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Minuit à Bali - Changer sa vie ou la vivre autrement

71 [JDR] Réussir un projet impossible pour changer sa vie

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11min |11/12/2025
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11min |11/12/2025
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Description

Vous avez imaginé votre projet, vous préparez un changement de vie, mais personne n’y croit ni ne vous suit. Il est possible que cela paraisse trop ambitieux ou incontrôlable. Alors, comment faire adhérer vos partenaires, vos proches et celles et ceux qui vous tiennent à cœur et les embarquer avec vous dans l'aventure ?


Si vous aimez l’esprit de Minuit à Bali, autour du changement de vie, que vous avez envie d'un développement personnel qui vous amène vers votre évolution naturelle, c’est très simple : Abonnez-vous, laisser un commentaire, mettez des étoiles et partagez-le.🙏

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Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

Transcription

  • Speaker #0

    Nous avons parlé hier de détermination et aujourd'hui je vais vous proposer un exemple que j'ai pu vivre de la force de la détermination et puis aussi comment on peut la vivre tous les jours. Nous sommes sur le journal des résolutions, je vous le rappelle, en mode nomade, donc pas de musique, pas d'introduction. Je m'appelle David Mott et je vous propose pendant un mois, nous sommes déjà le 12 je crois, chaque jour... des résolutions à tenir ou à ne pas tenir aussi, pourquoi pas, en tout cas des inspirations que je vous propose autour des résolutions pour changer votre vie ou la vivre autrement. Et aujourd'hui je vais vous parler de ce que j'ai vécu. J'étais à Bali, alors vous savez, je travaillais avant mon agence de voyage, vous le savez peut-être pas d'ailleurs, j'ai une agence de voyage à Bali, je suis directeur, j'ai créé une agence de voyage à Bali, où je propose d'accompagner, là aussi je suis toujours en accompagnement, d'accompagner des voyageurs pour découvrir Bali et ses soeurs indonésiennes et donc j'ai décidé sur Bali et bien de faire les événements oui ça allait bien avec avec mon ancien travail avant de créer mon agent de voyage j'avais une agence de communication et je créais des événements pendant dix ans j'étais pas seul mais j'ai j'avais mes associés avec moi et on a créé des beaucoup d'événements des événements jusqu'à 1500 2000 personnes c'est quelque chose que je connaissais bien je dis tiens je vais pouvoir aussi le faire sur Bali. Et effectivement, il y a eu à un moment donné un appel d'offres. Il y avait l'Inde également qui était là, dans l'appel d'offres. Donc il y avait Bali, je vous le rappelais. Il y avait l'Inde et puis je crois qu'il y avait le Sri Lanka, me semble-t-il. Donc nous étions en compétition. Et j'ai donc écrit sur 7 jours un événement pour 250 personnes. Alors c'était de 1 à 77 ans, c'était des gens plus ou moins âgés. Et c'était pour le 50e anniversaire d'une société. Donc on était en compétition. et j'ai écrit l'événement, j'étais très enthousiaste et je me suis motivé, j'étais très engagé là-dedans dans cet événement, une fois j'en ai fait beaucoup, et donc j'ai fait mon maximum pour que ça fonctionne, et ça a marché, et on a gagné, on a super gagné comme on dit, le problème c'est que derrière quand je l'ai parlé à mon équipe, tout le monde m'a dit mais t'es complètement taré, ça ne marchera pas ce que tu proposes, parce qu'en fait je proposais des événements sur 7 jours, Avec tous les jours, deux événements différents. Je dirais même trois événements majeurs différents, tous les jours. Je vous rappelle, si vous ne connaissez pas l'univers du voyage, et des événements de voyage, normalement on est dans un hôtel, 250 personnes vont dans un hôtel, on les sort le matin, on les sort l'après-midi, on fait peut-être un repas en général à l'hôtel, mais c'est quand même très compliqué de sortir comme ça, les personnes, tout le temps, toute la journée. Moi j'ai essayé de les sortir toute la journée, d'aller proposer, d'aller privatiser une rizière, d'aller faire du rafting, ce n'était pas forcément plus compliqué, mais plutôt dans des endroits un peu sauvages, on a fait du vélo pour 250 personnes, sortir, faire du vélo, et puis surtout, ça c'était quelque chose que j'avais beaucoup aimé, c'était également privatiser, enfin louer, pardon, louer des voitures, c'était des Volkswagen 180 décapotables, dans les vieilles voitures. Et on avait loué, je crois qu'il devait y avoir 90 ou 95 voitures. Alors sachant qu'il y avait 110 voitures sur Bali, on en avait loué 95 ou 98. Et puis ça représentait, pour vous dire, pour donner un petit ordre d'idée, ça représentait 6 km de voitures les unes derrière les autres. Et ça avait demandé à 250 personnes de travailler rien que sur cette partie-là, qui représentait une demi-journée. Bref, sur le papier en tout cas, tout le monde me disait, mais ça ne marchera pas. ça ne fonctionnera pas tu n'y arriveras pas et évidemment beaucoup n'avaient jamais fait d'événement et j'étais déterminé mais j'aurais pu vraiment dire pourquoi j'ai vendu ce projet en France c'était facile de vendre des projets et nous avons avec mon associé privatisé le musée d'Orsay par exemple on a fait des choses sur le stade de France mais c'était des événements où la culture, l'histoire Les gens, on parlait la même langue, tout était plutôt facile. Tandis que là, c'était une autre culture, une autre histoire, des personnes qui n'avaient pas du tout la même idée de l'événement que moi, et à chaque fois que je proposais quelque chose, ils disaient non, ça ne marchera pas, on ne va pas le faire. Et voilà, je voudrais privatiser une rizière, entièrement préparer cette rizière pour que les gens se sentent vraiment dans le tissu local, et puis une fois qu'on a terminé, remettre la rizière dans le même état qu'on l'a pris. Il était hors de question qu'on détruise ce soir. Quand j'ai proposé, on m'a dit non, ça ne marchera pas, ce n'est pas possible. Là, j'ai dit si, si, c'est possible, on va y arriver. La détermination, comment j'ai pu, par exemple, la développer sur cette partie-là, sur cet événement ? Eh bien, j'ai commencé à me dire, ça fait trop. Quand je commence à parler de ces 7 événements, ou plutôt 14 événements, puis il y en avait un le matin et un l'après-midi, les gens me disaient, ça ne marchera pas. J'ai commencé à diviser les événements. C'est-à-dire qu'au lieu de dire il y a 14 événements, puisqu'il y en a un le matin et un l'après-midi, ce matin. Je vais le diviser encore suivant les activités qu'il y a. Par exemple, il va y avoir les transports. Les transports, ce sera une logistique à part. Ensuite, il va y avoir l'activité elle-même. Par exemple, l'activité de cerf-volant. Ce sera une activité à part. Et chaque équipe qui organise une activité ne sait pas ce que font les autres. Ou en tout cas, ils le savent, mais ils n'ont aucune organisation, impact organisationnel sur ce que font les autres. Ils sont concentrés sur ce qu'ils font eux-mêmes. J'ai donc divisé toutes les équipes, alors sinon c'est un travail assez important, mais j'ai divisé toutes les équipes afin que les personnes prennent un tout petit morceau, une petite part de gâteau, et non pas la totalité du gâteau, et donc ils ont pu imaginer simplement leur partie, sans se demander les difficultés qu'il allait y avoir sur les vélos dans son ensemble, et ça a fonctionné. Par exemple, en rafting, il y avait le départ du rafting, Le rafting lui-même et l'arrivée du rafting. Trois équipes mises en place, qui savaient bien sûr que le rafting, ensuite, allait, pour l'arrivée, donner les casques, donner les pagaies, tout ça. Ils savaient bien sûr qu'ensuite, les gens allaient sur l'eau. Mais ce n'était pas leur problème. Eux, leur mission, c'était simplement d'organiser le départ du rafting. Vous voyez ce que je veux dire ? Et en finalité, en faisant des micro-événements, les personnes ont pu comprendre que ce n'était pas aussi important et aussi gros qu'ils le pensaient. Et puis, bien sûr, ça a demandé beaucoup plus de monde. Mais chacun était investi à son niveau. Et à la fin, ça a fait un événement qui était vraiment un événement formidable. Ça représentait... En fait, il y avait 12 équipes d'organisation. Chaque équipe comprenait à peu près une quinzaine de personnes. Il y avait 12 équipes. Une qui faisait le col des transports, l'autre qui faisait les activités du jour 1, les activités du jour 2, vous voyez ce que je veux dire. Par exemple, les soirées de gala, mais une autre soirée aussi authentique, une autre soirée. Chaque fois, c'était des équipes différentes qui se concentraient uniquement sur leur travail. Il y avait, par exemple, une équipe logistique simplement sportive, 145 personnes. Et puis, bon, il y avait des vidéastes, des équipes, une équipe culturelle, des drones, tout ça. Mais chacun avait sa mission et seulement sa mission. Alors, je sais que ça peut vous paraître un peu compliqué, tout ça. Ce que j'essaie de vous expliquer, c'est le fait que quand on est déterminé, quand on dit « moi je vais faire ça, je voudrais monter ça, j'ai vraiment envie de changer de vie, par exemple de partir au Portugal ou en Espagne » , on va vous trouver sans raison de ne pas le faire. En vous disant « mais attends, tu te rends compte ? Moi c'est Jean-Paul, il est allé, ça n'a pas marché, parce qu'il y a eu ci, il y a eu ça, il y a eu le déménagement, c'est trop compliqué, et puis ensuite il y a eu ce truc-là qui n'a pas marché, sa mère qui ne voulait pas partir. » Ça, les arguments, les contre-arguments, Les arguments ne vont pas le faire, vous allez en avoir 10 000. Votre détermination, elle va se jouer sur votre façon d'organiser votre détermination et d'organiser votre façon d'atteindre vos objectifs. Parce que la détermination ne va pas suffire. Il va falloir derrière organiser et dire « Ok, ok, ok, tu me dis que je ne peux pas faire ça. Voilà, au lieu de le faire d'un seul coup, je vais le faire en trois parties. Je vais commencer par ça, par ça. » Et par ça, on retrouve l'esprit du Kaizen, c'est-à-dire en petites parties, en petits pas, comme on l'a vu sur l'épisode précédent. En petits pas. Ne faites pas tout en même temps. N'essayez pas d'attaquer le sujet dès que le sujet commence, la partie que vous attaquez commence à vous sembler un peu compliquée, divisez-la. Divisez-la en plusieurs parties. Voilà. C'était ce que j'avais envie de partager aujourd'hui avec vous. C'était un... Un moment très important de ma vie, cet événement, pourtant je l'avais fait beaucoup avant, mais cet événement m'a particulièrement touché, parce que j'ai appris à travailler avec des indonésiens, avec des balinés, des gens qui n'ont pas du tout la culture événementielle, et qui... se sont mis à mon niveau, et quand je dis mon niveau, parfois c'était vraiment râler pas crête, parce que je voulais des trucs qui étaient compliqués, et qui eux se sont mis à ma place, ils ont essayé de comprendre, parce que j'ai divisé encore une fois les missions, j'ai divisé les objectifs, j'ai divisé aussi la tension qu'on pouvait ressentir, ils se sont mis à ma place, je me suis mis à la leur, mais je n'ai jamais vécu en événementiel pendant 10 ans. Une chose d'aussi fort que cet événement, où il a fallu effectivement être déterminé tous les jours, tous les jours, tous les jours, chaque heure, j'ai envie de dire, il fallait être déterminé, ne rien lâcher, et ce fut un très bel événement, en tout cas moi je l'ai vécu comme un super événement, et j'en profite, je pense que Didier doit écouter ce podcast, Didier doit se reconnaître là-dedans, ça a été un événement qui m'a beaucoup marqué, par la gentillesse des participants, et puis l'implication de tous les gens. ça représentait à peu près sur la totalité de l'événement, il y a eu plus de 500 personnes, imaginez, 500 personnes sur 7 jours, entre les locaux, entre les participants, les locaux dans l'hébergement, avec une centaine de personnes, les transports, tout ça, ça représentait à peu près une 500 personnes qui ont travaillé sur cet événement, et là aussi on apprend une autre chose que la détermination, c'est que seul, on ne fait rien tout simplement, on peut très bien être déterminé. On peut très bien vouloir quelque chose à tout prix, mais à un moment donné, ça va tourner au têtu, si vous n'êtes pas accompagné par des gens qui sont bienveillants et qui sont là pour réaliser ce que vous avez envie de faire. Donc là aussi, l'accompagnement est très important. Merci d'avoir écouté ce podcast, en tout cas cet épisode de podcast qui, j'espère, vous a plu. Et demain, nous allons vendre de la limonade. Je vais expliquer comment on peut vendre de la limonade et comment on peut vendre des citrons. Une autre façon de voir ça, je trouve ça très amusant. Je vous en parle demain quand il sera minuit à Bali.

Description

Vous avez imaginé votre projet, vous préparez un changement de vie, mais personne n’y croit ni ne vous suit. Il est possible que cela paraisse trop ambitieux ou incontrôlable. Alors, comment faire adhérer vos partenaires, vos proches et celles et ceux qui vous tiennent à cœur et les embarquer avec vous dans l'aventure ?


Si vous aimez l’esprit de Minuit à Bali, autour du changement de vie, que vous avez envie d'un développement personnel qui vous amène vers votre évolution naturelle, c’est très simple : Abonnez-vous, laisser un commentaire, mettez des étoiles et partagez-le.🙏

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Transcription

  • Speaker #0

    Nous avons parlé hier de détermination et aujourd'hui je vais vous proposer un exemple que j'ai pu vivre de la force de la détermination et puis aussi comment on peut la vivre tous les jours. Nous sommes sur le journal des résolutions, je vous le rappelle, en mode nomade, donc pas de musique, pas d'introduction. Je m'appelle David Mott et je vous propose pendant un mois, nous sommes déjà le 12 je crois, chaque jour... des résolutions à tenir ou à ne pas tenir aussi, pourquoi pas, en tout cas des inspirations que je vous propose autour des résolutions pour changer votre vie ou la vivre autrement. Et aujourd'hui je vais vous parler de ce que j'ai vécu. J'étais à Bali, alors vous savez, je travaillais avant mon agence de voyage, vous le savez peut-être pas d'ailleurs, j'ai une agence de voyage à Bali, je suis directeur, j'ai créé une agence de voyage à Bali, où je propose d'accompagner, là aussi je suis toujours en accompagnement, d'accompagner des voyageurs pour découvrir Bali et ses soeurs indonésiennes et donc j'ai décidé sur Bali et bien de faire les événements oui ça allait bien avec avec mon ancien travail avant de créer mon agent de voyage j'avais une agence de communication et je créais des événements pendant dix ans j'étais pas seul mais j'ai j'avais mes associés avec moi et on a créé des beaucoup d'événements des événements jusqu'à 1500 2000 personnes c'est quelque chose que je connaissais bien je dis tiens je vais pouvoir aussi le faire sur Bali. Et effectivement, il y a eu à un moment donné un appel d'offres. Il y avait l'Inde également qui était là, dans l'appel d'offres. Donc il y avait Bali, je vous le rappelais. Il y avait l'Inde et puis je crois qu'il y avait le Sri Lanka, me semble-t-il. Donc nous étions en compétition. Et j'ai donc écrit sur 7 jours un événement pour 250 personnes. Alors c'était de 1 à 77 ans, c'était des gens plus ou moins âgés. Et c'était pour le 50e anniversaire d'une société. Donc on était en compétition. et j'ai écrit l'événement, j'étais très enthousiaste et je me suis motivé, j'étais très engagé là-dedans dans cet événement, une fois j'en ai fait beaucoup, et donc j'ai fait mon maximum pour que ça fonctionne, et ça a marché, et on a gagné, on a super gagné comme on dit, le problème c'est que derrière quand je l'ai parlé à mon équipe, tout le monde m'a dit mais t'es complètement taré, ça ne marchera pas ce que tu proposes, parce qu'en fait je proposais des événements sur 7 jours, Avec tous les jours, deux événements différents. Je dirais même trois événements majeurs différents, tous les jours. Je vous rappelle, si vous ne connaissez pas l'univers du voyage, et des événements de voyage, normalement on est dans un hôtel, 250 personnes vont dans un hôtel, on les sort le matin, on les sort l'après-midi, on fait peut-être un repas en général à l'hôtel, mais c'est quand même très compliqué de sortir comme ça, les personnes, tout le temps, toute la journée. Moi j'ai essayé de les sortir toute la journée, d'aller proposer, d'aller privatiser une rizière, d'aller faire du rafting, ce n'était pas forcément plus compliqué, mais plutôt dans des endroits un peu sauvages, on a fait du vélo pour 250 personnes, sortir, faire du vélo, et puis surtout, ça c'était quelque chose que j'avais beaucoup aimé, c'était également privatiser, enfin louer, pardon, louer des voitures, c'était des Volkswagen 180 décapotables, dans les vieilles voitures. Et on avait loué, je crois qu'il devait y avoir 90 ou 95 voitures. Alors sachant qu'il y avait 110 voitures sur Bali, on en avait loué 95 ou 98. Et puis ça représentait, pour vous dire, pour donner un petit ordre d'idée, ça représentait 6 km de voitures les unes derrière les autres. Et ça avait demandé à 250 personnes de travailler rien que sur cette partie-là, qui représentait une demi-journée. Bref, sur le papier en tout cas, tout le monde me disait, mais ça ne marchera pas. ça ne fonctionnera pas tu n'y arriveras pas et évidemment beaucoup n'avaient jamais fait d'événement et j'étais déterminé mais j'aurais pu vraiment dire pourquoi j'ai vendu ce projet en France c'était facile de vendre des projets et nous avons avec mon associé privatisé le musée d'Orsay par exemple on a fait des choses sur le stade de France mais c'était des événements où la culture, l'histoire Les gens, on parlait la même langue, tout était plutôt facile. Tandis que là, c'était une autre culture, une autre histoire, des personnes qui n'avaient pas du tout la même idée de l'événement que moi, et à chaque fois que je proposais quelque chose, ils disaient non, ça ne marchera pas, on ne va pas le faire. Et voilà, je voudrais privatiser une rizière, entièrement préparer cette rizière pour que les gens se sentent vraiment dans le tissu local, et puis une fois qu'on a terminé, remettre la rizière dans le même état qu'on l'a pris. Il était hors de question qu'on détruise ce soir. Quand j'ai proposé, on m'a dit non, ça ne marchera pas, ce n'est pas possible. Là, j'ai dit si, si, c'est possible, on va y arriver. La détermination, comment j'ai pu, par exemple, la développer sur cette partie-là, sur cet événement ? Eh bien, j'ai commencé à me dire, ça fait trop. Quand je commence à parler de ces 7 événements, ou plutôt 14 événements, puis il y en avait un le matin et un l'après-midi, les gens me disaient, ça ne marchera pas. J'ai commencé à diviser les événements. C'est-à-dire qu'au lieu de dire il y a 14 événements, puisqu'il y en a un le matin et un l'après-midi, ce matin. Je vais le diviser encore suivant les activités qu'il y a. Par exemple, il va y avoir les transports. Les transports, ce sera une logistique à part. Ensuite, il va y avoir l'activité elle-même. Par exemple, l'activité de cerf-volant. Ce sera une activité à part. Et chaque équipe qui organise une activité ne sait pas ce que font les autres. Ou en tout cas, ils le savent, mais ils n'ont aucune organisation, impact organisationnel sur ce que font les autres. Ils sont concentrés sur ce qu'ils font eux-mêmes. J'ai donc divisé toutes les équipes, alors sinon c'est un travail assez important, mais j'ai divisé toutes les équipes afin que les personnes prennent un tout petit morceau, une petite part de gâteau, et non pas la totalité du gâteau, et donc ils ont pu imaginer simplement leur partie, sans se demander les difficultés qu'il allait y avoir sur les vélos dans son ensemble, et ça a fonctionné. Par exemple, en rafting, il y avait le départ du rafting, Le rafting lui-même et l'arrivée du rafting. Trois équipes mises en place, qui savaient bien sûr que le rafting, ensuite, allait, pour l'arrivée, donner les casques, donner les pagaies, tout ça. Ils savaient bien sûr qu'ensuite, les gens allaient sur l'eau. Mais ce n'était pas leur problème. Eux, leur mission, c'était simplement d'organiser le départ du rafting. Vous voyez ce que je veux dire ? Et en finalité, en faisant des micro-événements, les personnes ont pu comprendre que ce n'était pas aussi important et aussi gros qu'ils le pensaient. Et puis, bien sûr, ça a demandé beaucoup plus de monde. Mais chacun était investi à son niveau. Et à la fin, ça a fait un événement qui était vraiment un événement formidable. Ça représentait... En fait, il y avait 12 équipes d'organisation. Chaque équipe comprenait à peu près une quinzaine de personnes. Il y avait 12 équipes. Une qui faisait le col des transports, l'autre qui faisait les activités du jour 1, les activités du jour 2, vous voyez ce que je veux dire. Par exemple, les soirées de gala, mais une autre soirée aussi authentique, une autre soirée. Chaque fois, c'était des équipes différentes qui se concentraient uniquement sur leur travail. Il y avait, par exemple, une équipe logistique simplement sportive, 145 personnes. Et puis, bon, il y avait des vidéastes, des équipes, une équipe culturelle, des drones, tout ça. Mais chacun avait sa mission et seulement sa mission. Alors, je sais que ça peut vous paraître un peu compliqué, tout ça. Ce que j'essaie de vous expliquer, c'est le fait que quand on est déterminé, quand on dit « moi je vais faire ça, je voudrais monter ça, j'ai vraiment envie de changer de vie, par exemple de partir au Portugal ou en Espagne » , on va vous trouver sans raison de ne pas le faire. En vous disant « mais attends, tu te rends compte ? Moi c'est Jean-Paul, il est allé, ça n'a pas marché, parce qu'il y a eu ci, il y a eu ça, il y a eu le déménagement, c'est trop compliqué, et puis ensuite il y a eu ce truc-là qui n'a pas marché, sa mère qui ne voulait pas partir. » Ça, les arguments, les contre-arguments, Les arguments ne vont pas le faire, vous allez en avoir 10 000. Votre détermination, elle va se jouer sur votre façon d'organiser votre détermination et d'organiser votre façon d'atteindre vos objectifs. Parce que la détermination ne va pas suffire. Il va falloir derrière organiser et dire « Ok, ok, ok, tu me dis que je ne peux pas faire ça. Voilà, au lieu de le faire d'un seul coup, je vais le faire en trois parties. Je vais commencer par ça, par ça. » Et par ça, on retrouve l'esprit du Kaizen, c'est-à-dire en petites parties, en petits pas, comme on l'a vu sur l'épisode précédent. En petits pas. Ne faites pas tout en même temps. N'essayez pas d'attaquer le sujet dès que le sujet commence, la partie que vous attaquez commence à vous sembler un peu compliquée, divisez-la. Divisez-la en plusieurs parties. Voilà. C'était ce que j'avais envie de partager aujourd'hui avec vous. C'était un... Un moment très important de ma vie, cet événement, pourtant je l'avais fait beaucoup avant, mais cet événement m'a particulièrement touché, parce que j'ai appris à travailler avec des indonésiens, avec des balinés, des gens qui n'ont pas du tout la culture événementielle, et qui... se sont mis à mon niveau, et quand je dis mon niveau, parfois c'était vraiment râler pas crête, parce que je voulais des trucs qui étaient compliqués, et qui eux se sont mis à ma place, ils ont essayé de comprendre, parce que j'ai divisé encore une fois les missions, j'ai divisé les objectifs, j'ai divisé aussi la tension qu'on pouvait ressentir, ils se sont mis à ma place, je me suis mis à la leur, mais je n'ai jamais vécu en événementiel pendant 10 ans. Une chose d'aussi fort que cet événement, où il a fallu effectivement être déterminé tous les jours, tous les jours, tous les jours, chaque heure, j'ai envie de dire, il fallait être déterminé, ne rien lâcher, et ce fut un très bel événement, en tout cas moi je l'ai vécu comme un super événement, et j'en profite, je pense que Didier doit écouter ce podcast, Didier doit se reconnaître là-dedans, ça a été un événement qui m'a beaucoup marqué, par la gentillesse des participants, et puis l'implication de tous les gens. ça représentait à peu près sur la totalité de l'événement, il y a eu plus de 500 personnes, imaginez, 500 personnes sur 7 jours, entre les locaux, entre les participants, les locaux dans l'hébergement, avec une centaine de personnes, les transports, tout ça, ça représentait à peu près une 500 personnes qui ont travaillé sur cet événement, et là aussi on apprend une autre chose que la détermination, c'est que seul, on ne fait rien tout simplement, on peut très bien être déterminé. On peut très bien vouloir quelque chose à tout prix, mais à un moment donné, ça va tourner au têtu, si vous n'êtes pas accompagné par des gens qui sont bienveillants et qui sont là pour réaliser ce que vous avez envie de faire. Donc là aussi, l'accompagnement est très important. Merci d'avoir écouté ce podcast, en tout cas cet épisode de podcast qui, j'espère, vous a plu. Et demain, nous allons vendre de la limonade. Je vais expliquer comment on peut vendre de la limonade et comment on peut vendre des citrons. Une autre façon de voir ça, je trouve ça très amusant. Je vous en parle demain quand il sera minuit à Bali.

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Vous avez imaginé votre projet, vous préparez un changement de vie, mais personne n’y croit ni ne vous suit. Il est possible que cela paraisse trop ambitieux ou incontrôlable. Alors, comment faire adhérer vos partenaires, vos proches et celles et ceux qui vous tiennent à cœur et les embarquer avec vous dans l'aventure ?


Si vous aimez l’esprit de Minuit à Bali, autour du changement de vie, que vous avez envie d'un développement personnel qui vous amène vers votre évolution naturelle, c’est très simple : Abonnez-vous, laisser un commentaire, mettez des étoiles et partagez-le.🙏

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Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

Transcription

  • Speaker #0

    Nous avons parlé hier de détermination et aujourd'hui je vais vous proposer un exemple que j'ai pu vivre de la force de la détermination et puis aussi comment on peut la vivre tous les jours. Nous sommes sur le journal des résolutions, je vous le rappelle, en mode nomade, donc pas de musique, pas d'introduction. Je m'appelle David Mott et je vous propose pendant un mois, nous sommes déjà le 12 je crois, chaque jour... des résolutions à tenir ou à ne pas tenir aussi, pourquoi pas, en tout cas des inspirations que je vous propose autour des résolutions pour changer votre vie ou la vivre autrement. Et aujourd'hui je vais vous parler de ce que j'ai vécu. J'étais à Bali, alors vous savez, je travaillais avant mon agence de voyage, vous le savez peut-être pas d'ailleurs, j'ai une agence de voyage à Bali, je suis directeur, j'ai créé une agence de voyage à Bali, où je propose d'accompagner, là aussi je suis toujours en accompagnement, d'accompagner des voyageurs pour découvrir Bali et ses soeurs indonésiennes et donc j'ai décidé sur Bali et bien de faire les événements oui ça allait bien avec avec mon ancien travail avant de créer mon agent de voyage j'avais une agence de communication et je créais des événements pendant dix ans j'étais pas seul mais j'ai j'avais mes associés avec moi et on a créé des beaucoup d'événements des événements jusqu'à 1500 2000 personnes c'est quelque chose que je connaissais bien je dis tiens je vais pouvoir aussi le faire sur Bali. Et effectivement, il y a eu à un moment donné un appel d'offres. Il y avait l'Inde également qui était là, dans l'appel d'offres. Donc il y avait Bali, je vous le rappelais. Il y avait l'Inde et puis je crois qu'il y avait le Sri Lanka, me semble-t-il. Donc nous étions en compétition. Et j'ai donc écrit sur 7 jours un événement pour 250 personnes. Alors c'était de 1 à 77 ans, c'était des gens plus ou moins âgés. Et c'était pour le 50e anniversaire d'une société. Donc on était en compétition. et j'ai écrit l'événement, j'étais très enthousiaste et je me suis motivé, j'étais très engagé là-dedans dans cet événement, une fois j'en ai fait beaucoup, et donc j'ai fait mon maximum pour que ça fonctionne, et ça a marché, et on a gagné, on a super gagné comme on dit, le problème c'est que derrière quand je l'ai parlé à mon équipe, tout le monde m'a dit mais t'es complètement taré, ça ne marchera pas ce que tu proposes, parce qu'en fait je proposais des événements sur 7 jours, Avec tous les jours, deux événements différents. Je dirais même trois événements majeurs différents, tous les jours. Je vous rappelle, si vous ne connaissez pas l'univers du voyage, et des événements de voyage, normalement on est dans un hôtel, 250 personnes vont dans un hôtel, on les sort le matin, on les sort l'après-midi, on fait peut-être un repas en général à l'hôtel, mais c'est quand même très compliqué de sortir comme ça, les personnes, tout le temps, toute la journée. Moi j'ai essayé de les sortir toute la journée, d'aller proposer, d'aller privatiser une rizière, d'aller faire du rafting, ce n'était pas forcément plus compliqué, mais plutôt dans des endroits un peu sauvages, on a fait du vélo pour 250 personnes, sortir, faire du vélo, et puis surtout, ça c'était quelque chose que j'avais beaucoup aimé, c'était également privatiser, enfin louer, pardon, louer des voitures, c'était des Volkswagen 180 décapotables, dans les vieilles voitures. Et on avait loué, je crois qu'il devait y avoir 90 ou 95 voitures. Alors sachant qu'il y avait 110 voitures sur Bali, on en avait loué 95 ou 98. Et puis ça représentait, pour vous dire, pour donner un petit ordre d'idée, ça représentait 6 km de voitures les unes derrière les autres. Et ça avait demandé à 250 personnes de travailler rien que sur cette partie-là, qui représentait une demi-journée. Bref, sur le papier en tout cas, tout le monde me disait, mais ça ne marchera pas. ça ne fonctionnera pas tu n'y arriveras pas et évidemment beaucoup n'avaient jamais fait d'événement et j'étais déterminé mais j'aurais pu vraiment dire pourquoi j'ai vendu ce projet en France c'était facile de vendre des projets et nous avons avec mon associé privatisé le musée d'Orsay par exemple on a fait des choses sur le stade de France mais c'était des événements où la culture, l'histoire Les gens, on parlait la même langue, tout était plutôt facile. Tandis que là, c'était une autre culture, une autre histoire, des personnes qui n'avaient pas du tout la même idée de l'événement que moi, et à chaque fois que je proposais quelque chose, ils disaient non, ça ne marchera pas, on ne va pas le faire. Et voilà, je voudrais privatiser une rizière, entièrement préparer cette rizière pour que les gens se sentent vraiment dans le tissu local, et puis une fois qu'on a terminé, remettre la rizière dans le même état qu'on l'a pris. Il était hors de question qu'on détruise ce soir. Quand j'ai proposé, on m'a dit non, ça ne marchera pas, ce n'est pas possible. Là, j'ai dit si, si, c'est possible, on va y arriver. La détermination, comment j'ai pu, par exemple, la développer sur cette partie-là, sur cet événement ? Eh bien, j'ai commencé à me dire, ça fait trop. Quand je commence à parler de ces 7 événements, ou plutôt 14 événements, puis il y en avait un le matin et un l'après-midi, les gens me disaient, ça ne marchera pas. J'ai commencé à diviser les événements. C'est-à-dire qu'au lieu de dire il y a 14 événements, puisqu'il y en a un le matin et un l'après-midi, ce matin. Je vais le diviser encore suivant les activités qu'il y a. Par exemple, il va y avoir les transports. Les transports, ce sera une logistique à part. Ensuite, il va y avoir l'activité elle-même. Par exemple, l'activité de cerf-volant. Ce sera une activité à part. Et chaque équipe qui organise une activité ne sait pas ce que font les autres. Ou en tout cas, ils le savent, mais ils n'ont aucune organisation, impact organisationnel sur ce que font les autres. Ils sont concentrés sur ce qu'ils font eux-mêmes. J'ai donc divisé toutes les équipes, alors sinon c'est un travail assez important, mais j'ai divisé toutes les équipes afin que les personnes prennent un tout petit morceau, une petite part de gâteau, et non pas la totalité du gâteau, et donc ils ont pu imaginer simplement leur partie, sans se demander les difficultés qu'il allait y avoir sur les vélos dans son ensemble, et ça a fonctionné. Par exemple, en rafting, il y avait le départ du rafting, Le rafting lui-même et l'arrivée du rafting. Trois équipes mises en place, qui savaient bien sûr que le rafting, ensuite, allait, pour l'arrivée, donner les casques, donner les pagaies, tout ça. Ils savaient bien sûr qu'ensuite, les gens allaient sur l'eau. Mais ce n'était pas leur problème. Eux, leur mission, c'était simplement d'organiser le départ du rafting. Vous voyez ce que je veux dire ? Et en finalité, en faisant des micro-événements, les personnes ont pu comprendre que ce n'était pas aussi important et aussi gros qu'ils le pensaient. Et puis, bien sûr, ça a demandé beaucoup plus de monde. Mais chacun était investi à son niveau. Et à la fin, ça a fait un événement qui était vraiment un événement formidable. Ça représentait... En fait, il y avait 12 équipes d'organisation. Chaque équipe comprenait à peu près une quinzaine de personnes. Il y avait 12 équipes. Une qui faisait le col des transports, l'autre qui faisait les activités du jour 1, les activités du jour 2, vous voyez ce que je veux dire. Par exemple, les soirées de gala, mais une autre soirée aussi authentique, une autre soirée. Chaque fois, c'était des équipes différentes qui se concentraient uniquement sur leur travail. Il y avait, par exemple, une équipe logistique simplement sportive, 145 personnes. Et puis, bon, il y avait des vidéastes, des équipes, une équipe culturelle, des drones, tout ça. Mais chacun avait sa mission et seulement sa mission. Alors, je sais que ça peut vous paraître un peu compliqué, tout ça. Ce que j'essaie de vous expliquer, c'est le fait que quand on est déterminé, quand on dit « moi je vais faire ça, je voudrais monter ça, j'ai vraiment envie de changer de vie, par exemple de partir au Portugal ou en Espagne » , on va vous trouver sans raison de ne pas le faire. En vous disant « mais attends, tu te rends compte ? Moi c'est Jean-Paul, il est allé, ça n'a pas marché, parce qu'il y a eu ci, il y a eu ça, il y a eu le déménagement, c'est trop compliqué, et puis ensuite il y a eu ce truc-là qui n'a pas marché, sa mère qui ne voulait pas partir. » Ça, les arguments, les contre-arguments, Les arguments ne vont pas le faire, vous allez en avoir 10 000. Votre détermination, elle va se jouer sur votre façon d'organiser votre détermination et d'organiser votre façon d'atteindre vos objectifs. Parce que la détermination ne va pas suffire. Il va falloir derrière organiser et dire « Ok, ok, ok, tu me dis que je ne peux pas faire ça. Voilà, au lieu de le faire d'un seul coup, je vais le faire en trois parties. Je vais commencer par ça, par ça. » Et par ça, on retrouve l'esprit du Kaizen, c'est-à-dire en petites parties, en petits pas, comme on l'a vu sur l'épisode précédent. En petits pas. Ne faites pas tout en même temps. N'essayez pas d'attaquer le sujet dès que le sujet commence, la partie que vous attaquez commence à vous sembler un peu compliquée, divisez-la. Divisez-la en plusieurs parties. Voilà. C'était ce que j'avais envie de partager aujourd'hui avec vous. C'était un... Un moment très important de ma vie, cet événement, pourtant je l'avais fait beaucoup avant, mais cet événement m'a particulièrement touché, parce que j'ai appris à travailler avec des indonésiens, avec des balinés, des gens qui n'ont pas du tout la culture événementielle, et qui... se sont mis à mon niveau, et quand je dis mon niveau, parfois c'était vraiment râler pas crête, parce que je voulais des trucs qui étaient compliqués, et qui eux se sont mis à ma place, ils ont essayé de comprendre, parce que j'ai divisé encore une fois les missions, j'ai divisé les objectifs, j'ai divisé aussi la tension qu'on pouvait ressentir, ils se sont mis à ma place, je me suis mis à la leur, mais je n'ai jamais vécu en événementiel pendant 10 ans. Une chose d'aussi fort que cet événement, où il a fallu effectivement être déterminé tous les jours, tous les jours, tous les jours, chaque heure, j'ai envie de dire, il fallait être déterminé, ne rien lâcher, et ce fut un très bel événement, en tout cas moi je l'ai vécu comme un super événement, et j'en profite, je pense que Didier doit écouter ce podcast, Didier doit se reconnaître là-dedans, ça a été un événement qui m'a beaucoup marqué, par la gentillesse des participants, et puis l'implication de tous les gens. ça représentait à peu près sur la totalité de l'événement, il y a eu plus de 500 personnes, imaginez, 500 personnes sur 7 jours, entre les locaux, entre les participants, les locaux dans l'hébergement, avec une centaine de personnes, les transports, tout ça, ça représentait à peu près une 500 personnes qui ont travaillé sur cet événement, et là aussi on apprend une autre chose que la détermination, c'est que seul, on ne fait rien tout simplement, on peut très bien être déterminé. On peut très bien vouloir quelque chose à tout prix, mais à un moment donné, ça va tourner au têtu, si vous n'êtes pas accompagné par des gens qui sont bienveillants et qui sont là pour réaliser ce que vous avez envie de faire. Donc là aussi, l'accompagnement est très important. Merci d'avoir écouté ce podcast, en tout cas cet épisode de podcast qui, j'espère, vous a plu. Et demain, nous allons vendre de la limonade. Je vais expliquer comment on peut vendre de la limonade et comment on peut vendre des citrons. Une autre façon de voir ça, je trouve ça très amusant. Je vous en parle demain quand il sera minuit à Bali.

Description

Vous avez imaginé votre projet, vous préparez un changement de vie, mais personne n’y croit ni ne vous suit. Il est possible que cela paraisse trop ambitieux ou incontrôlable. Alors, comment faire adhérer vos partenaires, vos proches et celles et ceux qui vous tiennent à cœur et les embarquer avec vous dans l'aventure ?


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Transcription

  • Speaker #0

    Nous avons parlé hier de détermination et aujourd'hui je vais vous proposer un exemple que j'ai pu vivre de la force de la détermination et puis aussi comment on peut la vivre tous les jours. Nous sommes sur le journal des résolutions, je vous le rappelle, en mode nomade, donc pas de musique, pas d'introduction. Je m'appelle David Mott et je vous propose pendant un mois, nous sommes déjà le 12 je crois, chaque jour... des résolutions à tenir ou à ne pas tenir aussi, pourquoi pas, en tout cas des inspirations que je vous propose autour des résolutions pour changer votre vie ou la vivre autrement. Et aujourd'hui je vais vous parler de ce que j'ai vécu. J'étais à Bali, alors vous savez, je travaillais avant mon agence de voyage, vous le savez peut-être pas d'ailleurs, j'ai une agence de voyage à Bali, je suis directeur, j'ai créé une agence de voyage à Bali, où je propose d'accompagner, là aussi je suis toujours en accompagnement, d'accompagner des voyageurs pour découvrir Bali et ses soeurs indonésiennes et donc j'ai décidé sur Bali et bien de faire les événements oui ça allait bien avec avec mon ancien travail avant de créer mon agent de voyage j'avais une agence de communication et je créais des événements pendant dix ans j'étais pas seul mais j'ai j'avais mes associés avec moi et on a créé des beaucoup d'événements des événements jusqu'à 1500 2000 personnes c'est quelque chose que je connaissais bien je dis tiens je vais pouvoir aussi le faire sur Bali. Et effectivement, il y a eu à un moment donné un appel d'offres. Il y avait l'Inde également qui était là, dans l'appel d'offres. Donc il y avait Bali, je vous le rappelais. Il y avait l'Inde et puis je crois qu'il y avait le Sri Lanka, me semble-t-il. Donc nous étions en compétition. Et j'ai donc écrit sur 7 jours un événement pour 250 personnes. Alors c'était de 1 à 77 ans, c'était des gens plus ou moins âgés. Et c'était pour le 50e anniversaire d'une société. Donc on était en compétition. et j'ai écrit l'événement, j'étais très enthousiaste et je me suis motivé, j'étais très engagé là-dedans dans cet événement, une fois j'en ai fait beaucoup, et donc j'ai fait mon maximum pour que ça fonctionne, et ça a marché, et on a gagné, on a super gagné comme on dit, le problème c'est que derrière quand je l'ai parlé à mon équipe, tout le monde m'a dit mais t'es complètement taré, ça ne marchera pas ce que tu proposes, parce qu'en fait je proposais des événements sur 7 jours, Avec tous les jours, deux événements différents. Je dirais même trois événements majeurs différents, tous les jours. Je vous rappelle, si vous ne connaissez pas l'univers du voyage, et des événements de voyage, normalement on est dans un hôtel, 250 personnes vont dans un hôtel, on les sort le matin, on les sort l'après-midi, on fait peut-être un repas en général à l'hôtel, mais c'est quand même très compliqué de sortir comme ça, les personnes, tout le temps, toute la journée. Moi j'ai essayé de les sortir toute la journée, d'aller proposer, d'aller privatiser une rizière, d'aller faire du rafting, ce n'était pas forcément plus compliqué, mais plutôt dans des endroits un peu sauvages, on a fait du vélo pour 250 personnes, sortir, faire du vélo, et puis surtout, ça c'était quelque chose que j'avais beaucoup aimé, c'était également privatiser, enfin louer, pardon, louer des voitures, c'était des Volkswagen 180 décapotables, dans les vieilles voitures. Et on avait loué, je crois qu'il devait y avoir 90 ou 95 voitures. Alors sachant qu'il y avait 110 voitures sur Bali, on en avait loué 95 ou 98. Et puis ça représentait, pour vous dire, pour donner un petit ordre d'idée, ça représentait 6 km de voitures les unes derrière les autres. Et ça avait demandé à 250 personnes de travailler rien que sur cette partie-là, qui représentait une demi-journée. Bref, sur le papier en tout cas, tout le monde me disait, mais ça ne marchera pas. ça ne fonctionnera pas tu n'y arriveras pas et évidemment beaucoup n'avaient jamais fait d'événement et j'étais déterminé mais j'aurais pu vraiment dire pourquoi j'ai vendu ce projet en France c'était facile de vendre des projets et nous avons avec mon associé privatisé le musée d'Orsay par exemple on a fait des choses sur le stade de France mais c'était des événements où la culture, l'histoire Les gens, on parlait la même langue, tout était plutôt facile. Tandis que là, c'était une autre culture, une autre histoire, des personnes qui n'avaient pas du tout la même idée de l'événement que moi, et à chaque fois que je proposais quelque chose, ils disaient non, ça ne marchera pas, on ne va pas le faire. Et voilà, je voudrais privatiser une rizière, entièrement préparer cette rizière pour que les gens se sentent vraiment dans le tissu local, et puis une fois qu'on a terminé, remettre la rizière dans le même état qu'on l'a pris. Il était hors de question qu'on détruise ce soir. Quand j'ai proposé, on m'a dit non, ça ne marchera pas, ce n'est pas possible. Là, j'ai dit si, si, c'est possible, on va y arriver. La détermination, comment j'ai pu, par exemple, la développer sur cette partie-là, sur cet événement ? Eh bien, j'ai commencé à me dire, ça fait trop. Quand je commence à parler de ces 7 événements, ou plutôt 14 événements, puis il y en avait un le matin et un l'après-midi, les gens me disaient, ça ne marchera pas. J'ai commencé à diviser les événements. C'est-à-dire qu'au lieu de dire il y a 14 événements, puisqu'il y en a un le matin et un l'après-midi, ce matin. Je vais le diviser encore suivant les activités qu'il y a. Par exemple, il va y avoir les transports. Les transports, ce sera une logistique à part. Ensuite, il va y avoir l'activité elle-même. Par exemple, l'activité de cerf-volant. Ce sera une activité à part. Et chaque équipe qui organise une activité ne sait pas ce que font les autres. Ou en tout cas, ils le savent, mais ils n'ont aucune organisation, impact organisationnel sur ce que font les autres. Ils sont concentrés sur ce qu'ils font eux-mêmes. J'ai donc divisé toutes les équipes, alors sinon c'est un travail assez important, mais j'ai divisé toutes les équipes afin que les personnes prennent un tout petit morceau, une petite part de gâteau, et non pas la totalité du gâteau, et donc ils ont pu imaginer simplement leur partie, sans se demander les difficultés qu'il allait y avoir sur les vélos dans son ensemble, et ça a fonctionné. Par exemple, en rafting, il y avait le départ du rafting, Le rafting lui-même et l'arrivée du rafting. Trois équipes mises en place, qui savaient bien sûr que le rafting, ensuite, allait, pour l'arrivée, donner les casques, donner les pagaies, tout ça. Ils savaient bien sûr qu'ensuite, les gens allaient sur l'eau. Mais ce n'était pas leur problème. Eux, leur mission, c'était simplement d'organiser le départ du rafting. Vous voyez ce que je veux dire ? Et en finalité, en faisant des micro-événements, les personnes ont pu comprendre que ce n'était pas aussi important et aussi gros qu'ils le pensaient. Et puis, bien sûr, ça a demandé beaucoup plus de monde. Mais chacun était investi à son niveau. Et à la fin, ça a fait un événement qui était vraiment un événement formidable. Ça représentait... En fait, il y avait 12 équipes d'organisation. Chaque équipe comprenait à peu près une quinzaine de personnes. Il y avait 12 équipes. Une qui faisait le col des transports, l'autre qui faisait les activités du jour 1, les activités du jour 2, vous voyez ce que je veux dire. Par exemple, les soirées de gala, mais une autre soirée aussi authentique, une autre soirée. Chaque fois, c'était des équipes différentes qui se concentraient uniquement sur leur travail. Il y avait, par exemple, une équipe logistique simplement sportive, 145 personnes. Et puis, bon, il y avait des vidéastes, des équipes, une équipe culturelle, des drones, tout ça. Mais chacun avait sa mission et seulement sa mission. Alors, je sais que ça peut vous paraître un peu compliqué, tout ça. Ce que j'essaie de vous expliquer, c'est le fait que quand on est déterminé, quand on dit « moi je vais faire ça, je voudrais monter ça, j'ai vraiment envie de changer de vie, par exemple de partir au Portugal ou en Espagne » , on va vous trouver sans raison de ne pas le faire. En vous disant « mais attends, tu te rends compte ? Moi c'est Jean-Paul, il est allé, ça n'a pas marché, parce qu'il y a eu ci, il y a eu ça, il y a eu le déménagement, c'est trop compliqué, et puis ensuite il y a eu ce truc-là qui n'a pas marché, sa mère qui ne voulait pas partir. » Ça, les arguments, les contre-arguments, Les arguments ne vont pas le faire, vous allez en avoir 10 000. Votre détermination, elle va se jouer sur votre façon d'organiser votre détermination et d'organiser votre façon d'atteindre vos objectifs. Parce que la détermination ne va pas suffire. Il va falloir derrière organiser et dire « Ok, ok, ok, tu me dis que je ne peux pas faire ça. Voilà, au lieu de le faire d'un seul coup, je vais le faire en trois parties. Je vais commencer par ça, par ça. » Et par ça, on retrouve l'esprit du Kaizen, c'est-à-dire en petites parties, en petits pas, comme on l'a vu sur l'épisode précédent. En petits pas. Ne faites pas tout en même temps. N'essayez pas d'attaquer le sujet dès que le sujet commence, la partie que vous attaquez commence à vous sembler un peu compliquée, divisez-la. Divisez-la en plusieurs parties. Voilà. C'était ce que j'avais envie de partager aujourd'hui avec vous. C'était un... Un moment très important de ma vie, cet événement, pourtant je l'avais fait beaucoup avant, mais cet événement m'a particulièrement touché, parce que j'ai appris à travailler avec des indonésiens, avec des balinés, des gens qui n'ont pas du tout la culture événementielle, et qui... se sont mis à mon niveau, et quand je dis mon niveau, parfois c'était vraiment râler pas crête, parce que je voulais des trucs qui étaient compliqués, et qui eux se sont mis à ma place, ils ont essayé de comprendre, parce que j'ai divisé encore une fois les missions, j'ai divisé les objectifs, j'ai divisé aussi la tension qu'on pouvait ressentir, ils se sont mis à ma place, je me suis mis à la leur, mais je n'ai jamais vécu en événementiel pendant 10 ans. Une chose d'aussi fort que cet événement, où il a fallu effectivement être déterminé tous les jours, tous les jours, tous les jours, chaque heure, j'ai envie de dire, il fallait être déterminé, ne rien lâcher, et ce fut un très bel événement, en tout cas moi je l'ai vécu comme un super événement, et j'en profite, je pense que Didier doit écouter ce podcast, Didier doit se reconnaître là-dedans, ça a été un événement qui m'a beaucoup marqué, par la gentillesse des participants, et puis l'implication de tous les gens. ça représentait à peu près sur la totalité de l'événement, il y a eu plus de 500 personnes, imaginez, 500 personnes sur 7 jours, entre les locaux, entre les participants, les locaux dans l'hébergement, avec une centaine de personnes, les transports, tout ça, ça représentait à peu près une 500 personnes qui ont travaillé sur cet événement, et là aussi on apprend une autre chose que la détermination, c'est que seul, on ne fait rien tout simplement, on peut très bien être déterminé. On peut très bien vouloir quelque chose à tout prix, mais à un moment donné, ça va tourner au têtu, si vous n'êtes pas accompagné par des gens qui sont bienveillants et qui sont là pour réaliser ce que vous avez envie de faire. Donc là aussi, l'accompagnement est très important. Merci d'avoir écouté ce podcast, en tout cas cet épisode de podcast qui, j'espère, vous a plu. Et demain, nous allons vendre de la limonade. Je vais expliquer comment on peut vendre de la limonade et comment on peut vendre des citrons. Une autre façon de voir ça, je trouve ça très amusant. Je vous en parle demain quand il sera minuit à Bali.

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