Description

Cette énergie, cet enthousiasme, ce franc parlé... vous diront sans doute quelque chose !

Noémie et Guillaume ont, comme ils le disent si bien, démarré une conversation il y a deux ans... qu'ils ne souhaitent jamais terminer. C'est dans le cadre de la fameuse émission de M6, l'amour est dans le pré, lors de la saison 17, qu'ils se sont rencontrés. Depuis, Noémie, responsable chez France services, a quitté le Nord Pas de Calais pour s'installer à la ferme en Corrèze. Elle nous partage son nouveau quotidien de femme d'agriculteur.

Retrouvez-les en deuxième partie de soirée le lundi soir dans l'amour vu du pré !

Retrouvez le témoignage d'une femme d'agriculteur tous les 15 jours au sein de mon podcast.

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Bonne écoute !

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Transcription

• Speaker #0

  Elles sont femmes de céréaliers, d'éleveurs, de viticulteurs, en agriculture conventionnelle, biologique, raisonnée. Elles viennent de petites, moyennes ou grandes fermes implantées sur toute la France, sont issues du monde agricole ou le découvrent jour après jour. Entre les coups de main à la ferme, la vie amoureuse et familiale, conditionnée au rythme des cultures, de la météo et des animaux, elles-mêmes salariées ou agricultrices, mères, ces femmes sont les piliers de leur conjoint agriculteur. Je m'appelle Marion. J'ai plaisir à discuter avec ces femmes et partager, témoigner, diffuser leurs choix de vie personnels et professionnels, ainsi que leurs joies et difficultés liées au monde agricole. Alors, à votre avis, où ça mène quand on s'aime ? Sa voix, son énergie, son franc-parler vous diront sans doute quelque chose. Noémie a 31 ans. Elle a participé à l'Amour et dans le Pré il y a deux ans en tant que prétendante. de Guillaume du Limousin, comme il était surnommé. C'est un éleveur de vaches à viande avec lequel elle vit désormais en Corrèze.

• Speaker #1

  Je suis Noémie de la saison 17 de l'Amour est dans le Pré, prétendante de Guillaume du Limousin.

• Speaker #0

  Est-ce que tu peux nous présenter l'exploitation de Guillaume ?

• Speaker #1

  Guillaume a une exploitation bovine, donc de vaches limousines, qui sont des vaches allaitantes. Donc on est à 150 naissances à l'année. Et on a aussi 4 bâtiments de poulets, la Belle Rouge, qui fait à peu près 17 000 poulets.

• Speaker #0

  Ok, maintenant que le contexte est posé, on va parler un peu plus de toi. D'où viens-tu initialement et as-tu grandi dans un milieu agricole ? Alors,

• Speaker #1

  moi je viens du Nord Pas-de-Calais, précisément de Servin, dans le Pas-de-Calais à côté de Lens, entre Lens et Arras. Je ne viens pas forcément du milieu agricole directement. J'avais mon grand-père qui était marchand de bestiaux et mon père qui était boucher, donc étroitement j'étais liée quand même à l'agriculture, mais pas de manière directe, j'ai jamais eu de parents agriculteurs.

• Speaker #0

  D'accord. Quelles études as-tu fait et dans quel but ?

• Speaker #1

  J'ai commencé par faire un bac chimie parce que je ne savais pas trop quoi faire. Après, je suis partie sur un BTS esthétique, cosmétique avec une option effet spéciaux, en attendant de pouvoir passer le concours pour être un atopracteur, qui se faisait à l'époque à l'âge de 21 ans. Et au final, je n'ai pas du tout fait ça parce que je suis partie dans le milieu du secrétariat administratif, plus précisément de la mairie, et maintenant je suis responsable d'un France Service. En Corrèze.

• Speaker #0

  Ok. Quelles sont du coup tes missions quotidiennes ? Nous,

• Speaker #1

  chez France Service, on aide les gens dans leurs démarches administratives, n'importe lesquelles. Ça peut aller de la retraite, du dossier France Travail. C'est assez varié. On a des partenaires nationaux comme les impôts, comme la CARSAT, la sécurité sociale. Mais aussi, ça peut aller de remplir un dossier pour acheter un téléphone, faire une paie, une facture d'eau. C'est assez varié, mais ça restera vraiment au niveau de l'administratif.

• Speaker #0

  Est-ce que tu peux trouver du travail facilement dans ton secteur d'activité près de la ferme ?

• Speaker #1

  Alors en Corrèze, il y a une pénurie de secrétaires de mairie, donc je n'ai pas trop eu de difficulté à trouver du travail. Parce que j'avais 17 propositions d'emploi quand je suis arrivée en Corrèze.

• Speaker #0

  Donc ça va, tu ne rencontres pas trop de barrières géographiques.

• Speaker #1

  au fait de pouvoir t'installer du coup avec ton conjoint non pas du tout ça s'est fait c'était une crainte de Guillaume et au final quand il a vu que les postes s'ouvraient à moi il a dit bon je m'inquiète pas trop ouais c'est rassurant quand même après

• Speaker #0

  j'avais travaillé 10 ans dedans j'avais quand même des bagages ouais t'avais une bonne expérience derrière toi qui te permettait aussi de trouver plus facilement est-ce que tu souhaites un jour travailler sur la ferme ?

• Speaker #1

  Alors, ce n'est pas un souhait ni de Guillaume ni de moi de travailler sur la ferme. Travailler sur l'exploitation, ce n'est pas du tout... Déjà, ce n'est pas mon travail. Et puis, moi, je veux que ça reste le plaisir du week-end, des vacances. Je vais passer plus de temps le soir peut-être pour aller sur la ferme. Comme l'un soir, je suis allée au Vaud. Je vais aller voir les poussins. Mais je veux que ça reste un plaisir. Je ne veux pas que ça devienne une contrainte. Il y a aussi le fait que si j'étais toute la journée avec Guillaume, je pense qu'il y en a un des deux qui tue l'autre.

• Speaker #0

  Et puis chacun son métier aussi, c'est ça ?

• Speaker #1

  Exactement.

• Speaker #0

  Du coup, ça t'arrive assez souvent d'aller filer un coup de main, d'aller faire un tour sur l'exploitation ?

• Speaker #1

  J'y vais tous les jours sur l'exploitation. J'y vais soit le matin pour aller voir les vaches en pâture l'été, après le soir, je vais voir les veaux, parce que nous, on a des vélages tout au long de l'année, donc ce n'est pas une période précise. Et puis après, les poussins, c'est pareil. En général, si je ne travaille pas, j'y vais le matin et le soir.

• Speaker #0

  Ok. Alors maintenant que nous te connaissons un peu mieux, nous allons discuter ensemble de ta vie de couple. Donc, question un peu insolite, comment et quand as-tu connu ton conjoint ?

• Speaker #1

  Alors moi j'ai connu Guillaume précisément le 16 avril 2022 à Paris. On ne s'est pas du tout connus en Corrèze. Suite au portrait qui avait été diffusé le 14 février 2022, je suis arrivée à la ferme pour les tournages le 4 mai 2022 et je suis arrivée définitivement en Corrèze le 1er avril 2023.

• Speaker #0

  L'Amour est dans le Pré, c'est une émission que tu regardais régulièrement. Pourquoi tu aimes bien cette émission initialement ?

• Speaker #1

  Je trouve que c'est une émission qui est naturelle, où on voit vraiment les gens dans la réalité. Ce n'est pas forcément strass et paillettes. Et ça révèle bien aussi la nature des gens. Et en général, ce que j'ai remarqué aussi, c'est que souvent, ce sont des gens qui ont un vécu, qui ont une franchise. Et ça, c'est vraiment des choses que j'apprécie chez les gens.

• Speaker #0

  Ils mettent l'accent sur l'authenticité.

• Speaker #1

  Oui, c'est ça, c'est authentique.

• Speaker #0

  Écrire un agriculteur, tu y pensais ? Ou c'est vraiment sur le portrait de Guillaume que tu as, entre guillemets, flashé ? Tu t'es dit, bon, allez... Je passe le pas et je lui écris.

• Speaker #1

  J'ai déjà fréquenté des agriculteurs avant. Ça, ce n'était pas concrétisé plus que ça, mais plus ou moins, en plus, moi, je fais de la campagne quand même. Donc, j'avais des copains qui étaient agriculteurs. Comme j'ai flirté avec des agriculteurs sur les applis de rencontre, plus ou moins, on est amené quand même à se rencontrer. Mais c'est vrai que, pour le coup, quand j'ai regardé les portraits au mois de février, je ne m'attendais pas spécialement à écrire à quelqu'un. J'ai regardé par réflexe, comme je le faisais les autres années. Et quand j'ai vu que le profil de Guillaume correspondait bien à ce que je recherchais, je me suis dit, de toute façon, qu'est-ce que j'ai à perdre, clairement ? Sans y croire vraiment, parce que je me disais que de toute façon, pourquoi ça serait moi et pas une autre ? C'était vraiment, bon, j'ai écrit parce que ça correspondait, mais ça aurait, comme je dis souvent à Guillaume, si je l'avais eu sur une appui de rencontre, banale, je lui aurais écrit aussi. C'est pas forcément parce que c'était l'émission que j'ai écrite.

• Speaker #0

  Et justement, déjà sur le fait que ce soit télévisé, qu'il y ait des caméras, etc. Est-ce que tu as ressenti des excitations, des craintes par rapport à ça et par rapport au fait de faire une rencontre sous le regard télévisuel ?

• Speaker #1

  Alors, on te dira toujours qu'il y a 80% des filles qui ont l'effet paillette parce que justement, c'est la télé. En général, c'est ça, c'est vrai. Mais pour le coup, moi, je n'avais pas cette idée-là en tête. Forcément, on craint les caméras au début parce que c'est pas simple. Tu te dévoiles face caméra et là, pour le coup, t'as vraiment une anxiété qui se passe parce que tu penses à ce que tu dis, tu penses à l'image que tu vas refléter à la télé. Pour le coup, j'ai essayé d'être le plus authentique. Moi, j'ai pas fait cette émission pour devenir une star de télé-réalité, ni influenceuse, ni quoi que ce soit. Je l'ai fait parce que, de toute façon, j'avais pas le choix que pour le rencontrer, fallait absolument que je passe par cette démarche.

• Speaker #0

  Ok, et sur le fait d'écrire un agriculteur, est-ce qu'il y a des contraintes du métier qui te faisaient peur ? Est-ce que tu avais des attraits aussi pour ce métier peut-être ?

• Speaker #1

  Alors pour le coup, c'est une question qui est drôle parce que Guillaume se pose beaucoup cette question, même encore à l'heure actuelle. Je ne comprends pas trop pourquoi j'ai aucune crainte là-dessus. Moi je me dis que qu'il soit agriculteur, qu'il soit routier, qu'il soit commercial, ça ne change rien du tout. C'est un métier comme un autre. Oui, la maison elle est sur l'exploitation, on est forcément amené. à être sur la ferme et à aussi s'investir. Moi, j'ai des parents qui étaient artisans, des grands-parents qui étaient aussi artisans, pour le coup, marchands de bestiaux ou autres. Tu te dis, eux, ils se sont toujours donnés dans leur métier. Donc, au contraire, c'est plutôt un avantage pour moi de voir Guillaume comme un agriculteur. Et je ne pense pas que ce soit un frein qu'il soit agriculteur pour entamer une relation. Et je pense que si je peux conseiller les filles, c'est que si elles craignent l'agriculture... On ne part pas plus en vacances parce qu'on n'est pas agriculteur. Clairement, c'est une réalité.

• Speaker #0

  Du coup, vous habitez sur l'exploitation. Oui. Est-ce que ça facilite votre vie ? Est-ce que toi, c'était OK dès le début ? Est-ce que tu avais des craintes par rapport à ça ? Non,

• Speaker #1

  je n'ai aucune crainte parce que, comme je l'ai dit, j'ai mes parents qui avaient une boucherie et la boucherie est à la maison. Donc, que ce soit une ferme à la maison ou une boucherie à la maison, ce n'est pas plus qu'entraînant. C'est pareil. C'est la même chose. Donc non, il n'y a aucune crainte. et au contraire, ça permet par... de plus facilement aller le voir parce que si lui, il est occupé sur la ferme, j'ai juste à prendre mes bottes et puis je vais à la ferme.

• Speaker #0

  Est-ce que tu as toujours souhaité vivre à la campagne ?

• Speaker #1

  Oui. Par contre, la campagne, c'est vraiment quelque chose qui est important pour moi. Je ne me vois pas vivre à la ville parce que j'aime bien être dehors et que pour le coup, la ville, ce n'est pas trop facile. Sauf si tu es millionnaire et que tu passes une belle maison avec un grand jardin en place entre villes. Mais sinon, je préfère être à la campagne quand même au calme.

• Speaker #0

  Ok. Est-ce que Guillaume travaille seul sur l'exploitation ? Est-ce qu'il est aidé ?

• Speaker #1

  Alors Guillaume ne travaille pas seul, il est en gaïque avec ses parents. Ils sont à trois, donc sa mère, son père. Sa mère va plus s'occuper de l'administratif et du côté des poulets. Et son père, lui, va plus gérer le côté bovin avec Guillaume. Et après, tout ce qui est céréales.

• Speaker #0

  Donc, ta belle famille est géographiquement proche. Quels sont tes rapports avec elle ?

• Speaker #1

  On vit dans la même maison. En fait, c'est une très grande maison qui est coupée en deux. On a tous notre intimité, pour le coup. Et j'ai de très bons rapports. Je les vois tous les jours et ça se passe très bien. Ça m'a aidée par rapport au fait que moi, je sois loin de mes parents. Et comme j'étais assez proche d'eux, des fois, c'est vrai que j'ai des coups de mou. Ce n'est pas forcément lié à la distance avec mes parents, mais ma mère, elle appelle ma belle-mère en disant « Va voir Noémie, parce que ça ne va pas. » Et c'est vrai que ça facilite quand même les choses.

• Speaker #0

  Oui, c'est insolite, mais au moins, tu te sens bien entourée aussi. Oui,

• Speaker #1

  je suis très entourée.

• Speaker #0

  Est-ce que vous voulez des enfants ? Et est-ce que tu as des peurs par rapport, par exemple, à la disponibilité de Guillaume sur la ferme ? Ou plutôt des joies à te dire que tu pourrais élever tes enfants à la campagne et sur une exploitation familiale ?

• Speaker #1

  Les enfants, bien sûr qu'on veut des enfants, après on ne se met pas la pression, quoi que ce soit, ça sera quand ça se fera. Pour le coup, c'est vrai que Guillaume sera sur la ferme, donc ça peut être un avantage, au contraire, parce que moi je n'ai pas l'intention de faire garder mes enfants à ma belle-mère ni à mes parents. Je mettrai toujours en place un service de garde, parce que je n'ai pas non plus l'intention d'arrêter de travailler pour m'occuper de mes enfants. Mais au moins s'il y a un souci, l'avantage c'est que Guillaume est sur la ferme et qu'il peut se rendre disponible plus facilement que moi.

• Speaker #0

  Ok, donc tu le vois vraiment comme un avantage. Comme un avantage, oui, c'est chouette. Comment trouvez-vous vos moments de couple ? À côté du travail à la ferme et de ton travail à toi, est-ce que vous vous accordez des soirées, des restaurants, des week-ends ?

• Speaker #1

  Alors nous, on s'accorde au moins un resto par semaine à deux. Le soir, on se retrouve quasiment tous les soirs à deux. On prend au moins une heure ensemble pour se raconter notre journée, pour regarder un film. on essaye vraiment de garder ce lien entre nous, avoir toujours la complicité qu'on a. Et Guillaume, il dit toujours une phrase qui est belle, c'est qu'on a commencé une conversation en 2022 et on ne l'a toujours pas terminée.

• Speaker #0

  C'est chouette. Ça marche. Est-ce que vous partez aussi en vacances ? Est-ce que parfois tu pars sans lui parce qu'il est dans des périodes agricoles compliquées ?

• Speaker #1

  On est partis l'année dernière en vacances ensemble, mais on est partis avec des amis. Donc, ce n'était pas forcément des vacances en amoureux. En général, on essaye de remonter régulièrement dans le Nord, voir mes parents, mes amis, ensemble. Et après, ça arrive aussi que Guillaume ne puisse pas forcément remonter, parce qu'il y a les poulets, il y a les foins, il y a la paille, il y a les pommes. Donc je remonte aussi toute seule, mais on s'accorde pour avoir un équilibre entre voyage tout seul et voyage ensemble.

• Speaker #0

  Ça marche. Au niveau de votre vie sociale, est-ce que vous avez des amis ? Et puis tu parlais de ta belle famille autour de vous. Est-ce que tu te sens parfois isolée ou plutôt bien entourée ?

• Speaker #1

  Alors moi, je suis quelqu'un de solitaire, donc je n'ai pas forcément besoin d'avoir beaucoup, beaucoup d'entourage. Au début, ça a été un peu compliqué parce que je n'ai pas forcément été acceptée due à l'émission. Il y a eu des gens qui n'ont pas forcément aussi accepté la relation que Guillaume avait parce qu'il n'avait jamais eu de copine et qu'il y avait un problème. profit qui s'organisait, même si, bon, au final, c'est pas forcément de l'amitié, mais pour lui, on était un petit peu au début, et que j'arrive un peu comme le cheveu sur la soupe, ça a été compliqué pour certains, donc j'ai pas eu forcément des bons échos au départ, je me sentais un peu isolée, mais au final, le noyau s'est reformé, on s'est peut-être rapproché d'autres personnes, et puis maintenant, tout se passe bien, ça roule.

• Speaker #0

  Tu t'es fait ta place petit à petit, quoi.

• Speaker #1

  C'est ça, oui.

• Speaker #0

  Pour conclure cet échange avec toi, est-ce que tu aurais un conseil à partager à une autre femme d'agriculteur qui nous écoute ?

• Speaker #1

  De maintenir justement le contact et de commencer une conversation sans jamais la terminer.

• Speaker #0

  C'est votre devise. Et enfin, je finis mes épisodes avec une touche positive parce qu'on parle souvent des contraintes de la vie d'un agriculteur, mais ça reste une vie très épanouissante aussi. Qu'est-ce qui, selon toi, t'épanouis chaque jour dans ta vie de femme d'agriculteur ?

• Speaker #1

  C'est la ferme. La ferme, elle m'épanouit chaque jour parce qu'on voit des naissances, on voit les animaux grandir, on voit les cultures pousser. Et ça, c'est vraiment enrichissant. C'est très philosophique, mais c'est enrichissant quand même.

• Speaker #0

  Non, mais c'est une belle conclusion. Parce qu'en plus, surtout, on dit souvent que les éleveurs, c'est encore plus compliqué que juste un cultivateur à vivre avec et tout. Donc, ça vient de dire... vivre avec les animaux, que ça t'épanouit toi aussi, c'est chouette. Eh bien, merci beaucoup pour cet échange.

• Speaker #1

  De rien.

• Speaker #0

  C'est ainsi que s'achève notre échange. Si cet épisode vous a plu, n'hésitez pas à le diffuser autour de vous. Mesdames, si certains propos font écho à votre vie, ou au contraire sont bien différents de vos choix personnels et professionnels, n'hésitez pas à venir discuter avec moi dans un prochain épisode. A bientôt !