Speaker #0Musique Il est minuit à Bali. Musique L'heure de notre rendez-vous avec l'évolution naturelle Un moment rien que pour vous, une pause Pour découvrir d'autres philosophies de vie, des modes de pensée différents Minua Bali vous offre la possibilité d'explorer ce que nous sommes vraiment De mieux comprendre ce qui nous anime, ce qui nous fait vibrer, aimer et avancer Ce qui peut nous permettre d'être plus en équilibre, plus heureux Je m'appelle David Mott, je suis accompagnateur en évolution naturelle Master Coach certifié, mais je me définis plutôt comme un explorateur du vivant Ce qui m'intéresse tout particulièrement, c'est le changement, celui que nous préparons ou celui qui nous surprend. Ensemble, nous allons dépasser nos limites, réinventer notre vie ou la vivre autrement. Parce qu'il n'est jamais trop tard pour devenir la personne que vous avez toujours voulu être. Et c'est maintenant, quand il est minuit, à Bali. Nous voilà à notre cinquantième épisode, cinquante épisodes. Et ça continuera bien sûr, mais c'était intéressant de le noter, de le marquer, de le fêter tout simplement. Il faut fêter ses petites victoires. Et donc merci à vous, merci à vous de suivre ce podcast. J'espère qu'il va... qui vous inspire autant que moi, j'ai commencé timidement et tout doucement. Nous avons changé, si ce n'est le monde qui nous entoure, tout au moins une partie de notre conditionnement, de ce que nous pensions savoir. Nous avons pu ensemble nous explorer, nous challenger parfois, et je suis fier de nous. Je n'ai pas honte de le dire, je suis très fier de nous, de ce que nous avons traversé jusqu'à présent, de ce que nous avons appris jusqu'à présent. Alors vous entendrez peut-être des chiens derrière moi parce qu'il est effectivement minuit à Bali, en l'occurrence, enfin ou pas loin. Et les chiens veillent, d'ailleurs pour l'anecdote, mon chien hier a aboyé comme un malade pendant un quart d'heure jusqu'à ce que j'aille dans le jardin pour voir pourquoi il aboyait et il nous a ramené un pangolin, un vrai pangolin, donc il était en boule, donc on a ramené le chien dans la maison et le pangolin est parti, mais c'est quand même assez extraordinaire de voir un animal comme ça, préhistorique, en tout cas qui semble préhistorique, un pangolin dans le jardin, ça pourrait faire un joli titre de podcast d'ailleurs, un pangolin dans le jardin. Voilà, donc ce partage est là aujourd'hui pour fêter ce cinquantième épisode, et bien encore une fois il y en aura d'autres. Chaque épisode aborde une pratique, comme vous le savez, une question que l'on peut se poser, que je me pose d'ailleurs, et il m'a fallu parfois des années pour y répondre. Vraiment, franchement, il y a des choses où je n'avais pas conscience de ce que je vivais, où je n'avais pas les bonnes réponses, en tout cas ce qui me plaisait, ce qui m'intéressait, ce qui me parlait. Donc ça a pris beaucoup de temps pour trouver un sens, une approche, une pratique qui me parle. Et j'ai eu parfois l'impression de maîtriser le concept pour tout remettre à plat et l'aborder différemment. La santé mentale, par exemple, c'est quelque chose qui m'a beaucoup intéressé. Et j'ai mis longtemps avant de l'aborder, comme je vais vous l'expliquer après. Mais j'ai mis longtemps pour arriver à... à trouver un sens à tout ça. C'était pas complet, il manquait des bouts, c'était trop général, et je me sentais pas concerné, je sentais pas que ça me parlait perso, vous voyez. Évidemment, il y avait des méthodes connues, qui ont fait leur preuve, mais prises séparément, en fait, ou dans le désordre. Elles sont utiles en temps, mais en fait, on finit par les mettre de côté, faute de pouvoir s'inscrire dans une stratégie. Elles ne s'inscrivent pas dans la durée. C'est comme ça, en tout cas, que je le voyais, et que je vois toujours, d'ailleurs. C'est un peu comme le nouveau régime à la mode, vous voyez, le régime qui vient de sortir. On se motive et on le fait, mais faute d'avoir compris notre besoin de manger, pourquoi on mange autant, de combler peut-être un vide, c'est peut-être ça qui nous touche peut-être par exemple. On commence, on perd un peu grâce à ce régime et puis après on reprend ses habitudes parce que c'est plus simple tout simplement. Parce qu'on n'est pas allé creuser au fond pour essayer de comprendre pourquoi on mangeait, on se gavait quelquefois parfois, c'est vrai, En rapprochant la philosophie occidentale, qui nous promet souvent, vous le voyez, des formations avec un résultat en 21 jours, un résultat en 21 jours, ou moins d'ailleurs, et la philosophie orientale... qui elle a choisi une approche d'un pas après l'autre, on a parlé avec l'esprit du Kaizen, et bien je suis arrivé à un équilibre où savoir, comprendre, réagir prend tout son sens. Je pense que vraiment la philosophie occidentale et orientale sont complémentaires, mais c'est marrant parce qu'elles passent quand même par un même incontournable, c'est pour ça d'ailleurs qu'elles sont incontournables et qu'elles sont complémentaires, c'est de nous comprendre. comprendre notre environnement et nos relations avec ceux qui nous entourent. C'est la base en fait. Sortir de nos croyances limitantes. quelque part dans notre conditionnement, et trouver notre pouvoir intérieur, car nous avons un pouvoir intérieur. Tout est là, en fait. Et on ne passera pas à côté que pour vraiment agir sur notre mental, notre physique, la volonté ne va pas suffire. Il nous faudra aussi les conséquences, les connaissances, pardon, les connaissances et les conséquences aussi, d'ailleurs, des connaissances. Voilà, donc... Oui, je peux partager avec vous des essentiels qui peuvent vous aider, j'espère en tout cas, à vous servir d'échauffement, de bonne pratique. Mais c'est vrai que le programme lui-même, celui qui peut vous amener à la transformation que vous souhaitez, nous le ferons à travers le kensugi moderne qui passera inévitablement par le linkshi et l'identification de ces blessures journalières que nous supportons. Vous savez, les petits coups qu'on nous met tous les jours comme des coupures. Je fais le geste en même temps, vous ne le voyez même pas d'ailleurs. Et ça, vous le voyez, vous pourrez le voir, Katsugi, Lingxi, tous les noms que je cite, japonais ou chinois, vous les retrouverez dans les épisodes précédents. Voilà, donc le Lingxi, c'est les freins, et puis nos conditionnements aussi, qui nous pourrissent la vie. Et nous irons ensuite rêver, imaginer et créer un monde où nous vivons ce qui est important pour nous, parce que nous pouvons le faire, avec encore une fois ce pouvoir. Nous avons le pouvoir de le faire, avec le Ikigai, et puis nous suivrons bien sûr la voie du Kaizu, je le dis bien sûr, mais non, c'est pas forcément bien sûr. Nous suivrons la voie du Kaizen pour mettre en place nos projets de vie et être enfin la personne que nous avons toujours voulu être et c'est à votre portée. C'est tout à fait possible. Vous vous en souvenez peut-être, mais dans un de mes premiers épisodes de ce podcast, je vous ai dit que nous allions soulever le moteur, nettoyer le filtre à air, souffler sur la poussière qui s'est accumulée au fil des routes que nous avons empruntées. Nous allons changer des pièces qui ne nous appartiennent plus. Nous allons mettre des... ou plutôt de ne nous en pas mettre, des autocollants, des ailerons arrière, ou changer la peinture pour faire beau, ce n'était pas notre but. Mais nous avons décidé de trouver ce qui nous ralentissait, de tout comprendre, en tout cas une grande partie, essayer de comprendre ce qui nous intéresse, les petits chemins et les grandes routes qui nous ont cabossés, de nous équiper pour continuer en apprenant à accueillir d'autres passagers avec nous, ou à nous en débarrasser s'ils n'étaient pas bons. pour nous ou qui n'étaient pas bons avec nous. C'est ce que nous faisons. Et nous sommes déjà à notre cinquantième épisode. Encore une fois, ça continuera. Nous avons déjà avancé sur le chemin de l'évolution naturelle. Et ceux qui ont écouté du premier épisode jusqu'au cinquantième épisode, j'espère que vous avez retenu des choses importantes, que vous avez pu évoluer naturellement. Et n'hésitez pas, bien sûr, à laisser des messages sur Facebook pour partager avec d'autres ce que ça peut vous apporter. Je serai vraiment très intéressé. C'est important. 50 épisodes et autant de thèmes abordés, bien sûr, comme notre rapport au temps, par exemple, à nous-mêmes, aux autres, nos freins, nos boosters, des petits pas à faire ensemble, des inspirations à faire pour soi. On a écouté les paroles de Bouddha, c'est pas rien quand même, de Confucius, de Jonathan Haidt, de philosophes américains, espagnols et autres encore. Et puis on a rencontré un moine bouddhiste, rappelez-vous, un moine bouddhiste baliné d'ailleurs, puis un hindouiste toujours baliné aussi, qui ont partagé leur vision de la vie. Je vous ai raconté des bouts de ma vie, je me suis confié à vous, autant en France, dans mes périodes autour de la communication, dans mon agence, tout ça, qu'à travers mes 12 années à Bali. Nous avons commencé le chemin de l'évolution naturelle en découvrant la philosophie orientale, il n'y a pas très longtemps d'ailleurs. Soyons fiers de ce qu'on a pu partager ensemble, et ce n'est que le début. Déjà, bref, 50 épisodes. Et justement, pour ces 50 épisodes... J'ai pris une décision, que j'ai prise au tout début d'ailleurs du podcast, en essayant de préparer ça. Et l'année prochaine, je vous proposerai des formations proposant des programmes complets. Il y aura la transformation par le Kansugi, la puissance de l'Ikigai, la stratégie du Kaizen. Et vous allez voir, c'est très particulier, ce sont des formations qui ont pris beaucoup de temps à préparer et qui reviennent sur la philosophie orientale, la philosophie occidentale, la philosophie moderne. Je parle vite là parce que c'est un peu d'émotion pour moi. Je ne pensais pas le dire, je ne voulais pas trop en parler, puis je me suis dit, tiens, le cinquantième épisode, c'est peut-être le moment de dévoiler la chose. Donc voilà, c'est fait. Le dire rend ça plus réel. Et comme ça, on voit une très longue préparation. Bon, bref, le projet est lâché. Je vais vous accompagner et partager avec vous tout ce que j'ai appris à travers des formations inédites entre philosophie orientale, sciences modernes, mes douze ans à Bali, bien sûr. et tout ce que d'autres ont pu m'apporter aussi, je vais partager avec vous. Pour l'instant, tout ça est en préparation, donc je vais m'arrêter là, mais nous aurons le temps d'en reparler certainement en fin d'année. Comme nous sommes sur le cinquantième épisode, c'est aussi l'occasion de vous annoncer que je vais relever un défi, tout seul, comme un grand. Je vais me challenger et reposer à partir du point de vue 1er décembre, le journal des résolutions. Nous prenons tous des résolutions. On le promet, j'en prends plein de résolutions. Parfois je tiens, parfois je ne tiens pas. Tous des résolutions, le jour de notre anniversaire, en début d'année, la naissance de notre enfant, le jour de notre mariage, face à un événement, une perte ou une victoire. On se promet tous de faire mieux ou différemment. Bref, on prend tous de bonnes résolutions. Eh bien tous les jours, à partir du 1er décembre, et pendant 31 jours, tous les jours, je vais vous proposer une résolution que l'on pourrait prendre. Ou pas. On va réfléchir là-dessus. Et ça ne va pas durer longtemps. Ce sera à travers un épisode par jour d'environ 8 à 10 minutes. Si ça vous dit de me suivre, voilà. En tout cas, je compte sur vous, moi, un épisode par jour à partir du 1er décembre, pour parler ensemble de nos résolutions dans le journal des résolutions. Suite à ma dernière vidéo, je saute du coq à la neige, suite à ma dernière vidéo sur l'importance de la santé mentale, vous avez été nombreux à me demander des tips gourmands que vous êtes, des bonnes pratiques pour alimenter votre mental, le faire travailler, le remettre ou le mettre en cohérence avec le physique. D'ailleurs, c'est Laurent qui m'en a parlé, qui m'a remercié pour l'épisode. Bien sûr, il aurait pu aussi me dire que ce n'était pas bien. Il était lui-même convaincu qu'il était important de ne pas négliger son mental comme son physique. mais qu'il était un petit peu frustré de ne pas avoir une ou deux idées d'exercices sur lesquels il pourrait travailler. Alors je précise que Laurent, il fait partie des personnes qui se sont mis en action il y a quelques années, et qui cultivent à la fois son physique en marchant tous les jours quelques kilomètres, et il s'y tient tous les jours, il va aussi faire quelques longueurs dans la piscine quand il peut, tout en écoutant des contenus qui l'inspirent, le motif, dont bien sûr Menu à Bali, et puis d'autres podcasts et d'autres contenus. Bien sûr, je comprends vos attentes et j'y réponds en partie dans les épisodes précédents que vous pouvez encore une fois écouter, dont l'inconscient par exemple qui est très important, on va en parler dans quelques instants. Et puis le syndrome de l'imposteur, la motivation, bref, vous pouvez regarder un petit peu le déroulé et regarder les épisodes qui vous intéressent. On n'est pas obligé de les suivre dans l'ordre d'ailleurs. Et puis je continuerai dans les suivants. Mais il est particulièrement difficile de vous donner, encore une fois, un programme complet. Déjà, mes épisodes sont très longs. En tout cas, certains me disent « Ah, c'est un peu long, je les écoute en une fois, en deux fois ou en trois fois » . Donc je le comprends très bien. Mais voilà, j'essaie de vous donner un maximum d'informations pour que vous puissiez avancer, que nous puissions tous avancer. Mais c'est un peu comme une préparation physique. Il y a des étapes particulières qui donnent un sens au résultat final qui est lui-même en constant changement. Le changement physique s'adapte au mental et inversement. Parfois c'est le physique qui ne suit pas, parfois c'est le mental qui ne suit pas. Bref, c'est une stratégie, c'est un esprit qui, bien sûr, évolue naturellement tout le long de notre vie. On ne s'arrête pas en disant ça y est, j'ai tout compris de la vie. Mais on évolue, on est curieux, on essaie de savoir, de comprendre, d'agir. Et tout ça, bien sûr, c'est un peu difficile de le donner en podcast. vous essayez de vous donner un maximum de choses, mais bien sûr, ça fait partie d'un programme, et c'est la raison pour laquelle, par la suite, je vous proposerai des programmes avec un contenu beaucoup plus fourni, avec des vrais exercices. Mais en tout cas, j'essaie de faire mon maximum pour vous aider, pour vous accompagner dans votre changement. Bref, tout ça pour dire que je ne vais quand même pas vous laisser sans vous donner un petit tips, qui va beaucoup servir d'ailleurs, Berceau. Comment arriver à se motiver et à tenir ses bonnes résolutions ? C'est plutôt... Une fois qu'on est motivé, comment plutôt tenir ces bonnes résolutions ? C'est avec le thème du journal des résolutions que nous allons voir au mois de décembre. Vous vous rappelez de notre inconscient ? On en est parlé dans un épisode, je ne sais pas combien, je n'ai pas regardé les numéros, mais il y a trois épisodes sur l'inconscient. Et on dit que l'inconscient est représenté comme un éléphant, un éléphant qui est soumis au plaisir immédiat. Et puis notre conscient, notre réflexion consciente, elle est montée sur cet éléphant comme un conducteur. Et essaye tant bien que mal de diriger cet éléphant qui lui, fait un petit peu ce qu'il veut. Et encore une fois, écoutez les épisodes, si vous ne voyez pas trop de quoi je parle, mais je pense avoir été à peu près clair, l'inconscient est un éléphant sur lequel on est monté, on essaie de le diriger, mais lui, il va un petit peu où il veut. Et bien, je vous donne un petit exemple. Vous êtes au bureau, tranquillement, et tout d'un coup, vous avez la fringale. Vous dites, mince, je commence à avoir faim. Voilà. Vous êtes fatigué et puis il y a une petite odeur, vous savez, de croissant qui vient, ou en tout cas une odeur de vignoiserie. Et l'éléphant, lui, il fait « Eh, sucre, maintenant, vite, vite, sucre ! » Et là, tout de suite, vous avez la célévation, l'élan, vous avez envie de manger, d'ouvrir la boîte de biscuits que vous avez à côté de vous. La boîte, peut-être même un sac avec à l'intérieur deux croissants que vous allez garder le matin en vous disant « je ne les mangerai pas, je ne les mangerai pas, je ne les mangerai pas » . Mais là, l'odeur de vignoiserie plus la fatigue, votre éléphant vous dit tout de suite là, « il faut manger tout de suite là, il faut les laisser tomber, de toute façon ce n'est pas grave, tu tiendras mieux demain » . Mais vous, votre côté conducteur, le côté conscient, au lieu de moraliser l'éléphant en lui disant « attends, laisse tomber, ce n'est pas la peine » . « Elephant, tu ne mourras pas, tu ne sais pas raisonnable. » Non, non, non. Vous avez préparé une bouteille d'eau à portée et puis une petite poignée d'amandes. D'accord ? Donc, vous êtes fatigué, vous avez envie de manger. Bouteille d'eau à portée, de la main et les amandes. L'action, ça dure deux minutes. Vous buvez deux, trois gorgées ou quatre gorgées d'eau et vous mangez cinq amandes. Votre éléphant, il est content. L'éléphant est rassasié tout de suite, l'envie passe et vous, vous gardez le cap. Et c'est ce même éléphant qui va vous dire, par exemple, qu'on pourra pousser notre séance de sport ou notre marche du matin pour Laurent. Et là aussi, vous pouvez adopter cette stratégie en préparant vos affaires la veille. Les bonnes musiques qui vont bien au matin pour vous réveiller et puis un super petit déjeuner après. Et votre éléphant sera dans le mouvement. Pourquoi ? Parce qu'il ne va pas s'embêter à vous dire « Oh là là, attends, t'es pas prêt, les affaires ne sont pas prêtes, il en reste encore dans le sèche-linge, tes chaussettes ne sont pas propres, tes chaussures ne sont pas prêtes » . Tout est prêt déjà. Tout est prêt. Et il aura compris que vous êtes décidé, que vous êtes motivé. Et après quelques séances, c'est lui qui va être enthousiaste, qui va dire « Hé, réveille-toi, c'est bien, on va aller marcher un petit peu, ça va nous faire du bien. En plus, on va retrouver la voisine, on va avoir un temps magnifique, ça va être génial » . Et c'est lui qui va vous motiver. Et puis le petit déjeuner, ce sera la récompense finale, il se dit, ben voilà, moi tout va bien, j'ai mon plaisir immédiat, tout se passe bien. Voilà, c'est un petit peu court bien sûr, c'est une petite réflexion que j'ai eue ce matin en réfléchissant à ce que je pouvais vous dire, en pensant à ce que je pouvais dire dans cet épisode, voilà, je pensais à ça, et puis on peut en reparler si vous le souhaitez, mais écoutez encore une fois les épisodes sur l'éléphant, et notre inconscience sera peut-être plus claire si ce n'a pas été. Je tenais également... A terminer cet épisode de podcast, par une petite réflexion de nouveau personnelle, puisque je suis tout seul devant ce micro, en pensant à la santé mentale, on pense souvent santé mentale effectivement comme quelque chose d'important, et c'est vrai, comme la santé physique. La santé physique, vous avez aussi la force physique, puisque quand on commence à pratiquer un exercice, au bout d'un moment, on arrive à acquérir la force physique, et c'est la même chose pour la santé mentale. A force de travailler sur sa santé mentale, on a une force mentale. Une force mentale qui nous permet d'affronter des épreuves qui sont dans la vie parfois extrêmement compliquées. Je pense à Sandrine. Sandrine et sa maman, je pense qu'en ce moment ça doit être assez compliqué, je ne rentrerai pas dans les détails, elle sait de quoi je parle en tout cas, mais parfois la vie nous met des épreuves, nous met devant des choses qui sont compliquées et qu'on peut prendre de façon... différentes, c'est-à-dire que d'un côté on peut baisser les bras, pleurer, s'écrouler, et se dire qu'on n'y arrivera pas, ou au contraire se dire qu'on peut faire de chaque jour une fête, et que chaque jour on peut rendre la vie de l'autre plus belle, et je pense très fort à Sandrine, et je pense à la force mentale qu'il faut pour arriver à affronter ce type de situation. Donc voilà, je voulais partager ça avec vous et avec Sandrine également. Nous voici donc à la fin. De ce cinquantième épisode, et comme c'est une date symbolique, oserais-je vous demander de laisser un avis sur un podcast ? Ça prend trois minutes. Je vous l'ai dit l'année dernière fois, je l'ai fait moi de monter en trois minutes pour une autre personne qui avait un podcast très intéressant. Donc, c'est dans l'esprit du cinquantième épisode, il faut arriver avec un petit cadeau. Plaisir d'offrir, joie de recevoir. Eh bien, j'attends de vous. de vous laisser un petit avis sur Appet Podcast. Si tu l'as déjà fait, vous pouvez aussi le faire sur Spotify ou laisser un message sur Facebook. Je fais des épisodes, ça c'est le deal, je fais des épisodes et vous m'encouragez, tout simplement. C'est comme les artistes, c'est les applaudissements, c'est gratuit, ça fait toujours plaisir. Comme ça, je vois que vous existez, que vous êtes présents et ça fait toujours chaud au cœur. J'attends vos avis sur le cinquantième épisode et surtout sur Menu à Bali. Et puis on se retrouve très vite, bien évidemment. Pour un prochain épisode quand il sera minuit à Bali. Musique