi sont rémunérés parce que ça reste du travail et parce que ça contribue à générer un chiffre d'affaires pour ta boîte.

  • Speaker #0

    Moi, c'est ce que je dis souvent des fois quand on me dit... Je pars à côté, mais ça va répondre à ça quand on me dit mais des fois, tu n'es pas fatigué quand tu as des équipes de 8 ou 10 personnes. Moi, je ne voulais pas du tout être manager, ce n'est pas mon truc. Je voulais être coach et je me retrouve chef d'entreprise, manager. À cet endroit-là, j'ai envie de dire, repensez toujours à votre mission. La mission est plus grande que ce qu'on fait. Et moi, c'est la liberté des femmes. Donc, quand je paye 10 salaires, j'oublie le management qui me fait chier.

  • Speaker #1

    Tu donnes de la liberté financière.

  • Speaker #0

    Je donne de la liberté financière. Ce n'est pas juste les clientes, c'est aussi mon équipe. Et là, dans ce cas-là, pour moi, quelqu'un qui ne pourrait pas rémunérer, en tout cas, c'est ce qui m'est venu comme ça à chaud, c'est qu'on ne peut pas rémunérer quelqu'un qui vous dit, mais t'inquiète. Et ça, on me le dit tout le temps, mais t'inquiète. Moi, je ne demande rien, je te recommande avec plaisir. Je dis, en fait, ce n'est pas juste pour moi. À un moment donné, tu vois, j'aurai ce truc de dette par rapport à quelqu'un et ça, je ne peux pas. Mais si vous ne pouvez pas les payer, offrez-lui un soin. Si vous faites des soins, si vous faites de la thérapie, du coaching, une copine à vous. Trouvez dans tous les cas, même si c'est envoyer une carte. Moi, pour moi, on doit toujours trouver quelque chose pour remercier la personne et pas se dire, c'est gratuit, tu as raison. Oui, non.

  • Speaker #1

    Et du coup, j'ai une dernière question pour toi qui, je pense, est celle qui brûle les lèvres des auditeurs, des spectateurs. C'est OK, je donne de la valeur, je fais tester mon expertise, j'accompagne, les gens sont en taquette, etc. Mais du coup, comment est-ce que je vends à la fin ? C'est quoi le secret pour faire déjà la transition entre ce contenu gratuit où tout le monde est content et la vente ? Comment est-ce que j'en parle ? Comment est-ce que je mène mon offre ? Comment est-ce que je le fais de manière à être la plus sûre possible de convertir ? Est-ce que tu as des conseils, des bonnes pratiques à nous recommander ?

  • Speaker #0

    Alors ? Il y a deux endroits. Il y a un endroit où je vais certainement vous décevoir et l'autre où vous allez vous dire c'est ok. Là où je vais décevoir, c'est qu'on imagine qu'il faut mettre en place tout un truc pour dire que là c'était le gratuit, mais là ça va être le payant. Calmons-nous. Il faut simplement, en tout cas c'est ce que je fais, je sème des graines, comme j'ai dit tout à l'heure, tout le long. Un petit peu tous les jours, quand je coach, quand j'accompagne, quand quelqu'un me dit « oui mais comment je fais pour… » Je lui dis « écoute, si tu as envie d'aller plus loin, voilà déjà un tips. » sache que dans l'académie, on apprend à nos clientes comment avoir une offre irrésistible. Donc, je sème des graines, je fais comprendre qu'on a une offre et même quasiment dès le deuxième jour, j'explique que je vais présenter le jeudi. Je dis voilà, jeudi, je vais vous présenter en début de live l'académie et le mastermind, parce qu'on a deux niveaux. Je vais vous présenter mes accompagnements en début de live. En fait, je ne fais aucune transition. C'est clair, c'est posé. Oui,

  • Speaker #1

    il y a un contrat de la suite toute la semaine où ils savent que ça va arriver à un moment.

  • Speaker #0

    Aujourd'hui, je pense que les gens sont habitués. Oui. Si, j'en parle peut-être aussi le dimanche, mais ce n'est pas quelque chose où je me suis mis vraiment... Il faut absolument que je leur dise qu'à la fin, je vais leur présenter mon offre.

  • Speaker #1

    Oui, il n'y a pas de coups de trafalgar, de coups de magie à inventer, de stratégie, de « Oup, oup, oup, je fais passer l'information » .

  • Speaker #0

    Et en plus, je leur mets des témoignages de clients, donc je leur montre que c'est possible. Je leur dis qu'on apprend ça, et de toute façon, je vous en parlerai jeudi. Donc quasiment tous les jours, elles savent que si elles se connectent à 12h30 le jeudi, ça sera la présentation de comment travailler avec nous. Je pense quand même, je voudrais ajouter quelque chose. Si vous êtes à l'aise avec ça, ce n'est plus un sujet en fait. Ce n'est pas un sujet. Moi, je suis en amour avec la vente. Je vais expliquer pour ça à certaines personnes. Être en amour avec la vente, c'est de comprendre qu'à un moment donné, il y a des personnes qui souffrent ou qui ont une problématique, qui ne savent pas comment s'en sortir. Pourquoi ça devrait être le diable de venir leur proposer une solution ? Moi j'explique toujours, je n'apprends pas dans mes programmes, et parfois ça peut choquer, objection, contre-objection, tout ce qu'on apprend pour la vente, il n'y a pas de module là-dessus. Moi j'ai un module, être en amour avec la vente, c'est à quel point j'aime ma clientèle. dans ce qu'elle a vécu, dans celle qu'elle est, dans ce qu'elle veut transmettre, dans ce qu'elle veut créer pour le monde, pour lui dire, mais attends, tu sais que j'ai une offre de folie qui pourrait te correspondre. Et moi, je leur dis toujours, mettez-vous comme si vous étiez en élection présidentielle. C'est ton élection. que t'es là en train de te dire, je ne sais pas si je veux leur en parler. Et l'énergie que vous avez, c'est pas sur la transition, mais ça joue. Vous êtes là pendant une semaine à donner du gratuit. Ouais, ouais. Vous arrivez au moment de la vente. Alors, j'avais quelque chose à vous présenter. Et là, votre énergie, elle est plombée. Le corps, il fait ça, il se recroqueville. Parce que vous y allez, dans votre tête, c'est comme si je suis une voleuse, je vais vendre quelque chose, je vais arnaquer les gens.

  • Speaker #1

    Je vous ai roulé dans la farine pendant toute la semaine pour vous laisser. voulaient faire à l'envers alors qu'il n'y a pas du tout ça.

  • Speaker #0

    Eh bien, la transition, ça va être ça. C'est que moi, j'avais une problématique, c'est que je n'osais pas aller dans les événements d'entrepreneurs. Quand on m'invitait pour être sur scène, j'ai ma cape sur scène, je suis hyper à l'aise, on ne peut plus m'arrêter. Quand on me disait, non mais viens, on t'invite en VIP pour que tu sois dans la salle, c'est une horreur. Je frôle les murs, je me cache dans les toilettes, j'ai une hypersensibilité et j'ai une gêne d'être dans du public. Bref. Et quand je disais aller manger son caca, C'est qu'il y a quelques mois, on m'a dit, viens, je fais un événement, je te veux, il y aura 300 entrepreneurs. Je suis allée manger mon caca, je me suis dit, ça me fait peur, mais j'y vais. Et c'est ça que je veux que vous reteniez dans ma phrase. J'y suis allée en me disant, je suis une putain d'opportunité pour les gens qui vont me rencontrer.

  • Speaker #1

    Oh, c'est beau ça, j'aime bien.

  • Speaker #0

    Je te jure, je te jure. opportunités de dingue. Alors que d'habitude, j'y allais en disant, ouais, mais moi, tu sais, souvent, je suis rejetée dans les groupes de femmes parce que je suis trop sensible, trop grande gueule, trop voyante, trop, trop, plein de choses. Et indirectement, malgré que j'ai confiance en moi, j'étais toute petite quand j'arrivais à des événements et je me cachais. Pourquoi on se cache ? Là, vous présentez votre offre, tu es une putain d'opportunité pour la personne qui a une souffrance et qui se dit je ne sais pas comment faire. Et si tu as assez bien travaillé ton offre, tu es capable de lui montrer en quoi tu es une putain d'opportunité comparée à d'autres concurrents sur certains points. Et moi, j'y vais en me disant, ayez cette image quand vous présentez votre offre, donc déjà, êtes convaincu. Être convaincu, c'est être convaincante. Connaître votre offre. Savoir c'est quoi, alors ça, ça me semble fou, mais plein de fois, on me dit je ne sais pas, c'est quoi votre différence avec les concurrents ? Comment vous pouvez être assumé, assuré, kiffer votre offre si vous dites, ouais, mais les autres sont meilleurs. Ils font quoi les autres ? Ah ben, je ne sais pas, je ne suis pas allé voir. comparez-vous sur ce qui est comparable. Moi, je peux, point A, point B, point C, montrer en quoi on a créé une expérience VIP et dire, si ça, ça te correspond, c'est OK. Et imaginez-vous avec un plateau, avec un cadeau dessus ou dans votre main, en disant, moi, je leur dis comme ça, je leur dis, écoutez, je vais vous présenter mon offre. Aujourd'hui, j'ai ça à vous offrir. Celle qu'ils le prennent, c'est OK. Si vous sentez que c'est le bon moment, de toute façon, il n'y a pas de bon moment. Et celle qu'ils ne le prennent pas, c'est OK aussi. Et quand vous y allez avec un détachement de dire « je ne suis pas une vendeuse qui vais forcer » , tout... toute votre énergie, votre corporel, votre posture, tout va changer. Donc dites-vous, je suis une putain d'opportunité pour ces gens-là.

  • Speaker #1

    C'est bon, on va se faire tatouer la phrase de quelque part. J'arrive à la fin de mes questions. Peut-être une qui est un petit peu plus rigolote, alors ça dépend le sens de l'humour qu'on peut avoir. Quelles sont, toi, peut-être les deux, trois erreurs les plus courantes que tu vois chez quelqu'un qui fait un challenge pour, on va dire, la première fois ? L'idée, c'est qu'on puisse évidemment faire de la prévention là-dessus, c'est ça ? N'allons pas sur ce terrain-là.

  • Speaker #0

    OK. La première des choses, c'est d'avoir une promesse, un titre. On peut l'appeler promesse, titre de votre challenge généraliste. Que ce soit une conférence, un webinaire, un challenge, c'est valable pour tout. Venez pendant cinq jours pour découvrir votre potentiel. Potentiel de quoi ?

  • Speaker #1

    C'est trop vague.

  • Speaker #0

    Trop vague. Venez pendant 5 jours prendre confiance en vous. Alors, tu peux avoir confiance pour séduire un mec dans la rue, tu peux vouloir avoir confiance pour monter sur scène et être conférencière, tu peux vouloir avoir confiance pour faire une interview avec Aline, on n'a pas tous les mêmes... envies. Donc plus vous restez bateau, alors vous allez être contente. Elles vont attirer plein de monde, puis à la fin se dire « Mais je comprends pas, il n'y a pas de vente ! » Parce qu'entre les personnes que vous avez attirées et qui sont comme ça, et votre offre qui est normalement plus spécialisée... c'est normal que ça ne matche pas. C'est comme si vous disiez, je veux plein d'hommes dans la salle. Ah bah mince, il n'y en a aucun qui me plaît. Oui,

  • Speaker #1

    soyons spécifiques. J'aime beaucoup la comparaison.

  • Speaker #0

    Donc je dirais ça, avoir un titre spécifique, parce qu'il faut aligner vos planètes, il faut aligner votre message. Si je fais une conférence pour dire, je vais aider les femmes à perdre du poids après une grossesse, Il faut que les jours soient basés là-dessus et que l'offre soit là pour aider les femmes à prendre des poids, à prendre une recette. Il faut qu'il y ait un fil rouge, un alignement des planètes. C'est pour ça, plus vous êtes généraliste, plus il y a du monde qui vient. Mais les gens viennent en se disant, bon, on va voir, je suis là, j'ai vu le mot confiance en soi, j'arrive. Mais vous perdez votre temps en faisant ça. Donc ça, c'est la première erreur. La deuxième, ça rejoint une question que tu as posée, que j'aime beaucoup, donner. Alors, je m'explique. Moi, je donne sans aucune limite. Ça, c'est ma conviction. C'est que, déjà, en deux heures, si en trois heures de live, je donnais tout, les six, neuf mois de mon programme, ça se saurait. Il n'y aurait pas neuf mois de programme. Donc déjà, ce n'est pas possible que vous donniez tout. Donnez de la qualité parce que plus vous savez de la qualité, plus ils vont se dire « mais c'est incroyable, j'ai vécu cinq jours, j'ai eu énormément de prise de conscience, de passage à l'action, j'ai osé faire des choses que je n'osais pas depuis des années » . Ça matchera. Et puis quelqu'un, il y en a d'autres par contre qui vont se dire, et c'est là où il y a l'erreur. Je vais donner un exemple, on va rester sur la confiance en soi. Quelqu'un va faire un challenge là-dessus, puis il va dire, bon les premiers jours, vous osez toutes mettre une veste de couleur. Ah bah super, vous avez mis une veste de couleur. Deuxième jour, vous osez aller aborder quelqu'un dans la rue. Ça, ça ne marche pas. Parce que les personnes vont sortir en se disant... en disant, ah ben c'était sympa, j'ai fait des trucs. Aucune prise de conscience réelle et profonde. Et les personnes vont se dire, bon c'était sympa, mais pas à la hauteur de vouloir acheter un programme. Et vont se dire, ah ben elle m'a tout donné. Alors que moi je viens, et je vais vous donner un exemple plus concret, parce que c'est des entrepreneurs, elles vont comprendre. Je viens donner des réelles prises de conscience. C'est-à-dire, si par exemple, on parle des réseaux sociaux et de la visibilité. Je ne vais pas, par exemple, dire toute la journée, pendant mon live, voilà comment on fait un post de A à Z, voilà comment on fait un réel de A à Z, voilà comment on communique de A à Z. Je ne dis pas tout ce qu'il y a dans mon programme. Ça, oui. Par contre, je viens leur expliquer, avec des études de cas et en montrant des comptes, pourquoi ça ne fonctionne pas. Je viens leur expliquer que poster tous les jours, mais poster sans aucune stratégie, franchement, arrête. Gagne du temps, arrête. Et je viens donner des prises de conscience de « Mais je comprends pas, c'est toujours les mêmes personnes qui likent mes posts. » Bah oui, mais tu te rends visible sur ton compte, mais tu vas pas chercher de la visibilité à l'extérieur, donc tu restes toujours avec les mêmes 100 abonnés et les mêmes 10 personnes qui vont liker ton post. Donc j'apporte des prises de conscience pour que les personnes se disent « Oh putain, mais j'ai... »

  • Speaker #1

    Ils commencent à comprendre les mécanismes qui se jouent et qui font qu'ils mangent pas encore leur caca.

  • Speaker #0

    Je sens que tu as aimé ça. On va donner un dernier exemple sur le poids. Comme ça, on sort du business. Par exemple, quelqu'un qui veut aider les femmes à perdre du poids pourrait faire un premier jour les prises de conscience sur les problématiques émotionnelles, les cinq raisons émotionnelles qui font que tu n'arrives pas à perdre ton poids malgré le sport et malgré des repas équilibrés. Et quand elle va venir expliquer qu'en fait, t'as beau manger tous les légumes verts que tu veux, mais si toi, émotionnellement, t'as des poids, t'as vécu ça, tu manges émotionnellement pour remonter en énergie ou parce que tu vas hyper mal, il y a plein de raisons émotionnelles. Là, les personnes vont se dire...

  • Speaker #1

    Putain mais ouais T'as besoin de les aider vraiment à comprendre les mécanismes Qui se jouent en eux et qui les empêchent d'avancer Vers la direction qu'ils ont envie d'atteindre

  • Speaker #0

    Et quand ils comprennent les mécanismes Les raisons, les croyances que t'as Qui t'empêchent de réussir et quand ils comprennent Tous ces éléments ils se disent Bah ouais mais je fais comment

  • Speaker #1

    Et là t'arrives avec la solution Donc générer des prises de conscience Ça s'applique à tous les métiers ?

  • Speaker #0

    Bah faudrait avoir des spécificités

  • Speaker #1

    Je suis éducatrice canon je vends des formations en ligne sur l'éducation canine j'en ai c'est quoi les piliers du challenge ? qu'est-ce que je fais pendant mes 3-4 jours gratuits ?

  • Speaker #0

    pourquoi ton chien il fait pipi sur ta moquette à chaque fois que tu t'en vas pour aller au travail ? donc il donne des prises de conscience mais il ne dit pas comment faire pour que le chien arrête Elle dit pourquoi émotionnellement le chien le fait et dévore ta banquette et ton super truc tout doux quand tu t'en vas. Et là, ils se disent mais oui, c'est vrai que mon chien, je l'ai eu dans telle situation. Ou c'est vrai que moi, en ce moment, je suis stressée parce que ça va mal dans mon couple. Donc, je vois bien que mon chien, il est stressé depuis que moi, je vais mal. Donc, les gens comprennent leurs cailloux, leurs lacunes, leurs blessures, leurs failles. Et à la fin, ils se disent. En fait, c'est plus simple, une fois que tu as compris pourquoi, de te dire je veux le comment parce que j'ai compris pourquoi.

  • Speaker #1

    Est-ce qu'on peut caricaturer en disant que dans le gratuit du challenge, tu donnes le pourquoi et dans le payant, ensuite, ton offre, tu donnes le comment ? Oui. Ok, très simple.

  • Speaker #0

    Mais tu peux quand même. donné, moi je donne quand même du comment en montrant des études de cas, et là j'y vais vraiment comme une vraie coach, comme une vraie cliente, en disant ça on enlève pour ça, ça on enlève pour ça, mais même quand je fais ça, c'est un échantillon de tout ce qu'il y a dans le programme, donc en vrai... Puis encore une fois, est-ce qu'on a envie de mettre notre énergie sur des personnes qui vont pas acheter concrètement Taline, mais dire moi je veux bouffer tout le gratuit d'Aurélie ou d'Aline, c'est ok, si c'est son fonctionnement de je veux être une femme forte, je veux me débrouiller seule, je veux pas payer quelqu'un pour m'en sortir, prends tout. Oui,

  • Speaker #1

    fais ta vie. De toute façon, tu ne payeras pas. Voilà.

  • Speaker #0

    Et on ne met pas notre énergie là-dessus. On met l'énergie sur celles qui ont besoin de prise de conscience, d'avancer. Et puis là, on donne tout.

  • Speaker #1

    J'adore. Trop bien. Merci Aurélie. C'était hyper clair. J'ai particulièrement apprécié que tu partages ton propre challenge, comment tu as décortiqué ton tunnel de vente, y compris avec les astuces plus avancées d'upsell, de live préambulatoire, on va l'appeler comme ça. Merci de le partage des chiffres aussi, parce que vraiment, encore une fois, je me souviens quand je me suis lancée dans les webinaires, impossible de trouver c'était quoi un bon taux de show up, un bon taux de conversion sur un email de vente, etc. Et en fait, c'est quand j'ai eu ces chiffres au bout du deuxième ou troisième gros lancement que je faisais que j'ai pu vraiment me comparer à la moyenne du marché. Mais sinon, c'était hyper opaque. Donc, merci de contribuer à rendre ça plus clair.

  • Speaker #0

    Avec plaisir. C'était super. Merci à toi. Puis, tu as su m'interviewer, me driver, me diriger. J'adore.

  • Speaker #1

    Écoute, c'était une partie de plaisir. Je n'ai pas eu l'impression de faire quoi que ce soit. Et merci de ton temps encore.

  • Speaker #0

    Merci, merci.

  • Speaker #1

    Pour toutes les personnes qui souhaiteraient déjà en savoir plus sur ton accompagnement, parce que je t'avoue que même moi, je suis vendue là. J'ai envie de signer. qui voudraient travailler avec toi, en savoir plus sur ce que tu proposes. T'as un livre aussi, c'est un moment promo. Fais-nous la promo de tout ce qui te semble important à ce stade-là.

  • Speaker #0

    Pour faire très simple, parce qu'on ne va pas prendre 10 minutes là-dessus, j'ai différents niveaux d'accompagnement. Pour développer un business, c'est l'académie. J'ai un mastermind également qui permet aux personnes, aux entrepreneurs qui ont déjà du business, qui ont empilé des couches d'idées, de stratégies. Elles se sentent alourdies, elles ont réussi à faire leurs premiers 3, 5, 10 000 euros par mois, mais là, elles sentent que... Il faut qu'on m'allège, donc on vient alléger, remettre du kiff. Moi je veux leur donner une vie orgasmique parce que c'est des femmes qui ont beaucoup donné pour les autres, pour leur business. Donc on vient développer ce business-là et j'ai les challengeuses d'impact qui apprend à faire des challenges comme j'en fais. Et le livre Né pour impacter qui est sur mon histoire de vie et plein d'autres thématiques comme la perfection. Comme arrêter d'avoir des putains de croyances qui vous limitent, comme ouvrez-vous à l'abondance, comme jeter le syndrome de la sauveuse à la poubelle.

  • Speaker #1

    Ça va parler à beaucoup. Livre très bien que j'ai à la maison, que j'ai lu. Tu me l'avais offert à la sortie, je l'avais adoré.

  • Speaker #0

    Merci, merci, merci. Merci à toi en tout cas pour l'interview.

  • Speaker #1

    C'était trop chouette. Merci.

  • Speaker #0

    Et à très vite.

Chapters

  • Présentation d'Aurélie GAUTHEY, coach pour entrepreneur

    00:42

  • Qu’est-ce qu’un challenge ?

    06:29

  • À quel business ça s’adresse

    09:16

  • Les avantages des challenges en ligne

    10:06

  • À partir de quelle taille d’audience peut-on organiser un challenge ?

    12:20

  • Les chiffres de référence d’un “bon” challenge

    19:12

  • Que contient un challenge ?

    33:56

  • Comment vendre et faire la transition entre le gratuit et le payant ?

    47:26

  • Conclusion

    01:00:11

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