undefined cover
undefined cover
Digitalisation des processus : Le cahier des charges gagnant cover
Digitalisation des processus : Le cahier des charges gagnant cover
Oser l'efficacité : Vers la transformation digitale des entreprises industrielles

Digitalisation des processus : Le cahier des charges gagnant

Digitalisation des processus : Le cahier des charges gagnant

08min |15/05/2025|

28

Play
undefined cover
undefined cover
Digitalisation des processus : Le cahier des charges gagnant cover
Digitalisation des processus : Le cahier des charges gagnant cover
Oser l'efficacité : Vers la transformation digitale des entreprises industrielles

Digitalisation des processus : Le cahier des charges gagnant

Digitalisation des processus : Le cahier des charges gagnant

08min |15/05/2025|

28

Play

Description

Digitalisation des processus : Le cahier des charges gagnant

Cette mini-série en 5 épisodes est conçue pour les dirigeant·e·s de PME et responsables opérationnels qui veulent améliorer la performance de leur entreprise sans s’y perdre.


🔍 Au programme :

  • Diagnostic des processus existants

  • Élimination des tâches inutiles

  • Priorisation des actions à fort ROI

  • Choix des bons outils numériques

  • Déploiement progressif et efficace


À travers des conseils concrets et des exemples terrain, Perrine Thiébaut, consultante en transformation numérique, vous guide étape par étape pour reprendre le contrôle sur vos processus et lancer une digitalisation à votre image.


Pas de solution miracle, mais une méthode claire, accessible et orientée résultats.

Loin du jargon IT, cette série vous aidera à transformer vos habitudes de travail et poser les bases solides d'une transformation digitale réussie.


🎧 À écouter si vous êtes prêt·e à oser l’efficacité, un processus à la fois !

📌 Dans cet épisode :

  • Pourquoi un bon logiciel ne commence jamais par une démo, mais par un bon cadrage métier.

  • Comment formuler ses besoins réels pour éviter les achats impulsifs.

  • Définir les fonctionnalités incontournables, utiles et accessoires.

  • Garder la tête froide face aux scénarios parfaits des commerciaux.

  • Choisir un outil qui s’intègre à la réalité de votre PME, pas un rêve hors-sol.


🎯 À écouter si :

  • Vous êtes tenté·e par un nouvel outil numérique, mais vous ne savez pas comment choisir.

  • Vous avez peur d’investir dans une solution qui ne sera jamais utilisée.

  • Vous voulez structurer votre décision et gagner du temps (et de l’argent).

  • Vous cherchez un cadre clair pour comparer plusieurs offres de logiciels.


Tu veux qu'on discute ensemble de ton projet ?
Réserve un rendez-vous avec moi via mon calendly : https://calendly.com/perrine-digetik/appel-decouverte

Ou viens à ma rencontre lors l'évènement "Production temps réel" qui aura lieu à Metz le 12 juin : https://production-temps-reel.com/metz


Avant de partir, tu peux :

  • 📲 T’abonner pour ne manquer aucun épisode

  • Laisser un commentaire et une note ⭐⭐⭐⭐⭐ si tu aimes le contenu ! Ça m’aide énormément.


Tu peux également me suivre sur LinkedIn et Instagram pour continuer la conversation et rester informé des dernières nouveautés :


Digetik, tous droits réservés. Un podcast réalisé et animé par Perrine Thiébaut

Graphisme et identité visuelle : Elise Rondard

Musique Intro et Outro : Annabelle Thiébaut

Montage : Annabelle Thiébaut


Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

Transcription

  • Speaker #0

    Le monde des petites entreprises est fascinant. C'est un mélange unique de débrouillardise et d'adaptabilité. Mais parfois, on manque de compétences clés pour aller plus loin. Tu le ressens aussi ? Alors ce podcast est fait pour toi. Je suis Perrine Thiébaut, consultante en transformation numérique et je déniche pour toi les meilleurs outils, méthodes et technologies pour gagner en efficacité. Seule ou avec mes invités, je te partage des conseils actionnables pour avancer en toute sérénité. Alors, prêt à oser l'efficacité ?

  • Speaker #1

    Tu savais que je donnais une masterclass le 12 juin 2025 à Metz ? Ça s'appelle « Digitalisation des processus industriels, de l'idée à la mise en œuvre » et ça se passe au salon Production Temps Réel à 15h30 au stade Saint-Symphorien. Mais en attendant, revenons à nos moutons. Le commercial qui va t'approcher pour te vendre son logiciel, il te vend le rêve. Moi, ce que je te propose ici, c'est un plan. Parce que pour bien choisir ton outil, il faut d'abord bien cadrer ton besoin. C'est ce qui t'évitera de faire des décisions émotionnelles. Je te blâme pas, hein ? Je suis la première à tester des outils à droite à gauche. Certes, c'est mon boulot de savoir ce qui existe, mais se focaliser sur son besoin est hautement plus important pour faire des choix éclairés. C'est parti pour revoir comment écarter l'émotion de tes choix logiciels. Déjà, un bon logiciel commence toujours par un bon cadrage métier. Un outil, c'est une réponse, ce n'est pas une solution en soi. C'est une réponse à un besoin, à une douleur qui existe. Donc, pour avoir une réponse, il faut savoir quelle est la question au départ. Et le cahier des charges pour ça, c'est ton garde-fou. Il t'évite de te faire embarquer dans une démo qui est trop belle pour être vraie. On te fait une démo, tu la regardes, il n'y a pas de souci, mais ce qui est important derrière, ça va être de comparer par rapport à tes besoins, par rapport à ton cahier des charges, si ce qui est fait par le logiciel correspond à ce que tu attends. Deuxième point, il faut que tu poses tes exigences avant de regarder les solutions. Quelles sont tes contraintes ? Quelles fonctionnalités sont non négociables ? Quels processus doivent absolument être intégrés ? Tu dois pouvoir répondre à ça avant de rencontrer le moindre éditeur. Les rencontrer avant, c'est potentiellement te laisser influencer. Te laisser influencer par ce qui existe et non pas par ce dont tu as besoin. Il faut absolument aussi que tu mettes tes billets de côté. Parce que justement, vu que tu ne sais pas exactement ce qui existe, tu pourrais te dire que ça n'existe pas et donc de te mettre automatiquement des barrières alors que tu pourrais avoir des réponses à tes besoins. L'idée, c'est vraiment de construire ton monde idéal. Si vraiment c'est trop difficile, Si tu as l'impression que tu te mets trop de barrières, si tu ne sais pas où aller, c'est là où ça peut être intéressant de prendre avec toi un consultant indépendant qui va pouvoir justement t'aider à cadrer tes besoins et à formuler ce qui pourrait te servir et ce qui est essentiel pour que tes processus aillent mieux demain. Si jamais t'en cherches un, je ne suis pas très loin. J'ai mis mes informations de contact dans la description, donc n'hésite pas surtout. Blague à part, on passe au troisième point. L'idée, c'est de séparer le cœur du besoin du reste. Tu vas avoir certains critères pour ton logiciel qui vont être absolument incontournables. Par exemple, tu peux avoir besoin que ton logiciel fonctionne en mode déconnecté parce que tu as des problèmes de connexion sur ton atelier de production. Ça peut être une contrainte forte, ça dépend vraiment des endroits, mais ça peut être une contrainte. D'autres qui vont être plus du confort. Tu n'as pas forcément besoin d'avoir une version mobile de ton application parce qu'il y a des PC dans tous les bureaux et à plusieurs endroits de l'atelier de production. Ce ne sont que des exemples. L'idée, c'est vraiment de savoir ce qui, pour toi, est important et de l'avoir toujours en tête. Quels sont tes points incontournables ? Quelles sont les réponses que tu veux avoir dans un logiciel ? Si tu sors d'une réunion avec un éditeur de logiciel où tes points incontournables ne sont pas couverts, il ne va pas falloir foncer tête baissée sur cette solution-là, même si le commercial a fait un super boulot et tu as vraiment vendu du rêve avec leur solution. Il va falloir que... Si vraiment c'est la solution qui te plaît le plus, tu saches comment tu vas penser les besoins qui n'ont pas été adressés par cette solution. Mais en tout cas, tu dois prendre tes décisions en conséquence de cause. Tu dois comparer toutes les solutions sur un pied d'égalité et pour ça, un bon cahier des charges avec des fonctionnalités incontournables. Des fonctionnalités, c'est cool si on les a, mais bon, on pourrait s'en passer au moins dans un premier temps. et des fonctionnalités, ce serait vraiment sympa, mais c'est ça, c'est sûr qu'on peut s'en passer, ce sera vraiment ton outil, ton guide dans ton choix de solution. Et ce qui me fait venir à mon quatrième point, j'en ai déjà un peu parlé précédemment quand on sépare le cœur du besoin du reste, mais l'idée c'est de rester neutre. Le commercial, il va forcément te montrer toujours le scénario parfait, le scénario qui fonctionne dans son optique devant de son logiciel. Tu peux avoir des équipes qui sont... très bien formées et qui vont avoir préparé une démonstration qui sera plus en ligne avec ce que toi tu attends. Mais très souvent, ils vont te montrer le scénario qui marche parfaitement tel que le logiciel a été pensé. C'est son job, c'est normal. C'est à toi de garder une posture claire. Voici mes besoins, voici mes critères. Je choisis en fonction de ça, pas de ce que toi tu veux me vendre en face. Et en dernier lieu, le bon logiciel, c'est avant tout celui qui s'intègre à ta réalité. Un outil super moderne mais incompatible avec tes processus internes, c'est un investissement qui ne vivra jamais. Ce sera peut-être très joli, mais s'il n'est jamais ouvert, ce sera juste un coût, une charge et pas du tout un levier de rentabilité comme peut l'être un projet informatique qui fonctionne. Ton objectif, c'est la fiabilité, l'adoption, le retour sur investissement. L'effet waouh, c'est anecdotique. Je vais te donner un exemple qui m'a... Il m'avait un peu brisé le cœur quand c'est arrivé. J'avais un prospect qui avait un ERP qu'il n'utilisait pas à son plein potentiel. Pas d'accompagnement pour le mettre en place, ils avaient fait l'implémentation en interne, par une personne qui, entre-temps, avait quitté l'entreprise. Donc la personne que j'avais en face de moi savait assez peu de choses finalement sur ce logiciel. Et sans poser ses besoins, sans se dire ce qui n'allait pas avec le fonctionnement actuel, il a décidé que c'était le logiciel qui était en cause, qu'il fallait le remplacer. que c'était un logiciel qui n'allait pas pouvoir suivre son développement. Et donc, il voulait le remplacer par un grand nom, avoir une belle étiquette de « j'ai un logiciel de telle marque » . Je ne vais citer personne parce que je ne veux pas de problème, mais je pense que tu peux très bien imaginer le type de logiciels dont je parle, qui sont très très connus, qui ont des grandes solutions pour souvent des très grands groupes et qui sont très très chers. En tout cas, il voulait une marque avec pignon sur rue. Il a perdu des mois à recevoir les éditeurs, à essayer de trouver un budget pour une solution démesurée dont il n'avait pas besoin. Sans surprise, ce budget, il ne l'a jamais trouvé. Et donc là, plusieurs mois après, il se retrouve à la case départ. Il ne sait toujours pas ce dont il a vraiment besoin et il n'a toujours pas de logiciel. Ses processus n'ont pas bougé d'un poil. J'aurais bien envie de te dire qu'aujourd'hui, on travaille ensemble, que je l'ai sauvé, qu'il est très content et que tout va bien. Mais non, parce qu'en fait, ce client, dans la première relation qu'on a eu, on a très vite senti qu'il avait pas très envie d'être aidé, qu'il avait envie de prendre ses propres décisions et que finalement, notre avis et les conseils qu'on pouvait lui donner n'avaient pas vraiment de valeur pour lui. Et pour ce type de client, je ne peux pas faire grand-chose, même si ça me brise le cœur. Bon, on va se remettre sur une note beaucoup plus réjouissante et passer à l'action, comme dans tous les épisodes de cette semaine. Mon petit passage à l'action du jour, ça va être de lister les cinq fonctions incontournables pour ton outil numérique. Pense à tes contraintes, à ce que tu veux absolument éviter et aux bénéfices que tu attends. Tu les poses sur papier, noir sur blanc. C'est la base de ton cahier des charges. On commence par 5. Tu verras qu'au fur et à mesure, avec les différentes étapes que tu as faites avant, il y a d'autres choses qui vont venir. Bien sûr, quand tu commences à avoir une sorte de liste au Père Noël, il s'agit peut-être de revoir la priorisation. Parce que là aussi, ça va être intéressant de faire les choses dans le bon ordre et pas trop en même temps. Même si toujours, avoir une idée d'où on va, avoir l'idée de ce qu'on veut faire demain, ça permet aussi de faire des choix en connaissance de cause. Si tu veux reprendre le contrôle de tes processus, tu peux prendre rendez-vous avec moi. Le lien de mon Calendly est dans la description. Et je serais ravie de t'avoir au téléphone pour discuter de ton projet. Et pour se rencontrer en vrai, ça se passe le 12 juin à Metz, au salon Production Temps Réel au Stade Saint-Symphorien. Je serais ravie de te rencontrer là-bas. Mais d'ici là, il nous reste un épisode à cette série qui va être sur l'implémentation de toutes ces belles priorités et de tout ce beau cahier des charges qu'on a mis en place.

Description

Digitalisation des processus : Le cahier des charges gagnant

Cette mini-série en 5 épisodes est conçue pour les dirigeant·e·s de PME et responsables opérationnels qui veulent améliorer la performance de leur entreprise sans s’y perdre.


🔍 Au programme :

  • Diagnostic des processus existants

  • Élimination des tâches inutiles

  • Priorisation des actions à fort ROI

  • Choix des bons outils numériques

  • Déploiement progressif et efficace


À travers des conseils concrets et des exemples terrain, Perrine Thiébaut, consultante en transformation numérique, vous guide étape par étape pour reprendre le contrôle sur vos processus et lancer une digitalisation à votre image.


Pas de solution miracle, mais une méthode claire, accessible et orientée résultats.

Loin du jargon IT, cette série vous aidera à transformer vos habitudes de travail et poser les bases solides d'une transformation digitale réussie.


🎧 À écouter si vous êtes prêt·e à oser l’efficacité, un processus à la fois !

📌 Dans cet épisode :

  • Pourquoi un bon logiciel ne commence jamais par une démo, mais par un bon cadrage métier.

  • Comment formuler ses besoins réels pour éviter les achats impulsifs.

  • Définir les fonctionnalités incontournables, utiles et accessoires.

  • Garder la tête froide face aux scénarios parfaits des commerciaux.

  • Choisir un outil qui s’intègre à la réalité de votre PME, pas un rêve hors-sol.


🎯 À écouter si :

  • Vous êtes tenté·e par un nouvel outil numérique, mais vous ne savez pas comment choisir.

  • Vous avez peur d’investir dans une solution qui ne sera jamais utilisée.

  • Vous voulez structurer votre décision et gagner du temps (et de l’argent).

  • Vous cherchez un cadre clair pour comparer plusieurs offres de logiciels.


Tu veux qu'on discute ensemble de ton projet ?
Réserve un rendez-vous avec moi via mon calendly : https://calendly.com/perrine-digetik/appel-decouverte

Ou viens à ma rencontre lors l'évènement "Production temps réel" qui aura lieu à Metz le 12 juin : https://production-temps-reel.com/metz


Avant de partir, tu peux :

  • 📲 T’abonner pour ne manquer aucun épisode

  • Laisser un commentaire et une note ⭐⭐⭐⭐⭐ si tu aimes le contenu ! Ça m’aide énormément.


Tu peux également me suivre sur LinkedIn et Instagram pour continuer la conversation et rester informé des dernières nouveautés :


Digetik, tous droits réservés. Un podcast réalisé et animé par Perrine Thiébaut

Graphisme et identité visuelle : Elise Rondard

Musique Intro et Outro : Annabelle Thiébaut

Montage : Annabelle Thiébaut


Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

Transcription

  • Speaker #0

    Le monde des petites entreprises est fascinant. C'est un mélange unique de débrouillardise et d'adaptabilité. Mais parfois, on manque de compétences clés pour aller plus loin. Tu le ressens aussi ? Alors ce podcast est fait pour toi. Je suis Perrine Thiébaut, consultante en transformation numérique et je déniche pour toi les meilleurs outils, méthodes et technologies pour gagner en efficacité. Seule ou avec mes invités, je te partage des conseils actionnables pour avancer en toute sérénité. Alors, prêt à oser l'efficacité ?

  • Speaker #1

    Tu savais que je donnais une masterclass le 12 juin 2025 à Metz ? Ça s'appelle « Digitalisation des processus industriels, de l'idée à la mise en œuvre » et ça se passe au salon Production Temps Réel à 15h30 au stade Saint-Symphorien. Mais en attendant, revenons à nos moutons. Le commercial qui va t'approcher pour te vendre son logiciel, il te vend le rêve. Moi, ce que je te propose ici, c'est un plan. Parce que pour bien choisir ton outil, il faut d'abord bien cadrer ton besoin. C'est ce qui t'évitera de faire des décisions émotionnelles. Je te blâme pas, hein ? Je suis la première à tester des outils à droite à gauche. Certes, c'est mon boulot de savoir ce qui existe, mais se focaliser sur son besoin est hautement plus important pour faire des choix éclairés. C'est parti pour revoir comment écarter l'émotion de tes choix logiciels. Déjà, un bon logiciel commence toujours par un bon cadrage métier. Un outil, c'est une réponse, ce n'est pas une solution en soi. C'est une réponse à un besoin, à une douleur qui existe. Donc, pour avoir une réponse, il faut savoir quelle est la question au départ. Et le cahier des charges pour ça, c'est ton garde-fou. Il t'évite de te faire embarquer dans une démo qui est trop belle pour être vraie. On te fait une démo, tu la regardes, il n'y a pas de souci, mais ce qui est important derrière, ça va être de comparer par rapport à tes besoins, par rapport à ton cahier des charges, si ce qui est fait par le logiciel correspond à ce que tu attends. Deuxième point, il faut que tu poses tes exigences avant de regarder les solutions. Quelles sont tes contraintes ? Quelles fonctionnalités sont non négociables ? Quels processus doivent absolument être intégrés ? Tu dois pouvoir répondre à ça avant de rencontrer le moindre éditeur. Les rencontrer avant, c'est potentiellement te laisser influencer. Te laisser influencer par ce qui existe et non pas par ce dont tu as besoin. Il faut absolument aussi que tu mettes tes billets de côté. Parce que justement, vu que tu ne sais pas exactement ce qui existe, tu pourrais te dire que ça n'existe pas et donc de te mettre automatiquement des barrières alors que tu pourrais avoir des réponses à tes besoins. L'idée, c'est vraiment de construire ton monde idéal. Si vraiment c'est trop difficile, Si tu as l'impression que tu te mets trop de barrières, si tu ne sais pas où aller, c'est là où ça peut être intéressant de prendre avec toi un consultant indépendant qui va pouvoir justement t'aider à cadrer tes besoins et à formuler ce qui pourrait te servir et ce qui est essentiel pour que tes processus aillent mieux demain. Si jamais t'en cherches un, je ne suis pas très loin. J'ai mis mes informations de contact dans la description, donc n'hésite pas surtout. Blague à part, on passe au troisième point. L'idée, c'est de séparer le cœur du besoin du reste. Tu vas avoir certains critères pour ton logiciel qui vont être absolument incontournables. Par exemple, tu peux avoir besoin que ton logiciel fonctionne en mode déconnecté parce que tu as des problèmes de connexion sur ton atelier de production. Ça peut être une contrainte forte, ça dépend vraiment des endroits, mais ça peut être une contrainte. D'autres qui vont être plus du confort. Tu n'as pas forcément besoin d'avoir une version mobile de ton application parce qu'il y a des PC dans tous les bureaux et à plusieurs endroits de l'atelier de production. Ce ne sont que des exemples. L'idée, c'est vraiment de savoir ce qui, pour toi, est important et de l'avoir toujours en tête. Quels sont tes points incontournables ? Quelles sont les réponses que tu veux avoir dans un logiciel ? Si tu sors d'une réunion avec un éditeur de logiciel où tes points incontournables ne sont pas couverts, il ne va pas falloir foncer tête baissée sur cette solution-là, même si le commercial a fait un super boulot et tu as vraiment vendu du rêve avec leur solution. Il va falloir que... Si vraiment c'est la solution qui te plaît le plus, tu saches comment tu vas penser les besoins qui n'ont pas été adressés par cette solution. Mais en tout cas, tu dois prendre tes décisions en conséquence de cause. Tu dois comparer toutes les solutions sur un pied d'égalité et pour ça, un bon cahier des charges avec des fonctionnalités incontournables. Des fonctionnalités, c'est cool si on les a, mais bon, on pourrait s'en passer au moins dans un premier temps. et des fonctionnalités, ce serait vraiment sympa, mais c'est ça, c'est sûr qu'on peut s'en passer, ce sera vraiment ton outil, ton guide dans ton choix de solution. Et ce qui me fait venir à mon quatrième point, j'en ai déjà un peu parlé précédemment quand on sépare le cœur du besoin du reste, mais l'idée c'est de rester neutre. Le commercial, il va forcément te montrer toujours le scénario parfait, le scénario qui fonctionne dans son optique devant de son logiciel. Tu peux avoir des équipes qui sont... très bien formées et qui vont avoir préparé une démonstration qui sera plus en ligne avec ce que toi tu attends. Mais très souvent, ils vont te montrer le scénario qui marche parfaitement tel que le logiciel a été pensé. C'est son job, c'est normal. C'est à toi de garder une posture claire. Voici mes besoins, voici mes critères. Je choisis en fonction de ça, pas de ce que toi tu veux me vendre en face. Et en dernier lieu, le bon logiciel, c'est avant tout celui qui s'intègre à ta réalité. Un outil super moderne mais incompatible avec tes processus internes, c'est un investissement qui ne vivra jamais. Ce sera peut-être très joli, mais s'il n'est jamais ouvert, ce sera juste un coût, une charge et pas du tout un levier de rentabilité comme peut l'être un projet informatique qui fonctionne. Ton objectif, c'est la fiabilité, l'adoption, le retour sur investissement. L'effet waouh, c'est anecdotique. Je vais te donner un exemple qui m'a... Il m'avait un peu brisé le cœur quand c'est arrivé. J'avais un prospect qui avait un ERP qu'il n'utilisait pas à son plein potentiel. Pas d'accompagnement pour le mettre en place, ils avaient fait l'implémentation en interne, par une personne qui, entre-temps, avait quitté l'entreprise. Donc la personne que j'avais en face de moi savait assez peu de choses finalement sur ce logiciel. Et sans poser ses besoins, sans se dire ce qui n'allait pas avec le fonctionnement actuel, il a décidé que c'était le logiciel qui était en cause, qu'il fallait le remplacer. que c'était un logiciel qui n'allait pas pouvoir suivre son développement. Et donc, il voulait le remplacer par un grand nom, avoir une belle étiquette de « j'ai un logiciel de telle marque » . Je ne vais citer personne parce que je ne veux pas de problème, mais je pense que tu peux très bien imaginer le type de logiciels dont je parle, qui sont très très connus, qui ont des grandes solutions pour souvent des très grands groupes et qui sont très très chers. En tout cas, il voulait une marque avec pignon sur rue. Il a perdu des mois à recevoir les éditeurs, à essayer de trouver un budget pour une solution démesurée dont il n'avait pas besoin. Sans surprise, ce budget, il ne l'a jamais trouvé. Et donc là, plusieurs mois après, il se retrouve à la case départ. Il ne sait toujours pas ce dont il a vraiment besoin et il n'a toujours pas de logiciel. Ses processus n'ont pas bougé d'un poil. J'aurais bien envie de te dire qu'aujourd'hui, on travaille ensemble, que je l'ai sauvé, qu'il est très content et que tout va bien. Mais non, parce qu'en fait, ce client, dans la première relation qu'on a eu, on a très vite senti qu'il avait pas très envie d'être aidé, qu'il avait envie de prendre ses propres décisions et que finalement, notre avis et les conseils qu'on pouvait lui donner n'avaient pas vraiment de valeur pour lui. Et pour ce type de client, je ne peux pas faire grand-chose, même si ça me brise le cœur. Bon, on va se remettre sur une note beaucoup plus réjouissante et passer à l'action, comme dans tous les épisodes de cette semaine. Mon petit passage à l'action du jour, ça va être de lister les cinq fonctions incontournables pour ton outil numérique. Pense à tes contraintes, à ce que tu veux absolument éviter et aux bénéfices que tu attends. Tu les poses sur papier, noir sur blanc. C'est la base de ton cahier des charges. On commence par 5. Tu verras qu'au fur et à mesure, avec les différentes étapes que tu as faites avant, il y a d'autres choses qui vont venir. Bien sûr, quand tu commences à avoir une sorte de liste au Père Noël, il s'agit peut-être de revoir la priorisation. Parce que là aussi, ça va être intéressant de faire les choses dans le bon ordre et pas trop en même temps. Même si toujours, avoir une idée d'où on va, avoir l'idée de ce qu'on veut faire demain, ça permet aussi de faire des choix en connaissance de cause. Si tu veux reprendre le contrôle de tes processus, tu peux prendre rendez-vous avec moi. Le lien de mon Calendly est dans la description. Et je serais ravie de t'avoir au téléphone pour discuter de ton projet. Et pour se rencontrer en vrai, ça se passe le 12 juin à Metz, au salon Production Temps Réel au Stade Saint-Symphorien. Je serais ravie de te rencontrer là-bas. Mais d'ici là, il nous reste un épisode à cette série qui va être sur l'implémentation de toutes ces belles priorités et de tout ce beau cahier des charges qu'on a mis en place.

Share

Embed

You may also like

Description

Digitalisation des processus : Le cahier des charges gagnant

Cette mini-série en 5 épisodes est conçue pour les dirigeant·e·s de PME et responsables opérationnels qui veulent améliorer la performance de leur entreprise sans s’y perdre.


🔍 Au programme :

  • Diagnostic des processus existants

  • Élimination des tâches inutiles

  • Priorisation des actions à fort ROI

  • Choix des bons outils numériques

  • Déploiement progressif et efficace


À travers des conseils concrets et des exemples terrain, Perrine Thiébaut, consultante en transformation numérique, vous guide étape par étape pour reprendre le contrôle sur vos processus et lancer une digitalisation à votre image.


Pas de solution miracle, mais une méthode claire, accessible et orientée résultats.

Loin du jargon IT, cette série vous aidera à transformer vos habitudes de travail et poser les bases solides d'une transformation digitale réussie.


🎧 À écouter si vous êtes prêt·e à oser l’efficacité, un processus à la fois !

📌 Dans cet épisode :

  • Pourquoi un bon logiciel ne commence jamais par une démo, mais par un bon cadrage métier.

  • Comment formuler ses besoins réels pour éviter les achats impulsifs.

  • Définir les fonctionnalités incontournables, utiles et accessoires.

  • Garder la tête froide face aux scénarios parfaits des commerciaux.

  • Choisir un outil qui s’intègre à la réalité de votre PME, pas un rêve hors-sol.


🎯 À écouter si :

  • Vous êtes tenté·e par un nouvel outil numérique, mais vous ne savez pas comment choisir.

  • Vous avez peur d’investir dans une solution qui ne sera jamais utilisée.

  • Vous voulez structurer votre décision et gagner du temps (et de l’argent).

  • Vous cherchez un cadre clair pour comparer plusieurs offres de logiciels.


Tu veux qu'on discute ensemble de ton projet ?
Réserve un rendez-vous avec moi via mon calendly : https://calendly.com/perrine-digetik/appel-decouverte

Ou viens à ma rencontre lors l'évènement "Production temps réel" qui aura lieu à Metz le 12 juin : https://production-temps-reel.com/metz


Avant de partir, tu peux :

  • 📲 T’abonner pour ne manquer aucun épisode

  • Laisser un commentaire et une note ⭐⭐⭐⭐⭐ si tu aimes le contenu ! Ça m’aide énormément.


Tu peux également me suivre sur LinkedIn et Instagram pour continuer la conversation et rester informé des dernières nouveautés :


Digetik, tous droits réservés. Un podcast réalisé et animé par Perrine Thiébaut

Graphisme et identité visuelle : Elise Rondard

Musique Intro et Outro : Annabelle Thiébaut

Montage : Annabelle Thiébaut


Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

Transcription

  • Speaker #0

    Le monde des petites entreprises est fascinant. C'est un mélange unique de débrouillardise et d'adaptabilité. Mais parfois, on manque de compétences clés pour aller plus loin. Tu le ressens aussi ? Alors ce podcast est fait pour toi. Je suis Perrine Thiébaut, consultante en transformation numérique et je déniche pour toi les meilleurs outils, méthodes et technologies pour gagner en efficacité. Seule ou avec mes invités, je te partage des conseils actionnables pour avancer en toute sérénité. Alors, prêt à oser l'efficacité ?

  • Speaker #1

    Tu savais que je donnais une masterclass le 12 juin 2025 à Metz ? Ça s'appelle « Digitalisation des processus industriels, de l'idée à la mise en œuvre » et ça se passe au salon Production Temps Réel à 15h30 au stade Saint-Symphorien. Mais en attendant, revenons à nos moutons. Le commercial qui va t'approcher pour te vendre son logiciel, il te vend le rêve. Moi, ce que je te propose ici, c'est un plan. Parce que pour bien choisir ton outil, il faut d'abord bien cadrer ton besoin. C'est ce qui t'évitera de faire des décisions émotionnelles. Je te blâme pas, hein ? Je suis la première à tester des outils à droite à gauche. Certes, c'est mon boulot de savoir ce qui existe, mais se focaliser sur son besoin est hautement plus important pour faire des choix éclairés. C'est parti pour revoir comment écarter l'émotion de tes choix logiciels. Déjà, un bon logiciel commence toujours par un bon cadrage métier. Un outil, c'est une réponse, ce n'est pas une solution en soi. C'est une réponse à un besoin, à une douleur qui existe. Donc, pour avoir une réponse, il faut savoir quelle est la question au départ. Et le cahier des charges pour ça, c'est ton garde-fou. Il t'évite de te faire embarquer dans une démo qui est trop belle pour être vraie. On te fait une démo, tu la regardes, il n'y a pas de souci, mais ce qui est important derrière, ça va être de comparer par rapport à tes besoins, par rapport à ton cahier des charges, si ce qui est fait par le logiciel correspond à ce que tu attends. Deuxième point, il faut que tu poses tes exigences avant de regarder les solutions. Quelles sont tes contraintes ? Quelles fonctionnalités sont non négociables ? Quels processus doivent absolument être intégrés ? Tu dois pouvoir répondre à ça avant de rencontrer le moindre éditeur. Les rencontrer avant, c'est potentiellement te laisser influencer. Te laisser influencer par ce qui existe et non pas par ce dont tu as besoin. Il faut absolument aussi que tu mettes tes billets de côté. Parce que justement, vu que tu ne sais pas exactement ce qui existe, tu pourrais te dire que ça n'existe pas et donc de te mettre automatiquement des barrières alors que tu pourrais avoir des réponses à tes besoins. L'idée, c'est vraiment de construire ton monde idéal. Si vraiment c'est trop difficile, Si tu as l'impression que tu te mets trop de barrières, si tu ne sais pas où aller, c'est là où ça peut être intéressant de prendre avec toi un consultant indépendant qui va pouvoir justement t'aider à cadrer tes besoins et à formuler ce qui pourrait te servir et ce qui est essentiel pour que tes processus aillent mieux demain. Si jamais t'en cherches un, je ne suis pas très loin. J'ai mis mes informations de contact dans la description, donc n'hésite pas surtout. Blague à part, on passe au troisième point. L'idée, c'est de séparer le cœur du besoin du reste. Tu vas avoir certains critères pour ton logiciel qui vont être absolument incontournables. Par exemple, tu peux avoir besoin que ton logiciel fonctionne en mode déconnecté parce que tu as des problèmes de connexion sur ton atelier de production. Ça peut être une contrainte forte, ça dépend vraiment des endroits, mais ça peut être une contrainte. D'autres qui vont être plus du confort. Tu n'as pas forcément besoin d'avoir une version mobile de ton application parce qu'il y a des PC dans tous les bureaux et à plusieurs endroits de l'atelier de production. Ce ne sont que des exemples. L'idée, c'est vraiment de savoir ce qui, pour toi, est important et de l'avoir toujours en tête. Quels sont tes points incontournables ? Quelles sont les réponses que tu veux avoir dans un logiciel ? Si tu sors d'une réunion avec un éditeur de logiciel où tes points incontournables ne sont pas couverts, il ne va pas falloir foncer tête baissée sur cette solution-là, même si le commercial a fait un super boulot et tu as vraiment vendu du rêve avec leur solution. Il va falloir que... Si vraiment c'est la solution qui te plaît le plus, tu saches comment tu vas penser les besoins qui n'ont pas été adressés par cette solution. Mais en tout cas, tu dois prendre tes décisions en conséquence de cause. Tu dois comparer toutes les solutions sur un pied d'égalité et pour ça, un bon cahier des charges avec des fonctionnalités incontournables. Des fonctionnalités, c'est cool si on les a, mais bon, on pourrait s'en passer au moins dans un premier temps. et des fonctionnalités, ce serait vraiment sympa, mais c'est ça, c'est sûr qu'on peut s'en passer, ce sera vraiment ton outil, ton guide dans ton choix de solution. Et ce qui me fait venir à mon quatrième point, j'en ai déjà un peu parlé précédemment quand on sépare le cœur du besoin du reste, mais l'idée c'est de rester neutre. Le commercial, il va forcément te montrer toujours le scénario parfait, le scénario qui fonctionne dans son optique devant de son logiciel. Tu peux avoir des équipes qui sont... très bien formées et qui vont avoir préparé une démonstration qui sera plus en ligne avec ce que toi tu attends. Mais très souvent, ils vont te montrer le scénario qui marche parfaitement tel que le logiciel a été pensé. C'est son job, c'est normal. C'est à toi de garder une posture claire. Voici mes besoins, voici mes critères. Je choisis en fonction de ça, pas de ce que toi tu veux me vendre en face. Et en dernier lieu, le bon logiciel, c'est avant tout celui qui s'intègre à ta réalité. Un outil super moderne mais incompatible avec tes processus internes, c'est un investissement qui ne vivra jamais. Ce sera peut-être très joli, mais s'il n'est jamais ouvert, ce sera juste un coût, une charge et pas du tout un levier de rentabilité comme peut l'être un projet informatique qui fonctionne. Ton objectif, c'est la fiabilité, l'adoption, le retour sur investissement. L'effet waouh, c'est anecdotique. Je vais te donner un exemple qui m'a... Il m'avait un peu brisé le cœur quand c'est arrivé. J'avais un prospect qui avait un ERP qu'il n'utilisait pas à son plein potentiel. Pas d'accompagnement pour le mettre en place, ils avaient fait l'implémentation en interne, par une personne qui, entre-temps, avait quitté l'entreprise. Donc la personne que j'avais en face de moi savait assez peu de choses finalement sur ce logiciel. Et sans poser ses besoins, sans se dire ce qui n'allait pas avec le fonctionnement actuel, il a décidé que c'était le logiciel qui était en cause, qu'il fallait le remplacer. que c'était un logiciel qui n'allait pas pouvoir suivre son développement. Et donc, il voulait le remplacer par un grand nom, avoir une belle étiquette de « j'ai un logiciel de telle marque » . Je ne vais citer personne parce que je ne veux pas de problème, mais je pense que tu peux très bien imaginer le type de logiciels dont je parle, qui sont très très connus, qui ont des grandes solutions pour souvent des très grands groupes et qui sont très très chers. En tout cas, il voulait une marque avec pignon sur rue. Il a perdu des mois à recevoir les éditeurs, à essayer de trouver un budget pour une solution démesurée dont il n'avait pas besoin. Sans surprise, ce budget, il ne l'a jamais trouvé. Et donc là, plusieurs mois après, il se retrouve à la case départ. Il ne sait toujours pas ce dont il a vraiment besoin et il n'a toujours pas de logiciel. Ses processus n'ont pas bougé d'un poil. J'aurais bien envie de te dire qu'aujourd'hui, on travaille ensemble, que je l'ai sauvé, qu'il est très content et que tout va bien. Mais non, parce qu'en fait, ce client, dans la première relation qu'on a eu, on a très vite senti qu'il avait pas très envie d'être aidé, qu'il avait envie de prendre ses propres décisions et que finalement, notre avis et les conseils qu'on pouvait lui donner n'avaient pas vraiment de valeur pour lui. Et pour ce type de client, je ne peux pas faire grand-chose, même si ça me brise le cœur. Bon, on va se remettre sur une note beaucoup plus réjouissante et passer à l'action, comme dans tous les épisodes de cette semaine. Mon petit passage à l'action du jour, ça va être de lister les cinq fonctions incontournables pour ton outil numérique. Pense à tes contraintes, à ce que tu veux absolument éviter et aux bénéfices que tu attends. Tu les poses sur papier, noir sur blanc. C'est la base de ton cahier des charges. On commence par 5. Tu verras qu'au fur et à mesure, avec les différentes étapes que tu as faites avant, il y a d'autres choses qui vont venir. Bien sûr, quand tu commences à avoir une sorte de liste au Père Noël, il s'agit peut-être de revoir la priorisation. Parce que là aussi, ça va être intéressant de faire les choses dans le bon ordre et pas trop en même temps. Même si toujours, avoir une idée d'où on va, avoir l'idée de ce qu'on veut faire demain, ça permet aussi de faire des choix en connaissance de cause. Si tu veux reprendre le contrôle de tes processus, tu peux prendre rendez-vous avec moi. Le lien de mon Calendly est dans la description. Et je serais ravie de t'avoir au téléphone pour discuter de ton projet. Et pour se rencontrer en vrai, ça se passe le 12 juin à Metz, au salon Production Temps Réel au Stade Saint-Symphorien. Je serais ravie de te rencontrer là-bas. Mais d'ici là, il nous reste un épisode à cette série qui va être sur l'implémentation de toutes ces belles priorités et de tout ce beau cahier des charges qu'on a mis en place.

Description

Digitalisation des processus : Le cahier des charges gagnant

Cette mini-série en 5 épisodes est conçue pour les dirigeant·e·s de PME et responsables opérationnels qui veulent améliorer la performance de leur entreprise sans s’y perdre.


🔍 Au programme :

  • Diagnostic des processus existants

  • Élimination des tâches inutiles

  • Priorisation des actions à fort ROI

  • Choix des bons outils numériques

  • Déploiement progressif et efficace


À travers des conseils concrets et des exemples terrain, Perrine Thiébaut, consultante en transformation numérique, vous guide étape par étape pour reprendre le contrôle sur vos processus et lancer une digitalisation à votre image.


Pas de solution miracle, mais une méthode claire, accessible et orientée résultats.

Loin du jargon IT, cette série vous aidera à transformer vos habitudes de travail et poser les bases solides d'une transformation digitale réussie.


🎧 À écouter si vous êtes prêt·e à oser l’efficacité, un processus à la fois !

📌 Dans cet épisode :

  • Pourquoi un bon logiciel ne commence jamais par une démo, mais par un bon cadrage métier.

  • Comment formuler ses besoins réels pour éviter les achats impulsifs.

  • Définir les fonctionnalités incontournables, utiles et accessoires.

  • Garder la tête froide face aux scénarios parfaits des commerciaux.

  • Choisir un outil qui s’intègre à la réalité de votre PME, pas un rêve hors-sol.


🎯 À écouter si :

  • Vous êtes tenté·e par un nouvel outil numérique, mais vous ne savez pas comment choisir.

  • Vous avez peur d’investir dans une solution qui ne sera jamais utilisée.

  • Vous voulez structurer votre décision et gagner du temps (et de l’argent).

  • Vous cherchez un cadre clair pour comparer plusieurs offres de logiciels.


Tu veux qu'on discute ensemble de ton projet ?
Réserve un rendez-vous avec moi via mon calendly : https://calendly.com/perrine-digetik/appel-decouverte

Ou viens à ma rencontre lors l'évènement "Production temps réel" qui aura lieu à Metz le 12 juin : https://production-temps-reel.com/metz


Avant de partir, tu peux :

  • 📲 T’abonner pour ne manquer aucun épisode

  • Laisser un commentaire et une note ⭐⭐⭐⭐⭐ si tu aimes le contenu ! Ça m’aide énormément.


Tu peux également me suivre sur LinkedIn et Instagram pour continuer la conversation et rester informé des dernières nouveautés :


Digetik, tous droits réservés. Un podcast réalisé et animé par Perrine Thiébaut

Graphisme et identité visuelle : Elise Rondard

Musique Intro et Outro : Annabelle Thiébaut

Montage : Annabelle Thiébaut


Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

Transcription

  • Speaker #0

    Le monde des petites entreprises est fascinant. C'est un mélange unique de débrouillardise et d'adaptabilité. Mais parfois, on manque de compétences clés pour aller plus loin. Tu le ressens aussi ? Alors ce podcast est fait pour toi. Je suis Perrine Thiébaut, consultante en transformation numérique et je déniche pour toi les meilleurs outils, méthodes et technologies pour gagner en efficacité. Seule ou avec mes invités, je te partage des conseils actionnables pour avancer en toute sérénité. Alors, prêt à oser l'efficacité ?

  • Speaker #1

    Tu savais que je donnais une masterclass le 12 juin 2025 à Metz ? Ça s'appelle « Digitalisation des processus industriels, de l'idée à la mise en œuvre » et ça se passe au salon Production Temps Réel à 15h30 au stade Saint-Symphorien. Mais en attendant, revenons à nos moutons. Le commercial qui va t'approcher pour te vendre son logiciel, il te vend le rêve. Moi, ce que je te propose ici, c'est un plan. Parce que pour bien choisir ton outil, il faut d'abord bien cadrer ton besoin. C'est ce qui t'évitera de faire des décisions émotionnelles. Je te blâme pas, hein ? Je suis la première à tester des outils à droite à gauche. Certes, c'est mon boulot de savoir ce qui existe, mais se focaliser sur son besoin est hautement plus important pour faire des choix éclairés. C'est parti pour revoir comment écarter l'émotion de tes choix logiciels. Déjà, un bon logiciel commence toujours par un bon cadrage métier. Un outil, c'est une réponse, ce n'est pas une solution en soi. C'est une réponse à un besoin, à une douleur qui existe. Donc, pour avoir une réponse, il faut savoir quelle est la question au départ. Et le cahier des charges pour ça, c'est ton garde-fou. Il t'évite de te faire embarquer dans une démo qui est trop belle pour être vraie. On te fait une démo, tu la regardes, il n'y a pas de souci, mais ce qui est important derrière, ça va être de comparer par rapport à tes besoins, par rapport à ton cahier des charges, si ce qui est fait par le logiciel correspond à ce que tu attends. Deuxième point, il faut que tu poses tes exigences avant de regarder les solutions. Quelles sont tes contraintes ? Quelles fonctionnalités sont non négociables ? Quels processus doivent absolument être intégrés ? Tu dois pouvoir répondre à ça avant de rencontrer le moindre éditeur. Les rencontrer avant, c'est potentiellement te laisser influencer. Te laisser influencer par ce qui existe et non pas par ce dont tu as besoin. Il faut absolument aussi que tu mettes tes billets de côté. Parce que justement, vu que tu ne sais pas exactement ce qui existe, tu pourrais te dire que ça n'existe pas et donc de te mettre automatiquement des barrières alors que tu pourrais avoir des réponses à tes besoins. L'idée, c'est vraiment de construire ton monde idéal. Si vraiment c'est trop difficile, Si tu as l'impression que tu te mets trop de barrières, si tu ne sais pas où aller, c'est là où ça peut être intéressant de prendre avec toi un consultant indépendant qui va pouvoir justement t'aider à cadrer tes besoins et à formuler ce qui pourrait te servir et ce qui est essentiel pour que tes processus aillent mieux demain. Si jamais t'en cherches un, je ne suis pas très loin. J'ai mis mes informations de contact dans la description, donc n'hésite pas surtout. Blague à part, on passe au troisième point. L'idée, c'est de séparer le cœur du besoin du reste. Tu vas avoir certains critères pour ton logiciel qui vont être absolument incontournables. Par exemple, tu peux avoir besoin que ton logiciel fonctionne en mode déconnecté parce que tu as des problèmes de connexion sur ton atelier de production. Ça peut être une contrainte forte, ça dépend vraiment des endroits, mais ça peut être une contrainte. D'autres qui vont être plus du confort. Tu n'as pas forcément besoin d'avoir une version mobile de ton application parce qu'il y a des PC dans tous les bureaux et à plusieurs endroits de l'atelier de production. Ce ne sont que des exemples. L'idée, c'est vraiment de savoir ce qui, pour toi, est important et de l'avoir toujours en tête. Quels sont tes points incontournables ? Quelles sont les réponses que tu veux avoir dans un logiciel ? Si tu sors d'une réunion avec un éditeur de logiciel où tes points incontournables ne sont pas couverts, il ne va pas falloir foncer tête baissée sur cette solution-là, même si le commercial a fait un super boulot et tu as vraiment vendu du rêve avec leur solution. Il va falloir que... Si vraiment c'est la solution qui te plaît le plus, tu saches comment tu vas penser les besoins qui n'ont pas été adressés par cette solution. Mais en tout cas, tu dois prendre tes décisions en conséquence de cause. Tu dois comparer toutes les solutions sur un pied d'égalité et pour ça, un bon cahier des charges avec des fonctionnalités incontournables. Des fonctionnalités, c'est cool si on les a, mais bon, on pourrait s'en passer au moins dans un premier temps. et des fonctionnalités, ce serait vraiment sympa, mais c'est ça, c'est sûr qu'on peut s'en passer, ce sera vraiment ton outil, ton guide dans ton choix de solution. Et ce qui me fait venir à mon quatrième point, j'en ai déjà un peu parlé précédemment quand on sépare le cœur du besoin du reste, mais l'idée c'est de rester neutre. Le commercial, il va forcément te montrer toujours le scénario parfait, le scénario qui fonctionne dans son optique devant de son logiciel. Tu peux avoir des équipes qui sont... très bien formées et qui vont avoir préparé une démonstration qui sera plus en ligne avec ce que toi tu attends. Mais très souvent, ils vont te montrer le scénario qui marche parfaitement tel que le logiciel a été pensé. C'est son job, c'est normal. C'est à toi de garder une posture claire. Voici mes besoins, voici mes critères. Je choisis en fonction de ça, pas de ce que toi tu veux me vendre en face. Et en dernier lieu, le bon logiciel, c'est avant tout celui qui s'intègre à ta réalité. Un outil super moderne mais incompatible avec tes processus internes, c'est un investissement qui ne vivra jamais. Ce sera peut-être très joli, mais s'il n'est jamais ouvert, ce sera juste un coût, une charge et pas du tout un levier de rentabilité comme peut l'être un projet informatique qui fonctionne. Ton objectif, c'est la fiabilité, l'adoption, le retour sur investissement. L'effet waouh, c'est anecdotique. Je vais te donner un exemple qui m'a... Il m'avait un peu brisé le cœur quand c'est arrivé. J'avais un prospect qui avait un ERP qu'il n'utilisait pas à son plein potentiel. Pas d'accompagnement pour le mettre en place, ils avaient fait l'implémentation en interne, par une personne qui, entre-temps, avait quitté l'entreprise. Donc la personne que j'avais en face de moi savait assez peu de choses finalement sur ce logiciel. Et sans poser ses besoins, sans se dire ce qui n'allait pas avec le fonctionnement actuel, il a décidé que c'était le logiciel qui était en cause, qu'il fallait le remplacer. que c'était un logiciel qui n'allait pas pouvoir suivre son développement. Et donc, il voulait le remplacer par un grand nom, avoir une belle étiquette de « j'ai un logiciel de telle marque » . Je ne vais citer personne parce que je ne veux pas de problème, mais je pense que tu peux très bien imaginer le type de logiciels dont je parle, qui sont très très connus, qui ont des grandes solutions pour souvent des très grands groupes et qui sont très très chers. En tout cas, il voulait une marque avec pignon sur rue. Il a perdu des mois à recevoir les éditeurs, à essayer de trouver un budget pour une solution démesurée dont il n'avait pas besoin. Sans surprise, ce budget, il ne l'a jamais trouvé. Et donc là, plusieurs mois après, il se retrouve à la case départ. Il ne sait toujours pas ce dont il a vraiment besoin et il n'a toujours pas de logiciel. Ses processus n'ont pas bougé d'un poil. J'aurais bien envie de te dire qu'aujourd'hui, on travaille ensemble, que je l'ai sauvé, qu'il est très content et que tout va bien. Mais non, parce qu'en fait, ce client, dans la première relation qu'on a eu, on a très vite senti qu'il avait pas très envie d'être aidé, qu'il avait envie de prendre ses propres décisions et que finalement, notre avis et les conseils qu'on pouvait lui donner n'avaient pas vraiment de valeur pour lui. Et pour ce type de client, je ne peux pas faire grand-chose, même si ça me brise le cœur. Bon, on va se remettre sur une note beaucoup plus réjouissante et passer à l'action, comme dans tous les épisodes de cette semaine. Mon petit passage à l'action du jour, ça va être de lister les cinq fonctions incontournables pour ton outil numérique. Pense à tes contraintes, à ce que tu veux absolument éviter et aux bénéfices que tu attends. Tu les poses sur papier, noir sur blanc. C'est la base de ton cahier des charges. On commence par 5. Tu verras qu'au fur et à mesure, avec les différentes étapes que tu as faites avant, il y a d'autres choses qui vont venir. Bien sûr, quand tu commences à avoir une sorte de liste au Père Noël, il s'agit peut-être de revoir la priorisation. Parce que là aussi, ça va être intéressant de faire les choses dans le bon ordre et pas trop en même temps. Même si toujours, avoir une idée d'où on va, avoir l'idée de ce qu'on veut faire demain, ça permet aussi de faire des choix en connaissance de cause. Si tu veux reprendre le contrôle de tes processus, tu peux prendre rendez-vous avec moi. Le lien de mon Calendly est dans la description. Et je serais ravie de t'avoir au téléphone pour discuter de ton projet. Et pour se rencontrer en vrai, ça se passe le 12 juin à Metz, au salon Production Temps Réel au Stade Saint-Symphorien. Je serais ravie de te rencontrer là-bas. Mais d'ici là, il nous reste un épisode à cette série qui va être sur l'implémentation de toutes ces belles priorités et de tout ce beau cahier des charges qu'on a mis en place.

Share

Embed

You may also like