Speaker #1On va se retrouver dans ce nouvel épisode de podcast. Et aujourd'hui, j'ai envie de te partager mon expérience de manger végétal à l'étranger et en plus sur les routes. Nous mangeons jusqu'à 3 repas voire plus par jour, alors la question de se nourrir est quelque chose qui tourne en fond dans notre tête. Alors, quand on a une alimentation qui n'est pas conventionnelle ou ne fait pas partie de la majorité, la question de s'alimenter peut déjà être angoissante dans son propre pays, mais à l'étranger, cela peut nous prendre la tête, nous inquiéter. C'est ainsi que j'ai décidé de partager ma propre expérience lors de mon voyage en Ecosse. Parce que chouette, tu as décidé de prendre de bonnes résolutions, de vouloir... agir pour un monde meilleur, changer le monde une assiette à la fois, mais voilà, tu pars en vacances et tu te dis zut, qu'est-ce que je vais bien pouvoir manger, est-ce que je vais pouvoir manger comme d'habitude ou est-ce que je dois renoncer à mes valeurs ou mes convictions ? J'ai une bonne nouvelle pour toi, oui, tu vas pouvoir continuer à agir à ton échelle et continuer à changer le monde grâce à ton assiette. Tu vas voir, c'est possible de partir en vacances et continuer à manger végétal et c'est pour cela qu'aujourd'hui j'ai envie de te partager ma propre expérience. Alors, Alors pour mettre un peu de contexte, je suis parti en Ecosse avec une amie pour découvrir ce magnifique pays. Nous avons décidé de le découvrir en van, nous trouvions que c'était le meilleur moyen pour nous de visiter ce pays. Nous avions organisé notre départ, notre trajet, mais en ce qui concerne l'alimentation, nous n'avons rien planifié à l'avance. Parce qu'avec l'expérience acquise depuis maintenant plus de 7 ans, à me nourrir de manière végétale, je ne voyais aucune contrainte à voyager en van en Ecosse et à manger de manière végétale tout au long de notre séjour. Déjà là, on peut se dire, manger végétal à l'étranger ça peut paraître un challenge. Mais à cela se rajoute le fait qu'on ne voulait pas faire exploser notre budget. Donc nous avons choisi de cuisiner le plus possible. Et également le fait que mon amie soit intolérante au gluten, ce qui fait que nous avons dû redoubler de créativité pour cuisiner végétal et sans gluten sur les routes. Alors c'est parti pour cette aventure. La première chose avant de rentrer dans le sujet, en voyageant en van je me suis rendu compte de quelque chose que l'on peut vite oublier et de prendre pour acquis. C'est le confort que nous avons au quotidien. Pour la plupart d'entre nous, nous avons la chance d'avoir de l'eau en continu et du fait de ne pas se soucier de savoir si nous en avons accès. Avoir accès à l'eau est une richesse, quelque chose de précieux et on ne se rend pas forcément compte mais cette richesse peut s'épuiser, se contaminer. Nous avons également un endroit plus ou moins grand pour cuisiner, accès à de l'électricité qui nous permet à la fois de chauffer et conserver nos aliments. Cette aventure en Vannes m'a permis de me rendre compte que nous avions un réel confort que nous prenions trop pour acquis, sans faire attention à ceux qui n'y ont pas forcément accès ou aussi au fait que ces ressources peuvent aussi avoir un impact sur notre planète. Cette semaine en van m'a confrontée à la réalité des ressources limitées. Une leçon qui est non seulement applicable quand on voyage, mais qui devrait aussi influencer notre quotidien. Même lorsque nous sommes confortablement installés chez nous, pensez à chaque goutte d'eau que nous utilisons, parce que chaque goutte d'eau compte. Réfléchir à la quantité d'énergie nécessaire pour chauffer notre nourriture ou pour la conserver au frais. Ce sont des aspects de notre vie que nous considérons souvent comme infinis ou automatiques. Ce mode de vie plus restreint m'a aussi poussé à réfléchir sur la manière dont nous pourrions réduire notre impact environnemental. Par exemple, en adoptant des pratiques telles que le recyclage de l'eau, l'utilisation de ressources d'énergie renouvelables, de changer notre manière de manger par exemple dans la nécessité de cuire tous nos aliments, et bien sûr en étant plus conscient de notre consommation alimentaire. Imagine si chacun de nous prenait ces petites mesures. L'impact cumulé pourrait être énorme. Je sais que dans le monde, il y a des communautés qui par nécessité ou par choix vivre de manière beaucoup plus durable. Ce voyage m'enseigne qu'il est possible de vivre avec moins tout en trouvant la satisfaction dans la simplicité et la préservation de nos ressources naturelles. Cette expérience m'a fait réaliser la valeur de ce que nous avons et le pouvoir que nous avons pour changer la façon dont nous utilisons nos ressources. Ainsi, alors que nous voyageons ensemble vers une alimentation plus consciente et un style de vie plus durable, je t'invite à réfléchir à ton propre confort. Pense à toutes ces commodités que tu pourrais considérer différemment. Quel petit changement pourrais-tu faire pour réduire ton empreinte écologique ? Comment pourrais-tu apprécier et préserver les ressources que tu as la chance de posséder ? Ce n'est pas seulement un acte de survie, mais un acte de respect envers notre planète et nos générations futures. Nous avons tous un rôle à jouer dans la protection de notre monde. Commençons par apprécier et prendre soin de ce que nous tenons pour acquis, transformant notre gratitude en actions qui soutiennent un avenir plus durable. Maintenant, pour en revenir à notre sujet sur manger végétal sur la route, il y a un aspect à prendre en compte, c'est la conservation des aliments. Comment gérer ses provisions sans réfrigérateur ? ou avec un petit réfrigérateur. A vrai dire, la planification est quand même essentielle dans ce voyage en van. Pour moi, elle s'est faite de manière naturelle et je dirais même de manière inconsciente. Je savais plus ou moins ce que nous pouvions acheter et manger. Peut-être parce que j'ai l'habitude de cuisiner mes plats, que je sais ce que je peux acheter pour être sûre de manger végétal. Quand je parle de planification, c'est passé par le fait de savoir que nous n'avions pas de réfrigérateur. Donc nous devions prévoir d'acheter des produits qui se conservent sans réfrigérateur. Nous avions une glacière et heureusement que la température ne dépassait pas les 17°C. Nous avons donc opté pour des légumes qui puissent se manger crues, comme par exemple les tomates, les carottes, les concombres. Ensuite, nous avons choisi comme céréales le quinoa, c'est quelque chose qui est facile à cuire. Et enfin... nous avons opté pour des conserves, ce qui nous a permis de conserver sans frigo, donc par exemple des soupe, des lentilles et des pois chiches. En ce qui concerne comment acheter des aliments végétaux frais et économiques, en Écosse, nous nous rendions dans des supermarchés puisque nous ne connaissions pas bien le pays et que notre objectif était de nous rendre hors des grandes villes. Donc nous n'avions pas forcément d'informations concernant les marchés locaux, mais nous avons réussi à trouver tout ce que nous avons besoin dans les supermarchés. Maintenant, passons sur la route. Vu que nous avions choisi de manger principalement cru, nous n'avions pas trop à nous en faire puisque nous ne sommes pas lancés dans de grands plats mijotés. Mais nous avions quand même à disposition un réchaud avec New Gans, ce qui nous a permis de réchauffer des soupes, mais également de nous faire quelques plats chauds quand on avait froid. Voyager en van, c'est embrasser la simplicité et l'innovation, surtout quand il s'agit de préparer des repas. Lorsque l'espace est rétreint, chaque choix d'équipement et chaque technique de préparation compte doublement. Aujourd'hui, je vais partager avec toi des astuces et des stratégies pour cuisiner des plats végétaux, délicieux et nutritifs, même dans une cuisine compacte en van. Pour cela nous avons comme équipement à disposition un richeau à gaz portable comme je te l'ai déjà dit. C'est compact et facile à utiliser et un richeau à gaz est parfait pour tout cuire comme par exemple notre quinoa ou réchauffer notre soupe. Ensuite nous avons également à disposition une casserole et une poêle mais lors de nos voyages nous avons seulement utilisé la casserole. Ensuite un essentiel c'est la planche à découper, donc nous elle était petite et légère ce qui était très pratique pour la ranger et l'utiliser tout au long de notre séjour. Et enfin des couverts et des couteaux qui coupent, c'est indispensable pour cuisiner et manger. Cuisiner en van demande un peu de créativité et un peu d'organisation. Et voici comment optimiser ce processus. Nous ne cuisons jamais à l'avance afin de ne pas avoir de problème de conservation vu qu'on n'avait pas de réfrigérateur. Pour le midi, quand nous étions en rando ou que nous ne pouvions pas cuisiner, nous options pour des sandwiches, des tartines. Le soir quand nous arrivions au lieu pour passer la nuit ou alors le midi et qu'on avait le temps de cuisiner, avant de partir explorer les environs, nous commencions toujours parce que nous devions chauffer. Pendant cela, nous pouvons préparer les légumes. ou le reste de la salade. Ensuite, quelque chose d'autre qui peut faciliter l'organisation, c'est que sur certains repas, nous cuisions en une seule casserole. Cela permettait de minimiser le lavage et l'utilisation de l'espace. Et enfin, nous avons utilisé des conserves et des aliments secs. Les légumineuses en conserve, les soupes, ainsi que le quinoa étaient des bases pratiques et nutritives pour nombreux de nos repas. En ce qui concerne maintenir un budget raisonnable concernant l'alimentation, a été plutôt simple, puisque nous avons acheté des produits que nous pourrions utiliser dans plusieurs repas. Par exemple le quinoa, une fois en salade avec des légumes, une autre fois en faisant mijoter avec d'autres légumineuses et des légumes. De même pour le houmous, à la fois utilisé pour nos tartines et nos salades. Bien évidemment, nous avons également rencontré des défis. Même si j'ai été surpris de trouver des alternatives végétales dans les petits supermarchés, alors qu'ici en France, lorsqu'on est reculé des grandes villes, nous peinons à en trouver. Nous avons rencontré des obstacles sur les options de pains sans gluten, qui sont rares et bien plus chers, mais aussi sur la composition des produits, comme par exemple les conserves. ou le sucre est rajouté systématiquement. Nous avons essayé de prendre les compositions les plus clean possible, mais nous avons dû faire des concessions sur certaines choses comme le sucre et les conservateurs. Je pense que si ce voyage aurait duré plus longtemps, ou si c'était pour y vivre plusieurs mois ou à l'année, j'aurais trouvé une solution pour faire le plus possible moi-même, ou complètement repenser ma façon de manger, mais là nous voulions faire au plus simple car nous préférions profiter des paysages sur notre semaine de vacances. Et ensuite l'autre concession que j'ai dû faire c'est la quantité de déchets. Malheureusement nous n'avions pas le choix du vrac, à part pour les légumes et encore, ceux proposés étaient tous dans du plastique. De même que sur les routes, nous aimons très peu de poubelles déjà, mais encore moins de poubelles de recyclage. Ceci est une partie plus négative de ce voyage, même si nous avons essayé de faire de notre mieux pour ne pas faire de déchets. Voyager en van, c'est adopter un mode de vie qui demande de l'adaptabilité et une bonne dose de créativité. Mais le végétal est tout à fait compatible et même peut-être plus simple qu'une alimentation avec des aliments d'origine animale. Avec mon ami, nous avons dû nous adapter. Mais rien de bien sorcier. et même avec son intolérance au gluten, nous nous en sommes bien sortis. Voici quelques stratégies et conseils qui pourraient t'aider si tu envisages une aventure similaire. 1. La planification minimale mais efficace. Avant de partir, plutôt que de planifier chaque repas à l'avance, envisage de déterminer le type d'aliments de base que tu pourrais acheter facilement et transformer en repas simples et nourrissants. Si tu as une glacière, utilise-la pour conserver les produits frais tels que les tomates, les carottes et les concombres. La flexibilité est essentielle mais... Un peu de préparation t'aidera à rester nourri et satisfait sans stress. 2. Choix des produits. Privilégiez les produits qui se conservent bien sans réfrigération. Les légumes crus, les conserves de légumineuses, de légumes, des soupes, des grains entiers comme par exemple le quinoa sont des choix parfaits pour des voyages en van. Ils sont faciles à préparer, nourrissants et ne nécessitent pas de conditions de conservation particulières. Ce qui les rend idéaux pour la vie sur la route. 3. Cuisiner sur un réchaud Un réchaud à gaz portable peut devenir ton meilleur ami sur la route. Il te permettra de préparer des repas chauds comme du quinoa, des soupes en conserve, ou alors des légumineuses et quelques plats mijotés si tu as le temps. Ce qui peut être réconfortant, surtout après une journée froide ou pluvieuse. Alors assure-toi d'avoir un équipement simple mais efficace qui pourra répondre à tes besoins culinaires sans prendre trop de place. Et enfin 4. La gestion des déchets. Lorsque tu voyages, surtout en van, la gestion des déchets peut devenir un défi majeur. Sois particulièrement conscient de minimiser tes déchets en choisissant des produits avec le moins d'emballage possible. Conserve tes déchets recyclables dans un sac séparé jusqu'à ce que tu trouves un point de recyclage approprié. Cette pratique non seulement aide à garder ton espace propre et organisé, mais contribue également à la protection de l'environnement. En résumé, voyager en van tout en maintenant une alimentation végétale nécessite un peu de préparation. de la flexibilité et un engagement envers un monde de vie durable. Avec ces conseils, tu peux profiter pleinement de ton aventure, tout en restant fidèle à tes valeurs alimentaires et environnementales. Lance-toi dans l'aventure avec confiance et enthousiasme, sachant que tu es bien préparé pour affronter les défis de la route tout en dégustant de délicieux repas végétaux. En vivant dans un espace aussi réduit et en ayant des ressources limitées, j'ai rapidement pris conscience de la valeur de chaque ressource à notre disposition, de l'eau au gaz, en passant par l'électricité. Chaque utilisation devenait une décision consciente. Cette expérience a renforcé mon engagement envers un monde de vie plus durable et respectueux de l'environnement. Ce n'est pas seulement un changement qui affecte le monde présent ou une situation temporaire, c'est une transformation qui influence durablement nos habitudes et notre façon de voir le monde. Cela me conduit à réfléchir sur la manière dont nous, en tant que société, pouvons intégrer cette leçon de vie quotidienne. Comment pouvons-nous appliquer cette conscientisation des ressources dans notre routine à la maison ? Comment ce respect accru de ces ressources naturelles peut-il influencer nos décisions ? de ce que nous achetons à la manière dont nous consommons. Je crois fermement que les petites actions conscientes peuvent accumuler d'énormes bénéfices environnementaux. Par exemple, si nous choisissons de réduire notre consommation d'eau, d'optimiser notre utilisation d'énergie ou de privilégier les aliments locaux et saisonniers, nous contribuons tous à un futur plus durable. Chaque petit choix, chaque décision réfléchie peut se propager et inspirer d'autres autour de nous, créant ainsi une vague de changements positifs. Alors, comment pouvons-nous rendre ces pratiques durables plus accessibles et réalisables pour chacun ? Commençons par partager des astuces et des stratégies pratiques pour intégrer ces habitudes dans notre quotidien, sans que cela ne devienne une corvée ou une source de stress. J'aimerais partager avec toi des stratégies que j'ai adoptées en route et comment tu peux facilement les appliquer chez toi pour continuer ensemble à changer le monde, une assiette et une décision à la fois. Cette aventure en Écosse n'a pas été seulement un voyage à travers de magnifiques paysages, mais aussi un voyage intérieur, une redécouverte de l'essentiel et un test sur ma capacité à rester fidèle à mes convictions, même loin de ma zone de confort habituelle. J'espère que le partage de cette expérience t'inspirera à explorer le monde tout en respectant tes choix alimentaires et environnementaux. Toutefois, malgré de nombreux avantages et les moments inspirants, ce voyage a également relevé des défis significatifs associés à un mode de vie végétal en déplacement, et en particulier avec le contexte aussi unique que celui de l'épreuve. Comme dans toute aventure, il y a des obstacles à surmonter. Le choix d'une alimentation végétale en voyageant peut présenter des défis spécifiques, surtout quand on se trouve dans des régions où nos préférences alimentaires sont moins courantes, Voici certains de ces inconvénients et des solutions que nous avons pu trouver pour les surmonter. En Écosse, nous avons souvent été confrontés à une gestion des aliments afin de ne pas engendrer plus de gaspillage alimentaire, ce qui a parfois rendu difficile le maintien d'une alimentation variée. De plus, les produits disponibles comme les conserves contenaient souvent des additifs comme le sucre et des conservateurs que nous préférions éviter. Nous avons donc appris à être plus flexibles avec nos options en intégrant des aliments qui ne faisaient pas partie de notre alimentation. Nous avons donc appris à être plus flexibles avec nos options en intégrant des aliments qui ne faisaient pas partie de notre alimentation habituelle, mais qui respectaient quand même nos principes végétaux. Nous avons également utilisé notre créativité pour transformer des ingrédients simples en repas savoureux et nutritifs, ce qui nous a permis de contourner le manque de diversité. Ensuite, un autre inconvénient, comme je l'ai déjà dit, c'était l'achat des produits pré-emballés. Inévitable dans certaines zones à entraîner une augmentation de nos déchets, ce qui nous préoccupait en raison de notre engagement envers l'environnement. Nous avons fait de notre mieux pour sélectionner des produits avec le moins d'emballages possibles ou des emballages recyclés. Nous avons conservé les déchets recyclables jusqu'à trouver un point de recyclage approprié, réduisant ainsi notre impact sur les sites locaux. Ces stratégies nous ont aidé à naviguer à travers ces défis et à renforcer notre détermination à vivre de manière plus durable, même loin de chez nous. En partageant ces expériences, j'espère t'encourager à envisager un voyage similaire, armé de connaissances qui te permettront de rester fidèle à tes convictions environnementales et alimentaires, ou que tu sois dans le monde. En parcourant les routes écossaises, entourées de paysages à couple du souffle et confrontés à des crises, à nos défis quotidiens, j'ai appris que chaque choix que nous faisions, chaque aliment que nous consommions et chaque déchet que nous produisons contribuent à façonner le monde dans lequel nous vivons. Ces stratégies nous ont non seulement aidé à naviguer à travers ces défis, mais elles ont aussi renforcé notre détermination à vivre de manière plus durable, même non de chez nous. En partageant cette expérience avec toi, aujourd'hui j'espère non seulement t'avoir inspiré à envisager un voyage similaire, mais aussi te pousser à réfléchir à la façon dont tu peux intégrer tes pratiques durables dans la vie quotidienne, que tu sois chez toi ou en voyage. Chaque petit pas compte et ensemble nous pouvons faire une grande différence. Si cette aventure te parle ou si tu as une expérience similaire à partager, je serais ravie de l'entendre. Alors rejoins-moi sur Instagram, partage tes propres astuces et défis, et inspirons-nous mutuellement pour continuer à changer le monde une assiette à la fois. Merci d'avoir écouté cet épisode, et je te dis à une prochaine fois pour une nouvelle aventure.