- Speaker #0
Après avoir recueilli les témoignages des membres de l'organisation de l'événement, on s'est dit qu'il serait intéressant d'avoir le retour de quelques-unes des personnes ayant vécu le Moodle Mood de l'autre côté de la Seine. Alors, la Seine, S-C-E-N-E, car on est toujours à Marseille. Les cigales et le Mistral nous accompagnent. Ça s'entendra un peu, on s'en excuse. Dans ce second épisode de Novagogie, Moodle Mood sur Mars. La Seine, S-E-I-N-E. On l'aura l'année prochaine pour le Moodle Mood 2025 à Paris. D'ailleurs, de ça et de plein d'autres choses, on en parle avec Astor, Malvina, Audrey, Tristan et Caroline. Merci à eux et bonne écoute. Qu'est-ce qui se passe ? On est à Marseille, donc il y a du Mistral, donc il y a des feuilles qui volent de tous les sens. Il n'y a plus que des cartons ici. Il y a des cartons, il y a tout, tout est en train de voler. On est en train de profiter des derniers moments. Et je suis en train de manger avec des personnes qui viennent de tous horizons. Donc, on a enfin la réponse que tout le monde attendait pour savoir où aura lieu le prochain Moodle Moodle. Et tout le monde est ravi. Quelle est la première réaction des gens autour de moi en apprenant que Moodle Moodle 2025 aura lieu dans la capitale de la France nommée Paris ?
- Speaker #1
Je pense qu'on pourrait demander d'abord à l'animateur qu'est-ce qu'il en pense de Paris. Pour les Nantais comme moi, c'est un avantage parce qu'on peut voyager, voir un petit peu la ville de Paris. Je repasse le micro.
- Speaker #0
Moi, je suis animateur. C'est moi qui pose les questions. Je n'ai pas pouvoir répondre. Moi, un des aspects que j'aime bien au Moodle Moodle, c'est de pouvoir voyager, découvrir de nouveaux horizons. Et la Sorbonne, ce n'est pas un nouvel horizon quand on habite à Paris. En plus, j'ai eu la chance d'intervenir à la Sorbonne. Donc... C'est un truc que je vois. Salut, salut ! On a des départs de personnes qui vont découvrir la ville de Marseille. Donc, je reprends. On sait que le Moodle Mood, l'année prochaine, aura lieu à Paris. Est-ce que pour vous, c'est une décision politique pour ne pas aller à l'encontre des Marseillais uniquement et profiter un peu plus des supporters parisiens qui sont, on va dire, de... de plus en plus nombreux dans le monde, ou de moins en moins nombreux. Est-ce que pour vous, le départ de Mbappé a entraîné le Moodle Mood à Paris ? Moi, je pose des questions. Je mets les pieds sur le Moodle Mood. Non, plus sérieusement, sur le Moodle Mood. Déjà, on va d'abord faire le bilan avant de penser à l'avenir. Qu'est-ce que vous avez pensé de ce Moodle Mood ? Est-ce que c'était la première fois que vous venez au Moodle Mood ? Et je veux bien un prénom. pour que nos auditoristes puissent identifier les personnes à qui ils parlent.
- Speaker #2
Je vais commencer du coup, moi c'est Astor, je viens de l'université de Grenoble, je suis développeur de plugin Moodle. C'est mon deuxième Moodle Mood en présentiel, troisième du coup si je compte celui de Tours en 2021 qui était à distance. J'étais à SuiteCamp il y a deux ans, et c'est vrai que venir une fois toutes les deux ans pour moi c'est un bon rythme, je suis vraiment content d'avoir découvert cette communauté. Et au final, je me rends compte que ce que ça m'apporte surtout, c'est les rencontres avec les gens, parce que juste à rester cantonné dans mon université, dans mon UFR, avec les enseignants avec qui je discute tous les jours, il y a un large spectre, mais qui n'est largement pas suffisant, alors que venir ici, discuter avec des enseignants d'autres domaines, des ingés pédagogiques, je me rends compte de pas mal de besoins, de pas mal de volonté, tout ça, je suis très content de venir pour ça.
- Speaker #0
Alors, oui, pardon. Toi, tu développes des plugins. Et est-ce qu'il y a des choses que tu as découvertes ? Enfin, je dis que tu développes des plugins, mais je ne sais même pas, en fait. Parce que tu m'as dit que tu étais développeur. Et moi, je me suis dit, bon, il développe des plugins. Est-ce qu'il y a des choses que tu as découvertes pendant ces 3-4 jours que tu aimerais mettre en place dans ton établissement ?
- Speaker #2
Alors, moi, directement, pas forcément. Parce que, je ne sais pas, moi, je suis... Pour le coup, uniquement développeurs de plugins, c'est-à-dire il y a des gens qui ont des idées, c'est pas moi qui suis innovant dans les idées, les gens ont des idées et moi je les réalise. Par contre, j'ai quand même découvert un paquet de choses qui, je sais, vont intéresser des enseignants de ma plateforme, des administrateurs de ma plateforme, donc je prends des notes, je leur transmets ça, et je sais qu'il y en a déjà des trucs que j'aurais transmis en direct qui les intéressent beaucoup. Et voilà, donc pour moi c'est... En termes de conférences, j'ai découvert deux, trois choses qui sont plus, à vrai dire, du détail. Mais en termes de relations, de discussions, c'est vraiment là que j'ai découvert des choses.
- Speaker #0
Et les autres, est-ce qu'il y a des choses ?
- Speaker #3
Je vais prendre la suite. Moi, je suis Malvina. Je suis ingénieure pédagogique indépendante. J'ai travaillé longtemps dans l'enseignement supérieur avant d'être à mon compte. Et je viens au Moodle Moodle pour deux raisons. A la fois, récupérer de l'information sur ce qui se fait dans les établissements, mais aussi pour... toute la communauté parce que c'est aussi important. Je ne me verrais pas suivre un Moodle Moodle à distance alors que par contre, venir rencontrer les gens, en plus à chaque fois je retrouve des gens que je connais dans les autres établissements et c'est pour moi tout aussi important. Sur cette édition, j'ai peut-être moins trouvé de retour d'expérience que d'habitude en termes d'outils ou de plugins présentés. J'ai quand même découvert des choses, notamment le plugin présenté par Astor que je ne connaissais pas, donc c'était une bonne occasion.
- Speaker #0
C'est quoi le plugin ?
- Speaker #3
C'est le plugin Point de vue. Voilà. Et du coup, ça m'a permis de le découvrir. Et après, l'idée pour moi, c'est vraiment de pouvoir en parler avec les enseignants que je rencontre, avec d'autres personnes.
- Speaker #0
Est-ce qu'il y a d'autres personnes qui veulent discuter ? Ah, parfait. Le micro est en train d'être partagé.
- Speaker #4
Moi c'est Audrey, je suis à l'université de Versailles qui est en regroupement aussi avec Paris-Saclay. Et ça doit être mon 8e Moodle Moodle.
- Speaker #0
Wow !
- Speaker #4
Ah mais il y a pire que moi, il y a des gens que ça doit être leur 12e ou un truc comme ça. Donc oui oui, je crois que ça existe depuis 2009 il me semble donc ouais.
- Speaker #0
Ok.
- Speaker #4
Voilà. Et alors comme Malvina, je viens pour échanger, voir ce qui se passe un petit peu partout. Et puis retrouver la communauté. Non, mais il y a des gens qu'on retrouve chaque année, ça fait plaisir de les revoir. Et puis voir, en fait, parfois on a souvent bougé, évolué, ou on est ailleurs. Bon, les enseignants pédagogiques, assez souvent, on bouge beaucoup. Donc, ouais, tiens, tu es où ? Tu es toujours là ? Non, j'ai changé, machin. Voilà, Malvina, je la vois comme Oudelmout, en fait. Par exemple, Nathanaël aussi, ça est toujours Oudelmout. Mais bon.
- Speaker #0
C'est quelque chose avec lequel j'ai discuté avec Nicolas Martignoni, qui est un des co-tapoteurs de l'association Dolmoud & Frères. Il m'a parlé de l'importance d'avoir une communauté, parce que là, les trois premières personnes qui ont parlé, c'est pour me dire que la communauté était importante. Et l'une des choses qu'il a mis en place et qu'il essaie d'imposer, c'est qu'on ne soit pas plus de 500. parce qu'au delà on risquerait de ne pas faire communauté parce qu'on risquerait de ne pas rencontrer les gens et de ne pas avoir la possibilité d'avoir des interactions qui soient on va dire pertinentes parce qu'il faut croiser les gens et les recroiser pour pouvoir avoir des interactions pas une
- Speaker #4
fois voir une personne que tu reverras pas jamais oui oui et non je pense qu'il ya plus des aspects logistiques parce que à Caen je crois qu'on devait être 800 En Belgique aussi, à Sierre, alors là, je ne sais même pas combien on était, mais voilà, oui, les Moodle Mood nous fait voyager, nous fait rêver. Moi, je n'ai pas fait l'édition à Djerba, mais franchement, s'ils veulent la refaire, c'est quand ils veulent. Mais oui, non, je pense que c'est plus des raisons logistiques, mais c'est vrai qu'on se croise, et même si on se croise juste vite fait, au fur et à mesure, on se voit une fois, deux fois, trois fois au Moodle Mood, on va... plus facilement vers les autres pour échanger. Et puis on se dit, tiens, j'ai l'habitude de le voir, tiens, je vais aller échanger et c'est beau. Et même le train du Moodle Moodle, moi j'appelle ça les trains du Moodle Moodle. On arrive quasiment tous au même moment, on est quasiment tous dans les mêmes hôtels. Et voilà, c'est l'hôtel du Moodle Moodle, le train du Moodle Moodle, ça change. Et puis les soirées de gala, c'est bien parce que c'est le moment où on échange, on se lâche, on se voit. Autrement, en plus déjà le Moodle Mood on se voit autrement quand dans l'aspect je suis en train de bosser, je suis sous le feu. C'est le moment qu'on attend tous quoi, la fin de l'année c'est franchement c'est la respiration de l'année quoi. Tu peux avoir passé l'année pourrie que tu veux, parce que des fois on passe des années super pourries, mais quand t'arrives au Moodle Mood, tu relativises parce que tu te rends compte que tout le monde a passé une année pourrie comme toi-même. Voilà, ciao !
- Speaker #3
Je reviens justement sur ce que tu disais, c'est que tant que moi je travaillais dans une école d'ingénieurs, c'était vraiment ça. Ce que je vivais, c'était ma respiration parce que du coup, je retrouvais d'autres personnes qui faisaient le même métier que moi, avec les mêmes problématiques. Et en fait, des fois, on prend conscience parce que des fois, on n'est pas dans des grosses équipes. Moi, j'étais toute seule dans mon équipe. Donc du coup, des fois, on ne se rend pas compte finalement de ce qui se passe ailleurs. Et là, le Moodle Moodle, c'est trouver des personnes qui ont les mêmes problématiques, se rendre compte que finalement... Ah bah c'est pas si grave que ça en fait ce qu'on rencontre et que c'est normal à la limite. Et pouvoir échanger, trouver des solutions, moi à chaque fois ça m'a fait réfléchir à plein de choses. A chaque fois j'avais un carnet, quand je rentre j'ai plein plein de notes et je me dis il faut que je teste ça, j'ai jamais le temps de tout faire. Mais justement c'est bien pour ça en fait le Moodle Mood.
- Speaker #2
Je voudrais rebondir un peu sur ce qui a été dit, notamment tu parlais de ce qu'avait dit Nicolas sur le fait de limiter à 500 personnes, ne pas perdre la convivialité, je crois que c'est le mot qu'il a utilisé. Je pense que c'est un phénomène assez courant dans une communauté qui démarre en plus petit nombre et très soudée, et qui se développe au fil du temps. Parce que quand on fait partie d'une petite communauté... très soudé, ça marche cette soudure, parce que la communauté est petite, parce que tout le monde connaît tout le monde, quand on commence à s'étendre, à gagner des gens dans cette communauté, effectivement cet aspect de proximité qu'on a avec tout le monde, il va se perdre et il peut faire peur. Et je pense que c'est un petit peu ce que certains ont pu ressentir avec le Covid, le gain d'intérêt pour Moodle globalement qu'il y a eu, et du coup pour les Moodle Moods. C'est pour ça qu'ils ont été largement surpris à Caen par le nombre de personnes qu'il y a eu d'un seul coup. D'un point de vue logistique, ils n'étaient pas prêts à ça. Et je pense qu'effectivement, pour les gens qui étaient là dès le début des Moodle Mood, dans une communauté plus restreinte, ils ont vu arriver ce flux-là comme ça, et ils se sont dit est-ce qu'on n'est pas en train de perdre notre identité ? Enfin, notre identité de groupe soudé comme ça. Et en fait, je pense juste que c'est un genre de communauté qui évolue, qui évolue beaucoup. Il y a plein de gens qui arrivent, il y a énormément de jeunes qui arrivent, qui au début des premiers Moodle Mood, de toute façon, n'avaient pas l'âge d'être dans le monde professionnel et d'y participer. Et je trouve ça vraiment super que, au contraire, cette communauté s'étende. Et je remarque que même à 500 personnes, là, comme ça, c'est quand même énorme, 500 personnes à un seul endroit, quand on a discuté avec quelqu'un, s'il y a une pause café, on veut le retrouver. en cinq minutes on l'a retrouvé, ça reste super facile. Le côté oui c'est important de les croiser, de les recroiser en fait même si on est très très nombreux ça marche tout seul.
- Speaker #0
On dit au revoir, c'est comme une émission de télé-réalité où il y a des personnes qui s'en vont de chaque semaine et chaque jour. Est-ce qu'il y a un dernier Momo ? À l'année prochaine un dernier mot, un truc ? À l'année prochaine à Paris ! On sera 7 dans un 35 m², ça va être incroyable. Ça me rappellera mon enfance. L'année prochaine. Et vous, Caroline, est-ce que vous avez appris des choses ? C'est quoi ?
- Speaker #5
Je suis Caroline Vipacon Lamache je suis chargée de communauté et de communication chez Nolèges, on a fait partie des partenaires gold cette année pour le Moodle Mood Marseille, c'est la première fois qu'on venait et du coup moi aussi c'est la première fois que je viens et du coup que je découvre cette communauté qui nous a invitées, qui nous a accueillies parmi elles donc c'est gentil, merci beaucoup et en fait on en parlait tout à l'heure avec Nejma, la co-fondatrice de Nolèges enfin C'est vraiment une communauté très bienveillante et on ne savait pas du tout à quoi s'attendre finalement. Il n'y avait que des gens très passionnés, très pointus, très calés. On n'avait que des questions très pointues à notre stand et c'était assez intéressant. Le côté communauté, je pense que ça me fait penser à... En fait, quand on a débriefé un petit peu le Moodle Moodle, pour moi, ça m'a fait penser à une sorte de grande colonie de vacances pour ingénieurs pédagogiques. Et avec, il y a des ateliers, des cours, des conférences, mais aussi à manger, donc là, on a des box et tout. Et donc, il y a vraiment une ambiance... Voilà, c'est une manière informelle de rencontrer plein de gens, plein d'acteurs et d'actrices de l'ingénierie pédagogique qu'on va rencontrer à d'autres occasions avec nos lèges. mais beaucoup plus formelle ou de manière un peu plus commerciale, on va dire. Là, c'est plus détendu, en plus avec le soleil de Marseille, donc c'est agréable. Et pour le coup, nous, on a eu la chance d'avoir Julien Maurice et Marine Carayon qui ont fait une conférence sur Moodle et Nolèges. Et on a appris, nous aussi, des choses. Donc vraiment, on avait l'impression qu'il y avait des enseignants qui en savaient plus sur Nolèges que nous. Donc ça, c'était bien. Et aussi, sur le même sujet, on a eu... Patricia Rouvier qui est formatrice de Sumatra Formation Conseil et Aurélie Heuveline de l'Académie de Versailles qui ont aussi parlé de leur retour d'expérience de knowledge et en fait c'était trop bien parce que du coup c'était leur point de vue nous on leur a rien dit, enfin vraiment ils ont pu dire les points positifs, les points négatifs et partager, justement on parlait de partage, de retour d'expérience, donc ils ont pu partager avec les autres ingénieurs pédagogiques ou les autres participants donc en tout cas voilà, c'était mon point mon retour
- Speaker #1
voilà moi c'est Tristan ingénieur pédagogique à Centrale Nantes d'ailleurs dans un premier temps je voudrais qu'on remercie encore Marseille pour l'accueil parce que l'organisation n'était pas évidente ça a été compliqué après ça s'est très bien passé je trouve que au Moodle Moodle c'est vrai qu'on ne va pas parler d'apprendre des choses mais on découvre les pratiques des autres compétences université, école, et on remarque qu'on a beaucoup de similitudes avec les uns comme les autres et que ça nous donne de l'inspiration. Ça c'est vrai, on apprend beaucoup de choses et encore une fois c'est vrai que rien qu'en écoutant les conférences ou en parlant avec les gens de la communauté, ou pareil ceux qui sont les prestataires extérieurs, enfin les membres Gode, Silver, Bronze ou autres. ça nous permet d'avoir de l'inspiration et de nous donner des idées pour ce qu'on veut faire pour nos modules par exemple. Et je trouve que, encore une fois, c'est une communauté bienveillante et on apprend... Enfin, on n'apprend pas, encore une fois, mais on découvre beaucoup. Je ne peux pas dire apprendre.
- Speaker #0
Je pense que c'est quand même un apprentissage. Si on ressort avec des bagages...
- Speaker #1
Oui, dans ce point de vue, c'est vrai qu'on apprend quelque chose. Je vais quand même retirer ce que je dis, mais on apprend, c'est vrai. Non, je trouve que c'est vraiment un travail de dingue de voir tout ce qui est fait. On voit toutes ces pratiques-là et c'est que de l'enrichissement et c'est que du positif. Et je pense que chaque année, comme je ne sais plus qui le disait, j'ai oublié son nom. J'ai vraiment une excuse en avance. C'était Audrey qui était de ça. Ouais, c'était Audrey. Mais du coup, le côté que c'est vraiment... Chaque année, on l'attend le mou de le mou avec impatience. Et voilà, c'est bien de voir la communauté, d'être entre nous. Et justement, on arrive quand même à... à parler du travail tout en s'amusant et d'un côté pas non plus officiel mais ce côté entre une poisse de café comme tu disais c'est que du bénef et c'est super je peux comprendre la frustration des personnes qui
- Speaker #0
n'ont pas pu venir en physique au Moodle Moodle parce qu'ils ont pu participer aux conférences en ligne à certains cours mais en fait c'est pas pareil d'avoir des discussions qui sont très difficiles Parce qu'en fait, on ne sait pas où est-ce qu'elles vont mener les discussions. On commence à discuter sur des sujets, on se demande Ah, toi, tu es dans quel établissement ? Sur quoi tu travailles ? et tout. Et après, ça, ça se fait pendant les repas, ça se fait pendant les pauses, mais ça ne se fait pas derrière un écran, malheureusement.
- Speaker #2
Et je voulais juste, effectivement, appuyer ce qu'avait dit Tristan sur les termes que tu as employés, découvrir les pratiques d'autres universités, d'autres plateformes. Quand tu me demandais si j'avais appris des choses, Effectivement, les conférences, ce n'est pas forcément appris des choses comme on peut l'apprendre dans certaines conférences, mais le côté découvrir des pratiques qui nous inspirent, qui disent Ah oui, c'est vrai, on pourrait faire ça. Nous, on était plutôt partis sur cette approche, mais c'est vrai qu'il y a celle-là qui existe aussi, ça devient super intéressant, on a envie d'aller discuter avec eux. Donc c'est là aussi que l'approche en physique change tout, parce que tu es à distance, tu entends ça, tu as cette idée, mais aller discuter avec la personne autour du prochain café, ça marche vachement moins bien. C'est pareil, je dirais que les questions, les remarques qu'on peut apporter à la suite d'une présentation, moi ça m'arrive juste, je vois une présentation qui parle de quelque chose, je dis ah bah ça me fait penser, nous on a fait plutôt quelque chose comme ça, et il y a d'autres gens dans l'assistance après qui viennent me parler pour me demander ouais vous avez fait comment et tout, et après il y a une autre discussion qui s'enchaîne avec encore d'autres personnes qui seraient jamais venus me parler sans ça, qui je serais pas allé parler spécialement sans ça, enfin je serais peut-être croisé par hasard, mais ça aurait pas amené la même chose, donc effectivement le côté... Vraiment, être là en même temps, ça change tout.
- Speaker #5
C'est vrai que suite au pitch de Nejma sur Nolège par exemple, tout de suite après on a eu plein de gens qui sont venus sur notre stand qui est un peu à l'étroit. On n'avait personne qui venait au début le premier jour. Mais du coup juste après qu'il y a eu la conférence de Julien Maurice et de Marine Carayon et qu'il y a eu la présentation, le pitch de Nejma, en fait les gens sont venus et ils se sont rendus compte à quel point on était accessible et qu'on était là et qu'il n'y avait pas de soucis. Et avec des questions très pointues. Et en fait, on pouvait y répondre assez facilement. Et ça permet justement de donner des... Même on a une personne, un directeur technique de LMS Factory, qui nous a dit Ah oui, on a un bug qui a été remonté par un client. C'est bien l'occasion d'en parler, quoi.
- Speaker #0
Ah bah...
- Speaker #5
Ah bah voilà.
- Speaker #3
C'est l'équipe d'accueil de l'année prochaine aussi qui s'en va. Non, moi je voulais rebondir sur ce que disait Astor. En plus, il y a peu d'événements qui regroupent et des enseignants et des ingénieurs pédagogiques de manière générale en France. Donc là, on est regroupé à la base autour d'un outil, mais on voit bien que les discussions vont au-delà de l'outil, elles vont plutôt sur les usages et sur la pédagogie. Et du coup, comme il y a peu d'endroits où on peut finalement se rencontrer et en parler, Je pense que c'est aussi pour ça que tout le monde l'attend ce moment-là.
- Speaker #1
Oui, encore une fois, sur le côté, il faut vivre le Moodle Mood. C'est surtout, pour être honnête, quand on arrive tout seul parfois au Moodle Mood, qu'on n'a pas un réseau assez établi. Moi, c'est vraiment ma deuxième fois que je viens. C'est vrai que la dernière fois que j'étais venu, j'étais venu avec une équipe de cinq personnes. Là, je suis venu seul. Et c'est vrai que c'est parfois assez dur de casser la distance ou même de rendre visite à des stands. Mais ça donne tout de même des pistes de réflexion, encore une fois, à prendre des noms, mais aussi des outils. Dans nos léges, on va le retenir aussi. Mais ce que je veux dire, oui, encore une fois, c'est qu'il faut vivre le Moodle Mood, parce qu'il y a peu d'événements en France qui nous regroupent autour de ça, et où on peut vraiment échanger sur nos pratiques, donner des pistes de réflexion. Et puis, je trouve ça génial comme événement, et c'est vraiment un événement qu'on attend tous chaque année.
- Speaker #2
Et en plus, c'est une communauté qui a une dynamique. que je trouve vraiment incroyable et très très sympathique. Du coup, le premier que j'ai fait en présentiel à Caen il y a deux ans, donc pareil, j'étais venu tout seul, comme cette année, je m'étais pointé au pot d'accueil, sachant pas du tout à quoi ça allait ressembler. D'ailleurs, c'était mon premier colloque, enfin, le premier vrai déplacement professionnel au milieu de tas de gens que je connaissais pas. J'arrive au pot d'accueil et je vois du coup plein de gens à tabler, des cercles de discussion. Et moi, j'avoue, socialement, j'ai pas... tendance à juste aller me pointer au milieu d'un cercle de discussion en disant Bonjour, je m'appelle Astor, etc. Donc, très timide au premier abord. J'ai dû peut-être rester dix minutes, un quart d'heure à ce pot d'accueil, j'ai parlé à personne, j'osais pas. Et c'est après, dans les jours suivants, à force d'être assis à côté de quelqu'un, de juste les conversations qui plus ou moins me tombaient dessus, je me suis rendu compte de ce qu'était cette communauté, d'à quel point elle était ouverte. Ce qui fait que là, cette année, pareil, donc j'arrive tout seul, j'arrive au pot d'accueil, et j'ai commencé à faire ce que je n'osais pas faire il y a deux ans, c'est-à-dire pouvoir en faire de la discussion, aller me poser au milieu, me présenter, commencer à discuter. Et à chaque fois, au Moodle Mood, on tombe sur des gens qui sont ouverts à cette discussion, qui sont là aussi pour faire ces rencontres, qui nous accueillent à bras ouverts, et c'est vraiment ça qui fait plaisir.
- Speaker #0
Franchement, c'est ultra intéressant ce que vous me dites, et moi je suis très content de... d'appartenir à cette communauté de Moodleurs et de Moodleuses. Et c'est un truc sur la communauté qui était très important pour Martin Dugiamas, qui est le fondateur, enfin créateur de Moodle, d'avoir cet aspect qui est à la fois technique, mais aussi philosophique de moi je crée une plateforme, elle n'est pas terminée, elle n'est pas finalisée, elle répond aux besoins que moi j'ai, mais j'aimerais bien que… toute la communauté, qui n'existait pas encore, mais que toutes les personnes qui le souhaitent puissent récupérer cet outil et en faire ce que bon leur semble. Et ça, je trouve que c'est important et qu'il a réussi à le faire et que ça continue à perdurer. C'est fort, moi, je trouve.
- Speaker #2
En tant que développeur, en plus, c'est un truc que je ressens beaucoup parce que Moodle, donc le code est open source et tous les plugins que je fais sont open source j'ai mes tanks possibles à disposition des gens donc j'ai commencé à faire ça c'est la première fois que je fais de l'open source, c'est mon premier boulot et ça m'a vraiment frappé à de nombreuses reprises à quel point déjà j'avais des retours sur les plugins que je mettais à disposition de gens qui disaient c'est génial je l'utilise à fond mais également de gens qui se l'appropriaient qui en faisait des choses auxquelles j'avais pas pensé, qui faisait des modifications du code, qui me les proposait. C'est-à-dire que moi, en tant que développeur qui suis censé maintenir ces plugins, les améliorer, il y avait d'autres gens qui... comme ça gratuitement venez les améliorer de la même manière. La communauté, elle est sur tous les plans, à la fois d'un point de vue pédagogique, mais aussi d'un point de vue technique.
- Speaker #0
On a fait le bilan de Moodle Mood 2024 à Marseille. Est-ce que vous avez d'autres choses dont vous vouliez parler ? Parler, je ne sais pas, de la ville qui a été visitée, parce que ça fait partie aussi de la découverte des Moodle Mood, des spécialités, des... Est-ce qu'on entend les cigales au micro ?
- Speaker #2
On entend effectivement les cigales. Au moment où tu parles des emblèmes de Marseille.
- Speaker #0
Ils sont forts en communication.
- Speaker #2
L'initiative a bien fait son boulot avec les cigales qui sont placées là.
- Speaker #0
À la mairie, je crois qu'il y a une partie cigale qui a été... Dès qu'il y a quelqu'un qui en parle, il faut Active les cigales !
- Speaker #2
Mais ouais globalement sur Marseille du coup d'un point de vue plus touristique moi j'ai pas eu la chance de participer aux visites organisées par le Moodle Mood c'était tout de suite plein, j'ai raté le coche mais voilà on se bat à dents, on est montés à Notre-Dame-de-la-Garde donc c'est effectivement très joli et je voulais aussi dire un mot sur l'endroit où ils ont organisé la soirée de gala le Fort Gantôme hier soir là c'est quand même un lieu assez fantastique Un fort militaire, on arrive sur le toit, il y a une salle de réception, il y a vue sur le port, vue sur la mer. Ouais, ils ont vraiment bien joué ça.
- Speaker #0
Donc c'est-à-dire que Paris, il faudra qu'ils nous fassent un truc dans un fort militaire, vue sur la mer. Ça va être très compliqué parce que même du haut de la tour Eiffel, on ne voit pas la mer.
- Speaker #3
Effectivement, je pense que pour l'édition de Paris, en plus c'est quand même la 20e édition. Moi je pense que j'ai fait une dizaine de Moodlemouth. Donc vraiment j'ai une grosse grosse attente sur la 20e édition. D'habitude je viens tous les deux ans, mais là exception si c'est la 20e, je vais revenir quand même l'année prochaine. Mais oui, je pense que quand même on aura une édition exceptionnelle à Paris.
- Speaker #0
Faudrait contacter, je ne sais pas qui est responsable de la tour Eiffel, il faudra contacter les personnes responsables pour qu'on ait... Une soirée au premier étage, ça serait bien.
- Speaker #1
Revenir sur Marseille, pour être honnête, en arrivant, je n'y attendais pas beaucoup. Je suis de Nouvelle-Calédonie, donc les beaux paysages, tout ça, je connais. Je me dis, vas-y, c'est Marseille. Tout ce que je connais de Marseille, c'est le blanc et le bleu, l'OM, du Joule à la fin de la caisse. Beaucoup de clichés, mais j'ai participé aux visites qui étaient proposées au Moodle Moodle. Et impressionné par le savoir de la ville, tout ce qu'on a visité, l'histoire derrière. Et tout simplement, c'était magnifique. Je ne suis pas du tout déçu, je suis impressionné même.
- Speaker #0
Alors, Caroline, demandez, on a eu quoi pendant la visite ? Bonne question.
- Speaker #1
Alors moi je veux dire, parce que j'ai fait la même visite, on a visité le Pannier c'est ça ? Ouais c'est ça. Qui est le quartier qui est inspiré à Plus belle la vie, une série incroyable, le bar. On a pu voir plein de choses historiques sur la ville de Marseille, notamment qu'une grande partie, alors c'était une partie un peu triste quand même de Marseille qui a été détruite pendant la seconde guerre mondiale. par les nazis qui ont peut-être détruit... Alors, il y a eu, si je me souviens bien, 6 000 personnes déplacées de force. Et il y a eu des grosses parties de déportés. C'est beaucoup moins drôle que le début de l'épisode, mais c'est quelque chose qui montre qu'on est aussi dans des contextes. Les villes, elles ne sont pas uniquement des espaces où on privatise un lieu pour le Moodle Mood, mais il y a aussi un contexte, une histoire dans chaque ville où on est. Et j'espère qu'à Paris, on aura la possibilité d'avoir aussi des visites ou des choses qui soient faites.
- Speaker #0
C'est que Marseille, ça m'a laissé sans voix. Comme tu disais, pour la 20e édition à Paris, il faut quelque chose. Là, il y a une grosse pression côté parisienne, mais Paris, il faut quelque chose.
- Speaker #2
En même temps, les organisateurs de l'édition de Paris, normalement, auront la possibilité de faire quelque chose de vraiment bien.
- Speaker #1
Il y a la place pour accueillir tout le monde de manière... Parce qu'en fait, l'un des trucs aussi que je trouve important dans le Moodle Mood, c'est qu'on est tous placés dans les mêmes quartiers des villes et qu'on se retrouve, en plus de se retrouver au moment... la journée du Moodle Moodle, on a la possibilité de se recroiser au bar, au resto, machin et qu'on puisse reparler d'innovation, de pédagogie dans les différents espaces. Et à Paris j'espère, normalement c'est fait en sorte que on soit tous au même endroit et qu'on puisse pouvoir le faire aussi en dehors des heures de... Ouais peut-être. Tu voulais dire quelque chose ?
- Speaker #3
Je ne sais plus ce que je voulais dire. Oui, c'est aussi... À Paris, on s'attend à quelque chose, parce qu'ils ont quand même les budgets ministériels, cette fois. Il y a le ministère de l'Éducation nationale qui s'en mêle, donc on peut s'attendre à quelque chose. Comme tu disais, c'est le fait de pouvoir se retrouver, même en dehors des heures de la conf, si on en a envie. Moi, cette année, je n'ai pas fait un repas tout seul. J'ai sans arrêt avec... Bon, toujours avec les mêmes personnes, mais quand même avec des gens de la conf.
- Speaker #1
Mais ça, c'est vrai. Moi, je trouve que c'est très bien. Alors, il y avait un truc que je recherchais tout à l'heure, quand tu m'as parlé de plugins et que j'ai retrouvé, c'était Catashres, c'est capacité à détourner un objet de son usage habituel. Est-ce que tu as observé des Catashres avec des plugins que tu as développés ? Des personnes qui ne l'utilisent pas de la manière dont toi, tu l'avais imaginé au départ, mais qui est quand même une utilisation fonctionnelle.
- Speaker #3
que j'ai développé directement oui et non. C'est plus dans ma communauté, enfin du coup dans la communauté d'enseignants du Moodle sur lequel je bosse, notamment donc à l'université de Grenoble, mais on accueille aussi des universités de partout en France, donc en fait c'est des enseignants d'un peu partout, qui sont des enseignants en informatique. On a un outil qui permet de faire de l'évaluation automatique de codes informatiques. C'est-à-dire vraiment l'étudiant produit du code informatique pour un TP et peut évaluer automatiquement ce code avec des tests fournis par l'enseignant. Et en fait, c'est un outil qui a été développé par Juan Carlos Rodriguez del Pino, qui est professeur à l'université de Las Palmas au Canary, que nous on utilise, qu'on a repris, qu'on continue le développement autour de cet outil. Donc voilà, ce n'est pas un plugin proprement à moi, mais sur lequel je fais des choses. et on s'est rendu compte à quel point les enseignants notamment en informatique et du coup qui étaient aptes à bidouiller des choses dès qu'ils avaient des idées un peu farfelues arrivaient à produire des mécanismes pour évaluer les codes étudiants de manière d'une créativité assez impressionnante au point que donc là il y a quelques temps on avait reçu ce monsieur qui avait créé le plugin pour un événement à l'université de Grenoble et lui a pu voir toutes les personnes qui avaient détourné l'usage de son outil qui à la base était faisait un truc assez basique mais il avait quand même laissé la porte ouverte à ce que quelqu'un en fasse autre chose Il a été un petit peu effrayé au début de voir ce que les enseignants en faisaient, mais assez vite fasciné et a trouvé ça génial en fait. Justement qu'une communauté puisse s'approprier un outil et le faire évoluer, même pas forcément dans ses fondements, mais ne serait-ce que dans son usage. Et même si ce n'était pas quelque chose qu'il avait prévu, ça a été assez évident pour lui, comme ça l'avait été pour nous, et la raison pour laquelle on s'est mis à faire ça, c'est que c'était... C'était au final essentiellement une richesse de pouvoir faire ça et que ça se produise.
- Speaker #1
Ok, merci. Moi, je n'ai plus de questions dans ma tête. Si vous avez des dernières choses à dire, des petites dédicaces, des petits souhaits, des petites... Ah non, on va faire ça. Vous allez me chercher un mot et ce mot sera le mot que vous allez mettre sur votre LinkedIn quand on vous demandera en un mot qu'est-ce que c'était le Moodle Mood à Marseille 2024.
- Speaker #3
Juste pendant que les joueurs réfléchissent à leurs mots, je voulais juste rajouter un dernier mot que j'avais pas eu l'occasion de dire tout à l'heure. Ne serait-ce que le fait que là on participe ensemble à cette discussion, micro en main, de manière tout à fait spontanée, c'est vraiment un signe, c'est symptomatique de ce que je disais, le fait que c'est une communauté ouverte. Et impromptu, je me suis assis à cette table là comme ça. À la base juste pour manger un morceau et changer de mot et je me retrouve à passer une heure avec un micro dans la main à raconter ma vie. C'est ça que je trouve génial. Voilà avec des gens que je ne connaissais pas il y a deux heures.
- Speaker #0
Je pense que pour résumer le Moodle Mood pour moi je vais utiliser le mot bienveillance pour le coup.
- Speaker #2
Moi je mettrais justement le mot rencontre. Parce qu'effectivement, ce que dit Astor, c'est tout à fait vrai. On s'est retrouvés en fait, enfin moi je me suis retrouvée à manger là, à cette table, parce qu'il y avait Audrey en fait, et qu'on a resté ensemble beaucoup de temps. Mais du coup, je trouve ça assez incroyable finalement qu'on se retrouve à discuter comme ça, même avec Caroline, que voilà, moi je n'ai pas... pas forcément passé sur le stand de Nolège, j'ai pas vu les conférences de Nolège, mais je trouve ça juste incroyable de finalement se retrouver à discuter comme si de rien n'était, voilà. Donc non, je pense que le terme de rencontre il est vraiment très important dans cette communauté.
- Speaker #1
Est-ce que vous avez des mots ?
- Speaker #2
Je vais finir par le mot surprise, du coup. Vu que c'était notre premier Moodle Mood pour Nolège et mon premier Moodle Mood, donc surprise, bonne surprise.
- Speaker #3
Moi j'hésite beaucoup depuis tout à l'heure sur quel mot choisir.
- Speaker #1
Moi je voulais dire rencontre, mais bon ça a été pris.
- Speaker #3
Ouais, je voulais dire communauté, mais ça fait un petit peu redite, même si j'insiste sur le côté communauté. Je pense que je vais opter sur le côté magie, sur le mot magie, parce qu'au final, quand on y réfléchit, c'est comme disait Malvina, c'est une conférence qui allie des corps de métier qui ont quelque chose en commun, mais... où on n'arrive pas forcément à se parler, à se rejoindre à d'autres occasions. Et quand je vois l'alchimie qui se met en place et à quel point les discussions arrivent à être riches, et ce, peu importe avec qui on parle, il y a quelque chose de magique.
- Speaker #1
Bah, c'est tout. Merci beaucoup. Toi,
- Speaker #3
ton mot.
- Speaker #1
Elle ne doit pas y couper. Est-ce que vous avez rencontré machin ? Moi, je dirais... Alors à chaque fois il y a des choses que je trouve essentielles, c'est que je reparte avec des bagages. Alors je ne sais pas si bagage c'est le bon terme, parce que j'ai les bagages, ma valise, tout ça, j'ai mon bagage des déplacements. Mais j'ai aussi des bagages qui sont à la fois des rencontres, des personnes qui j'espère vont refaire partie de ma vie à d'autres moments, pour d'autres conférences. pour d'autres travaux et aussi des bagages sur le plan technique. Moi, j'ai appris des choses en atelier ou en discussion que je n'arrivais pas à trouver en allant uniquement sur les forums. Et je me dis, ça, c'est un truc que je pourrais ramener chez moi et que je pourrais l'utiliser.
- Speaker #3
Si tes bagages sont quelque chose de précieux, tu peux dire trésor, par exemple.
- Speaker #1
Ah, les trésors, c'est parti. Les trésors. On est des pirates. Bon, merci à tous et à toutes.
- Speaker #3
Merci à toi, merci à vous
- Speaker #1
Bon retour, bonne soirée, bonnes vacances C'est le dernier épisode de l'année avant les vacances Bisous On se retrouve en septembre, bisous Et à la prochaine, ciao ciao est un podcast de CY Alliance, un groupement d'établissements du supérieur d'Ile-de-France. Si vous avez aimé ce que vous avez écouté, n'hésitez pas à nous suivre sur nos réseaux sociaux et nous ajouter 5 étoiles sur les différents agrégateurs de podcasts. Merci pour tout et à ciao les pédagogues !