- Speaker #0
C'est un podcast VivreFM.
- Speaker #1
L'invité des modèles, Clara Molinas.
- Speaker #0
Number 4 sur VivreFM, la radio de toutes les différences. Merci d'être avec nous et merci d'être fidèle aux modèles. Une heure pour mettre les femmes à l'honneur. Et on commence par les modèles, notre femme inspirante du jour. Et aujourd'hui, c'est Pauline Vanel qui est dans le studio avec moi, fondatrice du podcast Ma Petite Famille, qui recueille les récits des parents. Bonjour Pauline.
- Speaker #2
Bonjour Clara.
- Speaker #0
Merci beaucoup d'avoir accepté notre invitation aujourd'hui. Est-ce que pour nos auditrices et nos auditeurs qui ne connaissent pas encore, pas encore, mais bientôt, le podcast Ma Petite Famille, est-ce que vous pouvez nous présenter le projet un petit peu avec vos mots ?
- Speaker #2
Oui, déjà merci de l'invitation. Avec plaisir. Donc, en quelques mots, Ma Petite Famille, c'est un podcast que j'ai créé en septembre 2021. Et l'objectif de ce podcast, c'est de donner la parole à des parents qu'on peut croiser dans la rue, c'est-à-dire entre guillemets inconnus, qui ont tous des récits singuliers mais pourtant universels. Et j'ai commencé à créer le podcast en interrogeant des papas, parce que c'est vrai qu'on ne les entend pas beaucoup, notamment dans les podcasts où on parle de parentalité. Donc mon objectif c'était de leur donner la parole, un espace où ils pourraient s'exprimer et où ils pourraient entendre des récits. Et j'ai commencé comme ça, puis en continuant d'enregistrer, j'ai interviewé aussi des mamans. Et aujourd'hui, j'ai autant de papas que de mamans sur les interviews que j'ai pu réaliser.
- Speaker #0
Magnifique, et ça, l'équité, c'est tout ce dont on croit sur les modèles. Mais alors, justement, est-ce que c'est comme ça que vous est venue l'idée ? Vous vous êtes dites, tiens, on n'entend pas assez les parents, enfin les papas. Est-ce que c'est ça le déclencheur ou est-ce que vous vous êtes réveillés un matin en disant, il faut que je fasse un podcast ? Ça pourrait.
- Speaker #2
Oui, oui, ça pourrait, mais non. En fait, aujourd'hui, moi, je suis salariée dans une grande entreprise et j'avais besoin d'un projet à moi, en dehors de ma famille, en dehors de mon travail aussi. Et mon mari m'a toujours dit, il m'a toujours dit, mais Pauline, les gens se livrent facilement à toi. Donc, essaye le podcast. Et je connaissais parce que j'écoutais déjà certains podcasts et je me suis dit pourquoi pas. Donc j'ai regardé sur internet, j'ai acheté une petite formation masterclass Comment créer son podcast en 2021, en août 2021. Et j'ai acheté, il y avait la checklist de tout ce qu'il fallait acheter comme matériel. J'ai tout acheté et après je me suis lancée, j'ai appelé... Un papa que je connaissais bien, qui a accepté, et puis un autre. Et c'est comme ça que c'est parti. Donc, je me suis formée sur le tas. Et trois ans plus tard, me vois-je là, ici.
- Speaker #0
Et c'est tout à votre honneur. Et justement, au début, ça a commencé avec des personnes de votre entourage, des personnes que vous connaissez. Comment est-ce qu'aujourd'hui, vous trouvez les papas et les mamans qui veulent bien se livrer à vous ?
- Speaker #2
Alors aujourd'hui, c'est soit moi qui voudrais aborder certaines thématiques et je vais contacter via les réseaux sociaux ou des connaissances que j'ai selon les thématiques que je souhaiterais aborder. Parce que mon objectif, c'est vraiment d'aborder des thèmes qu'on apporte peu parce que tabou ou parce que trop de niches. Oui, voilà, de niches. Et qu'on entend moins dans certains podcasts. Ou les personnes qui me contactent directement. Par exemple, j'ai interviewé, ça va sortir dans quelques temps, une maman qui m'avait contactée parce que son enfant était malheureusement décédé d'un accident domestique. Et en effet, on n'en parle pas assez, c'était une noyade. Et quand on sait que les chiffres sont entre 500 et 1000 noyables par enfant, ça me tenait vraiment à cœur.
- Speaker #0
Oui, parce qu'au final, c'est ça. Ce sont des histoires qui paraissent différentes. On se dit mince, on n'en connaît pas beaucoup des gens dans notre entourage qui ont perdu leur enfant. Et pourtant, ça peut parler à énormément de monde. Et c'est justement aussi pour ça que vous avez choisi un format assez long pour le podcast. Est-ce que c'est justement pour donner et faire avoir une réflexion à tout le monde ?
- Speaker #2
Exactement. En fait, j'ai choisi dès le départ ce format, même si au début, c'est vrai que les papas, il fallait... Il faut aller y aller. Voilà, leur faire parler plus de 30 minutes sur leur paternité. Mais en effet, je trouve qu'au début, on se livre aussi sur la durée et on comprend mieux le cheminement des personnes. Et puis, on arrive à cerner leurs émotions plus facilement. Donc, en effet, c'est des formats assez longs. Oui, souvent, c'est minimum 40 minutes. Mais comme ça, on aborde vraiment en profondeur le sujet. Et c'est ce que je recherchais aussi, c'est de ne pas survoler la thématique, mais d'avoir un récit vraiment très authentique. Et je pense que c'est ce qui rend aussi touchant tous les récits que j'ai pu enregistrer.
- Speaker #0
Complètement, parce qu'au moins, on apprend vraiment à connaître la personne qu'on a en face. Nous, on n'a que 20 minutes, mais bon, on va essayer de tout faire rentrer. Et justement, à qui s'adressent tous ces épisodes de podcast ? On pourrait se dire tout de suite que ça s'adresse aux parents, mais c'est potentiellement aussi aux futurs parents, aux personnes qui ont été parents. Ça s'adresse à beaucoup de monde au final.
- Speaker #2
Exactement. C'est marrant comme question parce que l'âge, cette semaine, sort un prochain épisode. Et c'est une jeune femme étudiante qui va arriver dans la vie active, qui n'est pas génération Z. un peu comme vous, je pense.
- Speaker #0
Sans doute, on est une très bonne génération.
- Speaker #2
Et en fait, ça m'intéressait de vous donner la parole et donner la parole à cette génération parce qu'on entend beaucoup non, on ne veut pas d'enfants, cause environnementale Enfin, on a beaucoup. Moi, je suis un peu plus vieille vu que j'ai 36 ans, mais on a beaucoup de tabous. On se dit voilà, ils pensent ça, on n'aura plus jamais d'enfants Tandis que non, pas du tout. C'est... chaque personne est différente et elle nous explique qu'elle, par exemple, souhaite des enfants. Et que maintenant, c'est plus questionné. Donc c'est très intéressant. Donc même ce type, cette génération écoute mes podcasts pour se renseigner. Et elle, elle adore. Elle ne savait pas que, par exemple, elle pouvait accoucher sans péridural et elle pensait que c'était que à l'hôpital. Non, il y a des récits qui disent qu'après,
- Speaker #0
il faut se renseigner.
- Speaker #2
Il faut se renseigner, bien sûr. En effet, mais voilà que c'était possible si elle le souhaitait, si elle était bien préparée.
- Speaker #0
Et aujourd'hui, on a tellement de moyens. En fait, on a vraiment l'impression d'avoir le choix avec les avancées technologiques, scientifiques, mais surtout avec les avancées des mentalités. En fait, on parle de parentalité, mais la parentalité peut prendre n'importe quelle forme. Et c'est ça aussi dont vous parlez énormément dans le podcast.
- Speaker #2
Oui, en effet, dès la deuxième saison, il me tenait à cœur aussi de montrer la diversité de familles. Alors, mon podcast s'appelle Ma petite famille. Parce que pour moi, c'était déjà un terme assez générique. La famille, c'est la famille de cœur, mais ça peut être la famille aussi de lien de parenté. Et on peut former famille de beaucoup de façons. Et c'est pour ça que j'ai interviewé des couples homosexuels, des couples bien sûr hétérosexuels, et même des mères porteuses. Parce que là, ce n'était pas des mères porteuses en France, c'était des interviews au Canada. parce que c'est possible là-bas. Mais en effet, on peut faire famille de différentes façons.
- Speaker #0
Et donc, c'est le plus important dans ce podcast. Vous allez voir plein de façons de vivre votre parentalité parce que c'est ça, au final, le message. C'est que chaque naissance, chaque enfant, chaque famille est différente.
- Speaker #2
Exactement. Et le but aussi, c'était de... Là, on est sur VivreFM, donc la radio de toutes les différences. Exactement. C'était de montrer aussi que... montrer les petites différences qu'on ne peut pas voir. Des fois, quand on regarde les gens dans la rue, on est souvent surtout sur notre mentalité assez française et peut-être moi aussi la première, donc il faut se remettre en question. Mais jugeons. Et en fait, non, il faut arrêter de juger ou donner des conseils aux parents quand on ne connaît pas la situation de la mère ou du père.
- Speaker #0
La famille en général.
- Speaker #2
Exactement. Je me souviens d'une maman qui... avait son fils qui avait un handicap invisible et qui, à la sortie d'école, entendait des parents bah non, tu ne vas pas jouer avec lui, il est super turbulent, etc. Et ça fait mal parce que pour elle, elle ne peut pas crier sur tous les toits mon fils, il a un handicap, en effet, il est très turbulent par rapport à la moyenne. Mais en effet, on ne connaît pas toutes les situations et il faut être bienveillant avec les gens, je pense.
- Speaker #0
Et c'est surtout de l'incompréhension au final, ce qui se traduit en peur et donc en haine et donc en rejet, alors qu'au final, c'est juste, on n'a pas compris la situation, on n'est pas au courant. Et c'est ça aussi un des messages du podcast, c'est la prévention, dire bah oui, mais vous savez pas, il existe tout ce genre de choses chez l'enfant, chez les parents, donc ne jugez pas. Je pense que c'est un très très bon message sur lequel on va se laisser pour cette première partie d'interview. On continuera à parler tabou et incompréhension dès cette petite pause musicale avec la Jaris et les chanteuses sur VibreFM.
- Speaker #1
C'est la p'tite reine le roi Qui m'a dit non mais demande à Vanessa Et j'ai rencontré la p'tite Carla Bruni Qui m'a dit non moi j'suis déjà prise J'suis déjà prise avec un hippie J'suis donc été dans un avion Faire la cour à Céline Dion Mais j'ai eu le coup de foot pour Zazie Qui m'a dit j'préfère les hippies
- Speaker #3
Et moi j'lui ai dit alors Biiiitch
- Speaker #1
Les chanteuses préfèrent les hippies, les chanteuses préfèrent les hippies. L'invité des modèles, Clara Molinas.
- Speaker #0
9h16 sur Vivre à Femmes, merci d'être avec nous sur la radio de Toutes les Différences et d'être avec nous dans Les Modèles de Rester Fidèle à une heure pour mettre les femmes à l'honneur. On est de retour avec Pauline Vanel qui est dans le studio, fondatrice du podcast Ma Petite Famille qui recueille les récits des parents. Rebonjour Pauline et merci encore une fois d'être avec nous.
- Speaker #2
Rebonjour, merci.
- Speaker #0
Avec plaisir. Alors maintenant, vu qu'on a parlé un petit peu de la forme, du projet, de comment se présenter à chaque fois, à chaque épisode de podcast, Je pense qu'on devrait creuser un petit peu et aller chercher dans le fond. Vous donnez, donc on en a un tout petit peu parlé tout à l'heure, vous donnez tout autant la parole aux mamans qu'aux papas. En quoi c'était important pour vous, justement, d'avoir quasiment cette parité dans les témoignages ?
- Speaker #2
Aujourd'hui, je pense que les pères veulent s'impliquer de plus en plus. Et l'objectif, c'est aussi de leur donner la place. Et pour moi, il était important d'avoir un podcast où ils pouvaient aussi parler de paternité. C'était quelque chose qui allait de soi dès le départ. Parce qu'avec mon mari, on discute beaucoup. Des fois, on n'est pas d'accord sur l'éducation de nos enfants.
- Speaker #0
Bien sûr, on en parle et c'est le principal.
- Speaker #2
Exactement. Et je pense qu'entre eux, ils sont peut-être friands aussi d'avoir des récits. pour aussi ne pas se sentir seule, parce qu'on se rend compte que des fois on vit des choses et on se dit on est tout seul et puis on ne sait pas à qui le partager. Cet espace leur permet aussi de s'exprimer. Et dans le podcast, il y a quand même 46% d'auditeurs hommes. Donc ça veut dire que les hommes cherchent aussi des informations ou des récits qui pourraient leur donner certaines clés de compréhension ou de réflexion. Et ce qui pour moi est... très important.
- Speaker #0
Et alors même si le format est long, on l'a dit, c'est 40 minutes, on arrive quand même, il y a quand même 46% des hommes qui l'écoutent.
- Speaker #2
Oui, c'est fou. Alors je sais que moi, dans les podcasts sur la parentalité que j'écoute, parentalité ou maternité, c'est vrai qu'il y a peu la parole aux hommes. Et je pense que les thématiques que j'aborde sont tellement universelles que je vois pas pourquoi un homme ne pourrait pas l'écouter.
- Speaker #0
Exactement. Est-ce que vous avez toujours un peu plus de mal, ou pas d'ailleurs, à leur tirer de les verres de nid quand vous les interviewez ? On sait qu'un homme, forcément, c'est le patriarcat qui fait ça aussi. Ils n'ont pas forcément l'habitude de se connecter à leurs émotions et à se confier sur cette parentalité. Comment est-ce que vous arrivez à faire ça ?
- Speaker #2
En effet, c'est plus dur que pour les femmes, on ne va pas mentir. Cependant, les hommes que j'ai interviewés étaient prêts à passer ce gap et à vraiment se livrer en toute sincérité. Il faut quand même leur laisser le temps. Donc, c'est des interviews qui sont peut-être un tout petit peu plus courtes que 40 minutes, mais qui ont duré peut-être une heure dans la préparation, les mettre en confiance. Et puis, comme vous dites... libérer leurs émotions.
- Speaker #0
Oui, parce qu'au final, c'est ça. Ils n'ont pas forcément... Ils n'ont pas eu forcément... sans mauvais jeu de mots, des modèles dans leur vie à eux en tout cas. Donc c'est génial qu'ils puissent faire un peu de prévention autour d'eux.
- Speaker #2
Et en effet, ce qui est marrant aussi, c'est que nous les femmes, enfin je dis nous les femmes, c'est vrai que souvent on arrive à trouver les anecdotes, à aller vraiment dans le détail. Eux c'est plutôt général.
- Speaker #0
Après c'est bien aussi parce que du coup ça parle à beaucoup plus de monde aussi et tout le monde peut se retrouver dans leur récit. Et justement, là, on parlait d'interviewer des hommes, mais est-ce que quand on interview des femmes, c'est aussi différent ? Parce que forcément, on part tout de suite un peu dans l'émotion, il doit y avoir des parcours quand même assez difficiles.
- Speaker #2
En effet, oui, il y a des parcours qui, même moi, me marquent, ou même à des périodes, parce que quand j'ai lancé le podcast, j'avais deux enfants en bas âge, maintenant j'en ai trois. Et c'est vrai que j'ai fait des interviews de femmes qui avaient perdu des bébés pendant que même moi, j'étais enceinte. Donc, il fallait que je prenne du recul aussi sur ce qu'elles vivaient et ne pas prendre toutes l'émotion. Même si j'en parlais tout à l'heure du podcast que j'ai fait il y a 15 jours, même pas, sur la personne qui a perdu son bébé. Ça touche,
- Speaker #0
bien sûr.
- Speaker #2
C'est obligé qu'on prenne aussi sur nous. Donc, ouais, je...
- Speaker #0
Il y a des choses, mais ça fait du bien toujours d'en parler, parce qu'il faut en parler. Et justement, mon expérience positive ou négative, en tout cas, retour qu'on en a, est-ce que ça a permis aussi à certaines femmes de déconstruire un peu l'idée qu'elles avaient de la maternité ? Parce qu'on parlait de la génération Z. En fait, selon les générations et selon le rapport qu'on a à la maternité, forcément, on a peut-être des idées reçues. qui sont bonnes à décortiquer et limite à envoyer complètement à la poubelle.
- Speaker #2
En effet. Alors là, par exemple, je vais parler de moi. Clairement, quand j'ai lancé le podcast, par exemple, avant d'avoir mon premier bébé en 2007, j'ai fait une fausse couche tardive. Et quand j'ai lancé le podcast, je voulais aussi expliquer qu'après une fausse couche, on pouvait avoir des enfants. Et puis, il parlait aussi, par exemple, de la fausse couche, parce qu'on n'en parlait pas énormément. Et moi, je n'étais pas du tout prête. Enfin, je ne m'étais pas renseignée. Pour moi, on a un bébé, on a un bébé.
- Speaker #0
Alors qu'en fait, c'est complètement un deuil. Il y a tout un processus à faire.
- Speaker #2
En effet. Et après, par exemple, j'ai eu pour un premier une césarienne, un deuxième une péridurale, et le troisième, je l'ai fait sans péridurale. Comme quoi, après une césarienne, on peut aussi avoir des enfants par voie basse. Mais tout ça, en effet, il faut... Il faut le dire et il faut que le plus grand nombre le sache. Parce que pour moi, le savoir, c'est le pouvoir. En gros, quand on le sait, après, on peut faire des choix éclairés. Et tant qu'on ne sait pas, c'est vrai qu'on est un peu ignorant et on se laisse guider par les gens. Et des fois, comme pour l'allaitement, etc., il vaut mieux savoir, être prêt et après être conseillé. Mais faire ses propres choix en toute conscience.
- Speaker #0
Est-ce qu'il y a un côté aussi, on sait que le corps médical nous accompagne pas mal, et encore ils font tomber sur les bonnes personnes, mais ça c'est dans tous les milieux. Est-ce que justement le fait d'avoir, donc pas des experts entre très grosses guillemets, d'avoir des gens qui pourraient être nos voisins, notre boulangère, notre charcutière, qui ont vécu ces moments-là et ces moments un peu particuliers, un peu des choses qu'on ne vit pas tous les jours, ça aide aussi les personnes à se sentir plus en confiance en disant, bon ben voilà, il s'est passé ça. Moi, je ne connaissais pas, on n'avait pas entendu parler. Ça libère aussi le côté vraiment échange, peut-être pas salon de thé, mais le côté quotidien. Et ça peut arriver, en fait.
- Speaker #2
Exactement. En fait, avoir ce format de récit, d'histoire, ça permet aussi de vivre les émotions de la personne qui est interviewée. Et de pouvoir... Comment dire ? Amener des réflexions sans que ce soit un professionnel qui vous donne l'information. C'est-à-dire que c'est toujours amener des réflexions. Moi, je ne donne pas de conseils et ce n'est pas du tout mon but. C'est vraiment d'interviewer des personnes très singulières, mais pourtant qui ont des récits que l'on peut croiser partout, entre guillemets. Et le but, c'est vraiment, on peut s'identifier sur une partie du récit, ne pas s'identifier sur une autre. Mais il y a toujours quelque chose qui nous rapporte. porte sa propre histoire.
- Speaker #0
Toujours. C'est fou. Et qu'est-ce qu'on peut vous souhaiter pour cette nouvelle année avec le podcast Ma Petite Famille ?
- Speaker #2
Merci. La question, peut-être que le podcast se grandisse, que de plus en plus d'auditeurs l'écoutent. C'est ça, parce que moi, en fait, c'est vraiment donner la parole pour que les gens soient informés, que ça soit inspirant pour eux et qu'ils se disent, je ne suis pas seule.
- Speaker #0
Et où est-ce qu'on peut vous retrouver peut-être ?
- Speaker #2
On peut me retrouver sur Instagram, c'est là où je suis la plus présente. Ma petite famille podcast, tout simplement. Et sinon sur LinkedIn, Pauline Vanel.
- Speaker #0
Parfait. Et le podcast, on peut l'écouter sur toutes les bonnes plateformes.
- Speaker #2
Toutes les bonnes plateformes, en effet.
- Speaker #0
Spotify, Deezer, Apple Podcasts, on ne pourra en citer que quelques-uns.
- Speaker #2
Même YouTube.
- Speaker #0
Et bien même YouTube. Parfait. Et bien on ira regarder. tout ça. Merci beaucoup Pauline Vallée d'avoir été avec nous aujourd'hui. On le rappelle, allez écouter, allez streamer le podcast Ma Petite Famille. Et de notre côté, si jamais vous voulez réécouter cette interview, ce sera en podcast, mais sur vivrefm.com. C'était un podcast VivreFM. Si vous avez apprécié ce programme, n'hésitez pas à vous abonner.