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Kroissant

[EP.16] Et si vous n’aviez pas besoin de choisir UNE seule voie ?

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50min |20/05/2025|

117

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Description

Vous vous sentez tiraillé.e entre plusieurs envies ?
Un projet vous stimule, mais l’autre vous appelle aussi ?
Et si le problème, ce n’était pas le fait d’avoir trop d’idées… mais de croire qu’il faut absolument en éliminer 90% pour être "sérieux/sérieuse" ?


Dans cet épisode solo, je vous partage mes objectifs (très concrets) pour 2025. Pas pour que vous copiiez mes choix mais pour vous montrer qu’on peut avancer sans tout trier, sans tout figer, et sans forcément se mettre dans une seule case.


Au programme de cet épisode :


  • Peut-on vraiment réussir en testant plusieurs projets à la fois ?

  • Comment je transforme un bâtiment vide en business alimentaire semi-automatisé ?

  • Pourquoi j’ai (enfin) décidé de prendre mes finances en main ?

  • Comment trouver un équilibre entre vision long terme et envie de fun ?

  • Qu’est-ce qui se passe quand on arrête de vouloir être "parfaite" ?

  • Et pourquoi s’autoriser à explorer, c’est souvent le meilleur plan ?


🎧 Si vous avez vous aussi 1000 idées, un cœur qui déborde de projets, mais un mental qui vous dit “fais un vrai choix”... cet épisode est pour vous.


🔗 Pour aller plus loin :

Retrouvez mes stories du quotidien ici : @stephanie.bovy
🛍️ La marque de bijoux (en pause, mais à -30% 😅) : korail.shop
🎙️ Abonnez-vous au podcast et laissez plein d’étoiles ⭐ : ça m’aide vraiment à faire connaître Kroissant
📬 Un retour, une question, un mot doux ? Dites-moi tout sur Instagram !


Kroissant, c’est le podcast qui explose vos croyances limitantes et vous inspire à transformer votre vie grâce à un mindset positif et des outils concrets. 🎙 À travers des histoires inspirantes et des échanges authentiques, on vous motive à passer à l’action pour atteindre votre plein potentiel et vivre une vie épanouissante. Que vous soyez en quête de croissance personnelle, d’un nouvel épanouissement professionnel, ou simplement d’une bonne dose de motivation, chaque épisode vous pousse à travailler sur vous et à avancer un pas après l’autre. Ici, on partage des galères, des victoires et des conseils réels pour créer une vie extraordinaire, loin des clichés et des conseils à 2 balles. 🌟


Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

Transcription

  • Speaker #0

    Coucou tout le monde, j'espère que vous allez super bien, ici tout va vraiment magnifiquement bien. J'avais envie de faire de nouveau un podcast solo, vous allez peut-être vous dire mais elle n'a plus d'invité, alors si si, mais j'ai vraiment plein plein de choses à vous raconter en solo et donc je prends le temps ici de vous l'expliquer. Vous l'avez peut-être déjà vu en story sur mon compte privé, donc Instagram, @stephanie.bovy, où là je parle, parfois pas du tout, ça dépend du temps que j'ai, et parfois vraiment beaucoup, et désolé à Natacha, qui travaillent avec moi et qui s'amusent à sous-titrer toutes les vidéos. Quand je dis s'amusent, voilà, parfois c'est Célim aussi. Désolée à eux parce que quand je fais des balades, en général je fais des stories beaucoup trop longues, mais voilà, tant pis. J'avais envie de vous parler, alors j'avais fait il y a quelques mois, une rétrospective de 2024. Aujourd'hui, j'ai envie de vous détailler, alors détailler peut-être pas, mais mes objectifs pour 2025 parce qu'il y a vraiment eu beaucoup de changements dans ma tête et je ne vais pas beaucoup parler de Klafoutis. Parce que forcément, j'ai toujours des objectifs dans Klafoutis. Mais ici, ce n'est pas vraiment de ça dont j'ai envie de parler. J'ai envie de parler des projets annexes. Vous avez peut-être compris que je n'étais pas tout à fait capable de rester dans un seul projet à la fois. Et en fait, là où avant, ça me dérangeait un petit peu parce que ça ne rentre pas trop dans les cases. Ou alors, on se prend des remarques sur le fait de se disperser. Remarques qui sont parfois tout à fait pertinentes. Sauf qu'en fait, moi, j'ai besoin de me disperser pour arriver après à un moment donné. à aller vers ce que j'ai envie de faire, et j'ai besoin d'avoir plusieurs projets en même temps, je ne pense pas être capable d'en avoir qu'un seul. Donc j'assume, il ne faut pas en avoir cinq en même temps, ce n'est pas une bonne idée non plus, mais vous allez voir qu'il y en a quand même quelques-uns qui vivent en parallèle dans ma tête, mais comme je dis toujours, il y a beaucoup d'onglets en parallèle dans ma tête, donc je vais vous en détailler quelques-uns. L'objectif, ce n'est pas de vous raconter ma vie, parce qu'en soi, on s'en fout. L'objectif, c'est que vous puissiez rentrer dans ma tête d'une personne qui, je considère, est très active. et qui réussit des trucs et qui emplante d'autres, mais en tout cas qui a vraiment envie de s'améliorer dans plein de domaines, et notamment cette année dans le domaine financier, parce que c'est quelque chose que j'ai complètement laissé de côté depuis des années, et en fait ce n'est pas une bonne idée, je suis en train de me rendre compte que ce n'est vraiment pas malin, donc je vais vous expliquer un petit peu ma pensée par rapport à ça. Deuxièmement, le domaine de la santé, parce que je n'ai jamais fait d'énormes catastrophes, mais je n'ai jamais fait d'efforts plus que ça à part faire un peu de sport, l'année passée surtout. Donc il y a quelques sujets sur lesquels je vais revenir. Et troisièmement, l'entrepreneuriat, parce que là, je sens que la footie, ça fait quatre ans et donc il y a un côté un petit peu installé. Alors on n'est jamais installé. Tout peut se planter du jour au lendemain. D'ailleurs, 2025 est un petit peu plus dur que 2024. Mais voilà, ce n'est pas non plus l'enfer. Et donc forcément, ça demande de l'attention. Mais il y a quand même, j'ai un peu l'impression d'avoir mis en place... place quelque chose pendant 3-4 ans et que maintenant on commence à récolter le fait que ça tourne les équipes elles sont formées, elles sont autonomes, et donc Clafoutis ne peut pas pour le moment se passer de moi parce que j'ai certains rôles dedans qui ne sont pas délégués, mais il y a quand même franchement plein de choses pour lesquelles on n'a pas besoin de moi, et ça me laisse aussi beaucoup plus de liberté pour organiser mon temps et je ne suis pas non plus obligée d'être tout le temps sur place, etc. Enfin l'équipe n'a pas besoin de me voir toutes les deux heures pour voir Pour faire en sorte que ça tourne, quoi, il n'y a pas besoin. Alors, je vous emmène un petit peu dans mes coulisses de cette année, une année où je décide de me mettre en action. Alors, vous pourriez rire en me disant, mais elle se met tout le temps en action, la fille. C'est vrai, mais je me mets ici en action dans des domaines pour lesquels je ne me suis pas encore vraiment assez mise en action, d'accord ? Tout en conservant, évidemment, ce qui est mis en place, c'est-à-dire que la foutue. Et donc, je veux aussi vous parler de quelques objectifs un petit peu plus personnels. Ça, je reviendrai plus tard dedans, dans l'épisode, parce que... Il y a certaines choses que j'ai envie de pouvoir réussir et qui dépendent de comment j'arrive à organiser ma vie professionnelle. Mais ça, petit spoiler, non pas encore justement de petit spoiler maintenant, je vous en parle un petit peu plus loin dans l'épisode. Donc, je vais vous parler d'objectifs dans un certain ordre. L'ordre est assez aléatoire, il n'y en a pas un qui prime sur les autres. Je vais essayer de tous les faire en parallèle, voilà, sans chercher la perfection. Premièrement, je vous l'ai expliqué en story récemment et je vais en parler de plus en plus. j'ai ce bâtiment à Fléron, qui a abrité Klafoutis, donc c'était notre deuxième bâtiment, donc là on est dans le troisième, et là je compte plus bouger. On a eu une première boutique de 100 m² que je louais, on a eu une deuxième boutique de 250 m² que, j'ai toujours j'ai fait la boulette de l'acheter, mais je suis en train de revenir sur ce que j'ai dit pendant un an. Et, troisièmement, on a ce bâtiment maintenant dans lequel je suis ici, à Barchon, qui est vraiment beaucoup plus grand, où là on a 800 m². 400 m² d'entrepôt et 400 m² de bureau. Bon, le deuxième bâtiment, on n'arrive ni à le vendre, ni à le louer. On n'a, je crois, pas mis l'énergie nécessaire, mais vraiment, en fait, c'est bloquant. Ce n'est pas une région dans laquelle il est facile pour le moment de louer et d'acheter. C'est un bâtiment qui nous convenait très, très bien à nous, Klafoutis. C'était génial, le bâtiment était génial, mais est devenu trop petit. Et donc, à un moment donné, on a dû bouger. Et donc, lors d'une discussion avec mon mari, on s'est dit, en fait, j'avais déjà pensé à l'exploiter. Je me suis dit, j'ai déjà un job qui est bien prenant. Il me dit, écoute, chance, malchance. Je vais vous réexpliquer la petite anecdote de chance, malchance et passer de deux minutes si jamais je vous l'ai déjà expliqué. Chance, malchance. En fait, peut-être qu'on ne devait pas le louer ni le vendre parce que clairement, on allait le vendre à perte. Pas forcément en perdant de la valeur sur le bâtiment, mais en perdant le fait qu'on ait mis les frais de notaire dedans et que j'ai quand même fait des travaux un petit peu dedans. Donc, ce n'était pas génial non plus de le vendre. On l'a utilisé pendant un an, il n'a pas pu prendre de valeur. Ce n'est pas possible. Donc, en tout cas, on ne l'a pas acheté pour le transformer tellement qu'il est pris de la valeur. Donc, l'histoire de chance-malchance, d'abord, et puis je vous explique ce qu'on compte en faire, c'est que vous avez un paysan. Donc, il a des terres, il a un fils. Et il a un magnifique étalon. Et donc, les villageois lui disent toujours « Ah mais t'as de la chance avec cet étalon ! » Et puis, on vient... Alors, je modifie probablement un peu l'histoire à ma sauce, c'est une histoire très connue, voilà. Et puis, quelqu'un vient pour lui acheter son cheval et lui propose une énorme somme. Ce à quoi il répond « Non, moi c'est mon cheval, je le garde. » Les villageois lui disent « Mais enfin, c'est quand même bizarre de pas le vendre, il vaut énormément. » Bon, ok. Un jour, ce cheval s'enfuit. Et donc les villageois viennent près de lui, lui disent mais t'as vraiment pas de chance, ton cheval s'est enfoui alors que t'aurais pu le vendre hier, voilà. Ce à quoi le paysan répond, chance, malchance, qui sait. Le cheval revient quelques semaines plus tard et il revient avec un troupeau complet de chevaux sauvages magnifiques qui ont énormément de valeur. Le paysan les accueille bien évidemment et se retrouve avec plusieurs chevaux. Les villageois viennent le voir et lui disent mais enfin t'as énormément de chance, t'as vu ton cheval qui était parti, il est revenu et de... Là, tu as plein de valeur dans tes chevaux, bon. Ce à quoi le paysan répond, chance, malchance, qui sait ? Son fils, son unique fils, veut débourrer un de ses chevaux sauvages, tombe de cheval et se casse la jambe. Les villageois donc reviennent voir le paysan et lui disent, mais tu n'as vraiment pas de chance, ton unique fils qui ne va plus pouvoir t'aider au champ, comment est-ce que tu vas t'en sortir ? Ce à quoi le paysan répond, chance, malchance, qui sait ? Quelques jours plus tard, débarque l'armée. qui vient chercher un fils par famille pour aller se battre contre, voilà, un peuple, quel qu'il soit, peu importe. Et là, les villageois reviennent et disent aux paysans, « Mais t'as vraiment de la chance, ton fils qui s'est cassé la jambe, il ne va pas pouvoir partir. » Ce à quoi le paysan répond, « Chance, malchance. » La morale de l'histoire, c'est, on ne sait jamais si quelque chose qui nous est arrivé est une chance ou une malchance. Et je vous ai déjà parlé aussi plusieurs fois de, j'allais dire ma philosophie, mais rien du tout, c'est pas ma philosophie, de la philosophie en laquelle je crois. du cadeau caché. Dès qu'il nous arrive quelque chose de désagréable, voilà, il y a un cadeau caché, quel qu'il soit. Parfois, on ne le voit pas, mais on peut souvent décider de le voir. Tout ça pour dire, si ce bâtiment n'est pas loué, ça fait 9 mois, donc que Klafoutis a un bail commercial avec ce bâtiment qui est vide. Donc, Clafoutis paye un bâtiment vide, ne sachant pas en sortir. Qu'est-ce que ça dit ? Ça dit peut-être qu'on doit l'exploiter. Peut-être, et peut-être pas, et peut-être qu'on se plante, et ce n'est pas grave, mais pour le moment, ce qu'on s'est dit, ce n'est pas grave, on va l'exploiter. Alors, quelles sont nos conditions ? Moi, mes conditions, c'est je ne mets pas de personnel là-dedans. Donc, je n'ai pas envie de devoir gérer des équipes de personnel, de devoir, voilà, le bâtiment est un petit peu trop bas dans la rue pour recevoir vraiment des clients, ou alors il faut vraiment être un magasin de destination comme Klafoutis, où les gens, c'est une niche, les gens savent où ils vont, ils nous ont connus par Internet et pas par le passage, etc. Je n'ai absolument aucune envie de recréer un deuxième clafoutis. Je n'ai pas assez, ce n'est pas possible. Pas quelque chose de passion comme ça qui prend au trip et qui veut dire que ça me demande aussi tout mon temps et tout mon espace de cerveau disponible. Je ne fais pas ça une deuxième fois avec Klafoutis qui est là. Ce n'est pas possible. En tout cas, ce n'est pas mon choix. Ou alors, il faudrait que je mette quelqu'un à la gestion de clafoutis. Non, non, je ne fais pas ça. Donc, deuxième option, on loue ça. On transforme et on loue ça de manière événementielle ou pour des entreprises, etc. Et on n'a pas vraiment trouvé ce qui pourrait vraiment nous correspondre. On a bien une idée, mais elle est arrivée aujourd'hui. C'est Mela qui m'en a parlé. Apparemment, elles en avaient déjà parlé avec les filles. Je vais vous en parler juste après. Donc, c'est possible qu'on fasse ça, mais là, j'ai eu juste l'idée aujourd'hui. Troisième option, on crée un local commercial, mais complètement automatisé. Là, ça nous amuse déjà un peu plus. Il y a ce côté fun qui est derrière. Moi, j'ai un profil qui est très lié au fun, au fait de s'amuser. Et donc, je ne peux pas trop faire des projets. Je ne vais pas travailler l'argent pour l'argent. Par contre, si gagner de l'argent devient un jeu, je peux le faire. Mon mari, lui, ça l'intéresse d'être plus analytique. d'être plutôt axé sur la technique, etc. Or, là-dedans, il y a clairement de l'analyse et il y a de la technique à mettre en place. Donc lui, ça l'amuse. Moi, j'adore dans Klafoutis faire les achats, trouver des bonnes choses, des bons produits et donc des bons tissus ici, de qualité, etc., qui sont beaux. Et donc, je passe énormément de temps dans Klafoutis à faire les achats. Et donc, c'est quelque chose qui me plaît vraiment beaucoup. J'aime aussi faire de la communication. Je suis en train d'en faire ici dans Kroissant sous une autre forme, mais c'est quelque chose qui me plaît aussi. Mais en même temps, je ne peux pas commencer à faire des heures et des heures de création de contenu pour autre chose que Klafoutis que j'ai déjà et que Kroissant que j'ai déjà. Et que Korail que pour le moment j'ai mis en attente. Donc le site fonctionne toujours, tout est à moins 30%, donc si jamais vous voulez le vider, je vous en prie. Et on va peut-être rapatrier quelques bijoux vraiment coup de cœur sur Klafoutis. Mais voilà, pour moi, je ne veux pas dire que c'est un échec, mais c'est quelque chose dans lequel je décide de ne plus investir d'énergie. pas que c'était pas rentable parce que c'est tout à fait rentabilisable, mais j'ai pas la passion derrière, j'ai pas le feu derrière, donc en fait, voilà, je mets ça de côté pour le moment, ce n'est pas ma priorité. Donc, par contre, j'ai appris beaucoup de choses et j'ai pas perdu d'argent, donc tout va bien. Je reviens à notre idée. Donc, on n'est pas... Nos critères, ça doit être automatisé. On sait que c'est jamais de l'automatisation à 100%, je suis bien au courant, d'accord ? La première chose à laquelle on pense quand on pense automatisation, enfin commerce automatisé, on pense aux laveries. Pourquoi pas, sauf qu'il y en a une juste à côté. Donc, on ne va pas aller créer une laverie juste à côté d'une laverie. Quand je dis juste à côté, c'est trois bâtiments à côté. Donc, on est vraiment, vraiment, ce serait exactement les mêmes clients. Et donc, qu'est-ce qu'on va faire ? Une guerre des prix ou une guerre par l'ambiance ou la technologie, j'en sais rien. On ne voit pas l'intérêt. Donc, voilà. Autant deux boulangeries dans la même rue, je n'ai pas trop de soucis. Autant deux laveries, voilà, pas trop d'intérêt. donc ça on oublie Qu'est-ce qui nous reste ? Alors, il nous reste tout ce qui est distributeur automatique. Oui, très bien. D'ailleurs, on va partir là-dedans. Comme ça, vous le savez. Donc, c'est clairement quelque chose qu'on va développer. Mais j'ai 250 m² pour mettre des distributeurs automatiques. Alors, je peux remplir un local de 250 m² de distributeurs automatiques. Alors, on est plus sur un supermarché automatisé. Je ne pense pas que ce soit le bon local, le bon emplacement pour faire ça. Et je n'ai pas tellement envie d'aller investir 400 000 euros de machines. voilà dans en plus une région où il y a déjà beaucoup de supermarchés, donc je vois pas trop ce qu'on va pouvoir venir apporter, enfin voilà. Et puis ça veut dire de nouveau avoir quelqu'un sur place très régulièrement pour remplir tout le temps, si jamais il y a plein de gens, enfin non. Par contre, l'avant du magasin, qui est plus étroit et assez long, et puis alors, donc on a une entrée de 4 mètres de large sur une dizaine de mètres de long. Et puis, on a une sorte de grand carré, 200 mètres carrés, de 10 mètres sur 10 mètres, plus ou moins. Donc, l'entrée, les 4 mètres de large sur 10 mètres de long, là, on va l'exploiter commercialement. C'est-à-dire qu'on va venir mettre des machines. Au début, on va mettre trois machines. On va se laisser la possibilité de pouvoir en mettre plus. Comme ça, si on veut en rajouter une ou deux en plus, après, il n'y a pas de souci. Ce n'est peut-être pas forcément l'objectif, mais c'est possible. Et on va venir aussi rajouter dans cet espace. des lockers. Donc on a une entreprise qui va mettre des lockers dedans, je ne dis pas encore vraiment tout, mais il y a un contrat qui est déjà signé et on essaye d'en mettre d'autres. Pourquoi ? Parce qu'en fait, les lockers, ils vont venir générer d'eux-mêmes de la visibilité parce que les gens trouvent où est le locker le plus proche et donc forcément, c'est des gens qui sont dans la région, ils vont venir dedans et ils vont voir qu'il y a des distributeurs. Donc potentiellement, ce sont des clients Alors, je donnerai des chiffres un jour quand les chiffres seront avérés. Donc là, j'ai des chiffres de projection, de ce que disent les entreprises de Locker, etc. Mais je ne vais pas le dire ici parce que tant que je n'ai pas les vrais chiffres, je ne fais pas ça. Donc, sinon, je vais vous donner des... Enfin, voilà, non, ça, ce n'est pas correct. Donc, je vous donnerai des chiffres, bien sûr, parce que l'objectif n'est pas de cacher des choses. J'ai vraiment envie de vous emmener avec moi dans ce projet parce que ça m'amuse aussi. Mais voilà, il y a des projections qui ne sont que des projections. Pareil pour les projections de vente des distributeurs. Je ne peux pas vous dire aujourd'hui si ça va marcher à cet endroit-là. Il y a moyen de faire fonctionner des distributeurs si c'est bien fait. Ça dépend de l'emplacement et de la communication autour. Donc là, on le teste là-bas. Donc ça, c'est pour la vente du magasin. L'objectif, c'est aussi de pouvoir diversifier les sources de revenus. À un moment donné, si on se dit qu'il y a pas mal de gens qui passent, et donc ça peut être intéressant pour les commerçants de la région qu'il y ait une publicité qui puisse tourner, même pour les gens qui rentrent, le temps qu'ils attendent, etc. Même s'ils ne vont pas attendre longtemps, ça peut être intéressant, même avec des promos pour les commerçants alentours, tout ça. Donc le but, c'est de s'intégrer dedans et on ne vient embêter personne. Au contraire, on vient mettre en avant certains commerçants. Pourquoi est-ce qu'on ne ferait pas du revenu publicitaire à ce moment-là ? Donc ça, c'est une possibilité. Clairement, ce n'est pas ce qui va être mis en premier parce que pour ça, j'ai besoin de savoir combien de personnes rentrent dans la boutique et si ça a un intérêt. Et donc forcément, les premières semaines et les premiers mois, on sera toujours en période d'expérimentation. Mais pourquoi pas ? Là, je vais jouer sur la rentabilité parce qu'on est sur quelque chose qui est beaucoup plus automatisé. Mais ce que je veux faire absolument, c'est qu'il y a deux choses. Il y a premièrement, c'est absolument pas rentabilisable de n'avoir que ces trois distributeurs-là. C'est techniquement pas possible parce que moi, ça doit absorber mon coût de bâtiment. Donc j'ai des coûts fixes qui démarrent haut. Alors certes, le bâtiment m'appartient. Il appartient à ma société immobilière. Société immobilière que je détiens à moitié avec mon mari. et donc ce bâtiment fait partie de la société immobilière. C'est le seul bâtiment de la société immobilière pour le moment. Par contre, un de mes objectifs de vie dont je vais parler tout à l'heure, c'est d'augmenter le patrimoine de cette société immobilière. Mais pour ça, j'ai besoin que le premier, il se paye déjà. Parce qu'on ne va pas aller nous prêter pour un deuxième alors que le premier, on est en train de le payer difficilement. Difficilement, non. La banque ne le voit pas, mais moi, ça doit sortir de clafoutis. Donc, ces trois distributeurs-là, mathématiquement, même s'ils fonctionnaient très bien, ne serait pas suffisant pour, à mon sens, couvrir la totalité du bâtiment. Par contre, ce que je me vois faire, et de nouveau, je suis en train de vous parler à un moment T, me connaissant, dans trois semaines, j'ai sûrement changé les plans, et puis encore après, encore après, de toute façon, le projet initial n'est jamais le projet final. Il a déjà changé plusieurs fois, maintenant, le côté distributeur automatique, ça se concrétise, le côté locker, ça se concrétise aussi, on sait ce qu'on doit faire comme travaux, etc. Il y a déjà des contrats signés, donc ok, ça on sait qu'on le fait. Maintenant, vraiment, la forme du projet pourra encore changer. Mon objectif après, c'est de déployer. Et donc, d'avoir un maximum, un maximum, on se comprend, mais d'avoir de très bons emplacements pour les machines. Et donc là, ça va prendre vraiment, par contre, beaucoup de temps, beaucoup de réseaux et vraiment faire comprendre aux gens, etc. L'intérêt. Je vais vous dire après ce que je vais mettre dans les distributeurs, ça c'est important. Et donc, de développer, d'avoir ce réseau. Et donc, ce que je vois, c'est que mon bâtiment de Fleron, certes, au début, sera un peu trop grand, mais par contre, après, je n'aurai pas besoin de déménager, parce que là, j'ai compris aussi dans Klafoutis, prendre des trucs trop petits, ça veut dire qu'on déménage beaucoup et ça coûte très cher. Donc, j'ai déjà un espace où je peux stocker des choses. Je n'aurai pas énormément besoin d'espace de stockage, donc les 100 mètres sera un peu trop grand, mais par contre, je n'aurai qu'un besoin de frigo pour pouvoir rassembler à un seul endroit, c'est de la logistique de base donc les denrées alimentaires et pouvoir les dispatcher dans les différents distributeurs. Évidemment, ce sont des denrées qui ne vont pas rester longtemps chez nous, à part évidemment tout ce qui est surgelé, qui peut rester un peu plus longtemps, et tout ce qui est snacks et boissons, qui forcément a une date de péremption qui est très lointaine. Mais il n'y a pas besoin d'avoir des énormes stocks d'avance, donc ça ne sert à rien d'aller bloquer des sous comme ça dans du stock. Et donc, qu'est-ce qu'on va mettre dans ces distributeurs ? A priori, d'accord, c'est vraiment a priori, évidemment de la boisson. mais on va aller chercher alors oui on va mettre du coca parce qu'à un moment donné même si je suis très anti-coca oui on va mettre de l'Ice Tea mais je voulais aussi aller chercher d'autres boissons beaucoup plus intéressantes soit parce qu'elles sont locales je crois qu'il y a un nouveau coca qui vient de sortir qui s'appelle Paola, un coca liégeois donc vraiment ultra local soit parce qu'elles sont bien plus saines bien plus sympas pour la santé comme du kéfir, du kombucha et ce genre de choses On est près d'une salle de crossfit, on est près d'un club sportif, etc. Donc voilà, ça peut valoir la peine. Il y aura des snacks. Évidemment qu'il y aura deux, trois snacks classiques. Voilà, les sneakers, a priori, c'est quand même un truc assez classique. Mais l'objectif, ce n'est pas du tout de se focaliser là-dessus. C'est vraiment de partir sur des snacks qui sont intéressants. Donc des snacks beaucoup plus, par exemple, les barres protéinées correctes. Ça, c'est vraiment cool parce qu'on est justement à côté d'une salle de crossfit. parce que... Les gens comprennent l'intérêt d'avoir une barre qui contient aussi des protéines et pas uniquement du sucre. Donc ça, c'est une possibilité. Donc on va partir sur ce genre de choses. On va partir sur des snacks ou des desserts plutôt frais aussi. Donc on a déjà plusieurs idées. Alors je ne vais pas te donner toutes les idées ici maintenant parce que tout doit être validé. Mais on peut partir sur du dessert frais. qui peut être très très bon, qui peut être très gourmand. Donc là, j'ai déjà plusieurs idées. Et on va partir aussi sur tout ce qui est plat de traiteur. Soit à manger directement, froid, soit à réchauffer. Et donc, moi, ce que je veux absolument faire avec, j'allais dire la marque, mais je la garde encore pour le moment, tant qu'elle n'est pas déposée. Alors, elle commencera par un K, évidemment. Ça, je peux déjà le dire. Ce que je veux faire, c'est vraiment aller chercher, non pas un gros grossiste où on trouve de tout et on peut trouver ça facilement, ... partout, non. Moi, je veux vraiment être une plateforme où je vais chercher des super bons artisans traiteurs, plutôt, dans leur domaine. Que leur domaine soit du sucré, du salé, peu importe. Vraiment trouver les meilleurs, sans être dans l'ultra haut de gamme non plus. On ne veut pas que le plat coûte le même prix qu'un resto, ça, c'est pas l'objectif. Donc, on va partir sur des prix moyens, voilà. Mais il y a moyen d'aller chercher vraiment... Vous savez bien. Vous achetez un plat de pâtes à un endroit, il est incroyablement bon. Il a peut-être coûté 2 euros plus cher, mais il est super bon. Vous achetez un plat de pâtes à un autre endroit, et c'est vraiment, c'est fade, ou c'est pauvre en garniture ou en sauce, etc. Donc moi, je veux vraiment qu'il y ait des plats pour lesquels je me dis, moi, j'ai trop envie de ce plat-là. Soit parce qu'il est assez sain, mais il reste très bon, soit parce qu'il est vraiment très gourmand, et qu'on est sur des bonnes pâtes à la truffe, par exemple, mais des bonnes choses. Et que ça tourne aussi, même si ça me demande plus de travail. Donc on est clairement... sur une entreprise qui est certes automatisée dans son processus de vente, mais derrière, il y a du boulot. Donc, il faut remplir les machines. Donc là, je compte mettre en place une équipe de personnes qui vont remplir les machines, plutôt des flexi-jobs, donc des gens qui ont déjà un boulot sur le côté ou qui sont jeunes retraités, et donc dont ce n'est pas le métier principal, parce qu'en tout cas, au début, il n'y aura pas du tout besoin de faire ça toute la journée. Il n'y a pas du tout assez de travail pour faire ça. Je vous expliquerai peut-être après comment on les finance, parce que là, on est en train de voir comment le faire. Sachant que ça a un coût, ces machines-là, donc c'est pas juste « oh tiens, on va acheter une machine » . Non, non, ça a un coût, on peut les prendre en leasing ou on peut les acheter, mais une machine comme ça, il faut compter que c'est plus ou moins, alors, entre 10 et 16 000 euros. Allez, peut-être entre 7 et 16 000 euros. Donc il faut les rentabiliser, enfin voilà, c'est pas juste « ah bah tiens, je mettrais bien un distributeur automatique » . Non, il y a toute la logistique derrière, il y a toute la chaîne du froid. Il y a tout le côté respect de l'hygiène alimentaire, donc l'AFSCA. J'ai de la chance d'avoir une meilleure amie qui travaille là-bas et donc qui peut m'aider à ce que tout soit vraiment nickel et elle sait exactement ce qu'il faut faire. Donc là, j'ai déjà eu pas mal d'informations parce qu'on veut que tout soit ultra clean. Parce que nous, on ne va pas louer les machines à des traiteurs, sauf s'ils demandent de mettre leurs propres machines. Ça, c'est possible, il y a la place. Mais par contre, on va nous-mêmes prendre en charge les achats et nous-mêmes prendre en charge le remplissage. Ça veut dire qu'on va aussi nous-mêmes prendre en charge les invendus. les DLC, donc les dates limite de consommation, etc. Donc, on en reparle dans quelques mois quand ça aura été lancé, pour voir si c'est gérable, pas gérable, si je dois changer, etc. Je ne sais pas. En tout cas, on démarre là-dessus. On verra comment on s'en sort. Mais j'ai vraiment envie qu'il y ait ce service ajouté qui est, on va vraiment vous chercher des super bons traiteurs, petits artisans ou même semi-industriels mais avec des trucs vraiment, qui sont vraiment très très bien faits, parce que c'est pas parce qu'il y a des machines ... que les ingrédients sont mauvais et que les personnes sont mauvaises, loin de là, ça peut être vraiment très très bon aussi. On va aussi peut-être mettre des fruits pour des agriculteurs, enfin les fraises à certains moments, voilà, ça peut être vraiment très très chouette, enfin ce genre de choses. On va aussi mettre des glaces aussi, ça j'ai pas dit, un frigo congélateur, et donc avec de la glace et avec certains autres produits glacés qui vont varier en fonction des saisons. Après la glace, on en achète en général toute l'année, plus que ce que je pensais, mais il pourrait y avoir aussi d'autres choses dedans, voilà. Il y a tout ce qui est aspect peint, ou là je ne sais pas encore, parce que vraiment ça demande du remplissage tous les jours. Ça demande à ce que ce soit fait aussi à une certaine heure, parce qu'on ne peut pas venir remplir à 17h. Ça ne sert à rien, il n'y a plus personne, demain il est plus bon. Donc ça, je suis encore un petit peu plus réticente, on va tester. Ou pas, on verra bien. Voilà, donc ça c'est un petit peu le projet pour l'avant de la boutique. L'arrière, alors j'ai 100 m². Mais là m'a donné une super idée, elle m'a dit fais une salle de danse et une salle de yoga etc. Donc tu mets des miroirs et tu mets une sono et tu la loues. Et bah franchement je trouve ça génial parce que là, il faut savoir qu'on a deux entrées indépendantes, donc sans vraiment faire de gros travaux, je dois mettre une porte à un autre endroit tout ça, je peux le faire. Donc ça c'est possible, il faut aussi se dire que je dois garder un espace de stockage pour mes denrées alimentaires, voilà, mais ça j'ai d'autres, j'ai un bureau devant. où là on va mettre vraiment un bureau, je dois pouvoir travailler de là-bas aussi, je dois pouvoir me partager entre les deux, même si je compte pas être là-bas trop souvent, mais parfois pour des livraisons etc, bref il faut quelqu'un, il faut une imprimante pour faire les tournées des livraisons quand il y aura plusieurs machines etc quand il y aura plusieurs machines, 2 secondes je vous parle d'objectif, je vous parle pas de ce qui va se passer en 2 secondes 30 c'est du boulot, ça fait des mois que je travaille dessus, peut-être, ouais si ça fait quand même 2-3 mois, et il y a encore vraiment beaucoup de boulot. Donc c'est du revenu passif ultra actif pour le moment. Donc voilà. Et donc je dois pouvoir mettre mon stock, que ce soit du congelé, que ce soit du frais, que ce soit du non frais, etc. On doit pouvoir faire ça. Voilà. Donc je me réjouis de lancer ce projet. On est vraiment absolument en plein dedans. On est dans tout ce qui est travaux, etc. Je vais essayer de... Enfin, je ne vais pas essayer, je vais vous garder avec moi, soit par des épisodes de podcast qui sont un petit peu... qui vous explique un petit peu l'état d'avancement. Je pense que ça peut être sympa. Et en plus, si vous le suivez, vous décidez, vous écoutez le podcast ou vous ne l'écoutez pas, mais vous suivez les aventures ou pas. Et en tout cas, je m'engage à le faire sur mon compte Instagram et ma page Facebook pour pouvoir vous montrer ça un petit peu. Peut-être aussi sur YouTube, on va voir. Donc ça, c'était le premier objectif qui a déjà pris une demi-heure alors que j'avais dit que je ferais un podcast d'une demi-heure. Bref. Mon deuxième objectif, je vais en parler moins longtemps, mais je veux prendre en main mes finances. Je me suis rendue compte que s'il nous arrivait quelque chose au niveau du couple, que ce soit une séparation, ça peut toujours arriver, que ce soit, heureusement, là on s'entend bien, mais franchement, ça peut vraiment arriver, que ce soit le décès de mon mari, même si on a des assurances par rapport à ça, donc le logement, etc., ça va, mais quand même, bah en fait, je ne suis pas si préparée que ça. Pareil pour ma pension, je suis indépendante, j'aurais vraiment rien, vraiment. Et donc j'ai toujours, j'ai beau créer 10 emplois, moi on me payera pas du tout ma pension, on me dira pas du tout merci après. Donc on me dira, ah mais t'as été indépendante, t'avais qu'à mettre de côté, etc. Comme si tous les indépendants gagnaient des milliards. Mais ok, mais du coup ça veut dire qu'à un moment donné je dois m'en occuper et pas, j'ai tendance à attendre de gagner plus. Mais non en fait, tu dois le faire maintenant ma fille. Donc je n'ai encore rien fait, à part que je commence vraiment à me former. Donc comment j'écoute... plein de podcasts sur les finances personnelles, sur l'investissement immobilier, etc. On est la moyenne des gens qui nous entourent. Vous vous entourez de personnes physiques, mais vous vous entourez aussi de personnes via les écrans, via ce que vous consommez en termes de contenu. Là, vous êtes en train de vous entourer de moi, parce que vous avez décidé de m'écouter, merci pour ça, mais ça veut dire que je suis en train de mettre des choses dans votre cerveau. Vous avez décidé qu'au lieu d'écouter quelque chose sur un sujet qui ne vous apportait peut-être rien, qu'au lieu... Alors j'espère que je vous apportais la valeur. qu'au lieu d'écouter de la musique, qui vous apportait peut-être de la très bonne humeur, ou pas, ça dépend, vous alliez écouter quelqu'un qui parlait business, qui parlait objectif, qui parlait aller de l'avant, qui parlait obstacle aussi, et qui parlait défi. Donc, les gens dont vous vous entourez influent sur ce que vous allez faire. Je vous promets que si vous écoutez pendant six mois des gens parler d'investissement immobilier, après six mois, vous allez faire de l'investissement immobilier. En tout cas, vous allez vous mettre en marche pour pouvoir le faire. C'est ce que je suis en train de faire. Je suis en train de me remplir la tête d'idées, d'histoires de personnes, surtout via les podcasts parce que c'est plus facile pour moi, parce que je peux marcher, courir, faire autre chose, conduire, que de regarder des vidéos où là vraiment, pour moi c'est plus compliqué. Ça me demande plus de temps, alors que les podcasts c'est génial, ça rentre dans les oreilles alors qu'on peut faire autre chose. Bref, je suis en train de me remplir, remplir, remplir, remplir de ça. Pour pouvoir acquérir le vocabulaire, pour pouvoir acquérir les bons questionnements qu'il faut, etc. Est-ce qu'à un moment donné, je m'offrirais une formation peut-être ? Je ne sais pas. En tout cas, là, ce n'est pas encore le moment parce que je ne sais pas encore exactement laquelle. Mais donc, mon point de départ, c'est que mes finances sont trop floues. Et pourtant, je ne me considère pas comme une grande dépensière. Alors, j'ai certains péchés mignons. Avant, c'était les tissus. Maintenant, du coup, j'ai créé une entreprise de tissus. Voilà, j'aime bien de bien manger. il y a des choses où ok je vais dépenser peut-être un peu plus que d'autres mais Ma voiture, elle a 10 ans. Je n'achète pas deux paires de chaussures tous les quatre matins. J'ai un bon manteau et puis c'est tout. Et encore, il n'était pas cher. Voilà, j'attends le patron de clafoutis de manteau. Et là, j'aurais des super manteaux. Je ne pars pas en vacances dans des trucs extravagants. Donc franchement, même en faisant ça, et en ayant un bon revenu, et mon mari a un bon revenu aussi, même en faisant ça, j'arrive... Alors, cette année, j'ai quand même... bien réussi à mettre de côté. Et j'ai commencé à investir. Donc j'ai investi plusieurs milliers d'euros de différentes façons. Je pourrais en parler dans un autre podcast, mais je ne suis pas du tout experte en investissement du tout. Donc voilà. Mais par contre, maintenant, il va falloir que ce soit pris en main sérieusement. Et donc, j'ai envie de tester de vivre sur un budget. « Live on a budget » , on dit en anglais. Ça se dit pas trop bien en français. Mais d'avoir en tout cas un budget, pas forcément à l'euro près, parce que j'ai peut-être pas envie de faire ça, mais en tout cas de me rendre compte de ce qui sort. Parce que je me rends pas toujours compte de ce qui sort. Et je crois que si je m'en rendais vraiment compte, il y a des trucs où je me dirais « Enfin, pourquoi t'as dépensé à ce moment-là ? Ça t'a rien rapporté, quoi. » Et donc il y a des choses que je m'empêche de faire pour le moment, notamment des voyages, parce que je considère que je n'ai pas assez de côté, je n'ai pas mis assez de côté j'ai mis beaucoup d'argent donc la foutue moi aussi Et donc, Klafoutis me doit de l'argent. Donc, ça, c'est aussi important de se dire, oui, je prends un salaire dans Klafoutis, mais Klafoutis me doit de l'argent. Klafoutis a une dette par rapport à moi, c'est-à-dire que ça s'appelle un compte courant gérant. Donc, ça veut dire que moi, j'ai prêté de l'argent à Klafoutis. Donc, on parle de plusieurs dizaines de milliers d'euros qui m'appartiennent, mais que je n'arrive pas toujours à sortir parce que quand on est en croissance, on a besoin de plus de fonds de roulement. C'est-à-dire qu'on a besoin de plus d'argent qui tourne dans la société. Et donc, on a beau être... rentable, que la foutue est rentable depuis toujours, je suis toujours rentable mais l'entreprise prend de plus en plus de cash parce qu'il y a un peu plus de stock parce qu'il y a eu des meubles, parce que tchik et tchak et donc les meubles il faut se rendre compte qu'on les amortit alors même s'il y a une partie que j'ai empruntée, j'ai un tout petit emprunt bancaire mais il y a quand même plein de choses que j'ai acheté cash j'aurais peut-être dû emprunter un peu plus et qui du coup s'amortissent dans ma comptabilité Merci. en plusieurs années, et donc diminue mon bénéfice d'une petite fraction, d'une fraction. Mais par contre, moi, c'est sorti de mon compte. Et donc, mon bénéfice a peut-être diminué de 1 000 euros. Un truc qui s'amortit sur 5 ans, chaque année, mon bénéfice diminue de 1 000 euros par rapport à cet investissement. Mais moi, j'ai sorti 5 000 d'un coup. Donc la trésorerie n'est pas forcément en corrélation avec la rentabilité. C'est sûr que quand on est super rentable, on a tendance à avoir plus de trésorerie, et que quand on est en perte, à un moment donné, on n'a plus assez de trésorerie, ok. mais ce n'est pas une relation directe et automatique. Bref, tout ça pour dire que je n'ai pas, à mon sens, une gestion de l'argent qui est suffisante, même si je ne suis pas là en train de le flamber, même si je ne suis pas endettée, ce genre de choses. Peu mieux faire, vraiment, peu mieux faire, surtout pour mon futur où là, peu mieux faire. Et donc, il faut que je décide et je n'ai pas envie d'aller sur des plans d'investissement à 2% par an, sauf si vraiment, fiscalement, c'est un peu plus intéressant. du 2% par an, on va me reprendre 25% à la fin, etc. Je pense qu'il y a vraiment mieux à faire que ça, quitte à avoir un peu plus de risques, certes, mais voilà, je pense qu'il y a quand même mieux à faire et à diversifier correctement. Mais je n'ai pas la formation pour le moment, je la cherche, je la prends, je la capte pour le moment énormément et donc j'apprends plein de choses. J'apprends surtout que je ne sais rien et que même dans un an, je ne saurais toujours rien, mais au moins je saurais assez que pour pouvoir prendre certaines décisions, décisions que je prends déjà, j'investis par exemple de manière automatique. Tous les mois, je crois que je suis à 200 euros, comme ça vous savez tout, tous les mois, 200 euros d'investissement automatique dans des ETF. Donc ce sont des groupements de parts d'actions, en général, je fais en ultra simple, qui permettent de diversifier au lieu d'acheter un peu d'Apple, un peu de Tesla, un peu de Microsoft, un peu de machin, un peu de choses, vous achetez un ETF qui les reprend tous. Pas besoin d'aller forcément sur des ETF qui reprennent les actions américaines, surtout pour le moment, mais je ne fais pas de conseil d'investissement. Je répète bêtement ce que j'ai entendu à gauche ou à droite, donc franchement, ne m'écoutez pas là-dedans. Mais il n'y a pas que ça, ce n'est pas forcément toutes les plus grosses actions du monde. Donc concrètement, qu'est-ce que j'ai mis en place ? J'ai commencé à investir, ça s'est fait depuis quelques mois. J'ai fait un tableau dans lequel je mets mes investissements. Et l'objectif, c'est de venir, peut-être pas tous les mois sur tous les investissements, mais peut-être tous les six mois, de dire « Ok, ça c'était ma valeur initiale, ça c'est ma valeur actuelle. » Attention que tant que ce n'est pas vendu, si c'est des ETF, c'est juste une valeur fictive. parce que parfois on se dit oh mais j'ai perdu 5% vous n'avez rien perdu, vous n'avez pas vendu donc si c'est pas vendu, c'est pas vendu donc ce que moi je compte faire c'est mettre ma valeur de portefeuille en comptant ce que j'ai mis dedans et ma valeur de portefeuille en comptant ce qu'il vaut aujourd'hui et de me dire bah voilà pour le moment j'ai pris x% avec ce que j'ai fait, je vais pas le faire détail par détail mais voilà, sur les différentes plateformes parce que j'ai de l'argent sur eToro, j'ai de l'argent sur Haken pas beaucoup, en crypto 1 000 euros de bitcoin, je crois. Et j'ai de l'argent sur Trade Republic, qui est ce que je préfère pour le moment. Si vous voulez un code de parrainage, je n'ai jamais fait ça, mais si vous voulez un code de parrainage pour Trade Republic, n'hésitez pas, vous m'envoyez un message privé et je crois que ça se fait et que du coup, vous gagnez un montant en ETF, un truc comme ça. Ça peut vraiment valoir la peine, c'est cool. Peut-être que... Quand je le dis, ce n'est plus le cas, mais je crois que si. Contactez-moi si jamais ça vous intéresse. Alors, ça, c'était l'objectif numéro 2, prendre en main mes finances. Aussi bien pour, avec quels objectifs ? Évidemment, avec, alors, je veux voyager plus. Pour le moment, si je voyage, je vais descendre dans l'épargne que je ne considère pas suffisante. Je veux augmenter mon patrimoine pour qu'un voyage ait moins d'impact sur mes finances à long terme. Pour ça, je vais développer les distributeurs automatiques qui ne sont pas mon job principal, mais qui sont censés générer du cash flow que je voudrais pouvoir utiliser pour augmenter mon patrimoine. En augmentant mon patrimoine, j'augmente mes revenus dits passifs. Les revenus passifs ne sont jamais passifs. Faites bien attention. Passif, ça veut dire qu'on n'est pas forcément au comptoir en train de vendre quelque chose. L'immobilier, c'est du revenu dit passif. Vous vous rendez bien compte que ce n'est pas 100% passif, qu'il faut aller chercher les loyers si on ne les a pas, il faut louer des apparts, il faut faire des travaux, etc. Plus tous les problèmes qu'on peut avoir. Donc quand je dis passif, attention, c'est juste en opposition au revenu actif d'être là au boulot de telle heure à telle heure. Donc mes objectifs sont... Je veux augmenter mon patrimoine, certainement pas uniquement pour augmenter mon patrimoine, mais pour moi je veux être la retraitée qui peut déjà prendre sa pension plus jeune si elle a envie, ou en tout cas fortement diminuer sa charge de travail si elle a envie. Je veux avoir cette liberté de faire le job que je veux, mais ça je l'ai déjà. Donc ça c'est fait, check. Je voulais atteindre un certain niveau de revenu, je l'avais noté, etc. il y a 4 ans, c'est bon j'y suis, donc je suis complètement libre par rapport à ça. Pas libre de ne pas travailler, c'est pas du tout un job de rentier, pas du tout, mais... Je suis libre de faire vraiment ce que je veux, j'adore ce que je fais. Et donc, objectif numéro un, augmenter mon patrimoine pour pouvoir me générer des revenus et faire en sorte que mes loisirs, mes vacances, que j'ai vraiment envie de faire beaucoup plus, j'ai envie d'aller vraiment faire des beaux voyages en prenant le temps de découvrir lentement des régions. Pas faire du shopping de voyage, là, comme ça, j'ai pas envie. Mais pour ça, il faut avoir le temps. Si je dois avoir le temps, ça veut dire que je peux lâcher mon boulot pendant X semaines pour pouvoir aller en profiter. Donc, il y a des choses à automatiser. Donc la foutue, il y a pas mal de choses qui me le permettent. Il va falloir que je fasse la même chose avec l'activité suivante. Premier objectif, patrimoine. Pour l'objectif, vraiment, c'est avoir le style de vie que je veux. C'est-à-dire, oui, certes, partir en vacances, ne pas être stressée par rapport à l'argent. Faire en sorte que ma fille puisse avoir ce dont elle a besoin via son patrimoine. Et en même temps, l'éduquer très correctement financièrement. Parce qu'on ne va pas lâcher des billets comme ça. Donc voilà. Elle est très autonomisée. Je pourrais aussi en faire un autre épisode de podcast si besoin. Ça, c'est très important pour moi de ne pas avoir un enfant avec une cuillère en argent dans la bouche parce qu'après, c'est plus compliqué, je crois, après d'avoir la... Même si elle nous voit travailler, elle aura la valeur travail, j'espère. Mais voilà, j'ai vraiment envie qu'elle puisse avoir, elle, l'éducation financière que moi, je n'ai pas eue. Pas parce que j'ai une très mauvaise éducation financière, mais simplement parce que mes parents gèrent très bien. Ils ont acheté, eux, ils ont investi dans... Voilà, je n'ai pas besoin de raconter la vie de mes parents ici, mais ils ont... On a quand même toujours eu une petite notion d'investissement, pas ultra présente, mais elle était là quand même. Et donc, j'ai quand même déjà vu ça. Donc, je ne viens pas de très, très loin. Je ne viens pas de parents qui sont endettés, etc. Pas du tout. Souvent, on entend des histoires comme ça. Et donc, mes parents étaient endettés. Et donc, on a failli leur reprendre leur maison. Et donc, à ce moment-là, je me suis rendu compte et je me suis pris une claque. Moi, je viens pas de là. Et donc, je me réveille à 38 ans en me disant, tiens, t'as pas trop, trop bien géré ton truc. Voilà. est-ce que je demandais la claque plutôt ? non pas forcément ... La vie est faite comme elle est faite, il y a du positif et du négatif, je n'ai pas eu ce traumatisme-là. Par contre, du coup, je n'ai pas eu cette urgence-là non plus de me rendre financièrement indépendante. D'accord ? Donc maintenant, j'ai envie de le faire. Maintenant, j'ai vraiment envie de le faire. Je vois aussi plein de femmes qui ne le sont pas, qui en fait ont des problèmes à quitter leur conjoint parce qu'en fait, il y a le côté financier qui est dedans et ça, ça me révolte parce que je ne trouve pas ça juste et souvent, c'est dans ce sens-là. Et donc là, je me suis dit, mais moi, le jour où je veux le faire, alors heureusement je ne veux pas du tout le faire mais... Je veux que ce soit une option et donc qu'en fait, ma liberté ne soit pas conditionnée au revenu du ménage, etc. et que j'ai mes affaires. Pourtant, on a investi ensemble. Donc là, la nouvelle société, ce sera avec mon mari. Ce n'est pas un problème, mais on crée de la valeur pour tous les deux. D'accord ? Je ne me mets pas en retrait pour que lui puisse avancer sans avoir une sécurité moi-même. L'amour, c'est très beau, mais il faut se sentir en sécurité autant l'un que l'autre. Objectif numéro 3. Après ça, l'objectif santé. Donc là, j'ai vraiment repris en main ma santé sans chercher la perfection. Ce n'est pas mon objectif, mais j'ai tendance à prendre du poids, les kilos, un après l'autre chaque année. C'est un peu trop. Là, ça ne me convient plus trop. Et en même temps, je ne vis pas très, très mal non plus, mais voilà. Donc, entrepreneur plus maman, avoir plein de projets, ça fait en sorte que souvent l'alimentation et le temps pour soi passent au dernier plan. Et donc, je me fais aider d'une coach qui est super, qui s'appelle Delphine Moniot. ou Delphine Delicourt, ça dépend où vous la trouvez. C'est son nom de jeune fille et son nom d'épouse. Je crois que la société s'appelle Feeder Better Stronger, je peux mettre la description, enfin le lien. Ça vaut franchement de la peine, c'est super top et donc elle m'accompagne sur 4 mois. Et alors on essaie vraiment d'aller enlever les blocages parce que moi j'ai toute la formation concernant la nourriture saine, je ne crois pas qu'en mangeant, je ne sais pas moi, des galettes de riz, je suis en train de faire régime. Donc je suis bien au courant que c'est que du sucre. Enfin voilà, ce genre de choses, je suis déjà bien bien bien éduquée. J'ai déjà fait des formations en cuisine vivante, j'ai déjà lu je ne sais combien de livres sur la cuisine saine, etc. Donc ce n'est pas une question d'éducation, c'est une question d'automatisme, de besoin de liberté que je mets dans la nourriture. Donc ça je prends en main le côté vraiment psychologique et mis en action par rapport à ma santé, qu'il soit aussi bien du mouvement. Là je suis à au moins 4-5 séances de sport par semaine, mais le sport que j'aime bien, donc je vais courir une demi-heure, ou je vais courir une heure, ou je vais nager, ou je vais faire du vélo, je prépare mon triathlon. Je fais quelque chose d'un peu plus musculaire chez moi, mais ça en général, je n'aime pas, donc je le fais pas. Voilà. Objectif numéro 4, donner encore plus d'autonomie à Clafoutis. Je veux que Clafoutis puisse tourner sans moi si je me casse le bras demain. Allez, le bras, ce n'est pas très grave, mais si je devais, pour x, y raison, disparaître pendant deux mois demain, je voudrais que Clafoutis soit capable de vivre sans moi. Donc il y a des choses que je délègue à d'autres personnes. Je ne délègue pas le visage de la marque, je ne délègue pas les lives, je ne délègue pas les shootings, toute la partie vraiment. communication, créativité, etc. J'ai vraiment envie de la garder. Si vraiment il fallait, quelqu'un pourrait reprendre à ma place au dernier moment et on ferait avec et c'est super. Par contre, je délègue vraiment toutes les choses que je peux. Ce n'est pas de l'automatisation, c'est vraiment de la délégation. Par exemple, ici, je délègue la création des pages produits quand il y a un nouveau patron qui sort. Pourquoi ? Parce qu'en fait, je me suis rendue compte que ça fait 40 fois que je le fais, quelque chose comme ça. Et donc, je fais des erreurs, parce que je n'ai pas un profil pour faire 40 fois la même chose. Donc, je fais des erreurs de la fille qui n'a pas le profil pour faire 40 fois la même chose. Et je fais quoi ? Je me trompe parce que j'y vais un petit peu trop au talent, et donc j'oublie un tableau de mesure où je mets deux fois le même. Le code de réduction du gang, j'oublie de l'activer. Enfin, ce genre de choses, parce que moi, je n'ai pas de procédure, tout est dans ma tête. Si on me met une procédure, je ne vais pas la suivre. Voilà, ça ne sert à rien de me faire des super procédures, je ne les suis pas. je suis pas la fille qui suit les modes d'emploi, tout ça, tout ça, sauf pour sa machine à coudre, ça quand même. Et en fait, il y a des gens qui sont meilleurs que moi pour ça. Donc moi, je vais écrire le texte de base, donc ce qui va être dedans, je l'aurai écrit. Mais par contre, le planifier, mettre les bonnes choses aux bons endroits, tout ça, mettre les bonnes photos, les bons prix, etc., moi je fais toujours bien une erreur quelque part, simplement parce que j'ai été trop vite, et surtout, je suis pas... Voilà, je suis... Alors, ça fonctionne, mais quelqu'un d'autre peut le faire à ma place. Or moi j'ai plus de valeur à aller générer de la valeur à d'autres endroits, faire d'autres shootings. J'ai plein, plein, plein, plein d'idées que je peux faire. Et donc ça, je délègue. Donc ça, c'est un de mes objectifs aussi, de me dire, OK, est-ce que demain, Clafoutis peut vivre sans moi pendant deux mois ? Là, pour le moment, ce serait trop compliqué, mais si j'ai réussi ça fin 2025, quitte à ce que je sois à distance, parce que j'ai envie de pouvoir le faire aussi, de faire un beau voyage et donc de pouvoir travailler à distance pendant deux mois, est-ce que ça fonctionne ? On verra bien. Donc ça, c'est mon objectif. on en parlera après Enfin, on parlera fin de l'année, voir si j'ai réussi. Je reprendrai ce podcast et je me dirai, oula, ça j'ai raté. Ouh, ça j'ai réussi. Ouh, ça je ne m'y attendais pas. Et donc, conclusion, l'année 2025, c'est une année où je vais m'autoriser à me disperser. Parce que Clafoutis est mis en place, tout est relatif, évidemment. Mais en tout cas, le gros des vagues est passé. Le déménagement, le deuxième déménagement, le troisième déménagement, le lancement de l'application, etc. La stabilisation de l'équipe, tout ça. En fait, c'est fait. Et donc, il y aura toujours des trucs qui vont arriver. Mais le lancement de nos propres collections de tissus, tout ça, ça s'est fait. Et donc, il y a encore plein, plein, plein de choses à faire. J'ai encore plein d'idées dedans. Mais je veux vraiment me focaliser, moi, sur les projets, les idées, la créativité. Et pouvoir déléguer le reste. Et donc, je m'autorise à me disperser toute l'année 2025 pour trouver plein d'idées. Parce que plus je fais ça, plus j'écoute des podcasts, des podcasts. J'ai des idées, mais... Mais dans tous les sens, j'ai des idées géniales et j'ai des idées de merde, mais pour pouvoir avoir une idée géniale, il faut avoir 42 idées complètement débiles et complètement pas possibles ou complètement ratées ou c'est pas le moment, enfin j'en sais rien, mais faut pas se dire, ah non moi je vais pas faire, je vais pas bouger, je vais pas essayer des trucs, je vais pas me renseigner parce que ça sert à rien, ce sera probablement pas une bonne idée. Bah oui, évidemment que ce sera probablement pas une bonne idée, vous croyez que j'ai eu combien d'idées avant de lancer Clafoutis ? Plein ! J'ai passé, je voulais que ce soit dans la couture, mais j'ai passé un temps. dingue, un temps infini à surfer à gauche, à droite, à essayer de comprendre le truc, etc. Et je me suis formée. À un moment donné, je suis devenue experte de mon marché. Évidemment, expert, c'est juste la personne qui connaît 90%, 90% de plus que les autres. Enfin, qui connaît plus que 90% ou 90% du reste de la population. Donc, expert ne veut pas dire qu'on a un bac plus 5 en couture. C'est pas du tout ça. Mais par contre, je savais dans quoi je m'engageais. Plus ou moins, en tout cas. Et donc ici, ce que je veux faire, c'est, ok, je me permets d'ouvrir des portes. Je vais ouvrir des portes, ouvrir des portes, ouvrir des portes. Du coup, fermer la porte. Fermer, fermer, fermer. Partir de manière ultra enthousiaste sur un sujet. Et puis, ah bah non, finalement, ça ne s'est pas fait. Je me laisse faire. Et donc, je vais vous parler de choses de manière ultra enthousiaste, comme je vous ai dit. Surtout en story. Mais en fait, au final, je ne les ferai pas. C'est ok. C'est complètement ok. Je veux aussi vous parler de beaucoup de bouquins, j'ai vraiment envie de reprendre la lecture, même si le podcast, il n'y a rien à faire. nous permet de faire deux choses en même temps et donc surtout de combler les temps morts où le cerveau n'est pas obligatoirement utile. Quand je conduis, je peux très bien écouter un podcast, c'est beaucoup plus intéressant. Ce que j'ai envie de vous inspirer et pourquoi est-ce que je vous fais un podcast de presque une heure pour vous parler de mes objectifs de 2025, de nouveau, ce n'est pas pour raconter ma vie. Vous savez bien que je ne passe pas mon temps à raconter ma vie, ce que j'ai mangé, ce que fait ma fille, etc. J'ai quand même, en parlant de ma fille, un très gros objectif qui est un objectif d'instruction à domicile. Et donc qu'elle puisse, enfin à domicile, en famille. et donc qu'elle puisse voyager beaucoup plus avec nous et qu'elle puisse vivre plus avec nous. Pour le moment, elle est dans une école alternative, elle y va trois jours semaine, mais elle y va pas tout le temps. Le reste du temps, ne vous tracassez pas, elle est pas mise devant un écran. Donc elle fait des trucs aussi bien là-bas que chez nous qui sont ultra intéressants. Donc elle est en contact avec des enfants tout le temps. Cette nuit, elle dormait chez nos voisins et puis elle est restée chez nous toute la journée. Ils sont pas scolarisés non plus, vous voyez. Entourez-vous de gens, là, je l'ai pas fait exprès, même si je l'avais rencontré juste avant, la dame qui vient de... de construire en face de chez nous, parce qu'on avait des enfants du même âge et qu'on avait la même optique d'instruction en famille, elle le fait chez elle, moi je fais de manière hybride. Et donc ce que je veux vous inspirer ici, c'est je ne savais pas, il y a 4 ans, que je pouvais construire la vie que j'avais aujourd'hui, mais je l'ai quand même écrit. Je veux tel revenu, je veux être libre de mes mouvements, je veux être libre de mes horaires. Est-ce que je suis libre à 100% ? Non, les portes ouvertes, je suis là. Mais j'ai quand même une liberté dingue. Il fait chaud, j'ai envie d'aller au soleil, je vais le faire. Oui, je vais travailler le soir, mais c'est ma liberté, j'ai choisi ma contrainte. Personne ne me dit... Maintenant, tu vas faire ça. Jamais. Moi, c'est quelque chose qui ne me convient pas bien. C'est pour ça que j'essaie de laisser beaucoup de liberté aussi dans l'organisation du travail des personnes qui travaillent avec moi, même si des fois, on me demande un peu plus de cadre, mais j'essaie aussi de donner beaucoup de liberté. Et donc, ce que j'ai envie de vous inspirer, c'est de vous dire, c'est quoi vous, vos intentions pour 2025 ? Pas en mode bonne résolution, on n'est plus en janvier, c'est bon, c'est fait. Mais qu'est-ce que vous avez vraiment envie d'aller explorer ? Où est-ce que vous vous laissez de la latitude pour aller explorer des nouvelles choses ? Comment est-ce que vous allez faire ça ? Et donc, je vous pose la question. N'hésitez pas à, évidemment, me le dire en commentaire des vidéos, en message privé sur Instagram, etc. Ou éventuellement sur Facebook, mais je les vois moins. C'est plus Natacha qui les voit, je les vois plus sur Instagram. Donc dites-moi, qu'est-ce que vous vous autorisez à explorer ? Moi, je m'autorise à explorer le côté santé. Je m'autorise à explorer les distributeurs automatiques. pour finalement peut-être ne pas les faire, mais ça m'étonnerait parce qu'il y a quand même des contrats qui sont déjà signés. Et je m'autorise à explorer les finances personnelles pour après pouvoir prendre des meilleurs choix. Et dernier point, je m'autorise à explorer tout ce que je peux tester, d'automatiser, de déléguer correctement dans Klafoutis pour que ça reste bien fait, que ce soit efficace, que ce soit confortable pour la personne qui a cette tâche, qu'elle ne soit pas dépendante de moi, c'est-à-dire, et qu'on puisse avancer comme ça et toujours proposer des super beaux tissus dans Klafoutis et continuer avec des super beaux patrons. Donc voilà. J'ai été plus que complète, j'ai dépassé ma demi-heure, je dois aller chercher ma fille, ça ne se dit pas dans un podcast, mais en fait, la réalité d'une maman qui entreprend, c'est ça, c'est que je regarde l'heure depuis tout à l'heure, et que je dois maintenant aller la chercher. Donc je vous laisse, je vous laisse me donner plein d'étoiles, parce que vous savez bien que c'est ça qui est super important pour un podcast, donc si vous n'êtes pas encore abonné, s'il vous plaît, venez-vous. si vous n'avez pas encore mis d'étoiles, mettez plein d'étoiles et on se retrouve pour le prochain épisode à très bientôt

Description

Vous vous sentez tiraillé.e entre plusieurs envies ?
Un projet vous stimule, mais l’autre vous appelle aussi ?
Et si le problème, ce n’était pas le fait d’avoir trop d’idées… mais de croire qu’il faut absolument en éliminer 90% pour être "sérieux/sérieuse" ?


Dans cet épisode solo, je vous partage mes objectifs (très concrets) pour 2025. Pas pour que vous copiiez mes choix mais pour vous montrer qu’on peut avancer sans tout trier, sans tout figer, et sans forcément se mettre dans une seule case.


Au programme de cet épisode :


  • Peut-on vraiment réussir en testant plusieurs projets à la fois ?

  • Comment je transforme un bâtiment vide en business alimentaire semi-automatisé ?

  • Pourquoi j’ai (enfin) décidé de prendre mes finances en main ?

  • Comment trouver un équilibre entre vision long terme et envie de fun ?

  • Qu’est-ce qui se passe quand on arrête de vouloir être "parfaite" ?

  • Et pourquoi s’autoriser à explorer, c’est souvent le meilleur plan ?


🎧 Si vous avez vous aussi 1000 idées, un cœur qui déborde de projets, mais un mental qui vous dit “fais un vrai choix”... cet épisode est pour vous.


🔗 Pour aller plus loin :

Retrouvez mes stories du quotidien ici : @stephanie.bovy
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🎙️ Abonnez-vous au podcast et laissez plein d’étoiles ⭐ : ça m’aide vraiment à faire connaître Kroissant
📬 Un retour, une question, un mot doux ? Dites-moi tout sur Instagram !


Kroissant, c’est le podcast qui explose vos croyances limitantes et vous inspire à transformer votre vie grâce à un mindset positif et des outils concrets. 🎙 À travers des histoires inspirantes et des échanges authentiques, on vous motive à passer à l’action pour atteindre votre plein potentiel et vivre une vie épanouissante. Que vous soyez en quête de croissance personnelle, d’un nouvel épanouissement professionnel, ou simplement d’une bonne dose de motivation, chaque épisode vous pousse à travailler sur vous et à avancer un pas après l’autre. Ici, on partage des galères, des victoires et des conseils réels pour créer une vie extraordinaire, loin des clichés et des conseils à 2 balles. 🌟


Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

Transcription

  • Speaker #0

    Coucou tout le monde, j'espère que vous allez super bien, ici tout va vraiment magnifiquement bien. J'avais envie de faire de nouveau un podcast solo, vous allez peut-être vous dire mais elle n'a plus d'invité, alors si si, mais j'ai vraiment plein plein de choses à vous raconter en solo et donc je prends le temps ici de vous l'expliquer. Vous l'avez peut-être déjà vu en story sur mon compte privé, donc Instagram, @stephanie.bovy, où là je parle, parfois pas du tout, ça dépend du temps que j'ai, et parfois vraiment beaucoup, et désolé à Natacha, qui travaillent avec moi et qui s'amusent à sous-titrer toutes les vidéos. Quand je dis s'amusent, voilà, parfois c'est Célim aussi. Désolée à eux parce que quand je fais des balades, en général je fais des stories beaucoup trop longues, mais voilà, tant pis. J'avais envie de vous parler, alors j'avais fait il y a quelques mois, une rétrospective de 2024. Aujourd'hui, j'ai envie de vous détailler, alors détailler peut-être pas, mais mes objectifs pour 2025 parce qu'il y a vraiment eu beaucoup de changements dans ma tête et je ne vais pas beaucoup parler de Klafoutis. Parce que forcément, j'ai toujours des objectifs dans Klafoutis. Mais ici, ce n'est pas vraiment de ça dont j'ai envie de parler. J'ai envie de parler des projets annexes. Vous avez peut-être compris que je n'étais pas tout à fait capable de rester dans un seul projet à la fois. Et en fait, là où avant, ça me dérangeait un petit peu parce que ça ne rentre pas trop dans les cases. Ou alors, on se prend des remarques sur le fait de se disperser. Remarques qui sont parfois tout à fait pertinentes. Sauf qu'en fait, moi, j'ai besoin de me disperser pour arriver après à un moment donné. à aller vers ce que j'ai envie de faire, et j'ai besoin d'avoir plusieurs projets en même temps, je ne pense pas être capable d'en avoir qu'un seul. Donc j'assume, il ne faut pas en avoir cinq en même temps, ce n'est pas une bonne idée non plus, mais vous allez voir qu'il y en a quand même quelques-uns qui vivent en parallèle dans ma tête, mais comme je dis toujours, il y a beaucoup d'onglets en parallèle dans ma tête, donc je vais vous en détailler quelques-uns. L'objectif, ce n'est pas de vous raconter ma vie, parce qu'en soi, on s'en fout. L'objectif, c'est que vous puissiez rentrer dans ma tête d'une personne qui, je considère, est très active. et qui réussit des trucs et qui emplante d'autres, mais en tout cas qui a vraiment envie de s'améliorer dans plein de domaines, et notamment cette année dans le domaine financier, parce que c'est quelque chose que j'ai complètement laissé de côté depuis des années, et en fait ce n'est pas une bonne idée, je suis en train de me rendre compte que ce n'est vraiment pas malin, donc je vais vous expliquer un petit peu ma pensée par rapport à ça. Deuxièmement, le domaine de la santé, parce que je n'ai jamais fait d'énormes catastrophes, mais je n'ai jamais fait d'efforts plus que ça à part faire un peu de sport, l'année passée surtout. Donc il y a quelques sujets sur lesquels je vais revenir. Et troisièmement, l'entrepreneuriat, parce que là, je sens que la footie, ça fait quatre ans et donc il y a un côté un petit peu installé. Alors on n'est jamais installé. Tout peut se planter du jour au lendemain. D'ailleurs, 2025 est un petit peu plus dur que 2024. Mais voilà, ce n'est pas non plus l'enfer. Et donc forcément, ça demande de l'attention. Mais il y a quand même, j'ai un peu l'impression d'avoir mis en place... place quelque chose pendant 3-4 ans et que maintenant on commence à récolter le fait que ça tourne les équipes elles sont formées, elles sont autonomes, et donc Clafoutis ne peut pas pour le moment se passer de moi parce que j'ai certains rôles dedans qui ne sont pas délégués, mais il y a quand même franchement plein de choses pour lesquelles on n'a pas besoin de moi, et ça me laisse aussi beaucoup plus de liberté pour organiser mon temps et je ne suis pas non plus obligée d'être tout le temps sur place, etc. Enfin l'équipe n'a pas besoin de me voir toutes les deux heures pour voir Pour faire en sorte que ça tourne, quoi, il n'y a pas besoin. Alors, je vous emmène un petit peu dans mes coulisses de cette année, une année où je décide de me mettre en action. Alors, vous pourriez rire en me disant, mais elle se met tout le temps en action, la fille. C'est vrai, mais je me mets ici en action dans des domaines pour lesquels je ne me suis pas encore vraiment assez mise en action, d'accord ? Tout en conservant, évidemment, ce qui est mis en place, c'est-à-dire que la foutue. Et donc, je veux aussi vous parler de quelques objectifs un petit peu plus personnels. Ça, je reviendrai plus tard dedans, dans l'épisode, parce que... Il y a certaines choses que j'ai envie de pouvoir réussir et qui dépendent de comment j'arrive à organiser ma vie professionnelle. Mais ça, petit spoiler, non pas encore justement de petit spoiler maintenant, je vous en parle un petit peu plus loin dans l'épisode. Donc, je vais vous parler d'objectifs dans un certain ordre. L'ordre est assez aléatoire, il n'y en a pas un qui prime sur les autres. Je vais essayer de tous les faire en parallèle, voilà, sans chercher la perfection. Premièrement, je vous l'ai expliqué en story récemment et je vais en parler de plus en plus. j'ai ce bâtiment à Fléron, qui a abrité Klafoutis, donc c'était notre deuxième bâtiment, donc là on est dans le troisième, et là je compte plus bouger. On a eu une première boutique de 100 m² que je louais, on a eu une deuxième boutique de 250 m² que, j'ai toujours j'ai fait la boulette de l'acheter, mais je suis en train de revenir sur ce que j'ai dit pendant un an. Et, troisièmement, on a ce bâtiment maintenant dans lequel je suis ici, à Barchon, qui est vraiment beaucoup plus grand, où là on a 800 m². 400 m² d'entrepôt et 400 m² de bureau. Bon, le deuxième bâtiment, on n'arrive ni à le vendre, ni à le louer. On n'a, je crois, pas mis l'énergie nécessaire, mais vraiment, en fait, c'est bloquant. Ce n'est pas une région dans laquelle il est facile pour le moment de louer et d'acheter. C'est un bâtiment qui nous convenait très, très bien à nous, Klafoutis. C'était génial, le bâtiment était génial, mais est devenu trop petit. Et donc, à un moment donné, on a dû bouger. Et donc, lors d'une discussion avec mon mari, on s'est dit, en fait, j'avais déjà pensé à l'exploiter. Je me suis dit, j'ai déjà un job qui est bien prenant. Il me dit, écoute, chance, malchance. Je vais vous réexpliquer la petite anecdote de chance, malchance et passer de deux minutes si jamais je vous l'ai déjà expliqué. Chance, malchance. En fait, peut-être qu'on ne devait pas le louer ni le vendre parce que clairement, on allait le vendre à perte. Pas forcément en perdant de la valeur sur le bâtiment, mais en perdant le fait qu'on ait mis les frais de notaire dedans et que j'ai quand même fait des travaux un petit peu dedans. Donc, ce n'était pas génial non plus de le vendre. On l'a utilisé pendant un an, il n'a pas pu prendre de valeur. Ce n'est pas possible. Donc, en tout cas, on ne l'a pas acheté pour le transformer tellement qu'il est pris de la valeur. Donc, l'histoire de chance-malchance, d'abord, et puis je vous explique ce qu'on compte en faire, c'est que vous avez un paysan. Donc, il a des terres, il a un fils. Et il a un magnifique étalon. Et donc, les villageois lui disent toujours « Ah mais t'as de la chance avec cet étalon ! » Et puis, on vient... Alors, je modifie probablement un peu l'histoire à ma sauce, c'est une histoire très connue, voilà. Et puis, quelqu'un vient pour lui acheter son cheval et lui propose une énorme somme. Ce à quoi il répond « Non, moi c'est mon cheval, je le garde. » Les villageois lui disent « Mais enfin, c'est quand même bizarre de pas le vendre, il vaut énormément. » Bon, ok. Un jour, ce cheval s'enfuit. Et donc les villageois viennent près de lui, lui disent mais t'as vraiment pas de chance, ton cheval s'est enfoui alors que t'aurais pu le vendre hier, voilà. Ce à quoi le paysan répond, chance, malchance, qui sait. Le cheval revient quelques semaines plus tard et il revient avec un troupeau complet de chevaux sauvages magnifiques qui ont énormément de valeur. Le paysan les accueille bien évidemment et se retrouve avec plusieurs chevaux. Les villageois viennent le voir et lui disent mais enfin t'as énormément de chance, t'as vu ton cheval qui était parti, il est revenu et de... Là, tu as plein de valeur dans tes chevaux, bon. Ce à quoi le paysan répond, chance, malchance, qui sait ? Son fils, son unique fils, veut débourrer un de ses chevaux sauvages, tombe de cheval et se casse la jambe. Les villageois donc reviennent voir le paysan et lui disent, mais tu n'as vraiment pas de chance, ton unique fils qui ne va plus pouvoir t'aider au champ, comment est-ce que tu vas t'en sortir ? Ce à quoi le paysan répond, chance, malchance, qui sait ? Quelques jours plus tard, débarque l'armée. qui vient chercher un fils par famille pour aller se battre contre, voilà, un peuple, quel qu'il soit, peu importe. Et là, les villageois reviennent et disent aux paysans, « Mais t'as vraiment de la chance, ton fils qui s'est cassé la jambe, il ne va pas pouvoir partir. » Ce à quoi le paysan répond, « Chance, malchance. » La morale de l'histoire, c'est, on ne sait jamais si quelque chose qui nous est arrivé est une chance ou une malchance. Et je vous ai déjà parlé aussi plusieurs fois de, j'allais dire ma philosophie, mais rien du tout, c'est pas ma philosophie, de la philosophie en laquelle je crois. du cadeau caché. Dès qu'il nous arrive quelque chose de désagréable, voilà, il y a un cadeau caché, quel qu'il soit. Parfois, on ne le voit pas, mais on peut souvent décider de le voir. Tout ça pour dire, si ce bâtiment n'est pas loué, ça fait 9 mois, donc que Klafoutis a un bail commercial avec ce bâtiment qui est vide. Donc, Clafoutis paye un bâtiment vide, ne sachant pas en sortir. Qu'est-ce que ça dit ? Ça dit peut-être qu'on doit l'exploiter. Peut-être, et peut-être pas, et peut-être qu'on se plante, et ce n'est pas grave, mais pour le moment, ce qu'on s'est dit, ce n'est pas grave, on va l'exploiter. Alors, quelles sont nos conditions ? Moi, mes conditions, c'est je ne mets pas de personnel là-dedans. Donc, je n'ai pas envie de devoir gérer des équipes de personnel, de devoir, voilà, le bâtiment est un petit peu trop bas dans la rue pour recevoir vraiment des clients, ou alors il faut vraiment être un magasin de destination comme Klafoutis, où les gens, c'est une niche, les gens savent où ils vont, ils nous ont connus par Internet et pas par le passage, etc. Je n'ai absolument aucune envie de recréer un deuxième clafoutis. Je n'ai pas assez, ce n'est pas possible. Pas quelque chose de passion comme ça qui prend au trip et qui veut dire que ça me demande aussi tout mon temps et tout mon espace de cerveau disponible. Je ne fais pas ça une deuxième fois avec Klafoutis qui est là. Ce n'est pas possible. En tout cas, ce n'est pas mon choix. Ou alors, il faudrait que je mette quelqu'un à la gestion de clafoutis. Non, non, je ne fais pas ça. Donc, deuxième option, on loue ça. On transforme et on loue ça de manière événementielle ou pour des entreprises, etc. Et on n'a pas vraiment trouvé ce qui pourrait vraiment nous correspondre. On a bien une idée, mais elle est arrivée aujourd'hui. C'est Mela qui m'en a parlé. Apparemment, elles en avaient déjà parlé avec les filles. Je vais vous en parler juste après. Donc, c'est possible qu'on fasse ça, mais là, j'ai eu juste l'idée aujourd'hui. Troisième option, on crée un local commercial, mais complètement automatisé. Là, ça nous amuse déjà un peu plus. Il y a ce côté fun qui est derrière. Moi, j'ai un profil qui est très lié au fun, au fait de s'amuser. Et donc, je ne peux pas trop faire des projets. Je ne vais pas travailler l'argent pour l'argent. Par contre, si gagner de l'argent devient un jeu, je peux le faire. Mon mari, lui, ça l'intéresse d'être plus analytique. d'être plutôt axé sur la technique, etc. Or, là-dedans, il y a clairement de l'analyse et il y a de la technique à mettre en place. Donc lui, ça l'amuse. Moi, j'adore dans Klafoutis faire les achats, trouver des bonnes choses, des bons produits et donc des bons tissus ici, de qualité, etc., qui sont beaux. Et donc, je passe énormément de temps dans Klafoutis à faire les achats. Et donc, c'est quelque chose qui me plaît vraiment beaucoup. J'aime aussi faire de la communication. Je suis en train d'en faire ici dans Kroissant sous une autre forme, mais c'est quelque chose qui me plaît aussi. Mais en même temps, je ne peux pas commencer à faire des heures et des heures de création de contenu pour autre chose que Klafoutis que j'ai déjà et que Kroissant que j'ai déjà. Et que Korail que pour le moment j'ai mis en attente. Donc le site fonctionne toujours, tout est à moins 30%, donc si jamais vous voulez le vider, je vous en prie. Et on va peut-être rapatrier quelques bijoux vraiment coup de cœur sur Klafoutis. Mais voilà, pour moi, je ne veux pas dire que c'est un échec, mais c'est quelque chose dans lequel je décide de ne plus investir d'énergie. pas que c'était pas rentable parce que c'est tout à fait rentabilisable, mais j'ai pas la passion derrière, j'ai pas le feu derrière, donc en fait, voilà, je mets ça de côté pour le moment, ce n'est pas ma priorité. Donc, par contre, j'ai appris beaucoup de choses et j'ai pas perdu d'argent, donc tout va bien. Je reviens à notre idée. Donc, on n'est pas... Nos critères, ça doit être automatisé. On sait que c'est jamais de l'automatisation à 100%, je suis bien au courant, d'accord ? La première chose à laquelle on pense quand on pense automatisation, enfin commerce automatisé, on pense aux laveries. Pourquoi pas, sauf qu'il y en a une juste à côté. Donc, on ne va pas aller créer une laverie juste à côté d'une laverie. Quand je dis juste à côté, c'est trois bâtiments à côté. Donc, on est vraiment, vraiment, ce serait exactement les mêmes clients. Et donc, qu'est-ce qu'on va faire ? Une guerre des prix ou une guerre par l'ambiance ou la technologie, j'en sais rien. On ne voit pas l'intérêt. Donc, voilà. Autant deux boulangeries dans la même rue, je n'ai pas trop de soucis. Autant deux laveries, voilà, pas trop d'intérêt. donc ça on oublie Qu'est-ce qui nous reste ? Alors, il nous reste tout ce qui est distributeur automatique. Oui, très bien. D'ailleurs, on va partir là-dedans. Comme ça, vous le savez. Donc, c'est clairement quelque chose qu'on va développer. Mais j'ai 250 m² pour mettre des distributeurs automatiques. Alors, je peux remplir un local de 250 m² de distributeurs automatiques. Alors, on est plus sur un supermarché automatisé. Je ne pense pas que ce soit le bon local, le bon emplacement pour faire ça. Et je n'ai pas tellement envie d'aller investir 400 000 euros de machines. voilà dans en plus une région où il y a déjà beaucoup de supermarchés, donc je vois pas trop ce qu'on va pouvoir venir apporter, enfin voilà. Et puis ça veut dire de nouveau avoir quelqu'un sur place très régulièrement pour remplir tout le temps, si jamais il y a plein de gens, enfin non. Par contre, l'avant du magasin, qui est plus étroit et assez long, et puis alors, donc on a une entrée de 4 mètres de large sur une dizaine de mètres de long. Et puis, on a une sorte de grand carré, 200 mètres carrés, de 10 mètres sur 10 mètres, plus ou moins. Donc, l'entrée, les 4 mètres de large sur 10 mètres de long, là, on va l'exploiter commercialement. C'est-à-dire qu'on va venir mettre des machines. Au début, on va mettre trois machines. On va se laisser la possibilité de pouvoir en mettre plus. Comme ça, si on veut en rajouter une ou deux en plus, après, il n'y a pas de souci. Ce n'est peut-être pas forcément l'objectif, mais c'est possible. Et on va venir aussi rajouter dans cet espace. des lockers. Donc on a une entreprise qui va mettre des lockers dedans, je ne dis pas encore vraiment tout, mais il y a un contrat qui est déjà signé et on essaye d'en mettre d'autres. Pourquoi ? Parce qu'en fait, les lockers, ils vont venir générer d'eux-mêmes de la visibilité parce que les gens trouvent où est le locker le plus proche et donc forcément, c'est des gens qui sont dans la région, ils vont venir dedans et ils vont voir qu'il y a des distributeurs. Donc potentiellement, ce sont des clients Alors, je donnerai des chiffres un jour quand les chiffres seront avérés. Donc là, j'ai des chiffres de projection, de ce que disent les entreprises de Locker, etc. Mais je ne vais pas le dire ici parce que tant que je n'ai pas les vrais chiffres, je ne fais pas ça. Donc, sinon, je vais vous donner des... Enfin, voilà, non, ça, ce n'est pas correct. Donc, je vous donnerai des chiffres, bien sûr, parce que l'objectif n'est pas de cacher des choses. J'ai vraiment envie de vous emmener avec moi dans ce projet parce que ça m'amuse aussi. Mais voilà, il y a des projections qui ne sont que des projections. Pareil pour les projections de vente des distributeurs. Je ne peux pas vous dire aujourd'hui si ça va marcher à cet endroit-là. Il y a moyen de faire fonctionner des distributeurs si c'est bien fait. Ça dépend de l'emplacement et de la communication autour. Donc là, on le teste là-bas. Donc ça, c'est pour la vente du magasin. L'objectif, c'est aussi de pouvoir diversifier les sources de revenus. À un moment donné, si on se dit qu'il y a pas mal de gens qui passent, et donc ça peut être intéressant pour les commerçants de la région qu'il y ait une publicité qui puisse tourner, même pour les gens qui rentrent, le temps qu'ils attendent, etc. Même s'ils ne vont pas attendre longtemps, ça peut être intéressant, même avec des promos pour les commerçants alentours, tout ça. Donc le but, c'est de s'intégrer dedans et on ne vient embêter personne. Au contraire, on vient mettre en avant certains commerçants. Pourquoi est-ce qu'on ne ferait pas du revenu publicitaire à ce moment-là ? Donc ça, c'est une possibilité. Clairement, ce n'est pas ce qui va être mis en premier parce que pour ça, j'ai besoin de savoir combien de personnes rentrent dans la boutique et si ça a un intérêt. Et donc forcément, les premières semaines et les premiers mois, on sera toujours en période d'expérimentation. Mais pourquoi pas ? Là, je vais jouer sur la rentabilité parce qu'on est sur quelque chose qui est beaucoup plus automatisé. Mais ce que je veux faire absolument, c'est qu'il y a deux choses. Il y a premièrement, c'est absolument pas rentabilisable de n'avoir que ces trois distributeurs-là. C'est techniquement pas possible parce que moi, ça doit absorber mon coût de bâtiment. Donc j'ai des coûts fixes qui démarrent haut. Alors certes, le bâtiment m'appartient. Il appartient à ma société immobilière. Société immobilière que je détiens à moitié avec mon mari. et donc ce bâtiment fait partie de la société immobilière. C'est le seul bâtiment de la société immobilière pour le moment. Par contre, un de mes objectifs de vie dont je vais parler tout à l'heure, c'est d'augmenter le patrimoine de cette société immobilière. Mais pour ça, j'ai besoin que le premier, il se paye déjà. Parce qu'on ne va pas aller nous prêter pour un deuxième alors que le premier, on est en train de le payer difficilement. Difficilement, non. La banque ne le voit pas, mais moi, ça doit sortir de clafoutis. Donc, ces trois distributeurs-là, mathématiquement, même s'ils fonctionnaient très bien, ne serait pas suffisant pour, à mon sens, couvrir la totalité du bâtiment. Par contre, ce que je me vois faire, et de nouveau, je suis en train de vous parler à un moment T, me connaissant, dans trois semaines, j'ai sûrement changé les plans, et puis encore après, encore après, de toute façon, le projet initial n'est jamais le projet final. Il a déjà changé plusieurs fois, maintenant, le côté distributeur automatique, ça se concrétise, le côté locker, ça se concrétise aussi, on sait ce qu'on doit faire comme travaux, etc. Il y a déjà des contrats signés, donc ok, ça on sait qu'on le fait. Maintenant, vraiment, la forme du projet pourra encore changer. Mon objectif après, c'est de déployer. Et donc, d'avoir un maximum, un maximum, on se comprend, mais d'avoir de très bons emplacements pour les machines. Et donc là, ça va prendre vraiment, par contre, beaucoup de temps, beaucoup de réseaux et vraiment faire comprendre aux gens, etc. L'intérêt. Je vais vous dire après ce que je vais mettre dans les distributeurs, ça c'est important. Et donc, de développer, d'avoir ce réseau. Et donc, ce que je vois, c'est que mon bâtiment de Fleron, certes, au début, sera un peu trop grand, mais par contre, après, je n'aurai pas besoin de déménager, parce que là, j'ai compris aussi dans Klafoutis, prendre des trucs trop petits, ça veut dire qu'on déménage beaucoup et ça coûte très cher. Donc, j'ai déjà un espace où je peux stocker des choses. Je n'aurai pas énormément besoin d'espace de stockage, donc les 100 mètres sera un peu trop grand, mais par contre, je n'aurai qu'un besoin de frigo pour pouvoir rassembler à un seul endroit, c'est de la logistique de base donc les denrées alimentaires et pouvoir les dispatcher dans les différents distributeurs. Évidemment, ce sont des denrées qui ne vont pas rester longtemps chez nous, à part évidemment tout ce qui est surgelé, qui peut rester un peu plus longtemps, et tout ce qui est snacks et boissons, qui forcément a une date de péremption qui est très lointaine. Mais il n'y a pas besoin d'avoir des énormes stocks d'avance, donc ça ne sert à rien d'aller bloquer des sous comme ça dans du stock. Et donc, qu'est-ce qu'on va mettre dans ces distributeurs ? A priori, d'accord, c'est vraiment a priori, évidemment de la boisson. mais on va aller chercher alors oui on va mettre du coca parce qu'à un moment donné même si je suis très anti-coca oui on va mettre de l'Ice Tea mais je voulais aussi aller chercher d'autres boissons beaucoup plus intéressantes soit parce qu'elles sont locales je crois qu'il y a un nouveau coca qui vient de sortir qui s'appelle Paola, un coca liégeois donc vraiment ultra local soit parce qu'elles sont bien plus saines bien plus sympas pour la santé comme du kéfir, du kombucha et ce genre de choses On est près d'une salle de crossfit, on est près d'un club sportif, etc. Donc voilà, ça peut valoir la peine. Il y aura des snacks. Évidemment qu'il y aura deux, trois snacks classiques. Voilà, les sneakers, a priori, c'est quand même un truc assez classique. Mais l'objectif, ce n'est pas du tout de se focaliser là-dessus. C'est vraiment de partir sur des snacks qui sont intéressants. Donc des snacks beaucoup plus, par exemple, les barres protéinées correctes. Ça, c'est vraiment cool parce qu'on est justement à côté d'une salle de crossfit. parce que... Les gens comprennent l'intérêt d'avoir une barre qui contient aussi des protéines et pas uniquement du sucre. Donc ça, c'est une possibilité. Donc on va partir sur ce genre de choses. On va partir sur des snacks ou des desserts plutôt frais aussi. Donc on a déjà plusieurs idées. Alors je ne vais pas te donner toutes les idées ici maintenant parce que tout doit être validé. Mais on peut partir sur du dessert frais. qui peut être très très bon, qui peut être très gourmand. Donc là, j'ai déjà plusieurs idées. Et on va partir aussi sur tout ce qui est plat de traiteur. Soit à manger directement, froid, soit à réchauffer. Et donc, moi, ce que je veux absolument faire avec, j'allais dire la marque, mais je la garde encore pour le moment, tant qu'elle n'est pas déposée. Alors, elle commencera par un K, évidemment. Ça, je peux déjà le dire. Ce que je veux faire, c'est vraiment aller chercher, non pas un gros grossiste où on trouve de tout et on peut trouver ça facilement, ... partout, non. Moi, je veux vraiment être une plateforme où je vais chercher des super bons artisans traiteurs, plutôt, dans leur domaine. Que leur domaine soit du sucré, du salé, peu importe. Vraiment trouver les meilleurs, sans être dans l'ultra haut de gamme non plus. On ne veut pas que le plat coûte le même prix qu'un resto, ça, c'est pas l'objectif. Donc, on va partir sur des prix moyens, voilà. Mais il y a moyen d'aller chercher vraiment... Vous savez bien. Vous achetez un plat de pâtes à un endroit, il est incroyablement bon. Il a peut-être coûté 2 euros plus cher, mais il est super bon. Vous achetez un plat de pâtes à un autre endroit, et c'est vraiment, c'est fade, ou c'est pauvre en garniture ou en sauce, etc. Donc moi, je veux vraiment qu'il y ait des plats pour lesquels je me dis, moi, j'ai trop envie de ce plat-là. Soit parce qu'il est assez sain, mais il reste très bon, soit parce qu'il est vraiment très gourmand, et qu'on est sur des bonnes pâtes à la truffe, par exemple, mais des bonnes choses. Et que ça tourne aussi, même si ça me demande plus de travail. Donc on est clairement... sur une entreprise qui est certes automatisée dans son processus de vente, mais derrière, il y a du boulot. Donc, il faut remplir les machines. Donc là, je compte mettre en place une équipe de personnes qui vont remplir les machines, plutôt des flexi-jobs, donc des gens qui ont déjà un boulot sur le côté ou qui sont jeunes retraités, et donc dont ce n'est pas le métier principal, parce qu'en tout cas, au début, il n'y aura pas du tout besoin de faire ça toute la journée. Il n'y a pas du tout assez de travail pour faire ça. Je vous expliquerai peut-être après comment on les finance, parce que là, on est en train de voir comment le faire. Sachant que ça a un coût, ces machines-là, donc c'est pas juste « oh tiens, on va acheter une machine » . Non, non, ça a un coût, on peut les prendre en leasing ou on peut les acheter, mais une machine comme ça, il faut compter que c'est plus ou moins, alors, entre 10 et 16 000 euros. Allez, peut-être entre 7 et 16 000 euros. Donc il faut les rentabiliser, enfin voilà, c'est pas juste « ah bah tiens, je mettrais bien un distributeur automatique » . Non, il y a toute la logistique derrière, il y a toute la chaîne du froid. Il y a tout le côté respect de l'hygiène alimentaire, donc l'AFSCA. J'ai de la chance d'avoir une meilleure amie qui travaille là-bas et donc qui peut m'aider à ce que tout soit vraiment nickel et elle sait exactement ce qu'il faut faire. Donc là, j'ai déjà eu pas mal d'informations parce qu'on veut que tout soit ultra clean. Parce que nous, on ne va pas louer les machines à des traiteurs, sauf s'ils demandent de mettre leurs propres machines. Ça, c'est possible, il y a la place. Mais par contre, on va nous-mêmes prendre en charge les achats et nous-mêmes prendre en charge le remplissage. Ça veut dire qu'on va aussi nous-mêmes prendre en charge les invendus. les DLC, donc les dates limite de consommation, etc. Donc, on en reparle dans quelques mois quand ça aura été lancé, pour voir si c'est gérable, pas gérable, si je dois changer, etc. Je ne sais pas. En tout cas, on démarre là-dessus. On verra comment on s'en sort. Mais j'ai vraiment envie qu'il y ait ce service ajouté qui est, on va vraiment vous chercher des super bons traiteurs, petits artisans ou même semi-industriels mais avec des trucs vraiment, qui sont vraiment très très bien faits, parce que c'est pas parce qu'il y a des machines ... que les ingrédients sont mauvais et que les personnes sont mauvaises, loin de là, ça peut être vraiment très très bon aussi. On va aussi peut-être mettre des fruits pour des agriculteurs, enfin les fraises à certains moments, voilà, ça peut être vraiment très très chouette, enfin ce genre de choses. On va aussi mettre des glaces aussi, ça j'ai pas dit, un frigo congélateur, et donc avec de la glace et avec certains autres produits glacés qui vont varier en fonction des saisons. Après la glace, on en achète en général toute l'année, plus que ce que je pensais, mais il pourrait y avoir aussi d'autres choses dedans, voilà. Il y a tout ce qui est aspect peint, ou là je ne sais pas encore, parce que vraiment ça demande du remplissage tous les jours. Ça demande à ce que ce soit fait aussi à une certaine heure, parce qu'on ne peut pas venir remplir à 17h. Ça ne sert à rien, il n'y a plus personne, demain il est plus bon. Donc ça, je suis encore un petit peu plus réticente, on va tester. Ou pas, on verra bien. Voilà, donc ça c'est un petit peu le projet pour l'avant de la boutique. L'arrière, alors j'ai 100 m². Mais là m'a donné une super idée, elle m'a dit fais une salle de danse et une salle de yoga etc. Donc tu mets des miroirs et tu mets une sono et tu la loues. Et bah franchement je trouve ça génial parce que là, il faut savoir qu'on a deux entrées indépendantes, donc sans vraiment faire de gros travaux, je dois mettre une porte à un autre endroit tout ça, je peux le faire. Donc ça c'est possible, il faut aussi se dire que je dois garder un espace de stockage pour mes denrées alimentaires, voilà, mais ça j'ai d'autres, j'ai un bureau devant. où là on va mettre vraiment un bureau, je dois pouvoir travailler de là-bas aussi, je dois pouvoir me partager entre les deux, même si je compte pas être là-bas trop souvent, mais parfois pour des livraisons etc, bref il faut quelqu'un, il faut une imprimante pour faire les tournées des livraisons quand il y aura plusieurs machines etc quand il y aura plusieurs machines, 2 secondes je vous parle d'objectif, je vous parle pas de ce qui va se passer en 2 secondes 30 c'est du boulot, ça fait des mois que je travaille dessus, peut-être, ouais si ça fait quand même 2-3 mois, et il y a encore vraiment beaucoup de boulot. Donc c'est du revenu passif ultra actif pour le moment. Donc voilà. Et donc je dois pouvoir mettre mon stock, que ce soit du congelé, que ce soit du frais, que ce soit du non frais, etc. On doit pouvoir faire ça. Voilà. Donc je me réjouis de lancer ce projet. On est vraiment absolument en plein dedans. On est dans tout ce qui est travaux, etc. Je vais essayer de... Enfin, je ne vais pas essayer, je vais vous garder avec moi, soit par des épisodes de podcast qui sont un petit peu... qui vous explique un petit peu l'état d'avancement. Je pense que ça peut être sympa. Et en plus, si vous le suivez, vous décidez, vous écoutez le podcast ou vous ne l'écoutez pas, mais vous suivez les aventures ou pas. Et en tout cas, je m'engage à le faire sur mon compte Instagram et ma page Facebook pour pouvoir vous montrer ça un petit peu. Peut-être aussi sur YouTube, on va voir. Donc ça, c'était le premier objectif qui a déjà pris une demi-heure alors que j'avais dit que je ferais un podcast d'une demi-heure. Bref. Mon deuxième objectif, je vais en parler moins longtemps, mais je veux prendre en main mes finances. Je me suis rendue compte que s'il nous arrivait quelque chose au niveau du couple, que ce soit une séparation, ça peut toujours arriver, que ce soit, heureusement, là on s'entend bien, mais franchement, ça peut vraiment arriver, que ce soit le décès de mon mari, même si on a des assurances par rapport à ça, donc le logement, etc., ça va, mais quand même, bah en fait, je ne suis pas si préparée que ça. Pareil pour ma pension, je suis indépendante, j'aurais vraiment rien, vraiment. Et donc j'ai toujours, j'ai beau créer 10 emplois, moi on me payera pas du tout ma pension, on me dira pas du tout merci après. Donc on me dira, ah mais t'as été indépendante, t'avais qu'à mettre de côté, etc. Comme si tous les indépendants gagnaient des milliards. Mais ok, mais du coup ça veut dire qu'à un moment donné je dois m'en occuper et pas, j'ai tendance à attendre de gagner plus. Mais non en fait, tu dois le faire maintenant ma fille. Donc je n'ai encore rien fait, à part que je commence vraiment à me former. Donc comment j'écoute... plein de podcasts sur les finances personnelles, sur l'investissement immobilier, etc. On est la moyenne des gens qui nous entourent. Vous vous entourez de personnes physiques, mais vous vous entourez aussi de personnes via les écrans, via ce que vous consommez en termes de contenu. Là, vous êtes en train de vous entourer de moi, parce que vous avez décidé de m'écouter, merci pour ça, mais ça veut dire que je suis en train de mettre des choses dans votre cerveau. Vous avez décidé qu'au lieu d'écouter quelque chose sur un sujet qui ne vous apportait peut-être rien, qu'au lieu... Alors j'espère que je vous apportais la valeur. qu'au lieu d'écouter de la musique, qui vous apportait peut-être de la très bonne humeur, ou pas, ça dépend, vous alliez écouter quelqu'un qui parlait business, qui parlait objectif, qui parlait aller de l'avant, qui parlait obstacle aussi, et qui parlait défi. Donc, les gens dont vous vous entourez influent sur ce que vous allez faire. Je vous promets que si vous écoutez pendant six mois des gens parler d'investissement immobilier, après six mois, vous allez faire de l'investissement immobilier. En tout cas, vous allez vous mettre en marche pour pouvoir le faire. C'est ce que je suis en train de faire. Je suis en train de me remplir la tête d'idées, d'histoires de personnes, surtout via les podcasts parce que c'est plus facile pour moi, parce que je peux marcher, courir, faire autre chose, conduire, que de regarder des vidéos où là vraiment, pour moi c'est plus compliqué. Ça me demande plus de temps, alors que les podcasts c'est génial, ça rentre dans les oreilles alors qu'on peut faire autre chose. Bref, je suis en train de me remplir, remplir, remplir, remplir de ça. Pour pouvoir acquérir le vocabulaire, pour pouvoir acquérir les bons questionnements qu'il faut, etc. Est-ce qu'à un moment donné, je m'offrirais une formation peut-être ? Je ne sais pas. En tout cas, là, ce n'est pas encore le moment parce que je ne sais pas encore exactement laquelle. Mais donc, mon point de départ, c'est que mes finances sont trop floues. Et pourtant, je ne me considère pas comme une grande dépensière. Alors, j'ai certains péchés mignons. Avant, c'était les tissus. Maintenant, du coup, j'ai créé une entreprise de tissus. Voilà, j'aime bien de bien manger. il y a des choses où ok je vais dépenser peut-être un peu plus que d'autres mais Ma voiture, elle a 10 ans. Je n'achète pas deux paires de chaussures tous les quatre matins. J'ai un bon manteau et puis c'est tout. Et encore, il n'était pas cher. Voilà, j'attends le patron de clafoutis de manteau. Et là, j'aurais des super manteaux. Je ne pars pas en vacances dans des trucs extravagants. Donc franchement, même en faisant ça, et en ayant un bon revenu, et mon mari a un bon revenu aussi, même en faisant ça, j'arrive... Alors, cette année, j'ai quand même... bien réussi à mettre de côté. Et j'ai commencé à investir. Donc j'ai investi plusieurs milliers d'euros de différentes façons. Je pourrais en parler dans un autre podcast, mais je ne suis pas du tout experte en investissement du tout. Donc voilà. Mais par contre, maintenant, il va falloir que ce soit pris en main sérieusement. Et donc, j'ai envie de tester de vivre sur un budget. « Live on a budget » , on dit en anglais. Ça se dit pas trop bien en français. Mais d'avoir en tout cas un budget, pas forcément à l'euro près, parce que j'ai peut-être pas envie de faire ça, mais en tout cas de me rendre compte de ce qui sort. Parce que je me rends pas toujours compte de ce qui sort. Et je crois que si je m'en rendais vraiment compte, il y a des trucs où je me dirais « Enfin, pourquoi t'as dépensé à ce moment-là ? Ça t'a rien rapporté, quoi. » Et donc il y a des choses que je m'empêche de faire pour le moment, notamment des voyages, parce que je considère que je n'ai pas assez de côté, je n'ai pas mis assez de côté j'ai mis beaucoup d'argent donc la foutue moi aussi Et donc, Klafoutis me doit de l'argent. Donc, ça, c'est aussi important de se dire, oui, je prends un salaire dans Klafoutis, mais Klafoutis me doit de l'argent. Klafoutis a une dette par rapport à moi, c'est-à-dire que ça s'appelle un compte courant gérant. Donc, ça veut dire que moi, j'ai prêté de l'argent à Klafoutis. Donc, on parle de plusieurs dizaines de milliers d'euros qui m'appartiennent, mais que je n'arrive pas toujours à sortir parce que quand on est en croissance, on a besoin de plus de fonds de roulement. C'est-à-dire qu'on a besoin de plus d'argent qui tourne dans la société. Et donc, on a beau être... rentable, que la foutue est rentable depuis toujours, je suis toujours rentable mais l'entreprise prend de plus en plus de cash parce qu'il y a un peu plus de stock parce qu'il y a eu des meubles, parce que tchik et tchak et donc les meubles il faut se rendre compte qu'on les amortit alors même s'il y a une partie que j'ai empruntée, j'ai un tout petit emprunt bancaire mais il y a quand même plein de choses que j'ai acheté cash j'aurais peut-être dû emprunter un peu plus et qui du coup s'amortissent dans ma comptabilité Merci. en plusieurs années, et donc diminue mon bénéfice d'une petite fraction, d'une fraction. Mais par contre, moi, c'est sorti de mon compte. Et donc, mon bénéfice a peut-être diminué de 1 000 euros. Un truc qui s'amortit sur 5 ans, chaque année, mon bénéfice diminue de 1 000 euros par rapport à cet investissement. Mais moi, j'ai sorti 5 000 d'un coup. Donc la trésorerie n'est pas forcément en corrélation avec la rentabilité. C'est sûr que quand on est super rentable, on a tendance à avoir plus de trésorerie, et que quand on est en perte, à un moment donné, on n'a plus assez de trésorerie, ok. mais ce n'est pas une relation directe et automatique. Bref, tout ça pour dire que je n'ai pas, à mon sens, une gestion de l'argent qui est suffisante, même si je ne suis pas là en train de le flamber, même si je ne suis pas endettée, ce genre de choses. Peu mieux faire, vraiment, peu mieux faire, surtout pour mon futur où là, peu mieux faire. Et donc, il faut que je décide et je n'ai pas envie d'aller sur des plans d'investissement à 2% par an, sauf si vraiment, fiscalement, c'est un peu plus intéressant. du 2% par an, on va me reprendre 25% à la fin, etc. Je pense qu'il y a vraiment mieux à faire que ça, quitte à avoir un peu plus de risques, certes, mais voilà, je pense qu'il y a quand même mieux à faire et à diversifier correctement. Mais je n'ai pas la formation pour le moment, je la cherche, je la prends, je la capte pour le moment énormément et donc j'apprends plein de choses. J'apprends surtout que je ne sais rien et que même dans un an, je ne saurais toujours rien, mais au moins je saurais assez que pour pouvoir prendre certaines décisions, décisions que je prends déjà, j'investis par exemple de manière automatique. Tous les mois, je crois que je suis à 200 euros, comme ça vous savez tout, tous les mois, 200 euros d'investissement automatique dans des ETF. Donc ce sont des groupements de parts d'actions, en général, je fais en ultra simple, qui permettent de diversifier au lieu d'acheter un peu d'Apple, un peu de Tesla, un peu de Microsoft, un peu de machin, un peu de choses, vous achetez un ETF qui les reprend tous. Pas besoin d'aller forcément sur des ETF qui reprennent les actions américaines, surtout pour le moment, mais je ne fais pas de conseil d'investissement. Je répète bêtement ce que j'ai entendu à gauche ou à droite, donc franchement, ne m'écoutez pas là-dedans. Mais il n'y a pas que ça, ce n'est pas forcément toutes les plus grosses actions du monde. Donc concrètement, qu'est-ce que j'ai mis en place ? J'ai commencé à investir, ça s'est fait depuis quelques mois. J'ai fait un tableau dans lequel je mets mes investissements. Et l'objectif, c'est de venir, peut-être pas tous les mois sur tous les investissements, mais peut-être tous les six mois, de dire « Ok, ça c'était ma valeur initiale, ça c'est ma valeur actuelle. » Attention que tant que ce n'est pas vendu, si c'est des ETF, c'est juste une valeur fictive. parce que parfois on se dit oh mais j'ai perdu 5% vous n'avez rien perdu, vous n'avez pas vendu donc si c'est pas vendu, c'est pas vendu donc ce que moi je compte faire c'est mettre ma valeur de portefeuille en comptant ce que j'ai mis dedans et ma valeur de portefeuille en comptant ce qu'il vaut aujourd'hui et de me dire bah voilà pour le moment j'ai pris x% avec ce que j'ai fait, je vais pas le faire détail par détail mais voilà, sur les différentes plateformes parce que j'ai de l'argent sur eToro, j'ai de l'argent sur Haken pas beaucoup, en crypto 1 000 euros de bitcoin, je crois. Et j'ai de l'argent sur Trade Republic, qui est ce que je préfère pour le moment. Si vous voulez un code de parrainage, je n'ai jamais fait ça, mais si vous voulez un code de parrainage pour Trade Republic, n'hésitez pas, vous m'envoyez un message privé et je crois que ça se fait et que du coup, vous gagnez un montant en ETF, un truc comme ça. Ça peut vraiment valoir la peine, c'est cool. Peut-être que... Quand je le dis, ce n'est plus le cas, mais je crois que si. Contactez-moi si jamais ça vous intéresse. Alors, ça, c'était l'objectif numéro 2, prendre en main mes finances. Aussi bien pour, avec quels objectifs ? Évidemment, avec, alors, je veux voyager plus. Pour le moment, si je voyage, je vais descendre dans l'épargne que je ne considère pas suffisante. Je veux augmenter mon patrimoine pour qu'un voyage ait moins d'impact sur mes finances à long terme. Pour ça, je vais développer les distributeurs automatiques qui ne sont pas mon job principal, mais qui sont censés générer du cash flow que je voudrais pouvoir utiliser pour augmenter mon patrimoine. En augmentant mon patrimoine, j'augmente mes revenus dits passifs. Les revenus passifs ne sont jamais passifs. Faites bien attention. Passif, ça veut dire qu'on n'est pas forcément au comptoir en train de vendre quelque chose. L'immobilier, c'est du revenu dit passif. Vous vous rendez bien compte que ce n'est pas 100% passif, qu'il faut aller chercher les loyers si on ne les a pas, il faut louer des apparts, il faut faire des travaux, etc. Plus tous les problèmes qu'on peut avoir. Donc quand je dis passif, attention, c'est juste en opposition au revenu actif d'être là au boulot de telle heure à telle heure. Donc mes objectifs sont... Je veux augmenter mon patrimoine, certainement pas uniquement pour augmenter mon patrimoine, mais pour moi je veux être la retraitée qui peut déjà prendre sa pension plus jeune si elle a envie, ou en tout cas fortement diminuer sa charge de travail si elle a envie. Je veux avoir cette liberté de faire le job que je veux, mais ça je l'ai déjà. Donc ça c'est fait, check. Je voulais atteindre un certain niveau de revenu, je l'avais noté, etc. il y a 4 ans, c'est bon j'y suis, donc je suis complètement libre par rapport à ça. Pas libre de ne pas travailler, c'est pas du tout un job de rentier, pas du tout, mais... Je suis libre de faire vraiment ce que je veux, j'adore ce que je fais. Et donc, objectif numéro un, augmenter mon patrimoine pour pouvoir me générer des revenus et faire en sorte que mes loisirs, mes vacances, que j'ai vraiment envie de faire beaucoup plus, j'ai envie d'aller vraiment faire des beaux voyages en prenant le temps de découvrir lentement des régions. Pas faire du shopping de voyage, là, comme ça, j'ai pas envie. Mais pour ça, il faut avoir le temps. Si je dois avoir le temps, ça veut dire que je peux lâcher mon boulot pendant X semaines pour pouvoir aller en profiter. Donc, il y a des choses à automatiser. Donc la foutue, il y a pas mal de choses qui me le permettent. Il va falloir que je fasse la même chose avec l'activité suivante. Premier objectif, patrimoine. Pour l'objectif, vraiment, c'est avoir le style de vie que je veux. C'est-à-dire, oui, certes, partir en vacances, ne pas être stressée par rapport à l'argent. Faire en sorte que ma fille puisse avoir ce dont elle a besoin via son patrimoine. Et en même temps, l'éduquer très correctement financièrement. Parce qu'on ne va pas lâcher des billets comme ça. Donc voilà. Elle est très autonomisée. Je pourrais aussi en faire un autre épisode de podcast si besoin. Ça, c'est très important pour moi de ne pas avoir un enfant avec une cuillère en argent dans la bouche parce qu'après, c'est plus compliqué, je crois, après d'avoir la... Même si elle nous voit travailler, elle aura la valeur travail, j'espère. Mais voilà, j'ai vraiment envie qu'elle puisse avoir, elle, l'éducation financière que moi, je n'ai pas eue. Pas parce que j'ai une très mauvaise éducation financière, mais simplement parce que mes parents gèrent très bien. Ils ont acheté, eux, ils ont investi dans... Voilà, je n'ai pas besoin de raconter la vie de mes parents ici, mais ils ont... On a quand même toujours eu une petite notion d'investissement, pas ultra présente, mais elle était là quand même. Et donc, j'ai quand même déjà vu ça. Donc, je ne viens pas de très, très loin. Je ne viens pas de parents qui sont endettés, etc. Pas du tout. Souvent, on entend des histoires comme ça. Et donc, mes parents étaient endettés. Et donc, on a failli leur reprendre leur maison. Et donc, à ce moment-là, je me suis rendu compte et je me suis pris une claque. Moi, je viens pas de là. Et donc, je me réveille à 38 ans en me disant, tiens, t'as pas trop, trop bien géré ton truc. Voilà. est-ce que je demandais la claque plutôt ? non pas forcément ... La vie est faite comme elle est faite, il y a du positif et du négatif, je n'ai pas eu ce traumatisme-là. Par contre, du coup, je n'ai pas eu cette urgence-là non plus de me rendre financièrement indépendante. D'accord ? Donc maintenant, j'ai envie de le faire. Maintenant, j'ai vraiment envie de le faire. Je vois aussi plein de femmes qui ne le sont pas, qui en fait ont des problèmes à quitter leur conjoint parce qu'en fait, il y a le côté financier qui est dedans et ça, ça me révolte parce que je ne trouve pas ça juste et souvent, c'est dans ce sens-là. Et donc là, je me suis dit, mais moi, le jour où je veux le faire, alors heureusement je ne veux pas du tout le faire mais... Je veux que ce soit une option et donc qu'en fait, ma liberté ne soit pas conditionnée au revenu du ménage, etc. et que j'ai mes affaires. Pourtant, on a investi ensemble. Donc là, la nouvelle société, ce sera avec mon mari. Ce n'est pas un problème, mais on crée de la valeur pour tous les deux. D'accord ? Je ne me mets pas en retrait pour que lui puisse avancer sans avoir une sécurité moi-même. L'amour, c'est très beau, mais il faut se sentir en sécurité autant l'un que l'autre. Objectif numéro 3. Après ça, l'objectif santé. Donc là, j'ai vraiment repris en main ma santé sans chercher la perfection. Ce n'est pas mon objectif, mais j'ai tendance à prendre du poids, les kilos, un après l'autre chaque année. C'est un peu trop. Là, ça ne me convient plus trop. Et en même temps, je ne vis pas très, très mal non plus, mais voilà. Donc, entrepreneur plus maman, avoir plein de projets, ça fait en sorte que souvent l'alimentation et le temps pour soi passent au dernier plan. Et donc, je me fais aider d'une coach qui est super, qui s'appelle Delphine Moniot. ou Delphine Delicourt, ça dépend où vous la trouvez. C'est son nom de jeune fille et son nom d'épouse. Je crois que la société s'appelle Feeder Better Stronger, je peux mettre la description, enfin le lien. Ça vaut franchement de la peine, c'est super top et donc elle m'accompagne sur 4 mois. Et alors on essaie vraiment d'aller enlever les blocages parce que moi j'ai toute la formation concernant la nourriture saine, je ne crois pas qu'en mangeant, je ne sais pas moi, des galettes de riz, je suis en train de faire régime. Donc je suis bien au courant que c'est que du sucre. Enfin voilà, ce genre de choses, je suis déjà bien bien bien éduquée. J'ai déjà fait des formations en cuisine vivante, j'ai déjà lu je ne sais combien de livres sur la cuisine saine, etc. Donc ce n'est pas une question d'éducation, c'est une question d'automatisme, de besoin de liberté que je mets dans la nourriture. Donc ça je prends en main le côté vraiment psychologique et mis en action par rapport à ma santé, qu'il soit aussi bien du mouvement. Là je suis à au moins 4-5 séances de sport par semaine, mais le sport que j'aime bien, donc je vais courir une demi-heure, ou je vais courir une heure, ou je vais nager, ou je vais faire du vélo, je prépare mon triathlon. Je fais quelque chose d'un peu plus musculaire chez moi, mais ça en général, je n'aime pas, donc je le fais pas. Voilà. Objectif numéro 4, donner encore plus d'autonomie à Clafoutis. Je veux que Clafoutis puisse tourner sans moi si je me casse le bras demain. Allez, le bras, ce n'est pas très grave, mais si je devais, pour x, y raison, disparaître pendant deux mois demain, je voudrais que Clafoutis soit capable de vivre sans moi. Donc il y a des choses que je délègue à d'autres personnes. Je ne délègue pas le visage de la marque, je ne délègue pas les lives, je ne délègue pas les shootings, toute la partie vraiment. communication, créativité, etc. J'ai vraiment envie de la garder. Si vraiment il fallait, quelqu'un pourrait reprendre à ma place au dernier moment et on ferait avec et c'est super. Par contre, je délègue vraiment toutes les choses que je peux. Ce n'est pas de l'automatisation, c'est vraiment de la délégation. Par exemple, ici, je délègue la création des pages produits quand il y a un nouveau patron qui sort. Pourquoi ? Parce qu'en fait, je me suis rendue compte que ça fait 40 fois que je le fais, quelque chose comme ça. Et donc, je fais des erreurs, parce que je n'ai pas un profil pour faire 40 fois la même chose. Donc, je fais des erreurs de la fille qui n'a pas le profil pour faire 40 fois la même chose. Et je fais quoi ? Je me trompe parce que j'y vais un petit peu trop au talent, et donc j'oublie un tableau de mesure où je mets deux fois le même. Le code de réduction du gang, j'oublie de l'activer. Enfin, ce genre de choses, parce que moi, je n'ai pas de procédure, tout est dans ma tête. Si on me met une procédure, je ne vais pas la suivre. Voilà, ça ne sert à rien de me faire des super procédures, je ne les suis pas. je suis pas la fille qui suit les modes d'emploi, tout ça, tout ça, sauf pour sa machine à coudre, ça quand même. Et en fait, il y a des gens qui sont meilleurs que moi pour ça. Donc moi, je vais écrire le texte de base, donc ce qui va être dedans, je l'aurai écrit. Mais par contre, le planifier, mettre les bonnes choses aux bons endroits, tout ça, mettre les bonnes photos, les bons prix, etc., moi je fais toujours bien une erreur quelque part, simplement parce que j'ai été trop vite, et surtout, je suis pas... Voilà, je suis... Alors, ça fonctionne, mais quelqu'un d'autre peut le faire à ma place. Or moi j'ai plus de valeur à aller générer de la valeur à d'autres endroits, faire d'autres shootings. J'ai plein, plein, plein, plein d'idées que je peux faire. Et donc ça, je délègue. Donc ça, c'est un de mes objectifs aussi, de me dire, OK, est-ce que demain, Clafoutis peut vivre sans moi pendant deux mois ? Là, pour le moment, ce serait trop compliqué, mais si j'ai réussi ça fin 2025, quitte à ce que je sois à distance, parce que j'ai envie de pouvoir le faire aussi, de faire un beau voyage et donc de pouvoir travailler à distance pendant deux mois, est-ce que ça fonctionne ? On verra bien. Donc ça, c'est mon objectif. on en parlera après Enfin, on parlera fin de l'année, voir si j'ai réussi. Je reprendrai ce podcast et je me dirai, oula, ça j'ai raté. Ouh, ça j'ai réussi. Ouh, ça je ne m'y attendais pas. Et donc, conclusion, l'année 2025, c'est une année où je vais m'autoriser à me disperser. Parce que Clafoutis est mis en place, tout est relatif, évidemment. Mais en tout cas, le gros des vagues est passé. Le déménagement, le deuxième déménagement, le troisième déménagement, le lancement de l'application, etc. La stabilisation de l'équipe, tout ça. En fait, c'est fait. Et donc, il y aura toujours des trucs qui vont arriver. Mais le lancement de nos propres collections de tissus, tout ça, ça s'est fait. Et donc, il y a encore plein, plein, plein de choses à faire. J'ai encore plein d'idées dedans. Mais je veux vraiment me focaliser, moi, sur les projets, les idées, la créativité. Et pouvoir déléguer le reste. Et donc, je m'autorise à me disperser toute l'année 2025 pour trouver plein d'idées. Parce que plus je fais ça, plus j'écoute des podcasts, des podcasts. J'ai des idées, mais... Mais dans tous les sens, j'ai des idées géniales et j'ai des idées de merde, mais pour pouvoir avoir une idée géniale, il faut avoir 42 idées complètement débiles et complètement pas possibles ou complètement ratées ou c'est pas le moment, enfin j'en sais rien, mais faut pas se dire, ah non moi je vais pas faire, je vais pas bouger, je vais pas essayer des trucs, je vais pas me renseigner parce que ça sert à rien, ce sera probablement pas une bonne idée. Bah oui, évidemment que ce sera probablement pas une bonne idée, vous croyez que j'ai eu combien d'idées avant de lancer Clafoutis ? Plein ! J'ai passé, je voulais que ce soit dans la couture, mais j'ai passé un temps. dingue, un temps infini à surfer à gauche, à droite, à essayer de comprendre le truc, etc. Et je me suis formée. À un moment donné, je suis devenue experte de mon marché. Évidemment, expert, c'est juste la personne qui connaît 90%, 90% de plus que les autres. Enfin, qui connaît plus que 90% ou 90% du reste de la population. Donc, expert ne veut pas dire qu'on a un bac plus 5 en couture. C'est pas du tout ça. Mais par contre, je savais dans quoi je m'engageais. Plus ou moins, en tout cas. Et donc ici, ce que je veux faire, c'est, ok, je me permets d'ouvrir des portes. Je vais ouvrir des portes, ouvrir des portes, ouvrir des portes. Du coup, fermer la porte. Fermer, fermer, fermer. Partir de manière ultra enthousiaste sur un sujet. Et puis, ah bah non, finalement, ça ne s'est pas fait. Je me laisse faire. Et donc, je vais vous parler de choses de manière ultra enthousiaste, comme je vous ai dit. Surtout en story. Mais en fait, au final, je ne les ferai pas. C'est ok. C'est complètement ok. Je veux aussi vous parler de beaucoup de bouquins, j'ai vraiment envie de reprendre la lecture, même si le podcast, il n'y a rien à faire. nous permet de faire deux choses en même temps et donc surtout de combler les temps morts où le cerveau n'est pas obligatoirement utile. Quand je conduis, je peux très bien écouter un podcast, c'est beaucoup plus intéressant. Ce que j'ai envie de vous inspirer et pourquoi est-ce que je vous fais un podcast de presque une heure pour vous parler de mes objectifs de 2025, de nouveau, ce n'est pas pour raconter ma vie. Vous savez bien que je ne passe pas mon temps à raconter ma vie, ce que j'ai mangé, ce que fait ma fille, etc. J'ai quand même, en parlant de ma fille, un très gros objectif qui est un objectif d'instruction à domicile. Et donc qu'elle puisse, enfin à domicile, en famille. et donc qu'elle puisse voyager beaucoup plus avec nous et qu'elle puisse vivre plus avec nous. Pour le moment, elle est dans une école alternative, elle y va trois jours semaine, mais elle y va pas tout le temps. Le reste du temps, ne vous tracassez pas, elle est pas mise devant un écran. Donc elle fait des trucs aussi bien là-bas que chez nous qui sont ultra intéressants. Donc elle est en contact avec des enfants tout le temps. Cette nuit, elle dormait chez nos voisins et puis elle est restée chez nous toute la journée. Ils sont pas scolarisés non plus, vous voyez. Entourez-vous de gens, là, je l'ai pas fait exprès, même si je l'avais rencontré juste avant, la dame qui vient de... de construire en face de chez nous, parce qu'on avait des enfants du même âge et qu'on avait la même optique d'instruction en famille, elle le fait chez elle, moi je fais de manière hybride. Et donc ce que je veux vous inspirer ici, c'est je ne savais pas, il y a 4 ans, que je pouvais construire la vie que j'avais aujourd'hui, mais je l'ai quand même écrit. Je veux tel revenu, je veux être libre de mes mouvements, je veux être libre de mes horaires. Est-ce que je suis libre à 100% ? Non, les portes ouvertes, je suis là. Mais j'ai quand même une liberté dingue. Il fait chaud, j'ai envie d'aller au soleil, je vais le faire. Oui, je vais travailler le soir, mais c'est ma liberté, j'ai choisi ma contrainte. Personne ne me dit... Maintenant, tu vas faire ça. Jamais. Moi, c'est quelque chose qui ne me convient pas bien. C'est pour ça que j'essaie de laisser beaucoup de liberté aussi dans l'organisation du travail des personnes qui travaillent avec moi, même si des fois, on me demande un peu plus de cadre, mais j'essaie aussi de donner beaucoup de liberté. Et donc, ce que j'ai envie de vous inspirer, c'est de vous dire, c'est quoi vous, vos intentions pour 2025 ? Pas en mode bonne résolution, on n'est plus en janvier, c'est bon, c'est fait. Mais qu'est-ce que vous avez vraiment envie d'aller explorer ? Où est-ce que vous vous laissez de la latitude pour aller explorer des nouvelles choses ? Comment est-ce que vous allez faire ça ? Et donc, je vous pose la question. N'hésitez pas à, évidemment, me le dire en commentaire des vidéos, en message privé sur Instagram, etc. Ou éventuellement sur Facebook, mais je les vois moins. C'est plus Natacha qui les voit, je les vois plus sur Instagram. Donc dites-moi, qu'est-ce que vous vous autorisez à explorer ? Moi, je m'autorise à explorer le côté santé. Je m'autorise à explorer les distributeurs automatiques. pour finalement peut-être ne pas les faire, mais ça m'étonnerait parce qu'il y a quand même des contrats qui sont déjà signés. Et je m'autorise à explorer les finances personnelles pour après pouvoir prendre des meilleurs choix. Et dernier point, je m'autorise à explorer tout ce que je peux tester, d'automatiser, de déléguer correctement dans Klafoutis pour que ça reste bien fait, que ce soit efficace, que ce soit confortable pour la personne qui a cette tâche, qu'elle ne soit pas dépendante de moi, c'est-à-dire, et qu'on puisse avancer comme ça et toujours proposer des super beaux tissus dans Klafoutis et continuer avec des super beaux patrons. Donc voilà. J'ai été plus que complète, j'ai dépassé ma demi-heure, je dois aller chercher ma fille, ça ne se dit pas dans un podcast, mais en fait, la réalité d'une maman qui entreprend, c'est ça, c'est que je regarde l'heure depuis tout à l'heure, et que je dois maintenant aller la chercher. Donc je vous laisse, je vous laisse me donner plein d'étoiles, parce que vous savez bien que c'est ça qui est super important pour un podcast, donc si vous n'êtes pas encore abonné, s'il vous plaît, venez-vous. si vous n'avez pas encore mis d'étoiles, mettez plein d'étoiles et on se retrouve pour le prochain épisode à très bientôt

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Vous vous sentez tiraillé.e entre plusieurs envies ?
Un projet vous stimule, mais l’autre vous appelle aussi ?
Et si le problème, ce n’était pas le fait d’avoir trop d’idées… mais de croire qu’il faut absolument en éliminer 90% pour être "sérieux/sérieuse" ?


Dans cet épisode solo, je vous partage mes objectifs (très concrets) pour 2025. Pas pour que vous copiiez mes choix mais pour vous montrer qu’on peut avancer sans tout trier, sans tout figer, et sans forcément se mettre dans une seule case.


Au programme de cet épisode :


  • Peut-on vraiment réussir en testant plusieurs projets à la fois ?

  • Comment je transforme un bâtiment vide en business alimentaire semi-automatisé ?

  • Pourquoi j’ai (enfin) décidé de prendre mes finances en main ?

  • Comment trouver un équilibre entre vision long terme et envie de fun ?

  • Qu’est-ce qui se passe quand on arrête de vouloir être "parfaite" ?

  • Et pourquoi s’autoriser à explorer, c’est souvent le meilleur plan ?


🎧 Si vous avez vous aussi 1000 idées, un cœur qui déborde de projets, mais un mental qui vous dit “fais un vrai choix”... cet épisode est pour vous.


🔗 Pour aller plus loin :

Retrouvez mes stories du quotidien ici : @stephanie.bovy
🛍️ La marque de bijoux (en pause, mais à -30% 😅) : korail.shop
🎙️ Abonnez-vous au podcast et laissez plein d’étoiles ⭐ : ça m’aide vraiment à faire connaître Kroissant
📬 Un retour, une question, un mot doux ? Dites-moi tout sur Instagram !


Kroissant, c’est le podcast qui explose vos croyances limitantes et vous inspire à transformer votre vie grâce à un mindset positif et des outils concrets. 🎙 À travers des histoires inspirantes et des échanges authentiques, on vous motive à passer à l’action pour atteindre votre plein potentiel et vivre une vie épanouissante. Que vous soyez en quête de croissance personnelle, d’un nouvel épanouissement professionnel, ou simplement d’une bonne dose de motivation, chaque épisode vous pousse à travailler sur vous et à avancer un pas après l’autre. Ici, on partage des galères, des victoires et des conseils réels pour créer une vie extraordinaire, loin des clichés et des conseils à 2 balles. 🌟


Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

Transcription

  • Speaker #0

    Coucou tout le monde, j'espère que vous allez super bien, ici tout va vraiment magnifiquement bien. J'avais envie de faire de nouveau un podcast solo, vous allez peut-être vous dire mais elle n'a plus d'invité, alors si si, mais j'ai vraiment plein plein de choses à vous raconter en solo et donc je prends le temps ici de vous l'expliquer. Vous l'avez peut-être déjà vu en story sur mon compte privé, donc Instagram, @stephanie.bovy, où là je parle, parfois pas du tout, ça dépend du temps que j'ai, et parfois vraiment beaucoup, et désolé à Natacha, qui travaillent avec moi et qui s'amusent à sous-titrer toutes les vidéos. Quand je dis s'amusent, voilà, parfois c'est Célim aussi. Désolée à eux parce que quand je fais des balades, en général je fais des stories beaucoup trop longues, mais voilà, tant pis. J'avais envie de vous parler, alors j'avais fait il y a quelques mois, une rétrospective de 2024. Aujourd'hui, j'ai envie de vous détailler, alors détailler peut-être pas, mais mes objectifs pour 2025 parce qu'il y a vraiment eu beaucoup de changements dans ma tête et je ne vais pas beaucoup parler de Klafoutis. Parce que forcément, j'ai toujours des objectifs dans Klafoutis. Mais ici, ce n'est pas vraiment de ça dont j'ai envie de parler. J'ai envie de parler des projets annexes. Vous avez peut-être compris que je n'étais pas tout à fait capable de rester dans un seul projet à la fois. Et en fait, là où avant, ça me dérangeait un petit peu parce que ça ne rentre pas trop dans les cases. Ou alors, on se prend des remarques sur le fait de se disperser. Remarques qui sont parfois tout à fait pertinentes. Sauf qu'en fait, moi, j'ai besoin de me disperser pour arriver après à un moment donné. à aller vers ce que j'ai envie de faire, et j'ai besoin d'avoir plusieurs projets en même temps, je ne pense pas être capable d'en avoir qu'un seul. Donc j'assume, il ne faut pas en avoir cinq en même temps, ce n'est pas une bonne idée non plus, mais vous allez voir qu'il y en a quand même quelques-uns qui vivent en parallèle dans ma tête, mais comme je dis toujours, il y a beaucoup d'onglets en parallèle dans ma tête, donc je vais vous en détailler quelques-uns. L'objectif, ce n'est pas de vous raconter ma vie, parce qu'en soi, on s'en fout. L'objectif, c'est que vous puissiez rentrer dans ma tête d'une personne qui, je considère, est très active. et qui réussit des trucs et qui emplante d'autres, mais en tout cas qui a vraiment envie de s'améliorer dans plein de domaines, et notamment cette année dans le domaine financier, parce que c'est quelque chose que j'ai complètement laissé de côté depuis des années, et en fait ce n'est pas une bonne idée, je suis en train de me rendre compte que ce n'est vraiment pas malin, donc je vais vous expliquer un petit peu ma pensée par rapport à ça. Deuxièmement, le domaine de la santé, parce que je n'ai jamais fait d'énormes catastrophes, mais je n'ai jamais fait d'efforts plus que ça à part faire un peu de sport, l'année passée surtout. Donc il y a quelques sujets sur lesquels je vais revenir. Et troisièmement, l'entrepreneuriat, parce que là, je sens que la footie, ça fait quatre ans et donc il y a un côté un petit peu installé. Alors on n'est jamais installé. Tout peut se planter du jour au lendemain. D'ailleurs, 2025 est un petit peu plus dur que 2024. Mais voilà, ce n'est pas non plus l'enfer. Et donc forcément, ça demande de l'attention. Mais il y a quand même, j'ai un peu l'impression d'avoir mis en place... place quelque chose pendant 3-4 ans et que maintenant on commence à récolter le fait que ça tourne les équipes elles sont formées, elles sont autonomes, et donc Clafoutis ne peut pas pour le moment se passer de moi parce que j'ai certains rôles dedans qui ne sont pas délégués, mais il y a quand même franchement plein de choses pour lesquelles on n'a pas besoin de moi, et ça me laisse aussi beaucoup plus de liberté pour organiser mon temps et je ne suis pas non plus obligée d'être tout le temps sur place, etc. Enfin l'équipe n'a pas besoin de me voir toutes les deux heures pour voir Pour faire en sorte que ça tourne, quoi, il n'y a pas besoin. Alors, je vous emmène un petit peu dans mes coulisses de cette année, une année où je décide de me mettre en action. Alors, vous pourriez rire en me disant, mais elle se met tout le temps en action, la fille. C'est vrai, mais je me mets ici en action dans des domaines pour lesquels je ne me suis pas encore vraiment assez mise en action, d'accord ? Tout en conservant, évidemment, ce qui est mis en place, c'est-à-dire que la foutue. Et donc, je veux aussi vous parler de quelques objectifs un petit peu plus personnels. Ça, je reviendrai plus tard dedans, dans l'épisode, parce que... Il y a certaines choses que j'ai envie de pouvoir réussir et qui dépendent de comment j'arrive à organiser ma vie professionnelle. Mais ça, petit spoiler, non pas encore justement de petit spoiler maintenant, je vous en parle un petit peu plus loin dans l'épisode. Donc, je vais vous parler d'objectifs dans un certain ordre. L'ordre est assez aléatoire, il n'y en a pas un qui prime sur les autres. Je vais essayer de tous les faire en parallèle, voilà, sans chercher la perfection. Premièrement, je vous l'ai expliqué en story récemment et je vais en parler de plus en plus. j'ai ce bâtiment à Fléron, qui a abrité Klafoutis, donc c'était notre deuxième bâtiment, donc là on est dans le troisième, et là je compte plus bouger. On a eu une première boutique de 100 m² que je louais, on a eu une deuxième boutique de 250 m² que, j'ai toujours j'ai fait la boulette de l'acheter, mais je suis en train de revenir sur ce que j'ai dit pendant un an. Et, troisièmement, on a ce bâtiment maintenant dans lequel je suis ici, à Barchon, qui est vraiment beaucoup plus grand, où là on a 800 m². 400 m² d'entrepôt et 400 m² de bureau. Bon, le deuxième bâtiment, on n'arrive ni à le vendre, ni à le louer. On n'a, je crois, pas mis l'énergie nécessaire, mais vraiment, en fait, c'est bloquant. Ce n'est pas une région dans laquelle il est facile pour le moment de louer et d'acheter. C'est un bâtiment qui nous convenait très, très bien à nous, Klafoutis. C'était génial, le bâtiment était génial, mais est devenu trop petit. Et donc, à un moment donné, on a dû bouger. Et donc, lors d'une discussion avec mon mari, on s'est dit, en fait, j'avais déjà pensé à l'exploiter. Je me suis dit, j'ai déjà un job qui est bien prenant. Il me dit, écoute, chance, malchance. Je vais vous réexpliquer la petite anecdote de chance, malchance et passer de deux minutes si jamais je vous l'ai déjà expliqué. Chance, malchance. En fait, peut-être qu'on ne devait pas le louer ni le vendre parce que clairement, on allait le vendre à perte. Pas forcément en perdant de la valeur sur le bâtiment, mais en perdant le fait qu'on ait mis les frais de notaire dedans et que j'ai quand même fait des travaux un petit peu dedans. Donc, ce n'était pas génial non plus de le vendre. On l'a utilisé pendant un an, il n'a pas pu prendre de valeur. Ce n'est pas possible. Donc, en tout cas, on ne l'a pas acheté pour le transformer tellement qu'il est pris de la valeur. Donc, l'histoire de chance-malchance, d'abord, et puis je vous explique ce qu'on compte en faire, c'est que vous avez un paysan. Donc, il a des terres, il a un fils. Et il a un magnifique étalon. Et donc, les villageois lui disent toujours « Ah mais t'as de la chance avec cet étalon ! » Et puis, on vient... Alors, je modifie probablement un peu l'histoire à ma sauce, c'est une histoire très connue, voilà. Et puis, quelqu'un vient pour lui acheter son cheval et lui propose une énorme somme. Ce à quoi il répond « Non, moi c'est mon cheval, je le garde. » Les villageois lui disent « Mais enfin, c'est quand même bizarre de pas le vendre, il vaut énormément. » Bon, ok. Un jour, ce cheval s'enfuit. Et donc les villageois viennent près de lui, lui disent mais t'as vraiment pas de chance, ton cheval s'est enfoui alors que t'aurais pu le vendre hier, voilà. Ce à quoi le paysan répond, chance, malchance, qui sait. Le cheval revient quelques semaines plus tard et il revient avec un troupeau complet de chevaux sauvages magnifiques qui ont énormément de valeur. Le paysan les accueille bien évidemment et se retrouve avec plusieurs chevaux. Les villageois viennent le voir et lui disent mais enfin t'as énormément de chance, t'as vu ton cheval qui était parti, il est revenu et de... Là, tu as plein de valeur dans tes chevaux, bon. Ce à quoi le paysan répond, chance, malchance, qui sait ? Son fils, son unique fils, veut débourrer un de ses chevaux sauvages, tombe de cheval et se casse la jambe. Les villageois donc reviennent voir le paysan et lui disent, mais tu n'as vraiment pas de chance, ton unique fils qui ne va plus pouvoir t'aider au champ, comment est-ce que tu vas t'en sortir ? Ce à quoi le paysan répond, chance, malchance, qui sait ? Quelques jours plus tard, débarque l'armée. qui vient chercher un fils par famille pour aller se battre contre, voilà, un peuple, quel qu'il soit, peu importe. Et là, les villageois reviennent et disent aux paysans, « Mais t'as vraiment de la chance, ton fils qui s'est cassé la jambe, il ne va pas pouvoir partir. » Ce à quoi le paysan répond, « Chance, malchance. » La morale de l'histoire, c'est, on ne sait jamais si quelque chose qui nous est arrivé est une chance ou une malchance. Et je vous ai déjà parlé aussi plusieurs fois de, j'allais dire ma philosophie, mais rien du tout, c'est pas ma philosophie, de la philosophie en laquelle je crois. du cadeau caché. Dès qu'il nous arrive quelque chose de désagréable, voilà, il y a un cadeau caché, quel qu'il soit. Parfois, on ne le voit pas, mais on peut souvent décider de le voir. Tout ça pour dire, si ce bâtiment n'est pas loué, ça fait 9 mois, donc que Klafoutis a un bail commercial avec ce bâtiment qui est vide. Donc, Clafoutis paye un bâtiment vide, ne sachant pas en sortir. Qu'est-ce que ça dit ? Ça dit peut-être qu'on doit l'exploiter. Peut-être, et peut-être pas, et peut-être qu'on se plante, et ce n'est pas grave, mais pour le moment, ce qu'on s'est dit, ce n'est pas grave, on va l'exploiter. Alors, quelles sont nos conditions ? Moi, mes conditions, c'est je ne mets pas de personnel là-dedans. Donc, je n'ai pas envie de devoir gérer des équipes de personnel, de devoir, voilà, le bâtiment est un petit peu trop bas dans la rue pour recevoir vraiment des clients, ou alors il faut vraiment être un magasin de destination comme Klafoutis, où les gens, c'est une niche, les gens savent où ils vont, ils nous ont connus par Internet et pas par le passage, etc. Je n'ai absolument aucune envie de recréer un deuxième clafoutis. Je n'ai pas assez, ce n'est pas possible. Pas quelque chose de passion comme ça qui prend au trip et qui veut dire que ça me demande aussi tout mon temps et tout mon espace de cerveau disponible. Je ne fais pas ça une deuxième fois avec Klafoutis qui est là. Ce n'est pas possible. En tout cas, ce n'est pas mon choix. Ou alors, il faudrait que je mette quelqu'un à la gestion de clafoutis. Non, non, je ne fais pas ça. Donc, deuxième option, on loue ça. On transforme et on loue ça de manière événementielle ou pour des entreprises, etc. Et on n'a pas vraiment trouvé ce qui pourrait vraiment nous correspondre. On a bien une idée, mais elle est arrivée aujourd'hui. C'est Mela qui m'en a parlé. Apparemment, elles en avaient déjà parlé avec les filles. Je vais vous en parler juste après. Donc, c'est possible qu'on fasse ça, mais là, j'ai eu juste l'idée aujourd'hui. Troisième option, on crée un local commercial, mais complètement automatisé. Là, ça nous amuse déjà un peu plus. Il y a ce côté fun qui est derrière. Moi, j'ai un profil qui est très lié au fun, au fait de s'amuser. Et donc, je ne peux pas trop faire des projets. Je ne vais pas travailler l'argent pour l'argent. Par contre, si gagner de l'argent devient un jeu, je peux le faire. Mon mari, lui, ça l'intéresse d'être plus analytique. d'être plutôt axé sur la technique, etc. Or, là-dedans, il y a clairement de l'analyse et il y a de la technique à mettre en place. Donc lui, ça l'amuse. Moi, j'adore dans Klafoutis faire les achats, trouver des bonnes choses, des bons produits et donc des bons tissus ici, de qualité, etc., qui sont beaux. Et donc, je passe énormément de temps dans Klafoutis à faire les achats. Et donc, c'est quelque chose qui me plaît vraiment beaucoup. J'aime aussi faire de la communication. Je suis en train d'en faire ici dans Kroissant sous une autre forme, mais c'est quelque chose qui me plaît aussi. Mais en même temps, je ne peux pas commencer à faire des heures et des heures de création de contenu pour autre chose que Klafoutis que j'ai déjà et que Kroissant que j'ai déjà. Et que Korail que pour le moment j'ai mis en attente. Donc le site fonctionne toujours, tout est à moins 30%, donc si jamais vous voulez le vider, je vous en prie. Et on va peut-être rapatrier quelques bijoux vraiment coup de cœur sur Klafoutis. Mais voilà, pour moi, je ne veux pas dire que c'est un échec, mais c'est quelque chose dans lequel je décide de ne plus investir d'énergie. pas que c'était pas rentable parce que c'est tout à fait rentabilisable, mais j'ai pas la passion derrière, j'ai pas le feu derrière, donc en fait, voilà, je mets ça de côté pour le moment, ce n'est pas ma priorité. Donc, par contre, j'ai appris beaucoup de choses et j'ai pas perdu d'argent, donc tout va bien. Je reviens à notre idée. Donc, on n'est pas... Nos critères, ça doit être automatisé. On sait que c'est jamais de l'automatisation à 100%, je suis bien au courant, d'accord ? La première chose à laquelle on pense quand on pense automatisation, enfin commerce automatisé, on pense aux laveries. Pourquoi pas, sauf qu'il y en a une juste à côté. Donc, on ne va pas aller créer une laverie juste à côté d'une laverie. Quand je dis juste à côté, c'est trois bâtiments à côté. Donc, on est vraiment, vraiment, ce serait exactement les mêmes clients. Et donc, qu'est-ce qu'on va faire ? Une guerre des prix ou une guerre par l'ambiance ou la technologie, j'en sais rien. On ne voit pas l'intérêt. Donc, voilà. Autant deux boulangeries dans la même rue, je n'ai pas trop de soucis. Autant deux laveries, voilà, pas trop d'intérêt. donc ça on oublie Qu'est-ce qui nous reste ? Alors, il nous reste tout ce qui est distributeur automatique. Oui, très bien. D'ailleurs, on va partir là-dedans. Comme ça, vous le savez. Donc, c'est clairement quelque chose qu'on va développer. Mais j'ai 250 m² pour mettre des distributeurs automatiques. Alors, je peux remplir un local de 250 m² de distributeurs automatiques. Alors, on est plus sur un supermarché automatisé. Je ne pense pas que ce soit le bon local, le bon emplacement pour faire ça. Et je n'ai pas tellement envie d'aller investir 400 000 euros de machines. voilà dans en plus une région où il y a déjà beaucoup de supermarchés, donc je vois pas trop ce qu'on va pouvoir venir apporter, enfin voilà. Et puis ça veut dire de nouveau avoir quelqu'un sur place très régulièrement pour remplir tout le temps, si jamais il y a plein de gens, enfin non. Par contre, l'avant du magasin, qui est plus étroit et assez long, et puis alors, donc on a une entrée de 4 mètres de large sur une dizaine de mètres de long. Et puis, on a une sorte de grand carré, 200 mètres carrés, de 10 mètres sur 10 mètres, plus ou moins. Donc, l'entrée, les 4 mètres de large sur 10 mètres de long, là, on va l'exploiter commercialement. C'est-à-dire qu'on va venir mettre des machines. Au début, on va mettre trois machines. On va se laisser la possibilité de pouvoir en mettre plus. Comme ça, si on veut en rajouter une ou deux en plus, après, il n'y a pas de souci. Ce n'est peut-être pas forcément l'objectif, mais c'est possible. Et on va venir aussi rajouter dans cet espace. des lockers. Donc on a une entreprise qui va mettre des lockers dedans, je ne dis pas encore vraiment tout, mais il y a un contrat qui est déjà signé et on essaye d'en mettre d'autres. Pourquoi ? Parce qu'en fait, les lockers, ils vont venir générer d'eux-mêmes de la visibilité parce que les gens trouvent où est le locker le plus proche et donc forcément, c'est des gens qui sont dans la région, ils vont venir dedans et ils vont voir qu'il y a des distributeurs. Donc potentiellement, ce sont des clients Alors, je donnerai des chiffres un jour quand les chiffres seront avérés. Donc là, j'ai des chiffres de projection, de ce que disent les entreprises de Locker, etc. Mais je ne vais pas le dire ici parce que tant que je n'ai pas les vrais chiffres, je ne fais pas ça. Donc, sinon, je vais vous donner des... Enfin, voilà, non, ça, ce n'est pas correct. Donc, je vous donnerai des chiffres, bien sûr, parce que l'objectif n'est pas de cacher des choses. J'ai vraiment envie de vous emmener avec moi dans ce projet parce que ça m'amuse aussi. Mais voilà, il y a des projections qui ne sont que des projections. Pareil pour les projections de vente des distributeurs. Je ne peux pas vous dire aujourd'hui si ça va marcher à cet endroit-là. Il y a moyen de faire fonctionner des distributeurs si c'est bien fait. Ça dépend de l'emplacement et de la communication autour. Donc là, on le teste là-bas. Donc ça, c'est pour la vente du magasin. L'objectif, c'est aussi de pouvoir diversifier les sources de revenus. À un moment donné, si on se dit qu'il y a pas mal de gens qui passent, et donc ça peut être intéressant pour les commerçants de la région qu'il y ait une publicité qui puisse tourner, même pour les gens qui rentrent, le temps qu'ils attendent, etc. Même s'ils ne vont pas attendre longtemps, ça peut être intéressant, même avec des promos pour les commerçants alentours, tout ça. Donc le but, c'est de s'intégrer dedans et on ne vient embêter personne. Au contraire, on vient mettre en avant certains commerçants. Pourquoi est-ce qu'on ne ferait pas du revenu publicitaire à ce moment-là ? Donc ça, c'est une possibilité. Clairement, ce n'est pas ce qui va être mis en premier parce que pour ça, j'ai besoin de savoir combien de personnes rentrent dans la boutique et si ça a un intérêt. Et donc forcément, les premières semaines et les premiers mois, on sera toujours en période d'expérimentation. Mais pourquoi pas ? Là, je vais jouer sur la rentabilité parce qu'on est sur quelque chose qui est beaucoup plus automatisé. Mais ce que je veux faire absolument, c'est qu'il y a deux choses. Il y a premièrement, c'est absolument pas rentabilisable de n'avoir que ces trois distributeurs-là. C'est techniquement pas possible parce que moi, ça doit absorber mon coût de bâtiment. Donc j'ai des coûts fixes qui démarrent haut. Alors certes, le bâtiment m'appartient. Il appartient à ma société immobilière. Société immobilière que je détiens à moitié avec mon mari. et donc ce bâtiment fait partie de la société immobilière. C'est le seul bâtiment de la société immobilière pour le moment. Par contre, un de mes objectifs de vie dont je vais parler tout à l'heure, c'est d'augmenter le patrimoine de cette société immobilière. Mais pour ça, j'ai besoin que le premier, il se paye déjà. Parce qu'on ne va pas aller nous prêter pour un deuxième alors que le premier, on est en train de le payer difficilement. Difficilement, non. La banque ne le voit pas, mais moi, ça doit sortir de clafoutis. Donc, ces trois distributeurs-là, mathématiquement, même s'ils fonctionnaient très bien, ne serait pas suffisant pour, à mon sens, couvrir la totalité du bâtiment. Par contre, ce que je me vois faire, et de nouveau, je suis en train de vous parler à un moment T, me connaissant, dans trois semaines, j'ai sûrement changé les plans, et puis encore après, encore après, de toute façon, le projet initial n'est jamais le projet final. Il a déjà changé plusieurs fois, maintenant, le côté distributeur automatique, ça se concrétise, le côté locker, ça se concrétise aussi, on sait ce qu'on doit faire comme travaux, etc. Il y a déjà des contrats signés, donc ok, ça on sait qu'on le fait. Maintenant, vraiment, la forme du projet pourra encore changer. Mon objectif après, c'est de déployer. Et donc, d'avoir un maximum, un maximum, on se comprend, mais d'avoir de très bons emplacements pour les machines. Et donc là, ça va prendre vraiment, par contre, beaucoup de temps, beaucoup de réseaux et vraiment faire comprendre aux gens, etc. L'intérêt. Je vais vous dire après ce que je vais mettre dans les distributeurs, ça c'est important. Et donc, de développer, d'avoir ce réseau. Et donc, ce que je vois, c'est que mon bâtiment de Fleron, certes, au début, sera un peu trop grand, mais par contre, après, je n'aurai pas besoin de déménager, parce que là, j'ai compris aussi dans Klafoutis, prendre des trucs trop petits, ça veut dire qu'on déménage beaucoup et ça coûte très cher. Donc, j'ai déjà un espace où je peux stocker des choses. Je n'aurai pas énormément besoin d'espace de stockage, donc les 100 mètres sera un peu trop grand, mais par contre, je n'aurai qu'un besoin de frigo pour pouvoir rassembler à un seul endroit, c'est de la logistique de base donc les denrées alimentaires et pouvoir les dispatcher dans les différents distributeurs. Évidemment, ce sont des denrées qui ne vont pas rester longtemps chez nous, à part évidemment tout ce qui est surgelé, qui peut rester un peu plus longtemps, et tout ce qui est snacks et boissons, qui forcément a une date de péremption qui est très lointaine. Mais il n'y a pas besoin d'avoir des énormes stocks d'avance, donc ça ne sert à rien d'aller bloquer des sous comme ça dans du stock. Et donc, qu'est-ce qu'on va mettre dans ces distributeurs ? A priori, d'accord, c'est vraiment a priori, évidemment de la boisson. mais on va aller chercher alors oui on va mettre du coca parce qu'à un moment donné même si je suis très anti-coca oui on va mettre de l'Ice Tea mais je voulais aussi aller chercher d'autres boissons beaucoup plus intéressantes soit parce qu'elles sont locales je crois qu'il y a un nouveau coca qui vient de sortir qui s'appelle Paola, un coca liégeois donc vraiment ultra local soit parce qu'elles sont bien plus saines bien plus sympas pour la santé comme du kéfir, du kombucha et ce genre de choses On est près d'une salle de crossfit, on est près d'un club sportif, etc. Donc voilà, ça peut valoir la peine. Il y aura des snacks. Évidemment qu'il y aura deux, trois snacks classiques. Voilà, les sneakers, a priori, c'est quand même un truc assez classique. Mais l'objectif, ce n'est pas du tout de se focaliser là-dessus. C'est vraiment de partir sur des snacks qui sont intéressants. Donc des snacks beaucoup plus, par exemple, les barres protéinées correctes. Ça, c'est vraiment cool parce qu'on est justement à côté d'une salle de crossfit. parce que... Les gens comprennent l'intérêt d'avoir une barre qui contient aussi des protéines et pas uniquement du sucre. Donc ça, c'est une possibilité. Donc on va partir sur ce genre de choses. On va partir sur des snacks ou des desserts plutôt frais aussi. Donc on a déjà plusieurs idées. Alors je ne vais pas te donner toutes les idées ici maintenant parce que tout doit être validé. Mais on peut partir sur du dessert frais. qui peut être très très bon, qui peut être très gourmand. Donc là, j'ai déjà plusieurs idées. Et on va partir aussi sur tout ce qui est plat de traiteur. Soit à manger directement, froid, soit à réchauffer. Et donc, moi, ce que je veux absolument faire avec, j'allais dire la marque, mais je la garde encore pour le moment, tant qu'elle n'est pas déposée. Alors, elle commencera par un K, évidemment. Ça, je peux déjà le dire. Ce que je veux faire, c'est vraiment aller chercher, non pas un gros grossiste où on trouve de tout et on peut trouver ça facilement, ... partout, non. Moi, je veux vraiment être une plateforme où je vais chercher des super bons artisans traiteurs, plutôt, dans leur domaine. Que leur domaine soit du sucré, du salé, peu importe. Vraiment trouver les meilleurs, sans être dans l'ultra haut de gamme non plus. On ne veut pas que le plat coûte le même prix qu'un resto, ça, c'est pas l'objectif. Donc, on va partir sur des prix moyens, voilà. Mais il y a moyen d'aller chercher vraiment... Vous savez bien. Vous achetez un plat de pâtes à un endroit, il est incroyablement bon. Il a peut-être coûté 2 euros plus cher, mais il est super bon. Vous achetez un plat de pâtes à un autre endroit, et c'est vraiment, c'est fade, ou c'est pauvre en garniture ou en sauce, etc. Donc moi, je veux vraiment qu'il y ait des plats pour lesquels je me dis, moi, j'ai trop envie de ce plat-là. Soit parce qu'il est assez sain, mais il reste très bon, soit parce qu'il est vraiment très gourmand, et qu'on est sur des bonnes pâtes à la truffe, par exemple, mais des bonnes choses. Et que ça tourne aussi, même si ça me demande plus de travail. Donc on est clairement... sur une entreprise qui est certes automatisée dans son processus de vente, mais derrière, il y a du boulot. Donc, il faut remplir les machines. Donc là, je compte mettre en place une équipe de personnes qui vont remplir les machines, plutôt des flexi-jobs, donc des gens qui ont déjà un boulot sur le côté ou qui sont jeunes retraités, et donc dont ce n'est pas le métier principal, parce qu'en tout cas, au début, il n'y aura pas du tout besoin de faire ça toute la journée. Il n'y a pas du tout assez de travail pour faire ça. Je vous expliquerai peut-être après comment on les finance, parce que là, on est en train de voir comment le faire. Sachant que ça a un coût, ces machines-là, donc c'est pas juste « oh tiens, on va acheter une machine » . Non, non, ça a un coût, on peut les prendre en leasing ou on peut les acheter, mais une machine comme ça, il faut compter que c'est plus ou moins, alors, entre 10 et 16 000 euros. Allez, peut-être entre 7 et 16 000 euros. Donc il faut les rentabiliser, enfin voilà, c'est pas juste « ah bah tiens, je mettrais bien un distributeur automatique » . Non, il y a toute la logistique derrière, il y a toute la chaîne du froid. Il y a tout le côté respect de l'hygiène alimentaire, donc l'AFSCA. J'ai de la chance d'avoir une meilleure amie qui travaille là-bas et donc qui peut m'aider à ce que tout soit vraiment nickel et elle sait exactement ce qu'il faut faire. Donc là, j'ai déjà eu pas mal d'informations parce qu'on veut que tout soit ultra clean. Parce que nous, on ne va pas louer les machines à des traiteurs, sauf s'ils demandent de mettre leurs propres machines. Ça, c'est possible, il y a la place. Mais par contre, on va nous-mêmes prendre en charge les achats et nous-mêmes prendre en charge le remplissage. Ça veut dire qu'on va aussi nous-mêmes prendre en charge les invendus. les DLC, donc les dates limite de consommation, etc. Donc, on en reparle dans quelques mois quand ça aura été lancé, pour voir si c'est gérable, pas gérable, si je dois changer, etc. Je ne sais pas. En tout cas, on démarre là-dessus. On verra comment on s'en sort. Mais j'ai vraiment envie qu'il y ait ce service ajouté qui est, on va vraiment vous chercher des super bons traiteurs, petits artisans ou même semi-industriels mais avec des trucs vraiment, qui sont vraiment très très bien faits, parce que c'est pas parce qu'il y a des machines ... que les ingrédients sont mauvais et que les personnes sont mauvaises, loin de là, ça peut être vraiment très très bon aussi. On va aussi peut-être mettre des fruits pour des agriculteurs, enfin les fraises à certains moments, voilà, ça peut être vraiment très très chouette, enfin ce genre de choses. On va aussi mettre des glaces aussi, ça j'ai pas dit, un frigo congélateur, et donc avec de la glace et avec certains autres produits glacés qui vont varier en fonction des saisons. Après la glace, on en achète en général toute l'année, plus que ce que je pensais, mais il pourrait y avoir aussi d'autres choses dedans, voilà. Il y a tout ce qui est aspect peint, ou là je ne sais pas encore, parce que vraiment ça demande du remplissage tous les jours. Ça demande à ce que ce soit fait aussi à une certaine heure, parce qu'on ne peut pas venir remplir à 17h. Ça ne sert à rien, il n'y a plus personne, demain il est plus bon. Donc ça, je suis encore un petit peu plus réticente, on va tester. Ou pas, on verra bien. Voilà, donc ça c'est un petit peu le projet pour l'avant de la boutique. L'arrière, alors j'ai 100 m². Mais là m'a donné une super idée, elle m'a dit fais une salle de danse et une salle de yoga etc. Donc tu mets des miroirs et tu mets une sono et tu la loues. Et bah franchement je trouve ça génial parce que là, il faut savoir qu'on a deux entrées indépendantes, donc sans vraiment faire de gros travaux, je dois mettre une porte à un autre endroit tout ça, je peux le faire. Donc ça c'est possible, il faut aussi se dire que je dois garder un espace de stockage pour mes denrées alimentaires, voilà, mais ça j'ai d'autres, j'ai un bureau devant. où là on va mettre vraiment un bureau, je dois pouvoir travailler de là-bas aussi, je dois pouvoir me partager entre les deux, même si je compte pas être là-bas trop souvent, mais parfois pour des livraisons etc, bref il faut quelqu'un, il faut une imprimante pour faire les tournées des livraisons quand il y aura plusieurs machines etc quand il y aura plusieurs machines, 2 secondes je vous parle d'objectif, je vous parle pas de ce qui va se passer en 2 secondes 30 c'est du boulot, ça fait des mois que je travaille dessus, peut-être, ouais si ça fait quand même 2-3 mois, et il y a encore vraiment beaucoup de boulot. Donc c'est du revenu passif ultra actif pour le moment. Donc voilà. Et donc je dois pouvoir mettre mon stock, que ce soit du congelé, que ce soit du frais, que ce soit du non frais, etc. On doit pouvoir faire ça. Voilà. Donc je me réjouis de lancer ce projet. On est vraiment absolument en plein dedans. On est dans tout ce qui est travaux, etc. Je vais essayer de... Enfin, je ne vais pas essayer, je vais vous garder avec moi, soit par des épisodes de podcast qui sont un petit peu... qui vous explique un petit peu l'état d'avancement. Je pense que ça peut être sympa. Et en plus, si vous le suivez, vous décidez, vous écoutez le podcast ou vous ne l'écoutez pas, mais vous suivez les aventures ou pas. Et en tout cas, je m'engage à le faire sur mon compte Instagram et ma page Facebook pour pouvoir vous montrer ça un petit peu. Peut-être aussi sur YouTube, on va voir. Donc ça, c'était le premier objectif qui a déjà pris une demi-heure alors que j'avais dit que je ferais un podcast d'une demi-heure. Bref. Mon deuxième objectif, je vais en parler moins longtemps, mais je veux prendre en main mes finances. Je me suis rendue compte que s'il nous arrivait quelque chose au niveau du couple, que ce soit une séparation, ça peut toujours arriver, que ce soit, heureusement, là on s'entend bien, mais franchement, ça peut vraiment arriver, que ce soit le décès de mon mari, même si on a des assurances par rapport à ça, donc le logement, etc., ça va, mais quand même, bah en fait, je ne suis pas si préparée que ça. Pareil pour ma pension, je suis indépendante, j'aurais vraiment rien, vraiment. Et donc j'ai toujours, j'ai beau créer 10 emplois, moi on me payera pas du tout ma pension, on me dira pas du tout merci après. Donc on me dira, ah mais t'as été indépendante, t'avais qu'à mettre de côté, etc. Comme si tous les indépendants gagnaient des milliards. Mais ok, mais du coup ça veut dire qu'à un moment donné je dois m'en occuper et pas, j'ai tendance à attendre de gagner plus. Mais non en fait, tu dois le faire maintenant ma fille. Donc je n'ai encore rien fait, à part que je commence vraiment à me former. Donc comment j'écoute... plein de podcasts sur les finances personnelles, sur l'investissement immobilier, etc. On est la moyenne des gens qui nous entourent. Vous vous entourez de personnes physiques, mais vous vous entourez aussi de personnes via les écrans, via ce que vous consommez en termes de contenu. Là, vous êtes en train de vous entourer de moi, parce que vous avez décidé de m'écouter, merci pour ça, mais ça veut dire que je suis en train de mettre des choses dans votre cerveau. Vous avez décidé qu'au lieu d'écouter quelque chose sur un sujet qui ne vous apportait peut-être rien, qu'au lieu... Alors j'espère que je vous apportais la valeur. qu'au lieu d'écouter de la musique, qui vous apportait peut-être de la très bonne humeur, ou pas, ça dépend, vous alliez écouter quelqu'un qui parlait business, qui parlait objectif, qui parlait aller de l'avant, qui parlait obstacle aussi, et qui parlait défi. Donc, les gens dont vous vous entourez influent sur ce que vous allez faire. Je vous promets que si vous écoutez pendant six mois des gens parler d'investissement immobilier, après six mois, vous allez faire de l'investissement immobilier. En tout cas, vous allez vous mettre en marche pour pouvoir le faire. C'est ce que je suis en train de faire. Je suis en train de me remplir la tête d'idées, d'histoires de personnes, surtout via les podcasts parce que c'est plus facile pour moi, parce que je peux marcher, courir, faire autre chose, conduire, que de regarder des vidéos où là vraiment, pour moi c'est plus compliqué. Ça me demande plus de temps, alors que les podcasts c'est génial, ça rentre dans les oreilles alors qu'on peut faire autre chose. Bref, je suis en train de me remplir, remplir, remplir, remplir de ça. Pour pouvoir acquérir le vocabulaire, pour pouvoir acquérir les bons questionnements qu'il faut, etc. Est-ce qu'à un moment donné, je m'offrirais une formation peut-être ? Je ne sais pas. En tout cas, là, ce n'est pas encore le moment parce que je ne sais pas encore exactement laquelle. Mais donc, mon point de départ, c'est que mes finances sont trop floues. Et pourtant, je ne me considère pas comme une grande dépensière. Alors, j'ai certains péchés mignons. Avant, c'était les tissus. Maintenant, du coup, j'ai créé une entreprise de tissus. Voilà, j'aime bien de bien manger. il y a des choses où ok je vais dépenser peut-être un peu plus que d'autres mais Ma voiture, elle a 10 ans. Je n'achète pas deux paires de chaussures tous les quatre matins. J'ai un bon manteau et puis c'est tout. Et encore, il n'était pas cher. Voilà, j'attends le patron de clafoutis de manteau. Et là, j'aurais des super manteaux. Je ne pars pas en vacances dans des trucs extravagants. Donc franchement, même en faisant ça, et en ayant un bon revenu, et mon mari a un bon revenu aussi, même en faisant ça, j'arrive... Alors, cette année, j'ai quand même... bien réussi à mettre de côté. Et j'ai commencé à investir. Donc j'ai investi plusieurs milliers d'euros de différentes façons. Je pourrais en parler dans un autre podcast, mais je ne suis pas du tout experte en investissement du tout. Donc voilà. Mais par contre, maintenant, il va falloir que ce soit pris en main sérieusement. Et donc, j'ai envie de tester de vivre sur un budget. « Live on a budget » , on dit en anglais. Ça se dit pas trop bien en français. Mais d'avoir en tout cas un budget, pas forcément à l'euro près, parce que j'ai peut-être pas envie de faire ça, mais en tout cas de me rendre compte de ce qui sort. Parce que je me rends pas toujours compte de ce qui sort. Et je crois que si je m'en rendais vraiment compte, il y a des trucs où je me dirais « Enfin, pourquoi t'as dépensé à ce moment-là ? Ça t'a rien rapporté, quoi. » Et donc il y a des choses que je m'empêche de faire pour le moment, notamment des voyages, parce que je considère que je n'ai pas assez de côté, je n'ai pas mis assez de côté j'ai mis beaucoup d'argent donc la foutue moi aussi Et donc, Klafoutis me doit de l'argent. Donc, ça, c'est aussi important de se dire, oui, je prends un salaire dans Klafoutis, mais Klafoutis me doit de l'argent. Klafoutis a une dette par rapport à moi, c'est-à-dire que ça s'appelle un compte courant gérant. Donc, ça veut dire que moi, j'ai prêté de l'argent à Klafoutis. Donc, on parle de plusieurs dizaines de milliers d'euros qui m'appartiennent, mais que je n'arrive pas toujours à sortir parce que quand on est en croissance, on a besoin de plus de fonds de roulement. C'est-à-dire qu'on a besoin de plus d'argent qui tourne dans la société. Et donc, on a beau être... rentable, que la foutue est rentable depuis toujours, je suis toujours rentable mais l'entreprise prend de plus en plus de cash parce qu'il y a un peu plus de stock parce qu'il y a eu des meubles, parce que tchik et tchak et donc les meubles il faut se rendre compte qu'on les amortit alors même s'il y a une partie que j'ai empruntée, j'ai un tout petit emprunt bancaire mais il y a quand même plein de choses que j'ai acheté cash j'aurais peut-être dû emprunter un peu plus et qui du coup s'amortissent dans ma comptabilité Merci. en plusieurs années, et donc diminue mon bénéfice d'une petite fraction, d'une fraction. Mais par contre, moi, c'est sorti de mon compte. Et donc, mon bénéfice a peut-être diminué de 1 000 euros. Un truc qui s'amortit sur 5 ans, chaque année, mon bénéfice diminue de 1 000 euros par rapport à cet investissement. Mais moi, j'ai sorti 5 000 d'un coup. Donc la trésorerie n'est pas forcément en corrélation avec la rentabilité. C'est sûr que quand on est super rentable, on a tendance à avoir plus de trésorerie, et que quand on est en perte, à un moment donné, on n'a plus assez de trésorerie, ok. mais ce n'est pas une relation directe et automatique. Bref, tout ça pour dire que je n'ai pas, à mon sens, une gestion de l'argent qui est suffisante, même si je ne suis pas là en train de le flamber, même si je ne suis pas endettée, ce genre de choses. Peu mieux faire, vraiment, peu mieux faire, surtout pour mon futur où là, peu mieux faire. Et donc, il faut que je décide et je n'ai pas envie d'aller sur des plans d'investissement à 2% par an, sauf si vraiment, fiscalement, c'est un peu plus intéressant. du 2% par an, on va me reprendre 25% à la fin, etc. Je pense qu'il y a vraiment mieux à faire que ça, quitte à avoir un peu plus de risques, certes, mais voilà, je pense qu'il y a quand même mieux à faire et à diversifier correctement. Mais je n'ai pas la formation pour le moment, je la cherche, je la prends, je la capte pour le moment énormément et donc j'apprends plein de choses. J'apprends surtout que je ne sais rien et que même dans un an, je ne saurais toujours rien, mais au moins je saurais assez que pour pouvoir prendre certaines décisions, décisions que je prends déjà, j'investis par exemple de manière automatique. Tous les mois, je crois que je suis à 200 euros, comme ça vous savez tout, tous les mois, 200 euros d'investissement automatique dans des ETF. Donc ce sont des groupements de parts d'actions, en général, je fais en ultra simple, qui permettent de diversifier au lieu d'acheter un peu d'Apple, un peu de Tesla, un peu de Microsoft, un peu de machin, un peu de choses, vous achetez un ETF qui les reprend tous. Pas besoin d'aller forcément sur des ETF qui reprennent les actions américaines, surtout pour le moment, mais je ne fais pas de conseil d'investissement. Je répète bêtement ce que j'ai entendu à gauche ou à droite, donc franchement, ne m'écoutez pas là-dedans. Mais il n'y a pas que ça, ce n'est pas forcément toutes les plus grosses actions du monde. Donc concrètement, qu'est-ce que j'ai mis en place ? J'ai commencé à investir, ça s'est fait depuis quelques mois. J'ai fait un tableau dans lequel je mets mes investissements. Et l'objectif, c'est de venir, peut-être pas tous les mois sur tous les investissements, mais peut-être tous les six mois, de dire « Ok, ça c'était ma valeur initiale, ça c'est ma valeur actuelle. » Attention que tant que ce n'est pas vendu, si c'est des ETF, c'est juste une valeur fictive. parce que parfois on se dit oh mais j'ai perdu 5% vous n'avez rien perdu, vous n'avez pas vendu donc si c'est pas vendu, c'est pas vendu donc ce que moi je compte faire c'est mettre ma valeur de portefeuille en comptant ce que j'ai mis dedans et ma valeur de portefeuille en comptant ce qu'il vaut aujourd'hui et de me dire bah voilà pour le moment j'ai pris x% avec ce que j'ai fait, je vais pas le faire détail par détail mais voilà, sur les différentes plateformes parce que j'ai de l'argent sur eToro, j'ai de l'argent sur Haken pas beaucoup, en crypto 1 000 euros de bitcoin, je crois. Et j'ai de l'argent sur Trade Republic, qui est ce que je préfère pour le moment. Si vous voulez un code de parrainage, je n'ai jamais fait ça, mais si vous voulez un code de parrainage pour Trade Republic, n'hésitez pas, vous m'envoyez un message privé et je crois que ça se fait et que du coup, vous gagnez un montant en ETF, un truc comme ça. Ça peut vraiment valoir la peine, c'est cool. Peut-être que... Quand je le dis, ce n'est plus le cas, mais je crois que si. Contactez-moi si jamais ça vous intéresse. Alors, ça, c'était l'objectif numéro 2, prendre en main mes finances. Aussi bien pour, avec quels objectifs ? Évidemment, avec, alors, je veux voyager plus. Pour le moment, si je voyage, je vais descendre dans l'épargne que je ne considère pas suffisante. Je veux augmenter mon patrimoine pour qu'un voyage ait moins d'impact sur mes finances à long terme. Pour ça, je vais développer les distributeurs automatiques qui ne sont pas mon job principal, mais qui sont censés générer du cash flow que je voudrais pouvoir utiliser pour augmenter mon patrimoine. En augmentant mon patrimoine, j'augmente mes revenus dits passifs. Les revenus passifs ne sont jamais passifs. Faites bien attention. Passif, ça veut dire qu'on n'est pas forcément au comptoir en train de vendre quelque chose. L'immobilier, c'est du revenu dit passif. Vous vous rendez bien compte que ce n'est pas 100% passif, qu'il faut aller chercher les loyers si on ne les a pas, il faut louer des apparts, il faut faire des travaux, etc. Plus tous les problèmes qu'on peut avoir. Donc quand je dis passif, attention, c'est juste en opposition au revenu actif d'être là au boulot de telle heure à telle heure. Donc mes objectifs sont... Je veux augmenter mon patrimoine, certainement pas uniquement pour augmenter mon patrimoine, mais pour moi je veux être la retraitée qui peut déjà prendre sa pension plus jeune si elle a envie, ou en tout cas fortement diminuer sa charge de travail si elle a envie. Je veux avoir cette liberté de faire le job que je veux, mais ça je l'ai déjà. Donc ça c'est fait, check. Je voulais atteindre un certain niveau de revenu, je l'avais noté, etc. il y a 4 ans, c'est bon j'y suis, donc je suis complètement libre par rapport à ça. Pas libre de ne pas travailler, c'est pas du tout un job de rentier, pas du tout, mais... Je suis libre de faire vraiment ce que je veux, j'adore ce que je fais. Et donc, objectif numéro un, augmenter mon patrimoine pour pouvoir me générer des revenus et faire en sorte que mes loisirs, mes vacances, que j'ai vraiment envie de faire beaucoup plus, j'ai envie d'aller vraiment faire des beaux voyages en prenant le temps de découvrir lentement des régions. Pas faire du shopping de voyage, là, comme ça, j'ai pas envie. Mais pour ça, il faut avoir le temps. Si je dois avoir le temps, ça veut dire que je peux lâcher mon boulot pendant X semaines pour pouvoir aller en profiter. Donc, il y a des choses à automatiser. Donc la foutue, il y a pas mal de choses qui me le permettent. Il va falloir que je fasse la même chose avec l'activité suivante. Premier objectif, patrimoine. Pour l'objectif, vraiment, c'est avoir le style de vie que je veux. C'est-à-dire, oui, certes, partir en vacances, ne pas être stressée par rapport à l'argent. Faire en sorte que ma fille puisse avoir ce dont elle a besoin via son patrimoine. Et en même temps, l'éduquer très correctement financièrement. Parce qu'on ne va pas lâcher des billets comme ça. Donc voilà. Elle est très autonomisée. Je pourrais aussi en faire un autre épisode de podcast si besoin. Ça, c'est très important pour moi de ne pas avoir un enfant avec une cuillère en argent dans la bouche parce qu'après, c'est plus compliqué, je crois, après d'avoir la... Même si elle nous voit travailler, elle aura la valeur travail, j'espère. Mais voilà, j'ai vraiment envie qu'elle puisse avoir, elle, l'éducation financière que moi, je n'ai pas eue. Pas parce que j'ai une très mauvaise éducation financière, mais simplement parce que mes parents gèrent très bien. Ils ont acheté, eux, ils ont investi dans... Voilà, je n'ai pas besoin de raconter la vie de mes parents ici, mais ils ont... On a quand même toujours eu une petite notion d'investissement, pas ultra présente, mais elle était là quand même. Et donc, j'ai quand même déjà vu ça. Donc, je ne viens pas de très, très loin. Je ne viens pas de parents qui sont endettés, etc. Pas du tout. Souvent, on entend des histoires comme ça. Et donc, mes parents étaient endettés. Et donc, on a failli leur reprendre leur maison. Et donc, à ce moment-là, je me suis rendu compte et je me suis pris une claque. Moi, je viens pas de là. Et donc, je me réveille à 38 ans en me disant, tiens, t'as pas trop, trop bien géré ton truc. Voilà. est-ce que je demandais la claque plutôt ? non pas forcément ... La vie est faite comme elle est faite, il y a du positif et du négatif, je n'ai pas eu ce traumatisme-là. Par contre, du coup, je n'ai pas eu cette urgence-là non plus de me rendre financièrement indépendante. D'accord ? Donc maintenant, j'ai envie de le faire. Maintenant, j'ai vraiment envie de le faire. Je vois aussi plein de femmes qui ne le sont pas, qui en fait ont des problèmes à quitter leur conjoint parce qu'en fait, il y a le côté financier qui est dedans et ça, ça me révolte parce que je ne trouve pas ça juste et souvent, c'est dans ce sens-là. Et donc là, je me suis dit, mais moi, le jour où je veux le faire, alors heureusement je ne veux pas du tout le faire mais... Je veux que ce soit une option et donc qu'en fait, ma liberté ne soit pas conditionnée au revenu du ménage, etc. et que j'ai mes affaires. Pourtant, on a investi ensemble. Donc là, la nouvelle société, ce sera avec mon mari. Ce n'est pas un problème, mais on crée de la valeur pour tous les deux. D'accord ? Je ne me mets pas en retrait pour que lui puisse avancer sans avoir une sécurité moi-même. L'amour, c'est très beau, mais il faut se sentir en sécurité autant l'un que l'autre. Objectif numéro 3. Après ça, l'objectif santé. Donc là, j'ai vraiment repris en main ma santé sans chercher la perfection. Ce n'est pas mon objectif, mais j'ai tendance à prendre du poids, les kilos, un après l'autre chaque année. C'est un peu trop. Là, ça ne me convient plus trop. Et en même temps, je ne vis pas très, très mal non plus, mais voilà. Donc, entrepreneur plus maman, avoir plein de projets, ça fait en sorte que souvent l'alimentation et le temps pour soi passent au dernier plan. Et donc, je me fais aider d'une coach qui est super, qui s'appelle Delphine Moniot. ou Delphine Delicourt, ça dépend où vous la trouvez. C'est son nom de jeune fille et son nom d'épouse. Je crois que la société s'appelle Feeder Better Stronger, je peux mettre la description, enfin le lien. Ça vaut franchement de la peine, c'est super top et donc elle m'accompagne sur 4 mois. Et alors on essaie vraiment d'aller enlever les blocages parce que moi j'ai toute la formation concernant la nourriture saine, je ne crois pas qu'en mangeant, je ne sais pas moi, des galettes de riz, je suis en train de faire régime. Donc je suis bien au courant que c'est que du sucre. Enfin voilà, ce genre de choses, je suis déjà bien bien bien éduquée. J'ai déjà fait des formations en cuisine vivante, j'ai déjà lu je ne sais combien de livres sur la cuisine saine, etc. Donc ce n'est pas une question d'éducation, c'est une question d'automatisme, de besoin de liberté que je mets dans la nourriture. Donc ça je prends en main le côté vraiment psychologique et mis en action par rapport à ma santé, qu'il soit aussi bien du mouvement. Là je suis à au moins 4-5 séances de sport par semaine, mais le sport que j'aime bien, donc je vais courir une demi-heure, ou je vais courir une heure, ou je vais nager, ou je vais faire du vélo, je prépare mon triathlon. Je fais quelque chose d'un peu plus musculaire chez moi, mais ça en général, je n'aime pas, donc je le fais pas. Voilà. Objectif numéro 4, donner encore plus d'autonomie à Clafoutis. Je veux que Clafoutis puisse tourner sans moi si je me casse le bras demain. Allez, le bras, ce n'est pas très grave, mais si je devais, pour x, y raison, disparaître pendant deux mois demain, je voudrais que Clafoutis soit capable de vivre sans moi. Donc il y a des choses que je délègue à d'autres personnes. Je ne délègue pas le visage de la marque, je ne délègue pas les lives, je ne délègue pas les shootings, toute la partie vraiment. communication, créativité, etc. J'ai vraiment envie de la garder. Si vraiment il fallait, quelqu'un pourrait reprendre à ma place au dernier moment et on ferait avec et c'est super. Par contre, je délègue vraiment toutes les choses que je peux. Ce n'est pas de l'automatisation, c'est vraiment de la délégation. Par exemple, ici, je délègue la création des pages produits quand il y a un nouveau patron qui sort. Pourquoi ? Parce qu'en fait, je me suis rendue compte que ça fait 40 fois que je le fais, quelque chose comme ça. Et donc, je fais des erreurs, parce que je n'ai pas un profil pour faire 40 fois la même chose. Donc, je fais des erreurs de la fille qui n'a pas le profil pour faire 40 fois la même chose. Et je fais quoi ? Je me trompe parce que j'y vais un petit peu trop au talent, et donc j'oublie un tableau de mesure où je mets deux fois le même. Le code de réduction du gang, j'oublie de l'activer. Enfin, ce genre de choses, parce que moi, je n'ai pas de procédure, tout est dans ma tête. Si on me met une procédure, je ne vais pas la suivre. Voilà, ça ne sert à rien de me faire des super procédures, je ne les suis pas. je suis pas la fille qui suit les modes d'emploi, tout ça, tout ça, sauf pour sa machine à coudre, ça quand même. Et en fait, il y a des gens qui sont meilleurs que moi pour ça. Donc moi, je vais écrire le texte de base, donc ce qui va être dedans, je l'aurai écrit. Mais par contre, le planifier, mettre les bonnes choses aux bons endroits, tout ça, mettre les bonnes photos, les bons prix, etc., moi je fais toujours bien une erreur quelque part, simplement parce que j'ai été trop vite, et surtout, je suis pas... Voilà, je suis... Alors, ça fonctionne, mais quelqu'un d'autre peut le faire à ma place. Or moi j'ai plus de valeur à aller générer de la valeur à d'autres endroits, faire d'autres shootings. J'ai plein, plein, plein, plein d'idées que je peux faire. Et donc ça, je délègue. Donc ça, c'est un de mes objectifs aussi, de me dire, OK, est-ce que demain, Clafoutis peut vivre sans moi pendant deux mois ? Là, pour le moment, ce serait trop compliqué, mais si j'ai réussi ça fin 2025, quitte à ce que je sois à distance, parce que j'ai envie de pouvoir le faire aussi, de faire un beau voyage et donc de pouvoir travailler à distance pendant deux mois, est-ce que ça fonctionne ? On verra bien. Donc ça, c'est mon objectif. on en parlera après Enfin, on parlera fin de l'année, voir si j'ai réussi. Je reprendrai ce podcast et je me dirai, oula, ça j'ai raté. Ouh, ça j'ai réussi. Ouh, ça je ne m'y attendais pas. Et donc, conclusion, l'année 2025, c'est une année où je vais m'autoriser à me disperser. Parce que Clafoutis est mis en place, tout est relatif, évidemment. Mais en tout cas, le gros des vagues est passé. Le déménagement, le deuxième déménagement, le troisième déménagement, le lancement de l'application, etc. La stabilisation de l'équipe, tout ça. En fait, c'est fait. Et donc, il y aura toujours des trucs qui vont arriver. Mais le lancement de nos propres collections de tissus, tout ça, ça s'est fait. Et donc, il y a encore plein, plein, plein de choses à faire. J'ai encore plein d'idées dedans. Mais je veux vraiment me focaliser, moi, sur les projets, les idées, la créativité. Et pouvoir déléguer le reste. Et donc, je m'autorise à me disperser toute l'année 2025 pour trouver plein d'idées. Parce que plus je fais ça, plus j'écoute des podcasts, des podcasts. J'ai des idées, mais... Mais dans tous les sens, j'ai des idées géniales et j'ai des idées de merde, mais pour pouvoir avoir une idée géniale, il faut avoir 42 idées complètement débiles et complètement pas possibles ou complètement ratées ou c'est pas le moment, enfin j'en sais rien, mais faut pas se dire, ah non moi je vais pas faire, je vais pas bouger, je vais pas essayer des trucs, je vais pas me renseigner parce que ça sert à rien, ce sera probablement pas une bonne idée. Bah oui, évidemment que ce sera probablement pas une bonne idée, vous croyez que j'ai eu combien d'idées avant de lancer Clafoutis ? Plein ! J'ai passé, je voulais que ce soit dans la couture, mais j'ai passé un temps. dingue, un temps infini à surfer à gauche, à droite, à essayer de comprendre le truc, etc. Et je me suis formée. À un moment donné, je suis devenue experte de mon marché. Évidemment, expert, c'est juste la personne qui connaît 90%, 90% de plus que les autres. Enfin, qui connaît plus que 90% ou 90% du reste de la population. Donc, expert ne veut pas dire qu'on a un bac plus 5 en couture. C'est pas du tout ça. Mais par contre, je savais dans quoi je m'engageais. Plus ou moins, en tout cas. Et donc ici, ce que je veux faire, c'est, ok, je me permets d'ouvrir des portes. Je vais ouvrir des portes, ouvrir des portes, ouvrir des portes. Du coup, fermer la porte. Fermer, fermer, fermer. Partir de manière ultra enthousiaste sur un sujet. Et puis, ah bah non, finalement, ça ne s'est pas fait. Je me laisse faire. Et donc, je vais vous parler de choses de manière ultra enthousiaste, comme je vous ai dit. Surtout en story. Mais en fait, au final, je ne les ferai pas. C'est ok. C'est complètement ok. Je veux aussi vous parler de beaucoup de bouquins, j'ai vraiment envie de reprendre la lecture, même si le podcast, il n'y a rien à faire. nous permet de faire deux choses en même temps et donc surtout de combler les temps morts où le cerveau n'est pas obligatoirement utile. Quand je conduis, je peux très bien écouter un podcast, c'est beaucoup plus intéressant. Ce que j'ai envie de vous inspirer et pourquoi est-ce que je vous fais un podcast de presque une heure pour vous parler de mes objectifs de 2025, de nouveau, ce n'est pas pour raconter ma vie. Vous savez bien que je ne passe pas mon temps à raconter ma vie, ce que j'ai mangé, ce que fait ma fille, etc. J'ai quand même, en parlant de ma fille, un très gros objectif qui est un objectif d'instruction à domicile. Et donc qu'elle puisse, enfin à domicile, en famille. et donc qu'elle puisse voyager beaucoup plus avec nous et qu'elle puisse vivre plus avec nous. Pour le moment, elle est dans une école alternative, elle y va trois jours semaine, mais elle y va pas tout le temps. Le reste du temps, ne vous tracassez pas, elle est pas mise devant un écran. Donc elle fait des trucs aussi bien là-bas que chez nous qui sont ultra intéressants. Donc elle est en contact avec des enfants tout le temps. Cette nuit, elle dormait chez nos voisins et puis elle est restée chez nous toute la journée. Ils sont pas scolarisés non plus, vous voyez. Entourez-vous de gens, là, je l'ai pas fait exprès, même si je l'avais rencontré juste avant, la dame qui vient de... de construire en face de chez nous, parce qu'on avait des enfants du même âge et qu'on avait la même optique d'instruction en famille, elle le fait chez elle, moi je fais de manière hybride. Et donc ce que je veux vous inspirer ici, c'est je ne savais pas, il y a 4 ans, que je pouvais construire la vie que j'avais aujourd'hui, mais je l'ai quand même écrit. Je veux tel revenu, je veux être libre de mes mouvements, je veux être libre de mes horaires. Est-ce que je suis libre à 100% ? Non, les portes ouvertes, je suis là. Mais j'ai quand même une liberté dingue. Il fait chaud, j'ai envie d'aller au soleil, je vais le faire. Oui, je vais travailler le soir, mais c'est ma liberté, j'ai choisi ma contrainte. Personne ne me dit... Maintenant, tu vas faire ça. Jamais. Moi, c'est quelque chose qui ne me convient pas bien. C'est pour ça que j'essaie de laisser beaucoup de liberté aussi dans l'organisation du travail des personnes qui travaillent avec moi, même si des fois, on me demande un peu plus de cadre, mais j'essaie aussi de donner beaucoup de liberté. Et donc, ce que j'ai envie de vous inspirer, c'est de vous dire, c'est quoi vous, vos intentions pour 2025 ? Pas en mode bonne résolution, on n'est plus en janvier, c'est bon, c'est fait. Mais qu'est-ce que vous avez vraiment envie d'aller explorer ? Où est-ce que vous vous laissez de la latitude pour aller explorer des nouvelles choses ? Comment est-ce que vous allez faire ça ? Et donc, je vous pose la question. N'hésitez pas à, évidemment, me le dire en commentaire des vidéos, en message privé sur Instagram, etc. Ou éventuellement sur Facebook, mais je les vois moins. C'est plus Natacha qui les voit, je les vois plus sur Instagram. Donc dites-moi, qu'est-ce que vous vous autorisez à explorer ? Moi, je m'autorise à explorer le côté santé. Je m'autorise à explorer les distributeurs automatiques. pour finalement peut-être ne pas les faire, mais ça m'étonnerait parce qu'il y a quand même des contrats qui sont déjà signés. Et je m'autorise à explorer les finances personnelles pour après pouvoir prendre des meilleurs choix. Et dernier point, je m'autorise à explorer tout ce que je peux tester, d'automatiser, de déléguer correctement dans Klafoutis pour que ça reste bien fait, que ce soit efficace, que ce soit confortable pour la personne qui a cette tâche, qu'elle ne soit pas dépendante de moi, c'est-à-dire, et qu'on puisse avancer comme ça et toujours proposer des super beaux tissus dans Klafoutis et continuer avec des super beaux patrons. Donc voilà. J'ai été plus que complète, j'ai dépassé ma demi-heure, je dois aller chercher ma fille, ça ne se dit pas dans un podcast, mais en fait, la réalité d'une maman qui entreprend, c'est ça, c'est que je regarde l'heure depuis tout à l'heure, et que je dois maintenant aller la chercher. Donc je vous laisse, je vous laisse me donner plein d'étoiles, parce que vous savez bien que c'est ça qui est super important pour un podcast, donc si vous n'êtes pas encore abonné, s'il vous plaît, venez-vous. si vous n'avez pas encore mis d'étoiles, mettez plein d'étoiles et on se retrouve pour le prochain épisode à très bientôt

Description

Vous vous sentez tiraillé.e entre plusieurs envies ?
Un projet vous stimule, mais l’autre vous appelle aussi ?
Et si le problème, ce n’était pas le fait d’avoir trop d’idées… mais de croire qu’il faut absolument en éliminer 90% pour être "sérieux/sérieuse" ?


Dans cet épisode solo, je vous partage mes objectifs (très concrets) pour 2025. Pas pour que vous copiiez mes choix mais pour vous montrer qu’on peut avancer sans tout trier, sans tout figer, et sans forcément se mettre dans une seule case.


Au programme de cet épisode :


  • Peut-on vraiment réussir en testant plusieurs projets à la fois ?

  • Comment je transforme un bâtiment vide en business alimentaire semi-automatisé ?

  • Pourquoi j’ai (enfin) décidé de prendre mes finances en main ?

  • Comment trouver un équilibre entre vision long terme et envie de fun ?

  • Qu’est-ce qui se passe quand on arrête de vouloir être "parfaite" ?

  • Et pourquoi s’autoriser à explorer, c’est souvent le meilleur plan ?


🎧 Si vous avez vous aussi 1000 idées, un cœur qui déborde de projets, mais un mental qui vous dit “fais un vrai choix”... cet épisode est pour vous.


🔗 Pour aller plus loin :

Retrouvez mes stories du quotidien ici : @stephanie.bovy
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Kroissant, c’est le podcast qui explose vos croyances limitantes et vous inspire à transformer votre vie grâce à un mindset positif et des outils concrets. 🎙 À travers des histoires inspirantes et des échanges authentiques, on vous motive à passer à l’action pour atteindre votre plein potentiel et vivre une vie épanouissante. Que vous soyez en quête de croissance personnelle, d’un nouvel épanouissement professionnel, ou simplement d’une bonne dose de motivation, chaque épisode vous pousse à travailler sur vous et à avancer un pas après l’autre. Ici, on partage des galères, des victoires et des conseils réels pour créer une vie extraordinaire, loin des clichés et des conseils à 2 balles. 🌟


Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

Transcription

  • Speaker #0

    Coucou tout le monde, j'espère que vous allez super bien, ici tout va vraiment magnifiquement bien. J'avais envie de faire de nouveau un podcast solo, vous allez peut-être vous dire mais elle n'a plus d'invité, alors si si, mais j'ai vraiment plein plein de choses à vous raconter en solo et donc je prends le temps ici de vous l'expliquer. Vous l'avez peut-être déjà vu en story sur mon compte privé, donc Instagram, @stephanie.bovy, où là je parle, parfois pas du tout, ça dépend du temps que j'ai, et parfois vraiment beaucoup, et désolé à Natacha, qui travaillent avec moi et qui s'amusent à sous-titrer toutes les vidéos. Quand je dis s'amusent, voilà, parfois c'est Célim aussi. Désolée à eux parce que quand je fais des balades, en général je fais des stories beaucoup trop longues, mais voilà, tant pis. J'avais envie de vous parler, alors j'avais fait il y a quelques mois, une rétrospective de 2024. Aujourd'hui, j'ai envie de vous détailler, alors détailler peut-être pas, mais mes objectifs pour 2025 parce qu'il y a vraiment eu beaucoup de changements dans ma tête et je ne vais pas beaucoup parler de Klafoutis. Parce que forcément, j'ai toujours des objectifs dans Klafoutis. Mais ici, ce n'est pas vraiment de ça dont j'ai envie de parler. J'ai envie de parler des projets annexes. Vous avez peut-être compris que je n'étais pas tout à fait capable de rester dans un seul projet à la fois. Et en fait, là où avant, ça me dérangeait un petit peu parce que ça ne rentre pas trop dans les cases. Ou alors, on se prend des remarques sur le fait de se disperser. Remarques qui sont parfois tout à fait pertinentes. Sauf qu'en fait, moi, j'ai besoin de me disperser pour arriver après à un moment donné. à aller vers ce que j'ai envie de faire, et j'ai besoin d'avoir plusieurs projets en même temps, je ne pense pas être capable d'en avoir qu'un seul. Donc j'assume, il ne faut pas en avoir cinq en même temps, ce n'est pas une bonne idée non plus, mais vous allez voir qu'il y en a quand même quelques-uns qui vivent en parallèle dans ma tête, mais comme je dis toujours, il y a beaucoup d'onglets en parallèle dans ma tête, donc je vais vous en détailler quelques-uns. L'objectif, ce n'est pas de vous raconter ma vie, parce qu'en soi, on s'en fout. L'objectif, c'est que vous puissiez rentrer dans ma tête d'une personne qui, je considère, est très active. et qui réussit des trucs et qui emplante d'autres, mais en tout cas qui a vraiment envie de s'améliorer dans plein de domaines, et notamment cette année dans le domaine financier, parce que c'est quelque chose que j'ai complètement laissé de côté depuis des années, et en fait ce n'est pas une bonne idée, je suis en train de me rendre compte que ce n'est vraiment pas malin, donc je vais vous expliquer un petit peu ma pensée par rapport à ça. Deuxièmement, le domaine de la santé, parce que je n'ai jamais fait d'énormes catastrophes, mais je n'ai jamais fait d'efforts plus que ça à part faire un peu de sport, l'année passée surtout. Donc il y a quelques sujets sur lesquels je vais revenir. Et troisièmement, l'entrepreneuriat, parce que là, je sens que la footie, ça fait quatre ans et donc il y a un côté un petit peu installé. Alors on n'est jamais installé. Tout peut se planter du jour au lendemain. D'ailleurs, 2025 est un petit peu plus dur que 2024. Mais voilà, ce n'est pas non plus l'enfer. Et donc forcément, ça demande de l'attention. Mais il y a quand même, j'ai un peu l'impression d'avoir mis en place... place quelque chose pendant 3-4 ans et que maintenant on commence à récolter le fait que ça tourne les équipes elles sont formées, elles sont autonomes, et donc Clafoutis ne peut pas pour le moment se passer de moi parce que j'ai certains rôles dedans qui ne sont pas délégués, mais il y a quand même franchement plein de choses pour lesquelles on n'a pas besoin de moi, et ça me laisse aussi beaucoup plus de liberté pour organiser mon temps et je ne suis pas non plus obligée d'être tout le temps sur place, etc. Enfin l'équipe n'a pas besoin de me voir toutes les deux heures pour voir Pour faire en sorte que ça tourne, quoi, il n'y a pas besoin. Alors, je vous emmène un petit peu dans mes coulisses de cette année, une année où je décide de me mettre en action. Alors, vous pourriez rire en me disant, mais elle se met tout le temps en action, la fille. C'est vrai, mais je me mets ici en action dans des domaines pour lesquels je ne me suis pas encore vraiment assez mise en action, d'accord ? Tout en conservant, évidemment, ce qui est mis en place, c'est-à-dire que la foutue. Et donc, je veux aussi vous parler de quelques objectifs un petit peu plus personnels. Ça, je reviendrai plus tard dedans, dans l'épisode, parce que... Il y a certaines choses que j'ai envie de pouvoir réussir et qui dépendent de comment j'arrive à organiser ma vie professionnelle. Mais ça, petit spoiler, non pas encore justement de petit spoiler maintenant, je vous en parle un petit peu plus loin dans l'épisode. Donc, je vais vous parler d'objectifs dans un certain ordre. L'ordre est assez aléatoire, il n'y en a pas un qui prime sur les autres. Je vais essayer de tous les faire en parallèle, voilà, sans chercher la perfection. Premièrement, je vous l'ai expliqué en story récemment et je vais en parler de plus en plus. j'ai ce bâtiment à Fléron, qui a abrité Klafoutis, donc c'était notre deuxième bâtiment, donc là on est dans le troisième, et là je compte plus bouger. On a eu une première boutique de 100 m² que je louais, on a eu une deuxième boutique de 250 m² que, j'ai toujours j'ai fait la boulette de l'acheter, mais je suis en train de revenir sur ce que j'ai dit pendant un an. Et, troisièmement, on a ce bâtiment maintenant dans lequel je suis ici, à Barchon, qui est vraiment beaucoup plus grand, où là on a 800 m². 400 m² d'entrepôt et 400 m² de bureau. Bon, le deuxième bâtiment, on n'arrive ni à le vendre, ni à le louer. On n'a, je crois, pas mis l'énergie nécessaire, mais vraiment, en fait, c'est bloquant. Ce n'est pas une région dans laquelle il est facile pour le moment de louer et d'acheter. C'est un bâtiment qui nous convenait très, très bien à nous, Klafoutis. C'était génial, le bâtiment était génial, mais est devenu trop petit. Et donc, à un moment donné, on a dû bouger. Et donc, lors d'une discussion avec mon mari, on s'est dit, en fait, j'avais déjà pensé à l'exploiter. Je me suis dit, j'ai déjà un job qui est bien prenant. Il me dit, écoute, chance, malchance. Je vais vous réexpliquer la petite anecdote de chance, malchance et passer de deux minutes si jamais je vous l'ai déjà expliqué. Chance, malchance. En fait, peut-être qu'on ne devait pas le louer ni le vendre parce que clairement, on allait le vendre à perte. Pas forcément en perdant de la valeur sur le bâtiment, mais en perdant le fait qu'on ait mis les frais de notaire dedans et que j'ai quand même fait des travaux un petit peu dedans. Donc, ce n'était pas génial non plus de le vendre. On l'a utilisé pendant un an, il n'a pas pu prendre de valeur. Ce n'est pas possible. Donc, en tout cas, on ne l'a pas acheté pour le transformer tellement qu'il est pris de la valeur. Donc, l'histoire de chance-malchance, d'abord, et puis je vous explique ce qu'on compte en faire, c'est que vous avez un paysan. Donc, il a des terres, il a un fils. Et il a un magnifique étalon. Et donc, les villageois lui disent toujours « Ah mais t'as de la chance avec cet étalon ! » Et puis, on vient... Alors, je modifie probablement un peu l'histoire à ma sauce, c'est une histoire très connue, voilà. Et puis, quelqu'un vient pour lui acheter son cheval et lui propose une énorme somme. Ce à quoi il répond « Non, moi c'est mon cheval, je le garde. » Les villageois lui disent « Mais enfin, c'est quand même bizarre de pas le vendre, il vaut énormément. » Bon, ok. Un jour, ce cheval s'enfuit. Et donc les villageois viennent près de lui, lui disent mais t'as vraiment pas de chance, ton cheval s'est enfoui alors que t'aurais pu le vendre hier, voilà. Ce à quoi le paysan répond, chance, malchance, qui sait. Le cheval revient quelques semaines plus tard et il revient avec un troupeau complet de chevaux sauvages magnifiques qui ont énormément de valeur. Le paysan les accueille bien évidemment et se retrouve avec plusieurs chevaux. Les villageois viennent le voir et lui disent mais enfin t'as énormément de chance, t'as vu ton cheval qui était parti, il est revenu et de... Là, tu as plein de valeur dans tes chevaux, bon. Ce à quoi le paysan répond, chance, malchance, qui sait ? Son fils, son unique fils, veut débourrer un de ses chevaux sauvages, tombe de cheval et se casse la jambe. Les villageois donc reviennent voir le paysan et lui disent, mais tu n'as vraiment pas de chance, ton unique fils qui ne va plus pouvoir t'aider au champ, comment est-ce que tu vas t'en sortir ? Ce à quoi le paysan répond, chance, malchance, qui sait ? Quelques jours plus tard, débarque l'armée. qui vient chercher un fils par famille pour aller se battre contre, voilà, un peuple, quel qu'il soit, peu importe. Et là, les villageois reviennent et disent aux paysans, « Mais t'as vraiment de la chance, ton fils qui s'est cassé la jambe, il ne va pas pouvoir partir. » Ce à quoi le paysan répond, « Chance, malchance. » La morale de l'histoire, c'est, on ne sait jamais si quelque chose qui nous est arrivé est une chance ou une malchance. Et je vous ai déjà parlé aussi plusieurs fois de, j'allais dire ma philosophie, mais rien du tout, c'est pas ma philosophie, de la philosophie en laquelle je crois. du cadeau caché. Dès qu'il nous arrive quelque chose de désagréable, voilà, il y a un cadeau caché, quel qu'il soit. Parfois, on ne le voit pas, mais on peut souvent décider de le voir. Tout ça pour dire, si ce bâtiment n'est pas loué, ça fait 9 mois, donc que Klafoutis a un bail commercial avec ce bâtiment qui est vide. Donc, Clafoutis paye un bâtiment vide, ne sachant pas en sortir. Qu'est-ce que ça dit ? Ça dit peut-être qu'on doit l'exploiter. Peut-être, et peut-être pas, et peut-être qu'on se plante, et ce n'est pas grave, mais pour le moment, ce qu'on s'est dit, ce n'est pas grave, on va l'exploiter. Alors, quelles sont nos conditions ? Moi, mes conditions, c'est je ne mets pas de personnel là-dedans. Donc, je n'ai pas envie de devoir gérer des équipes de personnel, de devoir, voilà, le bâtiment est un petit peu trop bas dans la rue pour recevoir vraiment des clients, ou alors il faut vraiment être un magasin de destination comme Klafoutis, où les gens, c'est une niche, les gens savent où ils vont, ils nous ont connus par Internet et pas par le passage, etc. Je n'ai absolument aucune envie de recréer un deuxième clafoutis. Je n'ai pas assez, ce n'est pas possible. Pas quelque chose de passion comme ça qui prend au trip et qui veut dire que ça me demande aussi tout mon temps et tout mon espace de cerveau disponible. Je ne fais pas ça une deuxième fois avec Klafoutis qui est là. Ce n'est pas possible. En tout cas, ce n'est pas mon choix. Ou alors, il faudrait que je mette quelqu'un à la gestion de clafoutis. Non, non, je ne fais pas ça. Donc, deuxième option, on loue ça. On transforme et on loue ça de manière événementielle ou pour des entreprises, etc. Et on n'a pas vraiment trouvé ce qui pourrait vraiment nous correspondre. On a bien une idée, mais elle est arrivée aujourd'hui. C'est Mela qui m'en a parlé. Apparemment, elles en avaient déjà parlé avec les filles. Je vais vous en parler juste après. Donc, c'est possible qu'on fasse ça, mais là, j'ai eu juste l'idée aujourd'hui. Troisième option, on crée un local commercial, mais complètement automatisé. Là, ça nous amuse déjà un peu plus. Il y a ce côté fun qui est derrière. Moi, j'ai un profil qui est très lié au fun, au fait de s'amuser. Et donc, je ne peux pas trop faire des projets. Je ne vais pas travailler l'argent pour l'argent. Par contre, si gagner de l'argent devient un jeu, je peux le faire. Mon mari, lui, ça l'intéresse d'être plus analytique. d'être plutôt axé sur la technique, etc. Or, là-dedans, il y a clairement de l'analyse et il y a de la technique à mettre en place. Donc lui, ça l'amuse. Moi, j'adore dans Klafoutis faire les achats, trouver des bonnes choses, des bons produits et donc des bons tissus ici, de qualité, etc., qui sont beaux. Et donc, je passe énormément de temps dans Klafoutis à faire les achats. Et donc, c'est quelque chose qui me plaît vraiment beaucoup. J'aime aussi faire de la communication. Je suis en train d'en faire ici dans Kroissant sous une autre forme, mais c'est quelque chose qui me plaît aussi. Mais en même temps, je ne peux pas commencer à faire des heures et des heures de création de contenu pour autre chose que Klafoutis que j'ai déjà et que Kroissant que j'ai déjà. Et que Korail que pour le moment j'ai mis en attente. Donc le site fonctionne toujours, tout est à moins 30%, donc si jamais vous voulez le vider, je vous en prie. Et on va peut-être rapatrier quelques bijoux vraiment coup de cœur sur Klafoutis. Mais voilà, pour moi, je ne veux pas dire que c'est un échec, mais c'est quelque chose dans lequel je décide de ne plus investir d'énergie. pas que c'était pas rentable parce que c'est tout à fait rentabilisable, mais j'ai pas la passion derrière, j'ai pas le feu derrière, donc en fait, voilà, je mets ça de côté pour le moment, ce n'est pas ma priorité. Donc, par contre, j'ai appris beaucoup de choses et j'ai pas perdu d'argent, donc tout va bien. Je reviens à notre idée. Donc, on n'est pas... Nos critères, ça doit être automatisé. On sait que c'est jamais de l'automatisation à 100%, je suis bien au courant, d'accord ? La première chose à laquelle on pense quand on pense automatisation, enfin commerce automatisé, on pense aux laveries. Pourquoi pas, sauf qu'il y en a une juste à côté. Donc, on ne va pas aller créer une laverie juste à côté d'une laverie. Quand je dis juste à côté, c'est trois bâtiments à côté. Donc, on est vraiment, vraiment, ce serait exactement les mêmes clients. Et donc, qu'est-ce qu'on va faire ? Une guerre des prix ou une guerre par l'ambiance ou la technologie, j'en sais rien. On ne voit pas l'intérêt. Donc, voilà. Autant deux boulangeries dans la même rue, je n'ai pas trop de soucis. Autant deux laveries, voilà, pas trop d'intérêt. donc ça on oublie Qu'est-ce qui nous reste ? Alors, il nous reste tout ce qui est distributeur automatique. Oui, très bien. D'ailleurs, on va partir là-dedans. Comme ça, vous le savez. Donc, c'est clairement quelque chose qu'on va développer. Mais j'ai 250 m² pour mettre des distributeurs automatiques. Alors, je peux remplir un local de 250 m² de distributeurs automatiques. Alors, on est plus sur un supermarché automatisé. Je ne pense pas que ce soit le bon local, le bon emplacement pour faire ça. Et je n'ai pas tellement envie d'aller investir 400 000 euros de machines. voilà dans en plus une région où il y a déjà beaucoup de supermarchés, donc je vois pas trop ce qu'on va pouvoir venir apporter, enfin voilà. Et puis ça veut dire de nouveau avoir quelqu'un sur place très régulièrement pour remplir tout le temps, si jamais il y a plein de gens, enfin non. Par contre, l'avant du magasin, qui est plus étroit et assez long, et puis alors, donc on a une entrée de 4 mètres de large sur une dizaine de mètres de long. Et puis, on a une sorte de grand carré, 200 mètres carrés, de 10 mètres sur 10 mètres, plus ou moins. Donc, l'entrée, les 4 mètres de large sur 10 mètres de long, là, on va l'exploiter commercialement. C'est-à-dire qu'on va venir mettre des machines. Au début, on va mettre trois machines. On va se laisser la possibilité de pouvoir en mettre plus. Comme ça, si on veut en rajouter une ou deux en plus, après, il n'y a pas de souci. Ce n'est peut-être pas forcément l'objectif, mais c'est possible. Et on va venir aussi rajouter dans cet espace. des lockers. Donc on a une entreprise qui va mettre des lockers dedans, je ne dis pas encore vraiment tout, mais il y a un contrat qui est déjà signé et on essaye d'en mettre d'autres. Pourquoi ? Parce qu'en fait, les lockers, ils vont venir générer d'eux-mêmes de la visibilité parce que les gens trouvent où est le locker le plus proche et donc forcément, c'est des gens qui sont dans la région, ils vont venir dedans et ils vont voir qu'il y a des distributeurs. Donc potentiellement, ce sont des clients Alors, je donnerai des chiffres un jour quand les chiffres seront avérés. Donc là, j'ai des chiffres de projection, de ce que disent les entreprises de Locker, etc. Mais je ne vais pas le dire ici parce que tant que je n'ai pas les vrais chiffres, je ne fais pas ça. Donc, sinon, je vais vous donner des... Enfin, voilà, non, ça, ce n'est pas correct. Donc, je vous donnerai des chiffres, bien sûr, parce que l'objectif n'est pas de cacher des choses. J'ai vraiment envie de vous emmener avec moi dans ce projet parce que ça m'amuse aussi. Mais voilà, il y a des projections qui ne sont que des projections. Pareil pour les projections de vente des distributeurs. Je ne peux pas vous dire aujourd'hui si ça va marcher à cet endroit-là. Il y a moyen de faire fonctionner des distributeurs si c'est bien fait. Ça dépend de l'emplacement et de la communication autour. Donc là, on le teste là-bas. Donc ça, c'est pour la vente du magasin. L'objectif, c'est aussi de pouvoir diversifier les sources de revenus. À un moment donné, si on se dit qu'il y a pas mal de gens qui passent, et donc ça peut être intéressant pour les commerçants de la région qu'il y ait une publicité qui puisse tourner, même pour les gens qui rentrent, le temps qu'ils attendent, etc. Même s'ils ne vont pas attendre longtemps, ça peut être intéressant, même avec des promos pour les commerçants alentours, tout ça. Donc le but, c'est de s'intégrer dedans et on ne vient embêter personne. Au contraire, on vient mettre en avant certains commerçants. Pourquoi est-ce qu'on ne ferait pas du revenu publicitaire à ce moment-là ? Donc ça, c'est une possibilité. Clairement, ce n'est pas ce qui va être mis en premier parce que pour ça, j'ai besoin de savoir combien de personnes rentrent dans la boutique et si ça a un intérêt. Et donc forcément, les premières semaines et les premiers mois, on sera toujours en période d'expérimentation. Mais pourquoi pas ? Là, je vais jouer sur la rentabilité parce qu'on est sur quelque chose qui est beaucoup plus automatisé. Mais ce que je veux faire absolument, c'est qu'il y a deux choses. Il y a premièrement, c'est absolument pas rentabilisable de n'avoir que ces trois distributeurs-là. C'est techniquement pas possible parce que moi, ça doit absorber mon coût de bâtiment. Donc j'ai des coûts fixes qui démarrent haut. Alors certes, le bâtiment m'appartient. Il appartient à ma société immobilière. Société immobilière que je détiens à moitié avec mon mari. et donc ce bâtiment fait partie de la société immobilière. C'est le seul bâtiment de la société immobilière pour le moment. Par contre, un de mes objectifs de vie dont je vais parler tout à l'heure, c'est d'augmenter le patrimoine de cette société immobilière. Mais pour ça, j'ai besoin que le premier, il se paye déjà. Parce qu'on ne va pas aller nous prêter pour un deuxième alors que le premier, on est en train de le payer difficilement. Difficilement, non. La banque ne le voit pas, mais moi, ça doit sortir de clafoutis. Donc, ces trois distributeurs-là, mathématiquement, même s'ils fonctionnaient très bien, ne serait pas suffisant pour, à mon sens, couvrir la totalité du bâtiment. Par contre, ce que je me vois faire, et de nouveau, je suis en train de vous parler à un moment T, me connaissant, dans trois semaines, j'ai sûrement changé les plans, et puis encore après, encore après, de toute façon, le projet initial n'est jamais le projet final. Il a déjà changé plusieurs fois, maintenant, le côté distributeur automatique, ça se concrétise, le côté locker, ça se concrétise aussi, on sait ce qu'on doit faire comme travaux, etc. Il y a déjà des contrats signés, donc ok, ça on sait qu'on le fait. Maintenant, vraiment, la forme du projet pourra encore changer. Mon objectif après, c'est de déployer. Et donc, d'avoir un maximum, un maximum, on se comprend, mais d'avoir de très bons emplacements pour les machines. Et donc là, ça va prendre vraiment, par contre, beaucoup de temps, beaucoup de réseaux et vraiment faire comprendre aux gens, etc. L'intérêt. Je vais vous dire après ce que je vais mettre dans les distributeurs, ça c'est important. Et donc, de développer, d'avoir ce réseau. Et donc, ce que je vois, c'est que mon bâtiment de Fleron, certes, au début, sera un peu trop grand, mais par contre, après, je n'aurai pas besoin de déménager, parce que là, j'ai compris aussi dans Klafoutis, prendre des trucs trop petits, ça veut dire qu'on déménage beaucoup et ça coûte très cher. Donc, j'ai déjà un espace où je peux stocker des choses. Je n'aurai pas énormément besoin d'espace de stockage, donc les 100 mètres sera un peu trop grand, mais par contre, je n'aurai qu'un besoin de frigo pour pouvoir rassembler à un seul endroit, c'est de la logistique de base donc les denrées alimentaires et pouvoir les dispatcher dans les différents distributeurs. Évidemment, ce sont des denrées qui ne vont pas rester longtemps chez nous, à part évidemment tout ce qui est surgelé, qui peut rester un peu plus longtemps, et tout ce qui est snacks et boissons, qui forcément a une date de péremption qui est très lointaine. Mais il n'y a pas besoin d'avoir des énormes stocks d'avance, donc ça ne sert à rien d'aller bloquer des sous comme ça dans du stock. Et donc, qu'est-ce qu'on va mettre dans ces distributeurs ? A priori, d'accord, c'est vraiment a priori, évidemment de la boisson. mais on va aller chercher alors oui on va mettre du coca parce qu'à un moment donné même si je suis très anti-coca oui on va mettre de l'Ice Tea mais je voulais aussi aller chercher d'autres boissons beaucoup plus intéressantes soit parce qu'elles sont locales je crois qu'il y a un nouveau coca qui vient de sortir qui s'appelle Paola, un coca liégeois donc vraiment ultra local soit parce qu'elles sont bien plus saines bien plus sympas pour la santé comme du kéfir, du kombucha et ce genre de choses On est près d'une salle de crossfit, on est près d'un club sportif, etc. Donc voilà, ça peut valoir la peine. Il y aura des snacks. Évidemment qu'il y aura deux, trois snacks classiques. Voilà, les sneakers, a priori, c'est quand même un truc assez classique. Mais l'objectif, ce n'est pas du tout de se focaliser là-dessus. C'est vraiment de partir sur des snacks qui sont intéressants. Donc des snacks beaucoup plus, par exemple, les barres protéinées correctes. Ça, c'est vraiment cool parce qu'on est justement à côté d'une salle de crossfit. parce que... Les gens comprennent l'intérêt d'avoir une barre qui contient aussi des protéines et pas uniquement du sucre. Donc ça, c'est une possibilité. Donc on va partir sur ce genre de choses. On va partir sur des snacks ou des desserts plutôt frais aussi. Donc on a déjà plusieurs idées. Alors je ne vais pas te donner toutes les idées ici maintenant parce que tout doit être validé. Mais on peut partir sur du dessert frais. qui peut être très très bon, qui peut être très gourmand. Donc là, j'ai déjà plusieurs idées. Et on va partir aussi sur tout ce qui est plat de traiteur. Soit à manger directement, froid, soit à réchauffer. Et donc, moi, ce que je veux absolument faire avec, j'allais dire la marque, mais je la garde encore pour le moment, tant qu'elle n'est pas déposée. Alors, elle commencera par un K, évidemment. Ça, je peux déjà le dire. Ce que je veux faire, c'est vraiment aller chercher, non pas un gros grossiste où on trouve de tout et on peut trouver ça facilement, ... partout, non. Moi, je veux vraiment être une plateforme où je vais chercher des super bons artisans traiteurs, plutôt, dans leur domaine. Que leur domaine soit du sucré, du salé, peu importe. Vraiment trouver les meilleurs, sans être dans l'ultra haut de gamme non plus. On ne veut pas que le plat coûte le même prix qu'un resto, ça, c'est pas l'objectif. Donc, on va partir sur des prix moyens, voilà. Mais il y a moyen d'aller chercher vraiment... Vous savez bien. Vous achetez un plat de pâtes à un endroit, il est incroyablement bon. Il a peut-être coûté 2 euros plus cher, mais il est super bon. Vous achetez un plat de pâtes à un autre endroit, et c'est vraiment, c'est fade, ou c'est pauvre en garniture ou en sauce, etc. Donc moi, je veux vraiment qu'il y ait des plats pour lesquels je me dis, moi, j'ai trop envie de ce plat-là. Soit parce qu'il est assez sain, mais il reste très bon, soit parce qu'il est vraiment très gourmand, et qu'on est sur des bonnes pâtes à la truffe, par exemple, mais des bonnes choses. Et que ça tourne aussi, même si ça me demande plus de travail. Donc on est clairement... sur une entreprise qui est certes automatisée dans son processus de vente, mais derrière, il y a du boulot. Donc, il faut remplir les machines. Donc là, je compte mettre en place une équipe de personnes qui vont remplir les machines, plutôt des flexi-jobs, donc des gens qui ont déjà un boulot sur le côté ou qui sont jeunes retraités, et donc dont ce n'est pas le métier principal, parce qu'en tout cas, au début, il n'y aura pas du tout besoin de faire ça toute la journée. Il n'y a pas du tout assez de travail pour faire ça. Je vous expliquerai peut-être après comment on les finance, parce que là, on est en train de voir comment le faire. Sachant que ça a un coût, ces machines-là, donc c'est pas juste « oh tiens, on va acheter une machine » . Non, non, ça a un coût, on peut les prendre en leasing ou on peut les acheter, mais une machine comme ça, il faut compter que c'est plus ou moins, alors, entre 10 et 16 000 euros. Allez, peut-être entre 7 et 16 000 euros. Donc il faut les rentabiliser, enfin voilà, c'est pas juste « ah bah tiens, je mettrais bien un distributeur automatique » . Non, il y a toute la logistique derrière, il y a toute la chaîne du froid. Il y a tout le côté respect de l'hygiène alimentaire, donc l'AFSCA. J'ai de la chance d'avoir une meilleure amie qui travaille là-bas et donc qui peut m'aider à ce que tout soit vraiment nickel et elle sait exactement ce qu'il faut faire. Donc là, j'ai déjà eu pas mal d'informations parce qu'on veut que tout soit ultra clean. Parce que nous, on ne va pas louer les machines à des traiteurs, sauf s'ils demandent de mettre leurs propres machines. Ça, c'est possible, il y a la place. Mais par contre, on va nous-mêmes prendre en charge les achats et nous-mêmes prendre en charge le remplissage. Ça veut dire qu'on va aussi nous-mêmes prendre en charge les invendus. les DLC, donc les dates limite de consommation, etc. Donc, on en reparle dans quelques mois quand ça aura été lancé, pour voir si c'est gérable, pas gérable, si je dois changer, etc. Je ne sais pas. En tout cas, on démarre là-dessus. On verra comment on s'en sort. Mais j'ai vraiment envie qu'il y ait ce service ajouté qui est, on va vraiment vous chercher des super bons traiteurs, petits artisans ou même semi-industriels mais avec des trucs vraiment, qui sont vraiment très très bien faits, parce que c'est pas parce qu'il y a des machines ... que les ingrédients sont mauvais et que les personnes sont mauvaises, loin de là, ça peut être vraiment très très bon aussi. On va aussi peut-être mettre des fruits pour des agriculteurs, enfin les fraises à certains moments, voilà, ça peut être vraiment très très chouette, enfin ce genre de choses. On va aussi mettre des glaces aussi, ça j'ai pas dit, un frigo congélateur, et donc avec de la glace et avec certains autres produits glacés qui vont varier en fonction des saisons. Après la glace, on en achète en général toute l'année, plus que ce que je pensais, mais il pourrait y avoir aussi d'autres choses dedans, voilà. Il y a tout ce qui est aspect peint, ou là je ne sais pas encore, parce que vraiment ça demande du remplissage tous les jours. Ça demande à ce que ce soit fait aussi à une certaine heure, parce qu'on ne peut pas venir remplir à 17h. Ça ne sert à rien, il n'y a plus personne, demain il est plus bon. Donc ça, je suis encore un petit peu plus réticente, on va tester. Ou pas, on verra bien. Voilà, donc ça c'est un petit peu le projet pour l'avant de la boutique. L'arrière, alors j'ai 100 m². Mais là m'a donné une super idée, elle m'a dit fais une salle de danse et une salle de yoga etc. Donc tu mets des miroirs et tu mets une sono et tu la loues. Et bah franchement je trouve ça génial parce que là, il faut savoir qu'on a deux entrées indépendantes, donc sans vraiment faire de gros travaux, je dois mettre une porte à un autre endroit tout ça, je peux le faire. Donc ça c'est possible, il faut aussi se dire que je dois garder un espace de stockage pour mes denrées alimentaires, voilà, mais ça j'ai d'autres, j'ai un bureau devant. où là on va mettre vraiment un bureau, je dois pouvoir travailler de là-bas aussi, je dois pouvoir me partager entre les deux, même si je compte pas être là-bas trop souvent, mais parfois pour des livraisons etc, bref il faut quelqu'un, il faut une imprimante pour faire les tournées des livraisons quand il y aura plusieurs machines etc quand il y aura plusieurs machines, 2 secondes je vous parle d'objectif, je vous parle pas de ce qui va se passer en 2 secondes 30 c'est du boulot, ça fait des mois que je travaille dessus, peut-être, ouais si ça fait quand même 2-3 mois, et il y a encore vraiment beaucoup de boulot. Donc c'est du revenu passif ultra actif pour le moment. Donc voilà. Et donc je dois pouvoir mettre mon stock, que ce soit du congelé, que ce soit du frais, que ce soit du non frais, etc. On doit pouvoir faire ça. Voilà. Donc je me réjouis de lancer ce projet. On est vraiment absolument en plein dedans. On est dans tout ce qui est travaux, etc. Je vais essayer de... Enfin, je ne vais pas essayer, je vais vous garder avec moi, soit par des épisodes de podcast qui sont un petit peu... qui vous explique un petit peu l'état d'avancement. Je pense que ça peut être sympa. Et en plus, si vous le suivez, vous décidez, vous écoutez le podcast ou vous ne l'écoutez pas, mais vous suivez les aventures ou pas. Et en tout cas, je m'engage à le faire sur mon compte Instagram et ma page Facebook pour pouvoir vous montrer ça un petit peu. Peut-être aussi sur YouTube, on va voir. Donc ça, c'était le premier objectif qui a déjà pris une demi-heure alors que j'avais dit que je ferais un podcast d'une demi-heure. Bref. Mon deuxième objectif, je vais en parler moins longtemps, mais je veux prendre en main mes finances. Je me suis rendue compte que s'il nous arrivait quelque chose au niveau du couple, que ce soit une séparation, ça peut toujours arriver, que ce soit, heureusement, là on s'entend bien, mais franchement, ça peut vraiment arriver, que ce soit le décès de mon mari, même si on a des assurances par rapport à ça, donc le logement, etc., ça va, mais quand même, bah en fait, je ne suis pas si préparée que ça. Pareil pour ma pension, je suis indépendante, j'aurais vraiment rien, vraiment. Et donc j'ai toujours, j'ai beau créer 10 emplois, moi on me payera pas du tout ma pension, on me dira pas du tout merci après. Donc on me dira, ah mais t'as été indépendante, t'avais qu'à mettre de côté, etc. Comme si tous les indépendants gagnaient des milliards. Mais ok, mais du coup ça veut dire qu'à un moment donné je dois m'en occuper et pas, j'ai tendance à attendre de gagner plus. Mais non en fait, tu dois le faire maintenant ma fille. Donc je n'ai encore rien fait, à part que je commence vraiment à me former. Donc comment j'écoute... plein de podcasts sur les finances personnelles, sur l'investissement immobilier, etc. On est la moyenne des gens qui nous entourent. Vous vous entourez de personnes physiques, mais vous vous entourez aussi de personnes via les écrans, via ce que vous consommez en termes de contenu. Là, vous êtes en train de vous entourer de moi, parce que vous avez décidé de m'écouter, merci pour ça, mais ça veut dire que je suis en train de mettre des choses dans votre cerveau. Vous avez décidé qu'au lieu d'écouter quelque chose sur un sujet qui ne vous apportait peut-être rien, qu'au lieu... Alors j'espère que je vous apportais la valeur. qu'au lieu d'écouter de la musique, qui vous apportait peut-être de la très bonne humeur, ou pas, ça dépend, vous alliez écouter quelqu'un qui parlait business, qui parlait objectif, qui parlait aller de l'avant, qui parlait obstacle aussi, et qui parlait défi. Donc, les gens dont vous vous entourez influent sur ce que vous allez faire. Je vous promets que si vous écoutez pendant six mois des gens parler d'investissement immobilier, après six mois, vous allez faire de l'investissement immobilier. En tout cas, vous allez vous mettre en marche pour pouvoir le faire. C'est ce que je suis en train de faire. Je suis en train de me remplir la tête d'idées, d'histoires de personnes, surtout via les podcasts parce que c'est plus facile pour moi, parce que je peux marcher, courir, faire autre chose, conduire, que de regarder des vidéos où là vraiment, pour moi c'est plus compliqué. Ça me demande plus de temps, alors que les podcasts c'est génial, ça rentre dans les oreilles alors qu'on peut faire autre chose. Bref, je suis en train de me remplir, remplir, remplir, remplir de ça. Pour pouvoir acquérir le vocabulaire, pour pouvoir acquérir les bons questionnements qu'il faut, etc. Est-ce qu'à un moment donné, je m'offrirais une formation peut-être ? Je ne sais pas. En tout cas, là, ce n'est pas encore le moment parce que je ne sais pas encore exactement laquelle. Mais donc, mon point de départ, c'est que mes finances sont trop floues. Et pourtant, je ne me considère pas comme une grande dépensière. Alors, j'ai certains péchés mignons. Avant, c'était les tissus. Maintenant, du coup, j'ai créé une entreprise de tissus. Voilà, j'aime bien de bien manger. il y a des choses où ok je vais dépenser peut-être un peu plus que d'autres mais Ma voiture, elle a 10 ans. Je n'achète pas deux paires de chaussures tous les quatre matins. J'ai un bon manteau et puis c'est tout. Et encore, il n'était pas cher. Voilà, j'attends le patron de clafoutis de manteau. Et là, j'aurais des super manteaux. Je ne pars pas en vacances dans des trucs extravagants. Donc franchement, même en faisant ça, et en ayant un bon revenu, et mon mari a un bon revenu aussi, même en faisant ça, j'arrive... Alors, cette année, j'ai quand même... bien réussi à mettre de côté. Et j'ai commencé à investir. Donc j'ai investi plusieurs milliers d'euros de différentes façons. Je pourrais en parler dans un autre podcast, mais je ne suis pas du tout experte en investissement du tout. Donc voilà. Mais par contre, maintenant, il va falloir que ce soit pris en main sérieusement. Et donc, j'ai envie de tester de vivre sur un budget. « Live on a budget » , on dit en anglais. Ça se dit pas trop bien en français. Mais d'avoir en tout cas un budget, pas forcément à l'euro près, parce que j'ai peut-être pas envie de faire ça, mais en tout cas de me rendre compte de ce qui sort. Parce que je me rends pas toujours compte de ce qui sort. Et je crois que si je m'en rendais vraiment compte, il y a des trucs où je me dirais « Enfin, pourquoi t'as dépensé à ce moment-là ? Ça t'a rien rapporté, quoi. » Et donc il y a des choses que je m'empêche de faire pour le moment, notamment des voyages, parce que je considère que je n'ai pas assez de côté, je n'ai pas mis assez de côté j'ai mis beaucoup d'argent donc la foutue moi aussi Et donc, Klafoutis me doit de l'argent. Donc, ça, c'est aussi important de se dire, oui, je prends un salaire dans Klafoutis, mais Klafoutis me doit de l'argent. Klafoutis a une dette par rapport à moi, c'est-à-dire que ça s'appelle un compte courant gérant. Donc, ça veut dire que moi, j'ai prêté de l'argent à Klafoutis. Donc, on parle de plusieurs dizaines de milliers d'euros qui m'appartiennent, mais que je n'arrive pas toujours à sortir parce que quand on est en croissance, on a besoin de plus de fonds de roulement. C'est-à-dire qu'on a besoin de plus d'argent qui tourne dans la société. Et donc, on a beau être... rentable, que la foutue est rentable depuis toujours, je suis toujours rentable mais l'entreprise prend de plus en plus de cash parce qu'il y a un peu plus de stock parce qu'il y a eu des meubles, parce que tchik et tchak et donc les meubles il faut se rendre compte qu'on les amortit alors même s'il y a une partie que j'ai empruntée, j'ai un tout petit emprunt bancaire mais il y a quand même plein de choses que j'ai acheté cash j'aurais peut-être dû emprunter un peu plus et qui du coup s'amortissent dans ma comptabilité Merci. en plusieurs années, et donc diminue mon bénéfice d'une petite fraction, d'une fraction. Mais par contre, moi, c'est sorti de mon compte. Et donc, mon bénéfice a peut-être diminué de 1 000 euros. Un truc qui s'amortit sur 5 ans, chaque année, mon bénéfice diminue de 1 000 euros par rapport à cet investissement. Mais moi, j'ai sorti 5 000 d'un coup. Donc la trésorerie n'est pas forcément en corrélation avec la rentabilité. C'est sûr que quand on est super rentable, on a tendance à avoir plus de trésorerie, et que quand on est en perte, à un moment donné, on n'a plus assez de trésorerie, ok. mais ce n'est pas une relation directe et automatique. Bref, tout ça pour dire que je n'ai pas, à mon sens, une gestion de l'argent qui est suffisante, même si je ne suis pas là en train de le flamber, même si je ne suis pas endettée, ce genre de choses. Peu mieux faire, vraiment, peu mieux faire, surtout pour mon futur où là, peu mieux faire. Et donc, il faut que je décide et je n'ai pas envie d'aller sur des plans d'investissement à 2% par an, sauf si vraiment, fiscalement, c'est un peu plus intéressant. du 2% par an, on va me reprendre 25% à la fin, etc. Je pense qu'il y a vraiment mieux à faire que ça, quitte à avoir un peu plus de risques, certes, mais voilà, je pense qu'il y a quand même mieux à faire et à diversifier correctement. Mais je n'ai pas la formation pour le moment, je la cherche, je la prends, je la capte pour le moment énormément et donc j'apprends plein de choses. J'apprends surtout que je ne sais rien et que même dans un an, je ne saurais toujours rien, mais au moins je saurais assez que pour pouvoir prendre certaines décisions, décisions que je prends déjà, j'investis par exemple de manière automatique. Tous les mois, je crois que je suis à 200 euros, comme ça vous savez tout, tous les mois, 200 euros d'investissement automatique dans des ETF. Donc ce sont des groupements de parts d'actions, en général, je fais en ultra simple, qui permettent de diversifier au lieu d'acheter un peu d'Apple, un peu de Tesla, un peu de Microsoft, un peu de machin, un peu de choses, vous achetez un ETF qui les reprend tous. Pas besoin d'aller forcément sur des ETF qui reprennent les actions américaines, surtout pour le moment, mais je ne fais pas de conseil d'investissement. Je répète bêtement ce que j'ai entendu à gauche ou à droite, donc franchement, ne m'écoutez pas là-dedans. Mais il n'y a pas que ça, ce n'est pas forcément toutes les plus grosses actions du monde. Donc concrètement, qu'est-ce que j'ai mis en place ? J'ai commencé à investir, ça s'est fait depuis quelques mois. J'ai fait un tableau dans lequel je mets mes investissements. Et l'objectif, c'est de venir, peut-être pas tous les mois sur tous les investissements, mais peut-être tous les six mois, de dire « Ok, ça c'était ma valeur initiale, ça c'est ma valeur actuelle. » Attention que tant que ce n'est pas vendu, si c'est des ETF, c'est juste une valeur fictive. parce que parfois on se dit oh mais j'ai perdu 5% vous n'avez rien perdu, vous n'avez pas vendu donc si c'est pas vendu, c'est pas vendu donc ce que moi je compte faire c'est mettre ma valeur de portefeuille en comptant ce que j'ai mis dedans et ma valeur de portefeuille en comptant ce qu'il vaut aujourd'hui et de me dire bah voilà pour le moment j'ai pris x% avec ce que j'ai fait, je vais pas le faire détail par détail mais voilà, sur les différentes plateformes parce que j'ai de l'argent sur eToro, j'ai de l'argent sur Haken pas beaucoup, en crypto 1 000 euros de bitcoin, je crois. Et j'ai de l'argent sur Trade Republic, qui est ce que je préfère pour le moment. Si vous voulez un code de parrainage, je n'ai jamais fait ça, mais si vous voulez un code de parrainage pour Trade Republic, n'hésitez pas, vous m'envoyez un message privé et je crois que ça se fait et que du coup, vous gagnez un montant en ETF, un truc comme ça. Ça peut vraiment valoir la peine, c'est cool. Peut-être que... Quand je le dis, ce n'est plus le cas, mais je crois que si. Contactez-moi si jamais ça vous intéresse. Alors, ça, c'était l'objectif numéro 2, prendre en main mes finances. Aussi bien pour, avec quels objectifs ? Évidemment, avec, alors, je veux voyager plus. Pour le moment, si je voyage, je vais descendre dans l'épargne que je ne considère pas suffisante. Je veux augmenter mon patrimoine pour qu'un voyage ait moins d'impact sur mes finances à long terme. Pour ça, je vais développer les distributeurs automatiques qui ne sont pas mon job principal, mais qui sont censés générer du cash flow que je voudrais pouvoir utiliser pour augmenter mon patrimoine. En augmentant mon patrimoine, j'augmente mes revenus dits passifs. Les revenus passifs ne sont jamais passifs. Faites bien attention. Passif, ça veut dire qu'on n'est pas forcément au comptoir en train de vendre quelque chose. L'immobilier, c'est du revenu dit passif. Vous vous rendez bien compte que ce n'est pas 100% passif, qu'il faut aller chercher les loyers si on ne les a pas, il faut louer des apparts, il faut faire des travaux, etc. Plus tous les problèmes qu'on peut avoir. Donc quand je dis passif, attention, c'est juste en opposition au revenu actif d'être là au boulot de telle heure à telle heure. Donc mes objectifs sont... Je veux augmenter mon patrimoine, certainement pas uniquement pour augmenter mon patrimoine, mais pour moi je veux être la retraitée qui peut déjà prendre sa pension plus jeune si elle a envie, ou en tout cas fortement diminuer sa charge de travail si elle a envie. Je veux avoir cette liberté de faire le job que je veux, mais ça je l'ai déjà. Donc ça c'est fait, check. Je voulais atteindre un certain niveau de revenu, je l'avais noté, etc. il y a 4 ans, c'est bon j'y suis, donc je suis complètement libre par rapport à ça. Pas libre de ne pas travailler, c'est pas du tout un job de rentier, pas du tout, mais... Je suis libre de faire vraiment ce que je veux, j'adore ce que je fais. Et donc, objectif numéro un, augmenter mon patrimoine pour pouvoir me générer des revenus et faire en sorte que mes loisirs, mes vacances, que j'ai vraiment envie de faire beaucoup plus, j'ai envie d'aller vraiment faire des beaux voyages en prenant le temps de découvrir lentement des régions. Pas faire du shopping de voyage, là, comme ça, j'ai pas envie. Mais pour ça, il faut avoir le temps. Si je dois avoir le temps, ça veut dire que je peux lâcher mon boulot pendant X semaines pour pouvoir aller en profiter. Donc, il y a des choses à automatiser. Donc la foutue, il y a pas mal de choses qui me le permettent. Il va falloir que je fasse la même chose avec l'activité suivante. Premier objectif, patrimoine. Pour l'objectif, vraiment, c'est avoir le style de vie que je veux. C'est-à-dire, oui, certes, partir en vacances, ne pas être stressée par rapport à l'argent. Faire en sorte que ma fille puisse avoir ce dont elle a besoin via son patrimoine. Et en même temps, l'éduquer très correctement financièrement. Parce qu'on ne va pas lâcher des billets comme ça. Donc voilà. Elle est très autonomisée. Je pourrais aussi en faire un autre épisode de podcast si besoin. Ça, c'est très important pour moi de ne pas avoir un enfant avec une cuillère en argent dans la bouche parce qu'après, c'est plus compliqué, je crois, après d'avoir la... Même si elle nous voit travailler, elle aura la valeur travail, j'espère. Mais voilà, j'ai vraiment envie qu'elle puisse avoir, elle, l'éducation financière que moi, je n'ai pas eue. Pas parce que j'ai une très mauvaise éducation financière, mais simplement parce que mes parents gèrent très bien. Ils ont acheté, eux, ils ont investi dans... Voilà, je n'ai pas besoin de raconter la vie de mes parents ici, mais ils ont... On a quand même toujours eu une petite notion d'investissement, pas ultra présente, mais elle était là quand même. Et donc, j'ai quand même déjà vu ça. Donc, je ne viens pas de très, très loin. Je ne viens pas de parents qui sont endettés, etc. Pas du tout. Souvent, on entend des histoires comme ça. Et donc, mes parents étaient endettés. Et donc, on a failli leur reprendre leur maison. Et donc, à ce moment-là, je me suis rendu compte et je me suis pris une claque. Moi, je viens pas de là. Et donc, je me réveille à 38 ans en me disant, tiens, t'as pas trop, trop bien géré ton truc. Voilà. est-ce que je demandais la claque plutôt ? non pas forcément ... La vie est faite comme elle est faite, il y a du positif et du négatif, je n'ai pas eu ce traumatisme-là. Par contre, du coup, je n'ai pas eu cette urgence-là non plus de me rendre financièrement indépendante. D'accord ? Donc maintenant, j'ai envie de le faire. Maintenant, j'ai vraiment envie de le faire. Je vois aussi plein de femmes qui ne le sont pas, qui en fait ont des problèmes à quitter leur conjoint parce qu'en fait, il y a le côté financier qui est dedans et ça, ça me révolte parce que je ne trouve pas ça juste et souvent, c'est dans ce sens-là. Et donc là, je me suis dit, mais moi, le jour où je veux le faire, alors heureusement je ne veux pas du tout le faire mais... Je veux que ce soit une option et donc qu'en fait, ma liberté ne soit pas conditionnée au revenu du ménage, etc. et que j'ai mes affaires. Pourtant, on a investi ensemble. Donc là, la nouvelle société, ce sera avec mon mari. Ce n'est pas un problème, mais on crée de la valeur pour tous les deux. D'accord ? Je ne me mets pas en retrait pour que lui puisse avancer sans avoir une sécurité moi-même. L'amour, c'est très beau, mais il faut se sentir en sécurité autant l'un que l'autre. Objectif numéro 3. Après ça, l'objectif santé. Donc là, j'ai vraiment repris en main ma santé sans chercher la perfection. Ce n'est pas mon objectif, mais j'ai tendance à prendre du poids, les kilos, un après l'autre chaque année. C'est un peu trop. Là, ça ne me convient plus trop. Et en même temps, je ne vis pas très, très mal non plus, mais voilà. Donc, entrepreneur plus maman, avoir plein de projets, ça fait en sorte que souvent l'alimentation et le temps pour soi passent au dernier plan. Et donc, je me fais aider d'une coach qui est super, qui s'appelle Delphine Moniot. ou Delphine Delicourt, ça dépend où vous la trouvez. C'est son nom de jeune fille et son nom d'épouse. Je crois que la société s'appelle Feeder Better Stronger, je peux mettre la description, enfin le lien. Ça vaut franchement de la peine, c'est super top et donc elle m'accompagne sur 4 mois. Et alors on essaie vraiment d'aller enlever les blocages parce que moi j'ai toute la formation concernant la nourriture saine, je ne crois pas qu'en mangeant, je ne sais pas moi, des galettes de riz, je suis en train de faire régime. Donc je suis bien au courant que c'est que du sucre. Enfin voilà, ce genre de choses, je suis déjà bien bien bien éduquée. J'ai déjà fait des formations en cuisine vivante, j'ai déjà lu je ne sais combien de livres sur la cuisine saine, etc. Donc ce n'est pas une question d'éducation, c'est une question d'automatisme, de besoin de liberté que je mets dans la nourriture. Donc ça je prends en main le côté vraiment psychologique et mis en action par rapport à ma santé, qu'il soit aussi bien du mouvement. Là je suis à au moins 4-5 séances de sport par semaine, mais le sport que j'aime bien, donc je vais courir une demi-heure, ou je vais courir une heure, ou je vais nager, ou je vais faire du vélo, je prépare mon triathlon. Je fais quelque chose d'un peu plus musculaire chez moi, mais ça en général, je n'aime pas, donc je le fais pas. Voilà. Objectif numéro 4, donner encore plus d'autonomie à Clafoutis. Je veux que Clafoutis puisse tourner sans moi si je me casse le bras demain. Allez, le bras, ce n'est pas très grave, mais si je devais, pour x, y raison, disparaître pendant deux mois demain, je voudrais que Clafoutis soit capable de vivre sans moi. Donc il y a des choses que je délègue à d'autres personnes. Je ne délègue pas le visage de la marque, je ne délègue pas les lives, je ne délègue pas les shootings, toute la partie vraiment. communication, créativité, etc. J'ai vraiment envie de la garder. Si vraiment il fallait, quelqu'un pourrait reprendre à ma place au dernier moment et on ferait avec et c'est super. Par contre, je délègue vraiment toutes les choses que je peux. Ce n'est pas de l'automatisation, c'est vraiment de la délégation. Par exemple, ici, je délègue la création des pages produits quand il y a un nouveau patron qui sort. Pourquoi ? Parce qu'en fait, je me suis rendue compte que ça fait 40 fois que je le fais, quelque chose comme ça. Et donc, je fais des erreurs, parce que je n'ai pas un profil pour faire 40 fois la même chose. Donc, je fais des erreurs de la fille qui n'a pas le profil pour faire 40 fois la même chose. Et je fais quoi ? Je me trompe parce que j'y vais un petit peu trop au talent, et donc j'oublie un tableau de mesure où je mets deux fois le même. Le code de réduction du gang, j'oublie de l'activer. Enfin, ce genre de choses, parce que moi, je n'ai pas de procédure, tout est dans ma tête. Si on me met une procédure, je ne vais pas la suivre. Voilà, ça ne sert à rien de me faire des super procédures, je ne les suis pas. je suis pas la fille qui suit les modes d'emploi, tout ça, tout ça, sauf pour sa machine à coudre, ça quand même. Et en fait, il y a des gens qui sont meilleurs que moi pour ça. Donc moi, je vais écrire le texte de base, donc ce qui va être dedans, je l'aurai écrit. Mais par contre, le planifier, mettre les bonnes choses aux bons endroits, tout ça, mettre les bonnes photos, les bons prix, etc., moi je fais toujours bien une erreur quelque part, simplement parce que j'ai été trop vite, et surtout, je suis pas... Voilà, je suis... Alors, ça fonctionne, mais quelqu'un d'autre peut le faire à ma place. Or moi j'ai plus de valeur à aller générer de la valeur à d'autres endroits, faire d'autres shootings. J'ai plein, plein, plein, plein d'idées que je peux faire. Et donc ça, je délègue. Donc ça, c'est un de mes objectifs aussi, de me dire, OK, est-ce que demain, Clafoutis peut vivre sans moi pendant deux mois ? Là, pour le moment, ce serait trop compliqué, mais si j'ai réussi ça fin 2025, quitte à ce que je sois à distance, parce que j'ai envie de pouvoir le faire aussi, de faire un beau voyage et donc de pouvoir travailler à distance pendant deux mois, est-ce que ça fonctionne ? On verra bien. Donc ça, c'est mon objectif. on en parlera après Enfin, on parlera fin de l'année, voir si j'ai réussi. Je reprendrai ce podcast et je me dirai, oula, ça j'ai raté. Ouh, ça j'ai réussi. Ouh, ça je ne m'y attendais pas. Et donc, conclusion, l'année 2025, c'est une année où je vais m'autoriser à me disperser. Parce que Clafoutis est mis en place, tout est relatif, évidemment. Mais en tout cas, le gros des vagues est passé. Le déménagement, le deuxième déménagement, le troisième déménagement, le lancement de l'application, etc. La stabilisation de l'équipe, tout ça. En fait, c'est fait. Et donc, il y aura toujours des trucs qui vont arriver. Mais le lancement de nos propres collections de tissus, tout ça, ça s'est fait. Et donc, il y a encore plein, plein, plein de choses à faire. J'ai encore plein d'idées dedans. Mais je veux vraiment me focaliser, moi, sur les projets, les idées, la créativité. Et pouvoir déléguer le reste. Et donc, je m'autorise à me disperser toute l'année 2025 pour trouver plein d'idées. Parce que plus je fais ça, plus j'écoute des podcasts, des podcasts. J'ai des idées, mais... Mais dans tous les sens, j'ai des idées géniales et j'ai des idées de merde, mais pour pouvoir avoir une idée géniale, il faut avoir 42 idées complètement débiles et complètement pas possibles ou complètement ratées ou c'est pas le moment, enfin j'en sais rien, mais faut pas se dire, ah non moi je vais pas faire, je vais pas bouger, je vais pas essayer des trucs, je vais pas me renseigner parce que ça sert à rien, ce sera probablement pas une bonne idée. Bah oui, évidemment que ce sera probablement pas une bonne idée, vous croyez que j'ai eu combien d'idées avant de lancer Clafoutis ? Plein ! J'ai passé, je voulais que ce soit dans la couture, mais j'ai passé un temps. dingue, un temps infini à surfer à gauche, à droite, à essayer de comprendre le truc, etc. Et je me suis formée. À un moment donné, je suis devenue experte de mon marché. Évidemment, expert, c'est juste la personne qui connaît 90%, 90% de plus que les autres. Enfin, qui connaît plus que 90% ou 90% du reste de la population. Donc, expert ne veut pas dire qu'on a un bac plus 5 en couture. C'est pas du tout ça. Mais par contre, je savais dans quoi je m'engageais. Plus ou moins, en tout cas. Et donc ici, ce que je veux faire, c'est, ok, je me permets d'ouvrir des portes. Je vais ouvrir des portes, ouvrir des portes, ouvrir des portes. Du coup, fermer la porte. Fermer, fermer, fermer. Partir de manière ultra enthousiaste sur un sujet. Et puis, ah bah non, finalement, ça ne s'est pas fait. Je me laisse faire. Et donc, je vais vous parler de choses de manière ultra enthousiaste, comme je vous ai dit. Surtout en story. Mais en fait, au final, je ne les ferai pas. C'est ok. C'est complètement ok. Je veux aussi vous parler de beaucoup de bouquins, j'ai vraiment envie de reprendre la lecture, même si le podcast, il n'y a rien à faire. nous permet de faire deux choses en même temps et donc surtout de combler les temps morts où le cerveau n'est pas obligatoirement utile. Quand je conduis, je peux très bien écouter un podcast, c'est beaucoup plus intéressant. Ce que j'ai envie de vous inspirer et pourquoi est-ce que je vous fais un podcast de presque une heure pour vous parler de mes objectifs de 2025, de nouveau, ce n'est pas pour raconter ma vie. Vous savez bien que je ne passe pas mon temps à raconter ma vie, ce que j'ai mangé, ce que fait ma fille, etc. J'ai quand même, en parlant de ma fille, un très gros objectif qui est un objectif d'instruction à domicile. Et donc qu'elle puisse, enfin à domicile, en famille. et donc qu'elle puisse voyager beaucoup plus avec nous et qu'elle puisse vivre plus avec nous. Pour le moment, elle est dans une école alternative, elle y va trois jours semaine, mais elle y va pas tout le temps. Le reste du temps, ne vous tracassez pas, elle est pas mise devant un écran. Donc elle fait des trucs aussi bien là-bas que chez nous qui sont ultra intéressants. Donc elle est en contact avec des enfants tout le temps. Cette nuit, elle dormait chez nos voisins et puis elle est restée chez nous toute la journée. Ils sont pas scolarisés non plus, vous voyez. Entourez-vous de gens, là, je l'ai pas fait exprès, même si je l'avais rencontré juste avant, la dame qui vient de... de construire en face de chez nous, parce qu'on avait des enfants du même âge et qu'on avait la même optique d'instruction en famille, elle le fait chez elle, moi je fais de manière hybride. Et donc ce que je veux vous inspirer ici, c'est je ne savais pas, il y a 4 ans, que je pouvais construire la vie que j'avais aujourd'hui, mais je l'ai quand même écrit. Je veux tel revenu, je veux être libre de mes mouvements, je veux être libre de mes horaires. Est-ce que je suis libre à 100% ? Non, les portes ouvertes, je suis là. Mais j'ai quand même une liberté dingue. Il fait chaud, j'ai envie d'aller au soleil, je vais le faire. Oui, je vais travailler le soir, mais c'est ma liberté, j'ai choisi ma contrainte. Personne ne me dit... Maintenant, tu vas faire ça. Jamais. Moi, c'est quelque chose qui ne me convient pas bien. C'est pour ça que j'essaie de laisser beaucoup de liberté aussi dans l'organisation du travail des personnes qui travaillent avec moi, même si des fois, on me demande un peu plus de cadre, mais j'essaie aussi de donner beaucoup de liberté. Et donc, ce que j'ai envie de vous inspirer, c'est de vous dire, c'est quoi vous, vos intentions pour 2025 ? Pas en mode bonne résolution, on n'est plus en janvier, c'est bon, c'est fait. Mais qu'est-ce que vous avez vraiment envie d'aller explorer ? Où est-ce que vous vous laissez de la latitude pour aller explorer des nouvelles choses ? Comment est-ce que vous allez faire ça ? Et donc, je vous pose la question. N'hésitez pas à, évidemment, me le dire en commentaire des vidéos, en message privé sur Instagram, etc. Ou éventuellement sur Facebook, mais je les vois moins. C'est plus Natacha qui les voit, je les vois plus sur Instagram. Donc dites-moi, qu'est-ce que vous vous autorisez à explorer ? Moi, je m'autorise à explorer le côté santé. Je m'autorise à explorer les distributeurs automatiques. pour finalement peut-être ne pas les faire, mais ça m'étonnerait parce qu'il y a quand même des contrats qui sont déjà signés. Et je m'autorise à explorer les finances personnelles pour après pouvoir prendre des meilleurs choix. Et dernier point, je m'autorise à explorer tout ce que je peux tester, d'automatiser, de déléguer correctement dans Klafoutis pour que ça reste bien fait, que ce soit efficace, que ce soit confortable pour la personne qui a cette tâche, qu'elle ne soit pas dépendante de moi, c'est-à-dire, et qu'on puisse avancer comme ça et toujours proposer des super beaux tissus dans Klafoutis et continuer avec des super beaux patrons. Donc voilà. J'ai été plus que complète, j'ai dépassé ma demi-heure, je dois aller chercher ma fille, ça ne se dit pas dans un podcast, mais en fait, la réalité d'une maman qui entreprend, c'est ça, c'est que je regarde l'heure depuis tout à l'heure, et que je dois maintenant aller la chercher. Donc je vous laisse, je vous laisse me donner plein d'étoiles, parce que vous savez bien que c'est ça qui est super important pour un podcast, donc si vous n'êtes pas encore abonné, s'il vous plaît, venez-vous. si vous n'avez pas encore mis d'étoiles, mettez plein d'étoiles et on se retrouve pour le prochain épisode à très bientôt

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