Speaker #0Bon, on va pas se mentir, j'ai failli arrêter ce podcast plusieurs fois cette année. Le podcast, c'est un format qui vit très mal de lui-même. Ce qui me frustre le plus, c'est que quand je reçois des invités, ils ne capitalisent que très peu dessus. Je pense qu'on va quand même aller vers des épisodes qui sont plus courts et plus synthétiques. Je n'ai aucune envie de confier la création de mes épisodes de podcast à l'intelligence artificielle, autant pour remettre en forme Des épisodes, des choses qui sont déjà écrites avec tout ce que j'ai pu sortir de ma tête et le remettre sous forme de post ou de newsletter, ça, ça peut avoir réellement un intérêt. On lâche rien, on est toujours là. Je vais vous proposer 45 épisodes pour muscler votre pensée Lean pendant l'été. Mais le but c'est vraiment de parler de Lean sans prise de tête. J'ai pas du tout prévu d'être podcasteuse professionnelle, mais l'idée c'est que le podcast au moins ne me coûte plus d'argent. Le podcast continue et il monte d'un cran. Quand on dirige une PME industrielle, on avance à l'instinct, d'urgence en urgence. Et parfois, on se sent seul face à des décisions toujours plus complexes. Ce podcast, c'est l'endroit où on prend une pause utile, où on s'ouvre à d'autres façons de faire, où on puise de l'inspiration pour améliorer l'efficacité sans y laisser sa santé. Je suis Perrine Thiébaut et j'ai créé ce podcast comme une boîte à outils pour les dirigeants de l'industrie. Tools may connect, but process makes perfect. Et si on parle vrai, on part du terrain et on partage ce qui fonctionne. Bienvenue dans Oser l'Efficacité. Bon, on va pas se mentir, j'ai failli arrêter ce podcast plusieurs fois cette année. Je ne l'ai pas fait, et aujourd'hui je te raconte pourquoi. J'ai fait le choix de faire un format un peu spécial aujourd'hui parce qu'il s'est passé pas mal de choses depuis ce début d'année. Ça me paraissait intéressant de faire le point avec toi parce qu'en tant qu'auditeur, tu as carrément ton mot à dire. Donc on va revenir sur les 6 premiers mois de 2025, ce que j'ai appris, ce que j'ai raté, ce qui a marché et surtout ce qui va changer pour cette fin d'année. Déjà on va aller regarder ce que nous disent les chiffres. Depuis le début de l'année j'ai constaté une hausse des stats qui est carrément impressionnante et clairement c'est lié à l'augmentation de cadence. A partir de début janvier je suis passée au format mini-série, j'interviewais des experts où je faisais des épisodes solo sur une même thématique toute la semaine. Et c'était découpé en 5 épisodes qui devaient à l'origine faire entre 5 et 10 minutes maximum. Ça n'a pas toujours été tenu. Et ce que je constate, c'est que ce format ne performe pas tant que ça. Peut-être que c'est lié justement au fait que ces mini épisodes ne soient pas si mini que ça. Et que du coup, le plus d'épisodes ne fait pas que ça attire finalement beaucoup plus de monde. Du coup, je suis un peu revenue en arrière à faire des épisodes qui sont redevenus plus longs en une seule fois. Et forcément, une diminution de la fréquence entraîne une diminution du nombre d'écoutes. Mais à l'inverse, je recommence à voir que les épisodes regagnent plus d'écoutes par épisode. En tout cas, les écoutes sont un peu moins éclatées. Je me demande très sincèrement si ce format de mini-série était aussi clair que ça. Ce que je constate aujourd'hui, c'est qu'on a quand même une communauté qui grossit lentement, mais qui est très ciblée. Et donc, je me retrouve avec des échanges intéressants. avec les auditeurs du podcast qui y retrouvent leur intérêt. Pour information, l'épisode le plus écouté de cette année, je vais d'ailleurs vous en donner trois parce que ça se joue vraiment à une écoute entre ces trois épisodes. Le top 1, ça a été mon invité Mathieu Potès qui nous expliquait comment le management visuel changeait tout en entreprise. Puis en deuxième, sur la deuxième marche du podium, on a Catherine Leclinch qui nous donnait les clés pour réussir le changement en entreprise. Et finalement, c'est un de mes... tous premiers épisodes solos qui arrivent sur la troisième marche du podium où j'expliquais comment bien calculer son rendement grâce au TRS. Clairement, ces épisodes, ils ont un gros point commun, c'est qu'ils sont vraiment ancrés dans des thématiques qui, je le vois au quotidien, préoccupent énormément les industriels. En ce qui concerne le contenu qui performe le mieux, c'est extrêmement difficile à dire. Comme je le disais tout à l'heure, je pense que j'ai un peu raté mon test sur les épisodes ultra courts. en tout cas suffisamment court pour être écouté en 5 à 10 minutes sur le chemin du travail, et que du coup c'est un peu difficile de savoir si c'est le format qui vous plaît le mieux. A l'heure actuelle, je constate que le fond prime sur la forme, et que les thématiques d'actualité un peu chaudes, ou en tout cas les thématiques qui vous intéressent au quotidien, sont vraiment les plus plébiscitées. Quand j'essaye de sortir un petit peu des clous, et d'ouvrir vers des thématiques un peu plus larges, ça fonctionne moins bien. Mais clairement, aujourd'hui, j'adorerais que tu me donnes ton avis pour que je puisse confirmer ça. Et de savoir si tu préfères des épisodes qui sont plutôt courts. ou plutôt long et approfondi ? Et surtout, quelle thématique tu aimerais voir abordée dans le futur ? N'hésite pas à me donner ton avis en commentaire, ça m'aidera énormément pour ajuster la ligne directrice du podcast dans les prochaines semaines et pour bien préparer la rentrée. Justement, puisqu'on parle de ton avis, je voulais faire un petit point également sur les retours des auditeurs. Actuellement, j'ai très peu de retours sur les plateformes d'écoute. Par contre, j'ai pas mal de monde qui vient me parler de mes podcasts. en message privé sur LinkedIn, qui est l'endroit où je suis le plus présente actuellement. Et c'est toujours très touchant de voir qu'ils l'écoutent au quotidien et qu'ils appliquent les conseils qui sont donnés dedans. Donc ça, ça fait extrêmement plaisir de savoir que le podcast en lui-même déclenche des actions, puisque c'est exactement la raison pour laquelle je l'ai créé au départ. Ce qui est un peu plus frustrant pour moi, c'est le silence de certains invités que je peux recevoir. Alors, c'est pas du tout pour dire que ne pas repartager l'épisode, ça m'embête parce que ça ne fait pas de visibilité, même si c'est vrai, plus il est relayé, plus j'aurai de visibilité, plus il y a des chances que le podcast soit découvert par des gens qui en ont besoin. Mais ce qui me frustre le plus, c'est que quand je reçois des invités, ils prennent du temps pour préparer l'épisode, ils prennent du temps pour enregistrer, et derrière, je trouve qu'ils ne capitalisent que très peu dessus, qu'ils ne s'en servent pas assez. dans leur propre communication et je trouve ça extrêmement dommage parce que c'est un peu du coup du temps perdu. Si je peux faire un petit rappel sur le podcast, c'est un format qui vit très mal de lui-même. C'est un format qui est complètement décorrélé des moteurs de recherche classiques. Donc on n'est pas référencé SEO quand on fait un podcast sur Spotify ou sur Apple Podcast. On est juste visible dans cette plateforme. Donc on ne sera visible que par les gens qui vont chercher des mots-clés qui vont les ramener vers l'épisode qu'on a produit ou alors des gens qui sont abonnés et qui vont donc voir les épisodes s'ajouter dans leur liste d'écoute parce qu'ils sont abonnés et donc ont signifié leur intérêt pour ce podcast-là. Pourquoi c'est problématique ? Parce que du coup, ça demande énormément de travail, de communication pour le faire valoir. Et donc, je trouve ça doublement pénalisant, à la fois pour moi effectivement en tant que... réalisatrice du podcast mais aussi pour mes invités de ne pas aller plus loin avec le podcast et de ne pas l'utiliser plus sur les réseaux sociaux parce que c'est comme ça qu'ils se rendront visibles et qu'ils asseoiront leur posture d'experts en montrant qu'ils ont été interviewés dans un podcast spécialisé dans l'efficacité des process et dans le domaine de l'industrie et c'est comme ça que on continuera à faire monter l'importance et la visibilité de ce podcast D'ailleurs, je pense très sincèrement qu'à partir de la rentrée, je vais proposer justement un accompagnement pour mes invités de podcast pour qu'ils aient du matériel en repartant du podcast, du matériel prêt à l'emploi pour exploiter les ressources qu'on a enregistrées, sur lesquelles on a échangé et qu'ils puissent développer leur communication autour de cette manne finalement de contenu. puisque quand on échange ensemble pendant 30 minutes à 1 heure, on dit énormément de choses. extrêmement intéressantes et c'est d'ailleurs une des choses qui m'a motivée à monter un podcast au départ, c'est la passion que j'ai pour entendre les passionnés parler de leur métier et de la transmettre au plus grand nombre. Je voudrais vraiment que ces passions que l'on me partage au quotidien soient beaucoup plus visibles que ça. Je referme la parenthèse sur la diffusion qui était un peu longue d'ailleurs, excusez-moi pour cette très très longue parenthèse. Le point suivant que je voulais aborder, c'est les différents formats que j'ai testés. J'en ai déjà un petit peu parlé, mais globalement, cette année, j'ai pu faire des tests entre des séries courtes quotidiennes, donc du lundi au vendredi, versus des épisodes plus longs, et aussi des épisodes de taille variée, même dans les séries courtes quotidiennes. Aujourd'hui, je n'arrive pas vraiment à savoir quel est le format qui vous plaît le plus, quel est le format que vous voudriez voir à l'avenir de plus en plus. De la même manière, j'arrive à la fois à avoir de très bons résultats sur les épisodes solo et sur les interviews, et j'en ai qui performent beaucoup moins bien sur ces deux formats-là. Donc très difficile également de savoir ce que vous préférez. Donc encore une fois, n'hésitez pas surtout à me dire en commentaire les formats qui vous ont le plus plu. De mon côté, j'ai adoré produire ces épisodes. J'ai adoré réfléchir à ce que j'allais vous dire, aux questions que j'allais poser aux invités. Ça, c'est vraiment la partie qui me passionne parce que je me forme énormément, j'apprends énormément de choses à la fois au contact de mon invité et en réfléchissant aux questions que je veux poser parce que ça m'oblige à anticiper un peu sur son sujet, savoir quelles sont les bonnes questions dont les réponses vont vous intéresser surtout. Et quand je fais des épisodes solos, je me forme, je vérifie que je n'ai pas... d'angle mort trop problématique sur les sujets que je veux vous apporter. Donc ça, c'est vraiment la partie que je trouve passionnante, même si elle prend énormément de temps. Et à l'inverse, ce qui m'a vraiment fatiguée, c'est le démarchage des invités, la gestion des invités au quotidien, de caler des rendez-vous, toute la partie organisationnelle autour. C'est vraiment quelque chose de fatigant de caler un créneau dans la semaine, qui est forcément à des moments où lui comme moi sommes disponibles. Donc ce n'est pas toujours simple au quotidien. de pouvoir organiser l'enregistrement avec des invités, ce qui fait que parfois, j'aurais tendance à dire que je préfère les épisodes solo, qui sont vraiment beaucoup moins chronophages et beaucoup moins lourds en charge mentale à produire, mais d'un autre côté, qui sont quand même moins enrichissants. Pas vraiment qui sont moins enrichissants, mais en tout cas, sur lesquels je n'ai pas le plaisir à échanger avec une vraie personne en face, et où je me retrouve un petit peu seule avec moi-même. Aujourd'hui, il n'y a pas vraiment de format que je pense... arrêter complètement. Je pense qu'il y a encore des tests à faire pour savoir quelle est la direction finale du podcast, mais je pense qu'on va quand même aller vers des épisodes qui sont plus courts et plus synthétiques. Donc ça va être mon challenge, aussi bien sur les épisodes solo qui vont m'obliger à synthétiser plus ma pensée, que sur les épisodes avec les invités, où on va essayer de cadrer beaucoup plus le sujet, ou de moins digresser, quitte à enregistrer plusieurs épisodes, mais sur des thématiques très précises. D'un côté un petit peu plus introspectif, je me rends quand même compte qu'un podcast, ça représente une charge de travail énorme et qu'à côté de ça, j'ai aussi des clients dont il faut que je m'occupe, donc mon temps n'est pas complètement infini, donc il y a des grosses choses à faire de ce côté-là pour optimiser ma production. Il y a aussi, comme je le disais tout à l'heure, le fait que le podcast nécessite énormément de communication au quotidien pour vivre. pour vivre correctement et pour se faire voir. Et ça, c'est vraiment la partie que je trouve extrêmement fatigante parce que j'ai beau adorer écrire, j'ai beau adorer écrire pour les réseaux sociaux, vous partager des choses sur LinkedIn, dans la newsletter, je trouve ça extrêmement fatigant de reformuler et de remettre sous d'autres formes des contenus que j'ai déjà écrits, sur lesquels j'ai déjà travaillé. C'est la partie que je ne trouve pas du tout enrichissante et c'est là où je pense que je peux gagner en efficacité parce que autant je n'ai aucune envie de... confier la création de mes épisodes de podcast à l'intelligence artificielle parce que je pense que les contenus qui en ressortiraient seront assez creux. Autant pour remettre en forme des épisodes, des choses qui sont déjà écrites avec tout ce que j'ai pu sortir de ma tête et le remettre sous forme de post ou de newsletter, ça, ça peut avoir réellement un intérêt. Donc ça, c'est quelque chose sur lequel je vais travailler cet été pour que, en septembre, ma production de contenu soit beaucoup plus lean. Je ne me l'applique pas à moi-même alors que c'est quelque chose que je fais très bien chez mes clients. Mais l'idée est vraiment là. C'est d'accélérer un petit peu les choses pour que je ne produise pas finalement des épisodes de podcast dans le vent et que je sois suffisamment efficace sur la partie communication autour du podcast. Néanmoins, je suis toujours là, j'ai continué, j'ai un peu baissé la fréquence à un moment parce que j'avais beaucoup de mal à suivre. Mais pour moi, c'était impossible de me dire que j'allais arrêter ce format parce que ça me plaît beaucoup. Je savais de base que c'était quelque chose qui se faisait à long terme quand même, que je n'allais pas avoir les résultats faramineux extrêmement vite, même si un coup de chance peut toujours arriver. C'est quand même quelque chose qui se construit dans la durée. Donc on lâche rien, on est toujours là et on va continuer à vous préparer tout ça pour le second semestre. En parlant de second semestre, ce qui va se passer, c'est un tournant, je pense, dans la partie stratégie. du podcast. Je vais développer quatre formats qui sont assez différents, qui vont avoir des objectifs complètement différents et qui, je pense, pourraient être tous des bons compléments les uns des autres. J'aurai un format capitaine d'industrie. Celui-là, c'est vraiment celui que je voulais déjà développer en début d'année et je n'ai pas eu le temps parce que c'est un peu plus compliqué d'aller démarcher des industriels qui ont envie de parler en podcast. Mais l'idée, c'est vraiment de mettre en avant un industriel qui est passé à l'action. qui a rendu son usine plus efficace, notamment par l'optimisation de processus et par l'utilisation de technologies numériques, que ce soit du logiciel, de la robotisation, de l'IA, ce genre de choses. Donc ça, c'est vraiment le format inspiration, passer à l'action, que j'aimerais mettre en avant. Ce sera des formats relativement longs, à mon avis. Pense viser autour de 45 minutes là-dessus pour qu'on ait quand même le temps de creuser une thématique dans son entièreté. Le deuxième format qui va plutôt se rapprocher de ceux que j'ai déjà pu faire jusqu'à maintenant, c'est d'inviter une personne qui offre une expertise pour l'industrie. Une expertise assez large, ce ne sera pas forcément que de l'optimisation de processus ou du numérique, ça peut être n'importe qui qui est en mesure d'accompagner un industriel pour justement se rendre compte qu'on n'est pas tout seul. quand on est dirigeant d'entreprise industrielle, et que même si on n'a pas les compétences en interne, on peut potentiellement faire appel à des gens qui peuvent compléter les équipes en place. Via ce format, le but c'est de traiter un cas extrêmement concret et comment il a été résolu par l'expert invité, pour vraiment pouvoir se projeter sur ce qu'on peut lui demander de faire et sur quel type de tâches on peut être accompagné. Et là, je vise plutôt un format de 20-30 minutes. Troisième format, ça va être le coup de main. Là, l'idée, c'est de prendre une question d'un auditeur. Alors, soit l'auditeur est d'accord pour venir participer au podcast et on résout sa problématique en live, soit je prends juste la question, je la traite en anonyme et je la traite soit toute seule, soit avec un autre expert que je peux avoir dans ma besace si la thématique dépasse ce que couvre mon champ d'expertise, tout simplement. Et le dernier format, là, ce sera mon gros challenge, c'est... Le petit outil actionnable, la méthode actionnable, ça sera 5 minutes sur un outil, une méthode, un logiciel précis. 5 minutes pour repartir avec l'essentiel sur une thématique, pas une de plus pour que ce soit vraiment facilement écoutable. Là, c'est aussi un exercice pour moi parce que ça m'oblige à synthétiser ma pensée et je pense que c'est vraiment ce genre d'épisode qui peut aussi vous intéresser pour savoir surtout si vous avez envie d'aller plus loin derrière. Donc ça peut être un épisode... démarrage pour un épisode sur un format un peu plus long avec un expert ou avec un capitaine d'industrie qui s'est lancé derrière. Voilà, c'est un petit peu comme ça que je vois la stratégie à venir. Un truc que j'aimerais tester aussi, c'est de passer à la vidéo d'ici septembre. Ça, c'est un projet qui est en cours. J'ai déjà discuté avec des partenaires sur le sujet. Je sais avec qui je vais travailler pour ça. La problématique aujourd'hui, ça reste le budget ou le temps. Parce que soit on a de l'argent, soit on a du temps. Et clairement, aujourd'hui, monter des vidéos, je ne vais pas pouvoir le faire moi-même. Et investir dans le passage à la vidéo de tous mes épisodes, ça risque d'être un peu compliqué dans un premier temps, parce que j'ai pas mal d'autres choses en cours en même temps. Donc voilà, est-ce que ce sera possible en septembre ? Pour l'instant, à l'heure actuelle, là où je vous parle, je ne sais pas. Mais l'idée, dans tous les cas, c'est de me mettre moins de pression sur le podcast, mais d'avoir plus d'impact sur vous et sur... sur la façon dont vous allez pouvoir vous servir de ces différents épisodes. D'ailleurs, en parlant d'épisodes courts, je me suis lancée dans un gros projet pour cet été. Je viens de vous dire que j'allais mettre moins de pression, et en fait, je me suis mis une grosse pression pour la série de l'été qui arrive à partir du 1er juillet. Le premier épisode sera le 1er juillet. Je vais vous proposer 45 épisodes pour muscler votre pensée lean pendant l'été. L'idée que j'ai derrière cet épisode, et ça m'a été inspirée par... par une personne avec qui j'ai discuté sur LinkedIn, qui se reconnaîtra peut-être, qui me disait que dans toutes les problématiques de Lean et d'amélioration continue, d'optimisation, il y a deux clans. Il y a ceux qui savent de quoi on parle et qui savent qu'ils en ont besoin, et d'autres qui en ont vaguement entendu parler mais qui ne savent pas vraiment comment passer à l'action. Et moi, c'est pour cette deuxième partie que je vais faire ces épisodes, et pour ceux qui ont besoin d'une piqûre de rappel, l'idée, c'est de prendre des sujets vacances, des sujets estivaux, et de voir comment le Lean s'y applique. Le but, c'est que ce soit fun, vivant, quotidien, qu'on fasse ça avec un trait d'humour et que ce soit vraiment sans prise de tête, avec toujours un petit lien vers ce qu'on pourra en faire au boulot à la rentrée. Mais le but, c'est vraiment de parler de Lean sans prise de tête et de voir que ça peut s'appliquer à tout le monde dans tous les domaines et que ce n'est pas juste une boîte à outils complexe à utiliser. Voilà, c'est vraiment une série que je vois idéale pour préparer la rentrée et d'ailleurs pour t'abonner. surtout s'abonner au podcast pour ne rien rater et je te prépare aussi des mails récap qui partiront tous les mercredis. Et pour t'abonner, je te mets le lien dans la description de cet épisode. Mais si tu veux ne rien rater, c'est perrine.system.io slash summer underscore dayline. La série s'appelle Summer Dayline pour ne rien louper. Donc, je répète perrine.system s-y-s-t-e-m-e point. io /summer s-u-m-m-e-r tiré du 8, underscore, Dailean, D-A-I-L-E-A-N. Voilà, tu sais tout pour t'abonner à la liste de 9 emails que tu recevras directement dans ta boîte mail, avec les ressources en plus des épisodes, donc 9 ressources, une par mini-série, puisque ce sera effectivement 9 mini-séries, 9 thématiques, déclinées chacune en 5 épisodes, on arrive à 45 épisodes sur l'été, et tout ça sur 9 semaines, donc à partir du 1er juillet et on s'arrêtera le 31 août. pour être vraiment prêt en septembre. Pour la rentrée, je suis également à la recherche de sponsors. Mon objectif, c'est de garder ce podcast indépendant, exigeant, pro. Et donc, je n'ai pas du tout prévu d'être podcasteuse professionnelle, mais l'idée, c'est que le podcast, au moins, ne me coûte plus d'argent à produire et qu'il puisse s'autofinancer. Donc ça, ce serait vraiment le but. Donc je suis à la recherche... de marques, d'experts pour l'industrie, de distributeurs de logiciels par exemple, qui voudraient profiter d'un boost de visibilité de par le podcast, de par la communauté ciblée que j'ai construit et que je continue de construire sur LinkedIn. On va bientôt atteindre les 6000 abonnés. Donc ça peut se faire via la participation à des épisodes, via la mention de sponsors dans les épisodes, la co-création de nouveaux formats. Et voilà, donc ça c'est vraiment la partie que j'aimerais développer cette année. sachant que j'ai déjà quelques touches sur le sujet, donc j'y crois fortement sur un podcast autonome, en tout cas d'ici la fin de l'année. Et si tu es auditeur, juste pour le petit rappel, la façon dont tu peux m'aider, c'est de partager un épisode qui t'a plu à quelqu'un qui a besoin de l'écouter, mettre 5 étoiles ou un pouce bleu en fonction de la plateforme sur laquelle tu m'écoutes, ou recommander tout simplement le podcast à quelqu'un qui pourrait en avoir besoin. Et si tu connais des gens qui pourraient être intéressés pour sponsoriser le podcast, n'hésite pas à me le dire également. Ce sera avec plaisir pour rentrer en contact avec cette personne. Je vous remercie de m'avoir écouté. J'espère que la nouvelle direction vous plaît. J'attends vos retours avec impatience pour savoir si on continue dans cette direction-là ou si vous avez des suggestions pour le podcast. Dans tous les cas, le podcast continue et il monte d'un cran. Mais pour ça, encore une fois, j'ai besoin de vous. et... En attendant la rentrée, je vous donne rendez-vous dès le 1er juillet pour la série d'été. Si tu as aimé ce que tu as entendu cette année, surtout n'hésite pas à en parler, c'est ce qui fera exister le podcast encore demain. Je vous souhaite un bel été et en attendant la rentrée, n'oubliez pas d'oser l'efficacité. Merci d'avoir écouté cet épisode jusqu'au bout. Si ça t'a parlé, pense à t'abonner, à en parler autour de toi ou à me laisser 5 étoiles sur ta plateforme d'écoute préférée. Ça m'aide énormément pour la visibilité du podcast. Et si tu veux aller plus loin... Que tes process méritent un bon coup de propre, je t'attends sur LinkedIn. Merci d'être là et surtout, n'oublie pas d'oser l'efficacité.