Speaker #0Il est minuit à Bali, l'heure de notre rendez-vous avec l'évolution naturelle. Un moment rien que pour vous, une pause, pour découvrir d'autres philosophies de vie, des modes de pensée différents. Minuit à Bali vous offre la possibilité d'explorer ce que nous sommes vraiment, de mieux comprendre ce qui nous anime, ce qui nous fait vibrer, aimer et avancer. Ce qui peut nous permettre d'être plus en équilibre, plus heureux. Je m'appelle David Mott, je suis accompagnateur en évolution naturelle. Master Coach certifié, mais je me définis plutôt comme un explorateur du vivant. Ce qui m'intéresse tout particulièrement, c'est le changement, celui que nous préparons ou celui qui nous surprend. Ensemble, nous allons dépasser nos limites, réinventer notre vie ou la vivre autrement. Parce qu'il n'est jamais trop tard pour devenir la personne que vous avez toujours voulu être. Et c'est maintenant, quand il est minuit, à Bali. Quand je vivais encore en France et que j'y travaillais, j'étais comme vous certainement soumis à toutes les injonctions quotidiennes possibles et imaginables. Le lâcher-prise ne faisait pas partie de ma vie, ça faisait doucement rigoler et ça n'était tout simplement pas visageable. Le lâcher-prise signifiait que je ne prenais pas mes responsabilités, que je ne faisais pas ce que j'avais à faire, que je prenais du temps pour moi alors que j'avais trop de travail, des personnes qui comptaient sur moi. Non, non, le lâcher-prise, ce n'était pas possible. Je devais absolument maîtriser le temps et l'espace, mon agenda qui dictait ma vie. Je sautais d'une priorité à une autre sans me laisser le temps de souffler. Le stress faisait partie du jeu. Pour moi, le stress était un peu un indicateur comme quoi tout allait bien. Si j'étais stressé, c'est que j'étais dans l'action, c'est que j'étais là où il fallait, que ça faisait partie du jeu, tout simplement, le stress, c'était normal. Pour moi, la méditation, c'était un truc de bobo et qu'il n'y avait que ça à faire. Et quand j'allais promener mon chien en bois de Vincennes, je voyais des hommes ou des femmes en position de lotus. Et je trouvais ça plutôt ridicule, en fait. Je les imaginais avec des couronnes de fleurs autour de la tête, en train de chanter des mantras. Et pour moi, c'était plus une posture qu'autre chose. Des hommes, des femmes de paix, des gens qui se croyaient en symbiose avec la nature. Et en pleine ville, c'était plutôt ridicule. Quand j'avais le temps, mon côté, le week-end, je le passais devant la télé ou sur des jeux vidéo. C'était pour moi, c'était simple, la méditation. Ça me vidait la tête et je pensais à autre chose. C'était très bien comme ça. D'ailleurs, dans mon travail, c'était la même chose. Dès que quelque chose me stressait trop ou que j'avais besoin de faire une pause, je me l'accordais en faisant autre chose, en travaillant sur un autre dossier, en ouvrant mes mails, mais jamais en pause de méditation. Non, non, ce n'était pas possible. Et puis, j'ai commencé à aller à Bali pour préparer mes diplômes de plongée. là Forcément, ah oui je dis forcément parce que ça allait avec l'esprit de Lille. J'ai rencontré des pratiquants de la méditation qui venaient du monde entier, des hommes et des femmes extrêmement bienveillants, gentils, qui organisaient des soirées, des réunions, qui avaient des rendez-vous avec des moines bouddhistes qui venaient par exemple de Thaïlande et qui organisaient des séances comme ça de méditation. Et puis tout doucement, j'y étais invité et je me suis retrouvé pris au jeu, initié à cette pause de douceur. Au début, c'était plus par curiosité, sans vraiment grande conviction. Et puis, peu à peu, je me suis rendu compte des bienfaits que ça m'a apporté. Je me suis rendu compte que ça m'a apporté un vrai plus. Au début, c'était vraiment abstrait. C'était vraiment quelque chose qui n'avait pas de véritable... Vous voyez, il y a des méthodes particulières dont je vous parle dans certains épisodes de ce podcast qui sont des méthodes précises, des méthodes smart. par exemple, qui sont des méthodes précises pour s'aligner, pour atteindre ses objectifs, pour mieux manager. Et là, c'était super, super abstrait. Il n'y avait rien de concret dans cette méditation. Et on me parlait bien des bienfaits de la méditation, mais je ne voyais pas vraiment ce que ça pouvait m'apporter. Encore une fois, j'étais vraiment stressé. Le seul moyen pour moi de me déstresser, c'était oui, peut-être aller faire un squash, aller à la piscine éventuellement. Mais voilà, c'était ça qui me déstressait. Et bien... En en parlant autour de moi, autour des copains, des copines, des amis, c'est marrant, j'ai essayé la méditation à Bali, on s'est un peu foutu de moi, et puis on m'a dit, attends, moi aussi je médite. Tu sais, quand je prends le métro, quand je vais sur le bord de la plage, moi je médite aussi. C'est formidable, on fait la même chose. Alors oui, moi je médite, je prépare la semaine, je vois qui c'est que je dois rencontrer, les rendez-vous que je dois préparer, les projets sur lesquels je suis. Je médite sur le sens de la vie aussi, pourquoi pas. Voilà, je médite, tu vois. Et en fait... Je me suis aperçu qu'en réalité c'était plus un mode de réflexion et un ruminement. Et puis j'ai compris qu'il y avait vraiment un truc à creuser, non pas à méditer justement, mais plutôt à expérimenter. Parce qu'en fait, pour beaucoup, méditer c'est réfléchir à un problème, réfléchir à quelque chose sur lequel on peut peut-être avoir une action ou pas, mais ce n'était pas dans le sens dans lequel j'avais compris la méditation. Et j'avais envie, à travers cet épisode, de vous inviter. à essayer à votre tour la pratique de la méditation. Alors bien sûr, si vous la pratiquez déjà, j'espère que ça va vous encourager à continuer, peut-être même en parler autour de vous d'une façon différente, parce que la méditation c'est vraiment quelque chose qui vous apporte un mieux-être. C'est peut-être un des outils les plus forts pour vous déstresser. Pourtant on le minimise, on s'en moque même d'ailleurs. On va oublier tout ce qu'on sait de péjoratif, les clichés bobos, ou les promesses d'expérience transcendantales, et on va essayer de se faire sa propre idée. Donc une fois... Encore une fois, si vous pratiquez déjà la méditation, continuez et appréciez, je l'espère, cet épisode et partagez-le autour de vous. Et puis si vous ne pratiquez pas la méditation, enlevez les clichés que vous connaissez. Eh bien écoutez, voilà ce que j'ai à vous dire. J'espère que ça vous intéressera. Parce qu'on a souvent une image floue de la méditation. On va généraliser, mais pour beaucoup, c'est ça sort les jambes croisées en silence pendant des heures, façon moine tibétain. C'est un peu ça quand même. Pour d'autres, c'est un truc New Age, réservé aux yoguistes, connectés ou aux retraités zen. Mais en fait, méditer, ce n'est pas fuir le monde, c'est revenir à soi. Je crois que la définition la plus simple de la méditation, c'est entraîner son esprit à porter attention au moment présent, sans jugement. Et là, vous allez me dire, mais à quoi ça me sert dans ma vie de tous les jours ? J'ai les enfants à amener à la crèche. je dois rentrer le soir en métro, j'ai des projets à faire, d'entraîner son esprit à porter attention au moment présent, sans jugement, mais ça va me servir à quoi ? Eh bien, d'abord, pour pratiquer la méditation, il n'y a pas besoin d'être spirituel, il n'y a pas besoin d'encens, pas besoin d'avoir du temps, seulement une chose, de l'intention. Évidemment, si vous pouvez créer une ambiance propice à l'exercice, c'est mieux. Mais ça peut se passer simplement, et perso, je la pratique n'importe où et n'importe quand. Avant une réunion importante, comme au bord de la plage, avant de gérer un projet ou de parler avec un client, comme sur les marches d'un temple baliné, je le fais partout. Des chercheurs de Harvard, de Stanford, ont démontré que la méditation modifie littéralement la structure du cerveau. Voilà enfin quelque chose de concret. Voici quelques faits prouvés. Ça réduit l'amygdale, la zone liée à la peur et au stress. Ça épaissit le cortex préfrontal, qui est responsable de la concentration et de la prise de recul. du calme. Et ça augmente la densité de matière grise dans les zones associées à l'empathie et à la régulation des émotions. Là, tout de suite, on voit quelque chose de concret. Parce que si on a besoin, si on commence à avoir peur ou une appréhension par rapport à une réunion, tiens, ça peut nous intéresser. Si on a besoin d'être concentré par rapport à un speech à faire en direct ou à un projet à présenter, Ah la prise de recul, le calme La concentration, c'est dont on a besoin, donc ça peut nous apporter ça. Et puis ça augmente la densité de matière grise, donc associée à l'empathie et la régulation des émotions, donc ça peut même nous aider dans la vie de tous les jours, à être plus empathique, et puis à moins s'énerver, à être moins dans l'émotion peut-être, ou en tout cas à écouter ces émotions. Bref, ce que l'on y pense, c'est comment envoyer votre cerveau à la salle de sport. Mais sans transpirer, on pense toujours au corps, encore une fois, au côté physique du corps, à s'entraîner les muscles, à être plus souple, mais il faudrait penser à son cerveau également. Et ce n'est pas tout. Une étude du docteur que vous connaissez peut-être, John Kabazin, le pionnier de la méditation laïque en Occident, montre que 8 semaines de méditation de pleine conscience va réduire l'anxiété de 40% en moyenne. Oui. En seulement deux mois. Pas après dix ans de retraite dans l'Himalaya, juste dix à vingt minutes par jour en moyenne. Ça peut être un petit peu moins, suivant le temps que vous vous y consacrez. Chez vous, dans le train, sur votre balcon, dans votre jardin, au bureau, partout où vous pouvez respirer. Vous pensez, comme moi, qu'au début, méditer, c'est juste dans la tête, c'est mental. Détrompez-vous. Le corps en bénéficie autant que l'esprit. Encore une fois, moins de stress, moins de cortisol, cette hormone qui fatigue votre système immunitaire et qui crée des inflammations. Moins de pensées toxiques, donc meilleure digestion, car votre système digestif est directement lié à votre état nerveux. Moins de tension mentale, un sommeil plus profond, plus réparateur et plus de calme. Une baisse de la tension artérielle, du rythme cardiaque et un impact positif sur la santé cardiovasculaire. Une étude publiée dans Psychomatique Médecine a même montré que la méditation améliore la réponse immunitaire après une vaccination, par exemple. Donc en résumé, méditer, c'est un booster santé naturelle. Pas besoin d'ordonnance, pas d'effet secondaire, c'est gratuit. Ok, c'est bien joli tout ça, mais j'ai pas le temps, voilà, on a pas le temps, j'ai pas que ça à faire. Ça c'est l'excuse numéro 1 qui revient à chaque fois que j'en parle autour de moi. J'ai pas le temps, d'amour. Et ça vous prive d'un des outils les plus puissants pour retrouver de l'espace mental. Votre mental n'est pas important. La vérité c'est qu'on trouve toujours le temps pour... considère important. Alors, au lieu de dire « je n'ai pas le temps » , dites plutôt « ce n'est pas une priorité pour moi, mon mental, après tout, ça va, j'avance quand même, j'ai toujours avancé, ok, le stress, ça me fatigue, c'est vrai que ça, parfois je suis un peu malade, je suis un peu affaibli, mais bon, c'est bon, je peux m'en passer. » Si ce n'est pas une priorité pour vous, c'est ok. C'est ok. Mais maintenant, vous savez que la méditation, ce n'est pas simplement respirer. En pensant à la nature, en serrant la main de son copain ou de sa copine, et en faisant des incantations ou citer des mantras. C'est autre chose la méditation, c'est un vrai outil, c'est super puissant. Et pourtant on ne l'utilise pas. Alors quoi ? Commencez, petit. Commencez 3 minutes par jour. 3 minutes par jour, juste 10 respirations conscientes. Ok, juste 3 minutes. Vous avez le temps, 3 minutes. Posez-vous, fermez les yeux, sentez l'air entrer dans votre corps, dans vos poumons. Sentez vraiment l'air traverser votre corps, pénétrer vos poumons. Vous allez jusqu'au bout et puis ensuite vous expulsez l'air, vous le sortez de votre corps. Et pendant tout ce cheminement, vous ne pensez qu'à ça, simplement à ça. Essayez trois minutes, essayez trois minutes, juste dix respirations conscientes. Une fois que vous aurez terminé, déjà vous n'aurez pas pensé à autre chose. Vous n'aurez pas pensé aux problèmes que vous avez, à aller justement faire le dernier, boucler le dernier dossier que vous avez à faire, aller au carrefour pour faire vos courses. Dix respirations conscientes. Et bien là, une fois que vous avez terminé ces dix respirations conscientes, Vous avez médité, ça y est, vous avez pratiqué la méditation. Peut-être que la première fois, ça ne vous fera pas grand-chose, mais qu'au fur et à mesure, en étant justement conscient de ce que vous faites, vous allez prendre plaisir à rajouter de respiration de plus. 5, 10, 15, 20. Et à la fin, vous serez sur 10 minutes, 15 minutes. Attention, il n'y a pas d'objectif dans la méditation. En tout cas, voilà, vous méditez. Et ça suffit à enclencher le changement. Vous allez pouvoir baisser votre tension artérielle, limiter le stress et faire du bien à votre corps. Bouddha a dit qu'il y a 80 000 façons de méditer. Donc vous ne pouvez pas faire mal ou rater les méditations. Vous avez fait de votre mieux. Et c'est très bien comme ça. J'insiste sur ce point. La méditation n'est jamais parfaite. Ou elle n'est pas parfaite parce qu'elle a duré 30 minutes ou une heure. C'est juste parce qu'elle a existé. Commencez par 3 minutes. C'est déjà un plus que pas de méditation du tout. Essayez la méditation. La méditation, ce n'est pas juste pour se calmer. C'est un miroir. Elle vous montre comment vous pensez, comment vous agissez. Elle vous aide à voir les automatismes mentaux, les tensions invisibles, les croyances que vous trimballez sans même vous en rendre compte. Et c'est là aussi que ça devient puissant. Comme si vous sortiez enfin du mode survie pour passer en mode conscience. Quand vous méditez, ce moment vous appartient, il n'est qu'à vous. Et à partir de là, tout change. Vos choix, vos réactions, votre manière de vivre. La méditation, la méditation pleine conscience, est sans doute l'outil le plus puissant pour apaiser les esprits. Et des milliers d'études scientifiques ont montré ces bienfaits. Jonathan Haidt, dont je vous ai déjà parlé, qui a écrit plusieurs livres autour du bonheur, donc il est auteur et thérapeute, rappelle que la méditation, c'est une des méthodes les plus anciennes et efficaces pour diminuer le stress et augmenter le contentement intérieur. C'est prouvé ! Méditer modifie positivement le cerveau et aide à prévenir anxiété, dépression et rechute. Il faut quoi de plus pour faire de la méditation ? la méditation, au continu et bien sûr. Votre esprit apprend à se recentrer au lieu de s'emballer. Et votre corps en ressent les effets. Le rythme cardiaque qui ralentit, les muscles qui se détendent, la baisse du cortisol, on l'a vu tout à l'heure. Et on fait des respirations profondes. On sous-estime ces respirations, mais notre façon de respirer agit directement sur notre système nerveux. On est né avec une première respiration, et on mourra avec la dernière. En situation de stress, on a tendance à respirer vite et superficiellement, ce qui entretient le mode panique. Alors à contrario, prendre quelques minutes pour respirer lentement et profondément peut interrompre net la réaction. de stress. Par exemple, la méthode de cohérence cardiaque, je ne sais pas si vous connaissez, on le voit beaucoup en France, ça consiste à inspirer cinq secondes, expirer cinq secondes et répéter pendant cinq minutes trois fois par jour. Inspirez 5 secondes, expirez 5 secondes, et vous répétez ça pendant 5 minutes, 3 fois par jour. C'est pas compliqué, ça vaut l'homéopathie. Les études ont démontré que la respiration en cohérence cardiaque réduit l'anxiété et améliore la concentration. C'est gratuit, toujours accessible puisqu'on respire en permanence, et terriblement efficace pour ce qui est en fait d'un rituel quotidien. Alors on ne va pas attendre la retraite ou de partir vers une retraite spirituelle au bout du monde. Vous pouvez commencer ici et maintenant à petite échelle. C'est facile, vous n'avez pas besoin d'aller acheter un carnet, un cahier, quelque chose, des accessoires, un tapis de course. Non, vous pouvez le faire dès maintenant. Alors si cet épisode vous a parlé, commencez aujourd'hui la méditation. Trois minutes, dix respirations, une respiration à la fois. et que pour chacune, vous êtes présents à son amplitude, à l'air qui rentre dans vos poumons doucement, puis au souffle qui l'expulse. Prenez le temps, dix fois, de vous concentrer sur votre respiration. je vous rappelle qu'il n'y a pas de challenge, de perfection juste l'écoute de votre corps qui respire et si vous voulez aller plus loin je vous partagerai bientôt dans quelques semaines une séance audio guidée spéciale démarrage en douceur de la méditation ça peut vous aider sur ce fil du podcast, enfin si ça vous intéresse bien sûr, et puis n'hésitez pas à me le dire sur Facebook pour que je puisse savoir si vous avez essayé la méditation et si ça vous a convaincu, encore une fois il faut le faire plusieurs fois. Je vous rappelle également qu'il y a beaucoup sur YouTube de séances de méditation avec André, je ne sais pas comment il s'appelle, mais vous connaissez certainement, qui propose des méditations. C'est-à-dire comme ça que je les ai faites sur Bali en écoutant Christophe André. Voilà, Christophe André qui propose des méditations, des séances de méditation qui durent entre 3, 5 minutes, 10 minutes ou plus. Ça m'a fait beaucoup de bien parce que parfois, une méditation accompagnée, ça vous aide à rester centré. sur cette méditation. Vraiment, vraiment. Il y a pas mal de médicaments, de méthodes, des séances en salle de sport qui coûtent une blinde et qui en finalité n'apportent pas grand-chose en termes de diminution de stress. Ça peut vous faire du bien, bien sûr, mais là c'est gratuit et on devrait tous le pratiquer. D'ailleurs, j'ai envie de dire qu'on devrait enseigner à l'école. Dans certaines écoles, c'est-à-dire Montessori par exemple, on le fait, on le propose aux enfants, mais tout simplement d'apprendre la méditation dès le départ. Il y a beaucoup de choses qu'on devrait apprendre depuis le départ, quand on est jeune, comme le dérondement personnel par exemple. Oui, je sais, je sais, le dérondement personnel, beaucoup. Le dénigre, beaucoup estiment que ça ne sert à rien, que prendre soin de son esprit, comme en pratiquant la méditation, c'est quelque chose d'essentiel. C'est qu'à partir du moment où ça part d'un bon sentiment et que le résultat est bon, alors on devrait pourquoi pas l'enseigner à l'école. Voilà, cet épisode vient de se terminer. Je vous laisse à votre méditation. Dix respirations, trois minutes. Et puis nous, on se retrouve quand il sera minuit à Bali.
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