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Le journal d’une agoraphobe

Méditation guidée et thérapie : peut-on en tirer de vrais bénéfices ?

Méditation guidée et thérapie : peut-on en tirer de vrais bénéfices ?

07min |11/11/2024
Play
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07min |11/11/2024
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Description

Dans cet épisode, je partage une étape clé de mon parcours vers le mieux-être : ma découverte des bienfaits de la méditation guidée. Après un échange difficile avec ma psy, qui a provoqué un véritable blocage dans ma thérapie, j'ai trouvé un refuge dans la méditation guidée. Petit à petit, elle m’a offert un espace de calme et de positivité qui a contribué à mon processus de guérison. Bien sûr, elle ne remplace pas le suivi thérapeutique, mais elle a été un précieux soutien.

Points clés abordés

Blocage et rupture de l’alliance thérapeutique :
Lors d'une séance, ma psy a lâché une phrase qui m’a profondément déstabilisée. D'abord, j'ai ressenti de la culpabilité, puis de la colère. Cette rupture dans notre alliance thérapeutique a engendré un vrai ralentissement de ma progression.

YouTube et l’algorithme de la méditation guidée :
Face à ce blocage, j’ai trouvé du réconfort dans des vidéos de cohérence cardiaque sur YouTube. Celles-ci m’ont orientée vers des vidéos de méditation guidée, un univers complètement nouveau pour moi. Ces courtes séances ont été une source d’apaisement et de renforcement, même si je n’étais pas particulièrement portée sur la spiritualité.

Messages positifs et pensées répétées :
Les vidéos de méditation guidée m’ont permis de contrer les pensées négatives qui tournaient en boucle dans mon esprit. Les messages positifs diffusés pendant ces méditations m’ont fait un bien fou en reprogrammant un peu mon mental.

Prendre soin de soi au quotidien :
Dix à quinze minutes de méditation guidée chaque matin, un moment rien que pour moi, ont été une bouffée d'oxygène dans mes journées. Ces petites pauses m'ont aidée à me reconnecter à moi-même et à démarrer chaque journée dans un bon état d’esprit.

Importance de la thérapie et de la méditation :
Je tiens à rappeler que la méditation guidée est un complément, pas un substitut à la thérapie avec un professionnel de la santé mentale. Mais elle peut être un vrai catalyseur de sérénité au quotidien !

Liens mentionnés :

  • Épisode "Une personne phobique tire-t-elle toujours un bénéfice de cette même phobie ?" : [Écouter ici]

Soutenir ce podcast gratuitement :

Si cet épisode vous a apporté un peu d'inspiration ou des pistes de réflexion, n’hésitez pas à le noter et à laisser un commentaire. Cela aide beaucoup d’autres personnes à le découvrir. Abonnez-vous pour ne manquer aucun épisode !


Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

Transcription

  • Speaker #0

    Bonjour et bienvenue dans ce 18e épisode du journal d'une agoraphobe. Que vous soyez un auditeur fidèle ou que ce soit votre première écoute, je suis ravie de vous accueillir ici. Dans ce podcast, je partage mon parcours d'ancienne agoraphobe. Je ne suis ni médecin ni thérapeute, mais si mon humble expérience apporte d'une part quelques pistes pour un certain nombre d'entre vous, et qu'elle contribue à une certaine libération de la parole sur un sujet qui stigmatise bien trop de personnes, eh bien, mission accomplie. La question de la semaine dernière était « Tirons-nous toujours des bénéfices de nos phobies ? » Une problématique posée par ma psy en fin de séance. Pas sous forme de question d'ailleurs, mais sous forme d'affirmation. Elle a lâché cette affirmation en fin de séance comme une bombe et m'a laissé me débattre en pleine déflagration. Je vous mets un lien vers cet épisode dans les notes. Mais pour résumer, mon premier réflexe a été de culpabiliser. Et oui, selon la logique de ma psy, je ne sors pas de la maison, non accompagnée, pour aller acheter ne serait-ce qu'une baquette de pain, ce qui est handicapant pour moi, mais surtout pour mon entourage. Et je fais cela parce que j'en tire des bénéfices. Avouez que vous aussi, vous auriez culpabilisé. Mon deuxième réflexe, ça a été la colère. De la colère envers ma psy qui m'a laissé comme ça, en plan, après avoir lâché sa bombe à la con. Pour moi, ça a été un frein brutal dans notre alliance thérapeutique et ça a provoqué une vraie stagnation dans ma thérapie. Donc, la seule bouée de secours à l'époque, c'était la cohérence cardiaque que je pratiquais via YouTube. Et là, vous connaissez l'algorithme de YouTube. En suivant une vidéo, j'ai été orientée vers tout un tas d'autres sur des sujets similaires. Et par chance, l'algorithme m'a proposé des vidéos de méditation guidée. J'ai de suite adhéré. Pourquoi je vous raconte ça ? Parce qu'avec la méditation guidée, j'ai découvert un nouveau monde. Moi, qui suis plutôt scientifique, sans religion et sans croyance spécifique, mis à part dans le fait que la Terre n'est pas plate, c'était comme si une porte vers quelque chose de... complètement nouveau s'ouvrait : La spiritualité. Bien évidemment, je mets tout un tas de guillemets au mot spiritualité, mais je venais de très loin. Attention, je ne cesserai jamais de le répéter. Je reste convaincue que pour toute question de santé mentale, il est crucial de se tourner vers des spécialistes, psychologues ou psychiatres. Mais, rajouter une touche de spiritualité et de bienveillance à notre quotidien, c'est vraiment un plus qui peut catalyser le processus de guérison. Ces séances de méditation guidée n'avaient rien de très extravagant. Une quinzaine de minutes de respiration lente avec des messages positifs. Et honnêtement, mon cerveau, qui lui ne connaissait que le discours négatif du genre « Tu n'y arriveras pas » , « Tu n'es pas capable » , « Ça va mal se passer » . Imaginez-vous l'effet que ça m'a fait d'entendre chaque matin des phrases positives comme "Je vais passer une belle journée", "Quoi qu'il arrive, je suis capable de me débrouiller" ou "je suis reconnaissante pour cette nouvelle journée". Ça a été une vraie bouffée d'oxygène. Bien évidemment que cela ne résout pas un problème d'anxiété généralisée. Un TAG doit impérativement être pris en charge par un professionnel de la santé mentale. Et oui, je sais, je suis lourde à toujours répéter cela, mais c'est important. Le professionnel a l'habitude de traiter des... tag. Le professionnel a en sa possession les bons outils pour traiter un tag. Alors oui, vous pouvez faire des choses pour votre anxiété à côté de la thérapie, mais la thérapie est indispensable. Bon, revenons à ces fameuses séances de méditation guidée. C'est un quart d'heure que nous prenons que pour nous, pour prendre soin de nous. C'est un quart d'heure pendant lequel nous respirons lentement et où nous entendons uniquement des messages positifs. C'est un vrai petit rituel de bien-être. Prendre un quart d'heure pour soi, pour respirer, pour cultiver des pensées positives, c'est loin d'être une perte de temps. C'est un élan pour la journée. Écouter ces messages positifs était tellement inhabituel pour moi que ça m'a donné une bouffée d'oxygène. C'était comme si mon cerveau, qui fonctionne depuis toujours avec une tonalité de fond négative, découvrait soudain une autre fréquence. Et puis pendant ces séances, je prenais le temps de sentir ma respiration et de me connecter à mon corps. Quelque chose d'aussi simple et pourtant qui m'a fait un bien fou. C'est cette reconnexion qui, je pense, aide aussi à retrouver un certain équilibre. Déjà, prendre un moment rien que pour prendre soin de soi, pour moi qui n'en avais pas l'habitude, c'est une parenthèse dans une journée que je qualifierais de prise d'élan. Quelques mois avant la découverte de la méditation guidée, j'aurais qualifié ça de perte de temps. En fait, c'est tout le contraire. C'est un quart d'heure pour démarrer la journée dans un bon mindset. Ensuite, entendre ces messages positifs, mais quel bonheur ! Je n'en avais pas l'habitude, je ne savais même pas que cela existait. Et d'un coup, au lieu d'être bombardée de messages négatifs envoyés de manière automatique par mon cerveau, j'avais une fenêtre ouverte vers un monde où tout pouvait aller bien. Je me répète, une vraie bouffée d'oxygène. Une dernière chose, les sensations. Je n'avais pas l'habitude d'écouter mon corps, de m'écouter. Et là, pendant un quart d'heure, je prêtais attention à ma respiration, à l'air qui entrait dans mes poumons et qui en sortait. J'entends que cela puisse paraître étrange, mais essayez. Ça vous permet de vous connecter avec vous-même et donc quelque part de reprendre le contrôle sur vous-même et sur vos émotions. Donc voilà le message du jour. La méditation guidée, pour moi, c'est un petit moment de calme et depositivité qui m'a permis de me reconnecter à moi-même et de retrouver de la sérénité. Bien sûr, ça ne remplace en rien un travail avec un professionnel de la santé mentale, mais c'est une aide bien précieuse, un vrai soutien au quotidien. Voilà pour aujourd'hui. Et si vous avez aimé cet épisode, ou si vous aimez le podcast en général, n'hésitez pas à le noter, à laisser un petit commentaire ou à vous abonner pour ne pas manquer la suite. La semaine prochaine va être extrêmement chargée, ainsi que le week-end. Je vais essayer de sortir un épisode, mais les journées ne comptent que 24 heures. Je ne suis pas certaine que cela va être techniquement possible. Je vais faire au mieux et au pire. Je pense à vous et je suis de retour dans deux semaines.

Description

Dans cet épisode, je partage une étape clé de mon parcours vers le mieux-être : ma découverte des bienfaits de la méditation guidée. Après un échange difficile avec ma psy, qui a provoqué un véritable blocage dans ma thérapie, j'ai trouvé un refuge dans la méditation guidée. Petit à petit, elle m’a offert un espace de calme et de positivité qui a contribué à mon processus de guérison. Bien sûr, elle ne remplace pas le suivi thérapeutique, mais elle a été un précieux soutien.

Points clés abordés

Blocage et rupture de l’alliance thérapeutique :
Lors d'une séance, ma psy a lâché une phrase qui m’a profondément déstabilisée. D'abord, j'ai ressenti de la culpabilité, puis de la colère. Cette rupture dans notre alliance thérapeutique a engendré un vrai ralentissement de ma progression.

YouTube et l’algorithme de la méditation guidée :
Face à ce blocage, j’ai trouvé du réconfort dans des vidéos de cohérence cardiaque sur YouTube. Celles-ci m’ont orientée vers des vidéos de méditation guidée, un univers complètement nouveau pour moi. Ces courtes séances ont été une source d’apaisement et de renforcement, même si je n’étais pas particulièrement portée sur la spiritualité.

Messages positifs et pensées répétées :
Les vidéos de méditation guidée m’ont permis de contrer les pensées négatives qui tournaient en boucle dans mon esprit. Les messages positifs diffusés pendant ces méditations m’ont fait un bien fou en reprogrammant un peu mon mental.

Prendre soin de soi au quotidien :
Dix à quinze minutes de méditation guidée chaque matin, un moment rien que pour moi, ont été une bouffée d'oxygène dans mes journées. Ces petites pauses m'ont aidée à me reconnecter à moi-même et à démarrer chaque journée dans un bon état d’esprit.

Importance de la thérapie et de la méditation :
Je tiens à rappeler que la méditation guidée est un complément, pas un substitut à la thérapie avec un professionnel de la santé mentale. Mais elle peut être un vrai catalyseur de sérénité au quotidien !

Liens mentionnés :

  • Épisode "Une personne phobique tire-t-elle toujours un bénéfice de cette même phobie ?" : [Écouter ici]

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Si cet épisode vous a apporté un peu d'inspiration ou des pistes de réflexion, n’hésitez pas à le noter et à laisser un commentaire. Cela aide beaucoup d’autres personnes à le découvrir. Abonnez-vous pour ne manquer aucun épisode !


Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

Transcription

  • Speaker #0

    Bonjour et bienvenue dans ce 18e épisode du journal d'une agoraphobe. Que vous soyez un auditeur fidèle ou que ce soit votre première écoute, je suis ravie de vous accueillir ici. Dans ce podcast, je partage mon parcours d'ancienne agoraphobe. Je ne suis ni médecin ni thérapeute, mais si mon humble expérience apporte d'une part quelques pistes pour un certain nombre d'entre vous, et qu'elle contribue à une certaine libération de la parole sur un sujet qui stigmatise bien trop de personnes, eh bien, mission accomplie. La question de la semaine dernière était « Tirons-nous toujours des bénéfices de nos phobies ? » Une problématique posée par ma psy en fin de séance. Pas sous forme de question d'ailleurs, mais sous forme d'affirmation. Elle a lâché cette affirmation en fin de séance comme une bombe et m'a laissé me débattre en pleine déflagration. Je vous mets un lien vers cet épisode dans les notes. Mais pour résumer, mon premier réflexe a été de culpabiliser. Et oui, selon la logique de ma psy, je ne sors pas de la maison, non accompagnée, pour aller acheter ne serait-ce qu'une baquette de pain, ce qui est handicapant pour moi, mais surtout pour mon entourage. Et je fais cela parce que j'en tire des bénéfices. Avouez que vous aussi, vous auriez culpabilisé. Mon deuxième réflexe, ça a été la colère. De la colère envers ma psy qui m'a laissé comme ça, en plan, après avoir lâché sa bombe à la con. Pour moi, ça a été un frein brutal dans notre alliance thérapeutique et ça a provoqué une vraie stagnation dans ma thérapie. Donc, la seule bouée de secours à l'époque, c'était la cohérence cardiaque que je pratiquais via YouTube. Et là, vous connaissez l'algorithme de YouTube. En suivant une vidéo, j'ai été orientée vers tout un tas d'autres sur des sujets similaires. Et par chance, l'algorithme m'a proposé des vidéos de méditation guidée. J'ai de suite adhéré. Pourquoi je vous raconte ça ? Parce qu'avec la méditation guidée, j'ai découvert un nouveau monde. Moi, qui suis plutôt scientifique, sans religion et sans croyance spécifique, mis à part dans le fait que la Terre n'est pas plate, c'était comme si une porte vers quelque chose de... complètement nouveau s'ouvrait : La spiritualité. Bien évidemment, je mets tout un tas de guillemets au mot spiritualité, mais je venais de très loin. Attention, je ne cesserai jamais de le répéter. Je reste convaincue que pour toute question de santé mentale, il est crucial de se tourner vers des spécialistes, psychologues ou psychiatres. Mais, rajouter une touche de spiritualité et de bienveillance à notre quotidien, c'est vraiment un plus qui peut catalyser le processus de guérison. Ces séances de méditation guidée n'avaient rien de très extravagant. Une quinzaine de minutes de respiration lente avec des messages positifs. Et honnêtement, mon cerveau, qui lui ne connaissait que le discours négatif du genre « Tu n'y arriveras pas » , « Tu n'es pas capable » , « Ça va mal se passer » . Imaginez-vous l'effet que ça m'a fait d'entendre chaque matin des phrases positives comme "Je vais passer une belle journée", "Quoi qu'il arrive, je suis capable de me débrouiller" ou "je suis reconnaissante pour cette nouvelle journée". Ça a été une vraie bouffée d'oxygène. Bien évidemment que cela ne résout pas un problème d'anxiété généralisée. Un TAG doit impérativement être pris en charge par un professionnel de la santé mentale. Et oui, je sais, je suis lourde à toujours répéter cela, mais c'est important. Le professionnel a l'habitude de traiter des... tag. Le professionnel a en sa possession les bons outils pour traiter un tag. Alors oui, vous pouvez faire des choses pour votre anxiété à côté de la thérapie, mais la thérapie est indispensable. Bon, revenons à ces fameuses séances de méditation guidée. C'est un quart d'heure que nous prenons que pour nous, pour prendre soin de nous. C'est un quart d'heure pendant lequel nous respirons lentement et où nous entendons uniquement des messages positifs. C'est un vrai petit rituel de bien-être. Prendre un quart d'heure pour soi, pour respirer, pour cultiver des pensées positives, c'est loin d'être une perte de temps. C'est un élan pour la journée. Écouter ces messages positifs était tellement inhabituel pour moi que ça m'a donné une bouffée d'oxygène. C'était comme si mon cerveau, qui fonctionne depuis toujours avec une tonalité de fond négative, découvrait soudain une autre fréquence. Et puis pendant ces séances, je prenais le temps de sentir ma respiration et de me connecter à mon corps. Quelque chose d'aussi simple et pourtant qui m'a fait un bien fou. C'est cette reconnexion qui, je pense, aide aussi à retrouver un certain équilibre. Déjà, prendre un moment rien que pour prendre soin de soi, pour moi qui n'en avais pas l'habitude, c'est une parenthèse dans une journée que je qualifierais de prise d'élan. Quelques mois avant la découverte de la méditation guidée, j'aurais qualifié ça de perte de temps. En fait, c'est tout le contraire. C'est un quart d'heure pour démarrer la journée dans un bon mindset. Ensuite, entendre ces messages positifs, mais quel bonheur ! Je n'en avais pas l'habitude, je ne savais même pas que cela existait. Et d'un coup, au lieu d'être bombardée de messages négatifs envoyés de manière automatique par mon cerveau, j'avais une fenêtre ouverte vers un monde où tout pouvait aller bien. Je me répète, une vraie bouffée d'oxygène. Une dernière chose, les sensations. Je n'avais pas l'habitude d'écouter mon corps, de m'écouter. Et là, pendant un quart d'heure, je prêtais attention à ma respiration, à l'air qui entrait dans mes poumons et qui en sortait. J'entends que cela puisse paraître étrange, mais essayez. Ça vous permet de vous connecter avec vous-même et donc quelque part de reprendre le contrôle sur vous-même et sur vos émotions. Donc voilà le message du jour. La méditation guidée, pour moi, c'est un petit moment de calme et depositivité qui m'a permis de me reconnecter à moi-même et de retrouver de la sérénité. Bien sûr, ça ne remplace en rien un travail avec un professionnel de la santé mentale, mais c'est une aide bien précieuse, un vrai soutien au quotidien. Voilà pour aujourd'hui. Et si vous avez aimé cet épisode, ou si vous aimez le podcast en général, n'hésitez pas à le noter, à laisser un petit commentaire ou à vous abonner pour ne pas manquer la suite. La semaine prochaine va être extrêmement chargée, ainsi que le week-end. Je vais essayer de sortir un épisode, mais les journées ne comptent que 24 heures. Je ne suis pas certaine que cela va être techniquement possible. Je vais faire au mieux et au pire. Je pense à vous et je suis de retour dans deux semaines.

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Dans cet épisode, je partage une étape clé de mon parcours vers le mieux-être : ma découverte des bienfaits de la méditation guidée. Après un échange difficile avec ma psy, qui a provoqué un véritable blocage dans ma thérapie, j'ai trouvé un refuge dans la méditation guidée. Petit à petit, elle m’a offert un espace de calme et de positivité qui a contribué à mon processus de guérison. Bien sûr, elle ne remplace pas le suivi thérapeutique, mais elle a été un précieux soutien.

Points clés abordés

Blocage et rupture de l’alliance thérapeutique :
Lors d'une séance, ma psy a lâché une phrase qui m’a profondément déstabilisée. D'abord, j'ai ressenti de la culpabilité, puis de la colère. Cette rupture dans notre alliance thérapeutique a engendré un vrai ralentissement de ma progression.

YouTube et l’algorithme de la méditation guidée :
Face à ce blocage, j’ai trouvé du réconfort dans des vidéos de cohérence cardiaque sur YouTube. Celles-ci m’ont orientée vers des vidéos de méditation guidée, un univers complètement nouveau pour moi. Ces courtes séances ont été une source d’apaisement et de renforcement, même si je n’étais pas particulièrement portée sur la spiritualité.

Messages positifs et pensées répétées :
Les vidéos de méditation guidée m’ont permis de contrer les pensées négatives qui tournaient en boucle dans mon esprit. Les messages positifs diffusés pendant ces méditations m’ont fait un bien fou en reprogrammant un peu mon mental.

Prendre soin de soi au quotidien :
Dix à quinze minutes de méditation guidée chaque matin, un moment rien que pour moi, ont été une bouffée d'oxygène dans mes journées. Ces petites pauses m'ont aidée à me reconnecter à moi-même et à démarrer chaque journée dans un bon état d’esprit.

Importance de la thérapie et de la méditation :
Je tiens à rappeler que la méditation guidée est un complément, pas un substitut à la thérapie avec un professionnel de la santé mentale. Mais elle peut être un vrai catalyseur de sérénité au quotidien !

Liens mentionnés :

  • Épisode "Une personne phobique tire-t-elle toujours un bénéfice de cette même phobie ?" : [Écouter ici]

Soutenir ce podcast gratuitement :

Si cet épisode vous a apporté un peu d'inspiration ou des pistes de réflexion, n’hésitez pas à le noter et à laisser un commentaire. Cela aide beaucoup d’autres personnes à le découvrir. Abonnez-vous pour ne manquer aucun épisode !


Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

Transcription

  • Speaker #0

    Bonjour et bienvenue dans ce 18e épisode du journal d'une agoraphobe. Que vous soyez un auditeur fidèle ou que ce soit votre première écoute, je suis ravie de vous accueillir ici. Dans ce podcast, je partage mon parcours d'ancienne agoraphobe. Je ne suis ni médecin ni thérapeute, mais si mon humble expérience apporte d'une part quelques pistes pour un certain nombre d'entre vous, et qu'elle contribue à une certaine libération de la parole sur un sujet qui stigmatise bien trop de personnes, eh bien, mission accomplie. La question de la semaine dernière était « Tirons-nous toujours des bénéfices de nos phobies ? » Une problématique posée par ma psy en fin de séance. Pas sous forme de question d'ailleurs, mais sous forme d'affirmation. Elle a lâché cette affirmation en fin de séance comme une bombe et m'a laissé me débattre en pleine déflagration. Je vous mets un lien vers cet épisode dans les notes. Mais pour résumer, mon premier réflexe a été de culpabiliser. Et oui, selon la logique de ma psy, je ne sors pas de la maison, non accompagnée, pour aller acheter ne serait-ce qu'une baquette de pain, ce qui est handicapant pour moi, mais surtout pour mon entourage. Et je fais cela parce que j'en tire des bénéfices. Avouez que vous aussi, vous auriez culpabilisé. Mon deuxième réflexe, ça a été la colère. De la colère envers ma psy qui m'a laissé comme ça, en plan, après avoir lâché sa bombe à la con. Pour moi, ça a été un frein brutal dans notre alliance thérapeutique et ça a provoqué une vraie stagnation dans ma thérapie. Donc, la seule bouée de secours à l'époque, c'était la cohérence cardiaque que je pratiquais via YouTube. Et là, vous connaissez l'algorithme de YouTube. En suivant une vidéo, j'ai été orientée vers tout un tas d'autres sur des sujets similaires. Et par chance, l'algorithme m'a proposé des vidéos de méditation guidée. J'ai de suite adhéré. Pourquoi je vous raconte ça ? Parce qu'avec la méditation guidée, j'ai découvert un nouveau monde. Moi, qui suis plutôt scientifique, sans religion et sans croyance spécifique, mis à part dans le fait que la Terre n'est pas plate, c'était comme si une porte vers quelque chose de... complètement nouveau s'ouvrait : La spiritualité. Bien évidemment, je mets tout un tas de guillemets au mot spiritualité, mais je venais de très loin. Attention, je ne cesserai jamais de le répéter. Je reste convaincue que pour toute question de santé mentale, il est crucial de se tourner vers des spécialistes, psychologues ou psychiatres. Mais, rajouter une touche de spiritualité et de bienveillance à notre quotidien, c'est vraiment un plus qui peut catalyser le processus de guérison. Ces séances de méditation guidée n'avaient rien de très extravagant. Une quinzaine de minutes de respiration lente avec des messages positifs. Et honnêtement, mon cerveau, qui lui ne connaissait que le discours négatif du genre « Tu n'y arriveras pas » , « Tu n'es pas capable » , « Ça va mal se passer » . Imaginez-vous l'effet que ça m'a fait d'entendre chaque matin des phrases positives comme "Je vais passer une belle journée", "Quoi qu'il arrive, je suis capable de me débrouiller" ou "je suis reconnaissante pour cette nouvelle journée". Ça a été une vraie bouffée d'oxygène. Bien évidemment que cela ne résout pas un problème d'anxiété généralisée. Un TAG doit impérativement être pris en charge par un professionnel de la santé mentale. Et oui, je sais, je suis lourde à toujours répéter cela, mais c'est important. Le professionnel a l'habitude de traiter des... tag. Le professionnel a en sa possession les bons outils pour traiter un tag. Alors oui, vous pouvez faire des choses pour votre anxiété à côté de la thérapie, mais la thérapie est indispensable. Bon, revenons à ces fameuses séances de méditation guidée. C'est un quart d'heure que nous prenons que pour nous, pour prendre soin de nous. C'est un quart d'heure pendant lequel nous respirons lentement et où nous entendons uniquement des messages positifs. C'est un vrai petit rituel de bien-être. Prendre un quart d'heure pour soi, pour respirer, pour cultiver des pensées positives, c'est loin d'être une perte de temps. C'est un élan pour la journée. Écouter ces messages positifs était tellement inhabituel pour moi que ça m'a donné une bouffée d'oxygène. C'était comme si mon cerveau, qui fonctionne depuis toujours avec une tonalité de fond négative, découvrait soudain une autre fréquence. Et puis pendant ces séances, je prenais le temps de sentir ma respiration et de me connecter à mon corps. Quelque chose d'aussi simple et pourtant qui m'a fait un bien fou. C'est cette reconnexion qui, je pense, aide aussi à retrouver un certain équilibre. Déjà, prendre un moment rien que pour prendre soin de soi, pour moi qui n'en avais pas l'habitude, c'est une parenthèse dans une journée que je qualifierais de prise d'élan. Quelques mois avant la découverte de la méditation guidée, j'aurais qualifié ça de perte de temps. En fait, c'est tout le contraire. C'est un quart d'heure pour démarrer la journée dans un bon mindset. Ensuite, entendre ces messages positifs, mais quel bonheur ! Je n'en avais pas l'habitude, je ne savais même pas que cela existait. Et d'un coup, au lieu d'être bombardée de messages négatifs envoyés de manière automatique par mon cerveau, j'avais une fenêtre ouverte vers un monde où tout pouvait aller bien. Je me répète, une vraie bouffée d'oxygène. Une dernière chose, les sensations. Je n'avais pas l'habitude d'écouter mon corps, de m'écouter. Et là, pendant un quart d'heure, je prêtais attention à ma respiration, à l'air qui entrait dans mes poumons et qui en sortait. J'entends que cela puisse paraître étrange, mais essayez. Ça vous permet de vous connecter avec vous-même et donc quelque part de reprendre le contrôle sur vous-même et sur vos émotions. Donc voilà le message du jour. La méditation guidée, pour moi, c'est un petit moment de calme et depositivité qui m'a permis de me reconnecter à moi-même et de retrouver de la sérénité. Bien sûr, ça ne remplace en rien un travail avec un professionnel de la santé mentale, mais c'est une aide bien précieuse, un vrai soutien au quotidien. Voilà pour aujourd'hui. Et si vous avez aimé cet épisode, ou si vous aimez le podcast en général, n'hésitez pas à le noter, à laisser un petit commentaire ou à vous abonner pour ne pas manquer la suite. La semaine prochaine va être extrêmement chargée, ainsi que le week-end. Je vais essayer de sortir un épisode, mais les journées ne comptent que 24 heures. Je ne suis pas certaine que cela va être techniquement possible. Je vais faire au mieux et au pire. Je pense à vous et je suis de retour dans deux semaines.

Description

Dans cet épisode, je partage une étape clé de mon parcours vers le mieux-être : ma découverte des bienfaits de la méditation guidée. Après un échange difficile avec ma psy, qui a provoqué un véritable blocage dans ma thérapie, j'ai trouvé un refuge dans la méditation guidée. Petit à petit, elle m’a offert un espace de calme et de positivité qui a contribué à mon processus de guérison. Bien sûr, elle ne remplace pas le suivi thérapeutique, mais elle a été un précieux soutien.

Points clés abordés

Blocage et rupture de l’alliance thérapeutique :
Lors d'une séance, ma psy a lâché une phrase qui m’a profondément déstabilisée. D'abord, j'ai ressenti de la culpabilité, puis de la colère. Cette rupture dans notre alliance thérapeutique a engendré un vrai ralentissement de ma progression.

YouTube et l’algorithme de la méditation guidée :
Face à ce blocage, j’ai trouvé du réconfort dans des vidéos de cohérence cardiaque sur YouTube. Celles-ci m’ont orientée vers des vidéos de méditation guidée, un univers complètement nouveau pour moi. Ces courtes séances ont été une source d’apaisement et de renforcement, même si je n’étais pas particulièrement portée sur la spiritualité.

Messages positifs et pensées répétées :
Les vidéos de méditation guidée m’ont permis de contrer les pensées négatives qui tournaient en boucle dans mon esprit. Les messages positifs diffusés pendant ces méditations m’ont fait un bien fou en reprogrammant un peu mon mental.

Prendre soin de soi au quotidien :
Dix à quinze minutes de méditation guidée chaque matin, un moment rien que pour moi, ont été une bouffée d'oxygène dans mes journées. Ces petites pauses m'ont aidée à me reconnecter à moi-même et à démarrer chaque journée dans un bon état d’esprit.

Importance de la thérapie et de la méditation :
Je tiens à rappeler que la méditation guidée est un complément, pas un substitut à la thérapie avec un professionnel de la santé mentale. Mais elle peut être un vrai catalyseur de sérénité au quotidien !

Liens mentionnés :

  • Épisode "Une personne phobique tire-t-elle toujours un bénéfice de cette même phobie ?" : [Écouter ici]

Soutenir ce podcast gratuitement :

Si cet épisode vous a apporté un peu d'inspiration ou des pistes de réflexion, n’hésitez pas à le noter et à laisser un commentaire. Cela aide beaucoup d’autres personnes à le découvrir. Abonnez-vous pour ne manquer aucun épisode !


Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

Transcription

  • Speaker #0

    Bonjour et bienvenue dans ce 18e épisode du journal d'une agoraphobe. Que vous soyez un auditeur fidèle ou que ce soit votre première écoute, je suis ravie de vous accueillir ici. Dans ce podcast, je partage mon parcours d'ancienne agoraphobe. Je ne suis ni médecin ni thérapeute, mais si mon humble expérience apporte d'une part quelques pistes pour un certain nombre d'entre vous, et qu'elle contribue à une certaine libération de la parole sur un sujet qui stigmatise bien trop de personnes, eh bien, mission accomplie. La question de la semaine dernière était « Tirons-nous toujours des bénéfices de nos phobies ? » Une problématique posée par ma psy en fin de séance. Pas sous forme de question d'ailleurs, mais sous forme d'affirmation. Elle a lâché cette affirmation en fin de séance comme une bombe et m'a laissé me débattre en pleine déflagration. Je vous mets un lien vers cet épisode dans les notes. Mais pour résumer, mon premier réflexe a été de culpabiliser. Et oui, selon la logique de ma psy, je ne sors pas de la maison, non accompagnée, pour aller acheter ne serait-ce qu'une baquette de pain, ce qui est handicapant pour moi, mais surtout pour mon entourage. Et je fais cela parce que j'en tire des bénéfices. Avouez que vous aussi, vous auriez culpabilisé. Mon deuxième réflexe, ça a été la colère. De la colère envers ma psy qui m'a laissé comme ça, en plan, après avoir lâché sa bombe à la con. Pour moi, ça a été un frein brutal dans notre alliance thérapeutique et ça a provoqué une vraie stagnation dans ma thérapie. Donc, la seule bouée de secours à l'époque, c'était la cohérence cardiaque que je pratiquais via YouTube. Et là, vous connaissez l'algorithme de YouTube. En suivant une vidéo, j'ai été orientée vers tout un tas d'autres sur des sujets similaires. Et par chance, l'algorithme m'a proposé des vidéos de méditation guidée. J'ai de suite adhéré. Pourquoi je vous raconte ça ? Parce qu'avec la méditation guidée, j'ai découvert un nouveau monde. Moi, qui suis plutôt scientifique, sans religion et sans croyance spécifique, mis à part dans le fait que la Terre n'est pas plate, c'était comme si une porte vers quelque chose de... complètement nouveau s'ouvrait : La spiritualité. Bien évidemment, je mets tout un tas de guillemets au mot spiritualité, mais je venais de très loin. Attention, je ne cesserai jamais de le répéter. Je reste convaincue que pour toute question de santé mentale, il est crucial de se tourner vers des spécialistes, psychologues ou psychiatres. Mais, rajouter une touche de spiritualité et de bienveillance à notre quotidien, c'est vraiment un plus qui peut catalyser le processus de guérison. Ces séances de méditation guidée n'avaient rien de très extravagant. Une quinzaine de minutes de respiration lente avec des messages positifs. Et honnêtement, mon cerveau, qui lui ne connaissait que le discours négatif du genre « Tu n'y arriveras pas » , « Tu n'es pas capable » , « Ça va mal se passer » . Imaginez-vous l'effet que ça m'a fait d'entendre chaque matin des phrases positives comme "Je vais passer une belle journée", "Quoi qu'il arrive, je suis capable de me débrouiller" ou "je suis reconnaissante pour cette nouvelle journée". Ça a été une vraie bouffée d'oxygène. Bien évidemment que cela ne résout pas un problème d'anxiété généralisée. Un TAG doit impérativement être pris en charge par un professionnel de la santé mentale. Et oui, je sais, je suis lourde à toujours répéter cela, mais c'est important. Le professionnel a l'habitude de traiter des... tag. Le professionnel a en sa possession les bons outils pour traiter un tag. Alors oui, vous pouvez faire des choses pour votre anxiété à côté de la thérapie, mais la thérapie est indispensable. Bon, revenons à ces fameuses séances de méditation guidée. C'est un quart d'heure que nous prenons que pour nous, pour prendre soin de nous. C'est un quart d'heure pendant lequel nous respirons lentement et où nous entendons uniquement des messages positifs. C'est un vrai petit rituel de bien-être. Prendre un quart d'heure pour soi, pour respirer, pour cultiver des pensées positives, c'est loin d'être une perte de temps. C'est un élan pour la journée. Écouter ces messages positifs était tellement inhabituel pour moi que ça m'a donné une bouffée d'oxygène. C'était comme si mon cerveau, qui fonctionne depuis toujours avec une tonalité de fond négative, découvrait soudain une autre fréquence. Et puis pendant ces séances, je prenais le temps de sentir ma respiration et de me connecter à mon corps. Quelque chose d'aussi simple et pourtant qui m'a fait un bien fou. C'est cette reconnexion qui, je pense, aide aussi à retrouver un certain équilibre. Déjà, prendre un moment rien que pour prendre soin de soi, pour moi qui n'en avais pas l'habitude, c'est une parenthèse dans une journée que je qualifierais de prise d'élan. Quelques mois avant la découverte de la méditation guidée, j'aurais qualifié ça de perte de temps. En fait, c'est tout le contraire. C'est un quart d'heure pour démarrer la journée dans un bon mindset. Ensuite, entendre ces messages positifs, mais quel bonheur ! Je n'en avais pas l'habitude, je ne savais même pas que cela existait. Et d'un coup, au lieu d'être bombardée de messages négatifs envoyés de manière automatique par mon cerveau, j'avais une fenêtre ouverte vers un monde où tout pouvait aller bien. Je me répète, une vraie bouffée d'oxygène. Une dernière chose, les sensations. Je n'avais pas l'habitude d'écouter mon corps, de m'écouter. Et là, pendant un quart d'heure, je prêtais attention à ma respiration, à l'air qui entrait dans mes poumons et qui en sortait. J'entends que cela puisse paraître étrange, mais essayez. Ça vous permet de vous connecter avec vous-même et donc quelque part de reprendre le contrôle sur vous-même et sur vos émotions. Donc voilà le message du jour. La méditation guidée, pour moi, c'est un petit moment de calme et depositivité qui m'a permis de me reconnecter à moi-même et de retrouver de la sérénité. Bien sûr, ça ne remplace en rien un travail avec un professionnel de la santé mentale, mais c'est une aide bien précieuse, un vrai soutien au quotidien. Voilà pour aujourd'hui. Et si vous avez aimé cet épisode, ou si vous aimez le podcast en général, n'hésitez pas à le noter, à laisser un petit commentaire ou à vous abonner pour ne pas manquer la suite. La semaine prochaine va être extrêmement chargée, ainsi que le week-end. Je vais essayer de sortir un épisode, mais les journées ne comptent que 24 heures. Je ne suis pas certaine que cela va être techniquement possible. Je vais faire au mieux et au pire. Je pense à vous et je suis de retour dans deux semaines.

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