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Mission Anxiété Zéro - le Podcast

#12 Désencombrement et Minimalisme : Libérez votre esprit de l'anxiété

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16min |12/11/2024
Play
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#12 Désencombrement et Minimalisme : Libérez votre esprit de l'anxiété

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16min |12/11/2024
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Description

Dans cet épisode de "Mission Anxiété Zéro - le Podcast", nous plongeons dans un voyage inspirant avec Sandra KiZa, sophro analyste, qui nous dévoile le lien puissant entre le minimalisme, le désencombrement et la gestion de l'anxiété. À travers son expérience personnelle, elle nous raconte comment son retour en France a marqué le début d'un processus de désencombrement radical de son espace de vie. Ce cheminement, loin d’être superficiel, a été une véritable révélation pour elle, lui permettant de se libérer d'objets inutiles qui alourdissaient son quotidien et sa charge mentale.


Sandra nous invite à réfléchir sur nos propres possessions et à nous interroger sur les croyances limitantes qui peuvent nous retenir à des objets matériels. Elle met en lumière comment le minimalisme ne se limite pas à un simple style de vie, mais devient un véritable outil de gestion de l'anxiété. En se délestant du superflu, nous pouvons recentrer nos priorités sur ce qui compte réellement, et ainsi retrouver une sérénité intérieure.


Mais le désencombrement ne s'arrête pas à notre environnement physique. Sandra aborde également l'importance de faire le tri dans nos relations personnelles. Elle nous pousse à nous poser des questions essentielles : nos relations respectent-elles nos valeurs ? Nous apportent-elles de la joie ? En prenant conscience de ces éléments, nous pouvons créer un espace émotionnel sain qui favorise notre bien-être.


Sandra encourage les auditeurs à explorer leur propre environnement et leurs relations, à faire le point sur ce qui leur apporte réellement de la paix d'esprit. Elle partage des ressources précieuses pour ceux qui souhaitent approfondir ces concepts et entamer leur propre chemin vers un mode de vie plus minimaliste et serein.


Cet épisode est une invitation à la réflexion et à l'action. Si vous ressentez le besoin de réduire l'anxiété dans votre vie, de vous libérer des poids inutiles et de retrouver votre équilibre, cet épisode va vous plaire. Rejoignez-nous pour découvrir comment le minimalisme peut transformer votre vie, vous offrant ainsi une tranquillité d'esprit tant recherchée. Ne manquez pas cette opportunité de changer votre perspective et d'embrasser un avenir plus serein !


📕Le bonheur est dans le peu, Francine Jay


➡️ Télécharge gratuitement le Patch Anxiété Zéro, je t'y guide pas à pas pour apprendre à gérer tes crises d'anxiété en autonomie : https://www.s-konsult.com/anxiete-zero/patch-anxiete-zero


➡️ Réserve ton appel découverte gratuit pour rejoindre l'accompagnement Mission Anxiété Zéro - l'Antidote et venir à bout de ton anxiété : https://wix.to/VPsTiQ9


🎧 Si tu as aimé cet épisode, n’oublie pas de me laisser 5 étoiles et de t’abonner pour ne pas manquer les prochains épisodes.


Viens me partager ce que tu as pensé de cet épisode sur les réseaux ! Retrouve moi sur Instagram et LinkedIn

ou visite mon site web


@crédits audio du générique : Anthony Chognard CHS Prod


Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

Transcription

  • Speaker #0

    Et si le secret pour alléger ton esprit passait par l'allègement de ton espace de vie et de tes relations ? Si tu veux savoir comment le minimalisme m'a aidé à réduire mon anxiété et à retrouver ma concentration, c'est le moment de faire chauffer ta petite verveine menthe et de désactiver tes notifications pour l'épisode du jour. Bienvenue dans Mission Anxiété Zéro. Ici, c'est ton Safe Space sans langue de bois dans lequel je vais t'aider à questionner tes automatismes émotionnels. Moi c'est Sandra, je suis sophro analyste et ma mission c'est d'accompagner mes clients à prendre soin de leur bien-être mental pour être plus heureux, mieux concentrés et mettre plus de sens dans leur quotidien. Alors si toi aussi tu cherches des solutions concrètes et actionnables pour gérer tes émotions et mettre ton anxiété à zéro, et qu'il t'arrive de retrouver les objets que tu cherches dans des endroits totalement improbables. Faut que tu saches que depuis mon retour en France en 2020, chaque fois que j'ai du mal à me concentrer, je désencombre mon intérieur. C'est-à-dire que j'en sors tout ce qui ne me sert plus, ou qui n'a pas ou plus de valeur sentimentale pour moi. Donc ce week-end, je l'ai passé à réorganiser mon chez-moi, et plus particulièrement une zone que je repoussais depuis plusieurs mois, qui était le dressing. Et là tu vas me dire mais qu'est ce que ça a à voir avec l'anxiété Monique ? Et bien c'est ce que je vais t'expliquer tout au long de cet épisode. Je vais te raconter comment j'en suis arrivée là et comment le minimalisme et le désencombrement m'aident à gérer mon anxiété et aussi certains symptômes du TDAH. Pour que tu comprennes l'histoire, je t'emmène avec moi en janvier 2020. A ce moment je rentre en France et je pense emménager avec le strict minimum syndical. qui tenaient dans une camionnette. Au fur et à mesure que je déballe mes cartons, je me rends compte que certains meubles ou objets ne trouvent pas leur place dans mon nouvel appartement et je les laisse de côté, en me disant que je leur trouverai une place quand j'aurai le temps. Et toute l'année est passée sans que j'y prête plus jamais attention alors que je me prenais les pieds dedans littéralement tous les jours. Et environ au bout d'un an... J'ai commencé à me sentir oppressée sans vraiment comprendre ni pourquoi, ni d'où ça venait, ni ce qui se passait exactement. J'avais le souffle court, des palpitations, je commençais à me sentir vraiment avec cette impression que les murs se rapprochaient autour de moi et commençaient à m'écraser. Je me sentais surchargée d'informations et je ne comprenais pas pourquoi. Et un matin... En me prenant encore une fois les pieds dans ce putain de fat boy de merde, parce que c'est bien de ce machin horrible dont il était question, que les fils se sont touchés. J'avais besoin de place en fait. J'avais besoin de place, j'avais besoin d'espace. Et j'avais l'impression que toutes ces choses qui appartenaient à mon passé prenaient trop de place dans mon présent. Et que c'est des affaires avec lesquelles j'étais rentrée en France, mais dont je ne voulais absolument plus dans ma vie d'aujourd'hui. Alors j'ai commencé à évacuer tout ce qui n'avait plus rien à faire là. Les meubles, les cartons qui n'avaient pas encore été déballés, puisque si j'en avais pas eu besoin pendant un an, je partais du principe que j'en aurais plus jamais besoin. Les DVD, les CD qu'on n'écoutera plus jamais. J'ai trié, donné, jeté, vendu tout ce dont je n'avais plus l'utilité dans mon nouveau chez-moi et dans ma nouvelle vie. Et au fil des allers-retours à la déchetterie, je sentais bien que ces objets étaient les derniers liens qui me reliaient à une autre époque de ma vie. Et que c'était un moyen de symboliquement tourner la page une fois pour toutes. Et si j'ai fini par ressentir un soulagement en me libérant de ces objets superflus, avant d'en arriver à ce sentiment, j'ai aussi ressenti beaucoup de résistance à l'idée de me séparer de certains de ces objets. Et je me suis aperçu que ce qui pouvait m'accrocher à ces objets, c'était soit les croyances limitantes, soit un besoin de sécurité que ces choses m'apportaient, même de façon illusoire. Et donc, quand j'ai compris ça, bien évidemment, j'ai pris le temps de jeter au... au fur et à mesure de ce que j'étais prêt à le faire. Je n'ai pas voulu arracher le sparadrap trop brutalement parce que je me rendais compte que ces objets, ils avaient aussi une certaine... Il m'apportait aussi une certaine sécurité, même si je m'étais bien rendu compte que c'était quelque chose d'illusoire. Mais en tant que thérapeute, ce que j'ai trouvé intéressant, c'est que le minimalisme, à ce moment-là, je me suis aidée du livre de Francine Jèques, dont tu trouveras les références en description de l'épisode, qui s'appelle Le bonheur est dans le peu. Je me suis aidée de ce livre-là pour désencombrer mon intérieur, donc pièce par pièce. Au début, ça paraissait, mais genre, juste énorme. quand j'ai commencé ça et puis au fil du temps à chaque fois que j'avais du mal à me concentrer je recommençais une ronde de désencombrement pourquoi parce que je me suis rendu compte qu'en réalité alléger mon intérieur ça m'avait obligé à mettre la priorité sur les choses qui étaient réellement importantes pour moi réellement importantes pour moi et qui faisaient vraiment du sens et qui me rendaient vraiment heureuse et d'ailleurs un des critères pour moi, pour qu'un objet reste chez moi ou que j'achète un objet, c'est qu'il doit me rendre, en fait il doit me procurer de la joie. Il doit me procurer de la joie, il doit m'être utile. Et alors j'ai un ouvre-boîte qui ne me procure absolument aucune joie, mais qui m'est très utile. Donc on va prendre deux poids, deux mesures, ok ? Donc soit c'était quelque chose d'utile, que je possédais en un exemplaire, soit c'était quelque chose qui avait de la valeur sentimentale pour moi et qui me procurait de la joie. Et j'ai commencé à revoir mon intérieur et mon chez-moi selon ces règles-là. Je me suis rendu compte que ça allégeait ma charge mentale, en fait. Et ça, c'était vraiment un sentiment nouveau pour moi, que je n'avais jamais connu de cette façon. J'avais vraiment l'impression que ma vie était simplifiée, mais par dix ou par cent. Tellement ça m'a fait l'effet d'une bombe dans mon quotidien. Et d'ailleurs... J'ai décidé de faire le test aussi sur les autres choses qui pouvaient m'apporter de la charge mentale, à savoir les relations avec mon entourage. Dans le sens que j'ai aussi fait un tri dans mes relations humaines, j'entends, où j'ai appliqué en fait cette même règle. Est-ce que c'est une relation professionnelle ? Auquel cas, elle a besoin d'être cadrée pour alléger la charge mentale de tout le monde. Est-ce que, pour les relations privées, est-ce que ces relations sont en lien avec, respectent mes valeurs et mes convictions personnelles ? Est-ce que je prends du plaisir à voir l'une ou l'autre personne ? Et là aussi, ça m'a permis de pouvoir poser mes limites et mettre des distances avec les relations qui n'étaient plus OK pour moi. Alors attention, là-dedans aussi, il y a deux poids deux mesures, dans le sens où il y a beaucoup de personnes qui sont des amis proches, ou des personnes de ma famille, que j'aime beaucoup et que j'aimerais voir plus, mais que je ne peux pas voir plus, parce qu'on a des vies différentes, parce qu'il y a de l'éloignement géographique qui fait que, à ce moment-là, c'est l'entretien de la relation importante, même si ce n'est pas autant qu'on le voudrait. Là, je pose vraiment le cadre de faire la différence entre... Les relations qui nous font du bien et de prendre le temps de les entretenir, même si c'est que par un message de temps en temps. Et les relations qui nous sont délétères, celles qui nous ajoutent de la charge mentale, celles qui ne nous tirent pas vers le haut, celles au contraire qui vont être lourdes et qui vont nous tirer par le bas. Parce que parfois c'est comme ça la vie, on n'évolue pas tous dans la même direction et puis on n'a pas au fil du temps, on n'a peut-être pas ou plus les mêmes valeurs. Et c'est pas grave, c'est comme ça, on n'est pas obligé de s'infliger de relations qui ne nous conviennent plus. Et là encore, ça m'a apporté beaucoup de légèreté, que ce soit avec des êtres humains ou avec les objets, les possessions si je peux dire ça comme ça. Le minimalisme, c'est vraiment quelque chose qui m'a permis de me faciliter la vie et de mettre de la clarté. en fait dans ce qui était important pour moi et je me suis je me suis rendu compte que je me suis autorisé de ce fait à aimer les choses que je possédais dans le sens où je vais en posséder moins mais je vais les aimer beaucoup plus même si soyons clairs et honnêtes ensemble je possède toujours beaucoup trop de paires de chaussures par rapport à mes besoins mais j'essaye de me soigner je vous promets et donc là où j'aimerais t'aider à réfléchir c'est De reconsidérer cette tranquillité d'esprit en revisitant ton intérieur et en regardant autour de toi quand tu es chez toi ce matin ou ce soir quand tu rentreras chez toi. C'est juste de regarder autour de toi et de faire un point. Est-ce que tu aimes chaque objet qui est là ? Est-ce qu'il est là soit parce que tu en as besoin, soit parce qu'il a une valeur sentimentale pour toi ? Et quels sont les objets superflus ? Quels sont les objets clairement sans lesquels tu vivrais tout aussi bien ? Du côté relationnel, c'est un peu plus difficile parce qu'effectivement, se débarrasser d'objets, qu'on les jette, qu'on les donne, qu'on les vende, qu'importe, ça reste un objet. Même si certains peuvent avoir de la valeur sentimentale, Ça reste des objets. Là où tu vas peut-être me dire que j'y vais pas de main morte, c'est sur les relations humaines. Mais j'aimerais que tu te poses la question suivante, alors, pour peut-être mieux comprendre où je veux en venir, parce que je te dis pas de rayer les gens de ta vie, c'est pas ça. En revanche, sur les relations qui t'ajoutent de la charge mentale qui sont pas respectueuses vis-à-vis de toi, je te propose de te demander qu'est-ce que tu continues à nourrir. Est-ce qu'il y a toujours une place dans ta vie ? Est-ce qu'il y a toujours une place dans tes croyances pour que tu acceptes de continuer à fonctionner comme ça, de cette façon qui n'est pas à l'équilibre pour toi, qui ne respecte pas tes valeurs, en continuant d'entretenir l'une ou l'autre relation ? Par exemple, j'aimerais te raconter une anecdote. J'en ai pas parlé sur le podcast jusqu'à maintenant, je pense, mais il y a environ un an, c'était le 29 novembre 2023, j'ai bu pour la dernière fois. Alors ça va bientôt faire un an d'ailleurs, que j'ai pas bu d'alcool, mais initialement c'est issu d'une prise de conscience assez spécifique. Alors il y a eu une partie liée aux effets secondaires... lié à l'effet du lendemain de fête avec mes symptômes du TDAH qui n'étaient pas du tout OK pour moi, pour la mise en marche de mon cerveau, mais a surtout eu une autre prise de conscience qui était qu'une des dernières fois que j'avais bu avant de décider complètement d'arrêter de boire, j'étais à une soirée avec des personnes que je côtoie maintenant très occasionnellement puisque, pour la simple et bonne raison qu'il y a très longtemps, on a été collègues et qu'on a eu l'occasion de se retrouver. Et on a partagé un verre, on a bu ensemble. Et je n'ai jamais été spécialement une personne qui boit beaucoup. Et pourtant, là, ce qui s'est passé, en pleine soirée, je me dis, mais qu'est-ce que tu fais là ? Mais en fait, pourquoi tu bois ? Et je me suis rendue compte que je buvais, ou alors je remplissais systématiquement mon verre une fois qu'il était vide, pour m'aider. à supporter le niveau de conversation qui n'était plus du tout en adéquation avec mes valeurs. Ça m'a beaucoup peiné parce qu'à cette soirée, il y avait beaucoup de gens que j'affectionnais. Et en même temps, je me suis rendu compte qu'amicalement, que le lien qui nous liait n'existait plus. Alors, il y a certaines de ces personnes avec lesquelles je suis encore en contact de temps en temps parce qu'on a certaines valeurs communes, on a gardé certaines valeurs communes. Mais avec la majorité d'entre elles, en réalité, je me suis dit, mais arrête de t'infliger ça, quoi. C'est juste, arrête de boire et pars, simplement pars. Donc la prise de conscience, si tu veux, en termes de désencombrement et de minimalisme, elle est même allée jusque-là, d'avoir la prise de conscience que des relations qui ne sont pas ok pour toi ou qui ne matchent pas avec tes valeurs à toi, ça va te conduire à prendre des décisions qui sont mauvaises pour toi. Puisque en soi... boire de l'alcool, c'est ok, dans des quantités raisonnables. Là, je me suis rendu compte que je buvais juste parce que j'en avais rien à faire de ce qui se racontait à cette soirée-là. Ouais, et je me suis rendu compte qu'il me fallait l'alcool comme béquille pour me dire ok, non mais la soirée va passer, la soirée va passer, essaie de rester gentille avec tout le monde jusqu'à la fin parce que naturellement, je ne voulais blesser personne et que... et que je voulais pas que le Grinch à l'intérieur de moi commence à dire que c'était n'importe quoi ce qui se passait à cette soirée. Voilà. Pour illustrer l'exemple, le minimalisme c'est aussi quelque chose, que ce soit par rapport à tes possessions ou par rapport aux relations, c'est aussi quelque chose qui te permet de gagner en tranquillité d'esprit. D'ailleurs, c'est quelque chose que j'ai inclus au module... Mission anxiété zéro, l'antidote, parce que ça apporte tellement de tranquillité d'esprit que je pense que dans un accompagnement c'est important d'inclure ce volet là. Et d'ailleurs si tu te demandes si l'accompagnement de 4 mois Mission Anxiété Zéro L'Antidote est fait pour toi, je te propose qu'on en discute tous les deux et tu peux réserver ton appel découverte via le lien en description de cet épisode de façon tout à fait gratuite et dans tous les cas tu repartiras déjà avec des pistes pour venir à bout de ton anxiété. Je te propose aussi de télécharger le patch Anxiété Zéro où tu trouveras tout le processus. pour venir à bout de tes crises d'angoisse en autonomie. Et là aussi, on peut en discuter tous les deux si tu as besoin de support ou si tu veux me donner ton retour si tu as testé le patch. Nous voilà déjà à la fin de cet épisode. J'espère qu'il t'aura amené à envisager les choses de façon différente et de considérer ton intérieur autrement, ton rapport aux choses et aux gens autrement aussi. et à t'apporter des pistes pour toi aussi gagner en tranquillité d'esprit et alléger ta charge mentale avec le minimalisme et le désencombrement. N'oublie pas de laisser 5 étoiles sur ta plateforme d'écoute préférée afin de faire connaître le podcast à toujours plus de monde qui a besoin de venir à bout de son anxiété. Et si tu as envie de venir discuter avec moi de ton expérience avec le minimalisme et ou le désencombrement dans ton quotidien, N'hésite pas à venir me trouver en DM sur Instagram ou sur LinkedIn, je serai ravie d'échanger avec toi. D'ici le prochain épisode, je te souhaite tout le meilleur et surtout n'oublie pas, quoi que tu traverses, tu n'es pas seul.

Chapters

  • Introduction au minimalisme et à l'anxiété

    00:00

  • Mon expérience de désencombrement personnel

    00:53

  • L'impact du désencombrement sur ma santé mentale

    03:05

  • Réévaluer mes relations et mes valeurs

    06:36

  • Conclusion et ressources pour les auditeurs

    14:50

Description

Dans cet épisode de "Mission Anxiété Zéro - le Podcast", nous plongeons dans un voyage inspirant avec Sandra KiZa, sophro analyste, qui nous dévoile le lien puissant entre le minimalisme, le désencombrement et la gestion de l'anxiété. À travers son expérience personnelle, elle nous raconte comment son retour en France a marqué le début d'un processus de désencombrement radical de son espace de vie. Ce cheminement, loin d’être superficiel, a été une véritable révélation pour elle, lui permettant de se libérer d'objets inutiles qui alourdissaient son quotidien et sa charge mentale.


Sandra nous invite à réfléchir sur nos propres possessions et à nous interroger sur les croyances limitantes qui peuvent nous retenir à des objets matériels. Elle met en lumière comment le minimalisme ne se limite pas à un simple style de vie, mais devient un véritable outil de gestion de l'anxiété. En se délestant du superflu, nous pouvons recentrer nos priorités sur ce qui compte réellement, et ainsi retrouver une sérénité intérieure.


Mais le désencombrement ne s'arrête pas à notre environnement physique. Sandra aborde également l'importance de faire le tri dans nos relations personnelles. Elle nous pousse à nous poser des questions essentielles : nos relations respectent-elles nos valeurs ? Nous apportent-elles de la joie ? En prenant conscience de ces éléments, nous pouvons créer un espace émotionnel sain qui favorise notre bien-être.


Sandra encourage les auditeurs à explorer leur propre environnement et leurs relations, à faire le point sur ce qui leur apporte réellement de la paix d'esprit. Elle partage des ressources précieuses pour ceux qui souhaitent approfondir ces concepts et entamer leur propre chemin vers un mode de vie plus minimaliste et serein.


Cet épisode est une invitation à la réflexion et à l'action. Si vous ressentez le besoin de réduire l'anxiété dans votre vie, de vous libérer des poids inutiles et de retrouver votre équilibre, cet épisode va vous plaire. Rejoignez-nous pour découvrir comment le minimalisme peut transformer votre vie, vous offrant ainsi une tranquillité d'esprit tant recherchée. Ne manquez pas cette opportunité de changer votre perspective et d'embrasser un avenir plus serein !


📕Le bonheur est dans le peu, Francine Jay


➡️ Télécharge gratuitement le Patch Anxiété Zéro, je t'y guide pas à pas pour apprendre à gérer tes crises d'anxiété en autonomie : https://www.s-konsult.com/anxiete-zero/patch-anxiete-zero


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🎧 Si tu as aimé cet épisode, n’oublie pas de me laisser 5 étoiles et de t’abonner pour ne pas manquer les prochains épisodes.


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@crédits audio du générique : Anthony Chognard CHS Prod


Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

Transcription

  • Speaker #0

    Et si le secret pour alléger ton esprit passait par l'allègement de ton espace de vie et de tes relations ? Si tu veux savoir comment le minimalisme m'a aidé à réduire mon anxiété et à retrouver ma concentration, c'est le moment de faire chauffer ta petite verveine menthe et de désactiver tes notifications pour l'épisode du jour. Bienvenue dans Mission Anxiété Zéro. Ici, c'est ton Safe Space sans langue de bois dans lequel je vais t'aider à questionner tes automatismes émotionnels. Moi c'est Sandra, je suis sophro analyste et ma mission c'est d'accompagner mes clients à prendre soin de leur bien-être mental pour être plus heureux, mieux concentrés et mettre plus de sens dans leur quotidien. Alors si toi aussi tu cherches des solutions concrètes et actionnables pour gérer tes émotions et mettre ton anxiété à zéro, et qu'il t'arrive de retrouver les objets que tu cherches dans des endroits totalement improbables. Faut que tu saches que depuis mon retour en France en 2020, chaque fois que j'ai du mal à me concentrer, je désencombre mon intérieur. C'est-à-dire que j'en sors tout ce qui ne me sert plus, ou qui n'a pas ou plus de valeur sentimentale pour moi. Donc ce week-end, je l'ai passé à réorganiser mon chez-moi, et plus particulièrement une zone que je repoussais depuis plusieurs mois, qui était le dressing. Et là tu vas me dire mais qu'est ce que ça a à voir avec l'anxiété Monique ? Et bien c'est ce que je vais t'expliquer tout au long de cet épisode. Je vais te raconter comment j'en suis arrivée là et comment le minimalisme et le désencombrement m'aident à gérer mon anxiété et aussi certains symptômes du TDAH. Pour que tu comprennes l'histoire, je t'emmène avec moi en janvier 2020. A ce moment je rentre en France et je pense emménager avec le strict minimum syndical. qui tenaient dans une camionnette. Au fur et à mesure que je déballe mes cartons, je me rends compte que certains meubles ou objets ne trouvent pas leur place dans mon nouvel appartement et je les laisse de côté, en me disant que je leur trouverai une place quand j'aurai le temps. Et toute l'année est passée sans que j'y prête plus jamais attention alors que je me prenais les pieds dedans littéralement tous les jours. Et environ au bout d'un an... J'ai commencé à me sentir oppressée sans vraiment comprendre ni pourquoi, ni d'où ça venait, ni ce qui se passait exactement. J'avais le souffle court, des palpitations, je commençais à me sentir vraiment avec cette impression que les murs se rapprochaient autour de moi et commençaient à m'écraser. Je me sentais surchargée d'informations et je ne comprenais pas pourquoi. Et un matin... En me prenant encore une fois les pieds dans ce putain de fat boy de merde, parce que c'est bien de ce machin horrible dont il était question, que les fils se sont touchés. J'avais besoin de place en fait. J'avais besoin de place, j'avais besoin d'espace. Et j'avais l'impression que toutes ces choses qui appartenaient à mon passé prenaient trop de place dans mon présent. Et que c'est des affaires avec lesquelles j'étais rentrée en France, mais dont je ne voulais absolument plus dans ma vie d'aujourd'hui. Alors j'ai commencé à évacuer tout ce qui n'avait plus rien à faire là. Les meubles, les cartons qui n'avaient pas encore été déballés, puisque si j'en avais pas eu besoin pendant un an, je partais du principe que j'en aurais plus jamais besoin. Les DVD, les CD qu'on n'écoutera plus jamais. J'ai trié, donné, jeté, vendu tout ce dont je n'avais plus l'utilité dans mon nouveau chez-moi et dans ma nouvelle vie. Et au fil des allers-retours à la déchetterie, je sentais bien que ces objets étaient les derniers liens qui me reliaient à une autre époque de ma vie. Et que c'était un moyen de symboliquement tourner la page une fois pour toutes. Et si j'ai fini par ressentir un soulagement en me libérant de ces objets superflus, avant d'en arriver à ce sentiment, j'ai aussi ressenti beaucoup de résistance à l'idée de me séparer de certains de ces objets. Et je me suis aperçu que ce qui pouvait m'accrocher à ces objets, c'était soit les croyances limitantes, soit un besoin de sécurité que ces choses m'apportaient, même de façon illusoire. Et donc, quand j'ai compris ça, bien évidemment, j'ai pris le temps de jeter au... au fur et à mesure de ce que j'étais prêt à le faire. Je n'ai pas voulu arracher le sparadrap trop brutalement parce que je me rendais compte que ces objets, ils avaient aussi une certaine... Il m'apportait aussi une certaine sécurité, même si je m'étais bien rendu compte que c'était quelque chose d'illusoire. Mais en tant que thérapeute, ce que j'ai trouvé intéressant, c'est que le minimalisme, à ce moment-là, je me suis aidée du livre de Francine Jèques, dont tu trouveras les références en description de l'épisode, qui s'appelle Le bonheur est dans le peu. Je me suis aidée de ce livre-là pour désencombrer mon intérieur, donc pièce par pièce. Au début, ça paraissait, mais genre, juste énorme. quand j'ai commencé ça et puis au fil du temps à chaque fois que j'avais du mal à me concentrer je recommençais une ronde de désencombrement pourquoi parce que je me suis rendu compte qu'en réalité alléger mon intérieur ça m'avait obligé à mettre la priorité sur les choses qui étaient réellement importantes pour moi réellement importantes pour moi et qui faisaient vraiment du sens et qui me rendaient vraiment heureuse et d'ailleurs un des critères pour moi, pour qu'un objet reste chez moi ou que j'achète un objet, c'est qu'il doit me rendre, en fait il doit me procurer de la joie. Il doit me procurer de la joie, il doit m'être utile. Et alors j'ai un ouvre-boîte qui ne me procure absolument aucune joie, mais qui m'est très utile. Donc on va prendre deux poids, deux mesures, ok ? Donc soit c'était quelque chose d'utile, que je possédais en un exemplaire, soit c'était quelque chose qui avait de la valeur sentimentale pour moi et qui me procurait de la joie. Et j'ai commencé à revoir mon intérieur et mon chez-moi selon ces règles-là. Je me suis rendu compte que ça allégeait ma charge mentale, en fait. Et ça, c'était vraiment un sentiment nouveau pour moi, que je n'avais jamais connu de cette façon. J'avais vraiment l'impression que ma vie était simplifiée, mais par dix ou par cent. Tellement ça m'a fait l'effet d'une bombe dans mon quotidien. Et d'ailleurs... J'ai décidé de faire le test aussi sur les autres choses qui pouvaient m'apporter de la charge mentale, à savoir les relations avec mon entourage. Dans le sens que j'ai aussi fait un tri dans mes relations humaines, j'entends, où j'ai appliqué en fait cette même règle. Est-ce que c'est une relation professionnelle ? Auquel cas, elle a besoin d'être cadrée pour alléger la charge mentale de tout le monde. Est-ce que, pour les relations privées, est-ce que ces relations sont en lien avec, respectent mes valeurs et mes convictions personnelles ? Est-ce que je prends du plaisir à voir l'une ou l'autre personne ? Et là aussi, ça m'a permis de pouvoir poser mes limites et mettre des distances avec les relations qui n'étaient plus OK pour moi. Alors attention, là-dedans aussi, il y a deux poids deux mesures, dans le sens où il y a beaucoup de personnes qui sont des amis proches, ou des personnes de ma famille, que j'aime beaucoup et que j'aimerais voir plus, mais que je ne peux pas voir plus, parce qu'on a des vies différentes, parce qu'il y a de l'éloignement géographique qui fait que, à ce moment-là, c'est l'entretien de la relation importante, même si ce n'est pas autant qu'on le voudrait. Là, je pose vraiment le cadre de faire la différence entre... Les relations qui nous font du bien et de prendre le temps de les entretenir, même si c'est que par un message de temps en temps. Et les relations qui nous sont délétères, celles qui nous ajoutent de la charge mentale, celles qui ne nous tirent pas vers le haut, celles au contraire qui vont être lourdes et qui vont nous tirer par le bas. Parce que parfois c'est comme ça la vie, on n'évolue pas tous dans la même direction et puis on n'a pas au fil du temps, on n'a peut-être pas ou plus les mêmes valeurs. Et c'est pas grave, c'est comme ça, on n'est pas obligé de s'infliger de relations qui ne nous conviennent plus. Et là encore, ça m'a apporté beaucoup de légèreté, que ce soit avec des êtres humains ou avec les objets, les possessions si je peux dire ça comme ça. Le minimalisme, c'est vraiment quelque chose qui m'a permis de me faciliter la vie et de mettre de la clarté. en fait dans ce qui était important pour moi et je me suis je me suis rendu compte que je me suis autorisé de ce fait à aimer les choses que je possédais dans le sens où je vais en posséder moins mais je vais les aimer beaucoup plus même si soyons clairs et honnêtes ensemble je possède toujours beaucoup trop de paires de chaussures par rapport à mes besoins mais j'essaye de me soigner je vous promets et donc là où j'aimerais t'aider à réfléchir c'est De reconsidérer cette tranquillité d'esprit en revisitant ton intérieur et en regardant autour de toi quand tu es chez toi ce matin ou ce soir quand tu rentreras chez toi. C'est juste de regarder autour de toi et de faire un point. Est-ce que tu aimes chaque objet qui est là ? Est-ce qu'il est là soit parce que tu en as besoin, soit parce qu'il a une valeur sentimentale pour toi ? Et quels sont les objets superflus ? Quels sont les objets clairement sans lesquels tu vivrais tout aussi bien ? Du côté relationnel, c'est un peu plus difficile parce qu'effectivement, se débarrasser d'objets, qu'on les jette, qu'on les donne, qu'on les vende, qu'importe, ça reste un objet. Même si certains peuvent avoir de la valeur sentimentale, Ça reste des objets. Là où tu vas peut-être me dire que j'y vais pas de main morte, c'est sur les relations humaines. Mais j'aimerais que tu te poses la question suivante, alors, pour peut-être mieux comprendre où je veux en venir, parce que je te dis pas de rayer les gens de ta vie, c'est pas ça. En revanche, sur les relations qui t'ajoutent de la charge mentale qui sont pas respectueuses vis-à-vis de toi, je te propose de te demander qu'est-ce que tu continues à nourrir. Est-ce qu'il y a toujours une place dans ta vie ? Est-ce qu'il y a toujours une place dans tes croyances pour que tu acceptes de continuer à fonctionner comme ça, de cette façon qui n'est pas à l'équilibre pour toi, qui ne respecte pas tes valeurs, en continuant d'entretenir l'une ou l'autre relation ? Par exemple, j'aimerais te raconter une anecdote. J'en ai pas parlé sur le podcast jusqu'à maintenant, je pense, mais il y a environ un an, c'était le 29 novembre 2023, j'ai bu pour la dernière fois. Alors ça va bientôt faire un an d'ailleurs, que j'ai pas bu d'alcool, mais initialement c'est issu d'une prise de conscience assez spécifique. Alors il y a eu une partie liée aux effets secondaires... lié à l'effet du lendemain de fête avec mes symptômes du TDAH qui n'étaient pas du tout OK pour moi, pour la mise en marche de mon cerveau, mais a surtout eu une autre prise de conscience qui était qu'une des dernières fois que j'avais bu avant de décider complètement d'arrêter de boire, j'étais à une soirée avec des personnes que je côtoie maintenant très occasionnellement puisque, pour la simple et bonne raison qu'il y a très longtemps, on a été collègues et qu'on a eu l'occasion de se retrouver. Et on a partagé un verre, on a bu ensemble. Et je n'ai jamais été spécialement une personne qui boit beaucoup. Et pourtant, là, ce qui s'est passé, en pleine soirée, je me dis, mais qu'est-ce que tu fais là ? Mais en fait, pourquoi tu bois ? Et je me suis rendue compte que je buvais, ou alors je remplissais systématiquement mon verre une fois qu'il était vide, pour m'aider. à supporter le niveau de conversation qui n'était plus du tout en adéquation avec mes valeurs. Ça m'a beaucoup peiné parce qu'à cette soirée, il y avait beaucoup de gens que j'affectionnais. Et en même temps, je me suis rendu compte qu'amicalement, que le lien qui nous liait n'existait plus. Alors, il y a certaines de ces personnes avec lesquelles je suis encore en contact de temps en temps parce qu'on a certaines valeurs communes, on a gardé certaines valeurs communes. Mais avec la majorité d'entre elles, en réalité, je me suis dit, mais arrête de t'infliger ça, quoi. C'est juste, arrête de boire et pars, simplement pars. Donc la prise de conscience, si tu veux, en termes de désencombrement et de minimalisme, elle est même allée jusque-là, d'avoir la prise de conscience que des relations qui ne sont pas ok pour toi ou qui ne matchent pas avec tes valeurs à toi, ça va te conduire à prendre des décisions qui sont mauvaises pour toi. Puisque en soi... boire de l'alcool, c'est ok, dans des quantités raisonnables. Là, je me suis rendu compte que je buvais juste parce que j'en avais rien à faire de ce qui se racontait à cette soirée-là. Ouais, et je me suis rendu compte qu'il me fallait l'alcool comme béquille pour me dire ok, non mais la soirée va passer, la soirée va passer, essaie de rester gentille avec tout le monde jusqu'à la fin parce que naturellement, je ne voulais blesser personne et que... et que je voulais pas que le Grinch à l'intérieur de moi commence à dire que c'était n'importe quoi ce qui se passait à cette soirée. Voilà. Pour illustrer l'exemple, le minimalisme c'est aussi quelque chose, que ce soit par rapport à tes possessions ou par rapport aux relations, c'est aussi quelque chose qui te permet de gagner en tranquillité d'esprit. D'ailleurs, c'est quelque chose que j'ai inclus au module... Mission anxiété zéro, l'antidote, parce que ça apporte tellement de tranquillité d'esprit que je pense que dans un accompagnement c'est important d'inclure ce volet là. Et d'ailleurs si tu te demandes si l'accompagnement de 4 mois Mission Anxiété Zéro L'Antidote est fait pour toi, je te propose qu'on en discute tous les deux et tu peux réserver ton appel découverte via le lien en description de cet épisode de façon tout à fait gratuite et dans tous les cas tu repartiras déjà avec des pistes pour venir à bout de ton anxiété. Je te propose aussi de télécharger le patch Anxiété Zéro où tu trouveras tout le processus. pour venir à bout de tes crises d'angoisse en autonomie. Et là aussi, on peut en discuter tous les deux si tu as besoin de support ou si tu veux me donner ton retour si tu as testé le patch. Nous voilà déjà à la fin de cet épisode. J'espère qu'il t'aura amené à envisager les choses de façon différente et de considérer ton intérieur autrement, ton rapport aux choses et aux gens autrement aussi. et à t'apporter des pistes pour toi aussi gagner en tranquillité d'esprit et alléger ta charge mentale avec le minimalisme et le désencombrement. N'oublie pas de laisser 5 étoiles sur ta plateforme d'écoute préférée afin de faire connaître le podcast à toujours plus de monde qui a besoin de venir à bout de son anxiété. Et si tu as envie de venir discuter avec moi de ton expérience avec le minimalisme et ou le désencombrement dans ton quotidien, N'hésite pas à venir me trouver en DM sur Instagram ou sur LinkedIn, je serai ravie d'échanger avec toi. D'ici le prochain épisode, je te souhaite tout le meilleur et surtout n'oublie pas, quoi que tu traverses, tu n'es pas seul.

Chapters

  • Introduction au minimalisme et à l'anxiété

    00:00

  • Mon expérience de désencombrement personnel

    00:53

  • L'impact du désencombrement sur ma santé mentale

    03:05

  • Réévaluer mes relations et mes valeurs

    06:36

  • Conclusion et ressources pour les auditeurs

    14:50

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Description

Dans cet épisode de "Mission Anxiété Zéro - le Podcast", nous plongeons dans un voyage inspirant avec Sandra KiZa, sophro analyste, qui nous dévoile le lien puissant entre le minimalisme, le désencombrement et la gestion de l'anxiété. À travers son expérience personnelle, elle nous raconte comment son retour en France a marqué le début d'un processus de désencombrement radical de son espace de vie. Ce cheminement, loin d’être superficiel, a été une véritable révélation pour elle, lui permettant de se libérer d'objets inutiles qui alourdissaient son quotidien et sa charge mentale.


Sandra nous invite à réfléchir sur nos propres possessions et à nous interroger sur les croyances limitantes qui peuvent nous retenir à des objets matériels. Elle met en lumière comment le minimalisme ne se limite pas à un simple style de vie, mais devient un véritable outil de gestion de l'anxiété. En se délestant du superflu, nous pouvons recentrer nos priorités sur ce qui compte réellement, et ainsi retrouver une sérénité intérieure.


Mais le désencombrement ne s'arrête pas à notre environnement physique. Sandra aborde également l'importance de faire le tri dans nos relations personnelles. Elle nous pousse à nous poser des questions essentielles : nos relations respectent-elles nos valeurs ? Nous apportent-elles de la joie ? En prenant conscience de ces éléments, nous pouvons créer un espace émotionnel sain qui favorise notre bien-être.


Sandra encourage les auditeurs à explorer leur propre environnement et leurs relations, à faire le point sur ce qui leur apporte réellement de la paix d'esprit. Elle partage des ressources précieuses pour ceux qui souhaitent approfondir ces concepts et entamer leur propre chemin vers un mode de vie plus minimaliste et serein.


Cet épisode est une invitation à la réflexion et à l'action. Si vous ressentez le besoin de réduire l'anxiété dans votre vie, de vous libérer des poids inutiles et de retrouver votre équilibre, cet épisode va vous plaire. Rejoignez-nous pour découvrir comment le minimalisme peut transformer votre vie, vous offrant ainsi une tranquillité d'esprit tant recherchée. Ne manquez pas cette opportunité de changer votre perspective et d'embrasser un avenir plus serein !


📕Le bonheur est dans le peu, Francine Jay


➡️ Télécharge gratuitement le Patch Anxiété Zéro, je t'y guide pas à pas pour apprendre à gérer tes crises d'anxiété en autonomie : https://www.s-konsult.com/anxiete-zero/patch-anxiete-zero


➡️ Réserve ton appel découverte gratuit pour rejoindre l'accompagnement Mission Anxiété Zéro - l'Antidote et venir à bout de ton anxiété : https://wix.to/VPsTiQ9


🎧 Si tu as aimé cet épisode, n’oublie pas de me laisser 5 étoiles et de t’abonner pour ne pas manquer les prochains épisodes.


Viens me partager ce que tu as pensé de cet épisode sur les réseaux ! Retrouve moi sur Instagram et LinkedIn

ou visite mon site web


@crédits audio du générique : Anthony Chognard CHS Prod


Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

Transcription

  • Speaker #0

    Et si le secret pour alléger ton esprit passait par l'allègement de ton espace de vie et de tes relations ? Si tu veux savoir comment le minimalisme m'a aidé à réduire mon anxiété et à retrouver ma concentration, c'est le moment de faire chauffer ta petite verveine menthe et de désactiver tes notifications pour l'épisode du jour. Bienvenue dans Mission Anxiété Zéro. Ici, c'est ton Safe Space sans langue de bois dans lequel je vais t'aider à questionner tes automatismes émotionnels. Moi c'est Sandra, je suis sophro analyste et ma mission c'est d'accompagner mes clients à prendre soin de leur bien-être mental pour être plus heureux, mieux concentrés et mettre plus de sens dans leur quotidien. Alors si toi aussi tu cherches des solutions concrètes et actionnables pour gérer tes émotions et mettre ton anxiété à zéro, et qu'il t'arrive de retrouver les objets que tu cherches dans des endroits totalement improbables. Faut que tu saches que depuis mon retour en France en 2020, chaque fois que j'ai du mal à me concentrer, je désencombre mon intérieur. C'est-à-dire que j'en sors tout ce qui ne me sert plus, ou qui n'a pas ou plus de valeur sentimentale pour moi. Donc ce week-end, je l'ai passé à réorganiser mon chez-moi, et plus particulièrement une zone que je repoussais depuis plusieurs mois, qui était le dressing. Et là tu vas me dire mais qu'est ce que ça a à voir avec l'anxiété Monique ? Et bien c'est ce que je vais t'expliquer tout au long de cet épisode. Je vais te raconter comment j'en suis arrivée là et comment le minimalisme et le désencombrement m'aident à gérer mon anxiété et aussi certains symptômes du TDAH. Pour que tu comprennes l'histoire, je t'emmène avec moi en janvier 2020. A ce moment je rentre en France et je pense emménager avec le strict minimum syndical. qui tenaient dans une camionnette. Au fur et à mesure que je déballe mes cartons, je me rends compte que certains meubles ou objets ne trouvent pas leur place dans mon nouvel appartement et je les laisse de côté, en me disant que je leur trouverai une place quand j'aurai le temps. Et toute l'année est passée sans que j'y prête plus jamais attention alors que je me prenais les pieds dedans littéralement tous les jours. Et environ au bout d'un an... J'ai commencé à me sentir oppressée sans vraiment comprendre ni pourquoi, ni d'où ça venait, ni ce qui se passait exactement. J'avais le souffle court, des palpitations, je commençais à me sentir vraiment avec cette impression que les murs se rapprochaient autour de moi et commençaient à m'écraser. Je me sentais surchargée d'informations et je ne comprenais pas pourquoi. Et un matin... En me prenant encore une fois les pieds dans ce putain de fat boy de merde, parce que c'est bien de ce machin horrible dont il était question, que les fils se sont touchés. J'avais besoin de place en fait. J'avais besoin de place, j'avais besoin d'espace. Et j'avais l'impression que toutes ces choses qui appartenaient à mon passé prenaient trop de place dans mon présent. Et que c'est des affaires avec lesquelles j'étais rentrée en France, mais dont je ne voulais absolument plus dans ma vie d'aujourd'hui. Alors j'ai commencé à évacuer tout ce qui n'avait plus rien à faire là. Les meubles, les cartons qui n'avaient pas encore été déballés, puisque si j'en avais pas eu besoin pendant un an, je partais du principe que j'en aurais plus jamais besoin. Les DVD, les CD qu'on n'écoutera plus jamais. J'ai trié, donné, jeté, vendu tout ce dont je n'avais plus l'utilité dans mon nouveau chez-moi et dans ma nouvelle vie. Et au fil des allers-retours à la déchetterie, je sentais bien que ces objets étaient les derniers liens qui me reliaient à une autre époque de ma vie. Et que c'était un moyen de symboliquement tourner la page une fois pour toutes. Et si j'ai fini par ressentir un soulagement en me libérant de ces objets superflus, avant d'en arriver à ce sentiment, j'ai aussi ressenti beaucoup de résistance à l'idée de me séparer de certains de ces objets. Et je me suis aperçu que ce qui pouvait m'accrocher à ces objets, c'était soit les croyances limitantes, soit un besoin de sécurité que ces choses m'apportaient, même de façon illusoire. Et donc, quand j'ai compris ça, bien évidemment, j'ai pris le temps de jeter au... au fur et à mesure de ce que j'étais prêt à le faire. Je n'ai pas voulu arracher le sparadrap trop brutalement parce que je me rendais compte que ces objets, ils avaient aussi une certaine... Il m'apportait aussi une certaine sécurité, même si je m'étais bien rendu compte que c'était quelque chose d'illusoire. Mais en tant que thérapeute, ce que j'ai trouvé intéressant, c'est que le minimalisme, à ce moment-là, je me suis aidée du livre de Francine Jèques, dont tu trouveras les références en description de l'épisode, qui s'appelle Le bonheur est dans le peu. Je me suis aidée de ce livre-là pour désencombrer mon intérieur, donc pièce par pièce. Au début, ça paraissait, mais genre, juste énorme. quand j'ai commencé ça et puis au fil du temps à chaque fois que j'avais du mal à me concentrer je recommençais une ronde de désencombrement pourquoi parce que je me suis rendu compte qu'en réalité alléger mon intérieur ça m'avait obligé à mettre la priorité sur les choses qui étaient réellement importantes pour moi réellement importantes pour moi et qui faisaient vraiment du sens et qui me rendaient vraiment heureuse et d'ailleurs un des critères pour moi, pour qu'un objet reste chez moi ou que j'achète un objet, c'est qu'il doit me rendre, en fait il doit me procurer de la joie. Il doit me procurer de la joie, il doit m'être utile. Et alors j'ai un ouvre-boîte qui ne me procure absolument aucune joie, mais qui m'est très utile. Donc on va prendre deux poids, deux mesures, ok ? Donc soit c'était quelque chose d'utile, que je possédais en un exemplaire, soit c'était quelque chose qui avait de la valeur sentimentale pour moi et qui me procurait de la joie. Et j'ai commencé à revoir mon intérieur et mon chez-moi selon ces règles-là. Je me suis rendu compte que ça allégeait ma charge mentale, en fait. Et ça, c'était vraiment un sentiment nouveau pour moi, que je n'avais jamais connu de cette façon. J'avais vraiment l'impression que ma vie était simplifiée, mais par dix ou par cent. Tellement ça m'a fait l'effet d'une bombe dans mon quotidien. Et d'ailleurs... J'ai décidé de faire le test aussi sur les autres choses qui pouvaient m'apporter de la charge mentale, à savoir les relations avec mon entourage. Dans le sens que j'ai aussi fait un tri dans mes relations humaines, j'entends, où j'ai appliqué en fait cette même règle. Est-ce que c'est une relation professionnelle ? Auquel cas, elle a besoin d'être cadrée pour alléger la charge mentale de tout le monde. Est-ce que, pour les relations privées, est-ce que ces relations sont en lien avec, respectent mes valeurs et mes convictions personnelles ? Est-ce que je prends du plaisir à voir l'une ou l'autre personne ? Et là aussi, ça m'a permis de pouvoir poser mes limites et mettre des distances avec les relations qui n'étaient plus OK pour moi. Alors attention, là-dedans aussi, il y a deux poids deux mesures, dans le sens où il y a beaucoup de personnes qui sont des amis proches, ou des personnes de ma famille, que j'aime beaucoup et que j'aimerais voir plus, mais que je ne peux pas voir plus, parce qu'on a des vies différentes, parce qu'il y a de l'éloignement géographique qui fait que, à ce moment-là, c'est l'entretien de la relation importante, même si ce n'est pas autant qu'on le voudrait. Là, je pose vraiment le cadre de faire la différence entre... Les relations qui nous font du bien et de prendre le temps de les entretenir, même si c'est que par un message de temps en temps. Et les relations qui nous sont délétères, celles qui nous ajoutent de la charge mentale, celles qui ne nous tirent pas vers le haut, celles au contraire qui vont être lourdes et qui vont nous tirer par le bas. Parce que parfois c'est comme ça la vie, on n'évolue pas tous dans la même direction et puis on n'a pas au fil du temps, on n'a peut-être pas ou plus les mêmes valeurs. Et c'est pas grave, c'est comme ça, on n'est pas obligé de s'infliger de relations qui ne nous conviennent plus. Et là encore, ça m'a apporté beaucoup de légèreté, que ce soit avec des êtres humains ou avec les objets, les possessions si je peux dire ça comme ça. Le minimalisme, c'est vraiment quelque chose qui m'a permis de me faciliter la vie et de mettre de la clarté. en fait dans ce qui était important pour moi et je me suis je me suis rendu compte que je me suis autorisé de ce fait à aimer les choses que je possédais dans le sens où je vais en posséder moins mais je vais les aimer beaucoup plus même si soyons clairs et honnêtes ensemble je possède toujours beaucoup trop de paires de chaussures par rapport à mes besoins mais j'essaye de me soigner je vous promets et donc là où j'aimerais t'aider à réfléchir c'est De reconsidérer cette tranquillité d'esprit en revisitant ton intérieur et en regardant autour de toi quand tu es chez toi ce matin ou ce soir quand tu rentreras chez toi. C'est juste de regarder autour de toi et de faire un point. Est-ce que tu aimes chaque objet qui est là ? Est-ce qu'il est là soit parce que tu en as besoin, soit parce qu'il a une valeur sentimentale pour toi ? Et quels sont les objets superflus ? Quels sont les objets clairement sans lesquels tu vivrais tout aussi bien ? Du côté relationnel, c'est un peu plus difficile parce qu'effectivement, se débarrasser d'objets, qu'on les jette, qu'on les donne, qu'on les vende, qu'importe, ça reste un objet. Même si certains peuvent avoir de la valeur sentimentale, Ça reste des objets. Là où tu vas peut-être me dire que j'y vais pas de main morte, c'est sur les relations humaines. Mais j'aimerais que tu te poses la question suivante, alors, pour peut-être mieux comprendre où je veux en venir, parce que je te dis pas de rayer les gens de ta vie, c'est pas ça. En revanche, sur les relations qui t'ajoutent de la charge mentale qui sont pas respectueuses vis-à-vis de toi, je te propose de te demander qu'est-ce que tu continues à nourrir. Est-ce qu'il y a toujours une place dans ta vie ? Est-ce qu'il y a toujours une place dans tes croyances pour que tu acceptes de continuer à fonctionner comme ça, de cette façon qui n'est pas à l'équilibre pour toi, qui ne respecte pas tes valeurs, en continuant d'entretenir l'une ou l'autre relation ? Par exemple, j'aimerais te raconter une anecdote. J'en ai pas parlé sur le podcast jusqu'à maintenant, je pense, mais il y a environ un an, c'était le 29 novembre 2023, j'ai bu pour la dernière fois. Alors ça va bientôt faire un an d'ailleurs, que j'ai pas bu d'alcool, mais initialement c'est issu d'une prise de conscience assez spécifique. Alors il y a eu une partie liée aux effets secondaires... lié à l'effet du lendemain de fête avec mes symptômes du TDAH qui n'étaient pas du tout OK pour moi, pour la mise en marche de mon cerveau, mais a surtout eu une autre prise de conscience qui était qu'une des dernières fois que j'avais bu avant de décider complètement d'arrêter de boire, j'étais à une soirée avec des personnes que je côtoie maintenant très occasionnellement puisque, pour la simple et bonne raison qu'il y a très longtemps, on a été collègues et qu'on a eu l'occasion de se retrouver. Et on a partagé un verre, on a bu ensemble. Et je n'ai jamais été spécialement une personne qui boit beaucoup. Et pourtant, là, ce qui s'est passé, en pleine soirée, je me dis, mais qu'est-ce que tu fais là ? Mais en fait, pourquoi tu bois ? Et je me suis rendue compte que je buvais, ou alors je remplissais systématiquement mon verre une fois qu'il était vide, pour m'aider. à supporter le niveau de conversation qui n'était plus du tout en adéquation avec mes valeurs. Ça m'a beaucoup peiné parce qu'à cette soirée, il y avait beaucoup de gens que j'affectionnais. Et en même temps, je me suis rendu compte qu'amicalement, que le lien qui nous liait n'existait plus. Alors, il y a certaines de ces personnes avec lesquelles je suis encore en contact de temps en temps parce qu'on a certaines valeurs communes, on a gardé certaines valeurs communes. Mais avec la majorité d'entre elles, en réalité, je me suis dit, mais arrête de t'infliger ça, quoi. C'est juste, arrête de boire et pars, simplement pars. Donc la prise de conscience, si tu veux, en termes de désencombrement et de minimalisme, elle est même allée jusque-là, d'avoir la prise de conscience que des relations qui ne sont pas ok pour toi ou qui ne matchent pas avec tes valeurs à toi, ça va te conduire à prendre des décisions qui sont mauvaises pour toi. Puisque en soi... boire de l'alcool, c'est ok, dans des quantités raisonnables. Là, je me suis rendu compte que je buvais juste parce que j'en avais rien à faire de ce qui se racontait à cette soirée-là. Ouais, et je me suis rendu compte qu'il me fallait l'alcool comme béquille pour me dire ok, non mais la soirée va passer, la soirée va passer, essaie de rester gentille avec tout le monde jusqu'à la fin parce que naturellement, je ne voulais blesser personne et que... et que je voulais pas que le Grinch à l'intérieur de moi commence à dire que c'était n'importe quoi ce qui se passait à cette soirée. Voilà. Pour illustrer l'exemple, le minimalisme c'est aussi quelque chose, que ce soit par rapport à tes possessions ou par rapport aux relations, c'est aussi quelque chose qui te permet de gagner en tranquillité d'esprit. D'ailleurs, c'est quelque chose que j'ai inclus au module... Mission anxiété zéro, l'antidote, parce que ça apporte tellement de tranquillité d'esprit que je pense que dans un accompagnement c'est important d'inclure ce volet là. Et d'ailleurs si tu te demandes si l'accompagnement de 4 mois Mission Anxiété Zéro L'Antidote est fait pour toi, je te propose qu'on en discute tous les deux et tu peux réserver ton appel découverte via le lien en description de cet épisode de façon tout à fait gratuite et dans tous les cas tu repartiras déjà avec des pistes pour venir à bout de ton anxiété. Je te propose aussi de télécharger le patch Anxiété Zéro où tu trouveras tout le processus. pour venir à bout de tes crises d'angoisse en autonomie. Et là aussi, on peut en discuter tous les deux si tu as besoin de support ou si tu veux me donner ton retour si tu as testé le patch. Nous voilà déjà à la fin de cet épisode. J'espère qu'il t'aura amené à envisager les choses de façon différente et de considérer ton intérieur autrement, ton rapport aux choses et aux gens autrement aussi. et à t'apporter des pistes pour toi aussi gagner en tranquillité d'esprit et alléger ta charge mentale avec le minimalisme et le désencombrement. N'oublie pas de laisser 5 étoiles sur ta plateforme d'écoute préférée afin de faire connaître le podcast à toujours plus de monde qui a besoin de venir à bout de son anxiété. Et si tu as envie de venir discuter avec moi de ton expérience avec le minimalisme et ou le désencombrement dans ton quotidien, N'hésite pas à venir me trouver en DM sur Instagram ou sur LinkedIn, je serai ravie d'échanger avec toi. D'ici le prochain épisode, je te souhaite tout le meilleur et surtout n'oublie pas, quoi que tu traverses, tu n'es pas seul.

Chapters

  • Introduction au minimalisme et à l'anxiété

    00:00

  • Mon expérience de désencombrement personnel

    00:53

  • L'impact du désencombrement sur ma santé mentale

    03:05

  • Réévaluer mes relations et mes valeurs

    06:36

  • Conclusion et ressources pour les auditeurs

    14:50

Description

Dans cet épisode de "Mission Anxiété Zéro - le Podcast", nous plongeons dans un voyage inspirant avec Sandra KiZa, sophro analyste, qui nous dévoile le lien puissant entre le minimalisme, le désencombrement et la gestion de l'anxiété. À travers son expérience personnelle, elle nous raconte comment son retour en France a marqué le début d'un processus de désencombrement radical de son espace de vie. Ce cheminement, loin d’être superficiel, a été une véritable révélation pour elle, lui permettant de se libérer d'objets inutiles qui alourdissaient son quotidien et sa charge mentale.


Sandra nous invite à réfléchir sur nos propres possessions et à nous interroger sur les croyances limitantes qui peuvent nous retenir à des objets matériels. Elle met en lumière comment le minimalisme ne se limite pas à un simple style de vie, mais devient un véritable outil de gestion de l'anxiété. En se délestant du superflu, nous pouvons recentrer nos priorités sur ce qui compte réellement, et ainsi retrouver une sérénité intérieure.


Mais le désencombrement ne s'arrête pas à notre environnement physique. Sandra aborde également l'importance de faire le tri dans nos relations personnelles. Elle nous pousse à nous poser des questions essentielles : nos relations respectent-elles nos valeurs ? Nous apportent-elles de la joie ? En prenant conscience de ces éléments, nous pouvons créer un espace émotionnel sain qui favorise notre bien-être.


Sandra encourage les auditeurs à explorer leur propre environnement et leurs relations, à faire le point sur ce qui leur apporte réellement de la paix d'esprit. Elle partage des ressources précieuses pour ceux qui souhaitent approfondir ces concepts et entamer leur propre chemin vers un mode de vie plus minimaliste et serein.


Cet épisode est une invitation à la réflexion et à l'action. Si vous ressentez le besoin de réduire l'anxiété dans votre vie, de vous libérer des poids inutiles et de retrouver votre équilibre, cet épisode va vous plaire. Rejoignez-nous pour découvrir comment le minimalisme peut transformer votre vie, vous offrant ainsi une tranquillité d'esprit tant recherchée. Ne manquez pas cette opportunité de changer votre perspective et d'embrasser un avenir plus serein !


📕Le bonheur est dans le peu, Francine Jay


➡️ Télécharge gratuitement le Patch Anxiété Zéro, je t'y guide pas à pas pour apprendre à gérer tes crises d'anxiété en autonomie : https://www.s-konsult.com/anxiete-zero/patch-anxiete-zero


➡️ Réserve ton appel découverte gratuit pour rejoindre l'accompagnement Mission Anxiété Zéro - l'Antidote et venir à bout de ton anxiété : https://wix.to/VPsTiQ9


🎧 Si tu as aimé cet épisode, n’oublie pas de me laisser 5 étoiles et de t’abonner pour ne pas manquer les prochains épisodes.


Viens me partager ce que tu as pensé de cet épisode sur les réseaux ! Retrouve moi sur Instagram et LinkedIn

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@crédits audio du générique : Anthony Chognard CHS Prod


Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

Transcription

  • Speaker #0

    Et si le secret pour alléger ton esprit passait par l'allègement de ton espace de vie et de tes relations ? Si tu veux savoir comment le minimalisme m'a aidé à réduire mon anxiété et à retrouver ma concentration, c'est le moment de faire chauffer ta petite verveine menthe et de désactiver tes notifications pour l'épisode du jour. Bienvenue dans Mission Anxiété Zéro. Ici, c'est ton Safe Space sans langue de bois dans lequel je vais t'aider à questionner tes automatismes émotionnels. Moi c'est Sandra, je suis sophro analyste et ma mission c'est d'accompagner mes clients à prendre soin de leur bien-être mental pour être plus heureux, mieux concentrés et mettre plus de sens dans leur quotidien. Alors si toi aussi tu cherches des solutions concrètes et actionnables pour gérer tes émotions et mettre ton anxiété à zéro, et qu'il t'arrive de retrouver les objets que tu cherches dans des endroits totalement improbables. Faut que tu saches que depuis mon retour en France en 2020, chaque fois que j'ai du mal à me concentrer, je désencombre mon intérieur. C'est-à-dire que j'en sors tout ce qui ne me sert plus, ou qui n'a pas ou plus de valeur sentimentale pour moi. Donc ce week-end, je l'ai passé à réorganiser mon chez-moi, et plus particulièrement une zone que je repoussais depuis plusieurs mois, qui était le dressing. Et là tu vas me dire mais qu'est ce que ça a à voir avec l'anxiété Monique ? Et bien c'est ce que je vais t'expliquer tout au long de cet épisode. Je vais te raconter comment j'en suis arrivée là et comment le minimalisme et le désencombrement m'aident à gérer mon anxiété et aussi certains symptômes du TDAH. Pour que tu comprennes l'histoire, je t'emmène avec moi en janvier 2020. A ce moment je rentre en France et je pense emménager avec le strict minimum syndical. qui tenaient dans une camionnette. Au fur et à mesure que je déballe mes cartons, je me rends compte que certains meubles ou objets ne trouvent pas leur place dans mon nouvel appartement et je les laisse de côté, en me disant que je leur trouverai une place quand j'aurai le temps. Et toute l'année est passée sans que j'y prête plus jamais attention alors que je me prenais les pieds dedans littéralement tous les jours. Et environ au bout d'un an... J'ai commencé à me sentir oppressée sans vraiment comprendre ni pourquoi, ni d'où ça venait, ni ce qui se passait exactement. J'avais le souffle court, des palpitations, je commençais à me sentir vraiment avec cette impression que les murs se rapprochaient autour de moi et commençaient à m'écraser. Je me sentais surchargée d'informations et je ne comprenais pas pourquoi. Et un matin... En me prenant encore une fois les pieds dans ce putain de fat boy de merde, parce que c'est bien de ce machin horrible dont il était question, que les fils se sont touchés. J'avais besoin de place en fait. J'avais besoin de place, j'avais besoin d'espace. Et j'avais l'impression que toutes ces choses qui appartenaient à mon passé prenaient trop de place dans mon présent. Et que c'est des affaires avec lesquelles j'étais rentrée en France, mais dont je ne voulais absolument plus dans ma vie d'aujourd'hui. Alors j'ai commencé à évacuer tout ce qui n'avait plus rien à faire là. Les meubles, les cartons qui n'avaient pas encore été déballés, puisque si j'en avais pas eu besoin pendant un an, je partais du principe que j'en aurais plus jamais besoin. Les DVD, les CD qu'on n'écoutera plus jamais. J'ai trié, donné, jeté, vendu tout ce dont je n'avais plus l'utilité dans mon nouveau chez-moi et dans ma nouvelle vie. Et au fil des allers-retours à la déchetterie, je sentais bien que ces objets étaient les derniers liens qui me reliaient à une autre époque de ma vie. Et que c'était un moyen de symboliquement tourner la page une fois pour toutes. Et si j'ai fini par ressentir un soulagement en me libérant de ces objets superflus, avant d'en arriver à ce sentiment, j'ai aussi ressenti beaucoup de résistance à l'idée de me séparer de certains de ces objets. Et je me suis aperçu que ce qui pouvait m'accrocher à ces objets, c'était soit les croyances limitantes, soit un besoin de sécurité que ces choses m'apportaient, même de façon illusoire. Et donc, quand j'ai compris ça, bien évidemment, j'ai pris le temps de jeter au... au fur et à mesure de ce que j'étais prêt à le faire. Je n'ai pas voulu arracher le sparadrap trop brutalement parce que je me rendais compte que ces objets, ils avaient aussi une certaine... Il m'apportait aussi une certaine sécurité, même si je m'étais bien rendu compte que c'était quelque chose d'illusoire. Mais en tant que thérapeute, ce que j'ai trouvé intéressant, c'est que le minimalisme, à ce moment-là, je me suis aidée du livre de Francine Jèques, dont tu trouveras les références en description de l'épisode, qui s'appelle Le bonheur est dans le peu. Je me suis aidée de ce livre-là pour désencombrer mon intérieur, donc pièce par pièce. Au début, ça paraissait, mais genre, juste énorme. quand j'ai commencé ça et puis au fil du temps à chaque fois que j'avais du mal à me concentrer je recommençais une ronde de désencombrement pourquoi parce que je me suis rendu compte qu'en réalité alléger mon intérieur ça m'avait obligé à mettre la priorité sur les choses qui étaient réellement importantes pour moi réellement importantes pour moi et qui faisaient vraiment du sens et qui me rendaient vraiment heureuse et d'ailleurs un des critères pour moi, pour qu'un objet reste chez moi ou que j'achète un objet, c'est qu'il doit me rendre, en fait il doit me procurer de la joie. Il doit me procurer de la joie, il doit m'être utile. Et alors j'ai un ouvre-boîte qui ne me procure absolument aucune joie, mais qui m'est très utile. Donc on va prendre deux poids, deux mesures, ok ? Donc soit c'était quelque chose d'utile, que je possédais en un exemplaire, soit c'était quelque chose qui avait de la valeur sentimentale pour moi et qui me procurait de la joie. Et j'ai commencé à revoir mon intérieur et mon chez-moi selon ces règles-là. Je me suis rendu compte que ça allégeait ma charge mentale, en fait. Et ça, c'était vraiment un sentiment nouveau pour moi, que je n'avais jamais connu de cette façon. J'avais vraiment l'impression que ma vie était simplifiée, mais par dix ou par cent. Tellement ça m'a fait l'effet d'une bombe dans mon quotidien. Et d'ailleurs... J'ai décidé de faire le test aussi sur les autres choses qui pouvaient m'apporter de la charge mentale, à savoir les relations avec mon entourage. Dans le sens que j'ai aussi fait un tri dans mes relations humaines, j'entends, où j'ai appliqué en fait cette même règle. Est-ce que c'est une relation professionnelle ? Auquel cas, elle a besoin d'être cadrée pour alléger la charge mentale de tout le monde. Est-ce que, pour les relations privées, est-ce que ces relations sont en lien avec, respectent mes valeurs et mes convictions personnelles ? Est-ce que je prends du plaisir à voir l'une ou l'autre personne ? Et là aussi, ça m'a permis de pouvoir poser mes limites et mettre des distances avec les relations qui n'étaient plus OK pour moi. Alors attention, là-dedans aussi, il y a deux poids deux mesures, dans le sens où il y a beaucoup de personnes qui sont des amis proches, ou des personnes de ma famille, que j'aime beaucoup et que j'aimerais voir plus, mais que je ne peux pas voir plus, parce qu'on a des vies différentes, parce qu'il y a de l'éloignement géographique qui fait que, à ce moment-là, c'est l'entretien de la relation importante, même si ce n'est pas autant qu'on le voudrait. Là, je pose vraiment le cadre de faire la différence entre... Les relations qui nous font du bien et de prendre le temps de les entretenir, même si c'est que par un message de temps en temps. Et les relations qui nous sont délétères, celles qui nous ajoutent de la charge mentale, celles qui ne nous tirent pas vers le haut, celles au contraire qui vont être lourdes et qui vont nous tirer par le bas. Parce que parfois c'est comme ça la vie, on n'évolue pas tous dans la même direction et puis on n'a pas au fil du temps, on n'a peut-être pas ou plus les mêmes valeurs. Et c'est pas grave, c'est comme ça, on n'est pas obligé de s'infliger de relations qui ne nous conviennent plus. Et là encore, ça m'a apporté beaucoup de légèreté, que ce soit avec des êtres humains ou avec les objets, les possessions si je peux dire ça comme ça. Le minimalisme, c'est vraiment quelque chose qui m'a permis de me faciliter la vie et de mettre de la clarté. en fait dans ce qui était important pour moi et je me suis je me suis rendu compte que je me suis autorisé de ce fait à aimer les choses que je possédais dans le sens où je vais en posséder moins mais je vais les aimer beaucoup plus même si soyons clairs et honnêtes ensemble je possède toujours beaucoup trop de paires de chaussures par rapport à mes besoins mais j'essaye de me soigner je vous promets et donc là où j'aimerais t'aider à réfléchir c'est De reconsidérer cette tranquillité d'esprit en revisitant ton intérieur et en regardant autour de toi quand tu es chez toi ce matin ou ce soir quand tu rentreras chez toi. C'est juste de regarder autour de toi et de faire un point. Est-ce que tu aimes chaque objet qui est là ? Est-ce qu'il est là soit parce que tu en as besoin, soit parce qu'il a une valeur sentimentale pour toi ? Et quels sont les objets superflus ? Quels sont les objets clairement sans lesquels tu vivrais tout aussi bien ? Du côté relationnel, c'est un peu plus difficile parce qu'effectivement, se débarrasser d'objets, qu'on les jette, qu'on les donne, qu'on les vende, qu'importe, ça reste un objet. Même si certains peuvent avoir de la valeur sentimentale, Ça reste des objets. Là où tu vas peut-être me dire que j'y vais pas de main morte, c'est sur les relations humaines. Mais j'aimerais que tu te poses la question suivante, alors, pour peut-être mieux comprendre où je veux en venir, parce que je te dis pas de rayer les gens de ta vie, c'est pas ça. En revanche, sur les relations qui t'ajoutent de la charge mentale qui sont pas respectueuses vis-à-vis de toi, je te propose de te demander qu'est-ce que tu continues à nourrir. Est-ce qu'il y a toujours une place dans ta vie ? Est-ce qu'il y a toujours une place dans tes croyances pour que tu acceptes de continuer à fonctionner comme ça, de cette façon qui n'est pas à l'équilibre pour toi, qui ne respecte pas tes valeurs, en continuant d'entretenir l'une ou l'autre relation ? Par exemple, j'aimerais te raconter une anecdote. J'en ai pas parlé sur le podcast jusqu'à maintenant, je pense, mais il y a environ un an, c'était le 29 novembre 2023, j'ai bu pour la dernière fois. Alors ça va bientôt faire un an d'ailleurs, que j'ai pas bu d'alcool, mais initialement c'est issu d'une prise de conscience assez spécifique. Alors il y a eu une partie liée aux effets secondaires... lié à l'effet du lendemain de fête avec mes symptômes du TDAH qui n'étaient pas du tout OK pour moi, pour la mise en marche de mon cerveau, mais a surtout eu une autre prise de conscience qui était qu'une des dernières fois que j'avais bu avant de décider complètement d'arrêter de boire, j'étais à une soirée avec des personnes que je côtoie maintenant très occasionnellement puisque, pour la simple et bonne raison qu'il y a très longtemps, on a été collègues et qu'on a eu l'occasion de se retrouver. Et on a partagé un verre, on a bu ensemble. Et je n'ai jamais été spécialement une personne qui boit beaucoup. Et pourtant, là, ce qui s'est passé, en pleine soirée, je me dis, mais qu'est-ce que tu fais là ? Mais en fait, pourquoi tu bois ? Et je me suis rendue compte que je buvais, ou alors je remplissais systématiquement mon verre une fois qu'il était vide, pour m'aider. à supporter le niveau de conversation qui n'était plus du tout en adéquation avec mes valeurs. Ça m'a beaucoup peiné parce qu'à cette soirée, il y avait beaucoup de gens que j'affectionnais. Et en même temps, je me suis rendu compte qu'amicalement, que le lien qui nous liait n'existait plus. Alors, il y a certaines de ces personnes avec lesquelles je suis encore en contact de temps en temps parce qu'on a certaines valeurs communes, on a gardé certaines valeurs communes. Mais avec la majorité d'entre elles, en réalité, je me suis dit, mais arrête de t'infliger ça, quoi. C'est juste, arrête de boire et pars, simplement pars. Donc la prise de conscience, si tu veux, en termes de désencombrement et de minimalisme, elle est même allée jusque-là, d'avoir la prise de conscience que des relations qui ne sont pas ok pour toi ou qui ne matchent pas avec tes valeurs à toi, ça va te conduire à prendre des décisions qui sont mauvaises pour toi. Puisque en soi... boire de l'alcool, c'est ok, dans des quantités raisonnables. Là, je me suis rendu compte que je buvais juste parce que j'en avais rien à faire de ce qui se racontait à cette soirée-là. Ouais, et je me suis rendu compte qu'il me fallait l'alcool comme béquille pour me dire ok, non mais la soirée va passer, la soirée va passer, essaie de rester gentille avec tout le monde jusqu'à la fin parce que naturellement, je ne voulais blesser personne et que... et que je voulais pas que le Grinch à l'intérieur de moi commence à dire que c'était n'importe quoi ce qui se passait à cette soirée. Voilà. Pour illustrer l'exemple, le minimalisme c'est aussi quelque chose, que ce soit par rapport à tes possessions ou par rapport aux relations, c'est aussi quelque chose qui te permet de gagner en tranquillité d'esprit. D'ailleurs, c'est quelque chose que j'ai inclus au module... Mission anxiété zéro, l'antidote, parce que ça apporte tellement de tranquillité d'esprit que je pense que dans un accompagnement c'est important d'inclure ce volet là. Et d'ailleurs si tu te demandes si l'accompagnement de 4 mois Mission Anxiété Zéro L'Antidote est fait pour toi, je te propose qu'on en discute tous les deux et tu peux réserver ton appel découverte via le lien en description de cet épisode de façon tout à fait gratuite et dans tous les cas tu repartiras déjà avec des pistes pour venir à bout de ton anxiété. Je te propose aussi de télécharger le patch Anxiété Zéro où tu trouveras tout le processus. pour venir à bout de tes crises d'angoisse en autonomie. Et là aussi, on peut en discuter tous les deux si tu as besoin de support ou si tu veux me donner ton retour si tu as testé le patch. Nous voilà déjà à la fin de cet épisode. J'espère qu'il t'aura amené à envisager les choses de façon différente et de considérer ton intérieur autrement, ton rapport aux choses et aux gens autrement aussi. et à t'apporter des pistes pour toi aussi gagner en tranquillité d'esprit et alléger ta charge mentale avec le minimalisme et le désencombrement. N'oublie pas de laisser 5 étoiles sur ta plateforme d'écoute préférée afin de faire connaître le podcast à toujours plus de monde qui a besoin de venir à bout de son anxiété. Et si tu as envie de venir discuter avec moi de ton expérience avec le minimalisme et ou le désencombrement dans ton quotidien, N'hésite pas à venir me trouver en DM sur Instagram ou sur LinkedIn, je serai ravie d'échanger avec toi. D'ici le prochain épisode, je te souhaite tout le meilleur et surtout n'oublie pas, quoi que tu traverses, tu n'es pas seul.

Chapters

  • Introduction au minimalisme et à l'anxiété

    00:00

  • Mon expérience de désencombrement personnel

    00:53

  • L'impact du désencombrement sur ma santé mentale

    03:05

  • Réévaluer mes relations et mes valeurs

    06:36

  • Conclusion et ressources pour les auditeurs

    14:50

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