Speaker #0Bonjour à tous, bienvenue dans ce nouvel épisode des survivants du burnout, dans lequel on va parler d'un sujet hautement sensible. Un sujet qui vous touche tous, un sujet... Aïe, tomber dans le syndrome horrible du sauveur. Et ça, c'est un vrai problème parce que ce rôle, s'il vous donne l'impression d'être utile, il peut aussi vous flinguer, il peut aussi vous épuiser complètement en silence. Salut à tous, je m'appelle Théo Duverger, j'accompagne des personnes en burn-out à se remettre définitivement après des épisodes de burn-out. Ça fait plus de 13 ans maintenant que je fais ça et j'ai fondé le programme Quick Change qui justement... accompagne des personnes pendant trois mois à se remettre définitivement. Pourquoi ce programme et pourquoi cet épisode surtout aujourd'hui ? Il est vraiment crucial parce que le syndrome du sauveur, mon Dieu, c'est un piège tellement fréquent chez les personnes qui finissent en burn-out. En gros, il y a deux types de personnes qui finissent en burn-out. Nous, dans le Quick Change, on ne prend que ceux-là. C'est-à-dire qu'on a deux profils. Vous savez, il y a plusieurs profils de personnalités. Si vous m'écoutez, peut-être que vous connaissez ces différents profils de personnalités. Peut-être qu'on vous a déjà fait faire des profils de personnalité dans vos entreprises, alors ça peut être des profils Enneagram ou des profils MBTI ou des rouges, des verts, ce genre de trucs. Bon, on va essayer aussi de se dire qu'il y a des profils qu'on peut scinder en des profils sauveurs et des profils victimes. Le sauveur, c'est celui qui va prendre à bras le corps les problèmes des autres, qui va tout le temps anticiper les problèmes des autres, qui va tout le temps, tout le temps venir au devant des emmerdes des autres. Celui-là, on peut vraiment l'accompagner. Et ceux qu'on n'accompagne pas, nous, ce sont les victimes. Ce n'est jamais de leur faute, c'est toujours les gens qui sont méchants avec eux. C'est en général un profil avec lequel ça va être compliqué déjà de se rendre compte que si tu changes quelque chose en toi, tu n'auras plus le burn-out. Parce qu'une personne en profil victime, très souvent, c'est « Non, mon burn-out, il ne vient pas de moi, c'est la faute de mon patron. » Elle a du mal quand je lui explique que « Ok, peut-être que ton patron, il a un caractère, mais si toi, tu n'apprends pas à dire non, à te positionner, ça va être compliqué même avec un autre patron. Elle ne l'apprendra pas parce que comme elle est dans son rôle de victime, c'est toujours les autres les méchants. Ça vous parle un petit peu ? C'est vraiment schématique. Encore une fois, si ça vous chauffe, un jour je vous ferai un podcast là-dessus pour être bien précis dans cette différence entre le syndrome du sauveur et le syndrome de la victime. J'ai toujours mon chat qui me harcèle. Moi, je n'arrive pas à dire non à mon chat, vous voyez, quand je fais des podcasts. Donc, encore une fois, comprendre le syndrome du sauveur, comprendre pourquoi justement il vous fatigue autant, Ça va vous permettre aussi de vous en libérer progressivement. Alors qu'est-ce que c'est que le syndrome du sauveur ? On en a parlé. C'est comme un espèce de besoin compulsif d'aider et de résoudre, de prendre en charge les autres au détriment de soi-même. Vous penserez à vous en dernier, vous allez vous éreinter, vous allez complètement mettre toute votre énergie pour aider l'autre, pour supporter le poids de la charge de l'autre quand parfois même il ne vous a rien demandé. Parce que c'est viscéral, c'est en vous, vous avez appris que l'autre passe avant vous. Il y a des croyances sous-jacentes, il y a des croyances en vous, vous avez grandi avec ces croyances-là qui sont « je dois être là pour les autres » . C'est souvent le premier de la fratrie ou la première de la fratrie à qui on a dit « quand même, tu pourrais t'occuper de ta petite sœur, tu pourrais montrer l'exemple » . Un enfant à qui on a répété ça très souvent, il se sent comme investi de la mission sacrée d'être le sauveur du monde. Des croyances du style aussi, si je ne le fais pas, personne ne le fera correctement. Ça vous parle celle-là ? Bon, ça me parlait beaucoup celle-là. Ou je n'ai de valeur que si je rends service aux autres. Quand on a valorisé dans votre enfance le fait que c'était mieux de s'occuper d'abord des autres avant de s'occuper de vous-même, une partie de vous a compris que vous n'auriez de la valeur que si les autres passaient avant vous, que si vous rendiez notamment service. Donc votre éducation, clairement, elle a une grosse... part de responsabilité dans ce syndrome que vous avez aujourd'hui. La valorisation du don de soi, du sacrifice. Si vous avez eu l'habitude aussi des parents très sacrificiels comme ça, vous avez appris par imitation, vous avez appris que c'était valorisé de faire ça. Donc vous avez pris ça comme une espèce de règle inconsciente et aujourd'hui c'est plus fort que vous. Peut-être aussi que vos expériences de vie vous ont montré ça. Vous voyez, avoir été parent de ses propres parents, j'ai souvent ça. On a des parents qui étaient des grands enfants. ou qui ont eu des expériences de vie un peu traumatisantes. Les enfants ont voulu être parents de leurs parents. Je vous donne un exemple. J'ai une fois une personne que j'ai accompagnée dans le coaching WeChange qui m'avait dit, tu sais, moi à 8 ans, quand j'avais 8 ans, ma sœur est décédée. Mes parents étaient tellement accablés que je me suis remonté les manches, j'ai serré les dents et c'est moi qui ai tenu la baraque. Typiquement, vous avez été l'enfant sauveur des parents. Ou quand le parent pesait sur vous un espèce de poids inconscient du style « tu ne te rends pas compte si tu n'avais pas été là, ce que j'aurais pu faire, etc. » Vous vous sentez redevable et vous voulez compenser en faisant, faisant, faisant beaucoup plus à la place de l'autre. Vous avez un espèce de besoin de reconnaissance ou de contrôle aussi pour pouvoir vous sentir en sécurité. Tout ça, c'est l'origine. du syndrome du sauveur c'est très chiant le syndrome du sauveur parce que ça vous met dans des dispositions où quand vous ne faites pas la place de l'autre vous culpabiliser et si vous culpabiliser vous dites mon dieu j'aurais pu le faire j'aurais pu l'aider etc etc mais en faisant ça vous vous fracassez quoi vous fracassez parce que l'autre déjà il vous a rien demandé et si vous faites vous faites vous faites le jour où vous arrêtez de faire et se dit bah tu fais plus à ma place c'est chiant tu étais mieux avant quand tu faisais ouais mais t'as pas vu moi j'étais crevé en même temps pendant ce temps là et c'est très pénible parce qu'encore une fois vous vous allez vous retrouver complètement à la ramasse. À un moment donné, vous avez suffisamment à faire pour vous pour ne pas en plus avoir à sauver les autres. Moi je vous donne toujours l'exemple d'un avion qui se dépressurise. Le sauveur va d'abord vouloir mettre le masque à oxygène sur le nez de tout le monde, s'assurer que tout le monde va bien avant de le mettre sur le sien. Ouais bah non, si on fait ça, tout le monde est mort. Donc c'est vraiment l'inverse qu'il va falloir développer comme état d'esprit, ce qui n'est pas facile quand c'est logé dans votre cerveau inconscient depuis très longtemps. Comment savoir si vous êtes dans ce rôle de sauveur ? Alors vous allez voir, c'est très simple. Est-ce que vous avez des comportements assez typiques du style vous êtes toujours là pour les autres, même quand vous êtes crevé ? Même quand vous êtes crevé, au fait, est-ce que tu pourrais venir parce que j'ai besoin de toi ? Oui, c'est bon, je vais le faire. Vous êtes crevé, mais vous dites oui, vous n'allez pas dire non. Est-ce que vous vous sentez coupable quand vous dites non ou pas ? Est-ce que vous vous sentez coupable quand vous dites non ? Ça, c'est aussi très typique des personnes sauveurs. Est-ce que vous intervenez aussi très souvent pour aider l'autre, pour aller donner un coup de main sans même qu'on vous le demande ? Ça, c'est grand classique des sauveurs. Et aussi, est-ce que vous portez les émotions, les problèmes ou les échecs des autres comme si c'était les vôtres ? Est-ce que vous avez tendance naturelle à avoir une espèce de surempathie et de prendre ces problèmes, ces émotions comme si c'était les vôtres ? Posez-vous ces questions. Est-ce que vous vous sentez responsable du bien-être de votre entourage ? Est-ce que vous attendez que les autres reconnaissent vos efforts ? Est-ce que vous êtes souvent déçu quand on ne vous remercie pas ? Tout ça, typiquement, ça peut être associé à un syndrome du sauveur. Un exemple concret, vous êtes déjà complètement fatigué, débordé, mais vous acceptez d'aider un collègue à finir son travail au détriment du vôtre. Moi, je raconte souvent dans la conférence que vous trouvez ici, dans les liens sous la vidéo ou sous la description du podcast. Je raconte très souvent que quand j'étais vétérinaire, moi j'étais crevé, mais le week-end quand j'étais pas de garde, quand j'étais au repos, il suffisait que j'ai un coup de téléphone pour me dire est-ce que tu veux bien venir m'aider parce que là j'ai une césarienne un peu compliquée, j'accourais quand même, je prenais sur mon temps de pause, j'étais pas payé, c'était juste bah oui t'inquiète pas je vais t'aider, je vais pas te laisser dans la mouise avec ce labrador obèse dont tu verras jamais les ovaires. Donc oui je venais, j'allais donner un coup de main. Pourquoi ce rôle vous fracasse ? Pourquoi ce rôle vous épuise et peut directement vous amener à la case burn-out ? Parce que vous dépassez vos limites en permanence en fait. Vous dites oui quand votre corps et votre esprit vous hurlent non. Vous ignorez vos besoins pour prioriser ceux des autres et ça c'est vraiment catastrophique. Je reprends l'exemple de l'avion. Si vous ne mettez pas d'abord le masque à oxygène sur vous, tout le monde va mourir. C'est pareil dans votre vie de tous les jours. Si à un moment donné vous ne reprenez pas un petit peu d'énergie, personne ne va pouvoir être aidé en fait, ni vous, ni votre collaborateur, ni votre boulot, ni vos clients, ni vos enfants, tout le monde va en souffrir. Et puis vous allez accumuler une charge émotionnelle aussi qui n'est pas la vôtre. En voulant sauver les autres, je le disais tout à l'heure, vous absorbez aussi leur stress, vous absorbez leur souffrance, vous absorbez leur désorganisation, vous absorbez leurs émotions. On a dans notre cerveau des choses qu'on appelle neurones miroirs, on a une forme d'empathie aussi, par mimétisme on va ressentir comme des éponges les émotions des autres, ça va nous fracasser les émotions. Vous l'avez peut-être déjà remarqué, mais ça vous fatigue très fort. Donc, vous voyez, ce n'est pas terrible non plus à cet endroit-là. Vous allez développer aussi d'ailleurs une forme de dépendance émotionnelle si vous êtes victime du syndrome du sauveur. Qu'est-ce que ça veut dire ? Vous avez comme besoin de vous sentir utile pour exister. Ne pas vous sentir utile, c'est la mort pour vous, véritablement. Donc, il y a une forme de dépendance émotionnelle à l'idée d'aider quelqu'un. Le vide ou l'inutilité, ça devient insupportable. Si déjà dans votre vie, vous avez ressenti ça, que le vide, l'absence de tâches, l'absence de choses à faire, c'était compliqué. Il y a peut-être un syndrome du sauveur qui traîne derrière. Et puis, vous créez un déséquilibre dans vos relations. Ça, c'est compliqué quand j'en parle, mais je vais essayer de l'expliquer pour que tout le monde puisse comprendre. Vous devenez celui... ou celle qui donne tout, mais qui souvent ne reçoit rien en retour. Et ça peut mener à du ressentiment, ça peut mener à de la fatigue relationnelle, à de la solitude. C'est comme si à un moment donné, l'élastique se pétait et que tout ce que vous avez donné aux autres, vous vous dites à un moment donné, moi je fais tout pour eux, ils font rien pour moi. Il y a comme un déséquilibre émotionnel, un déséquilibre dans la balance de vos relations. Ça ne marche pas comme ça une relation, c'est donnant-donnant, c'est vraiment une histoire d'équilibre pour que ça fonctionne. Et donc vous pouvez avoir du ressentiment, du cynisme. Et puis, ça peut vraiment dégrader vos relations avec les personnes à qui vous pensez donner tout. Et finalement, elle, elle vous donne juste ce qu'elles peuvent vous donner. Vous vous dites, ouais, elle ne te rend pas compte, moi, je me sacrifie pour elle, elle n'a rien fait pour moi. Non, peut-être que toi, en fait, t'en as trop fait. Je me permets de vous le dire, parce que justement, chez les personnes qui ont le syndrome sauveur, quand je l'explique comme ça, elles sont ouvertes à ce que je puisse leur expliquer. Une personne victime, ça serait, mais non, ce n'est pas vrai, c'est les autres qui sont méchants. Encore une fois, pour vous montrer la différence entre un profil et un autre profil de personnalité. Alors, vous allez me dire Théo, c'est bien joli, mais comment on sort de cette cochonnerie de syndrome du sauveur ? Bon, la première chose, c'est dégommer vos drivers. Soit fort, soit parfait, fait plaisir. Ça, j'en parle en long, en large et en travers dans la conférence, donc toujours dans la description du podcast, vous pouvez regarder ça. Et puis, on va donner aussi des petites astuces pour pouvoir justement se dégager de tout ça. La première, c'est reconnaissez votre valeur. Reconnaissez que votre valeur... ne dépend pas de ce que vous faites pour les autres. Ça, ça peut être compliqué parce que depuis tout petit, on vous a appris ça. On vous a appris que vous n'aurez de la valeur que si vous faites quelque chose pour les autres. Vous avez de la valeur même quand vous ne sauvez personne. Commencez à vous-même vous valider en dehors de votre rôle d'aidant. Essayez de faire ce genre de choses. Essayez de vous valider pour des petites choses en dehors de votre rôle d'aidant. Je suis quelqu'un de chouette. Je suis quelqu'un de travailleur. Je suis quelqu'un d'amical. Je suis quelqu'un d'agréable. Voilà. Validez-vous sur ce genre de petites choses. Apprenez à dire non sans culpabiliser. Refuser d'aider quelqu'un, ce n'est pas un manque d'amour ou de solidarité, c'est juste se protéger en fait. Vous pouvez utiliser un exemple de réponse type du style « Écoutez, je comprends votre besoin, mais pour l'instant, je n'ai pas l'énergie pour vous aider maintenant. » Ça suffit. C'est une manière de dire non très calme, très fluide qui permet de ne pas s'embrouiller avec personne et d'être à l'aise avec soi-même. Laissez aussi les autres prendre leurs responsabilités. Ça, c'est important aussi de le comprendre, c'est que quand vous aidez quelqu'un, en fait, vous ne l'aidez pas. Quand vous aidez quelqu'un, quand vous allez beaucoup trop au devant de ses besoins, vous l'empêchez lui-même de grandir et d'apprendre qu'il peut s'en sortir par lui-même. Aider, c'est complètement faire ce genre de choses. Si je t'aide trop, je vais te rendre incapable de faire par toi-même. Laissez à la personne l'espace pour toi. ses propres solutions même si c'est inconfortable même si ça lui prend du temps c'est peut-être lui faire un encore plus beau cadeau que de l'aider c'est toujours le jeu de je donne cette métaphore apprendre à quelqu'un un péché c'est mieux que lui donner du poisson par exemple donc et accompagner une personne plus subtilement vers la réponse plutôt que de faire à sa place c'est lui permettre aussi de trouver ses ressources en elle-même donc de la rendre plus autonome évidemment prenez soin de vous en premier et sans justification on peut pas verser de l'eau d'une cruche vide. Ça n'existe pas. Vous devez d'abord remplir votre cruche d'eau. Ça veut dire quoi ? Ça veut dire votre jauge à énergie quotidienne, vous devez la remplir si vous voulez ensuite la verser dans d'autres activités, avec d'autres personnes. C'est hyper important de commencer à vous bloquer des moments non négociables dans votre agenda pour vous-même et pas pour les enfants, et pas pour le mari ou la dame, et pas pour les collègues. Non, on s'en fout, rien que pour vous. Et puis, encore une fois, travaillez sur la peur du rejet. ou la peur du conflit. Derrière le sauveur, il y a souvent la peur de ne plus être aimé si on ne se rend pas indispensable aux autres. C'est un travail émotionnel profond à faire qui peut nécessiter un accompagnement. Dans le descriptif sous cette vidéo, je vais vous mettre un lien vers la formation qui s'appelle Zéro Culpabilité. C'est une formation qui vous accompagne à vous libérer de ce rôle de sauveur. Je vais vous mettre un lien avec... un bond de réduction pour ceux et celles qui sont intéressés vous pourrez aller regarder cette formation et vraiment ça va vous aider à apprendre à prendre votre place à vous libérer du regard de l'autre et puis à ne plus culpabiliser si vous pensez à vous c'est super important je vais vous montrer en détail comment vous pouvez faire ça comment on peut travailler sur votre conscient et votre inconscient pour être vraiment libéré de cette cochonnerie de culpabilité liée au fait que vous pensez que si vous n'aidez pas les autres vous ne valez rien ok Ça va vous permettre aussi de rétablir des relations équilibrées. Apprenez à demander de l'aide à votre tour. Vous voyez, ça peut être super intéressant. Plutôt que d'être tout le temps, tout le temps en train de faire pour les autres et de vous étonner que l'autre ne vous aide pas en retour, peut-être que simplement vous n'avez jamais... oser demander ou peut-être que vous attendez que les autres devinent que vous avez besoin d'aide parce que vous vous savez le faire parce que vous vous avez ce détecteur à joie qui a un problème donc je vais y aller tout le monde n'a pas ce détecteur donc c'est ok si les gens ne le voient pas donc ce qui est intéressant c'est que vous pouvez travailler pour demander de l'aide et ça sera pas de la faute de l'autre c'est juste qu'il le voit pas parce que vous ne savez pas demander donc ça se voit pas que vous avez besoin d'aide apprenez à demander encore une fois zéro culpabilité on va en parler et puis laisser les autres vous soutenir même si c'est pas parfait Je pense à ça pour les pros. Souvent, je parle de délégation aux personnes que j'accompagne. Oui, mais si je ne le fais pas bien, ça ne sera pas parfait. Je sais, super en fait. Mais si tu le demandes à quelqu'un, bien sûr que ça ne sera pas comme si toi, tu le faisais au début. Mais tu vas apprendre à la personne à le faire progressivement à ta place jusqu'à ce que tu te rendes compte qu'elle est capable de le faire à un certain niveau. Alors bien sûr que ça ne sera peut-être pas parfait, mais ça te permettra, toi, d'avoir de l'oxygène, du temps pour toi, de l'énergie pour toi. Ok, super intéressant. Cet épisode, vraiment, je veux qu'il soit gravé encore une fois, que vous le mettiez dans vos favoris, que vous mettiez des likes sur la vidéo, que vous mettiez des commentaires parce que je veux que cette vidéo soit vue par un maximum de personnes. Le syndrome du sauveur, c'est un mécanisme inconscient de contrôle et de valorisation qui vous mène à l'épuisement. Le fait de dire oui à tout comme ça, c'est typiquement le syndrome du sauveur. Ça vous rend responsable de choses qui ne vous appartiennent pas en fait et ça finit par vous couper de vous-même. pouvez vous en sortir en reprenant le pouvoir sur vos propres limites, vos besoins et votre équilibre intérieur. Encore une fois, je peux vous accompagner à travers ça, à travers le programme Zéro Culpabilité que vous trouverez en lien juste ici dans la description sous ce podcast, donc sous la vidéo ou dans la description du podcast. Moi, je vous dis à très bientôt pour un autre épisode que j'espère passionnant. Si ça vous plaît, partagez, n'hésitez pas et je vous dis à bientôt.