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[Episode 4] #Balance ton travail social cover
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Les Podcasts du Droit et du Chiffre

[Episode 4] #Balance ton travail social

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12min |21/06/2022
Play
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[Episode 4] #Balance ton travail social

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Description

Le 12 mai 2021, dans le département de l’Aube, Audrey Adam, conseillère en économie sociale et familiale (CESF), était retrouvée morte, tuée par balle par un octogénaire à qui elle rendait une visite professionnelle.  


Ce drame a mis en lumière non seulement les risques du métier, mais aussi les conditions d'exercice souvent difficiles des travailleurs sociaux, et le manque de reconnaissance dont ils souffrent au quotidien.  


Si rares sont les professionnels à dénoncer les violences qu'ils subissent, quelques-uns ont cette fois décidé que ce meutre ne pouvait rester sans réponse, à plus forte raison dans un contexte de manque de moyens chronique, lui-même générateur de violences. 


Ils ont lancé le Collectif Travail social de demain, à l'initiative d'un hashtag  "Balance ton travail social" sur les réseaux sociaux (@DemainTravail sur Twitter). 


Caroline (*), 30 ans, assistante sociale en protection de l’enfance, est l'une d'entre eux.  Elle raconte au Média social leur engagement, pour dénoncer toutes les violences, y compris institutionnelles, que subissent les travailleurs sociaux. 


Pour elle, il en va tout simplement de l’avenir du secteur, et de son métier, qu’elle souhaite exercer encore longtemps.  


(*) son prénom a été modifié à sa demande 

Description

Le 12 mai 2021, dans le département de l’Aube, Audrey Adam, conseillère en économie sociale et familiale (CESF), était retrouvée morte, tuée par balle par un octogénaire à qui elle rendait une visite professionnelle.  


Ce drame a mis en lumière non seulement les risques du métier, mais aussi les conditions d'exercice souvent difficiles des travailleurs sociaux, et le manque de reconnaissance dont ils souffrent au quotidien.  


Si rares sont les professionnels à dénoncer les violences qu'ils subissent, quelques-uns ont cette fois décidé que ce meutre ne pouvait rester sans réponse, à plus forte raison dans un contexte de manque de moyens chronique, lui-même générateur de violences. 


Ils ont lancé le Collectif Travail social de demain, à l'initiative d'un hashtag  "Balance ton travail social" sur les réseaux sociaux (@DemainTravail sur Twitter). 


Caroline (*), 30 ans, assistante sociale en protection de l’enfance, est l'une d'entre eux.  Elle raconte au Média social leur engagement, pour dénoncer toutes les violences, y compris institutionnelles, que subissent les travailleurs sociaux. 


Pour elle, il en va tout simplement de l’avenir du secteur, et de son métier, qu’elle souhaite exercer encore longtemps.  


(*) son prénom a été modifié à sa demande 

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Le 12 mai 2021, dans le département de l’Aube, Audrey Adam, conseillère en économie sociale et familiale (CESF), était retrouvée morte, tuée par balle par un octogénaire à qui elle rendait une visite professionnelle.  


Ce drame a mis en lumière non seulement les risques du métier, mais aussi les conditions d'exercice souvent difficiles des travailleurs sociaux, et le manque de reconnaissance dont ils souffrent au quotidien.  


Si rares sont les professionnels à dénoncer les violences qu'ils subissent, quelques-uns ont cette fois décidé que ce meutre ne pouvait rester sans réponse, à plus forte raison dans un contexte de manque de moyens chronique, lui-même générateur de violences. 


Ils ont lancé le Collectif Travail social de demain, à l'initiative d'un hashtag  "Balance ton travail social" sur les réseaux sociaux (@DemainTravail sur Twitter). 


Caroline (*), 30 ans, assistante sociale en protection de l’enfance, est l'une d'entre eux.  Elle raconte au Média social leur engagement, pour dénoncer toutes les violences, y compris institutionnelles, que subissent les travailleurs sociaux. 


Pour elle, il en va tout simplement de l’avenir du secteur, et de son métier, qu’elle souhaite exercer encore longtemps.  


(*) son prénom a été modifié à sa demande 

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Le 12 mai 2021, dans le département de l’Aube, Audrey Adam, conseillère en économie sociale et familiale (CESF), était retrouvée morte, tuée par balle par un octogénaire à qui elle rendait une visite professionnelle.  


Ce drame a mis en lumière non seulement les risques du métier, mais aussi les conditions d'exercice souvent difficiles des travailleurs sociaux, et le manque de reconnaissance dont ils souffrent au quotidien.  


Si rares sont les professionnels à dénoncer les violences qu'ils subissent, quelques-uns ont cette fois décidé que ce meutre ne pouvait rester sans réponse, à plus forte raison dans un contexte de manque de moyens chronique, lui-même générateur de violences. 


Ils ont lancé le Collectif Travail social de demain, à l'initiative d'un hashtag  "Balance ton travail social" sur les réseaux sociaux (@DemainTravail sur Twitter). 


Caroline (*), 30 ans, assistante sociale en protection de l’enfance, est l'une d'entre eux.  Elle raconte au Média social leur engagement, pour dénoncer toutes les violences, y compris institutionnelles, que subissent les travailleurs sociaux. 


Pour elle, il en va tout simplement de l’avenir du secteur, et de son métier, qu’elle souhaite exercer encore longtemps.  


(*) son prénom a été modifié à sa demande 

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